samedi 27 août 2022

Laïcité révolutionnaire et séparation de l'Eglise et de l'Etat


LAICÏTE REVOLUTIONNAIRE ET SEPARATION DE L’EGLISE ET DE L’ETAT

 

« Ote ! Ote ! crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César »

(St Jean XIX, 15)

 

    C’est une publication de 2017. Sauf imprévu, par exemple, l’annulation des élections pour cause de grave attentat ou affaire judiciaire en cours permettant de laisser en place M. Hollande, nous aurons bientôt droit après l’attrape-nigauds des primaires de droite et de gauche à la grande comédie médiatique de l’élection présidentielle destinée à nous fournir le futur Président des Ecuries d’Augias, dont l’odeur devient de plus en plus nauséabonde, cette mascarade proposée à tous ceux qui ne sont pas encore guéris de l’escroquerie morale et intellectuelle du suffrage universel : « mensonge universel » comme disait le Pape Pie IX au XIXe siècle. Affirmation qui devient de plus en plus acceptable pour bien des sceptiques d’autrefois. Pour les autres, nous les laisserons continuer de rêver en attendant, et en espérant, qu’ils finissent par devenir adultes pas seulement par la taille.

 

     Si les programmes seront plus ou moins différents selon les idéologies politiques destinées à les mettre en œuvre, ils auront tous un point commun - sauf séisme de magnitude 10 sur l’échelle de Richter de 9 - le silence assourdissant sur Dieu fait Homme, Notre-Seigneur Jésus-Christ remplacé par un vague humanisme naturaliste et, à contrario, le grand tapage sur le sésame qui permet de participer à l’aventure politique : l’inévitable et indispensable déclaration d’amour à la laïcité révolutionnaire propre à perpétuer le gloussement de plaisir des ennemis de Dieu. Si cela peut se comprendre, sans toutefois les excuser, pour des hommes et des partis politiques athées, libéraux, libertaires ou agnostiques, ça l’est beaucoup moins pour tout candidat à la présidence de la République qui se proclame chrétien et catholique de surcroît. N’est-ce pas MM Fillon, Juppé et consorts ? On me répondra certainement : nous sommes en République et celle-ci est laïque. Cela ne m’avait pas échappé.

 

     Dire nous sommes en République laïque pour justifier et faire l’impasse sur le Christ et la religion n’est pas, et ne sera jamais, un argument recevable pour un Catholique digne de ce nom. Chez un chrétien le fait de s’armer et de brandir le bouclier de la laïcité pour valider ses pathétiques contorsions destinées à permettre la pratique de ses mœurs coupables ou ses reculades sur sa foi ne fait que démontrer sa lâcheté à défendre les droits et les lois de Notre-Seigneur : Celui dont il se prétend le disciple et au nom duquel il a été baptisé, non pour l’exclure des lieux où s’élaborent les décisions qui conditionneront la vie morale, sociale et politique de la cité et de son pays, mais pour rappeler et défendre son Evangile et ses commandements, partout où ses compétences et ses fonctions l’appellent à se manifester socialement et politiquement. Mieux vaut disparaître de la scène politique si c’est pour cautionner ou faire silence sur des outrages perpétuels à la Majesté divine.

 

INACCEPTABILITE DE LA LAICÏTE JUDEO-MACONNIQUE 

ET REVOLUTIONNAIRE

 

     La laïcité judéo-maçonnique sépare le religieux et l’Etat.

 

« La laïcité suppose la séparation de l’Etat et des organisations religieuses » (Citation)    

 

     Cette proposition n’est pas plus recevable que la précédente pour un chrétien catholique. Accepter le fait, ou prendre acte, d’être dans une République laïque est une chose, valider les considérants de cette proposition en est une autre. C’est inacceptable et condamnable pour diverses raisons :

 

     1 - Parce que l’Eglise catholique n’est pas, et n’a jamais été, une théocratie comme peut l’être la religion musulmane qui fusionne le spirituel et le temporel. Il y a deux piliers dans l’Eglise : le clergé et le laïcat. Elle reconnaît, et à toujours reconnu, le principe posé par son Seigneur et Maître « rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » (St Matthieu XXII, 21) (1) et la force de la doctrine qu’il manifeste. Mais elle n’entend pas stupidement cette maxime de Jésus-Christ, comme se plaisent à vouloir l’interpréter certaines sectes, les gens et les hommes politiques en général, incités en cela par un clergé beaucoup plus gallican, voire marxiste, que catholique. Nous savons pertinemment à qui profite ce genre d’interprétation, tout comme celle de « Mon royaume n’est pas de ce monde » (St Jean XVIII, 36) (2) visant, l’une et l’autre, à écarter l’enseignement de Notre-Seigneur et la morale chrétienne dans l’Etat et les organes de direction nationale, avec les résultats ignobles que l’on sait.

     

     2 - En considération de ce qui a été constitutif de la matrice fondatrice et formatrice de la France : sa culture et ses traditions chrétiennes séculaires et pour être plus précis catholiques, et dont les restes spirituels l’empêchent encore, pour le moment,   mais de moins en moins, de sombrer totalement dans l’anarchie. La religion en France est catholique et celle d’un Etat catholique. Elle retournera à sa véritable Constitution, à l’heure de Dieu, n’en déplaise aux révolutionnaires et anticatholiques de tous poils et, probablement, lorsqu’elle aura touché le fond du fond, Dieu estimant suffisante l’expiation de ses innombrables crimes commis depuis deux siècles. Les autres « organisations religieuses » étant tolérées. Cette France, n’a rien à voir avec les pratiques et les enseignements utopiques des sauvages et massacreurs de femmes et d’enfants français, des coupeurs de têtes de 1789-1794 (3), et ceux qui célèbrent, année après année, cette ignominie qui relève davantage de l’exécration que du festif.

 

      3  Quoi qu’en dise la secte judéo-maçonnique du prêt à penser et du formatage dans le politiquement et le religieusement ''correct'', il est inacceptable de parler de « séparation de l’Eglise et de l’Etat » là où il ne doit y avoir que distinction de ces deux composantes que sont l’Etat et la religion catholique car, tous deux, ont à faire avec des individus qui appartiennent, en même temps, à la société civile et temporelle et à la société religieuse, avec des compétences dans des domaines différents. L’homme chrétien appartient de corps et d’âme à ladite société contribuant à son bon fonctionnement temporel et à sa prospérité par ses compétences professionnelles, le paiement de ses impôts et taxes diverses, etc. Il n’a donc aucune raison de se dédoubler et, sous cette qualité de Catholique, il se doit de défendre la foi qui alimente son âme, certes, dans  un milieu visiblement indifférent ou hostile, mais au même titre que l’Etat républicain et ses thuriféraires défendent, bec et ongles, dans leur impéritie et leur aveuglement spirituel, leur croyance en la laïcité athée avec son panier garni de turpitudes, même si celle-ci prépare et ouvre un boulevard à la guerre civile, à l’anarchie et au totalitarisme.

 

     Demander à un catholique de taire, dans les assemblées parlementaires, ses convictions sociales et politiques c’est, en quelque sorte, l’écarteler, vouloir le faire vivre en contradiction permanente avec sa conscience et son devoir de témoigner, à temps et à contretemps, sur les valeurs morales et temporelles bienfaisantes enseignées par l’Evangile et utiles pour la société, ainsi que sur la souveraineté du Christ sur les institutions de quelque nature qu’elles soient. Le Christ, quoiqu’en pense ses ennemis et les chrétiens tièdes, n’est pas équivoque sur la question de sa souveraineté. Les députés et sénateurs catholiques l’ont misérablement oubliée. Mais la vraie question paraît plus dramatique : ont-ils encore la foi ?

 

« Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre. Allez donc enseignez toutes les nations (…) » (St Matthieu XXVIII, 18)

 

     Si un chrétien, selon l’affirmation de Saint Paul (Romains XIII, 1-2), doit se montrer obéissant envers les autorités supérieures de l’Etat lorsque celui-ci se veut païen et fonctionner selon des lois immorales et païennes, cette obéissance lui est due seulement si cette soumission ne l’oblige pas à devoir agir contre sa conscience en violant les lois divines, ou lorsque cet Etat veut l’empêcher de mettre en garde contre leurs violations qui affectent le salut des âmes. Un chrétien dans la cité temporelle règle sa vie privée et publique de citoyen en tant que serviteur et témoin de Dieu, de ses commandements et enseignements, et non selon les délires corrupteurs, lubriques et destructeurs des enseignements révolutionnaires républicains qui coopèrent ensemble à la damnation du plus grand nombre.

 

     4 - Parce que l’Eglise, pas celle sécularisée qui prêche urbi et orbi l’utopie sanglante des Droits de l’homme – qui ne peuvent conduire qu’au désordre social, Dieu étant écarté ou tu – mais qui prêche beaucoup moins, voire pas du tout, les Droits de Dieu. Répétons-le, encore et encore, les Droits de l’homme ne seront jamais mieux respectés qu’en consentant, vraiment, à respecter les Droits de Dieu. Le décalogue selon l’agencement prioritaire de ses commandements, et les enseignements du Christ, ne sont pas des propos irresponsables, ils n’ont pas été écrits pour nuire.

 

     Non ! Pas cette Eglise conciliaire qui, sous ses sourires et ses embrassades, dénature et saccage ce qui est saint en propageant le venin du relativisme religieux dès le plus jeune âge. Non ! Pas cette Eglise dans laquelle on cherche vainement l’image conjointe du Christ et de ses propos sans équivoque devant les enseignements nuisibles au salut des âmes, mais celle qui s’exprime par la bouche du Pape Pie XI dans l’Encyclique Quas Primas, du 11 décembre 1925 qui confie la mission suivante aux Catholiques :

 

     « DANS LES CONFERENCES INTERNATIONALES ET DANS LES PARLEMENTS, ON COUVRE D’UN LOURD SILENCE LE NOM TRES DOUX DE NOTRE REDEMPTEUR ; PLUS CETTE CONDUITE EST INDIGNE ET PLUS HAUT DOIVENT MONTER NOS ACCLAMATIONS, PLUS DOIT ÊTRE PROPAGEE LA DECLARATION DES DROITS QUE CONFERENT AU CHRIST SA DIGNITE ET SON AUTORITE ROYALES. »

 

     Telle est la mission confiée aux Catholiques par un Pape digne de ce nom. Cette mission est donc publique. Elle doit pénétrer jusque dans les assemblées parlementaires. Les hommes politiques chrétiens, depuis bien longtemps, et pour le malheur de la France, sont frappés de surdité et de mutisme pour ce qui est de témoigner du Christ et de ses enseignements. Honte à vous, hommes politiques catholiques qui faîtes silence sur cette royauté du Christ, mais qui vous empressez d’adopter, de vous amouracher et de colporter la laïcité judéo-maçonnique et révolutionnaire car c’est tout un ! Par votre silence et la diffusion de la laïcité avec l’esprit qui lui est inhérent, vous bafouez sa « dignité royale » et vous devenez, selon cet extrait, aussi « indigne » que les autres. A votre manière, par votre comportement, vous perpétuez, en creux, ce cri des princes des prêtres à Pilate « Ote-le ! Ote-le ! Crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César ». Il

est donc urgent de vous remémorer cet avertissement non équivoque de Jésus-Christ :

 

« Car si quelqu’un rougit de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l’homme rougira aussi de lui, lorsqu’il viendra dans la gloire de son Père, avec les anges saints. » (St Marc VIII,38)

 

« Mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi moi-même devant mon Père qui est dans les cieux. » (St Matthieu X, 33)

 

     Quant à l’Eglise voici ce qu’elle enseigne sans langue de bois, par la bouche du Pape Léon XIII, sur cette laïcité que vous chérissez tant :

 

« Toutes les fois que par laïcité on entend un sentiment ou une intention contraire ou étranger à Dieu et à la religion, nous reprouvons entièrement cette laïcité et nous déclarons qu’elle doit être réprouvée. » (Encyclique Immortale Dei, 1er Novembre 1885)

 

     Hommes politiques catholiques, par votre silence, non seulement vous n’êtes plus crédible même si vous avez une grande capacité à donner le change, mais en plus, en voulant redresser le pays sans vous placer sous l’étendard et la soumission au Christ qui est le roi légitime de la France vous êtes, à l’image d’un certain clergé, des conducteurs d’aveugles et de dangereux rêveurs ! Quand allez-vous enfin porter haut et fort « Le nom très doux de notre Rédempteur » comme vous y invite le Pape Pie XI, et revêtir les vrais habits de votre Seigneur et de la foi chrétienne, en délaissant ceux outrageants du « silence » que vous impose votre traîtreuse adhésion à la laïcité révolutionnaire ? Ce silence voulu, et pour cause, par les ennemis du Christ affublés du tablier maçonnique et de l’Etoile de David et leurs adeptes conscients ou inconscients.

 

LE FONDEMENT MENSONGER DE LA LAÏCITE REVOLUTIONNAIRE

 

     La laïcité révolutionnaire telle que décrite par Léon XIII, est une escroquerie intellectuelle lorsqu’elle prétend séparer le religieux et l’Etat. En effet, elle est, elle-même, la religion de l’Etat républicain, c’est-à-dire celle de la judéo-maçonnerie - fortement imprégnée de Kabbale, de Talmud et de pseudo-science - derrière lequel elle se camoufle pour tout réduire à l’idéologie officielle et dogmatique des ''Droits de l’Homme'' qui ne sont autres qu’un rejet de Dieu et de ses lois, et leur remplacement par un culte rendu à la nature, à l’homme et à ses vices, en définitive à Lucifer. Cette fausse religion laïque, dont le but est d’anéantir le christianisme, opère en dépendance avec une métaphysique évolutionniste, en conséquence matérialiste.

 

     La laïcité révolutionnaire, fruit de la fausse philosophie dite des Lumières, est une tromperie permettant à des personnes sans aucune légitime autorité spirituelle de gouverner, en s’accaparant le pouvoir moral et spirituel de légiférer sur le bien et le mal, le légal et l’illégal, en se fabriquant une autorité intellectuelle prenant appui sur des théories ou hypothèses scientifiques présentées 

comme des vérités devant être enseignées et diffusées tous azimuts, combien même elles sont démenties par les faits expérimentaux dont une certaine ‘’science’’ occupant les postes-clés - faiseur ou défaiseur de carrière scientifique - imbue d’elle-même, délétère et orgueilleuse n’a que faire, puisqu’ils infirment leurs théories ou hypothèses, leur crédibilité et leur notoriété.

 

     Par exemple, les datations de fossiles devenues ubuesques, le transformisme ou théorie évolutionniste faisant fi des expériences scientifiques les contredisant, et le Big Bang qui a de plus en plus de plomb dans l’aile mais dont il faut, à tous prix, sauver la mission idéologique en lui fournissant deux béquilles : la « matière noire » et « l’énergie noire ». Ces fausses théories généreront une conception erronée de l’homme, de la morale, du monde, de la société et de l’organisation sociale aux conséquences dramatiques. Malheur aux vrais scientifiques qui ne veulent pas s’inscrire dans la ligne officielle, mais s’appuyer uniquement sur ce qui constitue et mérite le nom de vraie science : les faits ! Pour ceux-là, crédits bloqués pour leurs recherches, leurs articles refusés dans les grandes revues scientifiques, ou carrément écartés. Les débats scientifiques se font sans eux. On discute entre soi. Telle est la science moderne attachée aux théories et aux hypothèses présentées et enseignées comme s’il s’agissait de vérités.

 

LE TOTALITARISME AU BOUT DE LA LAÏCITE REVOLUTIONNAIRE

 

     Ce totalitarisme est déjà perceptible dans l’enseignement dispensé et imposé, dans le politiquement et le religieusement correct et dans le développement de l’idéologie mondialiste qui pénètre toutes les sphères décisionnelles de la société. La laïcité révolutionnaire tout comme le communisme et l’islamisme sont issus d’une mystique infernale qui veut éliminer toute religion qui se pose contre eux, par l’absorption du spirituel dans le temporel ou du temporel dans le spirituel avec, pour aboutissement, soit le totalitarisme démocratique propagé par les divers libéralismes que sont le socialisme, le communisme et la laïcité judéo-maçonnique, soit le totalitarisme théocratique avec l’Islam. On ne s’étonnera donc pas des collusions politiques et géopolitiques qui peuvent exister entre ces fausses religions compte tenu de la parenté mystique qui les inspire.

 

     Il n’y a pas d’avenir pour la laïcité révolutionnaire inspirée par l’enfer, et propagée par ses serviteurs judéo-maçons qui sévissent dans les différents partis politiques, au sein même des gouvernements successifs et pour ceux qui la soutiennent, sinon de créer toujours plus de confusion, de désordres et de tragédies. Jésus-Christ est, et demeure, le vrai et légitime Roi de notre patrie, ce qui fut rappelé au roi Charles VII par Jeanne d’Arc. Quant au souverain régnant, son lieutenant (le tenant lieu) il se doit de ne jamais l’oublier. Dans l’ordre temporel, la volonté de Notre-Seigneur pour la France est qu’elle soit un royaume chrétien comme il l’a enseigné à Sainte Marguerite-Marie Alacoque, en 1689, lui affirmant « Je régnerai malgré mes ennemis » et en Lui manifestant le désir d’être peint sur les étendards de Louis XIV et gravé sur ses armes pour triompher des ennemis de l’Eglise, dont le roi de France doit être le protecteur temporel.  

 

     Un siècle plus tard, malgré les mises en garde, les demandes de Jésus-Christ n’étant toujours pas satisfaites, la France chrétienne et monarchique fut renversée par ses ennemis qui complotaient sa ruine dans les salons philosophiques : les meneurs révolutionnaires de 1789. Depuis lors, elle en subit les conséquences désastreuses dans les domaines éducatifs, moraux, sociaux et politiques, en guise d’expiation de ses péchés et iniquités. L’œuvre de restauration et de résurrection de la France chrétienne et monarchique sera accomplie par le Grand Monarque et le Saint Pape. La profondeur du mal est telle dans la société française que ce sera une œuvre miraculeuse - pour qu’aucun homme ne puisse se glorifier - l’œuvre de Dieu, lorsque tout semblera perdu, comme celle de la résurrection de Lazare qui était dans le tombeau depuis quatre jours et qui sentait déjà (St Jean XI, 39)

 

     Cette œuvre miraculeuse de Dieu ne sera pas celle des compromissions, des pétitions pour telle ou telle personne, des sondages, des  manifs et des révolutions en tous genres, y compris la Révolution numérique proposée par le produit marketing qu’est l’illuminé Emmanuel Macron parachuté depuis chez Rothschild comme socialiste mondialiste « En Marche ! » vers le nouveau bonheur de la robotique et de l’uberisation, ni celle des changements numérologiques de République, ni celle des ectoplasmes gouvernementaux estampillés laïques - bêlant pathétiquement leur amour du nœud coulant qu’est la laïcité révolutionnaire qui les étrangle de plus en plus - parvenus au pouvoir avec ou sans primaire à droite ou à gauche, et jugés aptes à compétitionner après passage obligatoire par le filtre électorale judéo-maçonnique et leurs chevaliers servants et complices sans vergogne : les grands média subventionnés avec l’argent de nos impôts pour désinformer sur l’essentiel.

 

(A suivre, si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1 et 2) Deux publications sur ces paroles de Jésus-Christ sont prévues par la suite, si Dieu veut.

 

(3) Ces massacreurs qui manifestèrent, par leurs actes ignobles, jusqu’à quel niveau de barbarie sont capables de descendre des hommes fanatisés par une idéologie de haine contre la religion catholique et, dont on sent déjà, de nos jours, l’odeur abject et la pratique nauséabonde manifestés par l’adoption de certaines lois criminelles qui ne reçoivent leur caractère de civilisées qu’à l’aune de la pourriture de l’esprit et des artifices de langage de ceux qui les promeuvent. Cette Barbarie révolutionnaire à l’encontre d’enfants, de femmes et de vieillards français qui, une fois retirée de dessous la chape de plomb du silence et de l’oubli volontaires, n’a rien à envier aux atrocités islamistes. Un exemple parmi d’autres : En 1794, le massacre des Lucs-sur-Boulogne, en Vendée, de 110 enfants de moins de 7 ans (sans doute de dangereux terroristes) par les Colonnes infernales révolutionnaires sous les ordres du général Cordellier, et ordonné par le général-en-chef Turreau.

 

MERCI A CEUX QUI VOUDRONT BIEN ENVOYER CET ARTICLE

A LEURS AMIS ET CONNAISSANCES POLITIQUES OU PAS.

 

René Pellegrini


Mis sur un autre blogue le 15 février 2017

vendredi 26 août 2022

Quelle attitude en temps de persécution et de privation de sacrements ? - 5 : La lettre de Monseigneur de Marboeuf


QUELLE ATTITUDE EN TEMPS DE PERSECUTION
     ET DE PRIVATION DE SACREMENTS ? – 5
  
LA LETTRE DE MONSEIGNEUR DE MARBOEUF

Monseigneur de Marboeuf, archevêque légitime de Lyon, écrivait, du fond de l’exil aux fidèles de son diocèse, au sujet de la privation des secours religieux.

Basse Saxe, le 6 décembre 1796

« Mes très chers frères,

     Si le malheur des temps vous prive d’assister au saint sacrifice de la messe et de participer aussi souvent que vous le désirez aux saints mystères, ne craignez point et ne vous découragez point pour cela ; vous n’y perdrez rien.

     Dieu verra avec complaisance que, malgré ces privations, vous conservez dans votre cœur la confiance et la fidélité que vous Lui devez ; Il entendra vos prières domestiques et les vœux que vous formerez pour le rétablissement de son culte ; il en sera touché et, en attendant les moments marqués par sa sagesse pour faire luire sur nous des jours plus sereins, Lui-même vous tiendra lieu de pasteur, de guide, de soutien ; Il répandra dans vos âmes une mesure abondante de grâces, de force, de constance pour vous mettre en état de résister à toutes les tentations de l’ennemi, et, dans le temps de la plus grande disette des secours extérieurs de la religion, IL vous fera recueillir intérieurement des trésors de bénédiction.

     Demeurez donc sans inquiétude dans la bergerie d’un si bon maître ; invoquez-Le avec confiance dans toutes vos nécessités et soyez certains que la nourriture spirituelle dont vous pouvez avoir besoin, en telle situation que vous vous trouviez, ne vous manquera jamais. Vous la recevrez immédiatement de la main de Dieu, lorsque le malheur des temps vous privera de l’usage des moyens qu’IL a établis pour être les canaux de sa grâce. »

 

René Pellegrini

 

 

jeudi 25 août 2022

L'obéissance de Zachée

L’OBEISSANCE DE ZACHEE

 

« Zachée, descends vite, parce qu’aujourd’hui il faut que je loge dans ta maison ! Et il descendit à la hâte, et il le reçut avec joie. » (St Luc XIX, 5)

     Jésus appelle Zachée par son nom, lui montrant que c’est lui qui nomme toutes choses par leur nom et qui connaît toutes choses et qu’il est Dieu. Car Zachée ne l’avait jamais vu, ni Notre-Seigneur Zachée…et il lui demande d’être reçu dans sa maison ; et non seulement d’être reçu, mais qu’il se dépêche : et Zachée obéit aussitôt.

     C’est ici qu’il nous faut apprendre notre leçon : car il y en a plusieurs qui voudraient bien se ranger à servir Dieu, mais ils y vont si lâchement que pour cela seul ils sont répréhensibles…Ils font comme ces invités, avec un monde d’excuses ; ils font comme ces vierges folles : « donnez-nous de votre huile ! » (St Matthieu XXV, 1-13) Hélas, il est trop tard…

     Ainsi, trop tard est-il de penser bien faire, quand le temps de la mort est venu, quand le soleil est couché pour nous sans jamais se relever…

 

(Saint François de Sales)

René Pellegrini

mercredi 24 août 2022

Ave Maria d'or de Sainte Gertrude


AVE MARIA D’OR DE SAINTE GERTRUDE

 

Je Vous salue, ô lis éclatant de blancheur, lis de la touchante et immuable Trinité !


Je Vous salue, Rose brillante du jardin des célestes délices.


O Vous de qui le Roi des cieux a voulu naître et dont Il a voulu recevoir le lait 


virginal, secourez-moi, pauvre pécheur, maintenant et à l’heure de ma mort.

 

NOTA BENE :

 

La très Sainte Vierge a promis à Sainte Gertrude que ceux qui la salueraient ainsi pendant leur vie, recevraient des grâces de choix et seraient consolés par sa visite, au moment de leur mort.

 

(Révélation, livre III, chapitre XIX)

René Pellegrini

mardi 23 août 2022

L'étendue de la Royauté du Christ


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 18

 

L’ETENDUE DE LA ROYAUTE DU CHRIST

 

    Cette royauté de Jésus-Christ, pour le bien des peuples, doit s’étendre sur tous les individus et toutes les collectivités car souligne le Pape Pie XII :

 

« Le bien privé et le bien commun ont la même source»

 

     Etant issus d’une même source, ces deux biens ne sauraient être pleinement  et durablement procurés sans une reconnaissance et une soumission des nations à la royauté de Jésus-Christ. Et de justifier cet empire qu’exerce Notre-Seigneur non moins que cette affirmation de source unique du bien, ainsi que du salut, par un texte de la Sainte Ecriture : celui de la respectueuse mais ferme et courageuse réponse de Saint Pierre au Sanhédrin concernant Jésus.

 

« C’est lui seul qui est la pierre rejetée par vous les constructeurs, et qui est devenue la pierre de l’angle, et il n’y a de salut en aucun autre : car aucun autre nom sous le ciel n’a été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes IV, 12-13)

 

    De nos jours, les bâtisseurs de sociétés antichrétiennes que sont les Juifs, leurs prosélytes francs-maçons et tous ceux qui collaborent avec eux, rejettent toujours cette « pierre d’angle » la pierre principale pour retenir l’édifice. Autant dire que leur construction politique et sociale s’appuyant sur les promesses d’idéologies telles que le socialisme, le marxisme, un capitalisme sans âme, le libéralisme économique faisant des travailleurs des objets jetables comme des kleenex, le mondialisme ou le « vivre ensemble » sont inaptes, non seulement, à assurer le bien privé (de plus en plus attaqué et taxé) mais aussi le bien commun temporel et, bien moins encore, le salut des âmes. Ces différents types de constructions sociales judéo-maçonniques négateurs du « seul nom par lequel nous devions nous être sauvés » ne peuvent que, tour à tour, s’effondrer finalement dans un chaos mondial, connaître le même sort que l’antique Tour de Babel avant de laisser la place, pour un peu de temps, au gouvernement de l’Antéchrist auquel travaillent les Juifs - tout en croyant œuvrer pour la venue du Messie déjà venu il y a deux mille ans - et leurs collaborateurs.

 

     L’Eglise, à temps et à contretemps, ne peut, sans trahir sa mission salvatrice, taire la suprématie de Notre-Seigneur et l’obligation dans laquelle se trouvent tous les hommes de s’y soumettre pour assurer leur salut. Eu égard à cette puissance exercée par le Christ, le Saint Père détenteur du pouvoir spirituel, non moins que le temporel qui lui est subordonné (1) se doit de rappeler et d’exhorter les autorités de ce monde, à ne pas refuser de s’acquitter de leurs devoirs à l’égard de Dieu. Aujourd’hui, comment l’Eglise conciliaire prise par le délire œcuménique pourrait-elle, son trahir sa vocation, accomplir sa mission salvatrice en faisant un rappel équivalant et de même portée que celui de Pie Saint Pierre (ci-dessus) ou de Pie XI, ci-dessous, sans froisser les autorités juives, musulmanes qui rejettent le Fils de Dieu et sa dignité royale, et aussi les chefs de toutes les autres fausses religions ? L’œcuménisme, malheureusement, tel qu’il a été conçu par le Concile Vatican II, découronne Notre-Seigneur, le Rois des rois, comme le montre la déposition par Paul VI de la tiare pontificale représentant les trois pouvoirs de Jésus-Christ (exécutif, judiciaire, législatif) 

 

« Que les chefs des nations ne refusent donc pas de rendre par eux-mêmes et par le peuple à la puissance du Christ leurs hommages publics de respect et d’obéissance, s’ils veulent, en sauvegardant leur autorité, promouvoir et accroître la prospérité de la patrie ! »

 

     La situation actuelle des nations occidentales et chrétiennes et de ceux qui les pilotent vautrés qu’ils sont, par la déchristianisation et la judaïsation de leur esprit dans le naturalisme qui les paganisent de plus en plus, est révélatrice de la surdité des hommes d’Etat et de ceux qui les suivent. Les conséquences d’une telle attitude, poursuivie avec pertinacité, sont lourdes de conséquences et affectent directement les gouvernants eux-mêmes dans « la sauvegarde de leur autorité » non moins que la nation concernant « la prospérité de la patrie »

 

     Ainsi, cet irrespect et ce refus d’obéissance envers Dieu par les chefs des nations et les diverses autorités, se répercutant dans les peuples, conduisent inexorablement vers l’anarchie sociale et le paupérisme national, la reprise en main expiatrice par la dictature ou la tyrannie, avant l’heure fixée par Dieu pour restituer la souveraineté à qui de droit.

 

« A suivre… « Les obligations du pouvoir civil »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini  

 

- C’est moi qui mets en gras dans l’extrait du Pape.

 

(1) La finalité de notre pouvoir temporel républicain vautré dans sa laïcité révolutionnaire et sa revendication d’un athéisme d’Etat est, de plus en plus et visiblement, la damnation du plus grand nombre par une législation fauteuse d’insanités morales et méprisante des lois divines. A l’opposé, la finalité d’un pouvoir temporel digne de ce nom étant la vie vertueuse du plus grand nombre, il ne peut atteindre cette fin qu’en étant subordonné au pouvoir spirituel, lequel se doit de juger la moralité de ses actes. Cette subordination n’exclut pas, afin d’éviter tout cléricalisme, une juste autonomie de ce pouvoir temporel pour le choix des moyens dans la mesure où ils sont conformes à la morale.

lundi 22 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 5 : Après l'antisémitisme, l'antijudaïsme hors-la-loi ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 5

 

LA RELIGION JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE

 

APRES L’ANTISEMITISME, L’ANTIJUDAÏSME HORS-LA-LOI ?

 

     Ce qui suit et mis uniquement « entre guillemets » est la réflexion imaginaire d’un Juif sur la question de l’antijudaïsme :   

     « Comment faire pour empêcher que ne fuse de différents côtés ce qui est de nature à faire s’écrouler, ou s’amoindrir considérablement  tout ce qui depuis la bienvenue Révolution de 1789, et les autres - dont nous ne sommes pas étrangers puisque l’esprit de révolte et de sédition est une de nos caractéristiques - a grandement favorisé nos intérêts et permis, jusqu’à nos jours, de façonner une certaine image du Juif en tant que peuple, et de saper les fondements du christianisme et des sociétés chrétiennes en les ayant ébranlés auparavant avec la Renaissance et la Réforme protestante, dont nous ne sommes pas étrangers non plus, et ensuite minés de l’intérieur. » (1)

     Je conçois que du côté juif la question est sérieuse et qu’une réponse s’impose car les implications sont considérables : aussi bien politiquement que religieusement. Puisqu’au-delà de la question des victimes de ceux qui ont beaucoup souffert et qu’il faut promouvoir, sans se lasser, se joue dans les coulisses la question de la domination du monde, et celle du sionisme dans son rôle de tête de pont destiné à créer les conditions favorisant la mise en place progressive d’une gouvernance et d’une religion mondiales sous domination juive : ce à quoi servent aussi l’œcuménisme frelaté de Vatican II, le pandémonium d’Assise 1986 et tous ceux qui ont suivi et qui le perpétuent.

     « Comment faire ? Eh bien, l’antisémitisme que nous avons créé au XIXe siècle nous ayant bien servi en mettant des obstacles de plus en plus contraignants, pour qu’on ne fouille pas trop dans notre passé historique et religieux, il faut en faire autant avec l’antijudaïsme. Nous savons bien, sauf à vouloir tendancieusement forcer le sens des mots, qu’il n’a rien à voir avec l’antisémitisme mais, comme nous les avons bien abrutis avec les média, et nos frères temporaires, par la propagande sur l’antisémitisme que nous avons orchestré, avec l’aide de ces organismes d’information de masse qui sont entre nos mains, continuons sans discontinuer cet abrutissement, en discréditant et stigmatisant l’antijudaïsme, en leur répétant sans cesse que c’est de l’antisémitisme. »

     « Ces organismes que nous avons acquis pour façonner l’opinion publique battront la grosse caisse, et nous attirerons à nos vues suffisamment de couillons et d’opportunistes non-Juifs pour nous aider dans ce travail, comme nous l’avons toujours fait en politique. Avec nos amis temporaires Francs-maçons de toutes les obédiences, nous avons très bien réussi avec le divorce, l’avortement, la contraception, le Pacs, la copulation homosexuelle, etc. Il suffira de marteler continuellement le mot « antijudaïsme » comme équivalent d’antisémitisme et, abrutis comme ils sont, ils avaleront la chose. C’est d’ailleurs la technique que nous avons toujours utilisée pour déchristianiser ce pays et les autres. Vous n’avez pas idée de tout ce qu’on peut faire lorsqu’on contrôle les moyens d’influence que sont les média et les ‘’prostitué(e)s’’ qui les servent. »

     Ce qui, bien entendu, serait la fabrication d’un nouveau gros mensonge, d’une nouvelle imposture, après la foutaise du suffrage universel des éternels cocus contents et consentants, et celle des causes humaines du réchauffement climatique (2), et pourquoi pas des chutes de météorites sur la terre, ou des pets malodorants non contrôlés.

     Soyons clairs ! Comme je l’ai déjà dit, et je le répète pour les faux durs de la feuille, l’antisémitisme est absurde et illégitime, car on ne choisit pas sa race, son ethnie, pas plus que son père et sa mère et, aujourd’hui, le délabrement mental aidant, ses deux faux papas ou mamans de la France démocratique des pédérastes et des lesbiennes, en attendant les familles à partenaires multiples, car il n’y a plus de limite à la perversité lorsque le cerveau est devenu une fosse à purin, à la gloire de l’obscurantisme de la déesse Raison et ses fausses ‘’Lumières’’ qui ne furent, en réalité, que l’annonce de la plongée vertigineuse de la raison déifiée dans des ténèbres moraux, intellectuelles et philosophiques de plus en plus épaisses, et même jusqu’en-dessous du paganisme, comme le montre l’état actuel de nos sociétés qui appellent bien ce qui est mal, et mal ce qui est bien (Isaïe V, 20).

LEGITIMITE DE L’ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE

     Cependant, dans une civilisation de culture chrétienne (3), il est parfaitement légitime de combattre l’idéologie religieuse et politique que véhicule le judaïsme rabbinique, qu’il soit moderniste, progressiste ou talmudiste. Cette idéologie qui lui inocule des conceptions morales, sociales et politiques qui lui sont totalement antagonistes et étrangères, au même titre que celles véhiculées par l’islam et ses stratégies variées de conquête. Ce combat c’est Jésus lui-même qui l’a inauguré quand il lança à la face des représentants du peuple juif qui cherchaient des prétextes pour le faire mourir, ces paroles qui servent d’exemple pour indiquer sur quel fondement, ou sur quelle paternité, ne pourra jamais reposer une véritable doctrine et unité œcuménique :

« Vous faites les œuvres de votre père (…) Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été homicide dès le commencement. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car Il est menteur, et père du mensonge (…) Vous n’écoutez point, parce que vous vous n’êtes pas de Dieu. » (St Jean VIII, 41-47)

     Par ces propos Jésus démasque les œuvres, les influences, Les désirs meurtriers et les propos mensongers de vos pères spirituels qui « au dehors paraissent beaux aux hommes » mais qui « au dedans, sans pleins d’ossements de morts, et de toute sorte de pourriture (…) pleins d’hypocrisie et d’iniquité » (St Matthieu XXIII, 27-28) en situant leur origine « vous avez le diable pour père ». Pourquoi un tel comportement ? Jésus vient de nous le dire « Parce que vous n’êtes pas de Dieu ». Et Notre-Seigneur dit : « homicide ». Il sait de quoi il parle, sachant les mobiles qui animaient, à son égard, ces fifrelins de l’enfer déguisés en disciples de Moïse et serviteurs de Yahvé. En suivant leurs enseignements vous ne pouvez que leur ressembler et perpétuer leurs œuvres iniques directement, ou indirectement, par sectes ou sociétés secrètes sous votre contrôle.

     L’histoire, lorsqu’elle n’est pas occultée par vos historiens et journalistes complaisants, et vos supplétifs avides de carrière, de titre honorifique et de notoriété, témoigne amplement de ces mêmes œuvres, influences, désirs et mensonges, depuis l’origine du christianisme, contre l’Eglise naissante qui, de tous temps, a dû se défendre contre les Juifs. Non par haine ! Non par antisémitisme ! Mais, connaissant vos agissements, pour se protéger et, par là-même, protéger les chrétiens de vos manigances, voire de vos exactions, celles-ci de plus en plus visibles aujourd’hui. Comment pourrait-il en être autrement quand vous êtes nourris par l’enseignement de rabbins s’abreuvant à des pères spirituels ayant « le diable pour Père » ce que confirme vos propres actions néfastes dans le monde, et ce dont témoignent vos propres livres ?

     Ne soyons pas dupes. Ce mot d’antijudaïsme, dans l’intention juive, serait absolument diabolique car elle constituerait une arme fabriquée et utilisée pour accuser les Catholiques, et les empêcher de se défendre contre eux, contre les atteintes répétées qu’ils portent à la civilisation chrétienne et à sa morale. Ces ouvriers d’iniquité, au service de l’enfer, jaloux comme le diable, mettraient ainsi tout en œuvre pour continuer la déchristianisation de la France, sans véritable opposition religieuse et politique, et tenter de briser l’alliance qu’elle a conclu avec Dieu, il y a plus de 15 siècles. Mais, se défendre contre les Juifs, ne signifie pas, n’a jamais signifié et ne signifiera jamais, avoir de la haine contre eux, sauf à avoir l’esprit tordu et, pour certains, il l’est passablement.

DEMISSION DES AUTORITES RELIGIEUSES ET POLITIQUES CATHOLIQUES

     L’Eglise conciliaire et les Etats catholiques lorsqu’il y en avait encore se sont couchés, à leur grande honte, devant les enseignements et les influences véhiculés dans les sociétés chrétiennes par vos rabbins et vos philosophes de toutes tendances, contrairement à Jésus-Christ dont ils se prétendent les successeurs, les disciples et les défenseurs. Cette Eglise moderniste piétine le comportement des apôtres, des martyrs, des Pères de l’Eglise, tels St Augustin, St Jean Chrysostome, St Jérôme, etc., qui protégeaient les chrétiens contre vos influences néfastes. Cette Eglise se comporte, en ces temps de séduction, non plus comme protectrice de l’héritage reçu pour le bien spirituel et temporel du troupeau, mais comme mercenaire et supplétive de ses ennemis.

     Elle ne rend pas service aux chrétiens en entrant dans cette alliance ténébreuse et satanique qui consiste à culpabiliser et à flageller continuellement l’Eglise, tout comme nos hommes politiques, agenouillés devant les Juifs et les francs-maçons, ne cessent de culpabiliser et de flageller la France : Haro ! sur ces deux piliers de la civilisation chrétienne. Les autres, bien entendu, auréolés d’une histoire toute lisse, toute immaculée et suintante de pureté. Tartuffes ! Vous feriez-mieux de vous flageller vous-mêmes, vu les dégâts que vous avez déjà fait à ces deux piliers en hurlant, comme des imbéciles, avec des loups qui ne pensent qu’à déchirer et à détruire.

     Oui, les vrais chrétiens, sont en bonne compagnie en imitant le Christ, les apôtres, les martyrs, les Pères de l’Eglise et ceux qui, tout au long des siècles, les ont suivis dans l’antijudaïsme rabbinique et n’ont pas cessé de les mettre en garde et de les protéger contre les successeurs des Juifs déicides. Nous n’avons pas honte de ces prédécesseurs et nous les revendiquons. Bas les masques ! Si Jésus l’a inauguré et ses successeurs l’ont poursuivi, c’est parce qu’ils connaissaient la nocivité du judaïsme rabbinique pour les âmes, les ayant vus à l’œuvre dans leurs enseignements et leurs pratiques.

     Honte à ceux qui baissent les armes du combat de la foi et de la vérité sans laquelle il n’y a pas de véritable charité – mais sa caricature - et qui coopèrent avec les ennemis de Notre-Seigneur tout en l’assurant hypocritement de leur amour ! Cette Eglise conciliaire gangrenée par les francs-maçons et les fausses conversions juives, et plus propagandiste de leurs principes des droits de l’homme (4) que des droits de Dieu et, ce faisant, collaborant diaboliquement à l’abaissement et à la destruction du christianisme, de la civilisation chrétienne et de la France. Hormis le péché, rien de commun avec ces gens-là !

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) En effet, la Révolution n’est rien d’autre que la mise en œuvre, au plan politique, de l’action de la Synagogue infidèle et apostate pour détruire l’Eglise catholique et la civilisation chrétienne.

(2) Ne pas confondre avec la pollution, ni avec la température qui s’interprète sur des périodes courtes (la météo ne voit pas au-delà d’une semaine), alors que le climat s’étudie et s’interprète objectivement sur des périodes longues, voire très longues.

(3) Je dis chrétienne, et non judéo-chrétienne comme cela se dit fréquemment et à tort, à mon sens. Pourquoi ? Parce que, comme déjà dit, le judaïsme des rabbins du temps de Jésus n’a plus rien à voir avec l’esprit de Moïse. Cet esprit fut corrompu par la tradition rabbinique. « Ainsi, vous avez annulé le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8). Ces traditions ayant été importées de Babylone, la religion de Moïse fut ensuite défigurée par les fables, les turpitudes et les invraisemblances du Talmud. Aujourd’hui, les Juifs kabbalistes, talmudistes, orthodoxes ou modernistes, qu’elle que soit leur prétention, sont des apostats par rapport à la religion et à l’esprit de Moïse, et des antichrists (ne pas confondre avec Antéchrist) par rapport à celle du Messie ou Christ.

(4) Les droits de l’homme seront vraiment appliqués et respectés lorsque les dirigeants veilleront à rappeler (à temps et à contretemps), à faire appliquer et respecter les droits de Dieu, et non en les bafouant et faisant silence sur eux, ou encore en se défilant hypocritement lorsqu’il s’agit de les rappeler. N’est-ce pas M. Bergoglio (dit ‘’pape’’ François devant l’Eternel) ? En dehors de cela, cessez de vous faire des illusions, car derrière la propagation du refus et l’irrespect des droits de Dieu, et l’imposture du suffrage universel, ce sont l’anarchie, la barbarie et la tyrannie qui s’annoncent. La pantalonnade des prières œcuméniques n’y changera rien sinon à apporter à chaque occasion un cinglant désaveu à ces outrages répétés à la Majesté divine.

 

Mis sur un autre blogue le 2 mai 2018

dimanche 21 août 2022

Le libéralisme est un péché - 3


Pie IX (1792-1878) Pape de 1846 à 1878, antilibéral. On lui doit l’Encyclique Quanta Cura et Le Syllabus condamnant : le naturalisme, le libéralisme, le panthéisme, le rationalisme, l’indifférentisme, le socialisme, le communisme, les sociétés secrètes, les sociétés bibliques, les sociétés clérico-libérales, etc.

ANTILIBERALISME – 3 

LE LIBERALISME EST UN PECHE - 3

 

II - Dans l’ordre des faits ou dans sa pratique :

     1 -Le libéralisme est un ensemble de faits criminels, conséquences pratiques de ses idées, avec ses maximes, ses modes, ses arts, sa littérature, ses lois, et, selon les époques, des œuvres inspirées et réglées par des principes tels que :

     - L’expulsion et la spoliation des ordres religieux 

     - La corruption et l’enseignement de l’erreur publiquement autorisés que ce soit dans les divertissements, dans les mœurs, dans la presse et les média. 

     - La guerre systématique au catholicisme, à savoir aux catholiques autrefois stigmatisés sous les noms d’ultramontains, cléricaux, réactionnaires…et, aujourd’hui, au catholicisme traditionnel ciblé et stigmatisé du nom ''d’intégriste'' (1) dans l’intention, dans un premier temps, de le rendre odieux, par amalgame, et de créer un climat réprobateur à son encontre. Ensuite, probablement, car instruits que nous sommes depuis l’origine du christianisme jusqu’à nos jours, par les méthodes des ennemis du Christ et du catholicisme, et connaissant leur ''très haut degré de moralité'' déjà bien attesté présentement, je peux penser qu’ils trouveront bien quelques Judas, ou un quelconque Néron, pour les mettre définitivement au ban de la société, en leur attribuant un ou plusieurs crime(s) – religieux ou politique(s) (2) - ou en légalisant, à dessein, des pratiques sociales ou religieuses violant délibérément les lois divines et en les imposant, au mépris des consciences, sous peine de délits passibles des tribunaux (suivez mon regard). Devant de telles bassesses et iniquités, il faut faire siennes les paroles de Saint Pierre et des apôtres sommés par les autorités juives de désobéir à l’ordre de Notre-Seigneur d’enseigner le peuple, en leur intimant de cesser d’enseigner au nom de Jésus. Dans ces circonstances, ils répondirent :

« Il faut plutôt obéir à Dieu qu’aux hommes ». (Actes V, 29)

     Pour sa part, le catholicisme dit conciliaire, traître au dépôt de la foi laissé par ses Prédécesseurs, déguisé en catholicisme officiel, imbu, pénétré, gangrené d’idéaux judéo-maçonniques (de Kabbale, c’est-à-dire la forme juive de la gnose, et de gnose) saupoudrés d’Evangile, et envahi par le dissolvant délire charismatique catholique ou Pentecôtisme luciférien de lEglise '' toute d’amour '' dite Eglise de Saint Jean. Ce délire illuministe devant, dans l’optique illuministe pentecôtiste et charismatique, se substituer à l’Eglise dite autoritaire de Saint Pierre. Je sais, cela ne fera pas plaisir à certaines personnes et me fera sans doute perdre des lecteurs mais les choses et les êtres ne sont que ce qu’ils sont et rien d’autre, sauf changement de forme ou conversion.

     Que mon lecteur récalcitrant prenne le temps de la réflexion avant de tout jeter à la poubelle et d’examiner les faits intervenus et connus de tous, depuis le Concile Vatican II, en commençant par poser le principe de contradiction, car là où il y a contradiction avec la Sainte Ecriture ou le Magistère de l’Eglise, il y a erreur. Ce principe est le premier principe de la logique majeure dont tous les autres principes dépendent. Il se présente ainsi :« Une même chose ne peut pas être à la fois niée et affirmée du même sujet sous le même rapport » Exemple : Je ne peux pas dire que l’eau est chaude et froide à la fois sous le rapport de la température. Je ne peux le dire que sous un autre rapport, celui du temps ou de la durée.

     Au stade actuel, l’orientation spirituelle de l’Eglise conciliaire ne représente plus un réel danger pour la Secte libérale, mondialiste et dictatoriale mais, trouve en elle, et en elle seule, dans ce qui porte encore le nom de Catholique, la caution et le soutien religieux nécessaires pour la construction de son Nouvel Ordre Mondial, cette tour de Babel des temps modernes et, à terme, si Dieu le permet en guise de châtiment pour l’apostasie des nations, sa religion luciférienne universelle déjà mise en branle par le délire charismatique catholique d’origine protestante.

     2 - Le libéralisme est donc un péché contre tous les commandements de Dieu et de l’Eglise, parce qu’il les transgresse tous. Il est la transgression universelle et radicale de la loi divine car il autorise toutes les infractions. 

     3 - Le libéralisme est l’immoralité radicale : 

     - en détruisant la règle fondamentale de toute moralité : la raison éternelle de Dieu s’imposant à la raison humaine.  

     - en consacrant le principe absurde de la morale indépendante qui n’est autre que la morale sans loi, la morale libre, c’est-à-dire la morale sans morale puisque l’idée de morale implique non seulement l’idée de direction, mais possède essentiellement celle de frein et de limite.  

     - en validant, dans tout son développement historique, l’infraction de tous les commandements de Dieu. 

(A suivre… « Le libéralisme est un péché – 4 »…si Dieu veut)

René Pellegrini

(1) C’est grotesque d’être médiatisé sous le nom volontiers méprisant d’intégriste, en défendant par fidélité aux lois de Dieu et de l’Eglise leurs enseignements moraux et sociaux lorsque, de manière disproportionnée et néfaste par rapport aux dramatiques conséquences et retombées humaines et sociales, on se veut intégriste et propagandiste forcenés et endiablés de ces contenus négationnistes et terriblement destructeurs de tout ordre familial et social que sont, le libéralisme, la laïcité révolutionnaire et les Droits de l’homme - surtout sans Dieu - avec la panoplie des pestilences morales et sociales issues de ces principes ayant germés dans des cerveaux en état de putréfaction avancée et tout à la gloire du père du mensonge qu’est Satan.

(2) Qu’il soit bien clair que de telles accusations seraient mensongères et iniques pour ce qui me concerne, car mon christianisme n’est pas de déambuler dans la rue le poing levé vers le ciel, de comploter pour renverser l’Etat, ni d’appeler le peuple à la révolte ; mais de rester sagement à l’écart de ces tumultes et désordres récurrents dont le souffle de l’enfer n’est que trop présent ; non par crainte, non par pusillanimité mais parce que la pourriture morale des illuminés qui dirigent la France et la masse énorme des péchés du peuple est telle que désormais la solution se situe au niveau surnaturel, certainement pas au niveau humaniste et naturaliste - voulu par la judéo-maçonnerie et leurs agents révolutionnaires - et vraie cause des problèmes, de leur continuation avec leurs malheurs présents et futurs de la société. Ces accusations seraient encore mensongères et iniques parce que Trotski, Lénine, Staline ces grands massacreurs de l’histoire, et un gourou du mondialisme tel que M. Attali le caméléon, le génocidaire prédicateur de pandémie, d’avortement, de suicide et d’euthanasie et ceux qui leur ressemblent, ne sont en aucun cas mes maîtres et guides idéologiques et spirituels. Mon Maître et mon exemple à imiter - autant que la faiblesse humaine le permet - c’est Jésus-Christ et, entre tous ces terroristes psychopathes et Celui-ci, il y a un véritable abîme en actes et en paroles.

 

Mis sur un autre blogue le 5 septembre 2013

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...