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dimanche 6 novembre 2022

Tuus sum ego (Je suis à vous)


Monseigneur Louis-Edouard Pie, évêque de Poitiers (1815-1880)

TUUS SUM EGO (JE SUIS A VOUS)

 

     Le Cardinal Pie aimait la Vierge Marie : il avait choisi pour son blason Notre-Dame de Chartres, avec cette devise :

 

     Lors de son sacre il déclara :

 

« Si le nom du Roi, mon Maître, est outragé, si le drapeau de son Fils Jésus n’est pas respecté, si les droits de son Eglise et de son sacerdoce sont méconnus, si l’intégrité de sa doctrine est menacée, je suis évêque ; donc, je parlerai, j’élèverai la voix, je tiendrai haut et ferme l’étendard de la vérité, l’étendard de la foi, l’étendard de mon Dieu…La paix, oui, sans nul doute, c’est le désir ardent de mon cœur, c’est le besoin de ma nature, c’est l’inclination marquée de mon caractère. Mais l’Esprit Saint m’a enseigné que l’amour de la vérité doit passer avant tout autre amour, même avant l’amour de la paix : veritas tantum et pacem diligere » (N’aime que la vérité et la paix).

« Mes très chers frères., demandons aujourd’hui, et pour nous, et pour tous ceux qui nous sont chers, demandons à Marie Immaculée qu’elle nous obtienne le don de la fidélité à Dieu, et celui de la pureté persévérante de notre cœur, comme de nos sens ».

Mgr Pie

COMMENTAIRE PERSONNEL :

     Je souscris totalement à ces paroles. Combien sont-ils, aujourd’hui, les évêques et autres ecclésiastiques à manifester un tel état d’esprit, une telle détermination, alors que les outrages envers Jésus, son Eglise, ses droits, sa doctrine, son sacerdoce sont beaucoup plus régulièrement offensés qu’à l’époque de Mgr Pie ? Oui, combien sont-ils ? Ils sont surtout bien silencieux et davantage propagandistes des droits de l’homme ! Les Catholiques français seraient-ils en droit de vous dire, en paraphrasant les propos de Sainte Jeanne d’Arc à l’évêque Cauchon « Evêques et membres du clergé c’est par vous que la France et notre foi se meurent ! »

     Pour Mgr Pie, il ne s’agissait pas de paroles de circonstances ou pour faire bien. Il suffit de lire ses œuvres pour s’en rendre compte. Par exemple l’extrait suivant de l’ audience du 15 mars 1859, avec Napoléon III, lui reprochant son manque de courage religieux à propos du règne de Jésus-Christ sur la France :

« Sire, ni la Restauration, ni vous n’avez fait pour Dieu ce qu’il fallait faire parce que, ni l’un ni l’autre, vous n’avez relevé son trône ; parce que, ni l’un ni l’autre, vous n’avez renié les principes de la Révolution dont vous combattez cependant les conséquences pratiques ; parce que l’évangile social dont s’inspire l’Etat est encore la déclaration des droits de l’homme, laquelle n’est rien d’autre chose, Sire, que la négation formelle des droits de Dieu. Or, c’est le droit de Dieu de commander aux Etats comme aux individus. Ce n’est pas pour autre chose que Notre-Seigneur est venu sur la terre. Il doit y régner en inspirant les lois, en sanctifiant les mœurs, en éclairant l’enseignement, en dirigeant les conseils, en réglant les actions des gouvernements comme des gouvernés. Partout où Jésus-Christ n’exerce pas ce règne, il y a désordre et décadence. Or, j’ai le droit de vous dire qu’il ne règne pas parmi nous et que notre Constitution n’est pas, et loin de là, celle d’un Etat chrétien et catholique. Notre droit public établit bien que la religion catholique est celle de la majorité des français ; mais il ajoute que les autres cultes ont droit à une égale protection. N’est-ce pas proclamer que la Constitution protège pareillement l’erreur et la Vérité ? Eh bien, savez-vous, Sire, ce que Jésus-Christ répond aux gouvernements qui se rendent coupables d’une telle contradiction ? Jésus-Christ, Roi du ciel et de la terre leur répond : « Et moi aussi, gouvernements qui vous succédez en vous renversant les uns les autres, moi aussi je vous accorde une égale protection. J’ai accordé cette protection à l’empereur, votre oncle; j’ai accordé la même protection aux Bourbons, la même protection à Louis Philippe, la même protection à la République et à vous aussi, la même protection vous sera accordée ».

     L’empereur Napoléon III arrêta l’évêque de Poitiers : 

« Croyez-vous que l’époque où nous vivons comporte cet état de choses, et que le moment soit venu d’établir ce règne exclusivement religieux que vous me demandez ? Ne pensez-vous pas, Monseigneur, que ce serait déchaîner toutes les mauvaises passions ? » 

     Et la réponse sans équivoque de Mgr Pie :

« Sire, quand de grands politiques comme votre Majesté m’objectent que le moment n’est pas venu, je n’ai qu’à m’incliner, parce que je ne suis pas un grand politique. Mais je suis évêque, et comme évêque je leur réponds : le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner, eh bien, le moment n’est pas venu pour les gouvernements de durer ».

René Pellegrini

 


 

 


 

 

jeudi 27 octobre 2022

Le Nouvel Ordre Mondial - 1 : La Renaissance ou le triomphe du paganisme


      Le mondialisme luciférien reprend à son compte la tentative avortée d’unité mondiale entreprise par Nemrod, suite à l’intervention de Dieu pour y mettre fin et disperser, en 72 nations, les bâtisseurs. Nous savons donc ce qui attend cette Nouvelle Tour de Babel mondialiste et leurs constructeurs en voulant détruire les nations voulues par Dieu.

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL - 1

AVANT-PROPOS :

LA RENAISSANCE OU LE TRIOMPHE DU PAGANISME

     Avant d’aborder l’étude du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M) sous ses aspects politiques et religieux, un avant-propos, sans doute utile, sur la Renaissance qui a enclanché un méthodique et implacable mécanisme qui devait aboutir à la Révolution dite française de 1789, son exportation dans le monde et ses bouleversements sociaux, politiques et religieux créant ainsi, étape par étape, les conditions nécessaires pour une Révolution universelle à vocation tyrannique.

     Cette Révolution française, après l’irrévérencieuse exclusion de Dieu par la constitution révolutionnaire de 1789, amènera la France à s’installer progressivement dans l’apostasie, et à l’officialiser de nouveau, législativement et publiquement, en 1958, par un référendum initié par le ''catholique'' mais Franc-maçon Charles De Gaulle, faisant ainsi de la France une « République laïque » c’est-à-dire étrangère à Dieu, après qu’il ait permis, vers la fin 1943, et pour cause, la restauration en France de la Franc-maçonnerie, ennemie séculaire de l’Eglise catholique avec le judaïsme kabbalistique et rabbinique. Référendum inique avalisé par les Catholiques - très majoritairement démocrates politiquement - après les encouragements donnés par un groupe d’évêques et de cardinaux français félons. 

     Dire que la France est en état d’apostasie religieuse, par son adhésion au naturalisme politique, ne doit plus étonner grand monde, sauf ceux qui font litière de la foi et de ses exigences dans l’analyse religieuse, sociale et politique de la « fille aînée de l’Eglise ». Cette apostasie remonte chronologiquement, dans ses prémisses, à ce qui a été pompeusement appelé la ''Renaissance'' c’est-à-dire un mouvement littéraire, artistique et scientifique fondé sur l’imitation de l’Antiquité et qui naquit à Florence, en Italie, dès la première moitié du « quattrocento » (période s’étendant approximativement de la fin du XIVe au XVe siècle (1), et que le roi François Ier, fasciné par l’Italie, introduisit dans notre pays au début du XVIe siècle.   

     Ce mot de Renaissance, qui ouvrira la voie à la Réforme protestante et à la Révolution de 1789, fut en réalité comme un cri de guerre annonçant une incroyable résurrection du paganisme en terre chrétienne. Cette paganisation de la société française qui a eu, qui a, et qui aura des conséquences ultimes très graves se caractérise par :  

ITrois éléments constitutifs  

     1 – L’élément intellectuel : émancipation de la raison ou rationalisme.  

     2 – L’élément moral        : émancipation de la chair ou sensualisme.  

     3 – L’élément social qui rend le divin et le social identiques en confondant :  

      * La divinité avec telles créatures ou l’ensemble des créatures par la divinisation de la nature ou l’annexion de Dieu à la nature  

      * La religion et les devoirs civiques avec le culte compris dans les fonctions du citoyen. Ce culte des citoyens s’adressant à l’Etat, soit directement, soit à travers une religion officielle.     

IITrois grands caractères spécifiques qui apparaissent lorsque ces éléments constitutifs sont parvenus à leur développement complet :  

     1 - En matière religieuse :  

- L’incroyance parmi les lettrés  

- L’indifférence parmi le peuple qui, du moment qu’il a du pain, des jeux et des plaisirs sensuels en tous genres et à outrance, se satisfait de ces choses considérées comme  la quintessence du bonheur humain.  

- L’indifférence politique en vertu de laquelle toutes les religions sont également bonnes et également mauvaises aux yeux des gouvernements. Postulat de l’indifférentisme religieux que doivent adopter et proclamer nos hypocrites hommes et femmes politiques dits catholiques pour pouvoir faire carrière.    

     2 - En matière sociale :  

     Une civilisation matérielle très avancée, très corrompue et corruptrice parce qu’elle ne pense qu’au bien-être matériel de l’homme et produit deux grands résultats : le luxe scandaleux d’un petit nombre, et la misère toujours plus grande d’un nombre toujours plus important.  

     3 - En matière morale :  

     Une fièvre ardente de l’argent et du plaisir accaparant toutes les préoccupations et qui pousse sinon au mépris de la loi au moins à celui de la morale :     

- la légalisation du divorce, du mariage civil, du concubinage, du Pacs et de la perversion sexuelle masculine et féminine qui s’étale, sans aucune honte, dans toutes les classes sociales, la contraception, le lâche et criminel avortement qui souligne au passage la putréfaction intellectuelle et morale de ses législateurs et souscripteurs qui, s’en prenant à des êtres sans défense, réalisent froidement un odieux massacre des innocents, bénéficiant au surplus du remboursement de la Sécurité Sociale et, comme on n’arrête pas le ‘’progrès’’ (surtout dans la dégénérescence et l’avilissement moral), avec en ligne de mire l’euthanasie (déjà à l’oeuvre), l’eugénisme et le clonage à grande échelle, si Dieu n’y met un terme jugeant que l’iniquité est à son comble.  

     Ces éléments constitutifs du paganisme lui font atteindre son apogée lorsque, selon les modèles de l’Antiquité (la référence de la ''Renaissance''), un quatrième caractère apparaît : le Césarisme c’est-à-dire la concentration dans la main d’un seul homme, à la fois souverain pontife et empereur, de tout pouvoir religieux et social ou politique, ce qui n’est autre que le règne absolu de la force : la dictature et la tyrannie, la phase ultime de l’incarnation de l’homme sans Dieu.     

(A suivre…« Traduction politique du Nouvel Ordre Mondial »…si Dieu veut) 

René Pellegrini

 (1)La Renaissance italienne du Quattrocento et quelques pays européens s’étend du XIVe siècle au XVe siècle. Elle s’étend à toute l’Europe aux XVIe siècle.

 

Mis sur un autre blogue le 14 octobre 2012

 

mardi 11 octobre 2022

Introduction à l'histoire des Patriarches - 2 : Histoire des Patriarches - 1


 
INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 2

 

HISTOIRE DES PATRIARCHES -1

 

     On voudrait, dans cet ouvrage, répondre à l’appel de l’éminent écrivain qui, par la lecture assidue des Pères de l’Eglise, a su découvrir la sève cachée sous la lettre des Livres Saints et qui, mettant un génie hors de pair au service d’une foi inébranlable, a donné à la Bible une place qu’elle n’avait jamais eu encore dans la littérature française. La préface que l’on vient de lire (1) exprime avec une force et une conviction dont il est impossible n’être pas touché, le vœu de tous ceux – et ils sont légion – qui aspirent à voir l’interprétation traditionnelle de l’Ecriture en honneur, non pas sans doute, à la place, mais à côté de l’exégèse littérale et scientifique qui prétend aujourd’hui régner seule.

     Nous nous sommes efforcés de retrouver dans leurs attitudes exactes, dans leurs proportions harmonieuses, dans leur beauté originelle ces figures patriarcales, ces statues merveilleuses que le Saint-Esprit lui-même a sculptées avec amour aux premiers temps du monde, à la fois pour orner le temple éternel de Dieu, celui où on l’adore en esprit et en vérité, et pour servir de modèles, indéfiniment, à travers les siècles, aux hommes qui voudraient vivre en hommes.

     Tel était à leur endroit le sentiment des Pères de l’Eglise.

     A un jeune homme qui lui demandait quelques conseils pour tendre à la perfection, saint Grégoire de Nysse répondait en citant d’abord ce texte d’Isaïe : « Regardez Abraham et Sara, qui vous ont enfantés. » Puis il ajoutait :

     C’est à des âmes égarées que ces paroles sont adressées. De même en effet que, pour les marins emportés loin de la direction du port, la vue d’un feu qui s’élève d’une hauteur, ou de la cime d’une montagne aperçue de loin, sert de point de repère pour retrouver la bonne route ; de même les âmes égarées, l’esprit sans pilote dans l’océan de la vie, sont-elles ramenées au port de la divine volonté par l’exemple d’Abraham et de Sara. Et comme l’humanité est divisée en deux sexes, et qu’à tous deux est proposé le libre choix entre le vice et la vertu, la Parole divine à mis sous les yeux de l’un comme de l’autre un modèle à imiter, afin que les hommes regardant Abraham, les femmes regardant Sara, les deux sexes puissent, par des exemples appropriés, dirigés leur vie selon la vertu.

     Il nous suffira donc de rappeler la vie d’un de ces personnages pour lui faire remplir l’office de phare, et montrer ainsi comment il est possible de faire aborder l’âme au port paisible de la vertu, où elle ne sera plus exposée aux orages de la vie, et où elle ne risquera plus de faire naufrage dans les abimes du péché, sous le choc des vagues successives des passions. La raison pour laquelle la vie de ces âmes saintes a été écrite en détail, n’est-elle pas de diriger dans la voie du bien, par l’exemple des justes des temps anciens, la vie de leurs successeurs ? Mais, dira-t-on, si je ne suis ni chaldéen, comme cela est écrit d’Abraham, ni l’enfant adoptif de la fille du roi d’Egypte, comme l’Ecriture l’enseigne de Moïse ; si je n’ai rien de commun dans ma façon de vivre avec aucun de ces hommes d’autrefois, comment conformerai-je ma vie à celle de l’un d’entre eux ? Je ne vois pas comment imiter quelqu’un qui diffère totalement de moi par ses habitudes. Nous répondrons à cela qu’il importe peu, pour le vice ou la vertu, que l’on soit Chaldéen, et que ni le fait de vivre en Egypte, ni celui d’habiter Babylone n’excluent quelqu’un du chemin de la perfection. Ce n’est pas en Judée seulement que Dieu est connu des justes, ce n’est pas à Sion seulement, encore que l’Ecriture sainte semble le dire, que se trouve la maison de Dieu. Mais il nous faudra une #méditation attentive et une vue plus perçante, pour discerner, au-delà de la lettre de l’Ecriture, de quels Chaldéens et de quels Egyptiens il faut nous éloigner, et quelle est la captivité de Babylone à laquelle nous devons échapper pour atteindre la vie bienheureuse. (2) »

     De même, saint Ambroise, commence les deux livres qu’il a écrit sur Abraham, par les réflexions suivantes :

 

« Platon, prince des philosophes, a jugé utile de construire, dans ses ouvrages, une république idéale, afin que ses concitoyens eussent en elle un modèle à imiter. Et Xénophon a dessiné dans sa Cyropédie, le type du roi juste et sage, pour servir d’enseignement aux princes. Ainsi, Moïse, en écrivant la vie d’Abraham, nous a montré le modèle de l’homme de Dieu, avec cet avantage sur les auteurs précédents, qu’au lieu de forger de toutes pièces un être fictif, il met devant nos yeux un personnage réel, doté des vertus les plus authentique (3).

     Il résulte clairement de ces témoignages, et de beaucoup d’autres que, pour les Pères de l’Eglise, Abraham n’est pas un être primitif, émergeant à peine de l’état sauvage ou de l’animalité, comme on pourrait le croire en entendant certains auteurs contemporains parler à son sujet, de « bédouin sournois et pillard », de « vagabond civilisé », « d’enfant de la steppe », de « conscience crépusculaire »…que sais-je encore ?

     Abraham, personne n’osera le contester, est une des plus grandes figures de l’histoire universelle. A l’heure où l’humanité tout entière se ruait frénétiquement dans le polythéisme et se prosternait sans honte devant les idoles les plus variées, les plus grotesques, les plus immondes, il apparaît comme le mainteneur du monothéisme, comme l’ancêtre et le chef de tous ceux qui adorent le Dieu Un, le Dieu transcendant, le Dieu qui est Esprit. A ce titre, sa haute stature domine et l’histoire du peuple juif, qui se tient pour son descendant direct et son héritier, et celle du christianisme, et encore celle de l’Islam. Les fils du Prophète, en effet, le considèrent comme leur chef, non pas seulement parce qu’il est le père d’Ismaël, leur ancêtre racial, mais surtout parce qu’ils voient en lui le modèle de l’intransigeance monothéiste, dont ils font le principe premier de leur religion. Aussi occupe-t-il dans le Coran une place beaucoup plus importante que le fils d’Agar, qui n’y a qu’un rôle effacé. #Allah est son Dieu avant d’être celui de #Mahomet. Si les #Musulmans veillent jalousement sur sa tombe à Hébron, c’est qu’ils la considèrent comme un dépôt qui leur revient de droit. #Jésus est le chef des chrétiens, Moïse celui des #Juifs, mais Ibrahim (ou Abraham) est leur Patriarche à eux, celui qui, béni d’Allah, a légué à ses descendants la foi véritable, c’est-à-dire l’Islam.

     L’Eglise catholique, de son côté, ne lui témoigne pas moins d’égard et de vénération que la religion juive. Trois fois au moins chaque jour, elle le nomme dans sa liturgie, à des moments particulièrement solennels : au Benedictus de l’Office des Laudes, au Magnificat des Vêpres, et surtout au Canon de la Messe, honneur insigne qu’elle n’accorde qu’à de rares privilégiés. Elle montre, par là, qu’elle le tient pour l’un des noms les plus capables de lui concilier, à ce moment redoutable, la bienveillance du Tout-Puissant. Elle nous fait dire à nous, chrétiens, en parlant de lui : « Abraham le très grand » (Pater fidei nostrae, Abraham summus (3) ». Toute la tradition catholique est empreinte à son endroit du même caractère de respect, de haute estime, d’admiration : sa vie est considérée unanimement comme le modèle de celle du juste, comme le miroir de toutes les vertus. Les Pères ont loué à l’envi et sans dissonance aucune, sa foi, son obéissance, sa patience, sa charité, son humilité, sa piété. Et si saint Jérôme a écrit une fois : Peccavit Abraham, Abraham a péché, c’est justement pour montrer que nul homme n’est exempt de quelques faiblesses, même s’il compte parmi les plus grands saints (4).

     Ainsi, trois des principaux courants de la civilisation humaine se réclament en lui d’une origine commune : ils semblent sortir de cette source unique pour irriguer et fertiliser toute la terre.

(A suivre…si Dieu veut)

Dom de Monléon

(1) Saint Grégoire de Nysse, De la vie de Moïse, Patrologie grecque, t.XLIV, col.301.

(2) De Abraham libri duo, I.I, ch. I

(3) Antienne des premières Vêpres de la Quinquagésime.

(4) Commentaires sur Isaïe, I. XII, ch. XLIII, 36

 

René Pellegrini

samedi 1 octobre 2022

Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu


 

RENDEZ A CESAR CE QUI EST A CESAR, ET A DIEU CE QUI EST A DIEU – 1

 


« Alors il leur dit : Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu »

(St Luc XX, 25)

 

     Ces paroles de Jésus sont abondamment utilisées, non seulement par les ennemis de l’Eglise, mais encore par un grand nombre de Catholiques, clergé et laïcs. Elles sont destinées à couper court aux propos de tous ceux qui, au Parlement ou entre particuliers, s’efforceraient de rappeler la doctrine pourtant classique des devoirs de l’Etat envers Dieu quand bien même celui-ci se soucierait peu de sa responsabilité vis à vis des âmes et de leur salut. On veut, par cette citation, signifier que les chrétiens doivent laisser au vestiaire leurs références aux enseignements de Dieu en matière morale et politique, en d’autres termes : L’Eglise et les chrétiens n’ont pas leur place pour ce genre de discussions dans une République laïque ; tout juste bons à payer l’impôt et, sans leur accord, même les subventions gouvernementales aux journaux politiques révolutionnaires libéraux et antichrétiens. La laïcité révolutionnaire c’est : Dieu et Jésus persona non grata ! Un certain clergé, le plus souvent mal inspiré en matière politique et de nombreux chrétiens ont avalisé et secondé ce principe inique. HONTE A EUX !

 

     Ce qu’ils oublient, ou feignent d’ignorer, c’est que l’Eglise n’est pas simplement un bâtiment de pierres muettes mais, et plus précisément, selon l’étymologie du mot grec « EKKLESIA » l’ensemble des fidèles : le clergé et aussi le laïcat (tous les deux faisant partie de l’Eglise enseignée) qui participent activement, à des degrés divers, à la vie spirituelle, intellectuelle, sociale et politique du pays selon leur croyance concernant l’homme, la société et le monde, et ce qui est propre à favoriser, le plus possible, le bien commun qui consiste à favoriser la vie vertueuse du plus grand nombre dans l’ordre temporel, et non à faciliter les vices et la débauche. Aujourd’hui, tout est mis en œuvre, avec l’école sans Dieu, pour un dévergondage de plus en plus inique.

 

     Ils oublient encore, l’esprit imprégné par une fausse philosophie ou par les poncifs de la désinformation et de l’ignorance qui arrangent les jouisseurs en tous genres, les apostats et les athées, que la politique (1) est une partie de la morale (2) avec l’éthique (3) et l’économie (ou morale domestique (4). Les mœurs étant avec la foi le plus haut domaine de compétence de l’Eglise. Aujourd'hui, en ‘’démocrassie’’ (ne pas considérer comme faute d’orthographe) les partis politiques ne font plus de politique, au sens noble du terme, mais de la ‘’cuisine électorale’’ pour attirer l’électeur et se ménager une carrière politique avec ses avantages.

 

      Une fois au pouvoir, ils appliquent les directives des cénacles mondialistes qui, selon les besoins et les obstacles du moment à éradiquer, activent et poussent en avant les partis politiques de gauche ou de droite avant de les plonger, à terme, dans un cataclysme social destiné à faciliter la demande d’un gouvernement mondial par des populations désespérées. Leur couleur politique est d’abord celle du veau d’or qui permet d’acquérir les richesses et la domination mondiales, et ensuite celle du communisme totalitaire planétaire dont la mise en marche s’effectue sous nos yeux. Ces mondialistes milliardaires sont les hauts dirigeants Initiés (5) des loges maçonniques et de la Synagogue : personnages qui ne s’embarrassent pas de morale dans tous les aspects de la vie, comme l’histoire passée et présente en témoigne.

 

     Cependant, l’Etat fait obligation à ce croyant chrétien de payer le tribut, les taxes diverses, de financer les journaux et les media qui lui servent bien la soupe, les partis politiques et même leur campagne électorale quand bien même ils seraient en opposition totale avec leurs croyances et leurs principes. L’Etat, ayant perdu toute pudeur, les subventionnent grassement et sans vergogne avec les impôts des contribuables, mais, on dénierait à ce chrétien, au nom de la bien commode muselière laïque, de défendre ses convictions chrétiennes concernant les mesures politiques qui vont conditionner la vie morale, intellectuelle, spirituelle, sociale et politique de sa patrie. Laïcité révolutionnaire qui, dans le même temps, permet à des libéraux, socialistes et communistes de défendre leur idéologie sur l’homme et la vie sociale, dont les soubassements ne sont pas moins religieux puisqu’inspirés, soit par la gnose antichrétienne, la Kabbale ou le Talmud ou des systèmes philosophiques qui y puisent. De qui se moquent ces parangons d’une liberté d’expression canalisée et de plus en plus soviétisée ?

 

     Cette obligation étatique du tribut n’est pas supérieure à celle que Dieu demande aux Etats et aux individus de lui rendre ce qui lui revient : l’obéissance, le respect et le culte. Cet Etat de plus en plus décadent, n’est pas moins dispensé d’être rappelé à ses devoirs que les particuliers. Cette formule ou plutôt cette fausse interprétation des paroles de Jésus, que nous examinerons dans un prochain article, était déjà celle des Jansénistes et des Gallicans au XVIIe siècle. Elle a grandement contribué à saper l’ordre chrétien et son remplacement par un désordre de plus en plus prononcé. A cette époque des membres du clergé fréquentaient déjà des loges maçonniques.

 

(A suivre…« Rendez à César… – 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Le mot politique vient de deux mots grecs : POLIS signifiant « cité » et TECHNE qui signifie art ou science. La politique est l’art ou la science de diriger ou gouverner la cité.

 

(2) La morale c’est la science du bien et du mal.

 

(3) Le mot éthique vient du grec ETHOS qui signifie mœurs : c’est la morale appliquée à la personne.

 

(4) Le mot économie vient de deux mots grecs EIKOS qui signifie maison et NOMOS qui signifie loi. L’économie est donc l’art de gouverner ou de gérer sa maison. Ce qui implique que l’économie est naturellement de nature privée, familiale, domestique. Ainsi, parler d’économie politique est une formule contradictoire puisqu’elle associe le mot économie qui concerne la gestion et la direction de la maison avec le mot politique qui concerne la direction ou gouvernement de la cité. La contradiction étant le signe de l’erreur, celle-ci aura donc des répercussions dans ses applications qui concerneront la monnaie et la valeur des marchandises. Ce dont les requins de la Haute finance qui se sont emparés de l’économie et leurs serviteurs dociles et complices n’ont que faire, et qui vise à faire disparaître les classes moyennes, comme dans tout système totalitaire qui se respecte.

 

(5) Appelés aussi Illuminés ou Illuminati. Ce sont ces 16 familles de hauts lucifériens dont les familles Rothschild, Rockefeller, Du Pont de Nemours, Onassis, etc., membres de Super Loges internationales ayant bâti leur fortune et leur domination sur des torrents de sang. Ils sont les Maîtres de l’or et règnent sur les Banques Centrales, la FED, les grandes banques internationales, la Banque des Règlements Internationaux (BRI), le Fonds Monétaire International (FMI), la Haute Finance, l’Economie mondiale, les Trusts et les Cartels Internationaux. Ils ont TOUT VERROUILLE. Leur puissance est gigantesque comme jamais auparavant. Pauvres Gilets Jaunes ainsi que tous ceux qui se posent comme alternative, qu’espèrent-ils donc ? Désormais, seul le recours à Dieu et à ses moyens (Saint Pape et Grand Monarque) peuvent réduire à néant une telle puissance bénéficiant de l’assistance du démon quand, dans le même temps, l’humanité happée par le naturalisme et s’appuyant sur ses seules forces s’éloigne toujours plus de Celui qui a dit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Saint Jean XV,5)

 

René Pellegrini

 

Mis sur un autre blogue le 19 avril 2017

mercredi 21 septembre 2022

LA FRANC-MACONNERIE, SYNAGOGUE DE SATAN - 1


LA FRANC-MAçONNERIE, SYNAGOGUE DE SATAN -1

     On peut appliquer à la Franc-Maçonnerie différents noms qui permettent de mettre en évidence son véritable projet temporel, sa source d’inspiration, sa prétention spirituelle, ainsi que son origine païenne, à savoir :

- la Contre-Eglise de Lucifer ; la Synagogue de Satan ; Les fils de la veuve (1) ; le Pouvoir Occulte ou en utilisant une terminologie actuelle : le Deep State ou Etat Profond des Illuminés ou Illuminati (2)

     La franc-Maçonnerie est une institution avec initiation progressive de laquelle découle des grades. ils sont donc tous illuminés mais à des degrés divers. Les uns sont membres des obédiences classiques, d’autres sont membres des Super-Loges Internationales (SLI) qui priment sur les obédiences maçonniques classiques. Quant aux SLI d’Illuminés ou Illuminati, ils constituent l’élite illuministe c’est-à-dire les dynasties des grandes familles liées par le sang (Rothschild, Rockefeller…).

   La publication d’un livre intitulé « Massoni, Società a responsabilità illimatata (Editions maçonniques Chiaralettere,2014). La Scoperta delle Ur-Lodges » (Francs-maçons, société à responsabilité illimitée. Découverte des Ur-Lodges) par le Franc-Maçon Italien Gioele Magaldi (membre de la SLI, Thomas Paine) en collaboration avec la journaliste Laura Maragnani. Gioele Magaldi est le porte-parole d’un groupe de cinq auteurs Hauts Initiés qui ont écrit ce livre et dont il fait partie lui-même. Quatre de ces auteurs ont dissimulé leur identité en s’abritant derrière des pseudonymes, mais deux ont été identifiés :

- Frater « Kronos » : Zbigniew Brzezinski

- Frater « Rosenkreuz » : Jacques Attali

     Les deux autres ne sont pas identifiés pour cause de renseignements insuffisants :

- « Frater Amun » (membre d’une dynastie arabo-musulmane)

- « Frater Tao » ( Haut fonctionnaire de la République populaire de Chine)

LA REPUBLIQUE JUDEO-MACONNIQUE FRANCAISE

     Ci-dessous les noms des français - anciens et contemporains - membres des Ur-Loges (SLI) mis dans un ordre alphabétique :

ALPHANDERY Edmond                 : Loge Pan-Europa; Loge Three Eye

ARNAULT Bernard                       : Loge Henry E. Manning; Loge Three Eyes;

AURIOL Vincent                          : Loge Montesquieu ;

BARRE Raymond                        : Loge Three Eyes ;

BAVEREZ Nicolas                        : Loge Compass Star Rose – Rosa Stella  

                                                   Ventorum

BERNHEIM Antoine                      : Loge Three Eyes ;

BERTHOIN Georges                     : Loge Three Eyes ;

BOULANGER Georges E.J.M           : Loge Henry E. Manning ;

CASIMIR PERIER Jean-Paul P        : Loge Henry E Manning ;  

CHABAN-DELMAS Jacques            : Loge Montesquieu ;

CHIRAC Jacques                          : Loge White Eagle ;

CROZIER Michel                           : Loge Three Eyes ;

DAVID-WEILL Michel                    : Loge Three Eyes ;

DE CASTRIES Henry                     : Loge Compass Star Rose – Rosa Stella                                                                Ventorum ;Loge Pan-Europa ;
DE LAROSIERE                             : Loge Pan-Europa;: Loge Three Eyes ;

                                                     Loge White  Eagle ;

De MONTBRIAL Thierry                : Loge Pan-Europa ;
DE ROTHSCHILD Raymond           : Loge Three Eyes ;
DELORS Jacques                         : Loge Ioannes; Loge Montesquieu;

GISCARD D’ESTAING Valéry          : Loge Three Eyes ;
HOLLANDE François                     : Loge Aletheia; Loge Ferdinand  

                                                    Lassalle ; Loge Fraternité Verte ;

LAGARDE Christine                       : Loge Pan-Europa ; Loge Three Eyes ;
LAMY Pascal                                 : Loge Atlantis-Aletheia ;
LOUBET Emile                              : Loge Henry E. Manning ;
MACRON Emmanuel                     : Loge Atlantis-Aletheia ;
MESSMER Pierre                          : Loge Joseph de Maistre ; Loge Leviathan ;
MEYER André                               : Loge Three Eyes ;
MITTERAND François                    : Loge Ferdinand Lassalle ; Loge Fraternité                                                            Ver Loge Montesquieu ;
MONNET Jean                              : Loge Compass Star Rose – Rosa Stella 

                                                    Ventorum ; Loge Edmond Burke ; Loge White                                                      Eagle ;

NOYER Christian                          : Loge Henry E. Manning ; Loge Pan-Europa ;
PEUGEOT Armand                        : Loge Henry E. Manning ;
PISANI-FERRY Jean                      : Loge Babel Tower ;
POMPIDOU Georges                     : Loge Three Eyes ;
PROGLIO Henri                            : Loge Pan-Europa ; Loge Three Eyes ;
PROT Baudoin                              : Loge Joseph de Maistre ; Loge Pan-Europa ;
PROUDHON Pierre Joseph             : Loge Thomas Paine ;
RENAULT Louis                            : Loge Henry E. Manning ;
SARKOZY Nicolas                         : Loge Henry E. Manning ; Loge Atlantis-                                                              
Loge Pan-Europa ;                           

TRICHET Jean-Claude                   : Loge Babel Tower ; Loge Ring ; Loge Pan-  

                                                    Europa ;

VALLS Manuel                              : Loge Ring ; Loge Henry E. Manning ;
VERON Nicolas                             : Loge Babel Tower ;

 

     C’est de la même veine pour les autres pays (Etats-Unis, Allemagne, Italie, URSS et Russie, Espagne, Belgique, Japon, Chine, Qatar, Iran… etc...etc…Les membres fréquentent une ou plusieurs Loges.

     On peut s’étonner, alors que ces SLI existent depuis 1849 (Loge Thomas Paine) qu’elles soient misent, tout-à-coup, sur la place publique avec leurs membres par de Hauts Initiés Francs-Maçons. Mais, ils ont acquis une telle puissance qu’ils ne se font plus un secret de parler de gouvernance mondiale, de Nouvel Ordre Mondial et de Grand Reset. Toutefois le monde de Satan tout en ayant un même but antichrétien, anticatholique, ennemi de Dieu, de Jésus-Christ et de l’Eglise, est divisé en deux courants :  

- Les SLI Démocratique, libérale, Humaniste, progressiste et Révolutionnaire (et des partis politiques pour représenter ce courant) ; et

- Les SLI Elitiste, oligarchique, technocratique, conservateur, mais avec mise à l’écart des commandements de Dieu (et des partis politiques pour représenter ce courant)

     Dans cette liste, nous comprenons combien les dirigeants de ce monde (politique, financier, économique et religieux (3), sont inféodés aux puissances maçonniques, et comme le monde des copains et des coquins est petit ! En espérant que cette liste de noms ouvrent les yeux de l’intelligence de ceux des Catholiques français, et d’ailleurs, qui ne comprennent toujours pas qui gouvernent en France comme dans d’autres pays, et qui chantent Alléluia avec ferveur en protestant de leur fidélité à Jésus, récitent le NOTRE PERE en lui DEMANDANT QUE SON ROYAUME VIENNE SUR LA TERRE, tout en ayant voté ou en continuant de voter pour des ennemis de l’Eglise et de Notre-Seigneur qui ne veulent pas de ce ROYAUME SUR LA TERRE (???)

     Lorsque j’écris judéo-maçonnique il ne s’agit, comme déjà signalée, que d’une alliance ou union temporaire, car il y a contradiction entre le courant idéologique démocratique et égalitaire (Franc-Maçonnerie) et le courant idéologique élitiste (Juif) car les Juifs ne croient pas à l’égalité, puisque selon le Talmud, ils se considèrent un peuple supérieur, comme les seuls méritant le nom d’homme, tous les autres hommes n’étant que des animaux. Toutefois, ils diffusent le principe égalitaire auquel ils ne croient pas, ayant un but commun avec les Francs-Maçons : détruire l’ancienne société chrétienne.

 

(A suivre…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Ce nom trouve son origine dans l’assemblage d’une composante biblique mêlée à une légende interprétative qui en détourne le sens et se résume ainsi : « le fils d’une veuve dont le mari a été assassiné par un dieu mauvais et qui se trouve orphelin, est animé par la volonté de venger sa mère en tuant de sa main l’assassin de son père. Ce ‘’fils de la veuve’’ est le dieu vengeur, ami des hommes puisqu’il leur apporte le nouvel âge d’or ». Cette légende est interprétative du mythe égyptien d’Isis, d’Osiris et d’Horus, et du mythe grec de Prométhée, héros bienfaiteur des hommes puisqu’il leur rend le feu qui leur avait été confisqué par le dieu tyrannique et ennemi des hommes. Le dieu mauvais étant pour les Francs-Maçons le Dieu des chrétiens on comprend donc cette haine diabolique contre Notre-Seigneur Jésus-Christ, contre l’Eglise catholique et le désir de la détruire.

(2)  Les mots ‘’Illuminés’’ ou ‘’Illuminati’’ s’appliquent aux Hauts Grades de la Franc-Maçonnerie : Les membres des Super Loges Internationales (SLI) qui constituent le pouvoir occulte des nations auxquelles appartiennent certains chefs d’Etat, ces membres qui sont forment, aujourd’hui, le Deep Stat ou Etat Profond.

(3) M’étant limité aux membres laïcs français, je ne fais pas mention des religieux, évêques et ecclésiastiques en général, adeptes des Loges maçonniques, si ce n’est pour mentionner malheureusement Angelo Roncalli (Jean XXIII : Loge Ecclésia ; Loge Ghedullah ; Loge Ioannes ; Loge Montesquieu). Si cet homme était Catholique, moi je suis Saint Jean-Baptiste.

 

NOTA BENE :

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vendredi 9 septembre 2022

L'inquiétude

« Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu te troubles pour beaucoup de choses » (Saint Luc X,41)

L’INQUIETUDE

     L’inquiétude est le plus grand mal qui arrive à l’âme, excepté le péché. Car, comme les séditions et troubles intérieures d’une république la ruine entièrement et empêchent qu’elle puisse résister à l’étranger : ainsi notre cœur, étant troublé et inquiété en soi-même, perd la force de maintenir les vertus qu’il avait acquises, et le moyen de résister aux tentations de l’ennemi…

     Ne permettez pas à vos désirs, pour petits qu’ils soient et de petite importance, qu’ils vous inquiètent…Quand vous sentirez arriver l’inquiétude, recommandez-vous à Dieu, et résolvez-vous de ne rien faire du tout de ce que votre désir demande de vous, tant que l’inquiétude n’est pas totalement passée…Et sur cela faites la chose, non selon votre désir, mais selon la raison.

(Saint François de Sales)

René Pellegrini


 

 


 

jeudi 8 septembre 2022

Laïcité révolutionnaire - 2 ou tout restaurer dans le Christ - 1


LAICITE REVOLUTIONNAIRE – 2 

OU TOUT RESTAURER DANS LE CHRIST ? – 1

« Ote ! Ote ! crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César »

(St Jean XIX, 15) 

     Pour un homme politique catholique serait-ce un gros mot d’en référer au Christ et à l’enseignement de l’Eglise dans une assemblée parlementaire qui doit légiférer pour un peuple à majorité catholique ? D’en référer à leurs enseignements moraux ? Les mœurs n’auraient-ils rien à voir avec la vie en société et sa stabilité, l’édification morale et vertueuse des jeunes et des moins jeunes ? Jésus serait-il moins compétent en ce domaine que nos hommes politiques et législateurs pécheurs à hautes doses pour certains, pour s’en remettre aux propagandistes de références spirituelles ou philosophiques notoirement antichrétiennes, ou à celles de dépravés et jouisseurs de tous calibres ? Si le Christ est rejeté en ce qui concerne les bonnes mœurs, chez qui les adeptes et défenseurs de la laïcité révolutionnaire iront-ils chercher et défendre ce qui, pour eux, relève du bien et du mal, du normal et de l’anormal, du juste et de l’injuste ?

     Par exemple, chez quels cerveaux détraqués puisent-ils la loi sur l’avortement, cet assassinat légal, reflet de la bassesse et de la déchéance humaine non moins que la pourriture de l’esprit de celle qui a présenté le projet de loi : Madame Simone Veil, ministre de la santé de 1974 à 1979. Tu parles d’une santé d’envoyer des embryons et des fœtus humain finir dans l’incinérateur !!! La peine de mort est abolie pour les criminels récidivistes ou pas ; mais elle existe pour les embryons et les fœtus non désirés. IGNOBLES HYPOCRITES ! Pourtant, Madame Veil est une rescapée des camps de concentration. Elle a certainement béni le jour où elle en est sortie. Elle a survécu à ces camps mais elle ne laisse aucune chance aux bébés à naître dès qu’ils entrent dans l’avortoir : cette chambre de mort pour innocents et de médecins à la conscience atrophiée. Aucune chance, sauf remords de conscience de la mère, à l’ultime moment.

     Cette femme, responsable d’une loi qui permet l’assassinat annuel d’environ 200 000 à 250 000 embryons et fœtus humains (1), est louangée et décorée. Dans une société normale, respectueuse de la vie dès sa conception, (2) mériterait-t-elle de tels honneurs ? C’est quoi ce nid de serpents venimeux, cette Assemblée d’estropiés mentaux qui décorent la permission d’assassiner de petits êtres sans défense ? Plutôt qu’accepter ces honneurs, il eût été préférable que, revenant à résipiscence pour sa loi scélérate, elle demande pardon à Dieu et aille pleurer ses péchés, jusqu’à la fin de ses jours, dans un couvent ou dans la solitude, pour tous les crimes qu’elle a permis de commettre en France. D’un point de vue statistique, Josef Mengele est un enfant de chœur.

     On vous demande, à vous catholiques, de vous taire au Parlement sur la référence aux valeurs morales du Christ, pendant qu’on porte aux nues la loi génocidaire d’un tel monstre ouvrant la porte de la bonne conscience pour l’extermination en masse d’innocents ? C’est bas, c’est sale, c’est indigne, c’est méprisable, non parce qu’elle est juive, mais elle est, comme bien des catholiques et autres spécimens de chrétiens, la négation même de la dignité humaine dont-on se glorifie généreusement tout en permettant sa négation dès le principe, en s’appuyant sur une science complaisante. Ceci, est à l’image même de la puanteur morale déversée sur la société française depuis les gradins de l’Assemblée nationale par des dirigeants politiques et des idéologues encartés, traîtres à leur propre pays et porteurs complaisants, de longue date, des valises d’ennemis de la France et prêts - le monde ouvrier et employé autochtone les fuyant de plus en plus pour se réfugier dans d’autres partis politiques - à favoriser le chaos pour se constituer un socle électoral avec un nouveau prolétariat étranger. Ne vous laissez pas duper par ceux (individus ou partis politiques) qui s’affichent ennemis en apparence et sont amis en secret.

     Des cerveaux enténébrés, logés dans une boîte crânienne qui ressemblent plus à une fosse à purin qu’a un habitacle de la sagesse humaine, qui estimeraient que pour vous, Catholiques, ce serait un dérapage inconséquent d’en référer au Christ quand les membres de la cage aux folles peuvent s’exprimer et revendiquer leur adhésion à la jaquette flottante, et même organiser des défilés urbains ? Cette panacée universelle qu’est la religion laïque révolutionnaire peut débattre et légiférer pour les adeptes des mœurs contre-nature en s’appuyant sur de pseudo-présupposés idéologiques, sociologiques ou scientifiques issus de tous les corpus anticatholiques et apostats pour justifier ces pratiques, dont l’origine est plutôt sulfureuse, mais vous, Catholiques qui refuseriez de jouer la comédie du double jeu et de l’hypocrite, vous devriez taire les références aux enseignements de Dieu sur ces mêmes questions d’un point de vue chrétien s’appuyant, lui aussi, sur des préceptes moraux, des enseignements sociaux et philosophiques éprouvés par le temps, et, en matière scientifique, refusant sur le plan anthropologique, social et d’explication du monde, de prendre appui sur des hypothèses ou des théories contredites par des faits concrets dûment établis. De qui se moque-t-on ?

     Députés et sénateurs catholiques comment pouvez-vous collaborer  à ce jeu sordide et immonde et le cautionner par vos votes ? Pensez-vous que Jésus-Christ soit honoré par de telles lois ? Pour vous, ces misérables pêcheurs qui s’agitent dans cet antre de l’enfer qu’est le Palais Bourbon, seraient-ils au-dessus de Dieu ? Si c’est le cas, qu’avez-vous fait de votre baptême au nom de la Très Sainte Trinité (Père, Fils et Saint-Esprit) et de vos devoirs envers elle, qui consistent à faire sa volonté en tous lieux ? Seriez-vous des chrétiens de jours de fête ou à mi-temps ? Dieu vous accorde-t-il le souffle de vie, l’être et le mouvement à temps partiel ?

     Que recherchez-vous en faisant de la politique : l’honneur et la gloire de Dieu, ou les décorations, les honneurs mondains et la satisfaction d’une ambition personnelle ? Qui servez-vous en réalité ? Vers qui vont vos affections ? De qui êtes-vous les disciples et les collaborateurs : De Dieu ou du diable et sa République apostate favorisant la damnation du plus grand nombre ? Rentrez en vous-mêmes et cessez de faire honte à Dieu, aux anges et aux hommes ! Si c’est de Dieu, seule la vérité doit vous contraindre et non les désidératas de pervers, de conscience marquée au fer rouge, de jouisseurs, d’apostats ou d’ennemis de l’Eglise et du Christ. Et, prenez garde, car cette même vérité vous oblige à ceci, à moins d’être le portait type du menteur et de l’hypocrite à qui, en l’état, on ne peut accorder aucune confiance :

« La vertu de vérité fait que l’on se montre au-dehors tel qu’on est au-dedans, ce qui a lieu non seulement par des paroles, mais encore par des actes. Donc, s’il est contraire à la vérité de parler contre sa penséece qui constitue le mensonge : il l’est aussi d’agir de manière à se faire passer pour autre que l’on est, ce qui constitue la simulation, qui est ainsi, à proprement parler, un mensonge en action. Or le mensonge est toujours un péché, quelle que soit sa manière ; la simulation est donc, elle aussi, toujours un péché. » (Somme Théologique (IIa-IIæ question 111, article 1)

     N’est-ce pas MM les politiciens catholiques, et ceux qui leurs ressemblent sur l’échiquier politique et en dehors ? Propos de Saint Thomas d’Aquin sans aucune commune mesure avec les postures et les pratiques politiciennes. Pour un Catholique,  c’est une question de foi dans laquelle l’intelligence adhère, sous les feux de la grâce, aux vérités révélées par Dieu parce qu’Il ne peut ni se tromper, ni nous tromper. En dehors de cala, ce n’est qu’une vague croyance ou une religiosité à la carte sans véritable consistance, qui vole en éclat face aux décisions morales, sociales et politiques, aussi impopulaires soient-elles, que la foi oblige à prendre sous le regard de Dieu.

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini


(1) Soit, depuis 42 ans, entre 8 à 10 millions de créatures exterminées, en France, non pour appartenance religieuse ou ethnique, mais pour leur avoir refusés la qualité d’êtres humains et d’adultes en devenir.

(2) Les Droits de l’homme ou ‘’Evangile’’ de la laïcité, furent assassins dès leur origine. Et, en continuité, c’est dès l’origine de la vie qu’ils s’attaquent à elle refusant d’accorder la qualité de personne humaine à l’œuf fécondé, et, par conséquent, la protection que ces Droits sont censés lui accorder. De la même façon que le gland possède, en lui-même, tous les caractères de la vie végétale lui permettant (si on ne le détruit pas) de devenir un chêne imposant et vigoureux, il y a, en sommeil, dès la fécondation de l’œuf tous les caractères d’une vie intellectuelle lui permettant, (si on ne détruit pas cet œuf) de l’enfance à l’état d’adulte, le plein développement de la raison avec ses caractéristiques propres. La vie qui va favoriser le développement de ce nouvel être humain avec toutes ses potentialités, est déjà en acte dans cet œuf fécondé comme le chêne imposant est déjà en puissance dans la vie végétale du petit gland si on ne le détruit pas.

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Mis sur un autre blogue le 12 avril 2017

vendredi 19 août 2022

La Royauté du Christ sur les sociétés civiles


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 17

 

LA ROYAUTE DU CHRIST SUR LES SOCIETES CIVILES

 

     Bien que cette royauté du Christ puisse être refusée individuellement, familialement et socialement, elle concerne, par droit de conquête et de nature de Jésus-Christ, toutes les nations qu’elles soient chrétiennes ou non chrétiennes.

 

     Les sociétés civiles rendent manifeste l’acceptation, sur elles-mêmes, de cette royauté lorsqu’elles :

 

     * Rendent à Dieu l’hommage suprême qui lui est du.

 

« Offrez au Seigneur, familles des nations, offrez au Seigneur la gloire et l’honneur ; offrez au Seigneur la gloire due à son nom (…) » (Psaumes XCV, 7-8 ; 96, 7-8 dans les Bibles protestantes)

 

     La France, en particulier, répond-elle à cette exhortation de rendre gloire et honneur à Dieu lorsqu’elle le découronne en lui refusant, par la laïcité et l’apostasie qui l’accompagne, de le voir régner sur la société française ? Lorsqu’elle piétine allègrement ses lois morales, s’en fait une gloire en proposant des mœurs païennes et révoltantes comme des avancées sociétales ? Lorsqu’elle permet le blasphème en paroles et en actes dans la littérature, les chansons, la peinture, la sculpture, le cinéma, etc. ?

 

     Comment le pourrait-elle lorsque le peuple, majoritairement ‘’chrétien’’, remet le pouvoir politique entre des mains judéo-maçonniques ou révolutionnaires (c’est tout comme), ennemis du Christ et de sa Royauté ? Aujourd’hui, dire :

 

« Nous sommes en République ! » équivaut à dire : « Nous sommes en judéo-maçonnerie ! » puisqu’elle est sa fille.

 

     * Font remonter jusqu’à lui l’origine première :

 

      - de leur autorité assurée qu’elles sont de sauvegarder ainsi les garanties du commandement en haut,

 

      - de leurs droits avec les sentiments de soumission et de dignité chez ceux qui doivent obéir.

 

« Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures : car il n’y a pas d’autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent ont été instituées par Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordre établi par Dieu ; et ceux qui résistent attirent la condamnation sur eux-mêmes ». (Romains XIII, 1,2)

 

     Concernant la Tribu de Juda de la Nouvelle Alliance qu’est la France, dont l’alliance avec Dieu remonte à 496, au Baptistère de Reims, dont la vocation et la mission divine est de défendre l’Eglise romaine, il faut se poser simplement cette question qui est capitale pour la destinée immédiate de notre pays : parmi les prétendant(e)s à la présidence de la France :

 

     - Lequel ou laquelle, par son programme politique est de nature à poser la France sur un fondement permettant de « rendre à Dieu l‘hommage suprême qui lui est du » alors que tous se réclament de la laïcité qui n’est autre que l’exclusion de Dieu de la vie sociale et politique de notre pays, et des Droits de l’homme qui sont la négation des Droits de Dieu comme le démontre à l’évidence les lois de notre pays ?

 

      - Lequel ou laquelle fait ou ferait « remonter jusqu’à Dieu  l’origine première de son autorité » lorsque nous les voyons tous jouer des coudes pour la recevoir de l’escroquerie intellectuelle et morale du ''peuple souverain'' ?

 

     Pour aimer la France, une conception purement naturaliste et nationaliste est très insuffisante. On aime vraiment ce pays lorsqu’on le considère AUSSI sur le plan surnaturel, selon le fondement sur lequel il a été posé, et la mission divine qui lui a été confiée de « protéger la foi catholique et la liberté religieuse ». Il est donc important et urgent, afin de ne pas se fourvoyer dans de faux combats et s’illusionner sur de fausses et illusoires promesses, de peser les prérogatives de la France et ce qu’elle représente aux yeux de Dieu en lisant ce qu’écrivit le Pape Grégoire IX :

 

« Dieu, auquel obéissent les légions célestes, ayant établi ici-bas des royaumes différents, suivant la diversité des langues et des climats, a conféré à un grand nombre de gouvernements des missions spéciales pour l’accomplissement de Ses desseins. Et comme autrefois Il préféra la tribu de Juda à celles des autres fils de Jacob et comme il la gratifia de bénédictions spéciales, ainsi il choisit la France, de préférence à toutes les autres nations de la terre, pour la protection de la foi catholique et pour la défense de la liberté religieuse. Pour ce motif, la France est le Royaume de Dieu même, les ennemis de la France sont les ennemis du Christ ». (Lettre de 1239, au roi Louis IX ou Saint Louis)

 

     Tel a été le choix de Dieu parmi toutes les nations, avant que vous et moi nous ne soyons nés. En chassant, par la laïcité, Jésus-Christ des institutions françaises, on se constitue « ennemi du Christ » et ce faisant « ennemis de la France ». Il n’est donc pas difficile de reconnaître qui se révèle ennemi du Christ et de la France, déjà dans sa patrie.

 

     Eu égard au fondement qui a été posé, l’ennemi de ce peuple sera aussi, qu’elles que soient ses dénégations, toujours reconnaissable à ceci : son attitude face à la mission divine de la France et la place dévolue à Jésus-Christ dans ce pays. La France révolutionnaire de 1789, sous ses différents masques politiques, s’inscrit en totale opposition avec la France issue de Clovis et patiemment façonnée par la monarchie catholique au cours des siècles qui suivirent.  

 

     Sans ces deux conditions « rendre à Dieu l‘hommage suprême qui lui est du » et « faire remonter jusqu’à Dieu l’origine première de son autorité et de ses droits » il est indécent, mensonger et malhonnête,  pour tout(e) candidat(e) à l’élection présidentielle, de promettre un avenir meilleur pour la France.

 

     Il n’est pas douteux qu’en l’absence de dispositions et de lois sérieuses pour restaurer les droits de Notre-Seigneur sur la société, tous les prétendant(e)s qui se veulent nationalistes ou patriotes ne sont, en dépit de certaines apparences, pas moins révolutionnaires que tous ceux qui les accompagnent sur l’échiquier politique. Un(e) français(e) s’inscrivant dans la tradition chrétienne qui a façonné la France est, avant tout, un défenseur de l’Eglise, un chrétien au service du Christ et patriote, fidèle à la foi de ses Pères en obéissance au quatrième commandement de Dieu

 

« Honorez votre père et votre mère (…) » (Exode XX, 12) (1)

 

     Donc, prudence avec la foison de blogues ou de sites dits nationalistes ou patriotes. Afin de ne pas être entraîné sur une voie de garage, considérez bien la solidité des appuis sur lesquels ils se fondent, ou la priorité de leurs motivations. Ne pas oublier que la France, de part la nature de sa fondation et de sa vocation repose sur deux piliers (2) : le Pape légitime, c’est-à-dire non soumis à la collégialité des évêques qui est une doctrine d’inspiration gallicane, et le Roi très chrétien ou catholique. Nous n’avons ni l’un ni l’autre pour l’instant. C’est Dieu Lui-même qui nous les donnera. Ce sera un miracle, une œuvre divine afin que nul homme ne se glorifie, comme autrefois il suscita le jeune berger David pour abattre le redoutable géant philistin Goliath, le juge Gédéon et ses 300 soldats pour mettre en fuite 135000 Madianites, et la jeune bergère Jeanne d’Arc pour chasser les troupes anglaises hors de France.

 

     La France reposant sur deux piliers, c’est la raison pour laquelle la judeo-maçonnerie s’est d’abord attelée à détruire les monarchies catholiques (bouclier de l’Eglise romaine) pour pouvoir ensuite atteindre et infiltrer plus facilement l’Eglise et la détruire si possible (3) ou la faire dériver par influence, en lui apportant les changements nécessaires pour la faire entrer dans un processus œcuménique, afin de la faire œuvrer à une fausse unité ecclésiale, en contradiction avec l’Encyclique Mortalium Animos du Pape Pie XI, du 6 janvier 1928)  

 

(A suivre…« L’étendue de la Royauté du Christ »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

 

(1) Dans ce commandement, honorer veut dire : aimer, obéir, assister.

(2) Le Pape porte le glaive spirituel, le Roi le glaive temporel (Doctrine des deux glaives du Pape Boniface VIII dans sa Bulle Unam Sanctam, 18 novembre 1302)

(3) La destruction de l’Eglise catholique fut suggérée par les Grands Satrapes et Rabbins de Babylone au XVIe siècle, par une lettre à Chamor, rabbin des Juifs d’Arles (France) « (…) faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. »  (mis sur cette page le 24 mars 2020). C’est ce qui s’est fait sans oublier les Francs-Maçons, mais c’est peine perdue car les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle, c’est la promesse formelle de Jésus-Christ (St Matthieu XVI, 18 ). Cependant, ils pourront en faire apostasier beaucoup.

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

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