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dimanche 22 janvier 2023

Qui aime Jésus-Christ n'a point d'ambition en dehors de Jésus-Christ


      Jésus disant à Saint Pierre : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu plus que ceux-ci ? » (Saint Jean XXI, 15)


QUI AIME JESUS-CHRIST N’A POINT D’AMBITION 

EN DEHORS DE JESUS-CHRIST

 

     L’âme qui aime dieu ne se met en quête ni de l’estime ni de l’amour des hommes : son seul désir est de gagner le coeur de Dieu, unique objet de son amour.

« Les honneurs du monde, observe saint Hilaire, font l’affaire du démon. » En effet, c’est bien pour l’enfer que travaille notre ennemi quand il fait entrer dans une âme tous ces désirs d’être estimé : car, l’humilité une fois perdue, il n’est point de précipice où l’on ne risque de tomber. D’après saint Jacques, Dieu, dans la distribution de ses grâces, ouvre largement sa main aux humbles, mais il la ferme aux orgueilleux et leur résiste. « Il résiste aux superbes et donne sa grâce aux humbles. » (St Jacques V, 6). Il leur résiste, ce qui revient à dire : il n’écoute même pas leurs prières. Et c’est faire acte d’orgueil, certes, que d’ambitionner l’estime et de tirer vanité des honneurs reçus.

     A ce sujet, bien effrayante est l’histoire du frère Justin, de l’Ordre de saint François. Il était parvenu à un degré éminent de contemplation. Mais peut-être, ou plutôt certainement, nourrissait-il en son cœur un certain désir d’être estimé du monde ; or, voici ce qui lui arriva. Un jour, sur sa réputation de sainteté, il fut mandé par le pape Eugène IV, lequel le combla d’honneurs, l’embrassa et le fit asseoir à ses côtés. Après une telle faveur, frère Justin conçut une haute opinion de lui-même, ce qui lui valut des avertissements de saint Jean de Capistran : « Oh ! Frère Justin, ange vous êtes parti, et vous êtes revenu démon. » De fait, son orgueil grandit de jour en jour avec ses prétentions d’être traité suivant son mérite. Il finit par tuer d’un coup de couteau un de ses confrères ; il abandonna son ordre et s’enfuit à Naples, où, après une série de crimes, il mourut en prison, impénitent.

     Aussi, fort sage est cette réflexion d’un serviteur de Dieu :

« Quand nous entendons raconter la chute d’un Salomon, d’un Tertullien, d’un Osius, vrais cèdres du Liban, qui étaient en grande réputation de sainteté, nous devons y voir la preuve que leur donation à Dieu n’était pas entière, et qu’ils avaient entretenu dans leur cœur des sentiments d’orgueil : d’où leur prévarication. »

     Tremblons, lorsque nous voyons s’élever en nous quelque ambition de paraître ou d’être estimés. Le monde nous entoure-t-il d’honneurs, gardons-nous de toute vaine complaisance : elle pourrait amener notre ruine.

     Gardons-nous particulièrement d’être attachés au point d’honneur. Sainte Thérèse disait : « S’il y a des points d’honneur, on n’avancera jamais beaucoup. »

     Bien des personnes font profession de piété, mais restent idolâtres de leur propre estime. Elles ont bien certaines vertus de surface, mais elles y joignent la prétention d’être louées dans tous leurs faits et gestes. Si personne ne s’en charge, elles y suppléent elles-mêmes. En somme, leur préoccupation est d’être jugées meilleures que les autres. Et, si jamais elles se sentent touchées en ce point délicat, elles perdent la paix, laissent la communion, abandonnent leurs dévotions : elles ne retrouvent le calme qu’une fois persuadées qu’elles ont retrouvé tout leur ancien crédit. Telle n’est pas la conduite des vrais amis de Dieu. Attentifs à éviter la moindre parole qui les fasse valoir, éloignés de toute complaisance dans les éloges qu’on leur décerne, ils vont plus loin encore : la louange les attriste et ils se réjouissent de la mauvaise opinion qu’on pourrait avoir à leur endroit.

     Ah ! Saint François d’Assise avait bien raison de dire : « Je ne suis, en réalité, que ce que je suis devant Dieu. » A quoi bon être en grande estime auprès des hommes, si aux yeux de Dieu nous sommes vils et méprisables ? Par contre, qu’importent les mépris du monde, si Dieu nous regarde avec amour et complaisance ? Saint Augustin écrivait :

« Les éloges ne guérissent pas une conscience mauvaise, les blâmes ne nuisent pas à une bonne conscience. » Les éloges ne nous préserveront pas du châtiment mérité, les blâmes ne nous enlèveront pas notre juste récompense. « Que nous importe, s’écriait sainte Thérèse, d’être condamnés par les créatures, si à votre jugement, Seigneur, nous sommes innocents ? » Les saints souhaitaient de vivre inconnus et d’être très bas dans l’estime des hommes. « Quel tort nous fait-on, demande saint François de Sales, quand on a mauvaise opinion de nous ? Ne la devons-nous pas avoir telle de nous-mêmes ? »

     Peut-être que, nous sachons fort mauvais, nous voudrions néanmoins passer pour bons ? Ah ! Dans la vie cachée, quelle sécurité pour ceux qui veulent aimer cordialement Jésus-Christ ! Jésus lui-même nous en donna l’exemple. Trente années durant, il vécut obscur et dédaigné dans une échoppe d’artisan. A leur tour, les saints, pour être ignorés des hommes, sont allés habiter les déserts et les cavernes. Selon Saint Vincent de Paul, l’envie de paraître, de faire parler de soi avec honneur, de s’attirer les louanges par sa conduite, de passer pour avoir beaucoup de succès et opérer des merveilles, est un mal qui, nous faisant oublier Dieu, infecte nos actions les plus saintes, et nuit plus que tout autre vice à notre progrès dans la vie spirituelle.

     Celui qui veut progresser dans l’amour de Jésus-Christ, doit donc tuer en lui-même l’attachement à l’estime. Pour lui donner la mort, suivons le conseil de sainte Marie-Madeleine de Pazzi :

« Ce qui entretient cet appétit de l’estime, c’est la bonne opinion que l’on a de nous : se cacher pour être ignoré de tous sera donc lui donner la mort. Et tant que l’on n’arrive pas à cette mort, on ne sera pas un vrai serviteur de Dieu. »

     Ainsi, pour être agréables aux yeux de Dieu, il faut nous garder de l’envie de paraître et d’attirer les bonnes grâces de nos semblables. Combien plus nous devons tenir loin de nous l’ambitieuse pensée de dominer les autres. Sainte Thérèse écrivait pour ses religieuses :

« S’il se formait de petites coteries, des désirs de s’élever plus haut, il faudrait y apporter remède sur le champ. A la seule pensée que cela pourrait arriver un jour, il me semble que mon sang se glace dans mes veines. Quant à la religieuse qu’on verra être la cause du désordre, qu’on la fasse passer dans un autre monastère…Chassez loin de vous cette peste. Il vaut beaucoup mieux qu’on l’enferme pour toujours dans une prison que de la voir communiquer à toutes les autres une contagion aussi incurable. Oh ! Que ce mal est grand ! Quant à moi, j’aimerais mieux voir entrer dans ce monastère un feu qui nous consumât toutes. »

« Occuper la toute dernière place et avoir en horreur d’être préférée aux autres, voilà dit sainte Marie-Madeleine de Pazzi, l’honneur d’une âme adonnée à la perfection. »

     L’ambition d’une âme qui aime Dieu est d’être la première en humilité, suivant la recommandation de l’Apôtre : « Que chacun, en toute humilité, estime les autres comme lui étant supérieurs. » (Philippiens II, 3)

     En résumé, pour qui aime Jésus-Christ, il n’y a qu’un objet d’ambition, et c’est Dieu. (c’est moi qui met en gras)

(Extrait de « La pratique de l’amour envers Jésus-Christ » - Chapitre X)

- Saint Alphonse de Liguori -

René Pellegrini

- Certains lecteurs m’avaient écrit pour demander comment recevoir l’estime des hommes (et même pour devenir riches) cet extrait de Saint Alphonse de Liguori invite à méditer sur l’essentiel. 

Anciens articles à voir ou à revoir :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/11-certitudes-sur-lantechrist.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-retour-des-juifs-en-palestine-3.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/illuminisme-luciferien-en-milieu.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-recours-la-priere.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/preuves-scripturaires-de-la-royaute-du.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/lantechrist-ou-posterite-du-sepent.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/traite-du-saint-esprit-3-lavantage-du.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/priere-notre-dame-des-anges.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-avertissements-de-saint-jean-de-l.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-noms-de-lantechrist.html

mardi 7 juin 2022

Regardez l'étoile, invoquez Marie


REGARDEZ L’ETOILE, INVOQUEZ MARIE


Lorsque vous assaillent les vents des tentations, lorsque vous voyez paraître les écueils du malheur, regardez l’étoile, invoquez Marie.

Si vous êtes ballottés sur les vagues de l’orgueil, de l’ambition, de la calomnie, de la jalousie, regardez l’étoile, invoquez Marie.

Si la colère, l’avarice, les séductions charnelles viennent secouer la légère embarcation de votre âme, levez les yeux vers Marie.

Dans le péril, l’angoisse, le doute, pensez à Marie, invoquez Marie.

Que son nom ne quitte ni vos lèvres ni vos cœurs !

Et pour obtenir son intercession, ne vous détournez pas de son exemple.

En la suivant, vous ne vous égarerez pas.

En la suppliant, vous ne connaîtrez pas le désespoir.

En pensant à elle, vous éviterez toute erreur.

Si elle vous soutient, vous ne sombrerez pas ; si elle vous protège, vous n’aurez rien à craindre ; sous sa conduite vous ignorerez la fatigue ; grâce à sa faveur, vous atteindrez le but.

Ainsi soit-il



Prière de Saint Bernard de Clairvaux (1090-1153)

 

René Pellegrini

 


lundi 9 mai 2022

1789 et Etat islamique



 1789 ET L’ETAT ISLAMIQUE

     On prête à Voltaire d’avoir écrit :

« Le mensonge n'est un vice que quand il fait mal. C'est une très grande vertu quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours. Mentez, mes amis, mentez, je vous le rendrai un jour. » (Lettre à Thiriot du 21 octobre 1736).

     Un distingo tordu de Voltaire pour pouvoir ériger le mensonge (1) en vertu. On n’en attendait pas moins d’un ennemi juré du catholicisme, à l’image des fils spirituels modernes des Pharisiens, signant ses lettres d’exil depuis Ferney (Suisse) par : ECR.LINF, c’est-à-dire : « Ecrasez l’infâme » (L’Eglise catholique)

     Nos dirigeants politiques, toutes dénominations confondues, remplis d’ambition et de l’esprit destructeur de voltaire ont bien reçu le message car ce n’est pas « timidement » mais « comme un diable » et « hardiment et toujours » qu’ils mentent selon la leçon du maître, avec beaucoup d’aplomb. Dispensation généreuse de promesses (ce que les électeurs désirent entendre) et, ensuite, l’élection passée, le retour à la réalité et à la soumission aux directives d’instances étrangères, et instruments des véritables détenteurs du pouvoir : ceux qui, en coulisse, ont façonné ou favorisé leur émergence politique. Mais, pour donner le change aux citoyens, en bombe le torse, coups de menton, sourires généreux, gestes coléreux frisant parfois l’hystérie, pour continuer la comédie et en imposer aux naïfs.

     Quant à moi, il n’y a pas photo. Je préfère écouter la leçon de Jésus-Christ sur la paternité et la finalité apocalyptique des menteurs :

« Vous avez le diable pour père (…) il n’y a pas de vérité en lui, lorsqu’il parle mensonge, il parle de son propre fonds, parce qu’il est menteur et le Père du mensonge. » (St Jean VIII, 44)

« Loin d’ci (…) quiconque aime et pratique le mensonge. » (Apocalypse XXII, 15)

     Et l’exhortation apostolique de Saint Paul :

« C’est pourquoi, quittant le mensonge, que chacun de vous dise la vérité avec son prochain (…) » (Ephésiens IV, 25)

     Quels rapports, me direz-vous, entre 1789 et la révolution de l’Etat islamique ? J’y viens ! Car la réalisation actuelle de celui-ci met en évidence les pratiques et le mensonge entretenus sur celle-là.    

     La Révolution de l’Etat islamique, ou Daech, se caractérise par sa barbarie et la Terreur qu’elle instille dans les populations : décapitations publiques et leur propagande mondiale par vidéos, massacres de femmes, d’enfants, de vieillards, des viols, des tortures, destruction de sites archéologiques, de statues, de monuments. Désir d’exporter cette révolution islamique dans tous les pays. Tout ceci suscitant, à juste titre, de l’horreur et de l’indignation dans le monde occidental et ailleurs.

     Quelle fut la caractéristique de 1789 et de ses suites ? : Comme pour Daech, la barbarie et la Terreur instillées dans les populations par les criminels que furent Carrier et les colonnes infernales de Turreau. Des charrettes de condamnés guillotinés publiquement (pas de vidéos à l’époque), des massacres de femmes, d’enfants et de vieillards, des viols, des tortures, confiscation des biens d’Eglise, des noyades, des destructions de monastères et, comble de l’horreur, jusqu’au tannage de peaux humaines, etc. Et, continuation du carnage en Europe, avec les guerres napoléoniennes. Depuis lors, des montagnes de cadavres n’ont cessé de s’accumuler, en tous lieux, par l’exportation et l’imposition des idéaux de l’Etat républicain démocratique et révolutionnaire. Voilà le vrai visage humaniste du sang ''pur'' des promoteurs et chantres des Droits de l’homme et de la République, leur bilan et leurs insanités morales jusqu’à notre époque.

     Vous, média, politiques et gens du peuple, vous êtes indignés, horrifiés, à juste titre, par la barbarie et l’inhumanité de Daech, mais que faîtes-vous le 14 juillet sinon célébrer, sans vergogne, celles de 1789 et ses prétentions européennes et mondiales ? Auriez-vous l’horreur sélective ? Ce jour devrait être un jour d’exécration et de repentance, pour toutes les ignominies commises, mais surtout pas un jour de fête.

     En France laïque et apostate on aime faire mémoire mais pas à toutes ces victimes, et pour le génocide vendéen qu’on s’efforce d’oublier ! Alors que, sans discontinuer, on ne se prive pas de rappeler la Shoah et tout ce qui contribue à la remémorer, à grands renforts médiatiques et télévisuels. Ce parti pris idéologique orienté est honteux et scandaleux ! Mais, à quoi bon s’étonner puisque cela ne fait que refléter l’état d’esprit judéo-maçonnique foncièrement anticatholique et antichrist (2) de ceux qui nous dirigent depuis deux siècles, et auxquels vous n’oubliez pas d’apporter votre grain d’encens, élection après élection. Qu’espèrez-vous donc naïfs que vous êtes, ne perdez plus votre temps en vous déplaçant pour des citernes sans eau ?

     Catholiques, réveillez-vous ! Ils ne sont plus crédibles, piétinant ou laissant piétiner les choses saintes comme des porcs et salissant tout ce qu’ils touchent. Il n’y a aucun salut à attendre de leur part, ils sont descendus trop bas dans leur mépris de Dieu. Les choses sont allées beaucoup trop loin. Vous ne pouvez plus que prier pour eux en espérant que Dieu, dans sa miséricorde, daigne leur accorder une grâce de conversion. Jusqu’à ce jour, par votre laxisme, votre indifférence, votre complaisance et votre lâcheté envers les ennemis de votre foi chrétienne, vous n’êtes pas sans reproches devant Dieu et devant les hommes. Désormais, il n’y a de salut temporel pour la France, et in fine de salut éternel pour les âmes, qu’en la plaçant sous l’étendard du Christ par le retour confiant et sincère vers les enseignements de Dieu, de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de l’Eglise, et en y réglant sa vie. Sûrement pas en vous plaçant sous l’étendard de l’immonde prostituée républicaine ne dégageant plus qu’une puanteur morale et de mort, et en vous faisant complice de ses prochaines lois iniques.

     Quand la télévision, la presse et les media auront-ils le courage, et l’honnêteté intellectuelle, de débattre de ce que fut réellement la Révolution de 1789 et de ses vraies motivations, non avec des intervenants consensuels ou acquis à cette monstruosité, mais avec de vrais contradicteurs - en nombre égal avec les opposants - apportant faits et documents chiffrés ?

     Interrogation illusoire car ce genre de demande concernant pourtant des faits historiques sera immédiatement considérée comme révisionniste, négationiste…et autres poncifs véhiculés par les tartufes et les petits et grands gestapistes de la police de la pensée. Ces mots fonctionnant comme une mise au ban de la société par les fabricants stipendiés de l’opinion publique et de l’histoire nationale. La vérité ferait-elle peur pour que des faits historiques s’entourent de tout un arsenal juridique et de menaces pour l’intimider et la museler ?

     Ainsi, en tous lieux et à toutes les époques, toutes les révolutions se ressemblent et produisent les mêmes résultats. Leurs ingrédients de sauvagerie sont les mêmes, qu’elles soient françaises, bolchevique, maoïste, Khmers rouges ou islamiste. Elles ne sont pas affaire de génération spontanée, comme on s’efforce de nous le faire croire, mais de l’utilisation de mécontentements dans un pays et de leur excitation, appuyée par une aide logistique et des soutiens financiers extérieurs dans un but de remodelage politique, géographique et spirituelle, en vue d’une domination mondiale. Elles sont provoquées et ne servent qu’à faire avancer la mise en place des conditions nécessaires permettant de satisfaire ce rêve inavoué de domination universelle, mais poursuivi méthodiquement, de génération en génération, par les « idiots utiles » Francs-Maçons des cercles inférieurs qu’utilisent, pour un temps, leurs géniteurs juifs kabbalistes, tireurs de ficelles et vrais maîtres du jeu de ce groupe de Hauts Initiés que certains nomment (Deep State ou Etat profond).

     D’où, la folie furieuse des inconscients politiques ou sans étiquette qui poussent à la Révolution. Voir sur cette Page les différentes publications sur la Révolution.

VOUS POUVEZ FAIRE CIRCULER ET PARTAGER LIBREMENT (Youtube et autres plateformes) vers députés, ou autres personnes de votre choix.

 

René Pellegrini

 

(1) Ne pas confondre avec l’erreur qui est humaine. 

(2) Ne pas confondre avec l’Antéchrist du gouvernement mondial juif qui doit venir précédé d’un avant-coureur de l’Antéchrist. (Prophétie de la Salette)

 

Mis sur un autre blogue le 15 juin 2015

dimanche 1 mai 2022

La marque de l'esprit révolutionnaire et ses causes



LA MARQUE DE L’ESPRIT REVOLUTIONNAIRE ET SES CAUSES

 

     Une bonne appréciation de ce que sont la Révolution et l’esprit révolutionnaire aide à comprendre qu’en politique se dire de gauche ou de droite, de multiplier stupidement les sigles d’appartenance pour mieux égarer ou embarrasser l’électeur, n’est pas le critère fondamental pour juger de l’esprit et des finalités qui animent réellement les prétendants à une élection présidentielle, à la députation ou à des charges publiques. En effet, il est patent que l’esprit révolutionnaire souffle dans ces diverses composantes politiques eu égard à la place qu’ils se refusent d’accorder à Dieu Notre-Seigneur (ce qui devrait être en haut) dans leur programme respectif.

     Ainsi, la pierre de touche, la marque, le propre et le constant du système et de l’esprit révolutionnaires, ce qui permet de les reconnaître comme tels sous leurs différents masques (droite, gauche, centre, etc.), et de ceux qui s’y agrègent – qu’elles que soient les divisions et les animosités qu’ils affichent sur le grand théâtre de Guignol qu’est devenu la scène politique - c’est leur refus caractéristique et catégorique (chacun selon ses propres termes) de la Royauté de Notre Seigneur Jésus-Christ sur eux-mêmes et sur notre pays. Ce que je dis à propos du système et de l’esprit révolutionnaire français est aussi valable pour les prétendants politiques d’autres pays que la France. C’est-à-prendre en considération si vous n’êtes pas encore guéri du suffrage universel (le Père Noël des grandes personnes) aux dés pipés.

     De la place accordée à Dieu Notre-Seigneur dans la société civile et politique (qui ne peut être que la première) découle l’esprit qui anime réellement les institutions ainsi que les individus qui les défendent et les soutiennent, que ceux-ci s’affichent ouvertement révolutionnaires ou non, quand bien même vont-ils à l’Eglise, au temple, à la mosquée ou à la synagogue ; quand bien même sont -ils religieux, prêtres, évêques, cardinaux, ‘’papes’’, pasteurs, imams ou rabbins.

     Le fait que des hommes politiques aillent à l’Eglise n’est pas du tout une garantie. Ce qui importe, surtout, une fois sortie de l’Eglise, quelle place accorde-t-il à Jésus-Christ dans la vie publique : la première qui Lui revient de droit, ou dans le local des objets encombrants en attendant la prochaine Messe, lorsqu’il ne s’agit pas d’une présence hypocrite à caractère uniquement électoral ?

     Pour en terminer avec l’aspect révolutionnaire, il suffira de dire, succinctement, qu’examiner sous l’angle métaphysique, quatre causes prédisposent à la Révolution et à l’esprit révolutionnaire faisant agir, en paroles et en actions, à rebours de sa profession de foi informée par l’enseignement de l’Eglise et de l’Evangile :

- La cause formelle « Les hommes naissent libres et égaux en droits » contenue dans cette imposture qui fait tourner les têtes avant de les faire tomber : le mantra et faux principe révolutionnaire « Liberté–Egalité–Fraternité » d’origine maçonnique. A la naissance il n’y a pas plus dépendant que le nouveau-né. Quant aux droits ils doivent être compris dans leur sens révolutionnaire c’est-à-dire comme la négation même des droits de Dieu (1). Les mots de cette trilogie ont séduit beaucoup de Catholiques car s’ils sont acceptables pour un chrétien, leur contenu est différent examiné à la lumière des principes du christianisme.

- La cause matérielle : les hommes qui se laissent imposer cette cause formelle qui, prise dans un sens différent du christianisme, les amène progressivement à l’indifférence religieuse ou à la révolte contre Dieu, en ne lui attribuant pas la place, le respect, l’honneur et l’obéissance qui lui sont dus dans et par la société, ou qui se laissent séduire par la sonorité agréable mais mensongère des mots.

- La cause efficiente : le Diable ou Satan et les démons agissant sur la société par le moyen d’une double cause instrumentale : la Franc-maçonnerie et son inspirateur le judaïsme kabbalistique et talmudique (la gnose juive). Cette cause efficiente explique pourquoi la Révolution demeure et se perpétue, avec des hommes et sous des masques idéologiques différents : son inspirateur, Lucifer étant immortel de par sa nature spirituelle qu’il a conservée, après sa révolte contre Dieu son Créateur, devenant ainsi Satan ou adversaire de Dieu, et dont l’orgueilleuse ambition et le travail constant sont de recevoir par les hommes l’adoration que lui a refusé Jésus-Christ lors de sa troisième tentation. Adoration qu’il recevra par le moyen de l’Antéchrist et de ceux qui seront à son service à la fin des temps, pour livrer le dernier assaut contre l’Eglise qui aura été restaurée durant la sixième période de son histoire (Eglise de Philadelphie = Eglise de l’amour fraternel (Apocalypse III, 7-13), et avant le retour en gloire de Jésus-Christ.

- La cause finale ou le but : d’abord, le remplacement de l’aristocratie chrétienne par une aristocratie juive et gnostique et, ensuite, la damnation du plus grand nombre.

 

René Pellegrini

 

(1) Se rappeler que la Franc-Maçonnerie étant d’inspiration juive, le Talmud, le code morale et religieux des Juifs, enseigne que seul le Juif est un homme, les autres ne sont que des animaux. C’est une erreur de croire, et de faire accroire, que les Juifs sont nos ‘’frères aînés’’ car les rabbins ne suivent pas Moïse selon les enseignements de l’ancienne Synagogue fidèle jusqu’à Siméon le Juste, dépositaire de la tradition et grand prêtre après la mort d’Esdras le prophète. Les fameux ‘’frères aînés’’ suivent les enseignements des planificateurs du meurtre de Jésus-Christ jusqu’à nos jours, car pour eux le Talmud – l’expression écrite de la tradition des pharisiens - est au-dessus de Moïse. Depuis la crucifixion de Jésus, ils sont nos ‘’frères aînés’’ comme Caïn, l’aîné, l’était avec Abel.

 

Ultérieurement, si Dieu veut, on examinera ce qu’est la Contre-révolution et ce qu’il faut entendre par ce mot dans une optique chrétienne.

 

Mis sur un autre blogue le 9 janvier 2014 


 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...