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jeudi 1 septembre 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 6 : L'antisémitisme, une arme de propagande


 ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 6

L’ANTISEMITISME, UNE ARME DE PROPAGANDE 

     Au XIXe siècle, le Juif Bernard Lazare écrivit :

« Partout où les Juifs, cessant d’être une nation prête à défendre sa liberté et son indépendance se sont établis, partout s’est développé l’antisémitisme, ou plutôt l’antijudaïsme, car l’antisémitisme est un mot mal choisi, qui n’a sa raison d’être que de notre temps, quand on a voulu élargir cette lutte du Juif et des peuples chrétiens, et lui donner une philosophie en même temps qu’une raison plus métaphysique que matérielle. Si cette hostilité, cette répugnance même, ne s’étaient exercées vis-à-vis des Juifs qu’en un temps et en un pays, il serait facile de démêler les causes restreintes de ces colères ; mais cette race a été, au contraire, en butte à la haine de tous les peuples au milieu desquels elle s’est établie.  Il faut donc, puisque les ennemis des Juifs appartenaient aux races les plus diverses, qu’ils vivaient dans des contrées fort éloignées les unes des autres, qu’ils étaient régis par des lois différentes, gouvernés par des principes opposés, qu’ils n’avaient ni les mêmes mœurs, ni les mêmes coutumes, qu’ils étaient animés d’esprits dissemblables ne leur permettant pas de juger également de toutes choses, il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidées en Israël même et non chez ceux qui les combattent. » (Livre l’Antisémitisme, 1894, page 4)

     Trois remarques dans cet extrait :

- Une vérité : L’antisémitisme (mot relativement récent) est bien différencié de l’antijudaïsme car c’est bien l’enseignement du judaïsme, et non l’appartenance raciale qui fait problème. (1)

- Des inexactitudes (sont-elles volontaires ?) lorsqu’il dit : « les Juifs, cessant d’être une nation ». En effet, ils n’ont jamais cessé, bien que dispersée, d’être une nation avec ses propres lois civiles et religieuses, comme je me suis efforcé de le montrer avec trois articles, voir ici : 

- Le gouvernement occulte d'Israël (2 articles) et les fruits de la Kabbale dans l'histoire, ici : https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-gouvernement-occulte-disrael-1-la.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-2-les.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-3.html

     D’autre part, ils n’ont jamais « cessé de défendre leur liberté et leur indépendance ». Etant, partout, un Etat dans l’Etat. Bien entendu, liberté et indépendance selon leur conception kabbaliste et talmudique les amenant à conspirer continuellement, à cet effet, à l’intérieur des nations hôtes.

- Un aveu lorsque Lazare nous dit « partout s’est développé l’antisémitisme ». Les Juifs sont-ils donc fondés de parler continuellement de haine ‘’antisémite’’ ? Un bémol : comme l’indique la citation, ils rencontrent ce problème face à toutes les races quels que soient les lois et les principes qui régissent ces peuples. Sauf à considérer que ces races et peuples divers soient tous pris de folie furieuse dès qu’ils sont face à des Juifs, il faut donc admettre qu’ils sont incapables de se plier « aux lois, principes et mœurs » qui régissent les autres peuples, aussi divers soient-ils. Il faut donc conclure que « les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidées en Israël même et non chez ceux qui les combattent ». Par leur orgueil, leurs complots, leurs mœurs et l’usure enseignés par le judaïsme corrompu, les Juifs se rendaient insupportables au sein des peuples dans lesquels ils vivaient, et provoquaient une saine réaction à leur encontre, même si parfois elle fut brutale.

     Quel aveu ! Ainsi, c’est Israël lui-même qui fabrique l’antisémitisme, le suscite, le téléguide et l’utilise à son avantage. Pauvres Juifs, vos rabbins et vos élites sans scrupules vous manipulent et se servent de vous pour atteindre leur but antéchristique. L’antisémitisme est donc, en définitive, une création juive. Mais pourquoi agir de la sorte, en mettant en danger ses propres coreligionnaires ?

     Pour le comprendre, il faut considérer non pas les Juifs qui ont peu ou pas d’influence, c’est-à-dire ceux qui suivent plus ou moins les enseignements rabbiniques, mais ceux qui dirigent vraiment, le gouvernement occulte de la nation juive, ceux qui rêvent et travaillent toujours pour leur domination sur le monde. Ceux-ci, avaient une double crainte :

     1 - Que la nation juive dispersée se fasse absorber par les nations hôtes, car l’histoire leur a appris que ce phénomène d’absorption à fait disparaître bien des peuples.

     2 - Que les Juifs finissent par se convertir au catholicisme, à l’Eglise catholique qui demeure le seul et véritable ennemi des successeurs des pharisiens « ceux qui ont le diable pour père et veulent accomplir ses désirs » et profanateurs de l’enseignement de de la Synagogue fidèle. Sûrement pas l’Eglise conciliaire pour qui les apostats de la Synagogue infidèle et falsificateurs prouvés de la Torah sont nos ‘’frères aînés’’ ! Ils sont frères comme « Caïn qui était enfant du malin et qui tua son frère » (I Jean III, 12). Mort physique pour Abel, et mort physique par nos ‘’frères aînés’’ avec les guerres et révolutions qu’ils ont fomentées et financées, l’avortement par la panthéonisée Simone Veil, la contraception par Lucien Neuwirth, et mort spirituelle avec les fausses doctrines philosophiques, morales, politiques et religieuses inoculées dans la société chrétienne.

     Eh, les apostats du Vatican moderniste, vous n’avez pas d’autres frères à nous proposer que des fils spirituels de criminels impénitents et continuateurs de leurs œuvres mauvaises au sein de ce qui reste de la société chrétienne ?

     Pour atteindre leur objectif final de domination mondiale, une fois acquis les droits civiques et politiques par cette erreur fondamentale de l’émancipation, les chefs occultes de la Synagogue infidèle devaient se doter de moyens permettant de faire obstacle à ces deux dangers menaçants la pérennité de la nation juive, en utilisant toutes les possibilités offertes par la Révolution, et dont ils ne sont pas étrangers :

     Ce fut l’antisémitisme car nous savons que « les causes générales de l’antisémitisme (ont) toujours résidées en Israël même ». Le Juif est certainement l’être le plus individualiste et insociable qui soit mais, confronté à la persécution, la communauté juive resserre ses liens. L’antisémitisme était donc de nature à constituer un bouclier destiné à les protéger, et à les ressouder dans leur orgueil de race, face à ce double danger. La Shoah, érigée en dogme républicain infaillible, diffusée, propagée et commémorée sur tous les supports disponibles, jusqu’à plus soif, pourrait être analysée sous cet angle.

     Les deux dogmes républicains que sont l’antisémitisme et la Shoah s’appuient sur des faits réels, mais discutables sur certains points, et une certaine occultation des causes qui préparèrent et provoquèrent les phénomènes déclencheurs avec leurs conséquences (2). Ils sont des armes de propagande juive et une auto-défense qui vise un quadruple objectif :

     - Lutter contre l’absorption de la nation juive dispersée,

     - Empêcher ou atténuer le plus possible les conversions de Juifs au catholicisme.

     - Susciter de plus en plus de difficultés aux Catholiques qui mettent en garde contre leurs doctrines religieuses, morales, philosophiques, politiques et sociales.

     - Travailler plus sereinement, et pratiquement sans entrave avec des lois sur mesure, à leur rêve de domination mondiale par le faux messie juif que sera l’Antéchrist dont les mœurs sont déjà à l’œuvre de nos jours

     Tel est but assigné à l’antisémitisme et le piège dans lequel tombent, par ignorance, lâcheté ou complicité, les hommes politiques et bien des Catholiques ainsi que des personnes d’autres confessions religieuses subjuguées par le sionisme.

     C’est donc une vérité bien établie, et vérifiée par l’histoire, de l’inspiration de Saint Paul (le mal aimé des Juifs et pour cause) lorsqu’il écrit à l’Eglise de Thessalonique, concernant les Juifs « qui sont ennemis de tous les hommes » (I Thessaloniciens II, 15). Comment ne pas l’être lorsqu’on perpétuant le pharisaïsme, on valide un enseignement qui tue Celui qui vient enseigner et proclamer d’aimer son prochain ou l’étranger comme le demandait Moïse « Aimez donc les étrangers, parce que vous l’avez été vous-mêmes en Egypte » (Deutéronome X, 19 ; Lévitique XIX, 18,34 ; etc.)

     Nous ne pouvons pas leur faire confiance ainsi qu’à leurs créatures, les Francs-maçons, tant qu’ils resteront fixés sur l’enseignement des rabbins kabbalistes et talmudistes ou, si ayant plus ou moins pris leur distance avec eux, ils appliquent dans leur vie morale, philosophique, politique et sociale certains des enseignements délétères avec lesquels ils ont été formés en les adaptant à la modernité. Ils sont nos ennemis séculaires car le catholicisme est l’antithèse de leur judaïsme, et ils doivent être dénoncés comme tels. Assez de lâcheté, de complaisance coupable chez les Catholiques ! Pour les autres, c’est leur affaire.

     Cependant, en ôtant leurs masques, nous ne devons jamais oublier l’ordre de Notre-Seigneur Jésus-Christ « Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous persécutent et qui vous calomnient » (St Matthieu V, 44) : Un abîme avec les enseignements du Talmud et ceux du Coran. Les aimer en ne leur cachant pas ce que beaucoup doivent ignorer, en les aidant s’ils sont dans le besoin, s’ils ont faim et soif, comme nous le ferions avec toute autre personne, et prier pour que Dieu leur accorde la grâce de conversion. Nous sommes chrétiens avant toute autre chose, et notre Exemple et Maître, en paroles et en actes, c’est le Fils de Dieu fait homme qui n’a pas craint, devant ses ennemis pharisiens, de leur dire en termes peu amènes, ce qu’ils étaient au-delà des apparences. Franchise de Jésus qui, par la suite, a permis au cœur droit de Gamaliel, membre du sanhédrin, de devenir chrétien.

     Les vrais fils d’Israël sauront reconnaître, comme bon nombre de leurs ancêtres, que Jésus de Nazareth est le vrai Messie qu’ils attendaient, que leurs chefs religieux ont exécuté, en poussant l’ignominie jusqu’à falsifier des textes de la Sainte Ecriture, et que son enseignement est tout entier dirigé vers l’amour du prochain quel qu’il soit, et non la haine talmudiste envers le non-Juif.

     Pour notre consolation et notre joie nous savons, par Saint Paul, qu’à la fin des temps eu égard à l’amour et la promesse de Dieu pour leurs pères, que les enfants d’Israël reviendront de leurs égarements. Dieu, leur redonnant l’intelligence des Ecritures sur le Messie qu’ils ont rejeté. Que vienne ce jour béni où, enfin, Juifs et Gentils (non-Juifs) constitueront ensemble cette prophétie de l’Apôtre « Tout Israël sera sauvé. » (Romains XI, 25 ; Isaïe LIX, 20). Les uns (Gentils) ayant méconnus le Christ jusqu’au rejet par les Juifs, les autres (Juifs) l’ayant majoritairement renié à sa venue.

     A vous les Juifs qui me lisez, c’est sans haine que je vous dis : « Délaissez le Talmud, prenez la Bible hébraïque et vous verrez que les docteurs de l’ancienne synagogue fidèle (Traité du Sanhédrin, Zohar, Targums de Jérusalem et de Babylone) décrivaient sans doute possible Jésus de Nazareth comme votre Messie, et elle ne salissaient pas sa Sainte Mère en ne manipulant pas comme certains de vos rabbins et les protestants en général, les diverses significations des mots « Alma » et « Betula » pour nier sa virginité et la salir. »

René Pellegrini

(1) Voir les 5 autres liens de la rubrique Antisémitisme et antijudaïsme sur ce blogue.

(2) En toutes choses (morales, politiques, sociales, etc.) se vérifie, en bien ou en mal, le principe : « on récolte ce que l’on sème » (Galates VI, 7-8)


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