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jeudi 1 septembre 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 6 : L'antisémitisme, une arme de propagande


 ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 6

L’ANTISEMITISME, UNE ARME DE PROPAGANDE 

     Au XIXe siècle, le Juif Bernard Lazare écrivit :

« Partout où les Juifs, cessant d’être une nation prête à défendre sa liberté et son indépendance se sont établis, partout s’est développé l’antisémitisme, ou plutôt l’antijudaïsme, car l’antisémitisme est un mot mal choisi, qui n’a sa raison d’être que de notre temps, quand on a voulu élargir cette lutte du Juif et des peuples chrétiens, et lui donner une philosophie en même temps qu’une raison plus métaphysique que matérielle. Si cette hostilité, cette répugnance même, ne s’étaient exercées vis-à-vis des Juifs qu’en un temps et en un pays, il serait facile de démêler les causes restreintes de ces colères ; mais cette race a été, au contraire, en butte à la haine de tous les peuples au milieu desquels elle s’est établie.  Il faut donc, puisque les ennemis des Juifs appartenaient aux races les plus diverses, qu’ils vivaient dans des contrées fort éloignées les unes des autres, qu’ils étaient régis par des lois différentes, gouvernés par des principes opposés, qu’ils n’avaient ni les mêmes mœurs, ni les mêmes coutumes, qu’ils étaient animés d’esprits dissemblables ne leur permettant pas de juger également de toutes choses, il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidées en Israël même et non chez ceux qui les combattent. » (Livre l’Antisémitisme, 1894, page 4)

     Trois remarques dans cet extrait :

- Une vérité : L’antisémitisme (mot relativement récent) est bien différencié de l’antijudaïsme car c’est bien l’enseignement du judaïsme, et non l’appartenance raciale qui fait problème. (1)

- Des inexactitudes (sont-elles volontaires ?) lorsqu’il dit : « les Juifs, cessant d’être une nation ». En effet, ils n’ont jamais cessé, bien que dispersée, d’être une nation avec ses propres lois civiles et religieuses, comme je me suis efforcé de le montrer avec trois articles, voir ici : 

- Le gouvernement occulte d'Israël (2 articles) et les fruits de la Kabbale dans l'histoire, ici : https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-gouvernement-occulte-disrael-1-la.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-2-les.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-3.html

     D’autre part, ils n’ont jamais « cessé de défendre leur liberté et leur indépendance ». Etant, partout, un Etat dans l’Etat. Bien entendu, liberté et indépendance selon leur conception kabbaliste et talmudique les amenant à conspirer continuellement, à cet effet, à l’intérieur des nations hôtes.

- Un aveu lorsque Lazare nous dit « partout s’est développé l’antisémitisme ». Les Juifs sont-ils donc fondés de parler continuellement de haine ‘’antisémite’’ ? Un bémol : comme l’indique la citation, ils rencontrent ce problème face à toutes les races quels que soient les lois et les principes qui régissent ces peuples. Sauf à considérer que ces races et peuples divers soient tous pris de folie furieuse dès qu’ils sont face à des Juifs, il faut donc admettre qu’ils sont incapables de se plier « aux lois, principes et mœurs » qui régissent les autres peuples, aussi divers soient-ils. Il faut donc conclure que « les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidées en Israël même et non chez ceux qui les combattent ». Par leur orgueil, leurs complots, leurs mœurs et l’usure enseignés par le judaïsme corrompu, les Juifs se rendaient insupportables au sein des peuples dans lesquels ils vivaient, et provoquaient une saine réaction à leur encontre, même si parfois elle fut brutale.

     Quel aveu ! Ainsi, c’est Israël lui-même qui fabrique l’antisémitisme, le suscite, le téléguide et l’utilise à son avantage. Pauvres Juifs, vos rabbins et vos élites sans scrupules vous manipulent et se servent de vous pour atteindre leur but antéchristique. L’antisémitisme est donc, en définitive, une création juive. Mais pourquoi agir de la sorte, en mettant en danger ses propres coreligionnaires ?

     Pour le comprendre, il faut considérer non pas les Juifs qui ont peu ou pas d’influence, c’est-à-dire ceux qui suivent plus ou moins les enseignements rabbiniques, mais ceux qui dirigent vraiment, le gouvernement occulte de la nation juive, ceux qui rêvent et travaillent toujours pour leur domination sur le monde. Ceux-ci, avaient une double crainte :

     1 - Que la nation juive dispersée se fasse absorber par les nations hôtes, car l’histoire leur a appris que ce phénomène d’absorption à fait disparaître bien des peuples.

     2 - Que les Juifs finissent par se convertir au catholicisme, à l’Eglise catholique qui demeure le seul et véritable ennemi des successeurs des pharisiens « ceux qui ont le diable pour père et veulent accomplir ses désirs » et profanateurs de l’enseignement de de la Synagogue fidèle. Sûrement pas l’Eglise conciliaire pour qui les apostats de la Synagogue infidèle et falsificateurs prouvés de la Torah sont nos ‘’frères aînés’’ ! Ils sont frères comme « Caïn qui était enfant du malin et qui tua son frère » (I Jean III, 12). Mort physique pour Abel, et mort physique par nos ‘’frères aînés’’ avec les guerres et révolutions qu’ils ont fomentées et financées, l’avortement par la panthéonisée Simone Veil, la contraception par Lucien Neuwirth, et mort spirituelle avec les fausses doctrines philosophiques, morales, politiques et religieuses inoculées dans la société chrétienne.

     Eh, les apostats du Vatican moderniste, vous n’avez pas d’autres frères à nous proposer que des fils spirituels de criminels impénitents et continuateurs de leurs œuvres mauvaises au sein de ce qui reste de la société chrétienne ?

     Pour atteindre leur objectif final de domination mondiale, une fois acquis les droits civiques et politiques par cette erreur fondamentale de l’émancipation, les chefs occultes de la Synagogue infidèle devaient se doter de moyens permettant de faire obstacle à ces deux dangers menaçants la pérennité de la nation juive, en utilisant toutes les possibilités offertes par la Révolution, et dont ils ne sont pas étrangers :

     Ce fut l’antisémitisme car nous savons que « les causes générales de l’antisémitisme (ont) toujours résidées en Israël même ». Le Juif est certainement l’être le plus individualiste et insociable qui soit mais, confronté à la persécution, la communauté juive resserre ses liens. L’antisémitisme était donc de nature à constituer un bouclier destiné à les protéger, et à les ressouder dans leur orgueil de race, face à ce double danger. La Shoah, érigée en dogme républicain infaillible, diffusée, propagée et commémorée sur tous les supports disponibles, jusqu’à plus soif, pourrait être analysée sous cet angle.

     Les deux dogmes républicains que sont l’antisémitisme et la Shoah s’appuient sur des faits réels, mais discutables sur certains points, et une certaine occultation des causes qui préparèrent et provoquèrent les phénomènes déclencheurs avec leurs conséquences (2). Ils sont des armes de propagande juive et une auto-défense qui vise un quadruple objectif :

     - Lutter contre l’absorption de la nation juive dispersée,

     - Empêcher ou atténuer le plus possible les conversions de Juifs au catholicisme.

     - Susciter de plus en plus de difficultés aux Catholiques qui mettent en garde contre leurs doctrines religieuses, morales, philosophiques, politiques et sociales.

     - Travailler plus sereinement, et pratiquement sans entrave avec des lois sur mesure, à leur rêve de domination mondiale par le faux messie juif que sera l’Antéchrist dont les mœurs sont déjà à l’œuvre de nos jours

     Tel est but assigné à l’antisémitisme et le piège dans lequel tombent, par ignorance, lâcheté ou complicité, les hommes politiques et bien des Catholiques ainsi que des personnes d’autres confessions religieuses subjuguées par le sionisme.

     C’est donc une vérité bien établie, et vérifiée par l’histoire, de l’inspiration de Saint Paul (le mal aimé des Juifs et pour cause) lorsqu’il écrit à l’Eglise de Thessalonique, concernant les Juifs « qui sont ennemis de tous les hommes » (I Thessaloniciens II, 15). Comment ne pas l’être lorsqu’on perpétuant le pharisaïsme, on valide un enseignement qui tue Celui qui vient enseigner et proclamer d’aimer son prochain ou l’étranger comme le demandait Moïse « Aimez donc les étrangers, parce que vous l’avez été vous-mêmes en Egypte » (Deutéronome X, 19 ; Lévitique XIX, 18,34 ; etc.)

     Nous ne pouvons pas leur faire confiance ainsi qu’à leurs créatures, les Francs-maçons, tant qu’ils resteront fixés sur l’enseignement des rabbins kabbalistes et talmudistes ou, si ayant plus ou moins pris leur distance avec eux, ils appliquent dans leur vie morale, philosophique, politique et sociale certains des enseignements délétères avec lesquels ils ont été formés en les adaptant à la modernité. Ils sont nos ennemis séculaires car le catholicisme est l’antithèse de leur judaïsme, et ils doivent être dénoncés comme tels. Assez de lâcheté, de complaisance coupable chez les Catholiques ! Pour les autres, c’est leur affaire.

     Cependant, en ôtant leurs masques, nous ne devons jamais oublier l’ordre de Notre-Seigneur Jésus-Christ « Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous persécutent et qui vous calomnient » (St Matthieu V, 44) : Un abîme avec les enseignements du Talmud et ceux du Coran. Les aimer en ne leur cachant pas ce que beaucoup doivent ignorer, en les aidant s’ils sont dans le besoin, s’ils ont faim et soif, comme nous le ferions avec toute autre personne, et prier pour que Dieu leur accorde la grâce de conversion. Nous sommes chrétiens avant toute autre chose, et notre Exemple et Maître, en paroles et en actes, c’est le Fils de Dieu fait homme qui n’a pas craint, devant ses ennemis pharisiens, de leur dire en termes peu amènes, ce qu’ils étaient au-delà des apparences. Franchise de Jésus qui, par la suite, a permis au cœur droit de Gamaliel, membre du sanhédrin, de devenir chrétien.

     Les vrais fils d’Israël sauront reconnaître, comme bon nombre de leurs ancêtres, que Jésus de Nazareth est le vrai Messie qu’ils attendaient, que leurs chefs religieux ont exécuté, en poussant l’ignominie jusqu’à falsifier des textes de la Sainte Ecriture, et que son enseignement est tout entier dirigé vers l’amour du prochain quel qu’il soit, et non la haine talmudiste envers le non-Juif.

     Pour notre consolation et notre joie nous savons, par Saint Paul, qu’à la fin des temps eu égard à l’amour et la promesse de Dieu pour leurs pères, que les enfants d’Israël reviendront de leurs égarements. Dieu, leur redonnant l’intelligence des Ecritures sur le Messie qu’ils ont rejeté. Que vienne ce jour béni où, enfin, Juifs et Gentils (non-Juifs) constitueront ensemble cette prophétie de l’Apôtre « Tout Israël sera sauvé. » (Romains XI, 25 ; Isaïe LIX, 20). Les uns (Gentils) ayant méconnus le Christ jusqu’au rejet par les Juifs, les autres (Juifs) l’ayant majoritairement renié à sa venue.

     A vous les Juifs qui me lisez, c’est sans haine que je vous dis : « Délaissez le Talmud, prenez la Bible hébraïque et vous verrez que les docteurs de l’ancienne synagogue fidèle (Traité du Sanhédrin, Zohar, Targums de Jérusalem et de Babylone) décrivaient sans doute possible Jésus de Nazareth comme votre Messie, et elle ne salissaient pas sa Sainte Mère en ne manipulant pas comme certains de vos rabbins et les protestants en général, les diverses significations des mots « Alma » et « Betula » pour nier sa virginité et la salir. »

René Pellegrini

(1) Voir les 5 autres liens de la rubrique Antisémitisme et antijudaïsme sur ce blogue.

(2) En toutes choses (morales, politiques, sociales, etc.) se vérifie, en bien ou en mal, le principe : « on récolte ce que l’on sème » (Galates VI, 7-8)


jeudi 4 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 3 : La religion juive ou judaïsme


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 3

 

LA RELIGION JUIVE OU JUDAÏSME

 

     Après la race et la nationalité examinées précédemment voyons, aujourd’hui, la religion juive. Cette question a toujours été très importante pour les chrétiens, mais elle l’est encore plus depuis le concile Vatican II par la position de l’Eglise conciliaire à l’égard d’Israël, du sionisme et des Juifs appelés abusivement nos ‘’frères aînés’’ par Jean-Paul II. Nous pourrions de tout cœur les considérer ainsi s’ils étaient restés fidèles à l’esprit de la Loi de Moïse et à l’enseignement de la Synagogue fidèle des Patriarches et des prophètes, et à son aboutissement logique et légitime que fut le Christ, le Messie promis, mais tel n’est pas le cas.

     Le peuple juif fut suscité par dieu pour apporter le Christ, mais à l’exception d’une partie du peuple, il refusa le Messie promis par les prophètes. Ce faisant, il rompit l’alliance conclue par Dieu avec les Patriarches et Moïse. Dans leur jalousie d’avoir été supplanté par l’Eglise, l’Israël de Dieu (1) les Juifs sont devenus, par haine du Christ, les ennemis des chrétiens et du christianisme, déployant tous leurs efforts pour le détruire en le minant de l’intérieur, et en suscitant durant le cours de la chrétienté de multiples sectes et sociétés secrètes pour la diviser et l’affaiblir. Cette inimitié séculaire est fondamentalement théologique avec des répercutions morales, sociales et politiques. Les Catholiques ne pourront se préserver de cet environnement prégnant de judaïsation des esprits, provoquée par les influences juives diffusées dans la société civile, politique et religieuse qu’en menant une vie véritablement chrétienne.

QU’EST-CE QUE LA RELIGION JUIVE OU JUDAÏSME ?

     Pour appréhender la religion juive qu’est le judaïsme des pharisiens et des rabbins, et sur quels enseignements elle s’est construite, je me référerai au Rabbin David Drach (1791-1865) baptisé dans l’Eglise catholique qui, dans son livre, montre comment on peut résumer le support sur lequel se forme l’enseignement religieux de l’enfant juif jusqu’à l’étudiant :

« Dans les écoles théologiques, les cours se bornent uniquement au Talmud, on néglige le texte de la Bible. »  (De l’harmonie de l’Eglise et de la Synagogue, Tome 1, p. 35 à 40)

     Ainsi, contrairement à ce que peut penser un chrétien, et aussi surprenant que cela puisse paraître, ce n’est pas la Loi de Moïse (La Torah) contenu dans l’Ancien Testament qui constitue le socle de l’enseignement dans « les écoles théologiques », mais le Talmud lui est préféré. Ce n’est pas surprenant car Notre-Seigneur avait déjà dénoncé les « doctrines et ordonnances humaines » qu’enseignaient les pharisiens. Du Adonaï et du Moïse plein la bouche chez les Juifs mais, comme disait Jésus :

« Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi ; ils me rendent un culte inutile, enseignant des doctrines et des ordonnances humaines ». (St Matthieu XV, 7-8)

     Les Juifs professent donc une fausse religion fabriquée par les rabbins kabbalistes et talmudistes, fruit du contact des prêtres juifs avec les mages et savants chaldéens et leur doctrine panthéiste, lors de leur déportation à Babylone. Ils pratiquent donc « un culte inutile ». Cela n’étonne guère car la Bible nous montre Israël sombrant souvent dans l’idolâtrie des peuples païens et fustigés sans cesse par les prophètes conservateurs de la vraie tradition religieuse d’Israël, et persécutés pour cela comme Jésus le dira aux scribes et pharisiens hypocrites dans Saint Matthieu XXIII, 34-35 :

« C’est pourquoi, voici que je vous envoie des prophètes, et des sages, et des scribes ; et vous tuerez et crucifierez les uns, et vous flagellerez les autres dans vos synagogues, et vous les persécuterez de ville en ville, afin que retombe sur vous tout le sang innocent qui a été répandu sur la terre, depuis le sang d’Abel le juste, jusqu’au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l’autel. »

     Lors de leur déportation à Babylone, Ils furent confrontés à cette doctrine de « l’homme divinisé » des panthéistes. Les pharisiens qui apparaissent à cette époque firent de cette doctrine, leur doctrine secrète qui, dans leur délire, devint celle « du Juif qui se fait Dieu » et, dans leur orgueil, matérialisèrent toutes les promesses prophétiques que Dieu réservait pour le ciel en les attribuant aux seuls Juifs descendants charnels d’Abraham. Cette fausse théologie, véhiculant une fausse tradition, explique leur venin matérialiste et sensualiste qu’ils inoculent dans les nations, et leur soif de dominer en tout, jusqu’à la domination mondiale déclinée aujourd’hui en mondialisme. Quant aux autres hommes - les goyïm ou non-Juifs - ils les rejetèrent dans l’animalité selon le regard du Talmud sur les non-Juifs.

     Cette religion issue de la fausse Kabbale (qui signifie fausse réception ou tradition) ou gnose juive fut condamnée et abolie en droit, lors de l’institution par Jésus de la nouvelle alliance exprimée dans le Nouveau Testament. Les prescriptions rituelles issues de l’Ancien Testament furent annulées par l’Eglise naissante dès le début du christianisme, lors du premier concile de l’histoire chrétienne qui se tint à Jérusalem, au premier siècle de notre ère (2). Le Moïse que professent les rabbins n’a plus rien à voir avec l’esprit de Moïse, si ce n’est un Moïse lu et interprété selon la doctrine secrète de la Kabbale d’inspiration babylonienne. Le Judaïsme des pharisiens et de leurs successeurs les rabbins kabbalistes et talmudistes n’a plus rien à voir, non plus, avec la religion des Patriarches et des prophètes, car ils ont brisé la première alliance que Dieu avait offerte aux Juifs. Ils l’ont brisée et ont apostasié en refusant le Christ, le Messie vers lequel dirigeaient toutes les prophéties et les sacrifices de l’Ancien Testament.

    Pour comprendre comment les Juifs, pour leur malheur, ont été amenés à préférer l’enseignement du Talmud, et à apostasier, il suffira de quelques citations de ce livre, telles que :

  « Les paroles des écrivains du Talmud sont plus douces que celles de la Loi. » (Talmud de Jérusalem, traité Berachoth, Perek 1.) en sorte que

« Les péchés contre le Talmud sont plus graves que ceux contre la Bible. » (Traité Sanhédrin, folio 88b)

« Mon fils, fait plus attention aux paroles des rabbins qu’aux paroles de la Loi ». (Traité Erûbin, folio 21 b ; Traité Gittin, folio 59 b)

« Le Talmud a de tout temps des détracteurs violents et des apologistes passionnés. Pendant deux mille ans, il a été, et il est encore un objet de vénération pour les Israélites dont il est le code religieux ». (Rabbin Trenel R., in l’Univers Israélite, juin 1867, p. 452). Ce rabbin aurait pu ajouter : le code de l’immoralité.

     Il ressort de ces textes que le Talmud est supérieur à la Loi de Moïse. Il est donc moins grave de pécher contre un enseignement de la Loi que contre celui du Talmud. Cette mentalité orgueilleuse et hypocrite des pharisiens, dont les rabbins de la Synagogue sont les continuateurs, ne pourra que rejaillir sur les ouailles du judaïsme et leur inculquer une morale qui se révélera détestable.

     Pour bien comprendre ce qu’implique la religion juive, écoutons un Juif, M. Arthur Koestler nous dire ce qu’elle est :

« La religion juive n’est pas seulement un système de foi et de culte, elle implique l’appartenance à une race et à une nation en puissance (…) Pour être bon catholique ou bon protestant, il suffit d’accepter pour vrais certains dogmes et certaines valeurs morales qui transcendent les frontières et les nations ; pour être bon Juif (au sens religieux), il faut professer que l’on appartient à la Race Elue» (Analyse d’un miracle, Calmann-Lévy, éditeur, 1949)

     Passons sur le « pour être bon catholique il suffit d’accepter… » car ne connaissant pas, ou feignant de ne pas connaître, l’enseignement du catéchisme catholique M. Koestler se montre très réducteur sur cette question pour constater, par contre, que les « valeurs morales » (3) n’entrent pas en ligne de compte pour « être un bon juif » et dans la foulée l’aveu, sans peut-être s’en rendre compte, de qui est véritablement raciste. D’ailleurs des Juifs oeuvrent pour entretenir le racisme au même titre que l‘antisémitisme car tous deux servent leurs intérêts, en détournant l’attention qui pourrait se fixer sur les manigances et les conséquences mondiales de leur propre misère morale.

     Disons-le tout net. Les Catholiques ne sont pas racistes lorsqu’ils sont obéissants à l’enseignement reçu. Le racisme a été dénoncé et condamné par l’Eglise catholique dans l’Encyclique Mit Brennender Sorge sur le nazisme, du Pape Pie XI, en 1937, et les Catholiques fidèles s’y soumettent sans aucun problème. De plus l’Evangile, et de très loin, n’est pas le Talmud (4) dans son regard porté sur les hommes.

(A suivre…« Antijudaïsme rabbinique, pourquoi ? »…si Dieu veut)


René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras dans les textes.

 

(1) Epître de Saint Paul aux Galates VI, 16

(2) Actes des Apôtres XV, 1 à 29)

(3) Le Talmud ne fait que confirmer ces propos, comme on le verra par ailleurs.

(4) Le Talmud fut anathémisé par les Papes Clément VIII, Jules III, Paul IV, Saint Pie V, etc.

Mis sur un autre blogue le 31 janvier 2018

jeudi 19 mai 2022

Le retour des Juifs en Palestine - 6 : Versets sans rapport


La conversion de Saint Paul sur le Chemin de Damas

 

LE SIONISME – 6

 

« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis.»

 (Luc XXI, 24) 

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE – 6

 

ROMAINS XI, 1-5 : VERSETS SANS RAPPORT


« Je dis donc : Est-ce que Dieu a rejeté son peuple ? Loin de là ! Car moi aussi je suis Israélite, né de la race d’Abraham, de la tribu de Benjamin. Dieu n’a pas rejeté son peuple, qu’il a connu d’avance. Ne savez-vous pas ce que dit l’Ecriture au sujet d’Elie ? Comment il interpelle Dieu contre Israël ? Seigneur, ils ont tué vos prophètes, ils ont renversé vos autels ; et moi je suis demeuré seul, et ils cherchent à m’ôter la vie. Mais que dit la divine réponse ? Je me suis réservé sept mille hommes, qui n’ont pas plié le genou devant Baal. De même donc en ce temps aussi, selon l’élection de la grâce un reste a été sauvé. »

     Ce texte de Saint Paul, adressé à la chrétienté de Rome composée de Juifs et de païens convertis, est inadéquat car son but n’est pas de justifier la fin du temps des nations par un retour des Juifs en Palestine, mais de remettre dans l’espérance les Juifs de Rome en leur enseignant que Dieu n’a pas rejeté la totalité des Juifs, non moins que l’attitude indispensable pour ne pas faire partie des rejetés en étant fidèle à Dieu par la foi au Fils De Dieu, et la nécessité d’une conversion pour les Juifs incrédules envers le Christ pour être de nouveau « entés » sur l’arbre qui les portait, en disant :

« Eux de même, s’ils ne persistent pas dans l’incrédulité, ils seront entés ; car Dieu est puissant pour les enter de nouveaux ». (Verset 23).

     Pour sortir de cette incrédulité, il leur faut rejeter l’enseignement des rabbins talmudistes et kabbalistes qui les détournent de Moïse en plaçant sa loi en-dessous du Talmud. D’ailleurs Jésus a bien montré que les rabbins, en dépit des apparences et de leurs protestations, ne croyaient pas vraiment en Moïse, en disant :

« Car, si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit. » (St Jean V, 46)

     Répétons-le encore, cette fidélité et cette conversion peuvent se manifester et se produire en n’importe quel lieu de la terre et en quelque milieu que ce soit, et Saint Paul l’illustrera par deux exemples :

     - celui d’Elie et des 7000 Israélites - dans l’Ancien Testament - qui dans un environnement hostile sont restés fidèles à Dieu « ils n’ont pas plié le genou devant Baal » le faux dieu (III Rois XIX, 18 (1)

     - le sien, sa fidélité à Dieu dans un environnement païen et sa foi au Messie promis, par sa conversion à Jésus-Christ et celle d’autres Juifs de son époque « selon l’élection de la grâce » et non selon les œuvres de la Loi mosaïque. Saint Paul mettant en  exergue dans cette Epître, l’erreur de la majorité des Juifs de son temps encore attachés aux prescriptions de la Loi de Moïse, nous permettant de comprendre celle des Sionistes d’aujourd’hui qui pensent se rendre agréable à Dieu par l’œuvre politique de réinstallation en Palestine et le projet de reconstruction du Temple de Jérusalem tout en faisant l’impasse sur Jésus-Christ « Mais si c’est par grâce, ce n’est donc point par les œuvres ; autrement la grâce ne serait plus la grâce (verset 6). Or, il est préjudiciable d’écarter le Christ puisque c’est par Lui que s’obtient cette « élection de la grâce » et d’être, en tant que Juifs, du « reste » qui sera sauvé.

     Le but de ces versets de Saint Paul était de montrer aux chrétiens et aux Juifs de Rome que, depuis la venue du Messie promis, l’homme est justifié par la foi en Jésus-Christ et non par les observances de la Loi de Moïse qui, d’ailleurs, est devenue inférieure à la loi du Talmud suite à l’emprise, sur les Juifs, des rabbins disciples des pharisiens.

     Ce texte, ne confirme pas la fin du temps des nations par le retour des Juifs en Palestine, il souligne la nécessité impérieuse de leur conversion à Jésus-Christ (en quelque lieu que ce soit) depuis leur dispersion au sein des nations.

 

(A suivre…si Dieu veut)

 

(1) I Rois XIX, 18 dans les Bibles protestantes. La différence de classification s’explique de la façon suivante : les Catholiques regroupent I et II Samuel dans les Livres historiques avec les Livres des Rois. Ainsi, pour les Catholiques, I Samuel devient I Rois ; II Samuel devient II Rois ; ensuite, on a III Rois qui correspond à I Rois des Protestants et IV Rois qui correspond à II Rois des Protestants. Pour leur part, les Protestants classent les deux Livres de Samuel et des deux Livres des Rois dans les Livres prophétiques.

 

Mis sur un autre blogue le 31 mai 2017


 

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