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vendredi 23 décembre 2022

Judaïsme talmudique - 1 : Ennemis de tous les hommes


JUDAISME TALMUDIQUE - 1

 

ENNEMIS DE TOUS LES HOMMES

 

« Car, frères, vous êtes devenus les imitateurs des Eglises de Dieu, qui, en Judée, sont à Jésus-Christ, puisque vous avez souffert, vous aussi, de la part de vos concitoyens, les mêmes choses qu’elles ont souffertes aussi de la part des Juifsqui ont même tué le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont persécutés à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes»

 (I Thessaloniciens II, 14-15)

 

     Paroles sans équivoque de Saint Paul sur l’esprit qui anime les Juifs influencés par l’enseignement antichrist des pharisiens depuis l’origine du christianisme. Cette haine meurtrière contre Jésus et ses disciples s’est poursuivie, dans le cours de l’histoire, sous la conduite du faux judaïsme des rabbins nourris de traditions pharisiennes, lesquelles sont consignées dans le Talmud. Ils continuèrent, à travers les siècles, l’œuvre de calomnies contre le Christ et sa Sainte Mère, et de persécutions contre les chrétiens.

 

     Ces paroles de Saint Paul disqualifient l’attitude complaisante, voire justificatrice d’un certain clergé et de bon nombre de laïcs catholiques bisounours, envers les ennemis séculaires de l’Eglise, mais, griffes acérées, voire mépris, contre ceux qui refusent ce faux dialogue œcuménique, destructeur avéré de la foi catholique traditionnelle. Ces paroissiens qui, pour complaire, se contorsionnent en tous sens pour tenter de disculper les Juifs du meurtre de Jésus-Christ, au mépris des textes inspirés affirmant et désignant, sous la garantie du Saint-Esprit, les vrais coupables de ce meurtre et, compte tenu de la nature et de la dignité de la Personne mise à mort, ce qui constitue, non seulement un déicide, mais aussi un crime contre l’humanité commis en sa personne la plus parfaite et la plus représentative. Que les Juifs soient responsables, Saint Pierre ne dira pas autre chose :

 

« Que toute la maison d’Israël sache donc très certainement que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » (Actes II, 36 ; IV, 10)

 

     Ainsi, le texte inspiré, par un double témoignage, celui de l’Apôtre des nations, et celui du premier Pape, Saint Pierre nous présente, sans équivoque possible, les Juifs comme « ennemis de tous les hommes » et responsables « de la crucifixion et du meurtre de Jésus »  Ce sont des paroles fortes, voire dures, mais ce sont celles du Saint-Esprit. Or qu’est-ce qu’un ennemi ? C’est quelqu’un qui cherche à vous nuire, vous veut du mal. Comment le fait-il ? Lui-même, si cela lui est possible, ou selon les circonstances politiques plus ou moins favorables offertes par le lieu, l’espace et le temps. Donc, malheur aux peuples qui finissent par tomber sous sa domination en lui accordant des droits régaliens, car il deviendra votre juge et votre maître sans égard à l’hospitalité que vous lui avez accordé lors de sa déchéance !

 

     La question est donc : Saint Paul et Saint Pierre exagèrent-t-ils ? Serait-ce pure calomnie de leur part ? L’histoire profane et religieuse confirme-t-elle une telle accusation ? Tel sera le but des articles qui constitueront ce sujet.

 

     En écrivant ce texte et ce qui suivra, pour que tout soit bien clair à l’intention des histrions patentés prêts à hurler en chœur, et comme des imbéciles, à l’antisémitisme et au racisme, commençons par dire, cela va de soi mais ça ira mieux en le disant :

 

 1 - Je m’inscris en faux contre ceux qui utiliseraient mes écrits pour inciter à la haine contre les Juifs. Je ne mange pas de ce pain-là ! Je m’en suis déjà expliqué par ailleurs. Le journalisme papier ou télévision ressemblant, de plus en plus, à un métier de prostitués, en étant, d’une part, aux mains de fortunes juives et tributaires des subventions de l’Etat judéo-maçonnique et, d’autre part, soucieux d’assurer la gamelle, ils ne peuvent être que silencieux, complaisants ou laudateurs à leur égard. Agir autrement pointerait vers la porte ou la disette économique. Comme je n’attends rien sur cette question de la presse officielle et des grands média, à part leur soporifique et stupide « Théorie du complot » (1) mon but est de montrer, afin que l’histoire ne soit pas continuellement à charge contre les chrétiens, ce qu’ils ont fait dans la chrétienté comme à l’extérieur, par l’enseignement dispensé par leurs rabbins déicides et leurs successeurs.

 

     Histoire juive qui est loin d’être glorieuse à bien des égards, afin que, faisant leur propre introspection, ils finissent, peut-être, par tirer la conclusion qu’ils ont souvent été, eux-mêmes, ou par les manigances intéressées de leurs élites, les détonateurs des incompréhensions et persécutions subies, étant formatés pendant des siècles religieusement et civilement par des rabbins s’appuyant sur un odieux enseignement talmudique qui érige le vice et le meurtre en vertus, et les applications qu’ils en firent dans leur vie au sein des nations. Des rabbins tout aussi aveugles et hypocrites qu’à l’époque de Jésus-Christ avec comme conséquence pour les Juifs, à terme, d’adorer l’Antéchrist en prenant sa venue pour celle du Christ. Juste châtiment de leur séculaire iniquité. Des rabbins rétrogradés au rang de laïcs, mais qui, aujourd’hui, méritent tout autant que leurs pères spirituels du premier siècle, les apostrophes sévères de Jésus « Serpents, races de vipères. » (St Matthieu XXIII, 33) car, par la judaïsation de l’esprit chrétien consécutive à la propagation de vos enseignements antichrétiens « vous faites de lui un fils de la géhenne deux fois pire que vous » (St Matthieu XXX, 15)

 

     2 -Je m’inscris en faux contre les crétins (Comment les appeler autrement ?) qui n’ont que le mot antisémite ou raciste à prononcer dès qu’il s’agit de propos raisonnés mais jugés déplaisants sur les Juifs. Ces mots sont utilisés en sachant bien l’effet produit sur des esprits façonnés par des média aux ordres, et valant condamnation dans l’opinion publique. Je conçois que ces vocables sont moins contraignants et beaucoup moins douloureux que d’examiner ses propres actes dans le cours de l’histoire, et, beaucoup plus profitable et gratifiant pour noircir continuellement les autres, en falsifiant l’histoire si besoin, sans toutefois oublier : « on peut tromper tout le monde, un certain temps, et certains, tout le temps, mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps ! »

 

     L’homme intelligent s’efforce de convaincre les contradicteurs et les dubitatifs par des arguments décisifs. Il ne récuse pas les documents présentés sans un examen sérieux, les démontant publiquement le cas échéant. Attitude intellectuellement beaucoup plus honnête que celle consistant à prouver sa raison en faisant voter des lois agrémentées de lourdes menaces et sanctions, pour interdire toute discussion sur tel ou tel sujet devenu tabou. Cette précision pour les adeptes intéressés de la chape de plomb ou de la poussière sous le tapis : ceux qui s’empressent d’ériger en dogmes des sujets relevant de la recherche historique qui sont toujours tributaires de nouveaux documents mis à jour, inexploités ou volontairement ignorés.

 

     Soyons sérieux ! Les Juifs seraient-ils si droits, si purs, que rien ne puissent leur être reprochés ? Qu’elle serait cette maladie mentale qui ferait des Juifs des intouchables ou n’auraient aucune casserole à leurs pieds ? Dire cela à un cheval de bois c’est prendre le risque d’en recevoir une ruade ! Leur propre histoire témoigne du contraire. Non, ils ne sont pas purs parce qu’ils mangent casher car, comme le fait remarquer Jésus aux pharisiens hypocrites, ce n’est pas ce qui entre par la bouche qui souille un homme mais ce qui vient du cœur (St Matthieu VII, 21 ; XV, 17-18). Comme cela sera démontré en usant de leurs propres écrits, en examinant le Juif sous l’angle des propos du cœur, selon les préceptes qu’il a reçus, l’effet produit sera comme se coiffer avec un pétard.  

      

     N’oublions jamais que l’histoire de France est une histoire qui s’écrit et se lit dans la perspective révolutionnaire des instigateurs de 1789 : Les Francs-maçons, les Juifs et ceux qui leur firent allégeance. Les historiens qui pourraient apporter des éléments historiques de nature à modifier ou à nuancer certains faits sont ignorés : il ne faut pas porter atteinte aux ‘’Grands Ancêtres’’ ni au mythe fondateur de ce qui se révèle être la mise en branle programmée de l’entreprise de démolition et de subversion de la France et de l’Eglise catholique. Au besoin, même la justice se fera complice par omissions, voire par parti pris : les attendus de l’affaire Pétain, par exemple, sali à outrance par des spécialistes de la défiguration de l’histoire. C’est la même chose dans la recherche scientifique devenue dogmatique. Qui cela peut-il encore surprendre aujourd’hui ? 

 

     En système démocratique ou révolutionnaire, inutile de vous agiter en matière politique contre tel ou tel parti, en voulant ignorer les passerelles qui existent entre eux, car leurs dirigeants sont les disciples des géniteurs des diverses idéologies propagées par les divers mouvements politiques de gauche et de droite. Ces mouvements opposés sur la scène publique, sont cornaqués et orientés en sous-mains par des individus dont les finalités sont concordantes, celles de détruire la France moralement (c’est devenu Sodome, et même un peu plus) et politiquement, en la crantant sur un régime politique se voulant démocratique et revendiqué par tous les partis, sans exception, mais dont la constitution est hors, et à rebours, de la véritable nature constitutionnelle de la France.

 

     Dans un système démocratique et révolutionnaire l’imposture est de taille, car tous les projets et programmes présentés au Parlement, par les diverses composantes politiques, ont fait l’objet de réunions et de décisions préalables dans des groupes restreints, sous influence de noyaux dirigeants judéo-maçonniques et mondialistes. Ces décisions ayant comme objectif, selon le degré d’avancement de leur projet, de poser de nouveaux jalons destinées à lui faire franchir une nouvelle étape, en utilisant et articulant les différentes idéologies existantes, suscitées par la judéo-maçonnerie, et qu’elle contrôle : le libéralisme, le socialisme, le communisme et sa mouture moderne le mondialisme cosmopolite.

 

     Ces diverses idéologies qui font la spécificité des partis politiques concourent, chacune à leur manière, tous appuyés sur les faux principes ‘’ liberté égalité fraternité’’ à maintenir un régime pompeusement appelé démocratique alors qu’en réalité, il n’est qu’une ébauche destinée à propulser vers son objectif final, avec l’aide des idiots utiles, de plus ou moins bonne foi, ce qui était contenu dans ses gènes : le mondialisme multiculturelle, à caractère totalitaire - ce à quoi nous assistons actuellement - sous domination théologique juive, c’est-à-dire le fruit d’une conception kabbaliste et talmudique. En l’état actuel de pourrissement spirituel et social, ce ne sont pas les partis politiques démocratiques et révolutionnaires, issus de ce bouillon de culture, qui rétabliront les choses : c’est Dieu, par ses moyens surnaturels qui, à son heure, réglera non seulement le problème politique, mais aussi la grave crise de l’Eglise catholique généré par l’ouverture au monde et le faux œcuménisme du Concile Vatican II.

 

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini


- En rouge ce qui a été ajouté

 

(1) Malheureusement pour la France comme pour l’Eglise catholique ce n’est pas une théorie mais un fait, et ce, depuis bien longtemps. Léon XIII dans son Encyclique, Au milieu des sollicitudes, 1892, affirmera qu’il s’agit bien d’un complot, disant : 


« En pénétrant à fond, à l’heure présente encore, la portée du vaste complot que certains hommes ont formé d’anéantir en France le christianisme (…) »


Anciens articles à voir ou à revoir :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-noms-de-lantechrist.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/france-souviens-toi-1.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/la-royaute-universelle-de-jesus-christ.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/protection-contre-lilluminisme.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-chretiens-et-les-manifestations.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-propheties-sur-la-france-2.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/antechrist-1-caracteristiques-de.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-retour-des-juifs-en-palestine-2-les.html

 

Mis sur un autre blogue le 20 septembre 2017

 

 

mardi 11 octobre 2022

Introduction à l'histoire des Patriarches - 2 : Histoire des Patriarches - 1


 
INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 2

 

HISTOIRE DES PATRIARCHES -1

 

     On voudrait, dans cet ouvrage, répondre à l’appel de l’éminent écrivain qui, par la lecture assidue des Pères de l’Eglise, a su découvrir la sève cachée sous la lettre des Livres Saints et qui, mettant un génie hors de pair au service d’une foi inébranlable, a donné à la Bible une place qu’elle n’avait jamais eu encore dans la littérature française. La préface que l’on vient de lire (1) exprime avec une force et une conviction dont il est impossible n’être pas touché, le vœu de tous ceux – et ils sont légion – qui aspirent à voir l’interprétation traditionnelle de l’Ecriture en honneur, non pas sans doute, à la place, mais à côté de l’exégèse littérale et scientifique qui prétend aujourd’hui régner seule.

     Nous nous sommes efforcés de retrouver dans leurs attitudes exactes, dans leurs proportions harmonieuses, dans leur beauté originelle ces figures patriarcales, ces statues merveilleuses que le Saint-Esprit lui-même a sculptées avec amour aux premiers temps du monde, à la fois pour orner le temple éternel de Dieu, celui où on l’adore en esprit et en vérité, et pour servir de modèles, indéfiniment, à travers les siècles, aux hommes qui voudraient vivre en hommes.

     Tel était à leur endroit le sentiment des Pères de l’Eglise.

     A un jeune homme qui lui demandait quelques conseils pour tendre à la perfection, saint Grégoire de Nysse répondait en citant d’abord ce texte d’Isaïe : « Regardez Abraham et Sara, qui vous ont enfantés. » Puis il ajoutait :

     C’est à des âmes égarées que ces paroles sont adressées. De même en effet que, pour les marins emportés loin de la direction du port, la vue d’un feu qui s’élève d’une hauteur, ou de la cime d’une montagne aperçue de loin, sert de point de repère pour retrouver la bonne route ; de même les âmes égarées, l’esprit sans pilote dans l’océan de la vie, sont-elles ramenées au port de la divine volonté par l’exemple d’Abraham et de Sara. Et comme l’humanité est divisée en deux sexes, et qu’à tous deux est proposé le libre choix entre le vice et la vertu, la Parole divine à mis sous les yeux de l’un comme de l’autre un modèle à imiter, afin que les hommes regardant Abraham, les femmes regardant Sara, les deux sexes puissent, par des exemples appropriés, dirigés leur vie selon la vertu.

     Il nous suffira donc de rappeler la vie d’un de ces personnages pour lui faire remplir l’office de phare, et montrer ainsi comment il est possible de faire aborder l’âme au port paisible de la vertu, où elle ne sera plus exposée aux orages de la vie, et où elle ne risquera plus de faire naufrage dans les abimes du péché, sous le choc des vagues successives des passions. La raison pour laquelle la vie de ces âmes saintes a été écrite en détail, n’est-elle pas de diriger dans la voie du bien, par l’exemple des justes des temps anciens, la vie de leurs successeurs ? Mais, dira-t-on, si je ne suis ni chaldéen, comme cela est écrit d’Abraham, ni l’enfant adoptif de la fille du roi d’Egypte, comme l’Ecriture l’enseigne de Moïse ; si je n’ai rien de commun dans ma façon de vivre avec aucun de ces hommes d’autrefois, comment conformerai-je ma vie à celle de l’un d’entre eux ? Je ne vois pas comment imiter quelqu’un qui diffère totalement de moi par ses habitudes. Nous répondrons à cela qu’il importe peu, pour le vice ou la vertu, que l’on soit Chaldéen, et que ni le fait de vivre en Egypte, ni celui d’habiter Babylone n’excluent quelqu’un du chemin de la perfection. Ce n’est pas en Judée seulement que Dieu est connu des justes, ce n’est pas à Sion seulement, encore que l’Ecriture sainte semble le dire, que se trouve la maison de Dieu. Mais il nous faudra une #méditation attentive et une vue plus perçante, pour discerner, au-delà de la lettre de l’Ecriture, de quels Chaldéens et de quels Egyptiens il faut nous éloigner, et quelle est la captivité de Babylone à laquelle nous devons échapper pour atteindre la vie bienheureuse. (2) »

     De même, saint Ambroise, commence les deux livres qu’il a écrit sur Abraham, par les réflexions suivantes :

 

« Platon, prince des philosophes, a jugé utile de construire, dans ses ouvrages, une république idéale, afin que ses concitoyens eussent en elle un modèle à imiter. Et Xénophon a dessiné dans sa Cyropédie, le type du roi juste et sage, pour servir d’enseignement aux princes. Ainsi, Moïse, en écrivant la vie d’Abraham, nous a montré le modèle de l’homme de Dieu, avec cet avantage sur les auteurs précédents, qu’au lieu de forger de toutes pièces un être fictif, il met devant nos yeux un personnage réel, doté des vertus les plus authentique (3).

     Il résulte clairement de ces témoignages, et de beaucoup d’autres que, pour les Pères de l’Eglise, Abraham n’est pas un être primitif, émergeant à peine de l’état sauvage ou de l’animalité, comme on pourrait le croire en entendant certains auteurs contemporains parler à son sujet, de « bédouin sournois et pillard », de « vagabond civilisé », « d’enfant de la steppe », de « conscience crépusculaire »…que sais-je encore ?

     Abraham, personne n’osera le contester, est une des plus grandes figures de l’histoire universelle. A l’heure où l’humanité tout entière se ruait frénétiquement dans le polythéisme et se prosternait sans honte devant les idoles les plus variées, les plus grotesques, les plus immondes, il apparaît comme le mainteneur du monothéisme, comme l’ancêtre et le chef de tous ceux qui adorent le Dieu Un, le Dieu transcendant, le Dieu qui est Esprit. A ce titre, sa haute stature domine et l’histoire du peuple juif, qui se tient pour son descendant direct et son héritier, et celle du christianisme, et encore celle de l’Islam. Les fils du Prophète, en effet, le considèrent comme leur chef, non pas seulement parce qu’il est le père d’Ismaël, leur ancêtre racial, mais surtout parce qu’ils voient en lui le modèle de l’intransigeance monothéiste, dont ils font le principe premier de leur religion. Aussi occupe-t-il dans le Coran une place beaucoup plus importante que le fils d’Agar, qui n’y a qu’un rôle effacé. #Allah est son Dieu avant d’être celui de #Mahomet. Si les #Musulmans veillent jalousement sur sa tombe à Hébron, c’est qu’ils la considèrent comme un dépôt qui leur revient de droit. #Jésus est le chef des chrétiens, Moïse celui des #Juifs, mais Ibrahim (ou Abraham) est leur Patriarche à eux, celui qui, béni d’Allah, a légué à ses descendants la foi véritable, c’est-à-dire l’Islam.

     L’Eglise catholique, de son côté, ne lui témoigne pas moins d’égard et de vénération que la religion juive. Trois fois au moins chaque jour, elle le nomme dans sa liturgie, à des moments particulièrement solennels : au Benedictus de l’Office des Laudes, au Magnificat des Vêpres, et surtout au Canon de la Messe, honneur insigne qu’elle n’accorde qu’à de rares privilégiés. Elle montre, par là, qu’elle le tient pour l’un des noms les plus capables de lui concilier, à ce moment redoutable, la bienveillance du Tout-Puissant. Elle nous fait dire à nous, chrétiens, en parlant de lui : « Abraham le très grand » (Pater fidei nostrae, Abraham summus (3) ». Toute la tradition catholique est empreinte à son endroit du même caractère de respect, de haute estime, d’admiration : sa vie est considérée unanimement comme le modèle de celle du juste, comme le miroir de toutes les vertus. Les Pères ont loué à l’envi et sans dissonance aucune, sa foi, son obéissance, sa patience, sa charité, son humilité, sa piété. Et si saint Jérôme a écrit une fois : Peccavit Abraham, Abraham a péché, c’est justement pour montrer que nul homme n’est exempt de quelques faiblesses, même s’il compte parmi les plus grands saints (4).

     Ainsi, trois des principaux courants de la civilisation humaine se réclament en lui d’une origine commune : ils semblent sortir de cette source unique pour irriguer et fertiliser toute la terre.

(A suivre…si Dieu veut)

Dom de Monléon

(1) Saint Grégoire de Nysse, De la vie de Moïse, Patrologie grecque, t.XLIV, col.301.

(2) De Abraham libri duo, I.I, ch. I

(3) Antienne des premières Vêpres de la Quinquagésime.

(4) Commentaires sur Isaïe, I. XII, ch. XLIII, 36

 

René Pellegrini

mardi 4 octobre 2022

Histoire des Patriarches - 1 : Introduction



 Saint Jérôme de Stridon (vers 347-420)

       INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 1

 

          Si Dieu le permet, car j’avance en âge, je publierai régulièrement des textes de l’Histoire Sainte sur quelques Patriarches de l’Ancien Testament (Abraham, Isaac, Jacob et Joseph) tels que nous les a livrés le moine bénédictin Dom Jean de Monléon (O.S.B) dont l’exégèse biblique aide grandement pour la formation doctrinale, selon la pensée traditionnelle de l’Eglise, en s’appuyant sur la Vulgate. Par son commentaire moral et mystique, il apporte une nourriture solide aux âmes, tout en redonnant confiance à l’authenticité de l’exégèse traditionnelle, face à la littérature pseudo-religieuse et pseudo-savante visant à faire douter de la grandeur et de la sublimité de la foi catholique.

     Ne vous laissez pas duper par la ‘’haute critique’’ qui préfère la vérité hébraïque à la Vulgate recommandée pourtant par les Papes. En effet, nous n’avons aucun écrits originaux du texte hébreu de Moïse et des Prophètes, car la seule version que possède les Juifs, celle des ‘’Massorètes’’ ne remonte pas au-delà du VIe siècle après Jésus-Christ. La fidélité de ces textes est contestable, car les rédacteurs juifs Massorètes ont trahi, chaque fois que cela était possible, le texte original, en effaçant tout ce qui apportait la preuve de la messianité de Jésus.

     Quant à Saint Jérôme, auteur de la Vulgate, il avait à sa disposition des documents de première valeur, disparus depuis, à savoir :

- Le rouleau de la Synagogue de Bethléem qu’il avait copié de sa main, et

- les célèbres Exaples d’Origène, où il avait reproduit, sur six colonnes parallèles, le texte hébreux et les cinq principales traductions grecques qui en existaient alors, oeuvre gigantesque de critique et d’érudition dont la perte est considérée par les vrais savants comme irréparable. (Jean Vaquié)

     La Vulgate, version latine de la Bible est donc plus ancienne que le texte massorétique et Saint Jérôme, génie littéraire, à utilisé toutes les ressources de son intelligence et de sa rigueur scientifique, pour nous restituer, avec les documents en sa possession, la Parole de Dieu dans sa teneur authentique, et déclarée canonique par le Concile de Trente.

     Dans une prochaine publication, avant d’aborder l’histoire de la vie des Patriarches, une assez longue introduction, en espérant que la foi et la spiritualité de ces hommes vous soient utiles

(A suivre…si Dieu veut) 

René Pellegrini


 

 

 

mardi 30 août 2022

Antilibéralisme - 4 : Le Libéralisme est un péché - 4


ANTILIBERALISME – 4 

 

LE LIBERALISME EST UN PECHE - 4

 

ABOUTISSEMENT PRATIQUE ET MORAL DE L’ESPRIT LIBERAL :

 

     Pour les abrutis diplômés ou surdiplômés, négateurs d’un complot contre l’Eglise catholique instruit de longue date et s’inscrivant dans la durée, il faut rappeler que sous ces deux aspect, les idées et les faits, le libéralisme, fruit empoisonné de la Révolution dite française (1), n’est rien d’autre que le monde de Lucifer s’enhardissant de plus en plus, dans le monde moderne, à mesure que l’œuvre de déchristianisation de la société laisse le champ libre à la propagation de la ''morale'' et à l’enseignement gnostiques et kabbalistiques issus de la tradition originelle du serpent de l’Eden par Caïn le premier homicide : aboutissant à l’Antéchrist et à son corps mystique qu’est ''la Bête'' de l’Apocalypse de Saint Jean et ceux qui s’y agrègent, ennemis plus que millénaire de la Sainte Tradition issue de la femme du livre de la Genèse (III, 15) aboutissant à Jésus-Christ, par la Sainte Vierge, et à son Corps Mystique qu’est l’Eglise. 

     Au-delà de l’obéissance aux commandements de Dieu, ce qui, dans l’attitude morale et pratique, différencie fondamentalement ces deux postérités c’est : 

     - l’une, récusant ou méprisant l’amour de Dieu et les enseignements de sa loi morale, avant de frapper physiquement ou spirituellement ses coups destructeurs et  meurtriers, les préparent sournoisement dans les ténèbres car : 

« (…) la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient condamnées » (St Jean III, 19-20)

     - l’autre, faisant siennes les paroles de Notre-Seigneur ne craint pas de répondre à l’amour de Dieu en se conformant à la vérité de son enseignement et de sa loi morale :

« Mais celui qui accomplit la vérité vient à la lumièreafin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu’elles ont été faites en Dieu. » (St Jean III, 21)   

     Cette déchristianisation de la société par l’idéologie et la pratique du libéralisme (2) entraîne, à grande échelle, l’effondrement des barrières morales chrétiennes, le relativisme ou le laxisme moral chez les gouvernants, les hommes publics, les laïcs, les religieux et, par ricochet, dans toutes les classes sociales du peuple instruit et encouragé par l’exemple délétère venant d’en haut, pendant que d’autres refusant cet état de fait et résistant au milieu ambiant, ne peuvent qu’être profondément écoeurés et prêts à vomir devant un tel niveau d’abjection et de putréfaction morale qui ne demande qu’à s’amplifier au fur et à mesure des pressions et contraintes de l’environnement politique et social. Profond mépris envers la majesté divine et corruption sociale comparable à celle des Juifs d’autrefois, faisant dire à Dieu ces paroles menaçantes, par la bouche de son prophète :

« Malheur à la nation pécheresse, au peuple chargé d’iniquité, à la race corrompue, aux enfants scélérats. Ils ont abandonné le Seigneur (…) Depuis la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête, il n’y a plus rien de sain en lui (…) » (Isaie I, 4-6)

 

René Pellegrini 

Nota bene :

     Pour rédiger cet article sur le libéralisme je me suis inspiré de l’opuscule « Le libéralisme est un péché » rédigé au XIXe siècle par le prêtre espagnol Don Félix Sarda y Salvany. Opuscule approuvé par la Sacrée Congrégation de l’Index.

(1) Comme, aujourd’hui, les révolutions dites arabes. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour connaître les instigateurs, appuis et soutiens financiers de ces révolutions ''arabes'' et leurs téléguidages par les services secrets occidentaux, eux-mêmes noyautés par les services secrets juifs. L'objectif inavoué des forces occultes du mondialisme qui abhorrent le catholicisme, en appuyant et orchestrant ces révolutions : susciter la haine contre les ''Croisés'' et achever de dynamiter ce qui reste de la civilisation de l'Occident chrétien, en préparant le choc civilisationnel et, sur les débris ou le chaos créé, construire le Nouvel Ordre Mondial luciférien. On comprend mieux ainsi les facilités et la complicité imbécile et irresponsable, accordées à l'immigration par les pouvoirs publics européens : les pratiques cultuelles et culturelles publiques de l'Islam devant susciter les tensions nécessaires entre citoyens, et servir d'instrument pour assouvir les désirs des maîtres d'oeuvre du mondialisme.

(2) Rappelons que les premiers pas du libéralisme consistent à affirmer la vérité mais en faisant l’impasse sur la détestation de l’erreur. Il est le précurseur du socialisme, lui-même antichambre du communisme.

 

Mis sur un autre blogue le 5 octobre 2013

 

Pape Benoit XV (1854-1922) Pontificat 1914-1922

dimanche 28 août 2022

Les obligations du pouvoir civil


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 19

 

LES OBLIGATIONS DU POUVOIR CIVIL

 

     Ultérieurement, nous examinerons ce qu’implique de la part de tous les fidèles une véritable restauration du règne social et politique de #Jésus-Christ sur la France. Pour l’instant, bornons-nous, selon les paroles du Pape Pie IX – prononcées en pleine gouvernance républicaine et laïque - à l’obligation qui incombe aux autorités, aux chefs des nations, d’honorer d’un culte public et d’ « hommages publics » leur Créateur, se traduisant dans la pratique par le « respect » que nous considérerons cette fois, et l’ « obéissance » dans un prochain article.

 

RESPECT DE DIEU 

 

     Pour ne parler que de la France, fille aînée de l’Eglise et, à ce titre, devant être un exemple pour les autres nations, où est passé ce respect dû et exigé par Dieu ? De nos jours les blasphèmes contre Dieu, Jésus-Christ ou la Sainte Vierge sont monnaies courantes, à tous les échelons de la société. A titre d’exemple, relativement récent, pris sous la présidence de M. François Mitterand, que penser de responsables politiques et d’une législation qui permirent la projection d’un film aussi scandaleux que « la dernière tentation du Christ » du metteur en scène Martin Scorcese (ancien séminariste) reprenant à son compte l’immondice du grec Nikos Kazantzakis (excommunié par Pie XII lors de la sortie de son ignoble roman)

 

     Ce film, caricature de la réalité des #Evangiles, présentant un Jésus livré aux pires turpitudes lubriques fut non seulement une attaque du #christianisme, mais encore un véritable blasphème contre la sainteté de Notre-Seigneur. Qu’une telle abjection ait pu paraître en France montre le niveau de pourriture morale et spirituelle de nos dirigeants, et l’affadissement spirituel de bien des français ravalés au niveau des comportements #pharisiens à l’égard de Jésus.

 

     Faut-il s’étonner d’apprendre que le producteur de ce film blasphématoire n’est autre qu’un fils d’Israël propageant l’enseignement blasphématoire véhiculé, sur la Personne du Fils de Dieu, par la secte des pharisiens que Jésus stigmatisa en ces termes « serpents, races de vipères » ? (St Matthieu XXIII, 33) En effet, il s’agit de ''l’illustre'' Lew Wasserman, de la firme cinématographique américaine Universal. En somme, c’est la manière contemporaine pour continuer de faire retomber, sous couvert de culture, de spectacle et d’oeuvre d’art, les blasphèmes que la #Synagogue infidèle n’a jamais cessé de proférer et d’encourager contre Notre-Seigneur depuis vingt siècles.

 

     Face à une telle ordure cinématographique comment des hommes, des parlementaires, un chef d’état se disant #Catholiques ou #chrétiens et, encore plus scandaleux, des #ecclésiastiques ont-ils pu faire preuve d’un tel laxisme ou prendre avec une certaine bonhomie de tels blasphèmes ? Comment ont-ils pu permettre de tels outrages sans s’indigner et s’opposer en tant qu’autorités civiles chrétiennes ou religieuses, sans fulminer des reproches en tant qu’hommes d’Eglise ? Comment ont-ils pu laisser commettre une telle impiété sans rappeler le respect qui est dû à Dieu et le grave péché commis en la circonstance, sinon pour signifier leur indignité à l’égard de leur Seigneur et Maître, non moins que leur profonde déchéance intellectuelle, morale et spirituelle ? C’est au nom de la #laïcité dégénérée que de telles ignominies sont possibles.

 

- Ignoble et perverse laïcité dégénérée tu ressembles de plus en plus à un proxénète, source de scélératesse et de corruption morales, qui se réjouit et se vautre dans ses propres immondices, qui permet et encourage toutes les turpitudes, non moins que le vomissement de tous les blasphèmes contre la sainteté des personnes.

 

- Ignoble et perverse laïcité dégénérée pour qui ce mot de #sainteté n’est même plus accessible à la flagrante pourriture de ton esprit qui n’exhale plus qu’une odeur putride.

 

- Ignoble et perverse laïcité dégénérée qui se pare de tolérance et de liberté de conscience pour permettre et justifier toutes les abominations, promouvoir toutes les indécences et tous les blasphèmes mais qui, subitement, perd l’une et l’autre et s’indigne allant jusqu’à stigmatiser du nom d’homophobes (1) dès que les ignobles pratiques contre-nature sodomites et les manipulations psychologiques à l’éducation sexuelle dès le plus jeune âge, sont dénoncées parce qu’elles heurtent violemment les consciences respectueuses des lois divines, et soucieuses d’un environnement et d’un enseignement favorisant la formation à la #pureté morale de leurs enfants. Ces consciences qui s’indignent face au formatage insidieux et mortifère, moralement et spirituellement, de l’idéologie socialo-communiste, libérale et libertaire.

 

- Ignoble et perverse laïcité dégénérée, comme l’esprit de l’abîme qui t’a permis de naitre et ceux qui, hier comme aujourd’hui, t’adulent et te font prospérer, vous ne méritez pas mieux que cette forte invective prononcée il y a deux mille ans « Serpents, race de vipères » (St Matthieu XXIII, 33) et cette autre « Vous avez le #diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père » (St Jean VIII, 44)

 

     Ce comportement complaisant, laxiste et sélectif est d’autant plus écoeurant si on considère, prenant cet autre exemple du passé que fut la médiatique affaire #Touvier accusé de ''crime contre l’humanité'' à l’encontre de Juifs, comment des hommes politiques et des ecclésiastiques ont su, en cette circonstance, avec un certain acharnement, demander réparation pour des actes commis depuis cinquante ans, déjà jugés et classés deux fois par l’autorité publique, sauf erreur de ma part. Ignobles TARTUFFES vous n’êtes pas aussi acharnés lorsqu’il s’agit de défendre l’honneur et la sainteté de Dieu et de la Sainte Vierge ! Que ces autorités qui se disent chrétiennes et ont leur langue collée au palais, hier comme aujourd’hui, prennent bien garde à ces avertissements du prophète et du Roi des rois à l’égard de ceux qui se réclament ses disciples ou font profession d’être ses serviteurs :

 

« Si je dis à l’impie : Tu mourras, et que tu ne le lui annonces pas et que tu ne lui parles pas, afin qu’il se détourne de sa voie impie et qu’il vive, cet impie mourra dans son iniquité ; mais je redemanderai son sang à ta main. Mais si tu avertis l’impie, et qu’il ne se détourne pas de son impiété et de sa mauvaise voie, il mourra dans son iniquité ; mais toi, tu auras délivré ton âme. » (Ezéchiel III, 18,19)

 

« Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel s’affadit, avec quoi le salera-t-on ? Il n’est plus bon, qu’à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes. » (St Matthieu V, 13)

 

(A suivre… « Le respect de Dieu - 2 » si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) La perversion intellectuelle et morale est telle que même le mot « homophobie » est pervertie. Etymologiquement « homo » est le nom générique de l’espèce humaine et « Phobie » vient du grec « phobos » signifiant « peur, crainte ». Eu égard à l’étymologie, en qualité de chrétien j’espère ne pas dépasser les facultés intellectuelles de certains, en disant ne pas avoir peur des #homosexuels et autres pervers. Ils sont plutôt à plaindre. Cependant, c’est mon devoir de dénoncer ces pratiques qui violent les lois divines et constituent un véritable danger de destructuration familiale et sociale. Pour agir de la sorte, je me réfère aux préceptes de Dieu, à l’Evangile, et non à l’esprit paganisé, complaisant et indifférent du siècle, ni aux enseignements d’une #Kabbale sulfureuse avec son dieu mâle et femelle permettant de comprendre où s’origine la pseudo justification des pratiques contre-nature et la théorie du genre. Comme chrétien, je porterai devant Dieu une lourde responsabilité en restant silencieux, en n’avertissant pas le pêcheur sur les conséquences éternelles de ses mœurs coupables et, ce faisant, ceux qui se proposeraient d’imiter cette pratique fermement condamnée par la loi divine. Rien qu’évoquer #Sodome nous renvoie à un épisode biblique où Dieu, en faisant pleuvoir le feu et le soufre sur cette ville corrompue, manifeste de manière non équivoque, ce qu’il pense de ces pratiques. Si ceux qui sodomisent et ceux qui nous gouvernent et légifèrent de manière aussi indigne et irrespectueuse se fichent de Dieu, pas moi ! Je ne suis pas obligé de suivre cette voie de perdition, de rester silencieux face à ceux qui s’exhibent et promotionnent avec la bénédiction des autorités civiles. Quant aux ecclésiastiques qui se taisent ou se contorsionnent pour ne pas appeler les choses et les êtres par leur nom, ils ne font que signifier leur indignité, et l’amour du prochain dont ils abreuvent leurs homélies, en cette circonstance, n’est plus qu’une grossière caricature et une falsification visant à camoufler sa mutation en non-assistance à personnes en danger de damnation éternelle, à l’exemple du ''pontife'' rigolard. Quant au suffixe « phobe » c’est un mot utilisé en psychiatrie pour qualifier des troubles psychiatriques. Que cherche-t-on à insinuer ou à imprimer dans l’esprit des gens en utilisant de façon récurrente le terme homophobe ?… Bon pour l’asile ? Dans ce cas, la destination est toute trouvée pour les troubles psychiatriques des cathophobes, des christianophobes, des nationophobes, des tradiphobes, des papophobes et des bouffeurs de curés : beaucoup de monde en perspective ! Attention à vos sous-entendus tendancieux, bandes d’irresponsables : ce qu’il n’est plus nécessaire de prouver.

 

Mis sur un autre blogue le 16 décembre 2016

mardi 23 août 2022

L'étendue de la Royauté du Christ


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 18

 

L’ETENDUE DE LA ROYAUTE DU CHRIST

 

    Cette royauté de Jésus-Christ, pour le bien des peuples, doit s’étendre sur tous les individus et toutes les collectivités car souligne le Pape Pie XII :

 

« Le bien privé et le bien commun ont la même source»

 

     Etant issus d’une même source, ces deux biens ne sauraient être pleinement  et durablement procurés sans une reconnaissance et une soumission des nations à la royauté de Jésus-Christ. Et de justifier cet empire qu’exerce Notre-Seigneur non moins que cette affirmation de source unique du bien, ainsi que du salut, par un texte de la Sainte Ecriture : celui de la respectueuse mais ferme et courageuse réponse de Saint Pierre au Sanhédrin concernant Jésus.

 

« C’est lui seul qui est la pierre rejetée par vous les constructeurs, et qui est devenue la pierre de l’angle, et il n’y a de salut en aucun autre : car aucun autre nom sous le ciel n’a été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes IV, 12-13)

 

    De nos jours, les bâtisseurs de sociétés antichrétiennes que sont les Juifs, leurs prosélytes francs-maçons et tous ceux qui collaborent avec eux, rejettent toujours cette « pierre d’angle » la pierre principale pour retenir l’édifice. Autant dire que leur construction politique et sociale s’appuyant sur les promesses d’idéologies telles que le socialisme, le marxisme, un capitalisme sans âme, le libéralisme économique faisant des travailleurs des objets jetables comme des kleenex, le mondialisme ou le « vivre ensemble » sont inaptes, non seulement, à assurer le bien privé (de plus en plus attaqué et taxé) mais aussi le bien commun temporel et, bien moins encore, le salut des âmes. Ces différents types de constructions sociales judéo-maçonniques négateurs du « seul nom par lequel nous devions nous être sauvés » ne peuvent que, tour à tour, s’effondrer finalement dans un chaos mondial, connaître le même sort que l’antique Tour de Babel avant de laisser la place, pour un peu de temps, au gouvernement de l’Antéchrist auquel travaillent les Juifs - tout en croyant œuvrer pour la venue du Messie déjà venu il y a deux mille ans - et leurs collaborateurs.

 

     L’Eglise, à temps et à contretemps, ne peut, sans trahir sa mission salvatrice, taire la suprématie de Notre-Seigneur et l’obligation dans laquelle se trouvent tous les hommes de s’y soumettre pour assurer leur salut. Eu égard à cette puissance exercée par le Christ, le Saint Père détenteur du pouvoir spirituel, non moins que le temporel qui lui est subordonné (1) se doit de rappeler et d’exhorter les autorités de ce monde, à ne pas refuser de s’acquitter de leurs devoirs à l’égard de Dieu. Aujourd’hui, comment l’Eglise conciliaire prise par le délire œcuménique pourrait-elle, son trahir sa vocation, accomplir sa mission salvatrice en faisant un rappel équivalant et de même portée que celui de Pie Saint Pierre (ci-dessus) ou de Pie XI, ci-dessous, sans froisser les autorités juives, musulmanes qui rejettent le Fils de Dieu et sa dignité royale, et aussi les chefs de toutes les autres fausses religions ? L’œcuménisme, malheureusement, tel qu’il a été conçu par le Concile Vatican II, découronne Notre-Seigneur, le Rois des rois, comme le montre la déposition par Paul VI de la tiare pontificale représentant les trois pouvoirs de Jésus-Christ (exécutif, judiciaire, législatif) 

 

« Que les chefs des nations ne refusent donc pas de rendre par eux-mêmes et par le peuple à la puissance du Christ leurs hommages publics de respect et d’obéissance, s’ils veulent, en sauvegardant leur autorité, promouvoir et accroître la prospérité de la patrie ! »

 

     La situation actuelle des nations occidentales et chrétiennes et de ceux qui les pilotent vautrés qu’ils sont, par la déchristianisation et la judaïsation de leur esprit dans le naturalisme qui les paganisent de plus en plus, est révélatrice de la surdité des hommes d’Etat et de ceux qui les suivent. Les conséquences d’une telle attitude, poursuivie avec pertinacité, sont lourdes de conséquences et affectent directement les gouvernants eux-mêmes dans « la sauvegarde de leur autorité » non moins que la nation concernant « la prospérité de la patrie »

 

     Ainsi, cet irrespect et ce refus d’obéissance envers Dieu par les chefs des nations et les diverses autorités, se répercutant dans les peuples, conduisent inexorablement vers l’anarchie sociale et le paupérisme national, la reprise en main expiatrice par la dictature ou la tyrannie, avant l’heure fixée par Dieu pour restituer la souveraineté à qui de droit.

 

« A suivre… « Les obligations du pouvoir civil »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini  

 

- C’est moi qui mets en gras dans l’extrait du Pape.

 

(1) La finalité de notre pouvoir temporel républicain vautré dans sa laïcité révolutionnaire et sa revendication d’un athéisme d’Etat est, de plus en plus et visiblement, la damnation du plus grand nombre par une législation fauteuse d’insanités morales et méprisante des lois divines. A l’opposé, la finalité d’un pouvoir temporel digne de ce nom étant la vie vertueuse du plus grand nombre, il ne peut atteindre cette fin qu’en étant subordonné au pouvoir spirituel, lequel se doit de juger la moralité de ses actes. Cette subordination n’exclut pas, afin d’éviter tout cléricalisme, une juste autonomie de ce pouvoir temporel pour le choix des moyens dans la mesure où ils sont conformes à la morale.

mercredi 6 juillet 2022

Les Gilets Jaunes sous influence kabbalistique - 2 : Alors, le suffrage universel comme solution ?


LES GILETS JAUNES SOUS INFLUENCE KABBALISTIQUE - 2

ALORS, LE SUFFRAGE UNIVERSEL COMME SOLUTION ?


     Le suffrage universel n’est pas le remède mais le problème car il n’a fait, élection après élection, qu’accentuer vos maux et vos gémissements. Face au vote il y a plusieurs catégories de personnes :

- Les abstentionnistes de longue date. Personnellement, cela fait près de 40 ans (1981) que je ne vote plus. A dire vrai, c’est la seule fois où j’ai voté, après une longue hésitation. Je suis donc un abstentionniste de longue date et pas prêt de reparticiper à cette mascarade dont le peu de sérieux est manifesté par l’auberge espagnole des 33 candidats (cette fois-ci). Pas avant qu’on ait fait un vrai débat historique et public sur l’histoire de France d’avant et après 1789, avec équilibre dans le nombre des historiens non conformistes et ceux des historiens stipendiés par l’Etat ou des conservateurs de chaire soucieux pour leur gamelle et leur notoriété, et pas seulement l’histoire présentée par les Editions Isaac Nathan et Mallet. Une fois fait, je pense que beaucoup, ceux dont le cœur est droit et prêts à faire honnêtement la part des choses, préférerait un retour à la Monarchie. Pour ce qui me concerne, surtout pas une monarchie constitutionnelle avec un monarque moderne potiche ou pour le folklore, comme le roi des Belges et autres têtes couronnées européennes.

- Ceux qui sont abstentionnistes depuis moins longtemps et ont participé à plusieurs scrutins ils ont donc, avec plus ou moins de constance, contribuer à l’abaissement continuel de la France, surtout moral mais pas que, quel que soit le candidat qu’ils aient porté au pouvoir. BRAVO ! Cependant, mieux vaut tard que jamais.

- Ceux qui, envers et contre tous, ont continué, et continuent encore, de croire au Père Noël des grandes personnes ou, par dépit, faisant semblant d’y croire puisqu’on ne cesse de leur répéter que c’est un devoir, peu importe pour qui il vote le système révolutionnaire leur permettant de jouir encore de certains avantages ou privilèges spécifiques, ou n’ayant pas encore compris comment fonctionne un système établi sur le mécanisme révolutionnaire des assemblées délibérantes, dans lesquelles les projets qui façonneront la France sont d’abord débattus et décidés en dehors de l’Assemblée Nationale dans des conventicules dont les membres établissent des passerelles avec d’autres partis politiques opposés en apparence sur le grand théâtre de Guignol. Le système est bien verrouillé par ceux qui l’ont construit et peaufiné depuis plus deux siècles : DOUBLE BRAVO ! Vous avez apporté votre contribution à une décadence accélérée et encore plus profonde de la France.

     Mais, c’est un devoir direz-vous indigné ! Oui, mais pas un n’importe quel prix, surtout lorsque vous avez compris qu’on vous prend pour un imbécile en vous faisant participer à un jeu aux dés pipés. Songez à combien de lois iniques vous avez contribué en votant pour des candidats ouvertement libéraux, progressistes ou volontairement ambigus dans leur programme politique sur certaines questions importantes liées à la morale qui est fondamentale, car elle aura inexorablement des retombées dans tous les domaines de la vie. Ainsi, vous avez participé ou avez été complice de leurs péchés par les lois iniques qu’ils ont votées ou cautionnées. Ce n’est pas parce que les media, des journalistes, des artistes, des saltimbanques ou des énarques diplômés ou super-diplômés à pouvoir tapisser les murs de leur maison, vous encouragent à aller voter qu’ils sont forcément intelligents : ne pas confondre instruction et intelligence, têtes bien pleines et tête bien faites. Des imbéciles, des trompeurs et des aveugles vous en trouvez même chez les universitaires et les énarques. La vraie question à se poser, du moins pour ceux qui se veulent chrétiens, est : où ont-ils mis le Christ dans leur programme politique ? Nulle part ? Alors la cause est entendue ! Et, qui plus est, honte à lui, s’il se dit catholique ! La laïcité révolutionnaire sans Dieu, c’est la vraie bête immonde.

     Ne perdez pas de vue que les oligarchies financières, les Rothschild et Cie sont des révolutionnaires : ils ont financé les Révolutions, les guerres, les journaux et les partis politiques de droite et de gauche. Ils ont toujours plusieurs fers au feu selon les besoins de leur cause qui concerne la gouvernance mondiale et la possession des ressources terrestres. Pour atteindre ce but tout leur est bon : guerres civiles, guerres mondiales, corruption des âmes par l’argent, le sexe, la création de multiples antagonismes politiques et religieux, la recherche effrénée des honneurs, etc. Gilets jaunes, ceux qui vous incitent à la révolte vous trompent : soit de bonne foi par ignorance du fonctionnement du mécanisme révolutionnaire, soit pour des mobiles plus personnels ou cachés.

UNE DIVERSION POUR CACHER LA MAIN ?

     Quant à l’histoire des Khazars qui fait fureur sur Internet, elle ne me paraît pas convaincante en tant que non-Juifs, car les persécutions chrétiennes contre le christianisme ont commencé dès le premier siècle, bien avant la découverte de ce royaume khazar (dit de faux juifs). Serait-ce une tentative pour disculper les Juifs de leurs œuvres mauvaises pour les faire retomber sur une treizième tribu imaginaire servant de bouc émissaire ? Un argument, parmi d’autres, permet de douter sérieusement de cette thèse. Les Juifs n’ont jamais fait de prosélytisme de masse. Il y avait donc dans ce royaume Khazar des Juifs, comme il y en avait dans d’autres parties du monde ; mais des Juifs khazars qui s’étaient égarés loin de la Promesse et que des rabbins ont ramené à la foi juive. (1)

     Quant à Jésus et aux apôtres du Nouveau Testament, les Pères de l’Eglise et les chrétiens tout au long des siècles, c’est bien à des Juifs qu’ils font référence pour mettre en garde, et non à des faux Juifs Khazars usurpateurs d’identité, comme persécuteurs des chrétiens ! De même que dans le christianisme il y a de bons et de mauvais chrétiens, il y a de bons et de mauvais Juifs (français, italiens, russes, khazars, etc.) mais les mauvais chrétiens et les mauvais Juifs n’ont demeurent pas moins respectivement chrétiens ou Juifs. Le Juif ne cesse pas d’être juif en vivant en France ou chez les Khazars, de même pour le Catholique vivant en Israël. Les mauvais Juifs n’ont pas attendu la découverte des Juifs khazars pour être à l’œuvre, et construire leur veau d’or et leur richesse.

ECOUTEZ LE CHRIST ET PAS LES APPELS A LA REVOLUTION :

     Si vous devez écouter quelqu’un, écoutez le Christ, méditez le Décalogue, car ce sont des paroles de sagesse qu’ils prononcent non seulement sur le plan temporel mais aussi sur celui de l’éternité. Vous devriez y faire d’autant plus attention si vous êtes Catholiques car, si votre cœur est droit, vous ferez vite la différence entre ce qui est de nature à contribuer au redressement moral et au bonheur du plus grand nombre, et ce qui suscite et encourage l’immoralité, la haine, l’envie, le désordre, la vengeance, la violence qui créent des rancoeurs et des inimitiés tenaces et profondes : les unes vous mettent dans les pas du Christ (exemple de tous les chrétiens) et la vie éternelle, les autres dans celles du diable et de ses suppôts terrestres, et la damnation éternelle. Fixez vos yeux sur le Christ et défiez-vous de ceux qui se présentent à vous en s’émancipant de ses enseignements, en vous proposant des solutions sans s’appuyer sur Celui qui a dit : « Je suis la Voie, la Vérité et la Vie » (St jean XIV, 6) ou, se croyant plus sage que Lui, s’émancipe de ses exemples. « Ne rendez pas le mal pour le mal » dit-il à ceux qui veulent être ses disciples. (I Pierre III, 9 ; Romains XII, 17)

     N’oubliez jamais de prier c’est ce que faisais Jésus-Christ. Que votre journée, au minimum, commence et finisse par une prière sincère. Dans le doute pour une décision à prendre, posez-vous la question : que ferait Jésus dans ma situation ? Ce questionnement pour rester en cohérence avec ses enseignements et ne pas m’égarer en dehors de ceux-ci ?

     N’oubliez pas que dans l’univers il n’y a que deux catégories d’êtres qui ne prient pas : les animaux et ceux qui leur ressemblent.

(1) Disant, pour être plus précis, que quelques Khazars sont peut-être devenus Juifs, mais la très grande majorité des étiquetés Khazars ne sont pas des Mongolo-Asiates devenus Juifs par conversion, mais bien de VRAIS JUIFS. Ils étaient gouvernés et protégés par les guerriers de la noblesse turque. Du VIe au VIIIe siècle les Khazars accueillirent des immigrants juifs. Le Juif Obadiah pris le contrôle de ce pays en 803 (Israël Adam Shamir, L’autre Visage d’Israël.)

Mis sur un autre blogue le 16 novembre 2018

Sans rancune les gilets jaunes.


Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...