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samedi 3 septembre 2022

Les obligations du pouvoir civil - 2 : Le respect de Dieu - 2


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST – 20

 


LES OBLIGATIONS DU POUVOIR CIVIL – 2

 

LE RESPECT DE DIEU - 2

 

     Dans la précédente publication j’ai montré comment le cinéma s’attaque au christianisme en dénaturant les Evangiles, en blasphémant ce qui est saint, et le peu d’indignation manifestée, voire le silence des milieux catholiques.

 

     La France, en 1789, a préféré Barabbas, le voleur, à Jésus-Christ. Et Barabbas depuis cette date lui a manifesté, et continue de lui manifester toute sa gratitude et son affection par la démocratie qui réchauffe tant le cœur des français, et les libère des despotes. En 1958, elle a enfoncé le clou, par son reniement formel de Dieu, l’adoption et la proclamation publique de sa Constitution laïque. Elle s’est prostituée au veau d’or de ses ennemis séculaires, à ses méthodes d’influence des mentalités que constituent tous ses moyens médiatiques. En conséquence, elle se fait l’apologiste de lois sociales permettant le piétinement des lois divines, ou facilitant toutes les lubricités sexuelles qui installent confortablement l’immense majorité de ses fils et filles avilis ou désorientés intellectuellement, moralement et spirituellement, soit dans la recherche effrénée de de biens et de plaisirs temporels, soit dans les raffinements érotiques de Sodome devenus pour les décérébrés, l’horizon indépassable de la félicité temporelle. Certaines sectes gnostiques y voyant même une union mystique avec la divinité.

 

     En France, dont la vocation depuis le baptistère de Reims et le baptême de Clovis en 496, était d’être le défenseur de l’Eglise et de son Roi : Jésus-Christ, le monarque n’étant, ici-bas, que son lieutenant, vous pouvez, aujourd’hui, sans impunité, encourager et exciter les mœurs les plus infâmes, tourner en dérision la religion catholique, ses vrais ministres, commettre tous les crimes contre la sainteté et la divinité de Jésus-Christ, la pureté de sa Sainte Mère, les traîner dans la boue, tous les ‘’grands défenseurs’’ de la dignité humaine, tous les ‘’justiciers’’ de crime contre l’humanité à géométrie dirigée, toutes les ‘’grandes consciences’’ humanitaires politiques et religieuses, ne se scandalisent pas, ou si peu, de ce crime qui est au-dessus de tous les autres crimes que peuvent avoir à juger les hommes, ici-bas : celui qui consiste, après l’acte du déicide que fût son ignominieuse mise à mort, à le déshonorer en attribuant les péchés de la chair pécheresse, à Celui en qui il n’y a point de péché.

 

« Le Christ (…) lui qui n’a pas commis de péché, et en la bouche de qui n’a pas été trouvé la tromperie. » (I Pierre II,22)

 

     De tels hommes, sans se montrer des fils indignes, n’accepteraient pas sans broncher que l’on puisse porter atteinte à l’honneur de leur père et mère charnels. Comment peuvent-ils alors, possédant une autorité religieuse, ne pas dénoncer, fustiger, vilipender avec fermeté, sans langue de bois, ni contorsions théologiques, le mutisme d’hommes politiques catholiques ? Bien sûr, nous connaissons, depuis longtemps, les réponses à tout cela, mais tous n’entendent-ils pas Jésus-Christ, dont ils se prétendent les disciples, s’adressant à ceux qui osèrent le traiter de « samaritain » ou encore de « possédé du démon » leur répondre « VOUS ME DESHONOREZ » (St Jean VIII,49)

 

     Il fallait bien ce film ordurier du renégat Martin Scorcese et de son bailleur de fonds, le cornac juif Wasserman, pour nous signifier et nous avertir, s’il en était encore besoin :

 

- d’une part, que la lutte que livre le judaïsme kabbaliste et talmudiste contre la Royauté de Notre-Seigneur et la sainteté de sa Personne est constante, depuis les grands prêtres Anne et Caïphe, et qu’il se trouvent toujours, sous toutes les latitudes des Ponce Pilate conciliants et des faux chrétiens, pour accéder aux désirs de ceux qui veulent, avec une satanique obstination, Le discréditer en le salissant comme les porcs qu’ils sont, et, ce faisant, détruire son Eglise si cela était possible.

 

- d’autre part, le magma purulent que sont devenues les cervelles d’un grand nombre de nos ‘’élites’’ politiques et religieuses, et son inévitable rejaillissement sur toute la société croyante et incroyante, rendant ainsi témoignage d’une dramatique perte de la foi et des valeurs morales. L’état actuel d’enténèbrement moral touchant l’éducation, l’enseignement et la pratique du sanitaire, de la science, de l’histoire, de l’économie et autres disciplines dans la formation des jeunes esprits, n’est rien d’autre que l’enseignement révolutionnaire faisant table rase de tous ce qui est contraire à ses dogmes, le stigmatisant et le balayant comme moyenâgeux ou théorie du complot. Enseignement révolutionnaire favorisé par le pacte gouvernemental avec les forces des ténèbres dont est issue la Révolution judéo-maçonnique.

 

     Pourtant, tous devraient se rappeler les sévères reproches que Dieu formulaient à l’encontre des prêtres d’Israël, pour leurs honteuses négligences dans le culte et les sacrifices qu’ils Lui devaient :

 

« Un fils honore son père et un serviteur son maître : si donc moi je suis votre père, où est mon honneur ? Et si moi je suis votre Seigneur, où est la crainte de moi ? Dit le Seigneur des armées (…) » (Malachie I,6)

 

(A suivre…si Dieu veut)

 

LES JOURS MAUVAIS :

 

     Dieu permet, tout en fixant la longueur de la laisse, que le Diable accomplisse son œuvre inique, dans le temps qui lui est donné, pour éprouver notre amour pour Lui et purifier notre foi. Les jours devenant de plus en plus mauvais par la volonté des suppôts de Satan, malfaisants, détraqués et sans scrupules qui dirigent les nations, nous avons donc, plus que jamais, besoin de recourir à la prière et à demander la protection de Dieu. Ne négligez surtout pas ! Fixez votre regard sur le Christ qui nous enseigne, par ses actes et ses paroles, comment se comporter, avec foi et confiance, dans les moments et situations difficiles ayant en tout, pour objectif, la fidélité et la soumission à la volonté de Dieu qui seront facilitées avec l’aide de la grâce, si « nous aimons Dieu de tout notre cœur, de toute notre âme et de toutes nos forces » comme le commande le précepte de l’amour. (Deutéronome VI,5)

     

René Pellegrini

vendredi 5 août 2022

Mon Royaume n'est pas de ce monde - 2


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST – 14

 

MON ROYAUME N’EST PAS DE CE MONDE – 2


     César et Pilate n’ont rien à craindre de la royauté du Christ car elle ne vient pas du peuple. N’étant pas tributaire, pour sa légitimité et la continuité de son exercice, de l’appui de serviteurs ou de forces militaires, elle n’a donc pas besoin de se rebeller, comme le feront les Juifs, contre l’autorité impériale et Ponce Pilate son représentant actuel en Judée.

     Pilate, surpris par un silence de Jésus, Lui dira en soulignant bien son autorité

« Ignores-tu que j’ai le pouvoir de te crucifier et le pouvoir de te délivrer. » (St Jean XIX, 10) Jésus répondra : « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en haut. » (Verset 11)

     Jésus se servira de cette observation de Pilate pour lui faire remarquer et lui faire prendre conscience, lui qui, malgré tout, s’efforce de le libérer de la vindicte juive, d’où émane, qu’elle est L’ORIGINE de tout pouvoir, même païen comme le sien : « DONNE D’EN HAUT » c’est-à-dire, de Dieu, de Moi qui me livre entre tes mains, et, ainsi, la propre dépendance à Dieu de Pilate, lui qui croit l’avoir reçu de César qui, en l’occurrence, n’est qu’un instrument entre les mains de Dieu. Ces paroles de Jésus posent la question de L’ORIGINE de tout pouvoir et pas celle du désintérêt de Jésus pour les choses civiles.

     C’est bien conscient de l’origine divine des pouvoirs terrestres et des devoirs des chrétiens envers l’Etat et ses représentants, que Saint Paul, en conformité avec I Pierre II, 11-14 pourra dire, alors que Juifs et chrétiens se trouvent, à cette époque, sous la domination des légions romaines et païennes de César :

« Que toute âme soit soumise aux puissances supérieures, car il n’y a pas de puissance qui ne vienne de Dieu ; et celles qui sont ont été établies de Dieu. C’est pourquoi qui résiste à la puissance résiste à l’ordre de Dieu. » (Romains XIII, 1-2) (1)

     Sois sans crainte Pilate, quoiqu’on ait pu te dire sur mon compte, les caractéristiques de ma royauté font qu’elle ne doit rien à l’usurpation, à une quelconque révolte contre l’autorité impériale que tu représentes, ni à la volonté et aux agissements des hommes conformés à l’image d’Adam; mais elle est gouvernée par la Providence de Dieu et réglée selon sa volonté. Les serviteurs de mon royaume ne se conforment qu’à l’image du Nouvel Adam : Jésus-Christ. Voir les caractéristiques de ceux qui sont appelés à habiter ce royaume, sur cette Page à la date du 22 décembre 2020, La Royauté universelle de Jésus-Christ – 11 : Les caractéristiques du Royaume de Dieu.

     N’accorder qu’une dimension intérieure, circonscrite uniquement dans les âmes, à « Mon royaume n’est pas DE ce monde » comme les Témoins de Jéhovah et les nombreuses légions de catholiques libéraux et modernistes curieusement réunis en la circonstance, pour Lui dénier une royauté sur les choses civiles de ce monde serait insérer l’absurde et la contradiction du Saint-Esprit en de nombreux textes de la Sainte Ecriture et, en même temps, insinuer que l’Eglise catholique se serait trompée sur cette question depuis vingt siècles et faire peu de cas de l’infaillibilité du magistère pontifical en la circonstance : doublement absurde !

     A aucun moment Il n’a voulu dire que cette Royauté ne s’exerce pas sur ce monde ou en ce monde. Ce serait stupide et contraire, de surcroît, à l’affirmation de Jésus, à ses apôtres, avant de remonter au ciel et, précisons-le, avant même de revenir, à la fin du monde, pour châtier définitivement les nations rebelles, et dans laquelle Il déclara solennellement :

« Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre. » (St Matthieu XXVIII, 18)

     Le constat douloureux que le monde des hommes se soit placé, très majoritairement, sous l’emprise des lois du démon et sous son règne n’enlève rien au fait que tout se meut, dans les événements qui affectent la terre, selon la Providence de Dieu et pour le salut des élus, et que Jésus règne sur ce monde de droit (de nature et de conquête) à moins de mettre les paroles précitées de Notre-Seigneur, qui ne peut mentir, sur le compte de la vantardise.

     Le Pape Pie XI ne fait que confirmer, dans son Encyclique, les paroles de Jésus-Christ et leur interprétation, en qualifiant d’« erreur honteuse de dénier au Christ-Homme la puissance sur les choses civiles quelles qu’elles soient. » Et que dire de cette même puissance en tant que Dieu ?

     On voit bien à qui profite ce crime de la mise à l’écart et du détrônement de Jésus-Christ sur les sociétés humaines, avec l’aide de ceux qui devraient être ses principaux hérauts : les hommes politiques catholiques et les hommes d’Eglise préférant prêcher les droits de l’homme plutôt que ceux de Dieu. HONTE A EUX !!! 

(A suivre…« La royauté du Christ sur les individus »…si Dieu veut)

René Pellegrini

- C’est moi qui mets en gras dans le texte.

(1)   Aucune société humaine ne peut subsister sans une autorité. Par ses paroles, Saint Paul ne vise pas à justifier l’usurpateur et le tyran, mais il fonde l’obligation d’obéir sur Dieu. L’autorité humaine, quelle qu’elle soit, ne peut exister que par la volonté de Dieu. Tout pouvoir humain a en Dieu son origine et sa source. Les gouvernants sont serviteurs de Dieu. Les bons, pour favoriser le bien commun temporel, moral et spirituel de leurs administrés ; les mauvais, comme instruments de la justice divine pour châtier, au temps marqué, les nations ayant apostasié ou rebelles à Dieu.

- Ces explications pour les agités et inconscients sur certains forums catholiques qui, sciemment ou par ignorance, excitent à la Révolution en l’absence de toute autorité politique et religieuse LEGITIMES : c’est-à-dire DE DROIT et non de fait. Malgré tout, si nous sommes chrétiens, nous devons obéir à ces pouvoirs de fait, dans la mesure où leurs lois ne nous mettent pas dans la position d’apostasier ou de violer les commandements de Dieu qui sont imprescriptibles, ou de désobéir aux anathèmes portés par l’Eglise dans ses documents émanant du double exercice de son Magistère infaillible : extraordinaire ou ex cathedra très peu utilisé : lors des dogmes ou définitions solennelles ; et ordinaire pontifical (celui que les besoins et les nécessités de l’Eglise exigent sans qu’il soit nécessaire de réunir un Concile, pouvant être utilisé tous les jours que Dieu fait ou lors de problèmes ponctuels, et dans lequel il est tout aussi véridique).  

- En tant que Catholique s’efforçant de marcher, en actes et en paroles, dans les pas du Christ, il m’est impossible de suivre ceux qui poussent à la haine contre les adeptes d’autres religions ou à la Révolution. Dénoncer, mettre en garde contre leurs fausses doctrines ou philosophies, être sans complaisance envers leurs mauvais agissements est une chose, tenir des propos haineux à leur égard en est une autre, et ce n’est pas la manière d’agir de Jésus-Christ, modèle des chrétiens. Cette distinction pour les orfraies et les imbéciles de toutes catégories sociales, politiques et religieuses, aussi haut placés soient-ils, qui s’empressent d’hurler au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie, etc., dès que vous prenez vos distances avec leurs dogmes laïcs ou leurs réinterprétations religieuses qu’ils doivent probablement considérer comme infaillibles, ou le stupide et dissolvant politiquement et religieusement corrects des supplétifs des Big Satrapes of the Sanhedrin. Je laisse ces pratiques aux traîtres à Dieu, à leur patrie, invertébrés et opportunistes sans honneur, corrompus par l’argent, l’ambition et le sexe, et qui, perversion de l’esprit aidant et toute honte bue, paradent en public, se faisant une gloire avec ce qui constitue leur honte : NE LES SUIVEZ PAS ! TENEZ-VOUS EN GARDE CONTRE EUX ! LEUR VOIE EST UNE VOIE DE MALHEUR ET DE PERDITION. Mais, prions Dieu pour que dans sa miséricorde, Il daigne leur accorder une grâce de repentance et de conversion par les mérites infinis de Jésus-Christ et l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie.

- Tenez-vous aussi en garde contre ceux (prêtres ou laïques) qui vous conseillent d’aller voter pour des personnes (quelles qu’elles soient) qui se soumettent au suffrage universel que le Pape Pie IX qualifiait de mensonge universel. En effet, dans ce genre d’élection les dès sont pipés. Seule la méconnaissance de ce qu’est la Révolution, de ses agents et leurs méthodes de subversion, ou l’ignorance peuvent encore illusionner sur le vote dans un pays qui se soumet à cette funeste mascarade dite démocratique dont tous les prétendants, pour postuler, doivent faire allégeance à la démocratie, la laïcité révolutionnaire et les droits de l’homme : la triple imposture…et pas seulement en France.   

Mis sur un autre blogue le 5 septembre 2015  

René Pellegrini

lundi 23 mai 2022

Catholiques, Attention ! - 2 : Les motifs de persécution


 CATHOLIQUES, ATTENTION ! – 2 :

 LES MOTIFS DE PERSECUTION

 

« Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maîtreS’ils m’ont persécutéils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom parce qu’ils ne connaissent point celui qui m’a envoyé. » (St Jean XV, 20-22)

     Ne pas être oublieux de l’histoire permet de pressentir ce qui peut arriver. Les Juifs sont donc désignés comme persécuteurs par Jésus. Comment cette persécution contre les chrétiens qui est inévitable peut-elle advenir ?

     De par la puissance acquise aujourd’hui la persécution peut être directement le fait des Juifs ou plutôt, comme aux jours de Jésus, par l’utilisation d’agents extérieurs que permettraient les circonstances existantes ou créées. Pour quels motifs les gouvernements judéo-maçonniques actuels pourraient-ils déclencher cette persécution ? Elle pourrait se fonder sur un motif religieux ou politique, ou les deux ensembles. Expliquons !

MOTIF RELIGIEUX

     Averti que « le serviteur n’est pas plus grand que son maître » comment les Juifs en sont-ils arrivés à condamner Jésus à Mort ? L’affaire pris d’abord une tournure religieuse, en l’accusant de blasphème car « il s’est fait Fils de Dieu » (St Jean XIX, 7) dirent-ils à Pilate. Mais il ne voulut pas intervenir sur un problème concernant la loi religieuse juive. Dépités, ils abandonnèrent la question religieuse pour la reporter sur le plan politique « Si tu le relâches, tu n’es pas un ami de César. Quiconque se fait roi se déclare contre César » (St Jean XIX, 12) Cette fois, le problème était beaucoup plus sérieux, l’autorité de César était mise en cause. Pilate, représentant de la puissance impériale se devait d’intervenir, nous en connaissant l’issue après que, plusieurs fois, il ait tenté de fléchir l’acharnement meurtrier des pharisiens.

     A notre époque, sur un plan religieux, avant la venue de l’Antéchrist, en utilisant le trompeur « vivre ensemble » devenant de plus en plus contraignant car destiné à diluer le Christ et sa doctrine dans un magma religieux protéiforme. En effet, il faut rappeler que ce n’est pas Dieu (1) qui pose problème mais « le nom de Jésus-Christ » la persécution advenant « à cause de mon nom ». Le « vivre ensemble » consistant à ne pas faire de vagues, en mettant en sourdine les doctrines et les enseignements de Jésus et de l’Eglise trop explicites concernant certaines personnes, comportements et pratiques politiques ou religieuses.

     Un certain clergé pourrait insinuer, comme les Juifs le firent de manière calomnieuse contre Jésus, (St Luc XXIII, 2-5) que les chrétiens non-conciliaires « exciteraient la nation à la révolte, et soulèveraient le peuple » par leur intransigeance, en ne respectant pas le « vivre ensemble » ce pandémonium religieux de la laïcité devenant, par les conditions posées, incompatible et opposé à la claire mission confiée par Jésus aux chrétiens et Catholiques : Prédication non seulement théorique mais aussi pratique et conduisant à l’obéissance.

« Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit, et leur enseignant à observer tout ce que je vous ai commandé. » (St Matthieu XXVIII, 19,20)

     Il faut donc, et c’est l’ordre formel de Notre-Seigneur « enseignez toutes les nations » et pas « sauf les Juifs » comme l’enseigne une certaine hiérarchie conciliaire traîtresse à sa mission, alors que Jésus montra l’exemple en commençant sa prédication par eux, comme l’ont fait les Apôtres, et l’Eglise à leur suite.

     Une telle insinuation serait mensongère car ces chrétiens (quel que soit le vocable utilisé pour les discréditer ou les mettre au ban de la société) n’encourageront, ni n’exciteront à la révolte contre un système institutionnel verrouillé par les révolutionnaires de droite et de gauche et, de plus, étant présentement privés de toute autorité légitime pour les guider. Ce serait absurde de leur part, car utiliser ces moyens placeraient nécessairement ceux qui les utilisent au service même de l’une ou l’autre des composantes de la Révolution.

     Ce clergé pourrait aussi se prévaloir, auprès du César judéo-maçon actuel, de la « coercition » cautionnée par la déclaration de Benoît XVI, à l’ONU, le 18 avril 2008.

« Tout État a le devoir primordial de protéger sa population contre les violations graves et répétées des droits de l’homme (…) L’action de la communauté internationale et de ses institutions, dans la mesure où elle est respectueuse des principes qui fondent l’ordre international, ne devrait jamais être interprétée comme une coercition injustifiée ou comme une limitation de la souveraineté. » (2)

     Or, ces droits de l’homme sont la négation même des Droits de Dieu (3), ils ont été condamnés par l’Eglise et, en considérant les turpitudes qui de nos jours entre dans le catalogue de ces droits, ils sont une insulte majeure et réitérée faite à Dieu. Ne pas y adhérer, pour rester fidèle aux commandements de Dieu serait considéré, par ces suppôts de Satan, comme violation entraînant la coercition.

      Dans la mesure où cette possibilité ne serait pas saisie durant la phase pré-antéchristiquecelle de l’avant-coureur de l’antéchrist (Message de la Salette) il lui resterait le motif politique pour son intervention.

MOTIF POLITIQUE

     Quel pourrait-être, alors, le chef d’accusation sur le plan politique ?

     Comme au premier siècle, pour l’exécution d’un seul Homme, ils utilisèrent comme on vient de le voir, un prétexte politique et, par la suite, les autorités politiques existantes contre les disciples. Aujourd’hui, il ne s’agit plus seulement de quelques disciples mais de plus d’un milliard de chrétiens catholiques dans le monde, dont vingt-cinq à trente millions en France, avec une foi plus ou moins bien enracinée. Devant un tel nombre autant utiliser, ils savent faire, les instruments que permettent les circonstances créées par les folies guerrières mondialistes pour justifier, auprès de l’opinion publique, une politique ''humanitaire'' d’immigration forcenée afin d’assouvir les sombres desseins du satanique cosmopolitisme judéo-maçonnique, dont la mission est la dissolution dans le magma religieux, voire l’éradication de la culture et de la civilisation chrétiennes qui rappellent trop le Christ à ses ennemis démonisés.

     Au-delà des discours officiels, des gesticulations et des simagrées politico-religieuses la main sur le cœur, les professionnels de l’agitation et des révolutions - dont on ignore plus aujourd’hui l’origine raciale - utilisent l’islam manipulé à outrance, voire conforté dans ses désirs d’afficher publiquement certaines pratiques religieuses incompatibles dans une société de culture et de traditions chrétiennes. Ces pratiques destinées à échauffer les esprits, attiser les tensions communautaires, provoquer des troubles devant générer des affrontements par les agitateurs noyautant ces mouvements politiques de gauche ou de droite, ou des mouvements religieux se réclamant plutôt du christianisme dit progressiste c’est-à-dire avec voilure à gauche, ou de droite bâtarde, ou du catholicisme traditionnel avec ou sans ecclésiastique(s) à leur tête et, en cas de dérives, d’embrasements, d’émeutes ou de morts, fournir le prétexte politique fallacieux pour nuirepar amalgame, à ceux qui dénoncent l’hypocrisie et la tromperie du « vivre ensemble » et son véritable but sans inciter ni se mêler aux affrontements, en se tenant sagement à l’écart.

      Sans exclure des actions sous fausse bannière. Il est à craindre que des Catholiques appartenant à certains mouvements nationalistes, royalistes, cercles ou mouvements religieux traditionalistes, intégristes puissent être manipulés. Le ressentiment et l’exaspération prédisposant à commettre - suite à des provocations qui ne manqueront pas avec un objectif bien précis - des actes réprimés par la loi permettant l’interdiction, voire la mise au ban de la société du christianisme catholique non-conciliaire, le plus visé et le plus détesté, car sans complaisance.

     Je répète ce que j’ai déjà écrit par ailleurs (4), ne vous laissez pas entraîner dans des manifestations, petites ou grandes, de quelque nature qu’elle soit, ni embrigader dans un parti politique, même se présentant comme catholique, même avec drapeau du Sacré-Cœur de Jésus (5) tout en se soumettant au mensonge universel (Pie IX) qu’est le suffrage universel car, présentement, il n’y a aucune autorité légitime pour prendre la tête d’un tel parti. D’autre part, si en régime révolutionnaire un parti politique catholique reçoit l’autorisation de postuler, il est probable qu’il soit déjà infiltré depuis quelque temps et avoir été suscité, à l’insu des braves et honnêtes gens qui le soutiennent, pour fournir, suite à l’élaboration d’actions ou d’événements à mettre en œuvre, le prétexte nécessaire pour justifier une décision autoritaire de justice contre certains chrétiens. Plus troublant si un tel parti dénonce avec force la pieuvre maçonnique (ce qu’il faut faire) mais oubli (?) de mettre en évidence ceux qui l’ont fabriquée et lui donnent, pour l’instant, la main d’association. Je dis pour l’instant car n’étant qu’un instrument à leur service pour œuvrer à la déchristianisation des sociétés à culture chrétienne, ils s’en débarrasseront le moment venu. Francs-maçons des Loges bleues et des petits grades dormez bien, car c’est dans les très hauts degrés tenus par les Juifs que tout deviendrait plus clair pour vous sur le niveau d’ignominie de cette secte mais, pour cela, il faut le mériter car vous êtes très bien scrutés par des membres des hauts-grades participant, à votre insu, à vos travaux en loge !

      Les persécutions viendront. Il n’y a aucun doute là-dessus car c’est toujours cette même haine du Christ, désormais inaccessible mais reportée sur ses disciples, qui anime les persécuteurs. Plutôt que d’aller manifester, préparons-nous plus utilement à y faire face, en persévérant chaque jour dans la prière, la seule arme efficace de combat avec le chapelet, pour le salut de notre âme et celle de ceux qui voudront bien nous entendre. Afin de ne pas entrer en tentation devant l’ignoble qui se prépare dans cet impudique et lubrique paganisme cananéen que sont devenus la France et ce monde, menons une vie chrétienne authentique et cultivons les vertus de Jésus-Christ, dans l’attente de revenir sous son sceptre qu’Il nous a promis « Je régnerai malgré mes ennemis ». Prions aussi pour les Juifs, non selon la nouvelle formulation fabriquée pour leur complaire, mais selon celle qui fut utilisée pendant des siècles pour leur conversion :

« Prions pour les Juifs perfides, afin que le Seigneur notre Dieu enlève le voile qui couvre leurs cœurs, et qu’ils reconnaissent avec nous Jésus-Christ. Dieu tout-puissant et éternel qui ne refusez pas votre miséricorde, même aux perfides juifs, exaucez les prières que nous vous faisons pour vaincre l’aveuglement de ce peuple, afin que, reconnaissant la lumière de votre vérité, qui est le Christ, ils soient retirés de leurs ténèbres. Par Jésus-Christ, notre Seigneur » (Prière solennelle de l’Eglise pour le Vendredi Saint)

 

René Pellegrini

 

(1) Ce n’est pas Dieu qui pose vraiment problème car derrière ce mot en peut y mettre des choses bien différentes : le Dieu Trine ou Dieu unique en trois personnes des Chrétiens (Père, Fils et Saint-Esprit) c’est-à-dire la vie intime de Dieu ; le Dieu unique et égocentrique des Juifs apostats et des musulmans ; le dieu androgyne des ésotéristes, des gnostiques, des kabbalistes et talmudistes ; le Grand Architecte de l’univers des Francs-maçons spiritualistes et, l’état de délabrement cérébral aidant, même les idoles du sport et du spectacle.

(2https://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/speeches/2008/april/documents/hf_ben-xvi_spe_20080418_un-visit.html

(3) - Encyclique Adeo Nota du Pape Pie VI, 23 avril 1791

- Consistoire du 11 juin 1793, Pie VI

- Deux articles du Syllabus (1864) : 39 et 56, du Pape Pie IX

- Encyclique Immortale Dei de Léon XIII sur le droit nouveau 1885

- Lettre Anno jam exeunte de Benoît XV, 1917

(4https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/138048387685358?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/140766354080228?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/141827603974103?__tn__=K-R

(5) En 1958, certains de ceux qui agissaient comme cinquième colonne pour brader l’Algérie, avec pour conséquences les massacres, par dizaines de milliers, de colons et de harkis, se sont introduits dans les comités de salut public en portant l’insigne du Sacré-Cœur à la boutonnière. Le cornu et ses agents savent ce qu’il faut faire pour tromper.

 

Mis sur un autre blogue le 24 août 2016

 

vendredi 20 mai 2022

Catholiques, attention ! - 1



 CATHOLIQUES, ATTENTION ! - 1


« Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maîtreS’ils m’ont persécutéils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom parce qu’ils ne connaissent point celui qui m’a envoyé. » 

(St Jean XV, 20-22)

     Telles furent les paroles que Notre-Seigneur adressa à ses disciples après avoir célébré le dernier repas pascal. Paroles qu’aucun chrétien et serviteur de Jésus-Christ, à toutes les époques, n’a pu ou ne peut se permettre d’oublier ou de sous-estimer sans grave dommage pour l’intégrité de sa foi et la sauvegarde morale, intellectuelle et religieuse de sa patrie.

     Avertissement sérieux de Jésus et vérifié dans les faits car les Juifs, après avoir persécuté et fait exécuté leur Messie par les Romains, se tourneront ensuite contre ses disciples comme l’histoire religieuse et profane le confirmeront.

     Pourquoi cette mise en garde et sur quels fondements s’appuie-t-elle ? Pour rester uniquement sur ce texte biblique : parce que « Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. » avec comme motivation théologique pour cette persécution « à cause de mon nom » et comme cause spirituelle « parce qu’ils ne connaissent point celui qui m’a envoyé. »

     Curieux comportement et destin que celui de ces descendants d’Hébreux choisis par Dieu pour être son peuple élu. Peuple qui, depuis des siècles, attendait la venue du Messie promis par les prophètes et, lorsqu’il paraît, est méprisé et crucifié. Comment est-ce possible ?

     La réponse est dans les paroles terribles prononcées par Celui qui est la Vérité et dans la bouche duquel il ne s’est pas trouvé de fraude (I Pierre II, 23), dans lesquelles il affirme que ceux qui ont reçu la Loi et les prophètes « ne connaissent pas Dieu » Ainsi, la pierre de touche et d’achoppement qui se répercutera de siècles en siècles est « à cause de mon nom » conséquence « d’une méconnaissance de Dieu » faisant suite à leur adhésion à de fausses traditions condamnées par Jésus (St Marc VII, 8-13)

     Oui ! Paroles terribles car ils persistent, jusqu’à nos jours, dans leur refus et le blasphème contre Jésus-Christ confirmant aujourd’hui comme hier « qu’ils ne connaissent pas Dieu ». L’avertissement de Jésus-Christ conserve tout son sens pour ceux qui sont ses disciples, à notre époque, car il désigne sans équivoque possible qui seront leurs persécuteurs : Les Juifs (directement ou indirectement par utilisation d’agents extérieurs)

     La haine des chefs religieux juifs contre le Christ se propagera jusque dans le peuple qui finira par demander son exécution par Ponce Pilate. Mais, la crucifixion du Christ n’apaisera pas cette animosité inextinguible. Elle se tournera ensuite contre les disciples, contre l’Eglise naissante, contre ceux qui continueront de porter le nom de Jésus dans le monde « Souvenez-vous (…) à cause de mon nom » avait dit Jésus, et elle s’est poursuivie jusqu’à nos jours sous des formes diverses, selon les forces ou les faiblesses que les opportunités du temps et les circonstances politiques leur permettaient.

     Ce qui a changé depuis, c’est qu’actuellement les Juifs n’ont plus à quémander l’autorisation de mise à mort ou de persécution, puisque ce sont eux qui tiennent les gouvernements qu’ils ont d’ailleurs noyautés et rendus dépendants avec leur or et leur système financier destructeur que l’on peut qualifier de diabolique.

     De nos jours, les Juifs ne sont pas devenus meilleurs parce que M. Valls (1), les média et tous les opportunistes les encensent ou leur servent outrageusement la soupe. Le problème juif était théologique. Aujourd’hui encore il est, et demeure théologique avec ses inévitables répercussions politiques, et autres domaines de la vie. Le nom de Jésus-Christ est la pierre d’achoppement. Ce qu’ils ont fait à l’époque de Jésus et à ses disciples, ils le feront de nouveau à notre époque « souvenez-vous » contre ceux qui voudront rester fidèles à ses enseignements.

 

     Essayons de discerner comment les choses pourraient se passer à notre époque.

 

(A suivre…« Catholiques, attention ! – 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) L’allusion à Manuel Valls est en rapport avec la date de rédaction de cet article, le 24 août 2016, et à sa déclaration d'amour à Israël.

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