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jeudi 4 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 3 : La religion juive ou judaïsme


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 3

 

LA RELIGION JUIVE OU JUDAÏSME

 

     Après la race et la nationalité examinées précédemment voyons, aujourd’hui, la religion juive. Cette question a toujours été très importante pour les chrétiens, mais elle l’est encore plus depuis le concile Vatican II par la position de l’Eglise conciliaire à l’égard d’Israël, du sionisme et des Juifs appelés abusivement nos ‘’frères aînés’’ par Jean-Paul II. Nous pourrions de tout cœur les considérer ainsi s’ils étaient restés fidèles à l’esprit de la Loi de Moïse et à l’enseignement de la Synagogue fidèle des Patriarches et des prophètes, et à son aboutissement logique et légitime que fut le Christ, le Messie promis, mais tel n’est pas le cas.

     Le peuple juif fut suscité par dieu pour apporter le Christ, mais à l’exception d’une partie du peuple, il refusa le Messie promis par les prophètes. Ce faisant, il rompit l’alliance conclue par Dieu avec les Patriarches et Moïse. Dans leur jalousie d’avoir été supplanté par l’Eglise, l’Israël de Dieu (1) les Juifs sont devenus, par haine du Christ, les ennemis des chrétiens et du christianisme, déployant tous leurs efforts pour le détruire en le minant de l’intérieur, et en suscitant durant le cours de la chrétienté de multiples sectes et sociétés secrètes pour la diviser et l’affaiblir. Cette inimitié séculaire est fondamentalement théologique avec des répercutions morales, sociales et politiques. Les Catholiques ne pourront se préserver de cet environnement prégnant de judaïsation des esprits, provoquée par les influences juives diffusées dans la société civile, politique et religieuse qu’en menant une vie véritablement chrétienne.

QU’EST-CE QUE LA RELIGION JUIVE OU JUDAÏSME ?

     Pour appréhender la religion juive qu’est le judaïsme des pharisiens et des rabbins, et sur quels enseignements elle s’est construite, je me référerai au Rabbin David Drach (1791-1865) baptisé dans l’Eglise catholique qui, dans son livre, montre comment on peut résumer le support sur lequel se forme l’enseignement religieux de l’enfant juif jusqu’à l’étudiant :

« Dans les écoles théologiques, les cours se bornent uniquement au Talmud, on néglige le texte de la Bible. »  (De l’harmonie de l’Eglise et de la Synagogue, Tome 1, p. 35 à 40)

     Ainsi, contrairement à ce que peut penser un chrétien, et aussi surprenant que cela puisse paraître, ce n’est pas la Loi de Moïse (La Torah) contenu dans l’Ancien Testament qui constitue le socle de l’enseignement dans « les écoles théologiques », mais le Talmud lui est préféré. Ce n’est pas surprenant car Notre-Seigneur avait déjà dénoncé les « doctrines et ordonnances humaines » qu’enseignaient les pharisiens. Du Adonaï et du Moïse plein la bouche chez les Juifs mais, comme disait Jésus :

« Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi ; ils me rendent un culte inutile, enseignant des doctrines et des ordonnances humaines ». (St Matthieu XV, 7-8)

     Les Juifs professent donc une fausse religion fabriquée par les rabbins kabbalistes et talmudistes, fruit du contact des prêtres juifs avec les mages et savants chaldéens et leur doctrine panthéiste, lors de leur déportation à Babylone. Ils pratiquent donc « un culte inutile ». Cela n’étonne guère car la Bible nous montre Israël sombrant souvent dans l’idolâtrie des peuples païens et fustigés sans cesse par les prophètes conservateurs de la vraie tradition religieuse d’Israël, et persécutés pour cela comme Jésus le dira aux scribes et pharisiens hypocrites dans Saint Matthieu XXIII, 34-35 :

« C’est pourquoi, voici que je vous envoie des prophètes, et des sages, et des scribes ; et vous tuerez et crucifierez les uns, et vous flagellerez les autres dans vos synagogues, et vous les persécuterez de ville en ville, afin que retombe sur vous tout le sang innocent qui a été répandu sur la terre, depuis le sang d’Abel le juste, jusqu’au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l’autel. »

     Lors de leur déportation à Babylone, Ils furent confrontés à cette doctrine de « l’homme divinisé » des panthéistes. Les pharisiens qui apparaissent à cette époque firent de cette doctrine, leur doctrine secrète qui, dans leur délire, devint celle « du Juif qui se fait Dieu » et, dans leur orgueil, matérialisèrent toutes les promesses prophétiques que Dieu réservait pour le ciel en les attribuant aux seuls Juifs descendants charnels d’Abraham. Cette fausse théologie, véhiculant une fausse tradition, explique leur venin matérialiste et sensualiste qu’ils inoculent dans les nations, et leur soif de dominer en tout, jusqu’à la domination mondiale déclinée aujourd’hui en mondialisme. Quant aux autres hommes - les goyïm ou non-Juifs - ils les rejetèrent dans l’animalité selon le regard du Talmud sur les non-Juifs.

     Cette religion issue de la fausse Kabbale (qui signifie fausse réception ou tradition) ou gnose juive fut condamnée et abolie en droit, lors de l’institution par Jésus de la nouvelle alliance exprimée dans le Nouveau Testament. Les prescriptions rituelles issues de l’Ancien Testament furent annulées par l’Eglise naissante dès le début du christianisme, lors du premier concile de l’histoire chrétienne qui se tint à Jérusalem, au premier siècle de notre ère (2). Le Moïse que professent les rabbins n’a plus rien à voir avec l’esprit de Moïse, si ce n’est un Moïse lu et interprété selon la doctrine secrète de la Kabbale d’inspiration babylonienne. Le Judaïsme des pharisiens et de leurs successeurs les rabbins kabbalistes et talmudistes n’a plus rien à voir, non plus, avec la religion des Patriarches et des prophètes, car ils ont brisé la première alliance que Dieu avait offerte aux Juifs. Ils l’ont brisée et ont apostasié en refusant le Christ, le Messie vers lequel dirigeaient toutes les prophéties et les sacrifices de l’Ancien Testament.

    Pour comprendre comment les Juifs, pour leur malheur, ont été amenés à préférer l’enseignement du Talmud, et à apostasier, il suffira de quelques citations de ce livre, telles que :

  « Les paroles des écrivains du Talmud sont plus douces que celles de la Loi. » (Talmud de Jérusalem, traité Berachoth, Perek 1.) en sorte que

« Les péchés contre le Talmud sont plus graves que ceux contre la Bible. » (Traité Sanhédrin, folio 88b)

« Mon fils, fait plus attention aux paroles des rabbins qu’aux paroles de la Loi ». (Traité Erûbin, folio 21 b ; Traité Gittin, folio 59 b)

« Le Talmud a de tout temps des détracteurs violents et des apologistes passionnés. Pendant deux mille ans, il a été, et il est encore un objet de vénération pour les Israélites dont il est le code religieux ». (Rabbin Trenel R., in l’Univers Israélite, juin 1867, p. 452). Ce rabbin aurait pu ajouter : le code de l’immoralité.

     Il ressort de ces textes que le Talmud est supérieur à la Loi de Moïse. Il est donc moins grave de pécher contre un enseignement de la Loi que contre celui du Talmud. Cette mentalité orgueilleuse et hypocrite des pharisiens, dont les rabbins de la Synagogue sont les continuateurs, ne pourra que rejaillir sur les ouailles du judaïsme et leur inculquer une morale qui se révélera détestable.

     Pour bien comprendre ce qu’implique la religion juive, écoutons un Juif, M. Arthur Koestler nous dire ce qu’elle est :

« La religion juive n’est pas seulement un système de foi et de culte, elle implique l’appartenance à une race et à une nation en puissance (…) Pour être bon catholique ou bon protestant, il suffit d’accepter pour vrais certains dogmes et certaines valeurs morales qui transcendent les frontières et les nations ; pour être bon Juif (au sens religieux), il faut professer que l’on appartient à la Race Elue» (Analyse d’un miracle, Calmann-Lévy, éditeur, 1949)

     Passons sur le « pour être bon catholique il suffit d’accepter… » car ne connaissant pas, ou feignant de ne pas connaître, l’enseignement du catéchisme catholique M. Koestler se montre très réducteur sur cette question pour constater, par contre, que les « valeurs morales » (3) n’entrent pas en ligne de compte pour « être un bon juif » et dans la foulée l’aveu, sans peut-être s’en rendre compte, de qui est véritablement raciste. D’ailleurs des Juifs oeuvrent pour entretenir le racisme au même titre que l‘antisémitisme car tous deux servent leurs intérêts, en détournant l’attention qui pourrait se fixer sur les manigances et les conséquences mondiales de leur propre misère morale.

     Disons-le tout net. Les Catholiques ne sont pas racistes lorsqu’ils sont obéissants à l’enseignement reçu. Le racisme a été dénoncé et condamné par l’Eglise catholique dans l’Encyclique Mit Brennender Sorge sur le nazisme, du Pape Pie XI, en 1937, et les Catholiques fidèles s’y soumettent sans aucun problème. De plus l’Evangile, et de très loin, n’est pas le Talmud (4) dans son regard porté sur les hommes.

(A suivre…« Antijudaïsme rabbinique, pourquoi ? »…si Dieu veut)


René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras dans les textes.

 

(1) Epître de Saint Paul aux Galates VI, 16

(2) Actes des Apôtres XV, 1 à 29)

(3) Le Talmud ne fait que confirmer ces propos, comme on le verra par ailleurs.

(4) Le Talmud fut anathémisé par les Papes Clément VIII, Jules III, Paul IV, Saint Pie V, etc.

Mis sur un autre blogue le 31 janvier 2018

jeudi 2 juin 2022

Le retour des Juifs en Palestine - 10 : L'erreur du retour


LE SIONISME - 10

 

« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis

 (Luc XXI, 24)

 

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE – 10

L’ERREUR DU RETOUR

     Trois textes pour le confirmer : Celui de Saint Paul aux chrétiens de Rome, celui de Saint Pierre aux chrétiens dispersés dans les provinces d’Asie, tous deux se référant aux promesses prophétiques faites aux Juifs dans le livre d’Osée, trouvant leur plein accomplissement dans la conversion des païens et des Juifs qui ensemble forment le nouveau peuple de Dieu qu’est l’Eglise ou Israël de Dieu. Enfin, celui de St Mathieu sur le voile du Temple, et les références aux avertissements de Jésus-Christ sur le Temple.

ROMAINS IX, 25

« Ainsi nous a-t-il appelés, non seulement d’entre les Juifs, mais aussi d’entre les païens, comme il dit dans Osée : J’appellerai mon peuple celui qui n’était pas mon peuple ; et bien-aimée celle qui n’était pas la bien-aimée, et objet de miséricorde celle qui n’avait pas obtenu miséricorde. Et il arrivera que dans le lieu où il leur avait été dit : Vous n’êtes pas mon peuple, là même ils seront appelés les enfants du Dieu vivant ».

     Dans cette lettre aux chrétiens de Rome composés de Juifs et de païens convertis, Saint Paul cite, assez librement, deux passages de la prophétie d‘Osée selon la Septante, qu’il réunit en une seule formulation.

« Je la sèmerai pour moi dans le pays, et je ferai miséricorde à celle qui était sans miséricorde. Et je dirai à Pas mon peuple Tu es mon peuple ; et lui dira : Vous êtes mon peuple » (Osée II, 23 et 24)

« Et, au lieu où on leur disait : Vous n’êtes plus mon peuple, on leur dira : Fils du Dieu vivant ». (Osée I, 10b)

     Au sens littéral, cette prophétie trouve sa première application dans le royaume schismatique des dix tribus qui ont sombré dans l’idolâtrie et auquel Dieu promet le retour de ses faveurs dès qu’il se sera converti. Les Israélites du Nord devenus idolâtres étant envisagés, par le fait même, comme le type des païens. Saint Paul en écrivant aux Romains va étendre la portée de cette prophétie en l’appliquant aux païens non-juifs à l’égard desquels Dieu agira d’une manière identique en faisant « miséricorde » à ceux qui n’étaient « Pas mon peuple » marquant ainsi l’appel des Gentils à la vraie foi par la conversion « dans le lieu » c’est-à-dire sur toute la terre.

I Pierre II, 10

« Vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, mais qui maintenant êtes le peuple de Dieu ; vous qui n’aviez pas reçu miséricorde, mais qui maintenant avez reçu miséricorde »

     Citation libre de Saint Pierre de cette même prophétie d’Osée dans laquelle il parlait des Israélites convertis et rentrés en grâce avec Dieu. Saint Pierre, à son tour, étendra l’application plénière de ces paroles aux païens devenus chrétiens et devenus « peuple de Dieu » par la conversion.

SAINT MATHIEU XXVII, 51 

«  Et voici que le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas, et la terre trembla, et les pierres se fendirent ».

     Ce voile qui séparait le Saint et le Saint des Saints était le lieu le plus sacré du Temple de Jérusalem. Seul le grand prêtre y avait accès, une fois par an, lors de la fête du Yom Kippour (le grand pardon). En se déchirant d’une manière miraculeuse, à l’heure même de la mort de Jésus, il symbolisait, suivant Origène et les Pères, que désormais tous les hommes pourraient s’approcher librement de Dieu. Ce faisant, il annonçait l’abrogation de l’ancienne alliance c’est-à-dire la fin du judaïsme, et de tous les rites et rituels sacrificiels juifs qui leur permettaient  d’aller à Dieu et de recevoir son pardon (Voir Hébreux IX, 1-8)

     Avant que ces faits ne se produisent Jésus donna quatre sérieux avertissements aux Juifs concernant la destinée du Temple de Jérusalem, avec crescendo dans la solennité des mots (St Luc XIII, 34-35 ; XIX, 41-44 ; St Matthieu XXIII, 37-38 ; XXIV, 2). L’épisode du voile scellera définitivement le sort d’un Israël appuyé sur la première alliance. Le salut des Juifs passent désormais non par la reconstruction d’un Temple à Jérusalem et la reprise des sacrifices sanglants ‘animaux dont ils n’étaient que la figure du vrai sacrifice venu en la Personne de Jésus-Christ, mais par la Nouvelle Alliance en Jésus-Christ, leur conversion et leur entrée dans l’Israël (spirituel) de Dieu qu’est l’Eglise catholique : héritière des Patriarches et de l’ancienne synagogue fidèle.

     Si tous mes articles sur le sionisme considérés principalement au plan spirituel, n’ont pas réussi à vous convaincre, je vous invite à méditer sur les déclarations sans équivoque des deux vrais Papes, ci-dessous, sur la question qui nous occupe, en espérant qu’elles triompheront de votre réticence, en même temps qu’elles vous éclaireront et devraient vous mettre en garde sur les orientations théologiques et politiques opposées et désastreuses, prises par les flûtes de Hamelin vermoulues qui occupent Rome depuis le Concile Vatican II.

     La déclaration de Saint Pie X à Théodore Herzl qui passe pour le fondateur du sionisme, bien que ce soit Moses Hess qui fut le précurseur du mouvement sioniste.

« Nous ne pouvons pas empêcher les Juifs d’aller à Jérusalem, mais nous ne pourrons jamais les y encourager. Le sol de Jérusalem n’a pas toujours été sacré, mais il a été sanctifié par la vie de Jésus. Les Juifs n’ont pas reconnu Notre-Seigneur et nous ne pourrons donc pas reconnaître le peuple juif. Non possumus » (Déclaration du Vatican, le 25 janvier 1904)

     Benoît XV confirmera Saint Pie X en déclarant « Les Juifs n’ont aucun droit de souveraineté sur la Terre sainte ». (Note mentionnée en marge de la Déclaration Balfour, 1917)

     Que ne les a-t-on écoutés ? Bien des tragédies et des torrents de sang eussent été évités au Moyen-Orient. Et mille bravos appuyés aux supplétifs conciliaires de l’étoile à six branches, en compagnie des progénitures du protestantisme et de son formatage spirituel : les diverses sectes et mouvements se réclamant de la mouvance évangélique ou charismatique, les judéo-chrétiens, les Juifs messianiques c’est-à-dire un mélange de christianisme et de pratique religieuse juive (des ronds-carrés), etc.

     Les Juifs qui retournent en Israël, par crainte pour leur vie en France ou ailleurs, commettent une erreur car ils n’y trouveront pas plus de sécurité qu’ailleurs mais bien plus sûrement pour leurs enfants un véritable enfer, si ce n’est déjà pour eux-mêmes, parce qu’il est probable que cette création artificielle d’un foyer national juif devenu l’Etat sioniste d’Israël sera lâché par celle qui l’a aidée (1) et ceux qui l’ont soutenu jusqu’à ce jour. En effet, le fanatisme religieux et les annexions territoriales des nationalistes israéliens rêvant d’un grand Israël deviennent désormais une gêne pour les grands maîtres (2) de la Synagogue de Satan qui - comme ils le font avec les « idiots utiles » non-Juifs et l’appui et la complicité des supplétifs francs-maçons - n’ont cessé de manipuler et d’utiliser les masses juives, leurs coreligionnaires, comme « idiots utiles » les faisant œuvrer contre leurs propres intérêts, voire en les utilisant comme cobayes, car « ceux qui ont le diable pour père » veulent instaurer la religion universelle de l’homme divinisé (Antéchrist).

     Le dessein de la Synagogue infidèle ayant été, avant tout, d’œuvrer et de faire œuvrer « les idiots utiles Juifs et non-Juifs » à la ruine de l’Eglise catholique et du christianisme, il semble donc, maintenant, qu’après l’avoir encouragé et soutenu, qu’une lutte ait été activée - entre les Juifs partisans du sionisme politique et le marranisme religieux - par les hauts dirigeants lucifériens de la Synagogue, dont le but serait d’opérer soit une situation de violence par la reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël, soit le lâchage pur et simple du sionisme devenu gênant pour leur projet.

     Dans ce cas, on imagine la stupeur et le chaos créés dans le monde et dans cette région, où la moindre étincelle peut engendrer des conséquences mondiales propres à justifier la mise en place d’une gouvernance mondiale soit par un avant-coureur de l’Antéchrist (la Salette), soit par l’homme divinisé (Antéchrist) qui réussira, pour peu de temps, là où le totalitarisme communiste soviétique sous financements, doctrines, influences et gouvernance juives a ‘’échoué’’ mais qui renaît sous le masque du mondialisme proposé comme solution aux problèmes de l’humanité. La domination universelle étant le but ultime de la Synagogue infidèle et déchue comme son dieu Lucifer. Pour sa part le marxisme culturel a insidieusement infesté toutes les institutions, les média et l’éducation.

CONCLUSION :

     La fin du temps des nations marque la fin de l’entrée des païens dans l’Eglise. Il n’est pas en rapport avec le projet politique du retour des Juifs en Israël et la création artificiel d’un Etat soutenu à bout de bras, jusqu’à ce jour, par les Etats-Unis et la haute finance internationale car, depuis 1948 et 1967, des non-Juifs ou gens des nations continuent d’entrer dans l’Eglise par le baptême. Le sionisme est une voie de garage, un chemin qui mène à l’émergence et à l’accueil de l’Antéchrist, à son adoration et à la perdition éternelle. Le salut, pour tous, est en Jésus-Christ, fils d’Abraham, fils de David (St Mathieu I, 1) et Fils de Dieu, et dans l’entrée (ou le retour) dans son unique bercail : l’Eglise catholique romaine et apostolique colonne et soutien de la vérité, n’en déplaise à tous ceux qui s’alimentent, à leur insu ou en conscience, dans les mangeoires de la gnose au nom menteur comme disait saint Irénée, ou celles de la kabbale et du Talmud des rabbins pharisiens de la synagogue apostate.


René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en majuscules dans les textes. 

(1) La Grande Bretagne. 

(2) Ces grands maîtres détiennent la maîtrise des sciences occultes de la Kabbale.

Mis sur un autre blogue le 7 mars 2018 

  

Le joueur de flûte de Hamelin


 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...