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mercredi 16 novembre 2022

Un petit instant pour considérer sa propre vie


 Le retour du fils prodigue

UN PETIT INSTANT POUR CONSIDERER SA PROPRE VIE

      Amis lecteurs, que les articles et les textes mis sur ce site soient pour toi :

 

     Si tu es baptisé(e) une incitation à te rappeler les vœux de ton baptême par lequel tu es devenu(e) chrétien(ne) et disciple de Jésus-Christ pour l’aimer, l’honorer et le servir et, par ce moyen, sauver ton âme. Prends bien le temps d’examiner si ta vie témoigne de ces vœux car n’oublie jamais que c’est en tant que chrétien(ne), caractère qu’a imprimé en toi le sacrement de baptême, que tu seras jugé(e) par Dieu au jour du Jugement Dernier. Souviens-toi que par ton baptême tu as scellé une alliance avec Dieu et que cette alliance ne peut être brisée sans dommage pour ton éternité.

     Si tu es incroyant(e) mais c’est plus un doute occasionné par des lectures fondées sur des hypothèses scientifiques ou des théories pseudo-religieuses à caractère panthéistique, plus que sur une véritable certitude de l’inexistence de Dieu qui t’amène à cette incertitude en un Dieu personnel que Jésus-Christ nous a invité à prier en disant « Notre Père (…) », alors suit son conseil, prie, ne néglige pas ce moyen simple, mais admirable, que Dieu a mis à la portée des créatures humaines pour leur permettre de s’approcher de lui avec confiance comme celle de l’enfant envers ses parents. Ne te lasse pas de prier, soit sincère dans ta prière, laisse parler ton cœur, que chaque jour qui passe soit l’occasion pour toi de demander à Dieu qu’il éclaire ton intelligence, car toi aussi tu voudrais l’aimer, l’honorer et le servir sans réserve. Joins-y des lectures pieuses de saints, d’hommes de foi ayant eux-mêmes connus et éprouvés les doutes, les misères humaines et ils élèveront ton âme, non vers eux, non vers les choses terrestres et charnelles qui asservissent et corrompent, mais vers les choses saintes et pures qui élèvent et libèrent : vers Dieu, Notre-Seigneur et sa sainte Mère.

     Si tu es incroyant(e) irréductible sache toutefois que Dieu ne délaisse personne et, dans le cours d’une existence terrestre, il a frappé plusieurs fois à la porte de ton cœur, en certaines circonstances, attendant une réponse de ta part que tu lui as refusée. Il t’attend toujours tant que le temps de sa bienveillance n’est pas passé. Le Fils prodigue (nous-mêmes) de la parabole de Jésus c’était éloigné de son père (Dieu) voulant vivre sa vie et, après bien des péripéties, comprenant sa méprise, il revint vers son père qui attendait toujours son retour. C’est toujours Dieu qui fait le premier pas comme on le constate dans le Livre de Samuel « Tu m’as appelé : me voici ! » (1) c’est Jésus qui appelle ses apôtres et saint Augustin, après une période de sa vie dans le manichéisme et dans l’immoralité, confessant « Tu ne me chercherais pas, si tu ne m’avais déjà trouvé ».

     Qui que tu sois, ne considère pas ce que tu as lu comme une réprimande ou une certaine suffisance de ma part, mais comme un sage conseil en vue de ton salut éternel et de tous ceux dont tu as éventuellement la charge.

Que Dieu te garde et te bénisse !

 

René Pellegrini

 

(1) I Rois III, 1-10 dans la Vulgate qui s’appuie sur le texte hébreu de la Septante des Juifs d’Alexandrie ; ou I Samuel 3 : 1-10 dans les Bibles protestantes ou catholiques s’appuyant sur le texte hébreu des Massorètes.


 

 

samedi 13 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 4 : Antijudaïsme rabbinique, pourquoi ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 4


LA RELIGION JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE

 

ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE, POURQUOI ?

 

     Si des chrétiens mettent les Juifs en cause, ce n’est pas parce qu’ils sont de race sémite, ce serait absurde, mais pour l’inoculation et la mise en pratique de leurs principes moraux, sociaux et politiques issus de leur judaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique dans les pays qu’ils vampirisent en compagnie de tous ceux qui les secondent, dans leurs œuvres iniques, par appât de l’argent, intérêt, opportunisme, arrivisme ou haine de la France chrétienne et de l’Eglise. En définitive des personnes déchristianisées dont l’esprit s’est plus ou moins judaïsé, par l’adhésion à des principes mortels de vie sociale et politique contraires à l’essence même de ce qui est constitutif de la France et du christianisme : principes qui ne peuvent que leur nuire et les détruire. Si nous n’avions les promesses réitérées de Dieu, des Papes, des Saints et des grands auteurs ecclésiastiques sur notre pays, la France ne pourrait que disparaître dans une République universelle anti-christique, après dissolution dans une République européenne.

     Dans cette affaire le mot convenable pour ce qui me concerne est « antijudaïsme » et c’est une toute autre chose qu’antisémitisme (voir les articles précédents de la rubrique : Antisémitisme et antijudaïsme) car c’est l’aspect religieux qui est en cause et non l’aspect racial. En tant que chrétien non subjugué par le délire œcuménique des ennemis plus ou moins conscients de l’Eglise, de l’apostasie en actes du Concile Vatican II, et du gros bobard sur l’interprétation du Concile à la lumière de la Tradition (sérieusement amochée pour la circonstance), c’est un devoir de mettre en garde contre le faux judaïsme des pharisiens véhiculé par les rabbins.

ANTIJUDAÏSME PHARISIEN : UN DEVOIR, MAIS SANS HAINE

     *  J’ai le droit et le devoir de combattre ce Judaïsme ennemis du Christ et de ses enseignements fondateurs de la France chrétienne née, en 496, au Baptistère de Reims, par la conversion et le baptême de Clovis et de sa tribu franque, à la prédestination et la vocation particulière que Dieu a conférée, à cette époque, à notre nation par rapport aux autres nations, à savoir : défendre l’Eglise romaine et être prospère en étant fidèle à Dieu et rudement châtiée pour ses infidélités, selon la mise en garde de Saint Rémy :

« Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine qui est la seule véritable Eglise du Christ (…) Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la Foi romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. » (Flodoard, Historia Ecclesiae Remensis) 

     L’Etat actuel de déliquescence de la France jacobine dirigée, depuis plus de deux siècles, par une compétition entre irresponsables de tous bords, favorisant ou pratiquant eux-mêmes l’immoralité, l’impiété, le blasphème et le sacrilège, ou de traîtres indignes d’être français vendant ou soumettant leur pays à des puissances étrangères rêvant de domination mondiale. Ceci, témoignant de ce qui attend notre pauvre pays infidèle avant que Dieu, à son heure, n’accomplisse ses promesses pour la France.

     Il y a bientôt six siècles, il y avait grande misère et grand découragement au Royaume de France avant que Sainte Jeanne d’Arc ne soit envoyée par Dieu pour reprendre aux armées anglaises la partie française qu’ils occupaient, et la restituer à son roi Charles VII : Préfiguration de la future libération de notre patrie de ses ennemis intérieurs et extérieurs.

     * J’ai le droit et le devoir de combattre ce judaïsme qui n’a rien à voir avec celui de Moïse, si ce n’est un Moïse revu et corrigé par le Talmud car, en réalité, ils ne croyaient pas en lui. C’est Jésus Lui-même qui l’affirme. En effet, si les pharisiens étaient véritablement dirigés par l’esprit de Moïse ils n’auraient jamais fait exécuter leur Messie, pour leur propre malheur :

« Car, si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit » (St Jean V, 46)

     Les livres de Moïse (Le Pentateuque (1) écrivaient sur le Christ à venir, ils prophétisaient aussi une inimitié historique entre deux postérités et le moyen de la Rédemption et du salut, en Genèse III, 15. Ils annonçaient aussi, le prophète comme Moïse dans Deutéronome XVIII, 15,18 et aussi, à travers les sacrifices, les cérémonies symboliques du culte qui dirigeaient et trouvaient leur accomplissement véritable et définitif dans le futur libérateur du peuple de Dieu.

     S’ils croyaient en Moïse et aux prophètes, ils n’auraient pas façonné le peuple d’Israël en « annulant le commandement de Dieu » par leur « tradition » que Jésus condamnera en reprenant à son compte le reproche « d’hypocrisie » du prophète Isaïe :

« Ainsi, vous avez annulé le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8).

     * J’ai le droit et le devoir, comme Catholique et chrétien, de combattre les fausses doctrines pharisiennes des rabbins kabbalistes et talmudistes avec leurs incidences sur  la vie morale, économique, financière, politique et sociale des peuples en général, et de la France en particulier, tout comme Jésus dénonça les faux enseignements des pharisiens et des scribes ennemis de la vérité de Dieu, qui le firent mettre à mort et dont les successeurs continuent de le crucifier en donnant leur assentiment au déicide de leurs pères. De même, à leur époque, les apôtres, les martyrs, les Pères de l’Eglise et les saints dénoncèrent les fausses doctrines des rabbins imbus d’enseignements pharisiens, en mettant en garde leurs fidèles, ce que ne fait plus, à sa grande honte, le clergé apostat, tétanisé, moderniste et manipulateur d’aujourd’hui.

     * J’ai le droit et le devoir, sauf à renier ma foi et celle de la France chrétienne, de combattre le judaïsme rabbinique dont l’arme principale est le mensonge, car le levain qu’il contenait à l’époque de Jésus-Christ n’est pas moins dangereux pour les âmes d’aujourd’hui, même si les rabbins kabbalistes talmudistes orthodoxes ou modernisés, sans autel, sans temple, sans prêtre et sans sacrifice, ne sont plus que des personnes ravalées au rang de simples laïcs. L’état de la France et de l’Europe, autrefois chrétienne et désormais sous domination judéo-maçonnique, est de nature à manifester l’impressionnante culbute morale engendrée par les principes nauséabonds véhiculés par le judaïsme politico-religieux et leurs auxiliaires Francs-maçons, et leurs répercussions dévastatrices dans le domaine moral, familial, politique, économique, financier, philosophique et social.

     Que l’antisémitisme et l’antijudaïsme ne peuvent être synonymes, les Juifs le savent très bien.  Mais, comme les orgueilleux qu’ils sont, et n’étant pas handicapés dans l’usage des idées tordues, il leur est nécessaire de se fabriquer un moyen pour qu’aucune critique sérieuse ne puisse se formuler contre eux, et qu’il devienne toujours plus difficile, voire impossible, de leur arracher le masque dont ils s’affublent, tout comme leurs supplétifs temporaires Francs-maçons. Munis de cette parade et de son imposition avec menaces, les gens pourront continuer à larmoyer dans les chaumières, les plaindre inlassablement comme victimes perpétuels, sans se poser les vraies questions des tenants et des aboutissants sur ce point et, ainsi, toujours paraître, comme Jésus disait de leurs pères spirituels « Au dehors, Vous paraissez justes aux hommes » pour dire ensuite, en dépassant les apparences de justice « mais au dedans, vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité » (St Matthieu XXIII, 28). L’histoire, tant profane que religieuse, témoigne amplement de cela, ainsi que leurs propres livres.

     Non ! La religion juive des rabbins pharisiens, qui est celle de la Synagogue infidèle, n’est pas la sœur ainée de l’Eglise, et les Juifs qui suivent leurs enseignements ou combattent contre les doctrines chrétiennes ne sont pas, malheureusement, nos « frères aînés » mais, en l’état, des ennemis redoutables non seulement pour les chrétiens, mais pour la France elle-même, quels que soient les artifices utilisés pour donner le change. Comment pourraient-ils être nos « frères aînés » en suivant les enseignements de ceux qui « ont le diable pour père » et veulent « accomplir ses désirs » au sein des nations ? Retenons bien ce que Jésus a déclaré concernant leurs pères spirituels « Si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit ».

NOS FRERES AÎNES, MAIS SEULEMENT EN JESUS-CHRIST

     Ils seront nos frères aînés lorsque, se rattachant aux enseignements de la Synagogue fidèle, ils deviendront de véritables enfants d’Abraham non selon la chair, mais selon l’esprit, en acceptant le Christ comme leur Messie et leur Roi, en se nourrissant par la foi de la chair et du sang de Jésus-Christ, fils de David et fils d’Abraham (voir la généalogie de St Mathieu I, 1). Nos véritables frères aînés ce sont les Patriarches, les prophètes et tous les vrais croyants de l’ancienne synagogue fidèle depuis Moïse, et non ceux de la Synagogue infidèle et apostate des rabbins pharisiens.

     En attendant ce jour béni pour eux-mêmes et pour notre plus grande joie, ils se présentent à nous sous deux aspects différents et complémentaires, ou en les cumulant, pour ce qui est de leur capacité de nuisance dans une société d’essence chrétienne :

     * Soit, ils pratiquent une fausse religion, un judaïsme gnostique kabbaliste et talmudique déjà à l’œuvre chez les pharisiens, ennemie du Christ et des chrétiens, et ils travaillent à la destruction de l’Eglise catholique et du christianisme par noyautage de ses institutions et l’injection en leur sein du venin moderniste et naturaliste.

     * Soit, engagés politiquement dans des mouvements libéraux ou révolutionnaires de droite ou de gauche, ils participent à la destruction de ce qui revêt encore un caractère véritablement chrétien dans la société. Il n’y a plus que les aveugles spirituels, les indifférents chroniques et les décérébrés par la propagande ecclésiastique et celle des media révolutionnaires pour ne pas s’en rendre compte.

     Inutile d’entrer dans le déni et les contorsions théologiques pour justifier un faux œcuménisme et un Israël à part. Prions plutôt pour leur conversion et aidant-les à s’extraire de l’esclavage des traditions pharisiennes, au lieu de les installer dans une fausse sécurité par une complaisance coupable et lâche, ou une charité qui, en la circonstance relève, non de la vertu, mais du frelatée, et de non-assistance à personne en danger au plan de leur salut éternel.

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) On appelle Pentateuque les cinq premiers livres de la Bible écrits par Moïse : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.

Mis sur un autre blogue le 18 avril 2018

dimanche 15 mai 2022

Adultère et fornication - 2 : La morale dans une République en état d'apostasie



 ADULTERE ET FORNICATION - 2 

 

LA MORALE DANS UNE REPUBLIQUE EN ETAT D’APOSTASIE - 2 

 

     On ne peut pas mieux dire sur ce qui devient possible « Si – au lieu des lois divines - les volontés de la multitude, les décrets des chefs de l'État, les sentences des juges fondaient le droit.» Ces paroles d’un païen non dénué de sagesse devraient :

   - d’une part, nous instruire sur la fumisterie du droit souverain des peuples qui, en écartant les lois morales de Dieu, se donne le droit juridique d’assouvir toutes les passions humaines, mêmes les plus infâmes, aux conséquences coûteuses et destructrices sur le plan social et familial, et dont nous ressentirons de plus en plus durement les retombées nauséabondes avec, désormais, l’enseignement scolaire de la théorie du genre (3) imposée par l’Education nationale (véritable nid de francs-maçons), de moins en moins éducative mais de plus en plus corruptrice, qui aurait grand besoin d’être éduquée elle-même. Parents, vous avez du souci à vous faire concernant la vie spirituelle et éternelle de vos enfants, en les confiant à de tels éducateurs. Et vous, enseignants qui n’avaient pas piétiné les lois morales divines comment allez-vous vous en sortir sans offenser Dieu et mettre en péril votre salut éternel ? Que Dieu dans sa miséricorde vous vienne en aide pour ne pas l’offenser.

     Rappelez-vous ceci : aucune loi humaine, d’où qu’elle émane, en opposition avec un commandement ou un enseignement formel de Dieu, ne peut vous contraindre à désobéir à une loi divine. L’exemple en ce domaine est celui de Saint Pierre et des apôtres, ayant reçu le commandement de Notre-Seigneur de prêcher l’Evangile de Jésus-Christ, mais sommés par les autorités juives de cesser toute prédication du nom de Jésus, ils répondirent :

« Il faut plutôt obéir à Dieu qu’aux hommes. » (Actes V, 29)

   - et d’autre part, nous faire réfléchir sur ce qu’est, en réalité, l’aboutissement d’une société sous une forme gouvernementale démocratique, comme la nôtre, violant effrontément les lois divines.

« Où cette loi (de Dieu) est méconnueviolée par la tyrannie d'un, de plusieurs ou de la multitude, non seulement la société politique est vicieuse, il n'y a plus même de société. Cela est encore plus vrai d'une démocratie que de tout autre gouvernement. » (Cicéron, La république, Livre 1,3)

     Sagesse naturelle d’un païen qui tire pourtant les bonnes conclusions sur les conséquences de la violation des lois divines par la panacée démocratique, qui devrait faire réfléchir les Catholiques accrocs d’hommes politiques et de prétendants aux charges gouvernementales ne voyant que la démocratie à proposer à leurs adeptes.

     Devant ce constat de délabrement moral et de laxisme ambiant, cet article vise à remettre en mémoire ou à faire découvrir, selon l’exhortation de Saint Paul à Timothée, l’enseignement donné par Dieu et par l’Eglise sur ces pratiques immorales ou qui les favorisent (4), non moins que les graves dangers qu’ils représentent dans l’ordre du salut éternel.

« Annonce la parole, insiste à temps et à contre-temps, reprends, supplie, menace en toute patience et doctrine. Car viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ; mais, selon leurs désirs, ils amasseront des maîtres autour d’eux, éprouvant une vive démangeaison aux oreilles ; et détournant l’ouïe de la véritéils se tourneront vers les fables. » (II Timothée IV, 2-4)

     Ces paroles de Saint Paul faisant allusion à l’insupportabilité de la « saine doctrine » n’étant pas démenties par les faits contemporains, il est donc convenable « d’annoncer la parole » en précisant, pour ceux dont la largeur d’esprit serait de l’ordre du Grand Canyon et la moralité en dessous de la ceinture et qui, en conséquence, trouveraient les textes et les articles de ce blogue imbuvables pour leur sensibilité, que je n’ai pas ouvert ce blogue pour plaire aux débauchés et aux luxurieux, aux laïcs et religieux libéraux, aux négateurs de Dieu, ni pour pratiquer le très hypocrite politiquement et religieusement corrects par des propos ambigus et des circonlocutions de circonstances, ni pour être complaisant envers ce qui doit être dénoncé sans haine mais avec fermeté, dans le but de ratisser large et d’augmenter le nombre de mes visiteurs, mais pour appeler chat…un chat et, s’il plaît à Dieu, d’en ramener certains à résipiscence, après réflexion sur la conduite de leur propre vie. Mais aussi pour rappeler ce que le clergé et tout chrétien normalement constitué devrait enseigner et propager, en ce domaine, sur site Internet ou dans les prêches en Eglise, compte tenu de l’état de déliquescence morale de la société dans toutes ses composantes sociales et jusqu’à l’intérieur des Eglises.

(A suivre…« L’adultère - 1 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(3) Théorie qui vise à inculquer dans l’esprit de la jeunesse la négation de la différence naturelle des sexes, en introduisant une distinction entre le sexe qu’il reçoit à la naissance et le détermine dans le genre masculin ou féminin, et l’identité sexuelle qui résulterait d’une perception subjective de son sexe, et de son orientation sexuelle qui serait le produit d’une culture et d’un conditionnement social. Cette théorie pseudo-scientifique, s’inscrivant dans un plan et une logique de changement de paradigme attelé à faire table rase de ce qui reste de culture et de morales chrétiennes, n’est qu’une énième exhalaison de la gnose et de la Kabbale  lucifériennes en milieu chrétien pour, par cette théorie, subvertir la différence naturelle des sexes, en formant et orientant les esprits et les intelligences en formation vers la nature androgyne de l’être humain, et, par le brouillage des genres, à justifier les pratiques ignobles et bestiales de Sodome, le ''mariage'' gay et, à terme, la dissolution de la famille traditionnelle. A ce stade de machiavélisme et de perversité on ne parle plus d'intelligence humaine mais de fosse septique. Cette théorie du genre (gender en anglais) obligatoire dans les lycées français est enseignée dans les manuels scolaires de Sciences de la Vie  et de la Terre (SVT).

(4) Surtout ne pas commettre l’erreur de confondre les enseignements magistériels de l’Eglise avec les scandales sexuels d’ecclésiastiques ou de laïcs catholiques méprisant les commandements pourtant clairs de l’Eglise et de Dieu. L’Eglise n’a jamais enseigné de telles pratiques mais les a toujours condamnées. Le vice et l’immoralité ne sont pas dans les enseignements dispensés mais dans les passions désordonnées ou le manque de foi véritable de ces personnes, à quelque niveau hiérarchique où ils se situent. Pas plus que les habitants de Corinthe n’auraient pu se prévaloir de l’incestueux de l’Eglise de Corinthe pour dénigrer ou refuser les enseignements de Saint Paul.

 

Mis sur un autre blogue le 28 novembre 2012

 

dimanche 1 mai 2022

Petite mise au point sur mes publications



 PETITE MISE AU POINT

 

     Qui lit mes écrits remarquera que mes propos sont sans complaisance (1) pour les catholiques lâches ou faux (clercs et laïcs à quelque niveau où ils se situent) et les propagateurs avérés, en actes ou paroles, d’immoralité et de doctrines spirituelles, politiques ou philosophiques ennemies de Notre-Seigneur Jésus-Christ, des enseignements de l’Eglise. Mais, qu’il soit bien clair que je ne m’associe à aucun parti ou mouvement politique existant ou à naître, professant la doctrine imbécile de la séparation (au lieu de la distinction) de l’Eglise et de l’Etat, et ne proposant pas publiquement l’abolition de toutes les lois antichrétiennes.

     Pas plus que je ne m’associerai à un quelconque mouvement insurrectionnel pour la raison que la France, ayant bafoué et continuant de plus belle à bafouer les lois divines, mérite le châtiment et les jours sombres qui l’attendent. Il y a un temps pour tout, nous dit l’Ecclésiaste « un temps de pleurer, et un temps de rire ; un temps de gémir et un temps de sauter de joie (…) » (III, 4) Le temps du mépris, de l’indifférence ou de la mollesse envers Dieu a été, et est encore abondamment utilisé, il faudra donc faire face au temps de payer les égarements occasionnés par ce mépris, cette indifférence ou cette mollesse.

     Sans complaisance, ai-je dit, mais, selon les préceptes sur les œuvres de miséricorde temporelle de mon Maître, sans égard à la couleur de peau ou à la culture et, selon mes possibilités, je donnerai à manger, à qui a faim, à boire, à qui à soif, le vêtement, à qui est nu… (St Matthieu XXV, 35,36) Mes écrits et mon combat sont, d’abord pour le Christ-Roi et, ensuite, pour le Grand Monarque et personne d’autre, en l’état actuel des orientations des programmes et du personnel politique. Grand Monarque reconnu comme tel par l’Eglise et que Dieu se choisira, au temps marqué par Lui, pour redonner à la France sa vraie vocation.

 

René Pellegrini 

 

(1) Ce qui ne signifie pas haineux ou raciste envers les personnes. Cette précision pour ceux qui, de manière imbécile, voire calculée et sans nuance, hurlent, comme des orfraies au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie ou à la xénophobie dès que vous ne cautionnez pas le formatage de la pensée des faiseurs et manipulateurs d’opinions sur certaines pratiques sociales ou religieuses. Comme si tout cela devait, à moins d’être devenu fou à lier, se révéler bénéfique et sans graves conséquences pour la société. AUCUNE loi humaine en contradiction avec les lois divines n’est défendable, sauf avoir renié sa foi pour s’acoquiner avec d’authentiques mécréants et dépravés, par lâcheté ou opportunisme, où d’avoir complètement perdu la raison, car lorsqu’elle s’écarte des voies de Dieu, la sagesse du monde est folie aux yeux de Dieu. Et, certaines lois font légitimement douter sur la santé mentale de ceux qui les ont votées ou soutenues.

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...