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dimanche 12 juin 2022

Le gouvernement occulte d'Israël - 2 : Les fruits amers de la Kabbale dans l'histoire


LE GOUVERNEMENT OCCULTE D’ISRAEL - 2

 

LES FRUITS AMERS DE LA KABBALE DANS L’HISTOIRE

 

 « Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Vulgate)

« Faute de direction un peuple succombe » (Bible de Jérusalem)

« Faute de politique un peuple tombe »

     (Traduction œcuménique de la Bible : TOB)

 

     Avant de passer aux preuves d’un gouvernement occulte d’Israël, comme annoncé précédemment, un petit rappel de quelques œuvres de la Kabbale dans l’histoire des nations. A la lecture de cet article, certains esprits tordus pourraient le considérer comme voulant nuire aux Juifs, mais tel n’est pas mon but de les mettre tous dans le même sac, même si celui-ci est grand. Sont surtout visés ceux qui s’empressent de déclarer faux (1) tout ce qui leur est défavorable, ou jette une lumière trop crue sur leurs propres agissements : en clair, ceux qui savent de quoi il retourne et ce à quoi ils n’ont cessé de travailler religieusement ou politiquement, au cours de l’histoire, et auquel il continue d’y travailler encore aujourd’hui. De même, certains « idiots utiles », par conviction ou par intérêt, prenant le parti de les défendre à tous prix, quoi qu’ils aient pu faire au cours de l’histoire, et même en s’arrangeant avec elle.

     On conviendra tout de même qu’il est difficile de suivre ceux et celles qui prétendraient qu’en qualité de race élue et supérieure, ils seraient la pureté et l’exemplarité même et, après vingt siècles d’enseignements rabbiniques et pharisaïques, en secret ou à ciel ouvert, qu’ils fussent de grands bienfaiteurs de l’humanité depuis l’iniquité de leurs Pères au premier siècle, la poursuite séculaire de leurs enseignements et les fruits de leur application. Par exemple, l’émergence par des fils d’Israël de systèmes politiques comme le communisme bolchevique avec ses massacres, goulags et asiles psychiatriques, ou le façonnage d’homme politique comme Hitler par la Kabbale. Pour sa part, Saint Paul, (2) un des leurs, avant sa conversion au Christ, est d’un tout autre avis, ne dit-il pas aux chrétiens de Thessalonique :

« Car frères, vous êtes devenus les imitateurs des églises de Dieu, qui, en Judée, sont à Jésus-Christ, puisque vous avez souffert, vous aussi, de la part de vos concitoyens, les mêmes choses qu’elles ont souffertes aussi de la part des Juifs, qui ont tué même le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont persécuté à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont les ennemis de tous les hommes ; nous empêchant de parler aux gentils pour qu’ils soient sauvés, afin de combler en tout temps la mesure de leurs péchés ; car la colère de Dieu est arrivée sur eux définitivement.» (I Thessaloniciens II, 14-16)

     A-t-il tort de parler ainsi ? A-t-il exagéré en tenant ces propos de mise en garde ? La réponse est non, si nous laissons parler l’histoire religieuse et profane, où nous les voyons inspirateurs ou acteurs principaux des premières persécutions antichrétiennes, maîtres d’œuvres de la mise en place de mouvements sectaires, de sociétés secrètes et de systèmes idéologiques tels que : libéralisme, socialisme, communisme et mondialisme qui généreront des révolutions politiques et sociales qui ont secoué, meurtri et ensanglanté l’humanité et permis le façonnage, du faux ''catholique'' mais authentique païen que fut Hitler, par la Kabbale. Tous ces groupements ou idéologies voués à un même but : combattre et détruire, si possible, l’Eglise catholique mais aussi le christianisme et donc, des moyens d’accès au salut qu’ils procurent. Par ses paroles placées dans la perspective du salut et les implications qu’il a dans le temporel sur les comportements devant favoriser le beau, le vrai, la pureté, la sainteté et le bien commun, il n’exagère pas en disant : « ils sont les ennemis de tous les hommes »

     Mais il y a plus que la mise en garde de l’Apôtre. Il y a ces paroles sans équivoque de Notre-Seigneur.

« Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et, après qu’il est devenu, vous faites de lui un fils de la géhenne deux fois pire que vous. » (St Matthieu XXIII, 15)

     Jésus met en garde contre l’extrême dangerosité pour la foi, de l’enseignement de la secte pharisienne. N’oubliant pas que depuis Le Christ les rabbins ont été nourris, et se font les continuateurs, des enseignements kabbalistes et talmudistes des pharisiens stigmatisés par Jésus de « hypocrites, sépulcres blanchis, serpents et race de vipères » (Versets 13-33) et, comme conséquences pour la foi chrétienne de ces doctrines, le risque de devenir « un fils de la géhenne deux fois pire qu’eux » pour les deux sortes de prosélytes reconnus par le judaïsme rabbinique : ceux par conversion ou ceux restant sur le seuil. Il est patent que tous ceux qui se nourrissent de Kabbale ou de Talmud – avec un peu d’expérience, on les repère facilement - et finissent par devenir des ennemis du catholicisme traditionnel ou du christianisme en s’agrégeant à des sectes politiques, religieuses ou philosophiques.

     Si, en tant que chrétiens, nous récusons ces propos de Saint Paul et du Christ, nous signifiant ne pas croire que l’inerrance biblique – Ancien et Nouveau Testament - soit une réalité. Dans ce cas, nous ne sommes plus que des consommateurs à la carte d’Evangiles et d’épîtres. Si, pour nous, « Toute Ecriture divinement inspirée est utile pour enseigner, pour reprendre, pour corriger, pour instruire dans la justice (…) » (II Timothée III, 16) alors il nous faut prendre en considération ces avertissements et, de plus, conclure que les paroles de l’Apôtre et de Jésus-Christ ne sont pas très œcuméniques ! A méditer, pour la protection de l’intégrité de sa foi, par tous les friands d’œcuménisme et les adeptes imprudents des Amitiés judéo-chrétiennes qu’il faut plutôt appeler Amitiés pharisaïco-chrétiennes, puisque le judaïsme actuel, se plaçant au-dessus de Moïse, n’a rien à voir avec la religion de Moïse et des prophètes, mais avec celle revue et corrigée par le pharisaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique.  

     On peut y ajouter, parmi d’autres, le témoignage de deux membres de la nation juive (Darmesteter et Lazare) (3) confirmant, après ces faits bibliques, la véracité des paroles de Saint Paul et de Jésus, en éclairant l’œuvre inique de leurs doctrines sur le plan philosophique et moral, en haine du catholicisme, dont les conséquences expliquent les vrais motifs des soubresauts de l’histoire politique et religieuse autres que ceux fabriqués et mis en évidence par les manuels scolaires et universitaires officiels. En même temps, ils ne font que confirmer ce que l’on savait déjà sur l’origine des influences kabbalistes et talmudiques permettant l’éclosion du protestantisme et de la kyrielle de sectes qui en sont issues, et celles de la Renaissance, du rationalisme et de la Révolution de 1789. Ennemis du Christ et de son règne sur les âmes et les sociétés, on comprend leur désir de travailler et d’inciter à la destruction d’un ordre social fondé sur ses enseignements.

James DARMESTETER (1849-1894) : Orientaliste et professeur au Collège de France.

« Le Juif est le docteur de l’incrédule. Tous les révoltés de l’esprit viennent à lui dans l’ombre ou à ciel ouvert. Il est à l’œuvre dans l’immense atelier de blasphèmes du grand empereur Frédéric et des princes de Souabe ou d’Aragon. C’est lui qui forge tout un arsenal meurtrier de raisonnements et d’ironie qu’il léguera aux sceptiques de la Renaissance, aux libertins du Grand Siècle. Tel sarcasme de Voltaire n’est que le dernier et retentissant écho du mot murmuré six siècles auparavant dans l’ombre du Ghetto. » (In Coup d’œil sur l’histoire du peuple juif, 1881)

Bernard LAZARE (1865-1903) : Critique littéraire et journaliste politique

« Pendant les années qui annoncent la Réforme, le Juif devint éducateur et enseigna l’hébreu aux savants, il les initie aux mystères de la Cabbale, après leur avoir ouvert les portes de la philosophie arabe ; il les munit, contre le catholicisme, de la redoutable exégèse que les rabbins avaient, durant des siècles, cultivée et fortifiée ; cette exégèse dont saura se servir le Protestantisme, et plus tard le Rationalisme. » (In l’Antisémitisme. Son histoire et ses causes, Edition de 1894)

     Ils font sourire ceux qui se proclament athées, irréligieux ou rationalistes, si on considère qui est leur véritable éducateur « Le Juif docteur de l’incrédule » et leur véritable terreau formateur et idéologique « les mystères de la Kabbale » sur lesquels s’appuient les fondements révolutionnaires et antichrétiens des théories qui les animent. Se croire athée, irréligieux et rationaliste après avoir inhalé – en connaissance de cause ou par ignorance - les  chimères ésotériques et mystiques des « mystères de la Kabbale » est proprement risible. Kabbale païenne véhiculant un faux judaïsme pharisaïque et rabbinique dont les ouailles juives, elles-mêmes, sont les victimes. 

(à suivre, si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) Par exemple, la panoplie habituelle et usée de l’anti-complotisme : Faux, antisémite, raciste, théorie du complot, ce sont les maîtres-mots de tous ceux qui ne voulant pas affronter l’histoire et les faits, s’appuient sur les serviteurs zélés de la politique et des média pour jeter le discrédit, voire imposer le silence avec menaces. Combien, encore, tomberont dans ce panneau diabolique et pour combien de temps encore ?  Ce qui est sûr, comme dit l’aphorisme : on peut tromper tout le monde un certain temps et quelques-uns tout le temps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps.

(et 3) Iront-ils jusqu’à les classer parmi les adeptes de la théorie du complot et antisémite de surcroît ?

jeudi 2 juin 2022

Le retour des Juifs en Palestine - 10 : L'erreur du retour


LE SIONISME - 10

 

« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis

 (Luc XXI, 24)

 

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE – 10

L’ERREUR DU RETOUR

     Trois textes pour le confirmer : Celui de Saint Paul aux chrétiens de Rome, celui de Saint Pierre aux chrétiens dispersés dans les provinces d’Asie, tous deux se référant aux promesses prophétiques faites aux Juifs dans le livre d’Osée, trouvant leur plein accomplissement dans la conversion des païens et des Juifs qui ensemble forment le nouveau peuple de Dieu qu’est l’Eglise ou Israël de Dieu. Enfin, celui de St Mathieu sur le voile du Temple, et les références aux avertissements de Jésus-Christ sur le Temple.

ROMAINS IX, 25

« Ainsi nous a-t-il appelés, non seulement d’entre les Juifs, mais aussi d’entre les païens, comme il dit dans Osée : J’appellerai mon peuple celui qui n’était pas mon peuple ; et bien-aimée celle qui n’était pas la bien-aimée, et objet de miséricorde celle qui n’avait pas obtenu miséricorde. Et il arrivera que dans le lieu où il leur avait été dit : Vous n’êtes pas mon peuple, là même ils seront appelés les enfants du Dieu vivant ».

     Dans cette lettre aux chrétiens de Rome composés de Juifs et de païens convertis, Saint Paul cite, assez librement, deux passages de la prophétie d‘Osée selon la Septante, qu’il réunit en une seule formulation.

« Je la sèmerai pour moi dans le pays, et je ferai miséricorde à celle qui était sans miséricorde. Et je dirai à Pas mon peuple Tu es mon peuple ; et lui dira : Vous êtes mon peuple » (Osée II, 23 et 24)

« Et, au lieu où on leur disait : Vous n’êtes plus mon peuple, on leur dira : Fils du Dieu vivant ». (Osée I, 10b)

     Au sens littéral, cette prophétie trouve sa première application dans le royaume schismatique des dix tribus qui ont sombré dans l’idolâtrie et auquel Dieu promet le retour de ses faveurs dès qu’il se sera converti. Les Israélites du Nord devenus idolâtres étant envisagés, par le fait même, comme le type des païens. Saint Paul en écrivant aux Romains va étendre la portée de cette prophétie en l’appliquant aux païens non-juifs à l’égard desquels Dieu agira d’une manière identique en faisant « miséricorde » à ceux qui n’étaient « Pas mon peuple » marquant ainsi l’appel des Gentils à la vraie foi par la conversion « dans le lieu » c’est-à-dire sur toute la terre.

I Pierre II, 10

« Vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, mais qui maintenant êtes le peuple de Dieu ; vous qui n’aviez pas reçu miséricorde, mais qui maintenant avez reçu miséricorde »

     Citation libre de Saint Pierre de cette même prophétie d’Osée dans laquelle il parlait des Israélites convertis et rentrés en grâce avec Dieu. Saint Pierre, à son tour, étendra l’application plénière de ces paroles aux païens devenus chrétiens et devenus « peuple de Dieu » par la conversion.

SAINT MATHIEU XXVII, 51 

«  Et voici que le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas, et la terre trembla, et les pierres se fendirent ».

     Ce voile qui séparait le Saint et le Saint des Saints était le lieu le plus sacré du Temple de Jérusalem. Seul le grand prêtre y avait accès, une fois par an, lors de la fête du Yom Kippour (le grand pardon). En se déchirant d’une manière miraculeuse, à l’heure même de la mort de Jésus, il symbolisait, suivant Origène et les Pères, que désormais tous les hommes pourraient s’approcher librement de Dieu. Ce faisant, il annonçait l’abrogation de l’ancienne alliance c’est-à-dire la fin du judaïsme, et de tous les rites et rituels sacrificiels juifs qui leur permettaient  d’aller à Dieu et de recevoir son pardon (Voir Hébreux IX, 1-8)

     Avant que ces faits ne se produisent Jésus donna quatre sérieux avertissements aux Juifs concernant la destinée du Temple de Jérusalem, avec crescendo dans la solennité des mots (St Luc XIII, 34-35 ; XIX, 41-44 ; St Matthieu XXIII, 37-38 ; XXIV, 2). L’épisode du voile scellera définitivement le sort d’un Israël appuyé sur la première alliance. Le salut des Juifs passent désormais non par la reconstruction d’un Temple à Jérusalem et la reprise des sacrifices sanglants ‘animaux dont ils n’étaient que la figure du vrai sacrifice venu en la Personne de Jésus-Christ, mais par la Nouvelle Alliance en Jésus-Christ, leur conversion et leur entrée dans l’Israël (spirituel) de Dieu qu’est l’Eglise catholique : héritière des Patriarches et de l’ancienne synagogue fidèle.

     Si tous mes articles sur le sionisme considérés principalement au plan spirituel, n’ont pas réussi à vous convaincre, je vous invite à méditer sur les déclarations sans équivoque des deux vrais Papes, ci-dessous, sur la question qui nous occupe, en espérant qu’elles triompheront de votre réticence, en même temps qu’elles vous éclaireront et devraient vous mettre en garde sur les orientations théologiques et politiques opposées et désastreuses, prises par les flûtes de Hamelin vermoulues qui occupent Rome depuis le Concile Vatican II.

     La déclaration de Saint Pie X à Théodore Herzl qui passe pour le fondateur du sionisme, bien que ce soit Moses Hess qui fut le précurseur du mouvement sioniste.

« Nous ne pouvons pas empêcher les Juifs d’aller à Jérusalem, mais nous ne pourrons jamais les y encourager. Le sol de Jérusalem n’a pas toujours été sacré, mais il a été sanctifié par la vie de Jésus. Les Juifs n’ont pas reconnu Notre-Seigneur et nous ne pourrons donc pas reconnaître le peuple juif. Non possumus » (Déclaration du Vatican, le 25 janvier 1904)

     Benoît XV confirmera Saint Pie X en déclarant « Les Juifs n’ont aucun droit de souveraineté sur la Terre sainte ». (Note mentionnée en marge de la Déclaration Balfour, 1917)

     Que ne les a-t-on écoutés ? Bien des tragédies et des torrents de sang eussent été évités au Moyen-Orient. Et mille bravos appuyés aux supplétifs conciliaires de l’étoile à six branches, en compagnie des progénitures du protestantisme et de son formatage spirituel : les diverses sectes et mouvements se réclamant de la mouvance évangélique ou charismatique, les judéo-chrétiens, les Juifs messianiques c’est-à-dire un mélange de christianisme et de pratique religieuse juive (des ronds-carrés), etc.

     Les Juifs qui retournent en Israël, par crainte pour leur vie en France ou ailleurs, commettent une erreur car ils n’y trouveront pas plus de sécurité qu’ailleurs mais bien plus sûrement pour leurs enfants un véritable enfer, si ce n’est déjà pour eux-mêmes, parce qu’il est probable que cette création artificielle d’un foyer national juif devenu l’Etat sioniste d’Israël sera lâché par celle qui l’a aidée (1) et ceux qui l’ont soutenu jusqu’à ce jour. En effet, le fanatisme religieux et les annexions territoriales des nationalistes israéliens rêvant d’un grand Israël deviennent désormais une gêne pour les grands maîtres (2) de la Synagogue de Satan qui - comme ils le font avec les « idiots utiles » non-Juifs et l’appui et la complicité des supplétifs francs-maçons - n’ont cessé de manipuler et d’utiliser les masses juives, leurs coreligionnaires, comme « idiots utiles » les faisant œuvrer contre leurs propres intérêts, voire en les utilisant comme cobayes, car « ceux qui ont le diable pour père » veulent instaurer la religion universelle de l’homme divinisé (Antéchrist).

     Le dessein de la Synagogue infidèle ayant été, avant tout, d’œuvrer et de faire œuvrer « les idiots utiles Juifs et non-Juifs » à la ruine de l’Eglise catholique et du christianisme, il semble donc, maintenant, qu’après l’avoir encouragé et soutenu, qu’une lutte ait été activée - entre les Juifs partisans du sionisme politique et le marranisme religieux - par les hauts dirigeants lucifériens de la Synagogue, dont le but serait d’opérer soit une situation de violence par la reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël, soit le lâchage pur et simple du sionisme devenu gênant pour leur projet.

     Dans ce cas, on imagine la stupeur et le chaos créés dans le monde et dans cette région, où la moindre étincelle peut engendrer des conséquences mondiales propres à justifier la mise en place d’une gouvernance mondiale soit par un avant-coureur de l’Antéchrist (la Salette), soit par l’homme divinisé (Antéchrist) qui réussira, pour peu de temps, là où le totalitarisme communiste soviétique sous financements, doctrines, influences et gouvernance juives a ‘’échoué’’ mais qui renaît sous le masque du mondialisme proposé comme solution aux problèmes de l’humanité. La domination universelle étant le but ultime de la Synagogue infidèle et déchue comme son dieu Lucifer. Pour sa part le marxisme culturel a insidieusement infesté toutes les institutions, les média et l’éducation.

CONCLUSION :

     La fin du temps des nations marque la fin de l’entrée des païens dans l’Eglise. Il n’est pas en rapport avec le projet politique du retour des Juifs en Israël et la création artificiel d’un Etat soutenu à bout de bras, jusqu’à ce jour, par les Etats-Unis et la haute finance internationale car, depuis 1948 et 1967, des non-Juifs ou gens des nations continuent d’entrer dans l’Eglise par le baptême. Le sionisme est une voie de garage, un chemin qui mène à l’émergence et à l’accueil de l’Antéchrist, à son adoration et à la perdition éternelle. Le salut, pour tous, est en Jésus-Christ, fils d’Abraham, fils de David (St Mathieu I, 1) et Fils de Dieu, et dans l’entrée (ou le retour) dans son unique bercail : l’Eglise catholique romaine et apostolique colonne et soutien de la vérité, n’en déplaise à tous ceux qui s’alimentent, à leur insu ou en conscience, dans les mangeoires de la gnose au nom menteur comme disait saint Irénée, ou celles de la kabbale et du Talmud des rabbins pharisiens de la synagogue apostate.


René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en majuscules dans les textes. 

(1) La Grande Bretagne. 

(2) Ces grands maîtres détiennent la maîtrise des sciences occultes de la Kabbale.

Mis sur un autre blogue le 7 mars 2018 

  

Le joueur de flûte de Hamelin


 

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