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mardi 19 juillet 2022

Antisémitisme et Antijudaïsme - 2 : Antisémitisme et Juif, qu'est-ce à dire ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME – 2

ANTISEMITISME ET JUIF, QU’EST-CE A DIRE ?

     Avant d’aller plus avant sur la question de l’antisémitisme commençant déjà par dire que ce mot est relativement récent. La première mention du mot antisémite, en 1860, est attribuée à un intellectuel juif autrichien nommé Moritz Steinschneider (1816-1907). Il l’utilisa dans l’expression « préjugés antisémites (antisemitische Vorurteile) » Quant au mot antisémitisme « Antisemitismus » il fut inventé par un journaliste allemand, Wilhelm Marr (1819-1904) dans le sens « d'hostilité aux Juifs ». En France, c’est le dictionnaire Robert qui traduira, en 1886 Antisemitismus par « antisémitisme ». (1)

     Ce mot formé sur le vocable « sémite » nécessite un retour dans l’histoire. De nos jours, ce mot est ambigu car martelé de façon à diriger la pensée immédiatement et exclusivement vers les Juifs. Or, cela est tendancieux car un rappel historique montre qu’il n’en est pas ainsi.

     Nous savons par le Livre de la Genèse que Sem (père des Sémites) était un des trois fils de Noé (avec Cham et Japhet) et qu’Hébert, le père éponyme des Hébreux, était d’origine sémite tout comme sa postérité Abraham, ses fils Isaac et Jacob et leurs descendants. Dans le langage moderne le mot « sémite » se cristallise davantage, à tort, sur la descendance d’Isaac (son deuxième fils, et fils de la promesse que Dieu fit au Patriarche Abraham). Cependant, Abraham eut un autre fils Ismaël (son premier-né qu’il eût avec sa servante Agar) et sa descendance que sont les Arabes, eux aussi descendants d’Abraham, et donc des Sémites comme les Juifs. Telle est, sur le plan historique, la réalité et la portée du mot Sémite.

     Passons maintenant au mot « Juif » pour voir ce qu’il recoupe sous cet unique vocable. Ce mot a trois sens : un sens racial, un sens lié à la nationalité et un sens religieux.

     Pour ne pas faire trop long, cet article n’abordera que la race et la nationalité, réservant la religion pour un prochain article.

LA RACE JUIVE :

     Le sens racial, lorsqu’il n’est pas divinisé, est moralement indifférent. Ce fut la race de Notre-Seigneur et de sa Sainte Mère, des colonnes de l’Eglise que furent Saint Pierre et Saint Paul, de certains Apôtres et, beaucoup moins glorieux, des grands prêtres Anne et Caïphe, de Karl Marx, de Trotsky, de Rothschild, etc. L’aspect racial du mot « antisémitisme » des nazis a été fermement stigmatisé par le Pape Pie XI :

« Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’Etat, ou la forme de l’Etat, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine – toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable - quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créés et ordonnées par Dieu : est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la vie répondant à cette foi. » (Encyclique « Mit Brennender Sorge » sur le nazisme, du 14 mars 1937). La date de cette Encyclique mettait déjà en garde.

LA NATIONALITE JUIVE :

     Ce sens est généralement complétement occulté. Pourquoi ? Parce que de nos jours, il est difficile pour les gens de concevoir une nation sans territoire, sans frontières et sans une organisation politique visible (ce n’est plus le cas depuis 70 ans). Est-ce à dire que les Juifs ne sont une nation que depuis 1948 ? Ce serait une grave erreur de le penser, et se disposer à ne rien comprendre à la marche des événements politiques, sociaux et mondiaux, aux comportements et à la duplicité juive au sein des nations. En effet, au sein même de ces peuples qui les ont accueillis, ils ont toujours été une nation obéissant aux ordres d’un gouvernement occulte connu sous le nom de Kahal. C’est compréhensible car le judaïsme rabbinique ou modernisé - pratiqué par des Juifs orthodoxes et talmudistes, ou par des Juifs modernistes ou progressistes – a toujours été le dernier refuge qui a permis à la nationalité juive de subsister, lui évitant de s’assimiler aux nations hôtes. En effet, par le génie financier dont ils font preuve et la puissance de l’or dont ils sont les maîtres, les Juifs ont toujours été un Etat dans l’Etat, au sein des royaumes ou des Républiques. Nous avons deux preuves de l’existence d’un gouvernement occulte : la Bible et un document juif.

LA BIBLE :

     Elle affirme : « Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Proverbes XI, 14 - Vulgate). Ce texte inspiré affirme donc qu’un peuple ne peut que disparaître s’il n’a personne pour le gouverner. Or, deux mille ans après sa dispersion, le peuple juif est toujours présent, alors que bien des peuples de l’antiquité ont disparu. Il ne s’est assimilé à aucun peuple non-juif.

DOCUMENT JUIF

     Cette seconde preuve consiste en un échange de lettres entre les Juifs d’Arles et ceux de Constantinople, daté de 1489. Ainsi, depuis l’an 70 les Juifs n’ont jamais cessé d’avoir un gouvernement auquel ils se sont toujours référés pour connaître la conduite à tenir au sein des nations.

     On suit la trace de ce Sanhédrin suprême appelé aussi Princes juifs de la Captivité - ou gouvernement juif - à Jabné jusqu’à la révolte et la défaite de Shimon Bar-Kokhba, en 135 après Jésus-Christ et, après sa dispersion, sa reconstitution à Tibériade. Depuis 429, il s’est transporté à Babylone jusqu’en 1005 sous le nom de Princes de l’Exil. A cette date, les Califes d’Orient s’effrayèrent de la puissance de ces Princes juifs et les persécutèrent, les obligeant à fuir vers l’Arabie et l’Occident. Ceci montre que jusqu’à cette date de 1005 ils avaient bien un centre de commandement auquel les Juifs étaient soumis. Le document juif, ci-dessous, atteste qu’il n’a jamais cessé de fonctionner, puisque les Juifs d’Arles savaient où s’adresser 484 ans plus tard (à Constantinople en 1489) même si sa trace historique était perdue de 1005 à 1489.

LETTRE DES JUIFS D’ARLES A CEUX DE CONSTANTINOPLE

« Honorables juifs, salut et grâce. Vous devez savoir que le roi de France, qui est le nouveau maître du pays de Provence, nous a obligés par cri public de nous faire chrétiens ou de quitter son territoire. Et ceux d’Arles, d’Aix et de Marseille veulent prendre nos biens, menacent nos vies, ruines nos synagogues et nous causent beaucoup d’ennuis ; ce qui nous rend incertains de ce que nous devons faire pour la loi de Moïse. Voilà pourquoi nous vous prions de vouloir sagement nous mander ce que nous devons faire (Chamor, Rabbin des Juifs d’Arles, le 13 de Sabath 1489.) » (2)

REPONSE DES JUIFS DE CONSTANTINOPLE A CEUX D’ARLES ET DE PROVENCE

     Placés devant l’alternative de se convertir au catholicisme ou de fuir à l’étranger, le gouvernement occulte juif appelle les Juifs à la simulation, en réponse à la Lettre du 13 de Sabath, 1489 au rabbin Chamor, d’Arles (France) nous lisant :

« Bien-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre lettre dans laquelle vous nous faites connaître les anxiétés et les infortunes que vous endurez. Nous en avons été pénétrés d’une aussi grande peine que vous-mêmes. L’avis des grands Satrapes et Rabbins est le suivant :

« A ce que vous dîtes que le roi de France vous oblige à vous faire chrétiens : faites-le, puisque vous ne pouvez faire autrement ; mais que la loi de Moïse se conserve dans votre cœur. »

« A ce que vous dites qu’on commande de vous dépouiller de vos biens : Faites vos enfants marchands, afin que, peu à peu, ils dépouillent les chrétiens des leurs. »

« A ce que vous dîtes qu’on attente à vos vies : faites vos enfants médecins et apothicaires afin qu’ils ôtent aux chrétiens leurs vies. »

« A ce que vous dîtes qu’ils détruisent vos synagogues : faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. »

« A ce que vous dîtes qu’on vous fait d’autres vexations : faites-en sorte que vos enfants soient avocats et notaires, et que toujours ils se mêlent des affaires des Etats, afin que, en mettant les chrétiens sous votre joug, vous dominiez le monde et vous puissiez vous venger d’eux.

« Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous donnons, parce que vous verrez par expérience que d’abaissés que vous êtes aujourd’hui, vous arriverez au faîte de la puissance. » Cette lettre est signée (V.S.S.V.F.F., prince des Juifs de Constantinople, le 21 de Casleu, 21 novembre 1489) (3)

     Par ces propos, nous sommes loin de l’esprit de Moïse et de la religion mosaïque à l’égard des étrangers ou de ceux qui sont dans l’obligation de vivre dans un pays qui n’est pas le leur (le ger, en hébreu). Mais, sous sommes bien en phase avec l’esprit de l’enseignement rabbinique et diabolique du Talmud. Ces conseils du prince des Juifs de Constantinople vérifient amplement les paroles du Christ « Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père » (St Jean VIII, 44)

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini


(1) Source Wikipédia

(2 et 3) Pour un peu plus ici :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-gouvernement-occulte-disrael-1-la.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-2-les.html

Mis sur un autre blogue le 15 novembre 2017

vendredi 24 juin 2022

Le gouvernement occulte d'Israël - 3 : Preuves d'un gouvernement occulte d'Israël



 LE GOUVERNEMENT OCCULTE D’ISRAEL - 3

 

PREUVES D’UN GOUVERNEMENT OCCULTE D’ISRAËL


« Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Vulgate)

« Faute de direction un peuple succombe » (Bible de Jérusalem)

« Faute de politique un peuple tombe »

(Traduction œcuménique de la Bible : TOB)


     Après l’introduction de l’article précédent venons-en aux preuves d’un gouvernement occulte de la nation juive. Deux lettres datées du XVe siècle, une en français, l’autre en espagnole. La première imprimée en français, par l’Abbé Bouis prêtre d’Arles, dans un ouvrage intitulé « La Royale Couronne des Roys d’Arles a Messrs les Consulz et Gouaerneurs de la Ville, Par J. Bouis, pbr en Avignon, par Jacques Brameray, 1650). Elles ont été remises au jour par l’Armana prouvençau de 1880, par la Revue des études juives de 1880 (1) et par le Courrier de Vienne en 1881.

LETTRE DES JUIFS D’ARLES A CEUX DE CONSTANTINOPLE

« Honorables juifs, salut et grâce. Vous devez savoir que le roi de France, qui est le nouveau maître du pays de Provence, nous a obligés par cri public de nous faire chrétiens ou de quitter son territoire. Et ceux d’Arles, d’Aix et de Marseille veulent prendre nos biens, menacent nos vies, ruines nos synagogues et nous causent beaucoup d’ennuis ; ce qui nous rend incertains de ce que nous devons faire pour la loi de Moïse. (2) Voilà pourquoi nous vous prions de vouloir sagement nous mander ce que nous devons faire (Chamor, Rabbin des Juifs d’Arles, le 13 de Sabath 1489.) » (3)

REPONSE DES JUIFS DE CONSTANTINOPLE A CEUX D’ARLES ET DE PROVENCE

     Placés devant l’alternative de se convertir au catholicisme ou de fuir à l’étranger, le gouvernement occulte juif appelle les Juifs à la simulation par Lettre du 13 janvier 1489 des « grands satrapes » au rabbin Chamor, d’Arles (France)

« Bien-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre lettre dans laquelle vous nous faites connaître les anxiétés et les infortunes que vous endurez. Nous en avons été pénétrés d’une aussi grande peine que vous-mêmes. L’avis des grands Satrapes et Rabbins est le suivant :

« A ce que vous dîtes que le roi de France vous oblige à vous faire chrétiens : faites-le, puisque vous ne pouvez faire autrement ; mais que la loi de Moïse se conserve dans votre cœur. (4)

« A ce que vous dites qu’on commande de vous dépouiller de vos biens : Faites vos enfants marchands, afin que, peu à peu, ils dépouillent les chrétiens des leurs. »

« A ce que vous dîtes qu’on attente à vos vies : faites vos enfants médecins et apothicaires afin qu’ils ôtent aux chrétiens leurs vies. »

« A ce que vous dîtes qu’ils détruisent vos synagogues : faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises.

« A ce que vous dîtes qu’on vous fait d’autres vexations : faites-en sorte que vos enfants soient avocats et notaires, et que toujours ils se mêlent des affaires des Etats, afin que, en mettant les chrétiens sous votre joug, vous dominiez le monde et vous puissiez vous venger d’eux. »

« Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous donnons, parce que vous verrez par expérience que d’abaissés que vous êtes aujourd’hui, vous arriverez au faîte de la puissance. » Cette lettre est signée (V.S.S.V.F.F., prince des Juifs de Constantinople, le 21 de Casleu, 21 novembre 1489) (5)

     Ces deux lettres ne figurent pas seulement dans le livre de l’Abbé Bouis en 1641. Elles ont probablement déjà été imprimées avant cette date, en 1583, dans un ouvrage espagnol intitulé « La Silva curiosa…» publié à Paris, par un gentilhomme navarrais nommé Julien de Medrano. Cité par la Revue des études juives, 1880.


René Pellegrini 

- C’est moi qui mets en gras et souligne en rouge, dans les citations.

(1) Revue fondée sous le patronage de M. le baron James de Rothschild.

(2) Lorsqu’ils parlent de la « Loi de Moise » cela ne doit pas abuser les chrétiens. Car ce qu’ils appellent « Loi de Moïse » n’est pas leur véritable référence. Ce sont les commentaires du Talmud qui sont considérés par les Rabbins comme lui étant supérieur. On a là l’explication de la persistance de l’antichristianisme séculaire des juifs et de leur aveuglement spirituel.

(3) Ce que ne mentionne pas le Rabbin d’Arles c’est le pourquoi de la décision de l’autorité royale. Dans toutes les nations dans lesquelles ils étaient hébergés, les Juifs réussissaient le tour de force de se rendre odieux aux yeux de toutes les populations par l’usure qu’ils pratiquaient, par leurs mœurs talmudiques et antichrétiens. La réponse des Satrapes de Constantinople ne faisant que confirmer les scélératesses de la mentalité et de l’immoralité de l’enseignement talmudique. La connaissance de l’hébreu se répandant en Europe, les passages compromettants ont été expurgés du talmud pour les soustraire aux yeux des profanes, en laissant des lacunes à leur place, mais, afin de ne pas les perdre, ils furent confiés à la mémoire par l’enseignement oral.

(4) « chrétiens (…) mais que la loi de Moïse se conserve dans votre cœur » Ces propos expliquent et mettent en lumière l’ancienneté de l’infiltration marrane et son travail à l’intérieur de l’Eglise à tous les niveaux hiérarchiques. Ils soulèvent aussi une grave question : celle de la duplicité des Israélites et la sincérité de bien des conversions juives au cours de l’histoire jusqu’à nos jours. Ce caractère double prenant racine dans la mentalité sémitique caractérisée, entre autres choses, par l’esprit révolutionnaire, l’utilitarisme et l’égalitarisme qui servira, ensuite, pour mieux dominer les ‘’égaux’’.

Une seule façon de se prémunir de l’influence néfaste de ces hypocrites et faux disciples de Moïse et de l’ancienne synagogue infidèle : l’attachement sans faille aux enseignements de Jésus-Christ et de l’Eglise. Pour qualifier cet attachement on utilisera, aujourd’hui, le mot infamant de radicalisation bien que je préfère, et de loin, celui d’intégrité et de fidélité envers les enseignements divins et magistériels. Même si l’utilisation de ce mot est commode pour l’amalgame désobligeant, il ne doit pas faire peur ou traumatiser car il y a des radicalisés partout : de la Révolution, de la laïcité, des droits de l’homme sans Dieu, de la République, de l’avortement, du mariage gay, etc. (à vous de compléter la liste qui sera longue) : en fait un très très grand nombre de radicalisés. J’ignore, à ce jour, si un centre de déradicalisation, de repérage et de traitement (6) est prévu pour les personnes atteintes par ces genres de radicalisation. Pour ce qui me concerne, l’important est de savoir que je suis partisan d’appeler chat, un chat, mais pas adepte de la duplicité, du mensonge socialisé, de l’assassinat politique ou autre, pas plus que de la ceinture d’explosifs, car toute personne agit selon la foi et les mœurs de sa croyance philosophique ou religieuse, et, ce n’est pas l’enseignement que j’ai reçu et accepté de mettre en pratique en suivant les préceptes de l’Evangile de Jésus-Christ et l’enseignement des docteurs, des saints et des vrais Papes de l’Eglise catholique, et non celui de ses démolisseurs prévaricateurs et idolâtres ensoutanés ou pas.

(5) Après avoir lu la réponse des « Grands Satrapes et des rabbins de Constantinople » celui qui observe la puissance et l’influence mondiale qu’ils ont acquis depuis cette lettre de 1489 peut-il encore, raisonnablement, avoir des doutes sur leur souscription à l’état l’esprit qui leur fut inculqué et qui les anime dans les nations, avec la mise en œuvre de leur plan de domination sur les chrétiens, les Etats et le monde ainsi que la méthode d’infiltration de l’Eglise catholique pour la détruire ? Cette remarque pour les complices « idiots utiles » et indécrottables contempteurs catholiques ou pas de la ‘’théorie du complot’’ qui, tout à coup existe, lorsque des hommes politiques en sont eux-mêmes victimes ! Laissez-les donc pérorer ces aveugles et conducteurs d’aveugles dignes émules et héritiers des races de vipères pharisiennes.

(6) Comme la très démocrate et bien-pensante madame Nathalie de Saint-Cricq, responsable du service politique de France 2, le demandait pour les « Je ne suis pas Charlie » qui, pour certains dont moi-même avait peut-être, pour madame, le très mauvais goût de ne pas être friands, de ne pas soutenir et de ne pas vouloir véhiculer par cette affichette les grossièretés, les blasphèmes et la scatologie des rédacteurs d’une certaine presse de pissotière et de blasphèmes. Pour la dame, sa particule de dans le contexte relève de la noblesse de caniveau ! Pour le Saint ça fait désordre. Pour le Cric(q) très bien adapté pour pousser cette propagande nauséabonde ! Pour ceux qui veulent s’abreuver à la haute sagesse de la dame, et sur sa mise en pratique de la tolérance pour la liberté d’expression, c’est ici : https://www.youtube.c5 om/watch?v=8rhzCyqVkDo

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