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samedi 13 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 4 : Antijudaïsme rabbinique, pourquoi ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 4


LA RELIGION JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE

 

ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE, POURQUOI ?

 

     Si des chrétiens mettent les Juifs en cause, ce n’est pas parce qu’ils sont de race sémite, ce serait absurde, mais pour l’inoculation et la mise en pratique de leurs principes moraux, sociaux et politiques issus de leur judaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique dans les pays qu’ils vampirisent en compagnie de tous ceux qui les secondent, dans leurs œuvres iniques, par appât de l’argent, intérêt, opportunisme, arrivisme ou haine de la France chrétienne et de l’Eglise. En définitive des personnes déchristianisées dont l’esprit s’est plus ou moins judaïsé, par l’adhésion à des principes mortels de vie sociale et politique contraires à l’essence même de ce qui est constitutif de la France et du christianisme : principes qui ne peuvent que leur nuire et les détruire. Si nous n’avions les promesses réitérées de Dieu, des Papes, des Saints et des grands auteurs ecclésiastiques sur notre pays, la France ne pourrait que disparaître dans une République universelle anti-christique, après dissolution dans une République européenne.

     Dans cette affaire le mot convenable pour ce qui me concerne est « antijudaïsme » et c’est une toute autre chose qu’antisémitisme (voir les articles précédents de la rubrique : Antisémitisme et antijudaïsme) car c’est l’aspect religieux qui est en cause et non l’aspect racial. En tant que chrétien non subjugué par le délire œcuménique des ennemis plus ou moins conscients de l’Eglise, de l’apostasie en actes du Concile Vatican II, et du gros bobard sur l’interprétation du Concile à la lumière de la Tradition (sérieusement amochée pour la circonstance), c’est un devoir de mettre en garde contre le faux judaïsme des pharisiens véhiculé par les rabbins.

ANTIJUDAÏSME PHARISIEN : UN DEVOIR, MAIS SANS HAINE

     *  J’ai le droit et le devoir de combattre ce Judaïsme ennemis du Christ et de ses enseignements fondateurs de la France chrétienne née, en 496, au Baptistère de Reims, par la conversion et le baptême de Clovis et de sa tribu franque, à la prédestination et la vocation particulière que Dieu a conférée, à cette époque, à notre nation par rapport aux autres nations, à savoir : défendre l’Eglise romaine et être prospère en étant fidèle à Dieu et rudement châtiée pour ses infidélités, selon la mise en garde de Saint Rémy :

« Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine qui est la seule véritable Eglise du Christ (…) Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la Foi romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. » (Flodoard, Historia Ecclesiae Remensis) 

     L’Etat actuel de déliquescence de la France jacobine dirigée, depuis plus de deux siècles, par une compétition entre irresponsables de tous bords, favorisant ou pratiquant eux-mêmes l’immoralité, l’impiété, le blasphème et le sacrilège, ou de traîtres indignes d’être français vendant ou soumettant leur pays à des puissances étrangères rêvant de domination mondiale. Ceci, témoignant de ce qui attend notre pauvre pays infidèle avant que Dieu, à son heure, n’accomplisse ses promesses pour la France.

     Il y a bientôt six siècles, il y avait grande misère et grand découragement au Royaume de France avant que Sainte Jeanne d’Arc ne soit envoyée par Dieu pour reprendre aux armées anglaises la partie française qu’ils occupaient, et la restituer à son roi Charles VII : Préfiguration de la future libération de notre patrie de ses ennemis intérieurs et extérieurs.

     * J’ai le droit et le devoir de combattre ce judaïsme qui n’a rien à voir avec celui de Moïse, si ce n’est un Moïse revu et corrigé par le Talmud car, en réalité, ils ne croyaient pas en lui. C’est Jésus Lui-même qui l’affirme. En effet, si les pharisiens étaient véritablement dirigés par l’esprit de Moïse ils n’auraient jamais fait exécuter leur Messie, pour leur propre malheur :

« Car, si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit » (St Jean V, 46)

     Les livres de Moïse (Le Pentateuque (1) écrivaient sur le Christ à venir, ils prophétisaient aussi une inimitié historique entre deux postérités et le moyen de la Rédemption et du salut, en Genèse III, 15. Ils annonçaient aussi, le prophète comme Moïse dans Deutéronome XVIII, 15,18 et aussi, à travers les sacrifices, les cérémonies symboliques du culte qui dirigeaient et trouvaient leur accomplissement véritable et définitif dans le futur libérateur du peuple de Dieu.

     S’ils croyaient en Moïse et aux prophètes, ils n’auraient pas façonné le peuple d’Israël en « annulant le commandement de Dieu » par leur « tradition » que Jésus condamnera en reprenant à son compte le reproche « d’hypocrisie » du prophète Isaïe :

« Ainsi, vous avez annulé le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8).

     * J’ai le droit et le devoir, comme Catholique et chrétien, de combattre les fausses doctrines pharisiennes des rabbins kabbalistes et talmudistes avec leurs incidences sur  la vie morale, économique, financière, politique et sociale des peuples en général, et de la France en particulier, tout comme Jésus dénonça les faux enseignements des pharisiens et des scribes ennemis de la vérité de Dieu, qui le firent mettre à mort et dont les successeurs continuent de le crucifier en donnant leur assentiment au déicide de leurs pères. De même, à leur époque, les apôtres, les martyrs, les Pères de l’Eglise et les saints dénoncèrent les fausses doctrines des rabbins imbus d’enseignements pharisiens, en mettant en garde leurs fidèles, ce que ne fait plus, à sa grande honte, le clergé apostat, tétanisé, moderniste et manipulateur d’aujourd’hui.

     * J’ai le droit et le devoir, sauf à renier ma foi et celle de la France chrétienne, de combattre le judaïsme rabbinique dont l’arme principale est le mensonge, car le levain qu’il contenait à l’époque de Jésus-Christ n’est pas moins dangereux pour les âmes d’aujourd’hui, même si les rabbins kabbalistes talmudistes orthodoxes ou modernisés, sans autel, sans temple, sans prêtre et sans sacrifice, ne sont plus que des personnes ravalées au rang de simples laïcs. L’état de la France et de l’Europe, autrefois chrétienne et désormais sous domination judéo-maçonnique, est de nature à manifester l’impressionnante culbute morale engendrée par les principes nauséabonds véhiculés par le judaïsme politico-religieux et leurs auxiliaires Francs-maçons, et leurs répercussions dévastatrices dans le domaine moral, familial, politique, économique, financier, philosophique et social.

     Que l’antisémitisme et l’antijudaïsme ne peuvent être synonymes, les Juifs le savent très bien.  Mais, comme les orgueilleux qu’ils sont, et n’étant pas handicapés dans l’usage des idées tordues, il leur est nécessaire de se fabriquer un moyen pour qu’aucune critique sérieuse ne puisse se formuler contre eux, et qu’il devienne toujours plus difficile, voire impossible, de leur arracher le masque dont ils s’affublent, tout comme leurs supplétifs temporaires Francs-maçons. Munis de cette parade et de son imposition avec menaces, les gens pourront continuer à larmoyer dans les chaumières, les plaindre inlassablement comme victimes perpétuels, sans se poser les vraies questions des tenants et des aboutissants sur ce point et, ainsi, toujours paraître, comme Jésus disait de leurs pères spirituels « Au dehors, Vous paraissez justes aux hommes » pour dire ensuite, en dépassant les apparences de justice « mais au dedans, vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité » (St Matthieu XXIII, 28). L’histoire, tant profane que religieuse, témoigne amplement de cela, ainsi que leurs propres livres.

     Non ! La religion juive des rabbins pharisiens, qui est celle de la Synagogue infidèle, n’est pas la sœur ainée de l’Eglise, et les Juifs qui suivent leurs enseignements ou combattent contre les doctrines chrétiennes ne sont pas, malheureusement, nos « frères aînés » mais, en l’état, des ennemis redoutables non seulement pour les chrétiens, mais pour la France elle-même, quels que soient les artifices utilisés pour donner le change. Comment pourraient-ils être nos « frères aînés » en suivant les enseignements de ceux qui « ont le diable pour père » et veulent « accomplir ses désirs » au sein des nations ? Retenons bien ce que Jésus a déclaré concernant leurs pères spirituels « Si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit ».

NOS FRERES AÎNES, MAIS SEULEMENT EN JESUS-CHRIST

     Ils seront nos frères aînés lorsque, se rattachant aux enseignements de la Synagogue fidèle, ils deviendront de véritables enfants d’Abraham non selon la chair, mais selon l’esprit, en acceptant le Christ comme leur Messie et leur Roi, en se nourrissant par la foi de la chair et du sang de Jésus-Christ, fils de David et fils d’Abraham (voir la généalogie de St Mathieu I, 1). Nos véritables frères aînés ce sont les Patriarches, les prophètes et tous les vrais croyants de l’ancienne synagogue fidèle depuis Moïse, et non ceux de la Synagogue infidèle et apostate des rabbins pharisiens.

     En attendant ce jour béni pour eux-mêmes et pour notre plus grande joie, ils se présentent à nous sous deux aspects différents et complémentaires, ou en les cumulant, pour ce qui est de leur capacité de nuisance dans une société d’essence chrétienne :

     * Soit, ils pratiquent une fausse religion, un judaïsme gnostique kabbaliste et talmudique déjà à l’œuvre chez les pharisiens, ennemie du Christ et des chrétiens, et ils travaillent à la destruction de l’Eglise catholique et du christianisme par noyautage de ses institutions et l’injection en leur sein du venin moderniste et naturaliste.

     * Soit, engagés politiquement dans des mouvements libéraux ou révolutionnaires de droite ou de gauche, ils participent à la destruction de ce qui revêt encore un caractère véritablement chrétien dans la société. Il n’y a plus que les aveugles spirituels, les indifférents chroniques et les décérébrés par la propagande ecclésiastique et celle des media révolutionnaires pour ne pas s’en rendre compte.

     Inutile d’entrer dans le déni et les contorsions théologiques pour justifier un faux œcuménisme et un Israël à part. Prions plutôt pour leur conversion et aidant-les à s’extraire de l’esclavage des traditions pharisiennes, au lieu de les installer dans une fausse sécurité par une complaisance coupable et lâche, ou une charité qui, en la circonstance relève, non de la vertu, mais du frelatée, et de non-assistance à personne en danger au plan de leur salut éternel.

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) On appelle Pentateuque les cinq premiers livres de la Bible écrits par Moïse : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.

Mis sur un autre blogue le 18 avril 2018

mardi 19 juillet 2022

Antisémitisme et Antijudaïsme - 2 : Antisémitisme et Juif, qu'est-ce à dire ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME – 2

ANTISEMITISME ET JUIF, QU’EST-CE A DIRE ?

     Avant d’aller plus avant sur la question de l’antisémitisme commençant déjà par dire que ce mot est relativement récent. La première mention du mot antisémite, en 1860, est attribuée à un intellectuel juif autrichien nommé Moritz Steinschneider (1816-1907). Il l’utilisa dans l’expression « préjugés antisémites (antisemitische Vorurteile) » Quant au mot antisémitisme « Antisemitismus » il fut inventé par un journaliste allemand, Wilhelm Marr (1819-1904) dans le sens « d'hostilité aux Juifs ». En France, c’est le dictionnaire Robert qui traduira, en 1886 Antisemitismus par « antisémitisme ». (1)

     Ce mot formé sur le vocable « sémite » nécessite un retour dans l’histoire. De nos jours, ce mot est ambigu car martelé de façon à diriger la pensée immédiatement et exclusivement vers les Juifs. Or, cela est tendancieux car un rappel historique montre qu’il n’en est pas ainsi.

     Nous savons par le Livre de la Genèse que Sem (père des Sémites) était un des trois fils de Noé (avec Cham et Japhet) et qu’Hébert, le père éponyme des Hébreux, était d’origine sémite tout comme sa postérité Abraham, ses fils Isaac et Jacob et leurs descendants. Dans le langage moderne le mot « sémite » se cristallise davantage, à tort, sur la descendance d’Isaac (son deuxième fils, et fils de la promesse que Dieu fit au Patriarche Abraham). Cependant, Abraham eut un autre fils Ismaël (son premier-né qu’il eût avec sa servante Agar) et sa descendance que sont les Arabes, eux aussi descendants d’Abraham, et donc des Sémites comme les Juifs. Telle est, sur le plan historique, la réalité et la portée du mot Sémite.

     Passons maintenant au mot « Juif » pour voir ce qu’il recoupe sous cet unique vocable. Ce mot a trois sens : un sens racial, un sens lié à la nationalité et un sens religieux.

     Pour ne pas faire trop long, cet article n’abordera que la race et la nationalité, réservant la religion pour un prochain article.

LA RACE JUIVE :

     Le sens racial, lorsqu’il n’est pas divinisé, est moralement indifférent. Ce fut la race de Notre-Seigneur et de sa Sainte Mère, des colonnes de l’Eglise que furent Saint Pierre et Saint Paul, de certains Apôtres et, beaucoup moins glorieux, des grands prêtres Anne et Caïphe, de Karl Marx, de Trotsky, de Rothschild, etc. L’aspect racial du mot « antisémitisme » des nazis a été fermement stigmatisé par le Pape Pie XI :

« Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’Etat, ou la forme de l’Etat, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine – toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable - quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créés et ordonnées par Dieu : est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la vie répondant à cette foi. » (Encyclique « Mit Brennender Sorge » sur le nazisme, du 14 mars 1937). La date de cette Encyclique mettait déjà en garde.

LA NATIONALITE JUIVE :

     Ce sens est généralement complétement occulté. Pourquoi ? Parce que de nos jours, il est difficile pour les gens de concevoir une nation sans territoire, sans frontières et sans une organisation politique visible (ce n’est plus le cas depuis 70 ans). Est-ce à dire que les Juifs ne sont une nation que depuis 1948 ? Ce serait une grave erreur de le penser, et se disposer à ne rien comprendre à la marche des événements politiques, sociaux et mondiaux, aux comportements et à la duplicité juive au sein des nations. En effet, au sein même de ces peuples qui les ont accueillis, ils ont toujours été une nation obéissant aux ordres d’un gouvernement occulte connu sous le nom de Kahal. C’est compréhensible car le judaïsme rabbinique ou modernisé - pratiqué par des Juifs orthodoxes et talmudistes, ou par des Juifs modernistes ou progressistes – a toujours été le dernier refuge qui a permis à la nationalité juive de subsister, lui évitant de s’assimiler aux nations hôtes. En effet, par le génie financier dont ils font preuve et la puissance de l’or dont ils sont les maîtres, les Juifs ont toujours été un Etat dans l’Etat, au sein des royaumes ou des Républiques. Nous avons deux preuves de l’existence d’un gouvernement occulte : la Bible et un document juif.

LA BIBLE :

     Elle affirme : « Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Proverbes XI, 14 - Vulgate). Ce texte inspiré affirme donc qu’un peuple ne peut que disparaître s’il n’a personne pour le gouverner. Or, deux mille ans après sa dispersion, le peuple juif est toujours présent, alors que bien des peuples de l’antiquité ont disparu. Il ne s’est assimilé à aucun peuple non-juif.

DOCUMENT JUIF

     Cette seconde preuve consiste en un échange de lettres entre les Juifs d’Arles et ceux de Constantinople, daté de 1489. Ainsi, depuis l’an 70 les Juifs n’ont jamais cessé d’avoir un gouvernement auquel ils se sont toujours référés pour connaître la conduite à tenir au sein des nations.

     On suit la trace de ce Sanhédrin suprême appelé aussi Princes juifs de la Captivité - ou gouvernement juif - à Jabné jusqu’à la révolte et la défaite de Shimon Bar-Kokhba, en 135 après Jésus-Christ et, après sa dispersion, sa reconstitution à Tibériade. Depuis 429, il s’est transporté à Babylone jusqu’en 1005 sous le nom de Princes de l’Exil. A cette date, les Califes d’Orient s’effrayèrent de la puissance de ces Princes juifs et les persécutèrent, les obligeant à fuir vers l’Arabie et l’Occident. Ceci montre que jusqu’à cette date de 1005 ils avaient bien un centre de commandement auquel les Juifs étaient soumis. Le document juif, ci-dessous, atteste qu’il n’a jamais cessé de fonctionner, puisque les Juifs d’Arles savaient où s’adresser 484 ans plus tard (à Constantinople en 1489) même si sa trace historique était perdue de 1005 à 1489.

LETTRE DES JUIFS D’ARLES A CEUX DE CONSTANTINOPLE

« Honorables juifs, salut et grâce. Vous devez savoir que le roi de France, qui est le nouveau maître du pays de Provence, nous a obligés par cri public de nous faire chrétiens ou de quitter son territoire. Et ceux d’Arles, d’Aix et de Marseille veulent prendre nos biens, menacent nos vies, ruines nos synagogues et nous causent beaucoup d’ennuis ; ce qui nous rend incertains de ce que nous devons faire pour la loi de Moïse. Voilà pourquoi nous vous prions de vouloir sagement nous mander ce que nous devons faire (Chamor, Rabbin des Juifs d’Arles, le 13 de Sabath 1489.) » (2)

REPONSE DES JUIFS DE CONSTANTINOPLE A CEUX D’ARLES ET DE PROVENCE

     Placés devant l’alternative de se convertir au catholicisme ou de fuir à l’étranger, le gouvernement occulte juif appelle les Juifs à la simulation, en réponse à la Lettre du 13 de Sabath, 1489 au rabbin Chamor, d’Arles (France) nous lisant :

« Bien-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre lettre dans laquelle vous nous faites connaître les anxiétés et les infortunes que vous endurez. Nous en avons été pénétrés d’une aussi grande peine que vous-mêmes. L’avis des grands Satrapes et Rabbins est le suivant :

« A ce que vous dîtes que le roi de France vous oblige à vous faire chrétiens : faites-le, puisque vous ne pouvez faire autrement ; mais que la loi de Moïse se conserve dans votre cœur. »

« A ce que vous dites qu’on commande de vous dépouiller de vos biens : Faites vos enfants marchands, afin que, peu à peu, ils dépouillent les chrétiens des leurs. »

« A ce que vous dîtes qu’on attente à vos vies : faites vos enfants médecins et apothicaires afin qu’ils ôtent aux chrétiens leurs vies. »

« A ce que vous dîtes qu’ils détruisent vos synagogues : faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. »

« A ce que vous dîtes qu’on vous fait d’autres vexations : faites-en sorte que vos enfants soient avocats et notaires, et que toujours ils se mêlent des affaires des Etats, afin que, en mettant les chrétiens sous votre joug, vous dominiez le monde et vous puissiez vous venger d’eux.

« Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous donnons, parce que vous verrez par expérience que d’abaissés que vous êtes aujourd’hui, vous arriverez au faîte de la puissance. » Cette lettre est signée (V.S.S.V.F.F., prince des Juifs de Constantinople, le 21 de Casleu, 21 novembre 1489) (3)

     Par ces propos, nous sommes loin de l’esprit de Moïse et de la religion mosaïque à l’égard des étrangers ou de ceux qui sont dans l’obligation de vivre dans un pays qui n’est pas le leur (le ger, en hébreu). Mais, sous sommes bien en phase avec l’esprit de l’enseignement rabbinique et diabolique du Talmud. Ces conseils du prince des Juifs de Constantinople vérifient amplement les paroles du Christ « Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père » (St Jean VIII, 44)

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini


(1) Source Wikipédia

(2 et 3) Pour un peu plus ici :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-gouvernement-occulte-disrael-1-la.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-2-les.html

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