Image montrant jusqu’où la haine et l’imbécillité humaines peuvent descendre : jusqu’à s’attaquer aux morts en profanant leurs sépultures.ANTISEMITISME, QU’EST-CE A
DIRE ?
Définition d’un mot qui, au fil du temps, se charge de plus en plus de
restrictions envers une catégorie de sémites :
LAROUSSE 1984
- Doctrine ou attitude d’hostilité systématique
à l’égard des Juifs
WIKIPEDIA (un des gendarmes de la pensée unique)
« L’antisémitisme est
le nom donné de nos jours à la discrimination et
à l'hostilité manifestée à l'encontre des Juifs en tant que groupe ethnique,
religieux ou racial.
Il s'agit, dans son acception originelle telle que formulée
vers la fin du XIXe siècle, d'une forme de racisme se voulant
scientifique, dirigée spécifiquement contre les Juifs (et non contre les
peuples sémites, groupe linguistique)
Le terme est le plus souvent utilisé aujourd'hui pour qualifier
tous les actes d’hostilité
anti-juive, que
leurs fondements soient raciaux ou non.
Les motifs et mises en pratique de l'antisémitisme incluent divers
préjugés, des allégations des mesures discriminatoires
ou d’exclusion
socio-économique, des expulsions,
voire des massacres
d’individus ou de
communautés entières. » (C’est moi qui mets en italique dans
le texte) »
Reprenons les mots utilisés (hostilité, préjugés, allégations, mesures
discriminatoires) et réglant définitivement son sort à « massacres
d’individus ou de communautés » qui sont aux antipodes des principes de
l’enseignement du christianisme, qu’elle que soit l’ethnie, la religion ou la
race envers lesquels ils se pratiquent.
HOSTILITE anti-juive raciale ou non : pris dans le
sens de haine c’est inacceptable.
Hostilité
hors référence ethnique et raciale, mais dans le sens d’opposition religieuse :
c’est légitime, car toutes les religions ne se valent pas - non seulement sur
le plan doctrinal, mais aussi sur celui des enseignements moraux tels que
dispensés par les écrits utilisés pour la formation de leurs adeptes - pas plus
que les systèmes politiques malgré les exhortations des promoteurs et les
inconditionnels drogués du suffrage universel vous disant d’aller voter !
Peu importe pour qui vous voter (Ô combien on les comprend puisqu’il faut faire
tourner la machine à faire conserver le pouvoir au sérail présélectionné et mis
en avant par les media). Alors, peu importe pour qui vous irez voter les
tireurs de ficelles les ont déjà jaugés !
PREJUGES : c’est-à-dire ce qui relève d’un jugement porté
sur les Juifs. La vraie question sera : ce jugement est-il fondé ou
pas ? Des faits concrets viennent-ils corroborer ce jugement. Si tel est
le cas il n’y a pas de préjugés antisémites, mais la simple exposition de la
vérité. Elle peut déplaire, mais cela n’a rien à voir avec des préjugés.
ALLEGATIONS : s’il
ne s’agit pas de faits concrets.
DISCRIMINER : c’est établir une différence entre des
personnes ou des choses en se fondant sur
des critères distinctifs. (Larousse)
Discriminer est parfaitement biblique et évangélique car lors de la venue du
Fils de Dieu sur la terre, le message que Dieu fait porter aux hommes par ses
anges est le suivant : « Paix aux hommes de bonne volonté ! »
Ce message est éminemment discriminant car il distingue deux catégories de
personnes : ceux à
qui Dieu promet la paix (celle de Dieu qui n’est pas celle
donnée par le monde) « aux hommes de bonne volonté » et par
la distinction qu’opère ce message ceux, à qui elle sera refusée. A moins de
considérer, depuis ces paroles jusqu’à nos jours, que tous les hommes furent de
« bonne volonté » dans ce cas oublions tous les massacres et les
horreurs.
Saint Paul s’exprimant sur l’importance pour les circoncis et les incirconcis
d’être une nouvelle
création en Christ déclare : « Tous
ceux qui suivront cette règle, que la paix et la miséricorde soit sur eux, et
sur l’Israël de Dieu. » (Galates VI, 16) discriminant par ses
paroles ceux qui se verront refuser cette paix et cette miséricorde.
-
Discriminer
est un mot récent dans la langue française (1870). C’est le fondement même de
l’intelligence que Dieu nous a donnée, car c’est la faculté de discerner, de
distinguer et ensuite d’opérer un choix. C’est donc une absurdité d’interdire
la discrimination lorsqu’elle s’opère selon sa signification et sa fonction.
Ceci étant, puisque discriminer c’est faire appel à l’intelligence, dans
l’application faite aux Juifs dans le cadre de l’antisémitisme, il faut
considérer :
-
Discriminer les
Juifs pour appartenance à un groupe ethnique ou racial est stupide car
personne, ici-bas, ne choisit son ethnie ou sa race, pas plus que son père et
sa mère.
Discriminer les
pratiques morales de la religion juive avec leurs incidences dans la vie
économique, sociale et politique, si elles ne sont pas compatibles avec celles
de la civilisation (1)
dans laquelle ils vivent, ou veulent s’insérer, est parfaitement légitime. De
même pour l’expulsion si
entêtement à contrevenir aux lois qui régissent ladite civilisation. On doit se
faire respecter chez soi, ce que savaient faire nos ancêtres, et ne sont plus
capables de faire les efféminés et les permissifs qui nous dirigent, allant
jusqu’à confier, dans leurs délires mondialistes, les clefs de la souveraineté
monétaire et frontalière de la maison France, à des entités étrangères, et à se
montrer laxiste envers ceux qui haïssent et insultent la France tout en créant des
zones de non-droit qui fabriquent les drames d’aujourd’hui et préparent ceux de
demain, avec l’aide d’incompétents, de naïfs, d’odieux complices ou de
traîtres.
Discriminer
c’est ce que nous faisons sans arrêt : entre le brigand et l’honnête
homme, la justice et l’injustice, le vertueux et le vicieux, le policier
consciencieux et le ripoux, le bon médecin et le charlatan, le bon remède et la
potion magique, la femme vertueuse et la prostituée, etc. Nous discriminons dès
que nous utilisons le verbe « être » qui est un verbe d’état :
il est, ou n’est pas, ceci ou cela. Pensez au nombre de fois que vous
l’utilisez dans une journée.
Les
partis politiques de gauche comme de droite se discriminent réciproquement et
allègrement. Faut-il les traduire en justice ? Dans ce cas plus personne à
l’Elysée et à l’Assemblée Nationale : tous devant les tribunaux ? Les
journalistes ne discriminent-ils pas, et parfois outrageusement, dans le choix
des informations qu’ils diffuseront ? Dans les questions qu’ils posent
selon les personnes et leurs conceptions politiques ? : tous devant
les tribunaux ?
La question qu’il faut se poser à cet égard est : la discrimination
est-elle fondée ou pas ? Sous quel aspect est-elle pratiquée et les faits
la légitime-t-elle ? Imposer la non-discrimination parce qu’il s’agit de faire
plaisir aux Juifs, ou sur leur pression, en dehors de tout questionnement sur
ce qui est discriminé relèverait d’un parti-pris systématique. Elle
apparaîtrait comme une muselière pour ceux qui s’efforceraient de montrer un
visage beaucoup moins doloriste et orienté que celui présenté habituellement,
et à satiété par les média, la littérature et le cinéma. Un tel procédé serait
d’une grande malhonnêteté intellectuelle tant sur le plan historique que
politique, et rendrait manifeste un désir de cacher qui discréditerait ceux qui
useraient ou se feraient complice de cette pratique. Elle justifierait et
légitimerait dans l’opinion publique la question suivante : Qu’avez-vous
donc à dissimuler pour agir d’une façon aussi brutale et dictatoriale ?
Faire de la discrimination fondée un délit, relèverait de l’imbécillité la plus
crasse qui soit, et manifesterait l’esprit tordu, voire satanique, de ceux qui
le proposeraient. Cela suffit de s’agenouiller, de se tortiller, devant tous
ceux qui, depuis des siècles, haïssent la France et conspirent contre sa
civilisation chrétienne ! En agissant ainsi, ce n’est pas seulement la
France qui est attaquée, mais c’est aussi le Christ que l’on blasphème et déshonore
car c’est de Lui qu’elle s’est abreuvée et a été façonnée. La haine il faudra
la chercher là où elle est vraiment et non là où vous la supposez
tendancieusement et arbitrairement. Pour cela, il suffira d’interroger
honnêtement les faits et l’histoire, et non ceux qui curieusement, parmi les
organismes accrédités, ne voient jamais les discriminations antichrétiennes et
antifrançaises. Faut quand même ouvrir ses yeux, et ne pas prendre tout le
monde pour des imbéciles, même si la dés-éducation nationale, les média et la
publicité s’en chargent bien !
Ceux qui posent ce principe de non-discrimination, se rendent-ils compte qu’ils
paralysent l’intelligence dans son acte de discerner, de distinguer et de
réagir aux circonstances auxquelles elle est confrontée et les choix à
faire ? Paralyser l’intelligence n’est-il pas le procédé des dictatures et
de celles qui se mettent en place ?
Question subsidiaire : Selon la Table des nations (Genèse X, 1-2) qu’en
est-il des hostilités, des préjugés, des allégations, des discriminations, des
propos outrageants d’anti-japhetisme tenus contre la lignée européenne de
Japhet (Fils de Noé) par son fils Gomer duquel sont issus (les Francs, les Celtes,
les Germains, etc.) par ceux des lignées sémitiques (dont les Juifs) et
chamitiques ?
(A suivre… « Antisémitisme
et Juif, qu’est-ce à dire ? - 2 »…si
Dieu veut)
René
Pellegrini
(1)
Civilisation à distinguer du régime politique qui n’est qu’un moment dans
l’histoire de cette civilisation. En France, la civilisation est chrétienne de
pensée et de mœurs. Quoi qu’en disent les agités, les comploteurs et les
révolutionnaires de tous bords, c’est à ses racines et sa vocation chrétiennes
que la France retournera, après avoir payé le tribut de ses infidélités et de
ses iniquités, par les drames et les malheurs suscités par ses ennemis
intérieurs et extérieurs pour tenter de la dissoudre dans le cosmopolitisme et
le mondialisme culturel et religieux.