LE GOUVERNEMENT OCCULTE D’ISRAEL - 2
LES FRUITS AMERS DE
LA KABBALE DANS L’HISTOIRE
« Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Vulgate)
« Faute de direction un peuple succombe » (Bible de Jérusalem)
« Faute de politique un peuple tombe »
(Traduction œcuménique de la Bible : TOB)
Avant de passer aux preuves d’un gouvernement
occulte d’Israël, comme annoncé précédemment, un petit rappel de quelques
œuvres de la Kabbale dans l’histoire des nations. A la lecture de cet article,
certains esprits tordus pourraient le considérer comme voulant nuire aux Juifs,
mais tel n’est pas mon but de les mettre tous dans le même sac, même si
celui-ci est grand. Sont surtout visés ceux qui s’empressent de déclarer faux (1)
tout ce qui leur est défavorable, ou jette une lumière trop crue sur leurs
propres agissements : en clair, ceux qui savent de quoi il retourne et ce
à quoi ils n’ont cessé de travailler religieusement ou politiquement, au cours
de l’histoire, et auquel il continue d’y travailler encore aujourd’hui. De
même, certains « idiots utiles », par conviction ou par intérêt,
prenant le parti de les défendre à tous prix, quoi qu’ils aient pu faire au
cours de l’histoire, et même en s’arrangeant avec elle.
On conviendra tout de même qu’il est difficile de
suivre ceux et celles qui prétendraient qu’en qualité de race élue et
supérieure, ils seraient la pureté et l’exemplarité même et, après vingt
siècles d’enseignements rabbiniques et pharisaïques, en secret ou à ciel
ouvert, qu’ils fussent de grands bienfaiteurs de l’humanité depuis l’iniquité
de leurs Pères au premier siècle, la poursuite séculaire de leurs enseignements
et les fruits de leur application. Par exemple, l’émergence par des fils
d’Israël de systèmes politiques comme le communisme bolchevique avec ses
massacres, goulags et asiles psychiatriques, ou le façonnage d’homme politique
comme Hitler par la Kabbale. Pour sa part, Saint Paul, (2) un des leurs,
avant sa conversion au Christ, est d’un tout autre avis, ne dit-il pas aux
chrétiens de Thessalonique :
« Car frères, vous êtes devenus les
imitateurs des églises de Dieu, qui, en Judée, sont à Jésus-Christ,
puisque vous avez souffert, vous aussi, de la part de vos
concitoyens, les mêmes choses qu’elles ont souffertes aussi de la part des Juifs,
qui ont tué même le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont persécuté
à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et qui
sont les ennemis de tous les hommes ; nous empêchant de parler aux
gentils pour qu’ils soient sauvés, afin de combler en tout
temps la mesure de leurs péchés ; car la colère de Dieu est
arrivée sur eux définitivement.» (I
Thessaloniciens II, 14-16)
A-t-il tort de parler ainsi ? A-t-il exagéré
en tenant ces propos de mise en garde ? La réponse est non, si nous
laissons parler l’histoire religieuse et profane, où nous les voyons
inspirateurs ou acteurs principaux des premières persécutions antichrétiennes,
maîtres d’œuvres de la mise en place de mouvements sectaires, de sociétés
secrètes et de systèmes idéologiques tels que : libéralisme, socialisme,
communisme et mondialisme qui généreront des révolutions politiques et sociales
qui ont secoué, meurtri et ensanglanté l’humanité et permis le façonnage, du
faux ''catholique'' mais authentique païen que fut Hitler, par la Kabbale. Tous
ces groupements ou idéologies voués à un même but : combattre et détruire,
si possible, l’Eglise catholique mais aussi le christianisme et
donc, des moyens d’accès au salut qu’ils procurent. Par ses paroles placées
dans la perspective du salut et les implications qu’il a dans le temporel sur
les comportements devant favoriser le beau, le vrai, la pureté, la sainteté et
le bien commun, il n’exagère pas en disant : « ils sont les ennemis de tous les hommes »
Mais il y a plus que la mise en garde de l’Apôtre.
Il y a ces paroles sans équivoque de Notre-Seigneur.
« Malheur à vous, scribes et pharisiens
hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un prosélyte,
et, après qu’il est devenu, vous faites de lui un fils de la géhenne
deux fois pire que vous. » (St Matthieu XXIII, 15)
Jésus met en garde contre l’extrême dangerosité
pour la foi, de l’enseignement de la secte pharisienne. N’oubliant pas que
depuis Le Christ les rabbins ont été nourris, et se font les continuateurs, des
enseignements kabbalistes et talmudistes des pharisiens stigmatisés par Jésus
de « hypocrites, sépulcres blanchis, serpents
et race de vipères » (Versets 13-33) et, comme conséquences
pour la foi chrétienne de ces doctrines, le risque de devenir « un fils de la géhenne deux fois pire qu’eux » pour
les deux sortes de prosélytes reconnus par le judaïsme rabbinique : ceux
par conversion ou ceux restant sur le seuil. Il est patent que tous ceux qui se
nourrissent de Kabbale ou de Talmud – avec un peu d’expérience, on les repère
facilement - et finissent par devenir des ennemis du catholicisme
traditionnel ou du christianisme en s’agrégeant à des sectes politiques, religieuses
ou philosophiques.
Si, en tant que chrétiens, nous récusons ces
propos de Saint Paul et du Christ, nous signifiant ne pas croire que
l’inerrance biblique – Ancien et Nouveau Testament - soit une réalité. Dans ce
cas, nous ne sommes plus que des consommateurs à la carte d’Evangiles et
d’épîtres. Si, pour nous, « Toute Ecriture
divinement inspirée est utile pour enseigner, pour reprendre, pour corriger,
pour instruire dans la justice (…) » (II Timothée III, 16) alors il nous
faut prendre en considération ces avertissements et, de plus, conclure que les
paroles de l’Apôtre et de Jésus-Christ ne sont pas très
œcuméniques ! A méditer, pour la protection de l’intégrité de sa foi,
par tous les friands d’œcuménisme et les adeptes imprudents des Amitiés
judéo-chrétiennes qu’il faut plutôt appeler Amitiés pharisaïco-chrétiennes,
puisque le judaïsme actuel, se plaçant au-dessus de Moïse, n’a rien à voir avec
la religion de Moïse et des prophètes, mais avec celle revue et corrigée par le
pharisaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique.
On peut y ajouter, parmi d’autres, le témoignage
de deux membres de la nation juive (Darmesteter et Lazare) (3)
confirmant, après ces faits bibliques, la véracité des paroles de Saint Paul et
de Jésus, en éclairant l’œuvre inique de leurs doctrines sur le plan
philosophique et moral, en haine du catholicisme, dont les conséquences
expliquent les vrais motifs des soubresauts de l’histoire politique et
religieuse autres que ceux fabriqués et mis en évidence par les manuels
scolaires et universitaires officiels. En même temps, ils ne font que confirmer
ce que l’on savait déjà sur l’origine des influences kabbalistes et talmudiques
permettant l’éclosion du protestantisme et de la kyrielle de sectes qui en sont
issues, et celles de la Renaissance, du rationalisme et de la Révolution de
1789. Ennemis du Christ et de son règne sur les âmes et les sociétés, on
comprend leur désir de travailler et d’inciter à la destruction d’un ordre
social fondé sur ses enseignements.
James DARMESTETER (1849-1894) : Orientaliste et
professeur au Collège de France.
« Le Juif est le docteur de
l’incrédule. Tous les révoltés de l’esprit viennent à lui dans
l’ombre ou à ciel ouvert. Il est à l’œuvre dans l’immense atelier de blasphèmes
du grand empereur Frédéric et des princes de Souabe ou d’Aragon. C’est lui qui
forge tout un arsenal meurtrier de raisonnements et d’ironie qu’il léguera aux
sceptiques de la Renaissance, aux libertins du Grand Siècle. Tel sarcasme de
Voltaire n’est que le dernier et retentissant écho du mot murmuré six siècles
auparavant dans l’ombre du Ghetto. » (In
Coup d’œil sur l’histoire du peuple juif, 1881)
Bernard LAZARE (1865-1903) : Critique
littéraire et journaliste politique
« Pendant les années qui annoncent la
Réforme, le Juif devint éducateur et enseigna l’hébreu aux
savants, il les initie aux mystères de la Cabbale, après leur avoir ouvert les
portes de la philosophie arabe ; il les munit, contre le
catholicisme, de la redoutable exégèse que les rabbins avaient, durant des
siècles, cultivée et fortifiée ; cette exégèse dont saura se servir le
Protestantisme, et plus tard le Rationalisme. » (In
l’Antisémitisme. Son histoire et ses causes, Edition de 1894)
Ils font sourire ceux qui se proclament athées, irréligieux
ou rationalistes, si on considère qui est leur véritable éducateur « Le Juif docteur de l’incrédule » et leur
véritable terreau formateur et idéologique « les mystères de la Kabbale » sur
lesquels s’appuient les fondements révolutionnaires et antichrétiens des
théories qui les animent. Se croire athée, irréligieux et rationaliste après
avoir inhalé – en connaissance de cause ou par ignorance - les chimères
ésotériques et mystiques des « mystères de la
Kabbale » est proprement risible. Kabbale
païenne véhiculant un faux judaïsme pharisaïque et rabbinique dont les ouailles
juives, elles-mêmes, sont les victimes.
(à suivre, si Dieu veut)
René Pellegrini
(1) Par exemple, la panoplie habituelle et usée de l’anti-complotisme
: Faux, antisémite, raciste, théorie du complot, ce sont les maîtres-mots de
tous ceux qui ne voulant pas affronter l’histoire et les faits, s’appuient sur
les serviteurs zélés de la politique et des média pour jeter le discrédit,
voire imposer le silence avec menaces. Combien, encore, tomberont dans ce
panneau diabolique et pour combien de temps encore ? Ce qui est sûr,
comme dit l’aphorisme : on peut tromper tout le monde un certain temps et
quelques-uns tout le temps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps.
(2 et 3) Iront-ils jusqu’à les classer parmi les
adeptes de la théorie du complot et antisémite de surcroît ?