Des philosophes du siècle appelé pompeusement siècle des ‘’Lumières’’, préparant dans leurs salons littéraires, les faux principes révolutionnaires antichrétiens, qui établiront des institutions démocratiques et républicaines antichrétiennes d’inspiration luciférienne, avec mise en place d’un personnel dirigeant en phase avec ces institutions et l’inspiration qui les anime. Ces faux principes et institutions qui ébranleront le monde par la Révolution dite française.
EXCELLENCE DE LA PHILOSOPHIE CHRETIENNE - 3
QU’EST-CE
QUE LA PHILOSOPHIE ?
La philosophie est un effort de
la raison humaine pour l’étude des principes des choses et des êtres,
de la place de l’homme dans l’univers et pour pénétrer plus
profondément et abstraitement que ne les font les sciences expérimentales (2),
les secrets que renferment la nature et leur incidence sur la vie
humaine, afin de pouvoir donner une réponse aux questions de la destinée
humaine et de l’existence de Dieu. La recherche de la vérité suprême est
(ou devrait être) la raison d’être de toute vraie démarche philosophique.
- Elle a pour
matière le fait d’être, d’exister, l’existence de tout ce
qui est.
- Elle
veut saisir l’être, non dans ses manières d’être ou ses
manifestations comme le font les sciences positives, mais au-delà de
ces manières d’être.
- Elle est, par
son attachement à l’étude de l’être en tant qu’être, un exercice
préparatoire à la sagesse suprême.
Pour leur part,
les sciences positives s’attachent aux caractères, aux manifestations d’un être
et elles les analysent. Par exemple, les mathématiques s’intéressent à extraire
de cet être la quantité. La physique ce qui est relatif
au mouvement de cet être. La biologie ce qui, dans cet être,
relève de la vie, etc. Chacune de ces sciences séparées s’intéressant à un aspect
particulier de cet être (quantité, mouvement, vie, etc.)
Chacune de ces
disciplines positives à sa matière propre et ses règles spécifiques qui la
déterminent. Mais aucune de ces sciences n’atteint l’être
en tant qu’être, ni les principes ou les causes de cet être.
CONSEQUENCES
D’UNE FAUSSE PHILOSOPHIE
La Renaissance ressuscitera dans la chrétienté
le paganisme dont les effluves prépareront, avec l’appui de la
Réforme protestante, le siècle dit des ‘’Lumières’’ qui verra les conjurés
littéraires appeler faussement philosophie le fruit des lumières de la seule
raison, en refusant par orgueil l’apport de la révélation divine.
La nature ayant
horreur du vide, ce rejet de la révélation divine ouvrira l’ère de la déraison
et de l’égarement, en s’attelant à des reconstructions philosophiques
imaginaires puisant leurs racines dans des théories humaines,
politiques et sociales issues du paganisme et de la Kabbale.
Propagation de fausses philosophies auxquelles
participeront les faux philosophes et sophistes que furent Descartes,
Montaigne, Kant, Hegel qui, en introduisant le doute systématique (Descartes),
le scepticisme (Montaigne), l’idéalisme (Kant) ou la phénoménologie (Hegel),
feront germer la panacée universelle des Droits de l’homme ''charitablement''
planifiés et appliqués avec la guillotine des ''bienfaiteurs'' de l’humanité
que furent les très civilisés coupeurs de têtes de 1789, les terroristes
républicains sanguinaires de 1793, massacreurs d’enfants, de femmes et de
vieillards. Tout ça, parce que les ''Grands Ancêtres'', dont la Révolution se
glorifient, sans vergogne, chaque 14 juillet, étaient, ça va de soi, bien
meilleurs, après de tels exploits fondateurs, que ceux de cette époque
qualifiée, sans rire ''d’âge des ténèbres''
Comportement inhumain et sanguinaire qui ne fera que révéler, par l’exportation des guerres révolutionnaires napoléoniennes, les révolutions et guerres européennes incessantes qui suivirent, le désordre intellectuel et mental dans lequel a sombré l’intelligence nourrie des faux principes révolutionnaires de cette époque funeste et nauséabonde annonciatrice, par ses fondamentaux erronés, d’une lente et inexorable décadence. Désordres que n’arrangera pas, mais qu’accentuera le système ''éducatif'' laïc mis en place, et qui produit, en en remettant une couche aujourd’hui, après des décennies et des décennies ininterrompues d’attaques contre l’éducation et la morale chrétiennes, la moisson amplement méritée de ses fruits amers que nous sommes en train de consommer jusqu’à l’expiation de nos blasphèmes et de nos sacrilèges répétitifs.
Quant à ceux
qui ne savent plus quoi faire, ni où aller, qu’ils prennent, sans tarder, le
chemin du retour vers Dieu par la repentance, en
abandonnant le péché. Il n’y plus d’autre alternative ! A moins d’être
sans aucun discernement, un doux rêveur ou un naïf invétéré, il n’y a plus rien
à attendre des différentes potiches politiques filtrées, poussées en avant et
présentées à l’électeur, lors des grands scrutins électoraux, par le système
révolutionnaire aux ordres de l’étranger et piloté par les Francs-Maçons et les
Juifs apatrides. Inutile de rêver ! La France laïcisée ne produit plus, de
l’extrême gauche à l’extrême droite, lorsqu’ils ne sont pas traîtres à leur
propre patrie, que des démolisseurs enragés de ce qu’elle a patiemment bâti
pendant treize siècles (496-1789) en s’appuyant sur sa foi catholique.
Désormais, la
France et l’Eglise ne se relèveront, selon de nombreuses prophéties de saints,
que par la restauration monarchique avec un roi selon le cœur de Dieu et un
saint Pape. Prions pour que Dieu hâte ce jour béni.
(A suivre…« Origine du mot philosophie »…si Dieu veut)
René Pellegrini
(1) Dans l’ordre de la connaissance il y a trois degrés d’abstraction : les sciences expérimentales qui appartiennent au premier degré d’abstraction ; les mathématiques au deuxième ; la métaphysique au troisième.
(A
suivre…« Origine du mot philosophie »…si Dieu veut)
René Pellegrini
(1) Dans l’ordre de la connaissance il y a trois
degrés d’abstraction : les sciences expérimentales qui appartiennent au
premier degré d’abstraction ; les mathématiques au deuxième ; la
métaphysique au troisième.