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dimanche 25 décembre 2022

La conjuration antichrétienne - 7 : Les deux civilisations - 7

Le sermon sur la montagne

LA CONJURATION ANTICHRETIENNE – 7 (PRET)

 

CHAPITRE I

LES DEUX CIVILISATIONS – 7

CHERCHEZ D’ABORD LE ROYAUME DE DIEU ET SA LUSTICE

 

     Notre-Seigneur n’avait-il pas dit lui-même :

« Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, le reste vous serez donné par surcroit.(2

     Ce n’était point-là une promesse d’ordre surnaturel, mais l’annonce des conséquences qui devaient sortir logiquement de la nouvelle orientation donnée au genre humain.

     De fait, ne voit-on pas que l’esprit de pauvreté et la pureté du cœur dominent les passions, sources de toutes les tortures de l’âme et de tous les troubles sociaux. La mansuétude, la pacification et la miséricorde produisent la concorde, font régner la paix entre les citoyens et dans la cité. L’amour de la justice, même traversé par la persécution et la souffrance, élève l’âme, ennoblit le cœur et lui procure les plus saines jouissances ; en même temps il élève le niveau moral de la société.

     Quelle société que celle où les Béatitudes évangéliques seraient placées sous les yeux de tous, comme but à poursuivre, et où seraient offerts à tous les moyens d’atteindre à la perfection et à la béatitude marquée par le sermon sur la montagne :

     Heureux ceux qui ont l’esprit de pauvreté !

     Heureux ceux qui sont doux !

     Heureux ceux qui pleurent !

     Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice !

     Heureux ceux qui sont miséricordieux !

     Heureux ceux qui ont le cœur pur !

     Heureux les pacifiques !

     Heureux ceux qui souffrent persécution pour la justice !

     L’ascension, je ne dirai point des âmes saintes, mais des nations, eut son point culminant au XIIIe siècle. Saint François d’Assise et saint Dominique, avec leurs disciples saint Louis de France et sainte Elisabeth de Hongrie, accompagnés et suivis de tant d’autres, maintinrent quelque temps le niveau qui avait été atteint par l’émulation qu’avaient excitée dans les âmes les exemples de détachement des choses de ce monde, de charité pour le prochain et d’amour de Dieu qu’avaient donnés tant d’autres saints. Mais tandis que ces nobles âmes atteignaient les plus hauts sommets de la sainteté, beaucoup d’autres se refroidissaient dans leur élan vers Dieu ; et vers la fin du XIVe siècle, se manifesta ouvertement le mouvement de recul qui emporta la société et qui a amené la situation actuelle, c’est-à-dire le triomphe prochain, le règne imminent du socialisme, terme obligé de la civilisation moderne. Car tandis que la civilisation chrétienne élevait les âmes et tendait à donner aux peuples la paix sociale et la prospérité même temporelle, le levain de la civilisation païenne, tend à produire ses derniers effets ; la poursuite par tous de toutes les jouissances, la guerre, pour se les procurer, d’homme à homme, de classe à classe, de peuple à peuple ; guerre qui ne pourrait se terminer que par l’anéantissement du genre humain.  

(A suivre…si Dieu veut)

 Mgr Henri Delassus (1836-1921)

 (2) Saint Matthieu VI,33

René Pellegrini

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vendredi 23 décembre 2022

Judaïsme talmudique - 1 : Ennemis de tous les hommes


JUDAISME TALMUDIQUE - 1

 

ENNEMIS DE TOUS LES HOMMES

 

« Car, frères, vous êtes devenus les imitateurs des Eglises de Dieu, qui, en Judée, sont à Jésus-Christ, puisque vous avez souffert, vous aussi, de la part de vos concitoyens, les mêmes choses qu’elles ont souffertes aussi de la part des Juifsqui ont même tué le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont persécutés à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes»

 (I Thessaloniciens II, 14-15)

 

     Paroles sans équivoque de Saint Paul sur l’esprit qui anime les Juifs influencés par l’enseignement antichrist des pharisiens depuis l’origine du christianisme. Cette haine meurtrière contre Jésus et ses disciples s’est poursuivie, dans le cours de l’histoire, sous la conduite du faux judaïsme des rabbins nourris de traditions pharisiennes, lesquelles sont consignées dans le Talmud. Ils continuèrent, à travers les siècles, l’œuvre de calomnies contre le Christ et sa Sainte Mère, et de persécutions contre les chrétiens.

 

     Ces paroles de Saint Paul disqualifient l’attitude complaisante, voire justificatrice d’un certain clergé et de bon nombre de laïcs catholiques bisounours, envers les ennemis séculaires de l’Eglise, mais, griffes acérées, voire mépris, contre ceux qui refusent ce faux dialogue œcuménique, destructeur avéré de la foi catholique traditionnelle. Ces paroissiens qui, pour complaire, se contorsionnent en tous sens pour tenter de disculper les Juifs du meurtre de Jésus-Christ, au mépris des textes inspirés affirmant et désignant, sous la garantie du Saint-Esprit, les vrais coupables de ce meurtre et, compte tenu de la nature et de la dignité de la Personne mise à mort, ce qui constitue, non seulement un déicide, mais aussi un crime contre l’humanité commis en sa personne la plus parfaite et la plus représentative. Que les Juifs soient responsables, Saint Pierre ne dira pas autre chose :

 

« Que toute la maison d’Israël sache donc très certainement que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » (Actes II, 36 ; IV, 10)

 

     Ainsi, le texte inspiré, par un double témoignage, celui de l’Apôtre des nations, et celui du premier Pape, Saint Pierre nous présente, sans équivoque possible, les Juifs comme « ennemis de tous les hommes » et responsables « de la crucifixion et du meurtre de Jésus »  Ce sont des paroles fortes, voire dures, mais ce sont celles du Saint-Esprit. Or qu’est-ce qu’un ennemi ? C’est quelqu’un qui cherche à vous nuire, vous veut du mal. Comment le fait-il ? Lui-même, si cela lui est possible, ou selon les circonstances politiques plus ou moins favorables offertes par le lieu, l’espace et le temps. Donc, malheur aux peuples qui finissent par tomber sous sa domination en lui accordant des droits régaliens, car il deviendra votre juge et votre maître sans égard à l’hospitalité que vous lui avez accordé lors de sa déchéance !

 

     La question est donc : Saint Paul et Saint Pierre exagèrent-t-ils ? Serait-ce pure calomnie de leur part ? L’histoire profane et religieuse confirme-t-elle une telle accusation ? Tel sera le but des articles qui constitueront ce sujet.

 

     En écrivant ce texte et ce qui suivra, pour que tout soit bien clair à l’intention des histrions patentés prêts à hurler en chœur, et comme des imbéciles, à l’antisémitisme et au racisme, commençons par dire, cela va de soi mais ça ira mieux en le disant :

 

 1 - Je m’inscris en faux contre ceux qui utiliseraient mes écrits pour inciter à la haine contre les Juifs. Je ne mange pas de ce pain-là ! Je m’en suis déjà expliqué par ailleurs. Le journalisme papier ou télévision ressemblant, de plus en plus, à un métier de prostitués, en étant, d’une part, aux mains de fortunes juives et tributaires des subventions de l’Etat judéo-maçonnique et, d’autre part, soucieux d’assurer la gamelle, ils ne peuvent être que silencieux, complaisants ou laudateurs à leur égard. Agir autrement pointerait vers la porte ou la disette économique. Comme je n’attends rien sur cette question de la presse officielle et des grands média, à part leur soporifique et stupide « Théorie du complot » (1) mon but est de montrer, afin que l’histoire ne soit pas continuellement à charge contre les chrétiens, ce qu’ils ont fait dans la chrétienté comme à l’extérieur, par l’enseignement dispensé par leurs rabbins déicides et leurs successeurs.

 

     Histoire juive qui est loin d’être glorieuse à bien des égards, afin que, faisant leur propre introspection, ils finissent, peut-être, par tirer la conclusion qu’ils ont souvent été, eux-mêmes, ou par les manigances intéressées de leurs élites, les détonateurs des incompréhensions et persécutions subies, étant formatés pendant des siècles religieusement et civilement par des rabbins s’appuyant sur un odieux enseignement talmudique qui érige le vice et le meurtre en vertus, et les applications qu’ils en firent dans leur vie au sein des nations. Des rabbins tout aussi aveugles et hypocrites qu’à l’époque de Jésus-Christ avec comme conséquence pour les Juifs, à terme, d’adorer l’Antéchrist en prenant sa venue pour celle du Christ. Juste châtiment de leur séculaire iniquité. Des rabbins rétrogradés au rang de laïcs, mais qui, aujourd’hui, méritent tout autant que leurs pères spirituels du premier siècle, les apostrophes sévères de Jésus « Serpents, races de vipères. » (St Matthieu XXIII, 33) car, par la judaïsation de l’esprit chrétien consécutive à la propagation de vos enseignements antichrétiens « vous faites de lui un fils de la géhenne deux fois pire que vous » (St Matthieu XXX, 15)

 

     2 -Je m’inscris en faux contre les crétins (Comment les appeler autrement ?) qui n’ont que le mot antisémite ou raciste à prononcer dès qu’il s’agit de propos raisonnés mais jugés déplaisants sur les Juifs. Ces mots sont utilisés en sachant bien l’effet produit sur des esprits façonnés par des média aux ordres, et valant condamnation dans l’opinion publique. Je conçois que ces vocables sont moins contraignants et beaucoup moins douloureux que d’examiner ses propres actes dans le cours de l’histoire, et, beaucoup plus profitable et gratifiant pour noircir continuellement les autres, en falsifiant l’histoire si besoin, sans toutefois oublier : « on peut tromper tout le monde, un certain temps, et certains, tout le temps, mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps ! »

 

     L’homme intelligent s’efforce de convaincre les contradicteurs et les dubitatifs par des arguments décisifs. Il ne récuse pas les documents présentés sans un examen sérieux, les démontant publiquement le cas échéant. Attitude intellectuellement beaucoup plus honnête que celle consistant à prouver sa raison en faisant voter des lois agrémentées de lourdes menaces et sanctions, pour interdire toute discussion sur tel ou tel sujet devenu tabou. Cette précision pour les adeptes intéressés de la chape de plomb ou de la poussière sous le tapis : ceux qui s’empressent d’ériger en dogmes des sujets relevant de la recherche historique qui sont toujours tributaires de nouveaux documents mis à jour, inexploités ou volontairement ignorés.

 

     Soyons sérieux ! Les Juifs seraient-ils si droits, si purs, que rien ne puissent leur être reprochés ? Qu’elle serait cette maladie mentale qui ferait des Juifs des intouchables ou n’auraient aucune casserole à leurs pieds ? Dire cela à un cheval de bois c’est prendre le risque d’en recevoir une ruade ! Leur propre histoire témoigne du contraire. Non, ils ne sont pas purs parce qu’ils mangent casher car, comme le fait remarquer Jésus aux pharisiens hypocrites, ce n’est pas ce qui entre par la bouche qui souille un homme mais ce qui vient du cœur (St Matthieu VII, 21 ; XV, 17-18). Comme cela sera démontré en usant de leurs propres écrits, en examinant le Juif sous l’angle des propos du cœur, selon les préceptes qu’il a reçus, l’effet produit sera comme se coiffer avec un pétard.  

      

     N’oublions jamais que l’histoire de France est une histoire qui s’écrit et se lit dans la perspective révolutionnaire des instigateurs de 1789 : Les Francs-maçons, les Juifs et ceux qui leur firent allégeance. Les historiens qui pourraient apporter des éléments historiques de nature à modifier ou à nuancer certains faits sont ignorés : il ne faut pas porter atteinte aux ‘’Grands Ancêtres’’ ni au mythe fondateur de ce qui se révèle être la mise en branle programmée de l’entreprise de démolition et de subversion de la France et de l’Eglise catholique. Au besoin, même la justice se fera complice par omissions, voire par parti pris : les attendus de l’affaire Pétain, par exemple, sali à outrance par des spécialistes de la défiguration de l’histoire. C’est la même chose dans la recherche scientifique devenue dogmatique. Qui cela peut-il encore surprendre aujourd’hui ? 

 

     En système démocratique ou révolutionnaire, inutile de vous agiter en matière politique contre tel ou tel parti, en voulant ignorer les passerelles qui existent entre eux, car leurs dirigeants sont les disciples des géniteurs des diverses idéologies propagées par les divers mouvements politiques de gauche et de droite. Ces mouvements opposés sur la scène publique, sont cornaqués et orientés en sous-mains par des individus dont les finalités sont concordantes, celles de détruire la France moralement (c’est devenu Sodome, et même un peu plus) et politiquement, en la crantant sur un régime politique se voulant démocratique et revendiqué par tous les partis, sans exception, mais dont la constitution est hors, et à rebours, de la véritable nature constitutionnelle de la France.

 

     Dans un système démocratique et révolutionnaire l’imposture est de taille, car tous les projets et programmes présentés au Parlement, par les diverses composantes politiques, ont fait l’objet de réunions et de décisions préalables dans des groupes restreints, sous influence de noyaux dirigeants judéo-maçonniques et mondialistes. Ces décisions ayant comme objectif, selon le degré d’avancement de leur projet, de poser de nouveaux jalons destinées à lui faire franchir une nouvelle étape, en utilisant et articulant les différentes idéologies existantes, suscitées par la judéo-maçonnerie, et qu’elle contrôle : le libéralisme, le socialisme, le communisme et sa mouture moderne le mondialisme cosmopolite.

 

     Ces diverses idéologies qui font la spécificité des partis politiques concourent, chacune à leur manière, tous appuyés sur les faux principes ‘’ liberté égalité fraternité’’ à maintenir un régime pompeusement appelé démocratique alors qu’en réalité, il n’est qu’une ébauche destinée à propulser vers son objectif final, avec l’aide des idiots utiles, de plus ou moins bonne foi, ce qui était contenu dans ses gènes : le mondialisme multiculturelle, à caractère totalitaire - ce à quoi nous assistons actuellement - sous domination théologique juive, c’est-à-dire le fruit d’une conception kabbaliste et talmudique. En l’état actuel de pourrissement spirituel et social, ce ne sont pas les partis politiques démocratiques et révolutionnaires, issus de ce bouillon de culture, qui rétabliront les choses : c’est Dieu, par ses moyens surnaturels qui, à son heure, réglera non seulement le problème politique, mais aussi la grave crise de l’Eglise catholique généré par l’ouverture au monde et le faux œcuménisme du Concile Vatican II.

 

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini


- En rouge ce qui a été ajouté

 

(1) Malheureusement pour la France comme pour l’Eglise catholique ce n’est pas une théorie mais un fait, et ce, depuis bien longtemps. Léon XIII dans son Encyclique, Au milieu des sollicitudes, 1892, affirmera qu’il s’agit bien d’un complot, disant : 


« En pénétrant à fond, à l’heure présente encore, la portée du vaste complot que certains hommes ont formé d’anéantir en France le christianisme (…) »


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Mis sur un autre blogue le 20 septembre 2017

 

 

mercredi 23 novembre 2022

Le Magistère Ordinaire du Pape est-il infaillible ? - 3 : Preuves


 Concile de Trente (1545-1563)

LE MAGISTERE ORDINAIRE DU PAPE EST-IL INFAILLIBLE ? – 3

 

PREUVES :

     Après les constats évoqués dans les deux précédentes publications, venons-en aux déclarations montrant que le Magistère ordinaire du Pape est aussi infaillible :

     Concile Vatican I :

« On doit croire d’une foi divine et catholique tout ce qui est contenu dans les saintes Écritures et dans la tradition, et tout ce qui est proposé par l’Église comme vérité divinement révélée, soit par un jugement solennel, soit par son magistère ordinaire et universel. » (Constitution Dogmatique Dei Filius, 24 avril 1870)

     Léon XIII, en parlant du Magistère ordinaire :

« Toutes les fois donc que la parole de ce magistère déclare que telle ou telle vérité fait partie de l’ensemble de la doctrine divinement révélée, chacun doit croire avec certitude que cela est vrai ; car si cela pouvait en quelque manière être faux, il s’ensuivrait, ce qui est évidemment absurde, que Dieu Lui-même serait l’auteur de l’erreur des hommes. (Encyclique Satis Cognitum 29 juin 1896)

     Dans la même Encyclique :

« Les Pères du Concile du Vatican n’ont donc rien édicté de nouveau, mais ils n’ont fait que se conformer à l’institution divine, à l’antique et constante doctrine de l’Eglise et à la nature même de la foi, quand ils ont formulé ce décret : « On doit croire, de foi divine et catholique, toutes les vérités qui sont contenues dans la parole de Dieu écrite ou transmise par la tradition et que l’Eglise, soit par un jugement solennel, soit par son magistère ordinaire et universel, propose comme divinement révélée » (Satis Cognitum , session III, cap. 3)

     S’il est vrai que le Concile Vatican I (interrompu par les troupes italiennes) n’a rien défini sur la question de l’Infaillibilité du Magistère Ordinaire du Pape, cela n’a pas empêché le porte-parole de la Députation de la foi, Mgr D’Avenzo, d’y apporter l’éclaircissement suivant :

« Il y a dans l’Eglise un double mode d’infaillibilité, le premier s’exerce par le Magistère ordinaire de l’Eglise : Allez enseigner…l’Eglise enseigne toutes les vérités, soit déjà définies, soit enfin celles qui font l’objet d’une foi implicite. Ces vérités l’Eglise les enseigne quotidiennement, tant principalement par le Pape que par chacun des évêques en communion avec lui. Tous, le Pape et les évêques, dans cet enseignement ordinaire, sont infaillibles de l’infaillibilité même de l’Eglise. Ils diffèrent seulement en ceci : les évêques ne sont pas infaillibles par eux-mêmes, mais ont besoin de la communion avec le Pape, qui les confirme ; le Pape lui n’a besoin de rien d’autre que de l’assistance du Saint-Esprit qui lui a été promise. Ainsi, il enseigne et n’est pas enseigné, il confirme et n’est pas confirmé. »

     Ainsi, il s’agit bien de l’infaillibilité du Magistère ordinaire, celui dispensé chaque jour dans l’Eglise. Magistère qui reconnaît deux sujets distincts : le Pape seul, et les évêques en communion avec lui.

     Il y a erreur à croire et à enseigner la faillibilité du Magistère ordinaire et par voie de conséquence de la chaire de Pierre selon sa manière d’exprimer la doctrine et la foi de l’Eglise. Que celles-ci pourraient être parfois vraies et parfois erronées. Cette manière de voir heurte le principe fondamental de non-contradiction sous l’angle logique et métaphysique.

     Sous l’angle logique :Il est impossible d’affirmer et de nier à la fois une même chose et sous le même rapport.

     Sous l’angle métaphysique : une même chose ne peut à la fois et sous le même rapport, être et ne pas être.

     Le rôle du Pape étant de confirmer ses frères dans la foi. Comment le pourrait-il s’il est sujet à l’erreur dans son enseignement ? Si tel est le cas, ce n’est donc pas le Pape qui parle mais un imposteur ; ce n’est pas la chaire de vérité qui s’exprime, c’est alors celle de l’erreur, celle de l’ennemi du genre humain. Et cette observation du Père Marie-Antoine le « Saint de Toulouse » :

« Si l’évêque de Rome n’était pas infaillible et pouvait se tromper, tous les autres évêques, étant obligés par Jésus-Christ de s’accorder avec lui et d’être conduits par lui, se tromperaient avec lui et seraient même obligés par Jésus-Christ de se tromper avec lui. Qui ne voit l’absurdité et la folie de cette hypothèse ? (…) »

     Enfin, et cela devrait balayer les derniers doutes, s’ils en existent encore, la mise au point par le Pape Pie XII déclarant :

« Et l'on ne doit pas penser que ce qui est proposé dans les lettres Encycliques n'exige pas de soi l'assentiment, sous le prétexte que les Papes n'y exerceraient pas le pouvoir suprême de leur magistère. C'est bien, en effet, du magistère ordinaire que relève cet enseignement et pour ce magistère vaut aussi la parole : "Qui vous écoute, m'écoute... " (3), et le plus souvent ce qui est proposé et imposé dans les Encycliques appartient depuis longtemps d'ailleurs à la doctrine catholique. Que si dans leurs Actes, les Souverains Pontifes portent à dessein un jugement sur une question jusqu'alors disputée, il apparaît donc à tous que, conformément à l'esprit et à la volonté de ces mêmes Pontifes, cette question ne peut plus être tenue pour une question libre entre théologiens. » (Encyclique Humani Generis, 12 août 1950)

     Il s’agit donc bien de vérités à croire, appartenant à la doctrine catholique, et pas d’opinions privées de la part des Papes.

     Ainsi, l’enseignement des Papes par Encycliques « EXIGE L’ASSENTIMENT »

Pourquoi ? pour deux raisons :

1 - Parce ce que si nous pensons que l’enseignement ex cathedra exige de notre part  « l’écoute et l’assentiment »pour ne pas être un hérétique, pour le Magistère Ordinaire VAUT AUSSI « Qui vous écoute, M’écoute »

2 – Parce que «  le plus souvent ce qui est proposé  et IMPOSE dans les ENCYCLIQUES appartient depuis longtemps à la doctrine catholique. »

     Il est donc inconvenant et injustifiable de dédaigner, de galvauder ou de repousser l’enseignement du Magistère ordinaire du Pape, car ce genre d’enseignement implique « L’ECOUTE de Jésus-Christ » et « EXIGE l’assentiment » ces deux motifs suffiraient déjà à entraîner l’obéissance et le respect d’un(e) Catholique, mais le Pape y ajoute encore « et le plus souvent ce qui est proposé  et IMPOSE dans les ENCYCLIQUES appartient depuis longtemps à la doctrine catholique. »

     Ainsi, ce qui est enseigné peut, parfois, ne pas appartenir obligatoirement à la doctrine catholique, mais ce qui « EXIGE l’assentiment » c’est le fait que l’enseignement dans les Encycliques appartient au Magistère Ordinaire auquel s’applique aussi la parole de Jésus-Christ : « Qui vous écoute, m'écoute »

     Il appartient donc aux Catholiques d’examiner si les divers enseignements issus du Concile Vatican II tiennent compte de « L’exigence d’assentiment » pour l’enseignement infaillible du Magistère Ordinaire ou s’en éloignent, et par le fait même s’éloignent de « QUI VOUS ECOUTE, M’ECOUTE » sinon, il faut en tirer les conséquences car, si on « n’écoute pas Notre-Seigneur » s’exprimant aussi par le Magistère ordinaire, on écoute donc son ennemi et on ne peut, sauf à tromper son monde, se prétendre raisonnablement son Vicaire.

     L’infaillibilité ordinaire n’est pas un dogme, aujourd’hui, mais comme le dit le Pape Pie XII, une vérité (et non une erreur ou simple opinion) qui exige de soi l’assentiment des Catholiques. L’erreur d’appréciation pour cet enseignement est peut-être matière grave, mais la gravité de la matière ne suffit pas pour qu’il y ait péché, il faut qu’il y ait pleine connaissance. En tout état de cause la non croyance à l’infaillibilité ordinaire ne rend pas hérétique puisque le dogme de l’infaillibilité ordinaire n’a pas été proclamée.

     C’est une vérité de foi catholique non définie, mais constamment enseignée et reconnue (comme révélée) dans l’Eglise universelle. Elle est du deuxième échelon de la liste des vérités à croire.

     Si les Catholiques clercs et laïcs, en fils obéissants et dociles, avaient tenu compte des avertissements et condamnations portés par les Encycliques du Magistère ordinaire infaillible du Pape tels que, par exemple, le libéralisme, le socialisme, le communisme et les erreurs modernes, ils ne se seraient pas précipités, en déifiant leur propre raison comme les Protestants, pour soutenir des doctrines telles que la démocratie, les droits de l’homme, la laïcité révolutionnaire, la souveraineté populaire - qui sont des doctrines antichrétiennes - proposées par les systèmes politiques précités et soutenus, encore de nos jours, par des membres du laïcat et du clergé traditionalistes ou conciliaires, avec les conséquences qu’ils déplorent aujourd’hui.

 

René Pellegrini

(3) Saint Luc X, 16.

- Quant à ceux de l’Eglise conciliaire ou de la Fraternité saint Pie X qui essaient de justifier leur credo en la faillibilité du magistère ordinaire du Pape, en évoquant les Papes Libère (IVe siècle) et Honorius Ier (VIIe siècle) qu’ils revoient posément leur histoire de l’Eglise. Aucun Pape, depuis leur époque, n’a jamais accrédité leur sophisme : Le Concile Vatican I, Léon XIII et Pie XII confirment par leurs déclarations que les Papes n’ont jamais erré dans leurs enseignements.

« Nous déclarons, disons et définissons qu’il est absolument nécessaire au salut, pour toute créature humaine, d’être soumise au Pontife Romain » (Boniface VIII, Bulle Unam sanctam, 1302)

« Il est nécessaire de s’en tenir avec une adhésion inébranlable a tout ce que les Pontifes Romains ont enseigné ou enseigneront. » (Léon XIII, Encyclique immortale Dei, 1885)

« Tu est Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise : Ces paroles ont été justifiées par l’événement, car la religion catholique a toujours été conservée sans tache dans le Siège Apostolique. » (Pape Saint Hormisdas, Libellus Fidei, 517)

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mardi 23 août 2022

L'étendue de la Royauté du Christ


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 18

 

L’ETENDUE DE LA ROYAUTE DU CHRIST

 

    Cette royauté de Jésus-Christ, pour le bien des peuples, doit s’étendre sur tous les individus et toutes les collectivités car souligne le Pape Pie XII :

 

« Le bien privé et le bien commun ont la même source»

 

     Etant issus d’une même source, ces deux biens ne sauraient être pleinement  et durablement procurés sans une reconnaissance et une soumission des nations à la royauté de Jésus-Christ. Et de justifier cet empire qu’exerce Notre-Seigneur non moins que cette affirmation de source unique du bien, ainsi que du salut, par un texte de la Sainte Ecriture : celui de la respectueuse mais ferme et courageuse réponse de Saint Pierre au Sanhédrin concernant Jésus.

 

« C’est lui seul qui est la pierre rejetée par vous les constructeurs, et qui est devenue la pierre de l’angle, et il n’y a de salut en aucun autre : car aucun autre nom sous le ciel n’a été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes IV, 12-13)

 

    De nos jours, les bâtisseurs de sociétés antichrétiennes que sont les Juifs, leurs prosélytes francs-maçons et tous ceux qui collaborent avec eux, rejettent toujours cette « pierre d’angle » la pierre principale pour retenir l’édifice. Autant dire que leur construction politique et sociale s’appuyant sur les promesses d’idéologies telles que le socialisme, le marxisme, un capitalisme sans âme, le libéralisme économique faisant des travailleurs des objets jetables comme des kleenex, le mondialisme ou le « vivre ensemble » sont inaptes, non seulement, à assurer le bien privé (de plus en plus attaqué et taxé) mais aussi le bien commun temporel et, bien moins encore, le salut des âmes. Ces différents types de constructions sociales judéo-maçonniques négateurs du « seul nom par lequel nous devions nous être sauvés » ne peuvent que, tour à tour, s’effondrer finalement dans un chaos mondial, connaître le même sort que l’antique Tour de Babel avant de laisser la place, pour un peu de temps, au gouvernement de l’Antéchrist auquel travaillent les Juifs - tout en croyant œuvrer pour la venue du Messie déjà venu il y a deux mille ans - et leurs collaborateurs.

 

     L’Eglise, à temps et à contretemps, ne peut, sans trahir sa mission salvatrice, taire la suprématie de Notre-Seigneur et l’obligation dans laquelle se trouvent tous les hommes de s’y soumettre pour assurer leur salut. Eu égard à cette puissance exercée par le Christ, le Saint Père détenteur du pouvoir spirituel, non moins que le temporel qui lui est subordonné (1) se doit de rappeler et d’exhorter les autorités de ce monde, à ne pas refuser de s’acquitter de leurs devoirs à l’égard de Dieu. Aujourd’hui, comment l’Eglise conciliaire prise par le délire œcuménique pourrait-elle, son trahir sa vocation, accomplir sa mission salvatrice en faisant un rappel équivalant et de même portée que celui de Pie Saint Pierre (ci-dessus) ou de Pie XI, ci-dessous, sans froisser les autorités juives, musulmanes qui rejettent le Fils de Dieu et sa dignité royale, et aussi les chefs de toutes les autres fausses religions ? L’œcuménisme, malheureusement, tel qu’il a été conçu par le Concile Vatican II, découronne Notre-Seigneur, le Rois des rois, comme le montre la déposition par Paul VI de la tiare pontificale représentant les trois pouvoirs de Jésus-Christ (exécutif, judiciaire, législatif) 

 

« Que les chefs des nations ne refusent donc pas de rendre par eux-mêmes et par le peuple à la puissance du Christ leurs hommages publics de respect et d’obéissance, s’ils veulent, en sauvegardant leur autorité, promouvoir et accroître la prospérité de la patrie ! »

 

     La situation actuelle des nations occidentales et chrétiennes et de ceux qui les pilotent vautrés qu’ils sont, par la déchristianisation et la judaïsation de leur esprit dans le naturalisme qui les paganisent de plus en plus, est révélatrice de la surdité des hommes d’Etat et de ceux qui les suivent. Les conséquences d’une telle attitude, poursuivie avec pertinacité, sont lourdes de conséquences et affectent directement les gouvernants eux-mêmes dans « la sauvegarde de leur autorité » non moins que la nation concernant « la prospérité de la patrie »

 

     Ainsi, cet irrespect et ce refus d’obéissance envers Dieu par les chefs des nations et les diverses autorités, se répercutant dans les peuples, conduisent inexorablement vers l’anarchie sociale et le paupérisme national, la reprise en main expiatrice par la dictature ou la tyrannie, avant l’heure fixée par Dieu pour restituer la souveraineté à qui de droit.

 

« A suivre… « Les obligations du pouvoir civil »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini  

 

- C’est moi qui mets en gras dans l’extrait du Pape.

 

(1) La finalité de notre pouvoir temporel républicain vautré dans sa laïcité révolutionnaire et sa revendication d’un athéisme d’Etat est, de plus en plus et visiblement, la damnation du plus grand nombre par une législation fauteuse d’insanités morales et méprisante des lois divines. A l’opposé, la finalité d’un pouvoir temporel digne de ce nom étant la vie vertueuse du plus grand nombre, il ne peut atteindre cette fin qu’en étant subordonné au pouvoir spirituel, lequel se doit de juger la moralité de ses actes. Cette subordination n’exclut pas, afin d’éviter tout cléricalisme, une juste autonomie de ce pouvoir temporel pour le choix des moyens dans la mesure où ils sont conformes à la morale.

dimanche 12 juin 2022

Le gouvernement occulte d'Israël - 2 : Les fruits amers de la Kabbale dans l'histoire


LE GOUVERNEMENT OCCULTE D’ISRAEL - 2

 

LES FRUITS AMERS DE LA KABBALE DANS L’HISTOIRE

 

 « Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Vulgate)

« Faute de direction un peuple succombe » (Bible de Jérusalem)

« Faute de politique un peuple tombe »

     (Traduction œcuménique de la Bible : TOB)

 

     Avant de passer aux preuves d’un gouvernement occulte d’Israël, comme annoncé précédemment, un petit rappel de quelques œuvres de la Kabbale dans l’histoire des nations. A la lecture de cet article, certains esprits tordus pourraient le considérer comme voulant nuire aux Juifs, mais tel n’est pas mon but de les mettre tous dans le même sac, même si celui-ci est grand. Sont surtout visés ceux qui s’empressent de déclarer faux (1) tout ce qui leur est défavorable, ou jette une lumière trop crue sur leurs propres agissements : en clair, ceux qui savent de quoi il retourne et ce à quoi ils n’ont cessé de travailler religieusement ou politiquement, au cours de l’histoire, et auquel il continue d’y travailler encore aujourd’hui. De même, certains « idiots utiles », par conviction ou par intérêt, prenant le parti de les défendre à tous prix, quoi qu’ils aient pu faire au cours de l’histoire, et même en s’arrangeant avec elle.

     On conviendra tout de même qu’il est difficile de suivre ceux et celles qui prétendraient qu’en qualité de race élue et supérieure, ils seraient la pureté et l’exemplarité même et, après vingt siècles d’enseignements rabbiniques et pharisaïques, en secret ou à ciel ouvert, qu’ils fussent de grands bienfaiteurs de l’humanité depuis l’iniquité de leurs Pères au premier siècle, la poursuite séculaire de leurs enseignements et les fruits de leur application. Par exemple, l’émergence par des fils d’Israël de systèmes politiques comme le communisme bolchevique avec ses massacres, goulags et asiles psychiatriques, ou le façonnage d’homme politique comme Hitler par la Kabbale. Pour sa part, Saint Paul, (2) un des leurs, avant sa conversion au Christ, est d’un tout autre avis, ne dit-il pas aux chrétiens de Thessalonique :

« Car frères, vous êtes devenus les imitateurs des églises de Dieu, qui, en Judée, sont à Jésus-Christ, puisque vous avez souffert, vous aussi, de la part de vos concitoyens, les mêmes choses qu’elles ont souffertes aussi de la part des Juifs, qui ont tué même le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont persécuté à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont les ennemis de tous les hommes ; nous empêchant de parler aux gentils pour qu’ils soient sauvés, afin de combler en tout temps la mesure de leurs péchés ; car la colère de Dieu est arrivée sur eux définitivement.» (I Thessaloniciens II, 14-16)

     A-t-il tort de parler ainsi ? A-t-il exagéré en tenant ces propos de mise en garde ? La réponse est non, si nous laissons parler l’histoire religieuse et profane, où nous les voyons inspirateurs ou acteurs principaux des premières persécutions antichrétiennes, maîtres d’œuvres de la mise en place de mouvements sectaires, de sociétés secrètes et de systèmes idéologiques tels que : libéralisme, socialisme, communisme et mondialisme qui généreront des révolutions politiques et sociales qui ont secoué, meurtri et ensanglanté l’humanité et permis le façonnage, du faux ''catholique'' mais authentique païen que fut Hitler, par la Kabbale. Tous ces groupements ou idéologies voués à un même but : combattre et détruire, si possible, l’Eglise catholique mais aussi le christianisme et donc, des moyens d’accès au salut qu’ils procurent. Par ses paroles placées dans la perspective du salut et les implications qu’il a dans le temporel sur les comportements devant favoriser le beau, le vrai, la pureté, la sainteté et le bien commun, il n’exagère pas en disant : « ils sont les ennemis de tous les hommes »

     Mais il y a plus que la mise en garde de l’Apôtre. Il y a ces paroles sans équivoque de Notre-Seigneur.

« Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et, après qu’il est devenu, vous faites de lui un fils de la géhenne deux fois pire que vous. » (St Matthieu XXIII, 15)

     Jésus met en garde contre l’extrême dangerosité pour la foi, de l’enseignement de la secte pharisienne. N’oubliant pas que depuis Le Christ les rabbins ont été nourris, et se font les continuateurs, des enseignements kabbalistes et talmudistes des pharisiens stigmatisés par Jésus de « hypocrites, sépulcres blanchis, serpents et race de vipères » (Versets 13-33) et, comme conséquences pour la foi chrétienne de ces doctrines, le risque de devenir « un fils de la géhenne deux fois pire qu’eux » pour les deux sortes de prosélytes reconnus par le judaïsme rabbinique : ceux par conversion ou ceux restant sur le seuil. Il est patent que tous ceux qui se nourrissent de Kabbale ou de Talmud – avec un peu d’expérience, on les repère facilement - et finissent par devenir des ennemis du catholicisme traditionnel ou du christianisme en s’agrégeant à des sectes politiques, religieuses ou philosophiques.

     Si, en tant que chrétiens, nous récusons ces propos de Saint Paul et du Christ, nous signifiant ne pas croire que l’inerrance biblique – Ancien et Nouveau Testament - soit une réalité. Dans ce cas, nous ne sommes plus que des consommateurs à la carte d’Evangiles et d’épîtres. Si, pour nous, « Toute Ecriture divinement inspirée est utile pour enseigner, pour reprendre, pour corriger, pour instruire dans la justice (…) » (II Timothée III, 16) alors il nous faut prendre en considération ces avertissements et, de plus, conclure que les paroles de l’Apôtre et de Jésus-Christ ne sont pas très œcuméniques ! A méditer, pour la protection de l’intégrité de sa foi, par tous les friands d’œcuménisme et les adeptes imprudents des Amitiés judéo-chrétiennes qu’il faut plutôt appeler Amitiés pharisaïco-chrétiennes, puisque le judaïsme actuel, se plaçant au-dessus de Moïse, n’a rien à voir avec la religion de Moïse et des prophètes, mais avec celle revue et corrigée par le pharisaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique.  

     On peut y ajouter, parmi d’autres, le témoignage de deux membres de la nation juive (Darmesteter et Lazare) (3) confirmant, après ces faits bibliques, la véracité des paroles de Saint Paul et de Jésus, en éclairant l’œuvre inique de leurs doctrines sur le plan philosophique et moral, en haine du catholicisme, dont les conséquences expliquent les vrais motifs des soubresauts de l’histoire politique et religieuse autres que ceux fabriqués et mis en évidence par les manuels scolaires et universitaires officiels. En même temps, ils ne font que confirmer ce que l’on savait déjà sur l’origine des influences kabbalistes et talmudiques permettant l’éclosion du protestantisme et de la kyrielle de sectes qui en sont issues, et celles de la Renaissance, du rationalisme et de la Révolution de 1789. Ennemis du Christ et de son règne sur les âmes et les sociétés, on comprend leur désir de travailler et d’inciter à la destruction d’un ordre social fondé sur ses enseignements.

James DARMESTETER (1849-1894) : Orientaliste et professeur au Collège de France.

« Le Juif est le docteur de l’incrédule. Tous les révoltés de l’esprit viennent à lui dans l’ombre ou à ciel ouvert. Il est à l’œuvre dans l’immense atelier de blasphèmes du grand empereur Frédéric et des princes de Souabe ou d’Aragon. C’est lui qui forge tout un arsenal meurtrier de raisonnements et d’ironie qu’il léguera aux sceptiques de la Renaissance, aux libertins du Grand Siècle. Tel sarcasme de Voltaire n’est que le dernier et retentissant écho du mot murmuré six siècles auparavant dans l’ombre du Ghetto. » (In Coup d’œil sur l’histoire du peuple juif, 1881)

Bernard LAZARE (1865-1903) : Critique littéraire et journaliste politique

« Pendant les années qui annoncent la Réforme, le Juif devint éducateur et enseigna l’hébreu aux savants, il les initie aux mystères de la Cabbale, après leur avoir ouvert les portes de la philosophie arabe ; il les munit, contre le catholicisme, de la redoutable exégèse que les rabbins avaient, durant des siècles, cultivée et fortifiée ; cette exégèse dont saura se servir le Protestantisme, et plus tard le Rationalisme. » (In l’Antisémitisme. Son histoire et ses causes, Edition de 1894)

     Ils font sourire ceux qui se proclament athées, irréligieux ou rationalistes, si on considère qui est leur véritable éducateur « Le Juif docteur de l’incrédule » et leur véritable terreau formateur et idéologique « les mystères de la Kabbale » sur lesquels s’appuient les fondements révolutionnaires et antichrétiens des théories qui les animent. Se croire athée, irréligieux et rationaliste après avoir inhalé – en connaissance de cause ou par ignorance - les  chimères ésotériques et mystiques des « mystères de la Kabbale » est proprement risible. Kabbale païenne véhiculant un faux judaïsme pharisaïque et rabbinique dont les ouailles juives, elles-mêmes, sont les victimes. 

(à suivre, si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) Par exemple, la panoplie habituelle et usée de l’anti-complotisme : Faux, antisémite, raciste, théorie du complot, ce sont les maîtres-mots de tous ceux qui ne voulant pas affronter l’histoire et les faits, s’appuient sur les serviteurs zélés de la politique et des média pour jeter le discrédit, voire imposer le silence avec menaces. Combien, encore, tomberont dans ce panneau diabolique et pour combien de temps encore ?  Ce qui est sûr, comme dit l’aphorisme : on peut tromper tout le monde un certain temps et quelques-uns tout le temps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps.

(et 3) Iront-ils jusqu’à les classer parmi les adeptes de la théorie du complot et antisémite de surcroît ?

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