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samedi 27 août 2022

Laïcité révolutionnaire et séparation de l'Eglise et de l'Etat


LAICÏTE REVOLUTIONNAIRE ET SEPARATION DE L’EGLISE ET DE L’ETAT

 

« Ote ! Ote ! crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César »

(St Jean XIX, 15)

 

    C’est une publication de 2017. Sauf imprévu, par exemple, l’annulation des élections pour cause de grave attentat ou affaire judiciaire en cours permettant de laisser en place M. Hollande, nous aurons bientôt droit après l’attrape-nigauds des primaires de droite et de gauche à la grande comédie médiatique de l’élection présidentielle destinée à nous fournir le futur Président des Ecuries d’Augias, dont l’odeur devient de plus en plus nauséabonde, cette mascarade proposée à tous ceux qui ne sont pas encore guéris de l’escroquerie morale et intellectuelle du suffrage universel : « mensonge universel » comme disait le Pape Pie IX au XIXe siècle. Affirmation qui devient de plus en plus acceptable pour bien des sceptiques d’autrefois. Pour les autres, nous les laisserons continuer de rêver en attendant, et en espérant, qu’ils finissent par devenir adultes pas seulement par la taille.

 

     Si les programmes seront plus ou moins différents selon les idéologies politiques destinées à les mettre en œuvre, ils auront tous un point commun - sauf séisme de magnitude 10 sur l’échelle de Richter de 9 - le silence assourdissant sur Dieu fait Homme, Notre-Seigneur Jésus-Christ remplacé par un vague humanisme naturaliste et, à contrario, le grand tapage sur le sésame qui permet de participer à l’aventure politique : l’inévitable et indispensable déclaration d’amour à la laïcité révolutionnaire propre à perpétuer le gloussement de plaisir des ennemis de Dieu. Si cela peut se comprendre, sans toutefois les excuser, pour des hommes et des partis politiques athées, libéraux, libertaires ou agnostiques, ça l’est beaucoup moins pour tout candidat à la présidence de la République qui se proclame chrétien et catholique de surcroît. N’est-ce pas MM Fillon, Juppé et consorts ? On me répondra certainement : nous sommes en République et celle-ci est laïque. Cela ne m’avait pas échappé.

 

     Dire nous sommes en République laïque pour justifier et faire l’impasse sur le Christ et la religion n’est pas, et ne sera jamais, un argument recevable pour un Catholique digne de ce nom. Chez un chrétien le fait de s’armer et de brandir le bouclier de la laïcité pour valider ses pathétiques contorsions destinées à permettre la pratique de ses mœurs coupables ou ses reculades sur sa foi ne fait que démontrer sa lâcheté à défendre les droits et les lois de Notre-Seigneur : Celui dont il se prétend le disciple et au nom duquel il a été baptisé, non pour l’exclure des lieux où s’élaborent les décisions qui conditionneront la vie morale, sociale et politique de la cité et de son pays, mais pour rappeler et défendre son Evangile et ses commandements, partout où ses compétences et ses fonctions l’appellent à se manifester socialement et politiquement. Mieux vaut disparaître de la scène politique si c’est pour cautionner ou faire silence sur des outrages perpétuels à la Majesté divine.

 

INACCEPTABILITE DE LA LAICÏTE JUDEO-MACONNIQUE 

ET REVOLUTIONNAIRE

 

     La laïcité judéo-maçonnique sépare le religieux et l’Etat.

 

« La laïcité suppose la séparation de l’Etat et des organisations religieuses » (Citation)    

 

     Cette proposition n’est pas plus recevable que la précédente pour un chrétien catholique. Accepter le fait, ou prendre acte, d’être dans une République laïque est une chose, valider les considérants de cette proposition en est une autre. C’est inacceptable et condamnable pour diverses raisons :

 

     1 - Parce que l’Eglise catholique n’est pas, et n’a jamais été, une théocratie comme peut l’être la religion musulmane qui fusionne le spirituel et le temporel. Il y a deux piliers dans l’Eglise : le clergé et le laïcat. Elle reconnaît, et à toujours reconnu, le principe posé par son Seigneur et Maître « rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » (St Matthieu XXII, 21) (1) et la force de la doctrine qu’il manifeste. Mais elle n’entend pas stupidement cette maxime de Jésus-Christ, comme se plaisent à vouloir l’interpréter certaines sectes, les gens et les hommes politiques en général, incités en cela par un clergé beaucoup plus gallican, voire marxiste, que catholique. Nous savons pertinemment à qui profite ce genre d’interprétation, tout comme celle de « Mon royaume n’est pas de ce monde » (St Jean XVIII, 36) (2) visant, l’une et l’autre, à écarter l’enseignement de Notre-Seigneur et la morale chrétienne dans l’Etat et les organes de direction nationale, avec les résultats ignobles que l’on sait.

     

     2 - En considération de ce qui a été constitutif de la matrice fondatrice et formatrice de la France : sa culture et ses traditions chrétiennes séculaires et pour être plus précis catholiques, et dont les restes spirituels l’empêchent encore, pour le moment,   mais de moins en moins, de sombrer totalement dans l’anarchie. La religion en France est catholique et celle d’un Etat catholique. Elle retournera à sa véritable Constitution, à l’heure de Dieu, n’en déplaise aux révolutionnaires et anticatholiques de tous poils et, probablement, lorsqu’elle aura touché le fond du fond, Dieu estimant suffisante l’expiation de ses innombrables crimes commis depuis deux siècles. Les autres « organisations religieuses » étant tolérées. Cette France, n’a rien à voir avec les pratiques et les enseignements utopiques des sauvages et massacreurs de femmes et d’enfants français, des coupeurs de têtes de 1789-1794 (3), et ceux qui célèbrent, année après année, cette ignominie qui relève davantage de l’exécration que du festif.

 

      3  Quoi qu’en dise la secte judéo-maçonnique du prêt à penser et du formatage dans le politiquement et le religieusement ''correct'', il est inacceptable de parler de « séparation de l’Eglise et de l’Etat » là où il ne doit y avoir que distinction de ces deux composantes que sont l’Etat et la religion catholique car, tous deux, ont à faire avec des individus qui appartiennent, en même temps, à la société civile et temporelle et à la société religieuse, avec des compétences dans des domaines différents. L’homme chrétien appartient de corps et d’âme à ladite société contribuant à son bon fonctionnement temporel et à sa prospérité par ses compétences professionnelles, le paiement de ses impôts et taxes diverses, etc. Il n’a donc aucune raison de se dédoubler et, sous cette qualité de Catholique, il se doit de défendre la foi qui alimente son âme, certes, dans  un milieu visiblement indifférent ou hostile, mais au même titre que l’Etat républicain et ses thuriféraires défendent, bec et ongles, dans leur impéritie et leur aveuglement spirituel, leur croyance en la laïcité athée avec son panier garni de turpitudes, même si celle-ci prépare et ouvre un boulevard à la guerre civile, à l’anarchie et au totalitarisme.

 

     Demander à un catholique de taire, dans les assemblées parlementaires, ses convictions sociales et politiques c’est, en quelque sorte, l’écarteler, vouloir le faire vivre en contradiction permanente avec sa conscience et son devoir de témoigner, à temps et à contretemps, sur les valeurs morales et temporelles bienfaisantes enseignées par l’Evangile et utiles pour la société, ainsi que sur la souveraineté du Christ sur les institutions de quelque nature qu’elles soient. Le Christ, quoiqu’en pense ses ennemis et les chrétiens tièdes, n’est pas équivoque sur la question de sa souveraineté. Les députés et sénateurs catholiques l’ont misérablement oubliée. Mais la vraie question paraît plus dramatique : ont-ils encore la foi ?

 

« Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre. Allez donc enseignez toutes les nations (…) » (St Matthieu XXVIII, 18)

 

     Si un chrétien, selon l’affirmation de Saint Paul (Romains XIII, 1-2), doit se montrer obéissant envers les autorités supérieures de l’Etat lorsque celui-ci se veut païen et fonctionner selon des lois immorales et païennes, cette obéissance lui est due seulement si cette soumission ne l’oblige pas à devoir agir contre sa conscience en violant les lois divines, ou lorsque cet Etat veut l’empêcher de mettre en garde contre leurs violations qui affectent le salut des âmes. Un chrétien dans la cité temporelle règle sa vie privée et publique de citoyen en tant que serviteur et témoin de Dieu, de ses commandements et enseignements, et non selon les délires corrupteurs, lubriques et destructeurs des enseignements révolutionnaires républicains qui coopèrent ensemble à la damnation du plus grand nombre.

 

     4 - Parce que l’Eglise, pas celle sécularisée qui prêche urbi et orbi l’utopie sanglante des Droits de l’homme – qui ne peuvent conduire qu’au désordre social, Dieu étant écarté ou tu – mais qui prêche beaucoup moins, voire pas du tout, les Droits de Dieu. Répétons-le, encore et encore, les Droits de l’homme ne seront jamais mieux respectés qu’en consentant, vraiment, à respecter les Droits de Dieu. Le décalogue selon l’agencement prioritaire de ses commandements, et les enseignements du Christ, ne sont pas des propos irresponsables, ils n’ont pas été écrits pour nuire.

 

     Non ! Pas cette Eglise conciliaire qui, sous ses sourires et ses embrassades, dénature et saccage ce qui est saint en propageant le venin du relativisme religieux dès le plus jeune âge. Non ! Pas cette Eglise dans laquelle on cherche vainement l’image conjointe du Christ et de ses propos sans équivoque devant les enseignements nuisibles au salut des âmes, mais celle qui s’exprime par la bouche du Pape Pie XI dans l’Encyclique Quas Primas, du 11 décembre 1925 qui confie la mission suivante aux Catholiques :

 

     « DANS LES CONFERENCES INTERNATIONALES ET DANS LES PARLEMENTS, ON COUVRE D’UN LOURD SILENCE LE NOM TRES DOUX DE NOTRE REDEMPTEUR ; PLUS CETTE CONDUITE EST INDIGNE ET PLUS HAUT DOIVENT MONTER NOS ACCLAMATIONS, PLUS DOIT ÊTRE PROPAGEE LA DECLARATION DES DROITS QUE CONFERENT AU CHRIST SA DIGNITE ET SON AUTORITE ROYALES. »

 

     Telle est la mission confiée aux Catholiques par un Pape digne de ce nom. Cette mission est donc publique. Elle doit pénétrer jusque dans les assemblées parlementaires. Les hommes politiques chrétiens, depuis bien longtemps, et pour le malheur de la France, sont frappés de surdité et de mutisme pour ce qui est de témoigner du Christ et de ses enseignements. Honte à vous, hommes politiques catholiques qui faîtes silence sur cette royauté du Christ, mais qui vous empressez d’adopter, de vous amouracher et de colporter la laïcité judéo-maçonnique et révolutionnaire car c’est tout un ! Par votre silence et la diffusion de la laïcité avec l’esprit qui lui est inhérent, vous bafouez sa « dignité royale » et vous devenez, selon cet extrait, aussi « indigne » que les autres. A votre manière, par votre comportement, vous perpétuez, en creux, ce cri des princes des prêtres à Pilate « Ote-le ! Ote-le ! Crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César ». Il

est donc urgent de vous remémorer cet avertissement non équivoque de Jésus-Christ :

 

« Car si quelqu’un rougit de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l’homme rougira aussi de lui, lorsqu’il viendra dans la gloire de son Père, avec les anges saints. » (St Marc VIII,38)

 

« Mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi moi-même devant mon Père qui est dans les cieux. » (St Matthieu X, 33)

 

     Quant à l’Eglise voici ce qu’elle enseigne sans langue de bois, par la bouche du Pape Léon XIII, sur cette laïcité que vous chérissez tant :

 

« Toutes les fois que par laïcité on entend un sentiment ou une intention contraire ou étranger à Dieu et à la religion, nous reprouvons entièrement cette laïcité et nous déclarons qu’elle doit être réprouvée. » (Encyclique Immortale Dei, 1er Novembre 1885)

 

     Hommes politiques catholiques, par votre silence, non seulement vous n’êtes plus crédible même si vous avez une grande capacité à donner le change, mais en plus, en voulant redresser le pays sans vous placer sous l’étendard et la soumission au Christ qui est le roi légitime de la France vous êtes, à l’image d’un certain clergé, des conducteurs d’aveugles et de dangereux rêveurs ! Quand allez-vous enfin porter haut et fort « Le nom très doux de notre Rédempteur » comme vous y invite le Pape Pie XI, et revêtir les vrais habits de votre Seigneur et de la foi chrétienne, en délaissant ceux outrageants du « silence » que vous impose votre traîtreuse adhésion à la laïcité révolutionnaire ? Ce silence voulu, et pour cause, par les ennemis du Christ affublés du tablier maçonnique et de l’Etoile de David et leurs adeptes conscients ou inconscients.

 

LE FONDEMENT MENSONGER DE LA LAÏCITE REVOLUTIONNAIRE

 

     La laïcité révolutionnaire telle que décrite par Léon XIII, est une escroquerie intellectuelle lorsqu’elle prétend séparer le religieux et l’Etat. En effet, elle est, elle-même, la religion de l’Etat républicain, c’est-à-dire celle de la judéo-maçonnerie - fortement imprégnée de Kabbale, de Talmud et de pseudo-science - derrière lequel elle se camoufle pour tout réduire à l’idéologie officielle et dogmatique des ''Droits de l’Homme'' qui ne sont autres qu’un rejet de Dieu et de ses lois, et leur remplacement par un culte rendu à la nature, à l’homme et à ses vices, en définitive à Lucifer. Cette fausse religion laïque, dont le but est d’anéantir le christianisme, opère en dépendance avec une métaphysique évolutionniste, en conséquence matérialiste.

 

     La laïcité révolutionnaire, fruit de la fausse philosophie dite des Lumières, est une tromperie permettant à des personnes sans aucune légitime autorité spirituelle de gouverner, en s’accaparant le pouvoir moral et spirituel de légiférer sur le bien et le mal, le légal et l’illégal, en se fabriquant une autorité intellectuelle prenant appui sur des théories ou hypothèses scientifiques présentées 

comme des vérités devant être enseignées et diffusées tous azimuts, combien même elles sont démenties par les faits expérimentaux dont une certaine ‘’science’’ occupant les postes-clés - faiseur ou défaiseur de carrière scientifique - imbue d’elle-même, délétère et orgueilleuse n’a que faire, puisqu’ils infirment leurs théories ou hypothèses, leur crédibilité et leur notoriété.

 

     Par exemple, les datations de fossiles devenues ubuesques, le transformisme ou théorie évolutionniste faisant fi des expériences scientifiques les contredisant, et le Big Bang qui a de plus en plus de plomb dans l’aile mais dont il faut, à tous prix, sauver la mission idéologique en lui fournissant deux béquilles : la « matière noire » et « l’énergie noire ». Ces fausses théories généreront une conception erronée de l’homme, de la morale, du monde, de la société et de l’organisation sociale aux conséquences dramatiques. Malheur aux vrais scientifiques qui ne veulent pas s’inscrire dans la ligne officielle, mais s’appuyer uniquement sur ce qui constitue et mérite le nom de vraie science : les faits ! Pour ceux-là, crédits bloqués pour leurs recherches, leurs articles refusés dans les grandes revues scientifiques, ou carrément écartés. Les débats scientifiques se font sans eux. On discute entre soi. Telle est la science moderne attachée aux théories et aux hypothèses présentées et enseignées comme s’il s’agissait de vérités.

 

LE TOTALITARISME AU BOUT DE LA LAÏCITE REVOLUTIONNAIRE

 

     Ce totalitarisme est déjà perceptible dans l’enseignement dispensé et imposé, dans le politiquement et le religieusement correct et dans le développement de l’idéologie mondialiste qui pénètre toutes les sphères décisionnelles de la société. La laïcité révolutionnaire tout comme le communisme et l’islamisme sont issus d’une mystique infernale qui veut éliminer toute religion qui se pose contre eux, par l’absorption du spirituel dans le temporel ou du temporel dans le spirituel avec, pour aboutissement, soit le totalitarisme démocratique propagé par les divers libéralismes que sont le socialisme, le communisme et la laïcité judéo-maçonnique, soit le totalitarisme théocratique avec l’Islam. On ne s’étonnera donc pas des collusions politiques et géopolitiques qui peuvent exister entre ces fausses religions compte tenu de la parenté mystique qui les inspire.

 

     Il n’y a pas d’avenir pour la laïcité révolutionnaire inspirée par l’enfer, et propagée par ses serviteurs judéo-maçons qui sévissent dans les différents partis politiques, au sein même des gouvernements successifs et pour ceux qui la soutiennent, sinon de créer toujours plus de confusion, de désordres et de tragédies. Jésus-Christ est, et demeure, le vrai et légitime Roi de notre patrie, ce qui fut rappelé au roi Charles VII par Jeanne d’Arc. Quant au souverain régnant, son lieutenant (le tenant lieu) il se doit de ne jamais l’oublier. Dans l’ordre temporel, la volonté de Notre-Seigneur pour la France est qu’elle soit un royaume chrétien comme il l’a enseigné à Sainte Marguerite-Marie Alacoque, en 1689, lui affirmant « Je régnerai malgré mes ennemis » et en Lui manifestant le désir d’être peint sur les étendards de Louis XIV et gravé sur ses armes pour triompher des ennemis de l’Eglise, dont le roi de France doit être le protecteur temporel.  

 

     Un siècle plus tard, malgré les mises en garde, les demandes de Jésus-Christ n’étant toujours pas satisfaites, la France chrétienne et monarchique fut renversée par ses ennemis qui complotaient sa ruine dans les salons philosophiques : les meneurs révolutionnaires de 1789. Depuis lors, elle en subit les conséquences désastreuses dans les domaines éducatifs, moraux, sociaux et politiques, en guise d’expiation de ses péchés et iniquités. L’œuvre de restauration et de résurrection de la France chrétienne et monarchique sera accomplie par le Grand Monarque et le Saint Pape. La profondeur du mal est telle dans la société française que ce sera une œuvre miraculeuse - pour qu’aucun homme ne puisse se glorifier - l’œuvre de Dieu, lorsque tout semblera perdu, comme celle de la résurrection de Lazare qui était dans le tombeau depuis quatre jours et qui sentait déjà (St Jean XI, 39)

 

     Cette œuvre miraculeuse de Dieu ne sera pas celle des compromissions, des pétitions pour telle ou telle personne, des sondages, des  manifs et des révolutions en tous genres, y compris la Révolution numérique proposée par le produit marketing qu’est l’illuminé Emmanuel Macron parachuté depuis chez Rothschild comme socialiste mondialiste « En Marche ! » vers le nouveau bonheur de la robotique et de l’uberisation, ni celle des changements numérologiques de République, ni celle des ectoplasmes gouvernementaux estampillés laïques - bêlant pathétiquement leur amour du nœud coulant qu’est la laïcité révolutionnaire qui les étrangle de plus en plus - parvenus au pouvoir avec ou sans primaire à droite ou à gauche, et jugés aptes à compétitionner après passage obligatoire par le filtre électorale judéo-maçonnique et leurs chevaliers servants et complices sans vergogne : les grands média subventionnés avec l’argent de nos impôts pour désinformer sur l’essentiel.

 

(A suivre, si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1 et 2) Deux publications sur ces paroles de Jésus-Christ sont prévues par la suite, si Dieu veut.

 

(3) Ces massacreurs qui manifestèrent, par leurs actes ignobles, jusqu’à quel niveau de barbarie sont capables de descendre des hommes fanatisés par une idéologie de haine contre la religion catholique et, dont on sent déjà, de nos jours, l’odeur abject et la pratique nauséabonde manifestés par l’adoption de certaines lois criminelles qui ne reçoivent leur caractère de civilisées qu’à l’aune de la pourriture de l’esprit et des artifices de langage de ceux qui les promeuvent. Cette Barbarie révolutionnaire à l’encontre d’enfants, de femmes et de vieillards français qui, une fois retirée de dessous la chape de plomb du silence et de l’oubli volontaires, n’a rien à envier aux atrocités islamistes. Un exemple parmi d’autres : En 1794, le massacre des Lucs-sur-Boulogne, en Vendée, de 110 enfants de moins de 7 ans (sans doute de dangereux terroristes) par les Colonnes infernales révolutionnaires sous les ordres du général Cordellier, et ordonné par le général-en-chef Turreau.

 

MERCI A CEUX QUI VOUDRONT BIEN ENVOYER CET ARTICLE

A LEURS AMIS ET CONNAISSANCES POLITIQUES OU PAS.

 

René Pellegrini


Mis sur un autre blogue le 15 février 2017

jeudi 2 juin 2022

Nature de la royauté du Christ


 

LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 9

 

     Ayant établi le fondement scripturaire de la Royauté de Notre-Seigneur, le Pape se met en devoir de préciser la nature de celle-ci. Pour ce faire, dans un premier temps, il focalisera l’attention sur l’aspect spirituel et l’étendue de cette royauté.

NATURE DE LA ROYAUTE DU CHRIST


     Le Pape déclare « Cette royauté est surtout spirituelle (…) » mais, afin que nous ne tirions pas de fausses conclusions, il s’empresse de faire remarquer

« Toutefois, ce serait une erreur honteuse de dénier au Christ-homme la puissance sur les choses civiles quelles qu’elles soient ; (…) »

     Cette royauté du Christ est présentée comme « surtout spirituelle » mais pas seulement, car le Pape se charge de faire observer que ce serait « une erreur honteuse » de vouloir arbitrairement la circonscrire dans le domaine spécifiquement spirituel car, sa puissance royale s’exerce jusque sur « les choses civiles » Lesquelles ? « Quelles qu’elles soient ». Ainsi, aucune de ces instances civiles ne peut s’y soustraire ou être encouragées à le faire.

     Ce n’est pas parce qu’une société et des élites en état d’apostasie avancée lui refusent cette prérogative en l’excluant des institutions publiques et de la vie sociale par l’irrespectueuse, machiavélique, satanique et mortifère laïcité révolutionnaire (1) – je pèse mes mots - que les Catholiques doivent rester silencieux en s’abstenant de rappeler, jusque dans les Parlements, à tout cet ''aréopage'' de mécréants, cette « puissance » que possède le Christ sur « les choses civiles. »

     Jésus-Christ, étant l’auteur et la fin de toute la création, il a, par le fait-même, un pouvoir qui englobe tout l’univers et s’étend sur tout ce qui constitue le monde visible et invisible, la vie individuelle et la vie sociale.

     Cette royauté est d’abord et « surtout spirituelle » nous dit le Pape, car il va de soi qu’avant de pouvoir s’exercer, sur les individus et sur les sociétés, par ses maximes, ses lois et ses enseignements, elle se doit, en premier lieu, d’avoir pénétré dans les cœurs et dans les intelligences.

     Il en va de même pour toutes les idéologies qui veulent exercer leur pouvoir social et politique car ces deux pouvoirs sont coexistant dans l’ordre temporel. En dehors des cas d’imposition par la tyrannie, elles doivent au préalable s’efforcer de gagner l’adhésion d’une majorité de cœurs et d’intelligences avant de pouvoir concrétiser ce pouvoir dans la société humaine.

     Le Pape va mettre en exergue cette royauté « surtout spirituelle » par différentes citations des Saintes Ecritures, qui la mettront en évidence de deux manières :

     1 – En référence à une erreur d’appréciation chronologique.

     2 – En référence aux caractéristiques de ce royaume ou royauté de Dieu.

     Dans un prochain article nous examinerons le premier aspect : l’erreur d’appréciation chronologique.

 

(A suivre…« Le Royaume de Dieu, où et quand ? »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Rappelons que la laïcité révolutionnaire dont notre République s’est dotée, est le fruit vénéneux de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat du 9 décembre 1905, condamnée par l’Encyclique Vehementer Nos, du Pape saint Pie X, le 11 février 1906. Bouffie d’orgueil, elle expulse Dieu et sa loi morale du domaine institutionnelle et publique. La nature ayant horreur du vide elle se substitue à Dieu en proposant et encourageant la société, par sa permissivité coupable, la pratique de toutes les dérives d’immoralités dont nous sommes témoins, elle constitue une étape vers le satanisme.

 

Mis sur un autre blogue le 23 décembre 2014

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...