L’ADULTERE ET LA FORNICATION - 8
LA FORNICATION DANS LES SAINTES ECRITURES - 2
En espérant que la grâce de Dieu et le désir de l’aimer et de le servir vous
fassent être de ceux-là :
« C’est ce que quelques-uns de vous ont été, mais vous avez été
lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom de
Notre-Seigneur Jésus-Christ, et par l’Esprit de notre Dieu. » (I
Corinthiens VI, 11)
« Car autrefois vous étiez ténèbres, mais maintenant vous
êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière, (…) examinez ce qui est
agréable à Dieu. » (Ephésiens V, 8-10)
Pour aider à favoriser ce changement de comportement, ici-bas, pour vous-même
et le plus grand nombre, vous devez choisir sur le plan temporel entre deux
modes de vie provenant de deux civilisations générant deux types de
société :
1 - Soit vous mettre
au service de la civilisation moderne émanant du courant artistique et
intellectuel de la Renaissance, poursuivie par la Réforme religieuse
protestante et la philosophie dite des ‘’Lumières’’ qui s’avèrent être, en
s’écartant des lois divines, des ténèbres de plus en plus épaisses plongeant l’humanité
dans un véritable obscurantisme moral, spirituel, intellectuel et religieux. Ce
sont ces trois courants : artistique, religieux et philosophique qui
préparèrent la Révolution de 1789, avec laquelle, aujourd’hui, tous les partis
politiques, sans exception, ont unanimement œuvrés pour éjecter Dieu et
Notre-Seigneur Jésus-Christ de toutes les institutions publiques de l’Etat. Après
plus de deux siècles de planification et de mûrissement des lois laïques, leurs
conséquences logiques dans l’ordre moral et leurs retombées dans le domaine
social, économique, financier et politique, elles génèrent une course
inexorable vers le mensonge éhonté, l’immoralité, la décadence, le paupérisme
et, à plus ou moins long terme, la dictature politico-religieuse sans pitié d’un
système idéologique qui ne distinguera pas, comme l’enseigne la doctrine de
l’Eglise, entre ces deux
pouvoirs (1).
2 - Soit vous mettre
au service de la civilisation et de la société chrétiennes fondées sur la
sagesse des lois évangéliques et le respect des droits de Dieu, pour le
rétablissement moral, social, économique, financier et politique de la société.
Il n’y a pas, et il n’y a jamais eu, en politique (2) comme en religion,
de positionnement intermédiaire agréé par Dieu, et ce, depuis le Livre de la Genèse III, 15 faisant
état de deux postérités distinctes - celle de Dieu et celle du Serpent -
jusqu’au Livre de l’Apocalypse III, 16 dans lequel Dieu vomit les tièdes de sa
bouche.
Vous devez donc choisir
entre le soutien et la défense du laxisme fou et de l’impiété des lois et des
suggestions laïques et républicaines sur les mœurs, OU
le soutien et la défense des lois et des conseils éprouvés de la sagesse de
Dieu sur cette question, en adoptant le programme de Notre-Seigneur, de Saint
Paul et de l’enseignement de l’Eglise catholique préconisé par Saint Pie X : « Tout restaurer dans le
Christ. »
(Lettre sur le Sillon, 25 août 1910).
Vous devez donc vous
placer et travailler sous l’étendard de la Révolution, sa laïcité
et sa ‘’morale’’ sataniques avec pour finalité la damnation éternelle, OU
vous placer et oeuvrer sous l’étendard des béatitudes et
des enseignements moraux de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de l’Eglise avec
comme finalité la félicité éternelle.
Face à la barbarie qui s’annonce vous n’avez plus d’autres alternatives…
… « Car c’est par lui (Jésus-Christ) que toutes choses ont été créées dans les cieux et sur la
terre (…) Et
lui-même est le chef du corps de l’Eglise (…) Parce qu’il a plu au Père que
toute plénitude habitât en lui ; et
par lui de se réconcilier toutes choses, pacifiant par
le sang de sa croix, soit ce qui est sur
la terre, soit ce qui est dans les cieux. » (Saint Paul
aux Colossiens I, 16-20)
Si, jusqu’à ce jour nous avons été
désinvolte avec les préceptes de Dieu, si nous nous sommes laissés façonner par
les mœurs et les modes du monde et nous les avons promotionnées, il est sage de
réformer ses voies en les bordant désormais par les commandements et les
conseils divins et de l’Eglise qui permettront de s’approcher de Dieu en toute
confiance pour solliciter son pardon, sachant que :
« Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront
blancs comme la neige, et s’ils sont rouges comme le vermillon, ils seront
blancs comme la laine. » (Isaie I, 18)
« Tout ce que me donne mon Père viendra à moi, et celui qui
vient à moi, je ne le jetterai pas dehors » (St Jean VI, 17)
FIN DE ADULTERE ET FORNICATION
René
Pellegrini
(1) Je dis bien distinction entre politique et religion
et non séparation comme les abrutis de 1905 l’ont votée pour pouvoir s’accaparer
la sphère morale et poursuivre avec ténacité et implacabilité la
déchristianisation de la France,
avec les conséquences que l’on voit de nos jours.
(2) En saine
philosophie, la politique est une partie de la morale qui se divise en trois
parties : l’éthique ou art de la conduite individuelle, la politique
ou art de gouverner une cité et l’économie ou art de la gestion
familiale. Ce qui signifie que parler d’économie politique associant gestion de
la maison avec gouvernance de la cité est contradictoire et donc signe de
l’erreur. Celle-ci aura donc des conséquences sur la valeur des échanges. Si
cette science appelée l’économie politique est apparue au XVIIIe siècle c’est
pour résoudre le problème de la valeur indépendamment de la morale. C’est ce
qui a fait la force et assuré la victoire du judaïsme, car c’est dans le prêt à
intérêt que réside la force du libéralisme, cette doctrine qui favorise le
judaïsme et sa domination. La politique lorsqu’elle n’est pas confondue avec la
« cuisine électorale » est ordonnée à la poursuite du bien commun qui
est la vie vertueuse de la multitude.
Mis sur un autre blogue le 3 avril 2014