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jeudi 27 octobre 2022

Le Nouvel Ordre Mondial - 1 : La Renaissance ou le triomphe du paganisme


      Le mondialisme luciférien reprend à son compte la tentative avortée d’unité mondiale entreprise par Nemrod, suite à l’intervention de Dieu pour y mettre fin et disperser, en 72 nations, les bâtisseurs. Nous savons donc ce qui attend cette Nouvelle Tour de Babel mondialiste et leurs constructeurs en voulant détruire les nations voulues par Dieu.

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL - 1

AVANT-PROPOS :

LA RENAISSANCE OU LE TRIOMPHE DU PAGANISME

     Avant d’aborder l’étude du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M) sous ses aspects politiques et religieux, un avant-propos, sans doute utile, sur la Renaissance qui a enclanché un méthodique et implacable mécanisme qui devait aboutir à la Révolution dite française de 1789, son exportation dans le monde et ses bouleversements sociaux, politiques et religieux créant ainsi, étape par étape, les conditions nécessaires pour une Révolution universelle à vocation tyrannique.

     Cette Révolution française, après l’irrévérencieuse exclusion de Dieu par la constitution révolutionnaire de 1789, amènera la France à s’installer progressivement dans l’apostasie, et à l’officialiser de nouveau, législativement et publiquement, en 1958, par un référendum initié par le ''catholique'' mais Franc-maçon Charles De Gaulle, faisant ainsi de la France une « République laïque » c’est-à-dire étrangère à Dieu, après qu’il ait permis, vers la fin 1943, et pour cause, la restauration en France de la Franc-maçonnerie, ennemie séculaire de l’Eglise catholique avec le judaïsme kabbalistique et rabbinique. Référendum inique avalisé par les Catholiques - très majoritairement démocrates politiquement - après les encouragements donnés par un groupe d’évêques et de cardinaux français félons. 

     Dire que la France est en état d’apostasie religieuse, par son adhésion au naturalisme politique, ne doit plus étonner grand monde, sauf ceux qui font litière de la foi et de ses exigences dans l’analyse religieuse, sociale et politique de la « fille aînée de l’Eglise ». Cette apostasie remonte chronologiquement, dans ses prémisses, à ce qui a été pompeusement appelé la ''Renaissance'' c’est-à-dire un mouvement littéraire, artistique et scientifique fondé sur l’imitation de l’Antiquité et qui naquit à Florence, en Italie, dès la première moitié du « quattrocento » (période s’étendant approximativement de la fin du XIVe au XVe siècle (1), et que le roi François Ier, fasciné par l’Italie, introduisit dans notre pays au début du XVIe siècle.   

     Ce mot de Renaissance, qui ouvrira la voie à la Réforme protestante et à la Révolution de 1789, fut en réalité comme un cri de guerre annonçant une incroyable résurrection du paganisme en terre chrétienne. Cette paganisation de la société française qui a eu, qui a, et qui aura des conséquences ultimes très graves se caractérise par :  

ITrois éléments constitutifs  

     1 – L’élément intellectuel : émancipation de la raison ou rationalisme.  

     2 – L’élément moral        : émancipation de la chair ou sensualisme.  

     3 – L’élément social qui rend le divin et le social identiques en confondant :  

      * La divinité avec telles créatures ou l’ensemble des créatures par la divinisation de la nature ou l’annexion de Dieu à la nature  

      * La religion et les devoirs civiques avec le culte compris dans les fonctions du citoyen. Ce culte des citoyens s’adressant à l’Etat, soit directement, soit à travers une religion officielle.     

IITrois grands caractères spécifiques qui apparaissent lorsque ces éléments constitutifs sont parvenus à leur développement complet :  

     1 - En matière religieuse :  

- L’incroyance parmi les lettrés  

- L’indifférence parmi le peuple qui, du moment qu’il a du pain, des jeux et des plaisirs sensuels en tous genres et à outrance, se satisfait de ces choses considérées comme  la quintessence du bonheur humain.  

- L’indifférence politique en vertu de laquelle toutes les religions sont également bonnes et également mauvaises aux yeux des gouvernements. Postulat de l’indifférentisme religieux que doivent adopter et proclamer nos hypocrites hommes et femmes politiques dits catholiques pour pouvoir faire carrière.    

     2 - En matière sociale :  

     Une civilisation matérielle très avancée, très corrompue et corruptrice parce qu’elle ne pense qu’au bien-être matériel de l’homme et produit deux grands résultats : le luxe scandaleux d’un petit nombre, et la misère toujours plus grande d’un nombre toujours plus important.  

     3 - En matière morale :  

     Une fièvre ardente de l’argent et du plaisir accaparant toutes les préoccupations et qui pousse sinon au mépris de la loi au moins à celui de la morale :     

- la légalisation du divorce, du mariage civil, du concubinage, du Pacs et de la perversion sexuelle masculine et féminine qui s’étale, sans aucune honte, dans toutes les classes sociales, la contraception, le lâche et criminel avortement qui souligne au passage la putréfaction intellectuelle et morale de ses législateurs et souscripteurs qui, s’en prenant à des êtres sans défense, réalisent froidement un odieux massacre des innocents, bénéficiant au surplus du remboursement de la Sécurité Sociale et, comme on n’arrête pas le ‘’progrès’’ (surtout dans la dégénérescence et l’avilissement moral), avec en ligne de mire l’euthanasie (déjà à l’oeuvre), l’eugénisme et le clonage à grande échelle, si Dieu n’y met un terme jugeant que l’iniquité est à son comble.  

     Ces éléments constitutifs du paganisme lui font atteindre son apogée lorsque, selon les modèles de l’Antiquité (la référence de la ''Renaissance''), un quatrième caractère apparaît : le Césarisme c’est-à-dire la concentration dans la main d’un seul homme, à la fois souverain pontife et empereur, de tout pouvoir religieux et social ou politique, ce qui n’est autre que le règne absolu de la force : la dictature et la tyrannie, la phase ultime de l’incarnation de l’homme sans Dieu.     

(A suivre…« Traduction politique du Nouvel Ordre Mondial »…si Dieu veut) 

René Pellegrini

 (1)La Renaissance italienne du Quattrocento et quelques pays européens s’étend du XIVe siècle au XVe siècle. Elle s’étend à toute l’Europe aux XVIe siècle.

 

Mis sur un autre blogue le 14 octobre 2012

 

lundi 3 octobre 2022

La monarchie catholique de droit divin - 1


Drapeau fleurdelysé du Royaume de France 

LA MONARCHIE CATHOLIQUE DE DROIT DIVIN - 1

 

     Ma page Facebook est monarchiste, car la monarchie est le fondement constitutionnel et temporel sur lequel Dieu a voulu édifier la France. Qu’il y eut de plus ou moins bons rois cela ne change rien à ce qui a été posé à l’origine. La monarchie est le gouvernement légitime de la France, le gouvernement de droit. Le gouvernement révolutionnaire et républicain n’est qu’un gouvernement de fait, un gouvernement d’usurpation, permis par Dieu en châtiment des péchés et infidélités répétés des français méprisants ou indifférents envers les lois divines et les avertissements des Papes. Cependant, la nation française, la France - devenue plus fréquemment l’hexagone dans la bouche des média - que le pouvoir occulte judéo-maçonnique s’efforce de dissoudre dans la construction européenne et le mondialisme, a été établie par Dieu sur la personne de Clovis - chef de la tribu franque - par le moyen de l’Eglise, après sa conversion à Jésus-Christ avec trois mille de ses guerriers, et elle demeure de droit une monarchie que Dieu se chargera de rétablir lorsque la France aura bue le calice de toutes ses iniquités. (1)

     Mon ami, mon frère, comprenons-nous bien ! Par monarchie ou royauté je n’entends pas un monarque ou un roi constitutionnel folklorique, jouet des assemblées parlementaires et du pouvoir occulte, comme il en existe en Europe (Belgique, Pays Bas, Suède, Grande Bretagne, Norvège, Danemark) mais, un roi selon le cœur de Dieu, soumis à l’accomplissement de la volonté de Notre-Seigneur, à ses commandements, et pas sur l’imposture des Droits de l’homme (sans Dieu) dans lesquels l’être humain finit par devenir, sous l’angle de la morale, un jouisseur effréné incité à satisfaire ses passions les plus dégradantes et, sous l’angle économique, une marchandise ou une variable d’ajustement dans les entreprises. Un roi catholique déterminé à remettre Jésus-Christ à sa vraie place dans la nation, et soucieux du bien commun spirituel et temporel de ses sujets, visant à assurer le bonheur temporel et le salut éternel du plus grand nombre.

     Pour rétablir cette prérogative monarchique de la France qui donne de l’urticaire, des convulsions, non seulement aux ennemis jurés de Dieu et de l’Eglise catholique mais aussi à bon nombre de Catholiques garantis grand teint et que le seul mot de « chrétienté » indispose ou tétanise, deux textes (non exhaustifs) : 

« Apprenez, mon fils, que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise romaine, qui est la seule véritable Eglise du Christ (...) Ce royaume sera un jour grand entre tous les royaumes et il embrassera toutes les limites de l’Empire romain. Et il soumettra tous les peuples à son sceptre ! Il durera jusqu’à la fin des temps. Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la foi romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation » (Prophétie de Saint Rémi, en la fête de Noël 496, dans la cathédrale de Reims, lors du sacre de Clovis) 

     La France (pas la Gaule d’Astérix) violemment détournée de sa vocation par le bain de sang et la Terreur initiés par la Révolution de 1789, planifiée et aiguillonnée par la secte judéo-maçonnique, et par le travail de sape entrepris depuis lors à l’encontre de tout ce qui pouvait revêtir un caractère catholique et chrétien, se trouve en état d’apostasie avec comme conséquence : à apostasie permanente et se radicalisant de plus en plus, en actes et par décrets, une ‘’main’’ de Dieu qui s’appesantit de plus en plus sur notre pays et par ricochet sur les nations : de Dieu on ne se moque pas…sans graves et tragiques conséquences. 

     Pour les catholiques libéraux ou entachés de libéralisme, fascinés par le concile Vatican II, et pour l’univers mental des adeptes de la soporifique, anesthésiante, abrutissante et pathologique théorie négationniste du complot (2), englués dans la mortifère laïcité républicaine qui a expulsé de toutes ses institutions Jésus-Christ - dispensateur et voie UNIQUE de salut pour les âmes, et leur accès au Père - mais aussi contempteurs, quand ils ne la vomissent pas, de cette prérogative attribuée à la France et les conditions de celle-ci, pour toutes ces personnes, la confirmation d’un Saint Pape : 

« Vous direz aux Français qu’ils fassent leur trésor des testaments de Saint Rémide Charlemagne et de Saint Louis, qui se résument dans ces mots si souvent répétés par l’héroïne d’Orléans ‘’ Vive le Christ qui est Roi de France ! A ce titre seulement la France est grande parmi les nations. A cette clause, Dieu la protégera et la fera libre et glorieuse. A cette condition, on pourra lui appliquer ce qui dans les Livres Saints est dit d’Israël : Que personne ne s’est rencontré qui insulta ce peuple, sinon quand il s’est éloigné de Dieu » (saint Pie X à l’évêque d’Orléans, lors de la lecture du Décret de Béatification de Jeanne d’Arc, le 13 décembre 1908 – Actes – tome V, pp. 204 et 205) 

 (A suivre…« site monarchiste - 2 »…si Dieu veut)

René Pellegrini 

(1) L’antichristianisme et la haine anticatholique sont manifestes de nos jours. Alors que les média aux ordres, très bavards pour des propos désobligeants à l’égard des autres religions ou de leurs pratiquants (Judaïsme et Islam), se montrent beaucoup plus réservés lorsque l’Eglise catholique, Jésus-Christ et sa sainte Mère sont salis dans des films, des affiches, des œuvres dites artistiques ou des spectacles blasphématoires. Actuellement, a moins d’être aveugle et dupe des discours rassurants - et comme châtiment permis par Dieu pour l’apostasie religieuse de la France - tout est mis en œuvre, par la judéo-maçonnerie aidée par la meute journalistique, pour favoriser la propagation de l’Islam en France, avec comme objectif d’abaisser le catholicisme et, à terme, si possible, de détruire tout ce qui pourrait rappeler un passé chrétien et catholique, en utilisant le moindre prétexte pour le monter en épingle et, sans nuance, conditionner insidieusement les esprits dans le sens du mépris et du rejet. Désormais, cette haine antichrétienne et antichrist ne peut que s’intensifier au travers du mépris grandissant affiché à l’égard des commandements de Dieu et de la morale catholique, et de la dénonciation, sans réserve et sans langue de bois de ces comportements pervers et sataniques, par ceux qui veulent rester fidèles aux lois divines. Il y a incompatibilité totale entre ces monstrueux monuments d’iniquité que sont les constructeurs de la cité du diable et les défenseurs de la Cité de Dieu. Cet assaut diabolique contre les lois de Dieu, ici-bas, sur le plan inférieur, illustre la bataille décisive qui se joue sur un plan supérieur entre Dieu et ses anges fidèles, et Satan et les anges déchus, les démons, pour la possession des âmes : il est urgent de choisir son camp.

(2) Concernant les contempteurs catholiques (et les autres) du complot anti-chrétien, on s’interroge sur ce qui peut le plus les caractériser : leur désinvolture, leur candeur, leur crétinisme ou leur complicité, lorsque le Pape Léon XIII déclare déjà en 1892 :  

« En pénétrant à fond, à l’heure présente encore, la portée du vaste complot que certains hommes ont formé d’anéantir en France le christianisme, et l’animosité qu’ils mettent à poursuivre la réalisation de leur dessein (…) » (Lettre Encyclique, Au milieu des sollicitudes, 16 février 1892)

     J’ajoute aujourd’hui 2 octobre 2022 : Ecoutez donc les Papes qui voient clairs et mettent en garde longtemps à l’avance, et pas ceux qui vous invitent à collaborer à ce nouveau mystificateur qu’est le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M) cette nouvelle tentative d’unité mondiale que Dieu dispersa lors de la construction de la Tour de Babel. Ce projet se dresse contre Dieu puisque c’est Lui-même qui à voulu les nations « remplissez la terre »dit-il à Noé, sitôt sorti de l’arche ; et non rassemblez-vous, ce que voulait les bâtisseurs de Babel, projet qui se dressait contre celui de Dieu. C’est ce qui attend les constructeurs du N.O.M, après avoir provoqué bien des malheurs, et auquel nous demande de collaborer le Vatican !!! (Lire Genèse chapitre XI, et la Table des nations au chapitre X.

NOTA BENE :

Afin, de faire ressortir, les couleurs, les soulignés et les gras, mais aussi pour palier aux disparitions de photos et de publications sur FaceBook, cet article, et les suivants, seront mis en même temps sur mon blogue :


Mis sur un autre blogue le 31 janvier 2013 


 

mardi 27 septembre 2022

La Contre-Révolution qu'est-ce à dire ? - 8 : But et Moyens - 2


 « Tout restaurer dans le Christ » (Colossiens I, 10)


LA CONTRE-REVOLUTION QU’EST-CE A DIRE ? - 8 :

BUT ET MOYENS – 2

 

« Tout restaurer dans le Christ » (Colossiens I, 10)

 

     Je suis toujours sidéré lorsque je lis sur des sites catholiques des messages ponctués par des appels à la Révolution. Pour qui travaillent ces gens-là ? Que penser de ces administrateurs de forums, de blogues qui laissent de tels inconscients agiter ce genre de propagande ? Ces personnes sont-elles Catholiques ? Catholiques libérales ou entachées de libéralisme certainement. Catholiques, j’en doute, car s’ils l’étaient vraiment ils sauraient que la Contre-Révolution - pas la Révolution fruit de l’ignorance et de l’orgueil  dont on connaît l’inspirateur satanique - n’est possible et victorieuse qu’avec des autorités légitimes : temporelle et religieuse de droit pour la diriger, et non de fait. Ce qui n’est pas le cas présentement. Ce qui veut dire que cette tentative de renversement serait vouée à l’échec et, encore et toujours, à l’avantage de cette tumeur mortifère qu’est la Révolution, qu’on se proposait justement d’éliminer.

     Il est illusoire de vouloir renverser sans autorités légitimes, un système qui depuis plus de deux siècles a soigneusement filtré et verrouillé les modalités d’accès aux postes stratégiques et vitaux pour sa survie et, de plus, expert en noyautage destiné à faire dériver tout mouvement politique et syndical façonné par le broyage et le recyclage sociologique de mai 1968. De même, pour toutes manifestations jugées réellement hostiles à ses plans. A ces inconscients on rappellera, par charité chrétienne, ce que disait déjà à son époque le Cardinal Pie, et ô combien factuel :

« Malgré leurs vains efforts pour se hausser et se grandir, les hommes continuent de descendre et chacun des sauveurs qui apparaît à l’horizon ne tarde pas à tomber au-dessous de celui qui l’a précédé ; c’est comme une compétition et une rivalité d’impuissance. » (Homélie lors de la solennité du couronnement de Notre-Dame de Lourdes, 3 juillet 1876 – Œuvres IX, 345-346) (1)

     Actuellement, il n’y a plus – pas même Marine Le Pen (2) – d’hommes politiques capables de guérir la société de sa laïcité insultante à l’égard de Dieu et de sa fièvre révolutionnaire aux visages multiples générés par les faux et mortifères principes de la Révolution de 1789, et d’arrêter le châtiment des sociétés humaines ayant rejeté Notre-Seigneur par leur apostasie. Nous savons que toute apostasie généralisée reçoit son châtiment par Dieu, comme toute l’histoire nationale et religieuse d’Israël nous l’enseigne, et comme l’atteste toutes les tragédies déjà vécues par la France et l’Europe, aux mains des cercles politiques et mondialistes judéo-maçonniques et leurs supplétifs, et soumises à leurs influences antichrétiennes depuis plus de deux siècles.

     La France, livrée aux mains de ses ennemis politiques et religieux, arrachant avec frénésie les racines de ce qui l’a construite pendant treize siècles, se rue vers sa servitude. Humainement parlant tout est perdu comme le montre, à l’évidence, la trajectoire législative foncièrement antichrétienne et dissolvante élaborée par les divers gouvernements français de droite et de gauche, ainsi que l’histoire des tentatives de restauration monarchique avortée : les mouvements monarchiques étant eux-mêmes divisés, noyautés, et inexorablement dérivés, comme c’est encore le cas aujourd’hui.

     La Contre-Révolution sera possible et victorieuse lorsque paraîtront les autorités légitimes que sont le Saint Pape et le Grand Monarque annoncés, dans le cours des siècles, par une longue suite de prophéties privées. Voir ici : https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-propheties-sur-la-france-2.html Les hauts dirigeants illuminés de la secte judéo-maçonnique donneraient cher pour pouvoir identifier, aujourd’hui ou demain, ce Grand Monarque, instrument de leur défaite, et lui faire un mauvais sort. Ils n’ont aucune illusion à se faire. Il est, ou sera (comme Sainte Jeanne d’Arc) dans la main de Dieu pour l’heure qu’Il s’est choisi pour détruire, de fond en comble, le cloaque des Républiques démocratiques pourvoyeuses d’impiétés et de vices. Pour ce Monarque, Dieu n’aura nul besoin de cette double escroquerie intellectuelle et morale du suffrage universel et du ‘’peuple souverain’’ pour les faire apparaître, pas plus qu’il n’eût besoin de ce procédé pour accomplir ses grandes œuvres du passé.

     En attendant, avec patience, dans la pénitence et la prière, plutôt que nous agiter en tous sens suite aux harangues d’un inconscient (peut-être de bonne foi) n’ayant aucune autorité légitime, et que, tant qu’à parler de bête, je cite, tel quel :

« QUELS SONT DONC LES VALEUREUX FRANÇAIS CHRETIENS QUI IRONT CONTRE MANIFESTER CONTRE LA RFID ET LES PUCES IMPLANTABLES (= MARQUE DE LA BETE) ??? » ou, pour d’autres, d’en appeler au nombre (imitation de la démocratie) du genre « Venez nombreux ! » à notre rassemblement protestataire X ou Y, alors que Dieu, dans un environnement hostile, à l’habitude de faire de grandes choses avec ce qui est jugé insignifiant et sans force par le monde. Et ce, pour confondre ce qui est plus fort (David et Goliath, Gédéon et les Madianites, Sainte Jeanne d’Arc et les Anglais) afin que personne ne puisse, avec évidence, s’en attribuer le mérite et que toute gloire soit rendue à Dieu.

     Alors, plutôt que s’appuyer illusoirement sur le nombre, sur des rassemblements et des foules hétéroclites, aux intérêts divergents, commençons par réformer nos intelligences, soyons vigilants, et travaillons au sauvetage spirituel du « reste » comme le recommande l’ange de l’Eglise de Sardes, période de l’Eglise dans laquelle nous sommes encore, pour peu de temps, semble-t-il :

« Sois vigilant, et affermis ce qui reste et qui est près de mourir (…) » (Apocalypse III, 2)

     Inutile de s’agiter dans l’activisme politique, mais se souvenir lorsqu’on veut bien dépasser l’analyse purement matérielle et ponctuelle des choses pour les jauger au plan surnaturel :

« Nous savons que toutes choses (même les mauvaises) coopèrent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés saints selon son décret. » (Romains VIII, 28)

     En effet, les actes mauvais commis contre les chrétiens, avec la permission de Dieu, sont ordonnés à leur sanctification comme l’enseigne l’Eglise, et comme l’enseigne l’exemple et la conduite de Jésus-Christ avec les méchants et ses ennemis.

     Laissons au Bon Dieu la prérogative d’assurer le salut de ceux qui l’aiment à la manière qu’il jugera la plus convenable et profitable pour eux, aux milieux des tribulations de toutes sortes

     Tel est le décret éternel de Dieu pour ceux qui reflètent en eux-mêmes l’image de Jésus-Christ, comme Lui-même reflète l’image du Père qui est dans les cieux.

     Dans ces temps d’apostasie généralisée et de grands dangers pour les âmes, en dépassant l’aspect visible des luttes et vicissitudes mondiales, se souvenir que deux puissances sont en lutte : la Révolution d’inspiration satanique et la Révélation de Dieu. Pour ce combat dont les implications dépassent la sphère terrestre, dans l’attente des moyens prévus par Dieu pour faire éclater sa gloire et sa justice, seules les armes divines seront efficaces pour notre salut. Méditez et imprégnez-vous des versets 28 à 39 du chapitre VIII de l’Epître aux Romains soulignant la qualité morale qui donne ce privilège de voir « tout coopérer à notre bien » à savoir « notre amour pour Dieu » et dès lors plus RIEN « ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu » ce qui, au-delà de tous les aléas de la vie, est le plus essentiel pour notre salut éternel.

« Tout restaurer dans le Christ » (Colossiens I, 10)

 

FIN

René Pellegrini

 

(1) C’est moi qui mets en gras dans le texte.

(2) Comme tous les autres prétendants, Marine le Pen n’a pas l’envergure morale ni la puissance politique nécessaires pour renverser ce qui relève du surnaturel ou, pour le dire comme Saint Paul, : « Ce n’est pas contre la chair et le sang que nous avons à lutter (…) mais contre les esprits de malice des régions célestes. » (Ephésiens VI,12) à savoir : le mystère d’iniquité – et son noyau dirigeant - qui hypnotise, ensorcelle et fait déraisonner toutes les sociétés humaines. Le croire possible s’est enfoncer dans une nouvelle et cruelle illusion. La solution aux problèmes français et mondiaux ne relève plus des moyens naturels et institutionnels issus de l’imposture révolutionnaire, de son mantra fétichiste et mystificateur Liberté-Egalité-Fraternité, ni de la promotion de la République universelle et démocratique, ou pour le dire à la manière de Blanc de Saint Bonnet « Ils veulent remettre le navire à flot avec une partie des moyens qui le retiennent dans la vase » (3). Certainement pas de cette façon, mais par la mise en œuvre des moyens prévus par Dieu et dont le terme nous a été donnée il y a plus de 170 ans : « Par un acte de sa justice Dieu commandera à ses anges que tous ses ennemis soient mis à mort. » (Message de La Salette, 1846). Tant que nous sommes en vie, profitons de ce temps de la bienveillance de Dieu pour nous réconcilier avec Dieu, avant que n’arrive le temps de sa justice où chacun reçoit selon ses œuvres, faites selon la volonté Dieu ou contre Lui. (Aujourd’hui, on peut y ajouter Eric Zemmour)

(3) Antoine-Joseph-Elisée-Adolphe Blanc de Saint Bonnet (1815-1880) est un philosophe et sociologue catholique, contre-révolutionnaire, antilibéral et légitimiste. Il est un des meilleurs critiques de la Révolution française. Quasiment inconnu de nos jours, la bête immonde sait bien ceux qu’il faut laisser dans l’oubli et ceux dont ils faut faire la promotion aussi dépravés soient-ils.)

 

Mis sur un autre blogue le 20 juin 2015

 

vendredi 19 août 2022

La Royauté du Christ sur les sociétés civiles


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 17

 

LA ROYAUTE DU CHRIST SUR LES SOCIETES CIVILES

 

     Bien que cette royauté du Christ puisse être refusée individuellement, familialement et socialement, elle concerne, par droit de conquête et de nature de Jésus-Christ, toutes les nations qu’elles soient chrétiennes ou non chrétiennes.

 

     Les sociétés civiles rendent manifeste l’acceptation, sur elles-mêmes, de cette royauté lorsqu’elles :

 

     * Rendent à Dieu l’hommage suprême qui lui est du.

 

« Offrez au Seigneur, familles des nations, offrez au Seigneur la gloire et l’honneur ; offrez au Seigneur la gloire due à son nom (…) » (Psaumes XCV, 7-8 ; 96, 7-8 dans les Bibles protestantes)

 

     La France, en particulier, répond-elle à cette exhortation de rendre gloire et honneur à Dieu lorsqu’elle le découronne en lui refusant, par la laïcité et l’apostasie qui l’accompagne, de le voir régner sur la société française ? Lorsqu’elle piétine allègrement ses lois morales, s’en fait une gloire en proposant des mœurs païennes et révoltantes comme des avancées sociétales ? Lorsqu’elle permet le blasphème en paroles et en actes dans la littérature, les chansons, la peinture, la sculpture, le cinéma, etc. ?

 

     Comment le pourrait-elle lorsque le peuple, majoritairement ‘’chrétien’’, remet le pouvoir politique entre des mains judéo-maçonniques ou révolutionnaires (c’est tout comme), ennemis du Christ et de sa Royauté ? Aujourd’hui, dire :

 

« Nous sommes en République ! » équivaut à dire : « Nous sommes en judéo-maçonnerie ! » puisqu’elle est sa fille.

 

     * Font remonter jusqu’à lui l’origine première :

 

      - de leur autorité assurée qu’elles sont de sauvegarder ainsi les garanties du commandement en haut,

 

      - de leurs droits avec les sentiments de soumission et de dignité chez ceux qui doivent obéir.

 

« Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures : car il n’y a pas d’autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent ont été instituées par Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordre établi par Dieu ; et ceux qui résistent attirent la condamnation sur eux-mêmes ». (Romains XIII, 1,2)

 

     Concernant la Tribu de Juda de la Nouvelle Alliance qu’est la France, dont l’alliance avec Dieu remonte à 496, au Baptistère de Reims, dont la vocation et la mission divine est de défendre l’Eglise romaine, il faut se poser simplement cette question qui est capitale pour la destinée immédiate de notre pays : parmi les prétendant(e)s à la présidence de la France :

 

     - Lequel ou laquelle, par son programme politique est de nature à poser la France sur un fondement permettant de « rendre à Dieu l‘hommage suprême qui lui est du » alors que tous se réclament de la laïcité qui n’est autre que l’exclusion de Dieu de la vie sociale et politique de notre pays, et des Droits de l’homme qui sont la négation des Droits de Dieu comme le démontre à l’évidence les lois de notre pays ?

 

      - Lequel ou laquelle fait ou ferait « remonter jusqu’à Dieu  l’origine première de son autorité » lorsque nous les voyons tous jouer des coudes pour la recevoir de l’escroquerie intellectuelle et morale du ''peuple souverain'' ?

 

     Pour aimer la France, une conception purement naturaliste et nationaliste est très insuffisante. On aime vraiment ce pays lorsqu’on le considère AUSSI sur le plan surnaturel, selon le fondement sur lequel il a été posé, et la mission divine qui lui a été confiée de « protéger la foi catholique et la liberté religieuse ». Il est donc important et urgent, afin de ne pas se fourvoyer dans de faux combats et s’illusionner sur de fausses et illusoires promesses, de peser les prérogatives de la France et ce qu’elle représente aux yeux de Dieu en lisant ce qu’écrivit le Pape Grégoire IX :

 

« Dieu, auquel obéissent les légions célestes, ayant établi ici-bas des royaumes différents, suivant la diversité des langues et des climats, a conféré à un grand nombre de gouvernements des missions spéciales pour l’accomplissement de Ses desseins. Et comme autrefois Il préféra la tribu de Juda à celles des autres fils de Jacob et comme il la gratifia de bénédictions spéciales, ainsi il choisit la France, de préférence à toutes les autres nations de la terre, pour la protection de la foi catholique et pour la défense de la liberté religieuse. Pour ce motif, la France est le Royaume de Dieu même, les ennemis de la France sont les ennemis du Christ ». (Lettre de 1239, au roi Louis IX ou Saint Louis)

 

     Tel a été le choix de Dieu parmi toutes les nations, avant que vous et moi nous ne soyons nés. En chassant, par la laïcité, Jésus-Christ des institutions françaises, on se constitue « ennemi du Christ » et ce faisant « ennemis de la France ». Il n’est donc pas difficile de reconnaître qui se révèle ennemi du Christ et de la France, déjà dans sa patrie.

 

     Eu égard au fondement qui a été posé, l’ennemi de ce peuple sera aussi, qu’elles que soient ses dénégations, toujours reconnaissable à ceci : son attitude face à la mission divine de la France et la place dévolue à Jésus-Christ dans ce pays. La France révolutionnaire de 1789, sous ses différents masques politiques, s’inscrit en totale opposition avec la France issue de Clovis et patiemment façonnée par la monarchie catholique au cours des siècles qui suivirent.  

 

     Sans ces deux conditions « rendre à Dieu l‘hommage suprême qui lui est du » et « faire remonter jusqu’à Dieu l’origine première de son autorité et de ses droits » il est indécent, mensonger et malhonnête,  pour tout(e) candidat(e) à l’élection présidentielle, de promettre un avenir meilleur pour la France.

 

     Il n’est pas douteux qu’en l’absence de dispositions et de lois sérieuses pour restaurer les droits de Notre-Seigneur sur la société, tous les prétendant(e)s qui se veulent nationalistes ou patriotes ne sont, en dépit de certaines apparences, pas moins révolutionnaires que tous ceux qui les accompagnent sur l’échiquier politique. Un(e) français(e) s’inscrivant dans la tradition chrétienne qui a façonné la France est, avant tout, un défenseur de l’Eglise, un chrétien au service du Christ et patriote, fidèle à la foi de ses Pères en obéissance au quatrième commandement de Dieu

 

« Honorez votre père et votre mère (…) » (Exode XX, 12) (1)

 

     Donc, prudence avec la foison de blogues ou de sites dits nationalistes ou patriotes. Afin de ne pas être entraîné sur une voie de garage, considérez bien la solidité des appuis sur lesquels ils se fondent, ou la priorité de leurs motivations. Ne pas oublier que la France, de part la nature de sa fondation et de sa vocation repose sur deux piliers (2) : le Pape légitime, c’est-à-dire non soumis à la collégialité des évêques qui est une doctrine d’inspiration gallicane, et le Roi très chrétien ou catholique. Nous n’avons ni l’un ni l’autre pour l’instant. C’est Dieu Lui-même qui nous les donnera. Ce sera un miracle, une œuvre divine afin que nul homme ne se glorifie, comme autrefois il suscita le jeune berger David pour abattre le redoutable géant philistin Goliath, le juge Gédéon et ses 300 soldats pour mettre en fuite 135000 Madianites, et la jeune bergère Jeanne d’Arc pour chasser les troupes anglaises hors de France.

 

     La France reposant sur deux piliers, c’est la raison pour laquelle la judeo-maçonnerie s’est d’abord attelée à détruire les monarchies catholiques (bouclier de l’Eglise romaine) pour pouvoir ensuite atteindre et infiltrer plus facilement l’Eglise et la détruire si possible (3) ou la faire dériver par influence, en lui apportant les changements nécessaires pour la faire entrer dans un processus œcuménique, afin de la faire œuvrer à une fausse unité ecclésiale, en contradiction avec l’Encyclique Mortalium Animos du Pape Pie XI, du 6 janvier 1928)  

 

(A suivre…« L’étendue de la Royauté du Christ »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

 

(1) Dans ce commandement, honorer veut dire : aimer, obéir, assister.

(2) Le Pape porte le glaive spirituel, le Roi le glaive temporel (Doctrine des deux glaives du Pape Boniface VIII dans sa Bulle Unam Sanctam, 18 novembre 1302)

(3) La destruction de l’Eglise catholique fut suggérée par les Grands Satrapes et Rabbins de Babylone au XVIe siècle, par une lettre à Chamor, rabbin des Juifs d’Arles (France) « (…) faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. »  (mis sur cette page le 24 mars 2020). C’est ce qui s’est fait sans oublier les Francs-Maçons, mais c’est peine perdue car les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle, c’est la promesse formelle de Jésus-Christ (St Matthieu XVI, 18 ). Cependant, ils pourront en faire apostasier beaucoup.

 

samedi 13 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 4 : Antijudaïsme rabbinique, pourquoi ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 4


LA RELIGION JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE

 

ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE, POURQUOI ?

 

     Si des chrétiens mettent les Juifs en cause, ce n’est pas parce qu’ils sont de race sémite, ce serait absurde, mais pour l’inoculation et la mise en pratique de leurs principes moraux, sociaux et politiques issus de leur judaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique dans les pays qu’ils vampirisent en compagnie de tous ceux qui les secondent, dans leurs œuvres iniques, par appât de l’argent, intérêt, opportunisme, arrivisme ou haine de la France chrétienne et de l’Eglise. En définitive des personnes déchristianisées dont l’esprit s’est plus ou moins judaïsé, par l’adhésion à des principes mortels de vie sociale et politique contraires à l’essence même de ce qui est constitutif de la France et du christianisme : principes qui ne peuvent que leur nuire et les détruire. Si nous n’avions les promesses réitérées de Dieu, des Papes, des Saints et des grands auteurs ecclésiastiques sur notre pays, la France ne pourrait que disparaître dans une République universelle anti-christique, après dissolution dans une République européenne.

     Dans cette affaire le mot convenable pour ce qui me concerne est « antijudaïsme » et c’est une toute autre chose qu’antisémitisme (voir les articles précédents de la rubrique : Antisémitisme et antijudaïsme) car c’est l’aspect religieux qui est en cause et non l’aspect racial. En tant que chrétien non subjugué par le délire œcuménique des ennemis plus ou moins conscients de l’Eglise, de l’apostasie en actes du Concile Vatican II, et du gros bobard sur l’interprétation du Concile à la lumière de la Tradition (sérieusement amochée pour la circonstance), c’est un devoir de mettre en garde contre le faux judaïsme des pharisiens véhiculé par les rabbins.

ANTIJUDAÏSME PHARISIEN : UN DEVOIR, MAIS SANS HAINE

     *  J’ai le droit et le devoir de combattre ce Judaïsme ennemis du Christ et de ses enseignements fondateurs de la France chrétienne née, en 496, au Baptistère de Reims, par la conversion et le baptême de Clovis et de sa tribu franque, à la prédestination et la vocation particulière que Dieu a conférée, à cette époque, à notre nation par rapport aux autres nations, à savoir : défendre l’Eglise romaine et être prospère en étant fidèle à Dieu et rudement châtiée pour ses infidélités, selon la mise en garde de Saint Rémy :

« Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine qui est la seule véritable Eglise du Christ (…) Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la Foi romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. » (Flodoard, Historia Ecclesiae Remensis) 

     L’Etat actuel de déliquescence de la France jacobine dirigée, depuis plus de deux siècles, par une compétition entre irresponsables de tous bords, favorisant ou pratiquant eux-mêmes l’immoralité, l’impiété, le blasphème et le sacrilège, ou de traîtres indignes d’être français vendant ou soumettant leur pays à des puissances étrangères rêvant de domination mondiale. Ceci, témoignant de ce qui attend notre pauvre pays infidèle avant que Dieu, à son heure, n’accomplisse ses promesses pour la France.

     Il y a bientôt six siècles, il y avait grande misère et grand découragement au Royaume de France avant que Sainte Jeanne d’Arc ne soit envoyée par Dieu pour reprendre aux armées anglaises la partie française qu’ils occupaient, et la restituer à son roi Charles VII : Préfiguration de la future libération de notre patrie de ses ennemis intérieurs et extérieurs.

     * J’ai le droit et le devoir de combattre ce judaïsme qui n’a rien à voir avec celui de Moïse, si ce n’est un Moïse revu et corrigé par le Talmud car, en réalité, ils ne croyaient pas en lui. C’est Jésus Lui-même qui l’affirme. En effet, si les pharisiens étaient véritablement dirigés par l’esprit de Moïse ils n’auraient jamais fait exécuter leur Messie, pour leur propre malheur :

« Car, si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit » (St Jean V, 46)

     Les livres de Moïse (Le Pentateuque (1) écrivaient sur le Christ à venir, ils prophétisaient aussi une inimitié historique entre deux postérités et le moyen de la Rédemption et du salut, en Genèse III, 15. Ils annonçaient aussi, le prophète comme Moïse dans Deutéronome XVIII, 15,18 et aussi, à travers les sacrifices, les cérémonies symboliques du culte qui dirigeaient et trouvaient leur accomplissement véritable et définitif dans le futur libérateur du peuple de Dieu.

     S’ils croyaient en Moïse et aux prophètes, ils n’auraient pas façonné le peuple d’Israël en « annulant le commandement de Dieu » par leur « tradition » que Jésus condamnera en reprenant à son compte le reproche « d’hypocrisie » du prophète Isaïe :

« Ainsi, vous avez annulé le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8).

     * J’ai le droit et le devoir, comme Catholique et chrétien, de combattre les fausses doctrines pharisiennes des rabbins kabbalistes et talmudistes avec leurs incidences sur  la vie morale, économique, financière, politique et sociale des peuples en général, et de la France en particulier, tout comme Jésus dénonça les faux enseignements des pharisiens et des scribes ennemis de la vérité de Dieu, qui le firent mettre à mort et dont les successeurs continuent de le crucifier en donnant leur assentiment au déicide de leurs pères. De même, à leur époque, les apôtres, les martyrs, les Pères de l’Eglise et les saints dénoncèrent les fausses doctrines des rabbins imbus d’enseignements pharisiens, en mettant en garde leurs fidèles, ce que ne fait plus, à sa grande honte, le clergé apostat, tétanisé, moderniste et manipulateur d’aujourd’hui.

     * J’ai le droit et le devoir, sauf à renier ma foi et celle de la France chrétienne, de combattre le judaïsme rabbinique dont l’arme principale est le mensonge, car le levain qu’il contenait à l’époque de Jésus-Christ n’est pas moins dangereux pour les âmes d’aujourd’hui, même si les rabbins kabbalistes talmudistes orthodoxes ou modernisés, sans autel, sans temple, sans prêtre et sans sacrifice, ne sont plus que des personnes ravalées au rang de simples laïcs. L’état de la France et de l’Europe, autrefois chrétienne et désormais sous domination judéo-maçonnique, est de nature à manifester l’impressionnante culbute morale engendrée par les principes nauséabonds véhiculés par le judaïsme politico-religieux et leurs auxiliaires Francs-maçons, et leurs répercussions dévastatrices dans le domaine moral, familial, politique, économique, financier, philosophique et social.

     Que l’antisémitisme et l’antijudaïsme ne peuvent être synonymes, les Juifs le savent très bien.  Mais, comme les orgueilleux qu’ils sont, et n’étant pas handicapés dans l’usage des idées tordues, il leur est nécessaire de se fabriquer un moyen pour qu’aucune critique sérieuse ne puisse se formuler contre eux, et qu’il devienne toujours plus difficile, voire impossible, de leur arracher le masque dont ils s’affublent, tout comme leurs supplétifs temporaires Francs-maçons. Munis de cette parade et de son imposition avec menaces, les gens pourront continuer à larmoyer dans les chaumières, les plaindre inlassablement comme victimes perpétuels, sans se poser les vraies questions des tenants et des aboutissants sur ce point et, ainsi, toujours paraître, comme Jésus disait de leurs pères spirituels « Au dehors, Vous paraissez justes aux hommes » pour dire ensuite, en dépassant les apparences de justice « mais au dedans, vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité » (St Matthieu XXIII, 28). L’histoire, tant profane que religieuse, témoigne amplement de cela, ainsi que leurs propres livres.

     Non ! La religion juive des rabbins pharisiens, qui est celle de la Synagogue infidèle, n’est pas la sœur ainée de l’Eglise, et les Juifs qui suivent leurs enseignements ou combattent contre les doctrines chrétiennes ne sont pas, malheureusement, nos « frères aînés » mais, en l’état, des ennemis redoutables non seulement pour les chrétiens, mais pour la France elle-même, quels que soient les artifices utilisés pour donner le change. Comment pourraient-ils être nos « frères aînés » en suivant les enseignements de ceux qui « ont le diable pour père » et veulent « accomplir ses désirs » au sein des nations ? Retenons bien ce que Jésus a déclaré concernant leurs pères spirituels « Si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit ».

NOS FRERES AÎNES, MAIS SEULEMENT EN JESUS-CHRIST

     Ils seront nos frères aînés lorsque, se rattachant aux enseignements de la Synagogue fidèle, ils deviendront de véritables enfants d’Abraham non selon la chair, mais selon l’esprit, en acceptant le Christ comme leur Messie et leur Roi, en se nourrissant par la foi de la chair et du sang de Jésus-Christ, fils de David et fils d’Abraham (voir la généalogie de St Mathieu I, 1). Nos véritables frères aînés ce sont les Patriarches, les prophètes et tous les vrais croyants de l’ancienne synagogue fidèle depuis Moïse, et non ceux de la Synagogue infidèle et apostate des rabbins pharisiens.

     En attendant ce jour béni pour eux-mêmes et pour notre plus grande joie, ils se présentent à nous sous deux aspects différents et complémentaires, ou en les cumulant, pour ce qui est de leur capacité de nuisance dans une société d’essence chrétienne :

     * Soit, ils pratiquent une fausse religion, un judaïsme gnostique kabbaliste et talmudique déjà à l’œuvre chez les pharisiens, ennemie du Christ et des chrétiens, et ils travaillent à la destruction de l’Eglise catholique et du christianisme par noyautage de ses institutions et l’injection en leur sein du venin moderniste et naturaliste.

     * Soit, engagés politiquement dans des mouvements libéraux ou révolutionnaires de droite ou de gauche, ils participent à la destruction de ce qui revêt encore un caractère véritablement chrétien dans la société. Il n’y a plus que les aveugles spirituels, les indifférents chroniques et les décérébrés par la propagande ecclésiastique et celle des media révolutionnaires pour ne pas s’en rendre compte.

     Inutile d’entrer dans le déni et les contorsions théologiques pour justifier un faux œcuménisme et un Israël à part. Prions plutôt pour leur conversion et aidant-les à s’extraire de l’esclavage des traditions pharisiennes, au lieu de les installer dans une fausse sécurité par une complaisance coupable et lâche, ou une charité qui, en la circonstance relève, non de la vertu, mais du frelatée, et de non-assistance à personne en danger au plan de leur salut éternel.

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) On appelle Pentateuque les cinq premiers livres de la Bible écrits par Moïse : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.

Mis sur un autre blogue le 18 avril 2018

jeudi 2 juin 2022

Nature de la royauté du Christ


 

LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 9

 

     Ayant établi le fondement scripturaire de la Royauté de Notre-Seigneur, le Pape se met en devoir de préciser la nature de celle-ci. Pour ce faire, dans un premier temps, il focalisera l’attention sur l’aspect spirituel et l’étendue de cette royauté.

NATURE DE LA ROYAUTE DU CHRIST


     Le Pape déclare « Cette royauté est surtout spirituelle (…) » mais, afin que nous ne tirions pas de fausses conclusions, il s’empresse de faire remarquer

« Toutefois, ce serait une erreur honteuse de dénier au Christ-homme la puissance sur les choses civiles quelles qu’elles soient ; (…) »

     Cette royauté du Christ est présentée comme « surtout spirituelle » mais pas seulement, car le Pape se charge de faire observer que ce serait « une erreur honteuse » de vouloir arbitrairement la circonscrire dans le domaine spécifiquement spirituel car, sa puissance royale s’exerce jusque sur « les choses civiles » Lesquelles ? « Quelles qu’elles soient ». Ainsi, aucune de ces instances civiles ne peut s’y soustraire ou être encouragées à le faire.

     Ce n’est pas parce qu’une société et des élites en état d’apostasie avancée lui refusent cette prérogative en l’excluant des institutions publiques et de la vie sociale par l’irrespectueuse, machiavélique, satanique et mortifère laïcité révolutionnaire (1) – je pèse mes mots - que les Catholiques doivent rester silencieux en s’abstenant de rappeler, jusque dans les Parlements, à tout cet ''aréopage'' de mécréants, cette « puissance » que possède le Christ sur « les choses civiles. »

     Jésus-Christ, étant l’auteur et la fin de toute la création, il a, par le fait-même, un pouvoir qui englobe tout l’univers et s’étend sur tout ce qui constitue le monde visible et invisible, la vie individuelle et la vie sociale.

     Cette royauté est d’abord et « surtout spirituelle » nous dit le Pape, car il va de soi qu’avant de pouvoir s’exercer, sur les individus et sur les sociétés, par ses maximes, ses lois et ses enseignements, elle se doit, en premier lieu, d’avoir pénétré dans les cœurs et dans les intelligences.

     Il en va de même pour toutes les idéologies qui veulent exercer leur pouvoir social et politique car ces deux pouvoirs sont coexistant dans l’ordre temporel. En dehors des cas d’imposition par la tyrannie, elles doivent au préalable s’efforcer de gagner l’adhésion d’une majorité de cœurs et d’intelligences avant de pouvoir concrétiser ce pouvoir dans la société humaine.

     Le Pape va mettre en exergue cette royauté « surtout spirituelle » par différentes citations des Saintes Ecritures, qui la mettront en évidence de deux manières :

     1 – En référence à une erreur d’appréciation chronologique.

     2 – En référence aux caractéristiques de ce royaume ou royauté de Dieu.

     Dans un prochain article nous examinerons le premier aspect : l’erreur d’appréciation chronologique.

 

(A suivre…« Le Royaume de Dieu, où et quand ? »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Rappelons que la laïcité révolutionnaire dont notre République s’est dotée, est le fruit vénéneux de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat du 9 décembre 1905, condamnée par l’Encyclique Vehementer Nos, du Pape saint Pie X, le 11 février 1906. Bouffie d’orgueil, elle expulse Dieu et sa loi morale du domaine institutionnelle et publique. La nature ayant horreur du vide elle se substitue à Dieu en proposant et encourageant la société, par sa permissivité coupable, la pratique de toutes les dérives d’immoralités dont nous sommes témoins, elle constitue une étape vers le satanisme.

 

Mis sur un autre blogue le 23 décembre 2014

vendredi 27 mai 2022

Les Exercices spirituels de Saint Ignace de Loyola - 2 : Le code le plus sage et le plus universel



 LES EXERCICES SPIRITUELS DE SAINT IGNACE DE LOYOLA - 2

 

LE CODE LE PLUS SAGE ET LE PLUS UNIVERSEL

 

     Ainsi, en cette matière spirituelle si importante, les choses sont parfaitement claires. Parmi les diverses méthodes existantes, les « Exercices spirituels de Saint Ignace » sont jugés par l’Eglise comme étant :

 

     LE CODE le plus sage, le plus universel pour

 

     - Les lois du salut

 

     - La perfection des âmes

 

     LA SOURCE intarissable de

 

     - La piété la plus élevée et la plus solide

 

     UN AIGUILLON irrésistible et UN GUIDE très averti pour aider

 

     - Les âmes à se réformer et atteindre les sommets de la vie spirituelle.

 

     Ces Exercices révèlent leur sagesse en orientant vers le salut, en perfectionnant les âmes, en élevant la piété, en stimulant et en aidant les âmes à se réformer et à surélever leur vie spirituelle. 

 

     Pour notre avancement spirituel et notre intégrité dans la foi, dans l’environnement délétère fait d’apostasie et de laxisme dans lequel nous baignons chaque jour, faisons preuve de sagesse, et allons vers ce qui est le « plus parfait » ; mais n’oublions pas l’avertissement que donnait Pie XII pour que les Exercices Spirituels puissent nous apporter tous leurs bienfaits :

 

« Les Exercices de Saint Ignace seront toujours l’un des moyens les plus efficaces pour la régénération spirituelle du monde et pour sa correcte ordonnance, mais à la seule condition de continuer à être authentiquement ignatiens. »

 

     Telle est l’impérieuse condition pour que les Exercices Spirituels puissent donner toute leur efficacité et tous leurs fruits « être authentiquement ignatiens » Ce qui laisse supposer que certains de ces Exercices revendiquant Saint Ignace pourraient être dispensés avec un esprit différent ou édulcoré, et on peut le craindre, vu la mentalité religieuse issue du Concile Vatican II.

 

     Autant dire qu’aucune véritable « régénération spirituelle » ni « correcte ordonnance du monde » ne seront possibles sans cela. Veillons donc à ce que les Exercices Spirituels que nous faisons soient bien dispensés selon l’esprit de Saint Ignace qui est incontestablement antilibéral, et tout entier tourné vers Dieu et Notre-Seigneur.

 

     Que le rappel de la valeur suréminente des Exercices de Saint Ignace et leurs bienfaits stimulent en nous le désir de réserver cinq jours de notre vie pour une retraite spirituelle, afin de méditer sur les grandes questions de notre existence.

 

     Pour ceux qui seraient intéressés par les Exercices Spirituels selon la méthode de Saint Ignace de Loyola pour hommes, femmes et jeunes gens, ils peuvent s’adresser pour la France à :

 

Monsieur l’Abbé Philippe Guépin, 88 rue d’Allonville – 44000 - NANTES

 

(A suivre…« Qu’attendre des Exercices Spirituels ? »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras dans le texte.

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...