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dimanche 1 janvier 2023

Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge - 2 : Les fausses dévotions à la Sainte Vierge


TRAITE DE LA VRAIE DEVOTION A LA SAINTE VIERGE – 2

 

LES FAUSSES DEVOTIONS A LA SAINTE VIERGE - 1

 

     C’est Saint Louis-Marie Grignon de Monfort, l’apôtre de la Sainte Vierge qui nous l’enseigne. Aussi, est-il très important de faire le bon choix car les fausses dévotions pullulent, et il est assez facile de les prendre pour de vraies. En effet, le diable est un trompeur, et il fait tous ses efforts pour tromper et damner les âmes en les portant à de fausses dévotions.

     On comprend donc l’importance de bien connaître les fausses dévotions à la Très Sainte Vierge, afin de les éviter, et d’embrasser les véritables et de nous y attacher.

     Le saint dénombre sept fausses dévotions et sept de faux dévots à la Sainte Vierge. Pour cette fois, les 4 premières :

1 – Les dévots critiques sont, pour l’ordinaire, des savants orgueilleux, des esprits forts et suffisants, qui ont au fond quelque dévotion à la Sainte Vierge, mais qui critiquent presque toutes les pratiques de dévotion à la Sainte Vierge que les gens simples rendent simplement et saintement à cette bonne Mère, parce qu’elles ne reviennent pas à leur fantaisie. Ils révoquent en doute tous les miracles et histoires rapportés par des auteurs dignes de foi, ou tirés des chroniques des ordres religieux, qui font foi des miséricordes et de la puissance de la Très Sainte Vierge. Ils ne sauraient voir qu’avec peine des gens simples et humbles à genoux devant un autel ou image de la Sainte Vierge, quelquefois dans le coin d’une rue pour y prier Dieu ; et ils les accusent d’idolâtrie, comme s’ils adoraient le bois ou la pierre ; ils disent que, pour eux, ils n’aiment point ces dévotions extérieures et qu’ils n’ont pas l’esprit si faible que d’ajouter foi à tant de contes et historiettes qu’on débite de la Sainte Vierge, ou ils répondent qu’ils ont parlé en orateurs, par exagération, ou ils donnent une mauvaise explication à leurs paroles.

     Ces sortes de faux dévots et de gens orgueilleux et mondains sont beaucoup à craindre et ils font un tort infini à la dévotion à la Très Sainte Vierge, et en éloignent les peuples d’une manière efficace, sous prétexte d’en détruire les abus.

2 – Les dévots scrupuleux sont des gens qui craignent de déshonorer le Fils en honorant la Mère, d’abaisser l’un en élevant l’autre. Ils ne sauraient souffrir qu’on donne à la Sainte Vierge des louanges très justes, que lui ont donné les saints Pères ; ils ne souffrent qu’avec peine qu’il y ait plus de monde à genoux devant un autel de la Sainte Vierge que devant le Saint-Sacrement, comme si l’un était contraire à l’autre ; comme si ceux qui prient la Sainte Vierge ne priaient pas Jésus-Christ par elle ! Ils ne veulent pas qu’on parle si souvent de la Sainte Vierge et qu’on s’adresse si souvent à elle.

     Voici quelques sentences qui leur sont ordinaires : A quoi bon tant de chapelets, tant de confréries et de dévotions extérieures à la Sainte Vierge. Il y a en cela bien de l’ignorance. C’est faire une momerie de notre religion. Parlez-moi de ceux qui sont dévots à Jésus-Christ (ils le nomment souvent sans se découvrir, je le dis par parenthèse) : il faut recourir à Jésus-Christ, il est notre médiateur ; il faut prêcher Jésus-Christ, voilà le solide !

     Ce qu’ils disent est vrai dans un sens ; mais par rapport à l’application qu’ils ont font, pour empêcher la dévotion à la Très Sainte Vierge, il est très dangereux, et un fin piège du malin, sous prétexte d’un plus grand bien ; car jamais on n’honore plus Jésus-Christ que lorsqu’on honore plus la Très Sainte Vierge, puisqu’on ne l’honore qu’afin d’honorer plus parfaitement Jésus-Christ, puisqu’on ne va à elle que comme à la voie pour trouver le terme ou on va, qui est Jésus.

     La Sainte Eglise, avec le Saint-Esprit, bénit la Sainte Vierge la première, et Jésus-Christ le second : Benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventis tui, Jésus. Non pas parce que la Sainte Vierge soit plus que Jésus-Christ ou égale à lui : ce serait une hérésie intolérable ; mais c’est que pour bénir plus parfaitement Jésus-Christ, il faut auparavant bénir Marie. Disons donc avec tous les vrais dévots de la Sainte Vierge, contre ces faux dévots scrupuleux : O Marie, vous êtes bénie entre toutes les femmes, et béni est le fruit de votre ventre, Jésus.

3 – Les dévots extérieurs sont des personnes qui font consister toute la dévotion à la Très Sainte Vierge en des pratiques extérieures ; qui ne goûtent que l’extérieur de la dévotion à la Très Sainte Vierge, parce qu’ils n’ont point d’esprit intérieur ; qui diront force chapelet à la hâte, entendront plusieurs messes sans attention, iront aux processions sans dévotion, se mettront de toutes ses confréries sans amendement de leur vie, sans violence à leurs passions et sans imitation des vertus de cette Vierge très sainte. Ils n’aiment que le sensible de la dévotion, sans en goûter le solide ; s’ils n’ont pas de sensibilités dans leurs pratiques, ils croient qu’ils ne font plus rien, ils se détractent, ils quittent tout là, ou ils font tout à bâton rompu. Le monde est plein de ces sortes de dévots extérieurs, et il n’y a pas de gens plus critiques des personnes d’oraison qui s’appliquent à l’intérieur comme à l’essentiel, sans mépriser l’extérieur de modestie qui accompagne toujours la vraie dévotion.

 

4 – Les dévots présomptueux sont des pécheurs abandonnés à leurs passions, ou des amateurs du monde, qui, sous le beau nom de chrétien et de dévot à la Sainte Vierge, cachent ou l’orgueil, ou l’avarice, ou l’impureté, ou la colère, ou le jurement, ou la médisance, ou l’injustice, etc. ; qui dorment en paix dans leurs mauvaises habitudes, sans se faire beaucoup de violence pour se corriger, sous prétexte qu’ils sont dévots à la Vierge ; qui se promettent que Dieu leur pardonnera, qu’ils ne mourront pas sans confession, et qu’ils ne seront pas damnés, parce qu’ils disent leur chapelet, parce qu’ils jeûnent le samedi, parce qu’ils sont de la confrérie du Saint Rosaire ou Scapulaire, ou de ses congrégations, parce qu’ils portent le petit habit ou la petite chaîne de la Sainte Vierge.

     Quand on leur dit que leur dévotion n’est qu’une illusion du diable et qu’une présomption pernicieuse capable de les perdre, ils ne le veulent pas croire ; ils disent que Dieu est bon et miséricordieux ; qu’il ne nous a pas faits pour nous damner ; qu’il n’y a homme qui ne pèche ; qu’ils ne mourront pas sans confession ; qu’un bon peccavi à la mort suffit ; de plus qu’ls sont dévots à la Sainte Vierge ; qu’ils portent le Scapulaire ; qu’ils disent tous les jours sans reproche et sans vanité sept Pater et sept Ave en son honneur ; qu’ils disent même quelquefois le chapelet et l’Office de la Sainte Vierge ; qu’ils jeûnent, etc. Pour confirmer ce qu’ils disent et s’aveugler davantage, ils apportent quelques histoires qu’ils ont entendues ou lues en des livres, vraies ou fausses, n’importe pas, qui font foi que des personnes mortes en péché mortel, sans confession, parce qu’elles avaient, pendant leur vie, dit pendant leur vie quelques prières ou fait quelques pratiques de dévotion à la Sainte Vierge, ou ont été ressuscitées pour se confesser, ou leur âme à demeuré miraculeusement dans leurs corps jusqu’à la confession, ou par la miséricorde de la Sainte Vierge, ont obtenu de Dieu, à leur mort, la contrition et le pardon de leurs péchés, et par là ont été sauvées, et ainsi qu’ils espèrent la même chose.

     Rien n’est si damnable, dans le christianisme, que cette présomption diabolique ; car peut-on dire avec vérité qu’on aime et qu’on honore la Sainte Vierge, lorsque, par ses péchés, on pique, on perce, on crucifie et on outrage impitoyablement Jésus-Christ son Fils ? Si Marie se faisait une loi de sauver par sa miséricorde ces sortes de gens, elle autoriserait le crime, elle aiderait à crucifier et outrager son Fils ; qui l’oserait jamais penser ?

     Je dis qu’abuser ainsi de la dévotion à la Très Sainte Vierge, qui, après la dévotion à Notre-Seigneur au Très-Saint-Sacrement, est la plus sainte et la plus solide, c’est commettre un horrible sacrilège, qui, après le sacrilège de l’indigne communion, est le plus grand et le moins pardonnable.

     J’avoue que, pour être vraiment dévot à la Sainte Vierge, il n’est pas absolument nécessaire d’être si saint qu’on évite tout péché, quoiqu’il le fût à souhaiter ; mais il faut du moins (qu’on remarque bien ce que je vais dire) :

     Premièrement être dans une sincère résolution d’éviter au moins tout péché mortel, qui outrage la Mère aussi bien que le Fils ;

     Secondement se faire violence pour éviter le péché.

     Troisièmement, se mettre des confrérie, réciter le chapelet, le saint rosaire ou autres prières, jeûner le samedi, etc.

     Cela est merveilleusement utile à la conversion d’un pécheur, même endurci ; et si mon lecteur est tel, et quand il aurait un pied dans l’abîme, je le lui conseille, mais à condition qu’il ne pratiquera ces bonnes oeuvres que dans l’intention d’obtenir de Dieu, par l’intercession de la Sainte Vierge, la grâce de la contrition et du pardon de ses péchés, et de vaincre ses mauvaises habitudes, et non pas pour demeurer paisiblement dans l’état du péché, contre les remords de sa conscience, l’exemple de Jésus-Christ et des saints, et les maximes du saint Evangile.

 

(Ange Gabriel et Marie)

Anciens articles à voir ou à revoir :

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dimanche 2 octobre 2022

Le combat contre le modernisme - 2


 Saint Pie Pie X (1835-1914) Pontificat 1903-1914

LE COMBAT CONTRE LE MODERNISME - 2

 

     Cette hérésie moderniste, déjà à l’œuvre du temps de saint Pie X, lui faisait dire :

« Ce qui exige surtout que Nous parlions sans délai, c’est que les artisans d’erreurs, il n’y a pas à les chercher aujourd’hui parmi les ennemis déclarés. Ils se cachent, et c’est un sujet d’appréhension et d’angoisse très vives, dans le sein même et au cœur de l’Eglise, ennemis d’autant plus redoutables qu’ils le sont moins ouvertement. Nous parlons, Vénérables frères, d’un grand nombre de catholiques laïques, et, ce qui est encore plus à déplorer, de prêtres, qui, sous couleur d’amour de l’Eglise, absolument courts de philosophie et de théologie sérieuses, imprégnés au contraire jusqu’aux moelles d’un venin d’erreur puisé chez les adversaires de l’Eglise, se posent,

au mépris de toute modestie, comme rénovateurs de l’Eglise ; qui, en phalanges serrés, donnent audacieusement l’assaut à tout ce qu’il y a de plus sacré dans l’œuvre de Jésus-Christ, sans respecter sa propre personne, qu’ils abaissent, par une témérité sacrilège, jusqu’à la simple et pure humanité (….) Ennemis de l’Eglise, certes ils le sont, et à dire qu’elle n’en a pas de pire on ne s’écarte pas du vrai. Ce n’est pas du dehors, en effet, on l’a déjà noté, c’est du dedans qu’ils trament sa ruine ; le danger est aujourd’hui presque aux entrailles de l’Eglise : leurs coups sont d’autant plus sûrs qu’ils savent mieux où la frapper. Ajoutez que ce n’est point aux rameaux ou aux rejetons qu’ils ont mis la cognée, mais à la racine même, c’est-à-dire à la foi et à ses fibres les plus profondes. Puis, cette racine d’immortelle vie une fois tranchée, ils se donnent la tâche de faire circuler le virus par tout l’arbre : nulle partie de la foi catholique qui reste à l’abri de leur main, nulle qu’ils ne fassent tout pour corrompre. Et tandis qu’ils poursuivent par mille et un chemins leur dessein néfaste, rien de si insidieux, de si perfide que leur tactique : amalgamant en eux le rationaliste et le catholique, ils le font avec un tel raffinement d’habileté qu’ils abusent facilement les esprits mal avertis. D’ailleurs, consommés en témérité, il n’est sorte de conséquences qui les fasse reculer, ou plutôt qu’ils ne soutiennent hautement et opiniâtrement. Avec cela, et chose très propre à donner le changeune vie toute d’activité, une assiduité et une ardeur singulières à tous les genres d’études, des mœurs recommandables d’ordinaire pour leur sévérité. Enfin, et ceci paraît ôter tout espoir de remède, leurs doctrines leur ont tellement perverti l’âme qu’ils en sont devenus contempteurs de toute autorité, impatients de tout frein : prenant assiette sur une conscience faussée, ils font tout pour qu’on attribue au pur zèle de la vérité ce qui est œuvre uniquement d’opiniâtreté et d’orgueil. Certes, Nous avions espéré qu’ils se raviseraient quelque jour ; et, pour cela, Nous avions usé avec eux d’abord, de douceur, comme avec des fils, puis de sévérité ; enfin, et bien à contre cœur, de réprimandes publiques. Vous n’ignorez pas, Vénérables frères, la stérilité de Nos efforts ; ils courbent un moment la tête, pour la relever aussitôt plus orgueilleuse. Ah ! S’il n’était question que d’eux, Nous pourrions peut-être dissimuler ; mais c’est la religion catholique, sa sécurité qui sont en jeu. Trêve donc au silence, qui désormais serait un crime ! Il est temps de lever le masque à ces hommes-là et de les montrer à l’Eglise universelle tels qu’ils sont.

     Et comme une tactique des modernistes ainsi les appelle-t-on communément et avec beaucoup de raisons, tactique en vérité fort insidieuse, est de ne jamais exposer leurs doctrines méthodiquement et dans leur ensemble, mais de les fragmenter en quelque sorte et de les éparpiller çà et làce qui prête à les faire juger ondoyants et indécisquand leurs idées, au contraire, sont parfaitement arrêtées et consistantes ; il importe ici et avant tout de présenter ces mêmes doctrines sous une seule vue, et de montrer le lien logique qui les rattache entre elles. Nous Nous réservons d’indiquer ensuite les causes des erreurs et de prescrire les remèdes propres à retrancher le mal. » (Encyclique Pascendi Dominici Gregis – 8 septembre 1907)

     Le Saint Père développera ensuite le modernisme sous toutes ses facettes : théologique, philosophique, historique, croyant moderniste, apologétique, rénovateur moderniste.

     Les Catholiques doivent donc se montrer très vigilants sur les idées ou enseignements « théologique, philosophique, historique, apologétique » de croyants modernistes et rénovateurs, émis par des laïcs catholiques, comme par des ecclésiastiques, aussi bien dans l’Eglise que sur les différents supports de diffusion d’Internet. En effet, nous sommes avertis par un saint Pape (Pie X) que les ennemis de l’Eglise ne sont pas seulement à l’extérieur de l’Eglise mais dissimulés en son sein. Il faut donc bien peser les mots du Pape et la manière dont procèdent les « modernistes et rénovateurs » qu’ils dénoncent. 

(A suivre…« Le combat contre le modernisme – 3 »...Si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 


 

jeudi 16 juin 2022

Vous les reconnaîtrez à leurs fruits


VOUS LES RECONNAITREZ A LEURS FRUITS

     C’est une question des plus importantes que de bien connaître les fruits sur lesquels le Sauveur veut attirer notre attention.

     Plusieurs en effet prennent pour des fruits ce qui n’est que le vêtement des brebis, et ils se laissent tromper par les loups.

     Je veux ici parler des jeûnes, des aumônes ou des prières, qu’ils étalent sous les yeux des hommes sans aucune intention que de plaire à ceux qu’étonne la difficulté de ces œuvres.

     Ce ne sont donc pas ces fruits qui peuvent aider à les reconnaître.

     A quels fruits, donc, allons-nous reconnaître un arbre mauvais ? L’Apôtre nous l’apprend : les fruits de l’arbre mauvais sont les œuvres de la chair : « la fornication, l’impureté, les contentions, les inimitiés, les jalousies, l’envie, les excès de table… » (1)

     Et le même Apôtre nous apprend à reconnaître les fruits du bon arbre : « les fruits de l’esprit, sont la charité, la joie, la paix… » (2)

(Saint Jean Chrysostome)

 

COMMENTAIRES PERSONNELS :

(1) Les œuvres de la chair sont :

« la fornication, l’impureté, l’impudicité, la luxure, l’idolâtrie, les maléfices, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les rixes, les dissensions, les factions, l’envie, les meurtres, l’ivrognerie, les débauches, et les choses semblables (…) ceux qui les commettent ne sont point héritiers du royaume de Dieu. » (Galates V,19-21)

(2) Les fruits de l’esprit sont :

« la charité, la joie, la paix, la patience, la bénignité, la bonté, la longanimité, la douceur, la foi, la modestie, la continence, la chasteté. Contre de pareilles choses il n’y a pas de loi. » (Galates V,22)

     Le texte de la Vulgate mentionne douze vertus car elle ajoute la charité - avec quelques manuscrits grecs – car elle traduit le mot grec MAKROTHUMIA par patience et longanimité et le mot PRAUTES par mansuétude et modestie, alors que le texte grec le mieux accrédité n'en signalent que neuf.

René Pellegrini


Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...