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samedi 10 septembre 2022

La Contre-Révolution, qu'est-ce-à-dire ? - 6 : La hiérarchie - 2


 Seigneur, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel (St Matthieu VI,10) 

LA CONTRE-REVOLUTION, QU’EST-CE A DIRE ? - 6 : LA HIERARCHIE - 2

     A l’égalitarisme révolutionnaire façonné dans les sociétés de pensée (aujourd’hui, les think Tanks) dont l’aboutissement est le nivellement par le bas, et la mise en place progressive des ingrédients de la mise en esclavage, s’oppose la hiérarchie qui fonde l’existence d’une institution assise sur des principes chrétiens.

     La hiérarchie s’oppose per diametrum à la fausse égalité révolutionnaire.

     La Hiérarchie correspond à la réalité alors que l’égalité est une construction dans les nuées.

     La hiérarchie constitue la vraie justice, car elle consiste à donner à chacun selon ses responsabilités et ses capacités, alors que l’égalité est l’injustice absolue du nivellement par le bas.

     La hiérarchie est la nécessité même de la société, son existence même. La société met en relation les besoins des individus : l’ingénieur a besoin de l’ouvrier pour exécuter ses plans ; le malade du médecin pour se soigner ; l’automobiliste du garagiste pour réparer sa voiture ; le justiciable de l’avocat pour sa défense, etc. C’est cette dépendance pour la satisfaction des différents besoins qui permet aux hommes de vivre ensemble dans une institution politique et sociale. C’est à la hiérarchie qu’il appartient d’harmoniser les rapports entre des individus ayant des compétences et des responsabilités différentes.

     Comme déjà dit dans l’article précédent la Hiérarchie prend pour modèle l’organisation céleste : https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/08/la-contre-revolution-quest-ce-dire-5-la.html 

« Pour que la volonté de Dieu se fasse sur la terre comme au ciel » (St Matthieu VI, 10)

     Ne jamais oublier que nous vivons une époque de manipulation et de censure de l’information, de mensonges, d’afflictions, de désolation, de tribulation et d’humiliation pour l’Eglise. Ce climat délétère et anti-Dieu caractéristique du cinquième âge de l’Eglise (Eglise de Sardes (1) dans lequel nous sommes encore, semble toucher à sa fin. Il sera suivi du sixième âge de l’Eglise (Eglise de Philadelphie (2), âge de consolation qui verra le Grand Monarque détruire toutes les Républiques, et refleurir, pour un temps, la vérité, la charité, la justice et la paix afin de préparer les chrétiens avant que n’apparaisse l’Antéchrist et ses troupes, pour son assaut final contre l’Eglise et sa défaite éternelle par Notre-Seigneur Jésus-Christ.

     Si l’esprit révolutionnaire prône tellement l’égalité c’est parce qu’il sait, par expérience, que c’est la solution idéale pour noyauter et faire disparaître plus facilement l’esprit chrétien d’une institution catholique laïque ou religieuse, et en détruire progressivement la hiérarchie remplacée par la collégialité des égaux délibérants.

     Vous voulez faire dériver ou détruire une institution d’esprit catholique (école, collège, université, monastère, épiscopat, syndicat, etc.) faites-lui adopter, insufflez-lui, comme principe de sa constitution la forme révolutionnaire : Liberté, égalité, fraternité. Elle pourra inscrire en grands caractères sur le fronton de son établissement : école, collège, université, monastère, épiscopat ou syndicat catholiques, la forme adoptée, se répercutant logiquement sur les mentalités et l’enseignement dispensé, en révélera sa vraie nature, et en fera une institution imbibée, malgré elle, d’esprit révolutionnaire. De même pour un mouvement ou un parti politique car, comme déjà dit, mais ne l’oublions jamais « La nature d’une chose lui est conférée par sa forme » ce que le Pape Pie XII exprime de la manière suivante :

 « De la forme donnée à la sociétéen harmonie ou non avec les lois divinesdépend et s’infiltre le bien ou le mal des âmes, c’est-à-dire, si les hommes, appelés tous à être vivifiés par la grâce du Christ, respireront dans les contingences terrestres du cours de leur vie, l’air sain et vivifiant de la vérité et des vertus moralesou le microbe morbide et souvent mortel de l’erreur et de la dépravation. » (Radio-Message de la Pentecôte du 1er juin 1941)

     Ainsi, « la forme donnée à la société » (3) est capitale. Pour ne pas être induit en erreur et risquer d’accorder son soutien à un faux label catholique, il faut affirmer qu’il n’y a pas de véritable contre-révolution catholique sans hiérarchie car elle est l’existence même d’une société vraiment catholique, conjointement avec la vérité et la charité qui sont sa loi écrite ou ses coutumes qui forment l’essence de cette société.

     Le chrétien contre-révolutionnaire doit impérativement, en plus de la hiérarchie, concevoir son action politique sous l’angle de la vérité et de la charité qui prend en compte le désir de Dieu de nous unir à sa vie divine. Ce qui implique que cette action politique ne peut vraiment se développer, avec succès, que si les moyens et les pratiques institutionnels existants lui permettent d’atteindre le but de conduire l’ordre social vers Dieu pour qu’il l’aime, l’honore et le serve, et ainsi favoriser le salut du plus grand nombre. Dans le cas contraire, si ces moyens et pratiques institutionnels font défauts (ce qui est le cas présentement) cette action politique sera inexorablement phagocytée et dérivée quelle que soit la bonne foi ou la sincérité de ceux qui la mène.

     A titre d’exemple, pour ce qui est de sortir la France de l’abîme vers lequel elle se précipite, le faux espoir, pour bien des personnes catholiques ou pas, de cet étendard de promiscuité morale et spirituelle qu’est le Front National (aujourd’hui Rassemblement National) constitue un cas d’école. Ce parti politique englué comme les autres composantes politiques dans les présupposés de la République laïque, c’est-à-dire athée en ce qui concerne le respect des valeurs chrétiennes, l’obéissance, l’honneur et la gloire envers Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais très dévote quant aux constructions sociales liées aux fausses valeurs et faux principes idéologiques, philosophiques et spirituels sataniques surgis des élucubrations et rêveries des diverses sectes et conventicules maçonniques et kabbalistes. Il suffit de les entendre parler, la bouche en cœur, de la République, de la laïcité, des droits de l’homme, etc.

(A suivre…« But et moyens de la Contre-Révolution - 1 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Eglise de Sardes (Apocalypse III, (1). Elle correspond au cinquième âge de l’histoire de l’Eglise (dans laquelle nous sommes) qui commença vers 1520 sous le règne de l’Empereur Charles-Quint et du Pape Léon X. Elle se rapporte aussi au cinquième jour de la création du monde lorsque Dieu dit « que les eaux produisent toutes sortes de poissons et de reptiles, et qu’il créa les oiseaux du ciel » (Genèse I, 20-23). Cet âge est un âge d’affliction, de désolation, d’humiliation et de pauvreté de l’Eglise jusqu’à la venue du Grand Monarque. Il peut s’appeler avec raison un âge de purgation. Sardes signifie principe de beauté ou principe de perfection qui suivra dans le sixième âge de l’Eglise, celle de Philadelphie.

(2) Eglise de Philadelphie (Apocalypse III, 7) signifie « amour du frère », selon l’étymologie grec philadelphia. Elle correspond au sixième âge de l’histoire de l’Eglise. Nous n’y sommes pas encore, seulement lorsque paraîtront le Saint Pape et le Grand Monarque : les guides légitimes des Catholiques.

(3) La forme n’a pas ici le sens d’apparence extérieure d’un objet quelconque (carrée, ronde, rectangulaire, etc.). En métaphysique elle est le principe des forces et de l’activité dans un être. Elle est ce qui explique l’unité, la fixité et l’activité des vivants et qui maintient l’être  tout entier. Par exemple, pour l’homme son âme est la forme substantielle du corps physique humain.

 

Mis sur un autre blogue le 16 février 2015


mercredi 29 juin 2022

La Contre-révolution, qu'est-ce à dire ? - 2


LA CONTRE-REVOLUTION QU’EST-CE A DIRE ?  - 2 


     Prenons bien garde que la contre-révolution catholique n’est pas une révolution à l’envers - du genre œil pour œil, dent pour dent - mais le contraire de la Révolution. Il faut donc que sa forme constitutive, ou essence, soit celle d’une société chrétienne se substituant à la forme révolutionnaire. 

     Cette forme ou essence révolutionnaire sur laquelle s’appuie la Révolution qui, depuis 1789, fait massivement déraisonner les hommes (1) est constituée par ce qui est pompeusement appelé '' les Immortels principes de 1789 '', à savoir : les faux principes maçonniques de « Liberté Egalité Fraternité » fondés : 

- d’une part sur le refus, voire la haine, de l’ordre social chrétien, de la culture chrétienne, de la structure sociale et familiale chrétiennes et son remplacement par la mise en place de processus ''éducatifs'', culturels et politiques judéo-maçonniques destinés à corrompre et à subvertir tout ce qui revêt un caractère catholique, pour empêcher toute tentative de restauration chrétienne et, 

- d’autre part, sur le déploiement de l’immoralité et l’immodestie entretenues journellement par tous les supports qu’offrent les milieux de la mode, de la presse, de la télévision, des variétés, du cinéma, théâtre, etc., à laquelle s’ajoute la pratique du mensonge socialisé. 

     Cette animosité antichrétienne attestée, depuis l’origine, par les horreurs et les inhumanités de ses premiers agissements contre une population bien ciblée, sa continuité avec les guerres révolutionnaires exportatrices de ces faux principes, les conflits sociaux permanents entre classes sociales, la progressive dégénérescence morale de la société et, aboutissement logique de ce satanique et perpétuel esprit d’agitation et de révolte, les conséquences désastreuses actuelles, et pourtant provisoires, car n’ayant pas encore atteint la plénitude de leur ignoble application pratique : celles-ci se dissimulant toujours, et subtilement, derrière les mots mobilisateurs à la sonorité agréable, mais trompeuse, des faux principes républicains.

     Il faut bien comprendre et insister sur cette vérité : la nature d’une chose lui est donnée par sa forme (sens métaphysique du terme) ou essence. Pour l’institution révolutionnaire cette forme est constituée par : « Liberté, égalité, fraternité ». 

     En utilisant le triptyque révolutionnaire, la Révolution posera la liberté et l’égalité pour qu’elles se substituent à la hiérarchie sur laquelle sont fondés l’ordre social chrétien et la contre-révolution catholique, pour les renverser et les détruire. Celles-ci étant posées (liberté, égalité) pour mettre en acte la Révolution, lui donner l’existence, il faut lui ajouter la fraternité qui s’opposera à l’essence de l’ordre catholique : la vérité (remplacée par l’opinion) et la charité (remplacée par la solidarité). De façon opposée, pour acter ou donner l’existence à la contre-révolution et à l’ordre catholique, il faut ajouter la hiérarchie à la vérité et la charité. 

     Toute association, institution ou œuvre – monarchique, politique, sociale ou syndicale – fondée (ou revendiquant) le triptyque « Liberté, égalité, fraternité » est d’essence révolutionnaire. Tous les mouvements de l’échiquier politique, sans exception, sont tombés dans ce travers et rejette donc l’ordre constitutif d’une société chrétienne qu’ils aillent fleurir la statue de Sainte Jeanne d’Arc ou accole au mot chrétien un qualificatif tel que, par exemple, démocrate ou libéral, pour se promotionner en tant que démocrate- chrétien ou chrétien libéral, des qualificatifs qui véhiculent des principes ennemis du christianisme : cohabitation de principes contraires.

     Il en va de même pour tout mouvement qui se voudrait contre-révolutionnaire en adoptant ce triptyque. Ce mouvement pourrait s’afficher avec des bannières ou des cocardes à l’effigie du Christ-roi, du Cœur sacré de Jésus et ne tolérer en son sein que des Catholiques, la forme adoptée en ferait néanmoins un mouvement révolutionnaire car, il faut le répéter, la nature d’une chose lui est conférée par sa forme. D’où la grande prudence que doivent manifester les Catholiques sur les principes structurels d’une association, d’une œuvre, d’un mouvement catholique avant de s’y engager, ou d’obéir à ses mots d’ordre, car le chant des Alléluia et les Je vous salue Marie enflammés n’y changeront rien.

     Pour combattre l’hérésie politique et sociale qu’est la Révolution, et sa trilogie satanique issue de la complicité des synagogues et des loges maçonniques contre la société chrétienne, il faut avoir le courage de rompre avec ce qui lui permet d’exister : la fraternité révolutionnaire fondé sur l’opinion et la solidarité, et lui opposer la forme de la contre-révolution « Vérité, charité, hiérarchie » en lui soumettant notre intelligence et notre volonté. Ce n’est que cette forme qui est véritablement catholique et contre-révolutionnaire. Hors d’elle, et de ce courage, c’est l’échec assuré et œuvrer, encore et toujours, pour la Révolution et comme le disait Blanc de Saint Bonnet (2) :

« (…) ils espèrent mettre le navire à flot avec une partie des moyens qui le retiennent dans la vase ! »

     Dans les prochains articles nous examinerons chacun des termes de la trilogie contre- révolutionnaire, en commençant par la Vérité.

(A suivre…« La contre-révolution, qu’est-ce à dire ? – 3 : La vérité »…si Dieu veut)

René Pellegrini


(1) Les hommes (les personnes) constituent la ''matière'' nécessaire en acceptant de se faire imposer cette forme révolutionnaire.

(2) Antoine Blanc de Saint-Bonnet (1815-1880) monarchiste catholique, grand sociologue et philosophe du XIXe siècle.

 

lundi 27 juin 2022

Les Gilets Jaunes sous influence kabbalistique - 1


LES GILETS JAUNES SOUS INFLUENCE KABBALISTIQUE – 1


     Les gilets jaunes ont pris le chemin de la révolte, voire de la Révolution pour améliorer les choses contre un régime dont la structure est révolutionnaire depuis 1789. Autant vouloir éteindre un incendie en envoyant des torches enflammées. Ce qui a pu se faire en 1789 contre la monarchie catholique, avec des complicités extérieures comme dans toutes les révolutions modernes, n’a été possible que par la non-prise en compte par Louis XVI des avertissements successifs de l’Eglise contre la franc-maçonnerie, et les conseils le mettant en garde contre les activités des sociétés secrètes contre sa personne. Une négligence du roi qui lui coûta sa tête, et la décadence de la France orchestrée et poursuivie par ses ennemis séculaires depuis que la Gaule s’est convertie au christianisme. Depuis lors, c’est un régime révolutionnaire qui sévit en France. Si l’on comprend bien ce qu’est la Révolution dans son essence, dire nous sommes en République ou nous sommes en judéo-maçonnerie c’est dire la même chose. Il est donc vain et illusoire, pour les gilets jaunes, de vouloir changer les choses en demandant la démission de M. Macron et le R.I.C. Pourquoi ?

1 - Parce qu’en régime révolutionnaire, fruit de la Franc-Maçonnerie et de l’esprit kabbalistique insufflé par le judaïsme politique, les dés sont pipés et les élections au suffrage universel (même citoyen) ne sont qu’un vaste mensonge. Les prétendants sont filtrés, poussés en avant ou discrédités par les media aux ordres selon les intérêts des tireurs de ficelles.

2 - Parce que M. Macron n’est qu’une potiche comme ceux qui l’ont précédé, et comme le sera celui ou celle qui lui succédera, et même un éventuel gilet jaune, rouge, violet… faisant siennes les références révolutionnaires adoptées par la très grande majorité des français (démocratie et laïcité révolutionnaires, droits de l’homme et souveraineté du peuple (1) dont les  Juifs et les francs-maçons (utiles aux Juifs temporairement) sont les inspirateurs et les maîtres d’œuvre, c’est se placer sous influence kabbalistique. Ne pas oublier qu’ils sont derrière toutes les révolutions, soit comme participants actifs, soit comme inspirateurs, soit comme financiers.

     Les Catholiques devraient au moins savoir - du moins ceux qui ont encore la foi ou ne l’ont pas reniée - que la Révolution ne vient pas du Christianisme. Le Christ a donné un tout autre exemple en dirigeant les hommes non vers la Révolution contre les occupants romains de son époque, mais vers Dieu le Père et le Royaume de Dieu, en faisant du bien à tous. Elle ne vient pas du christianisme car ses principes sont contraires et, si pour attirer les hommes vers elle, la Révolution utilise des termes identiques à ceux du christianisme, comme : liberté, égalité, fraternité, justice, etc., le contenu et le sens de ces mots sont différents. Les principes révolutionnaires sont dans la ligne de ceux qui se sont inspirés des propos meurtriers contre Jésus-Christ pour s’en prendre aux premiers chrétiens et, ensuite, selon les circonstances de temps et de lieux, de l’influence acquise auprès des rois, des princes et des empereurs, comme instigateurs de persécutions contre les chrétiens. Ainsi, collaborer avec des révolutionnaires s’inspirant de principes fondamentalement hostiles au christianisme comme ceux de 1789 et les suivants, c’est combattre contre le Christ. C’est dire comme les Juifs et les Francs-maçons et tous ceux tombés sous leur influence : « Nous n’avons de roi que César ! » (St Jean XIX,16) et au sujet de Dieu ou du Christ « Nous ne voulons pas qu’il règne sur nous ! » (St Luc XIX, 14)

3 – Parce que la Révolution a été élaborée, planifiée et dotée de garde-fous par les Juifs et les francs-maçons, destinés à la protéger contre toute tentative visant à l’empêcher de parvenir à ce qui est son but final : la domination juive mondiale ou dictature mondiale. Ces ennemis du genre humain en général, et du christianisme en particulier, ne sont pas stupides pour ce qui est de défendre leurs acquis de 1789, et leur finalité encore lointaine à cette époque. Comme ils savent bien le faire, et l’ont toujours fait, les Juifs depuis leur expulsion d’Israël, aidés ensuite par leurs « idiots utiles » francs-maçons, et les diverses sectes et sociétés secrètes dont ils sont les chefs, ils noyautent tous groupements et mouvements civils, politiques ou religieux. Peu importe que le contestataire soit royaliste, anarchiste, de gauche, de droite, du centre, des gilets jaunes, etc. du moment que leur leitmotiv est révolutionnaire, et fait sien les mots de République, démocratie, droits de l’homme (sans Dieu), laïcité, souveraineté populaire, les sésames obligatoires pour entrer dans le jeu révolutionnaire et espérer avoir l’aval des faiseurs de rois pour concourir, espérer y faire carrière et, surtout être mis bien en avant par les media. Ils savent gérer contrairement aux potiches consentantes en CDD, qui peuvent parfois paniquer face à certains événements.

     En d’autres termes les gilets jaunes font involontairement, pour la plupart, le jeu de ceux qui ont mis beaucoup d’entre eux dans les misères dans lesquelles ils se trouvent, en adoptant les références philosophiques révolutionnaires qui appuient et inspirent leurs actions. Soyez certains que vous êtes infiltrés et manipulés, vous serez dérivés, divisés et récupérés. Aucune association, aucun parti politique, aucune religion, aucun syndicat n’échappe à leur influence ou à leur contrôle, et sera noyauté(e).

     Que les gilets jaunes, que je comprends sur le fond mais pas sur la forme revendicative adoptée, n’oublient pas ceci : les fourbes qui les auront noyautés agiront par influences soigneusement dissimulées. Ils vous donneront des gages de leur orthodoxie, et il vous faudra être très perspicace pour les reconnaître. Selon le degré de duplicité, la découverte de(s) l’infiltré (s) peut être tardive, et il est fort probable qu’il(s) ai(en)t fait des ‘’petits’’ qui resteront bien en place pour continuer leur œuvre de sape. Les Catholiques d’hier et d’aujourd’hui en savent quelque chose. L’état de l’Eglise Catholique depuis la Révolution dite française est là pour le prouver, exemple : des conjurés révolutionnaires et Francs-maçons, agissant sous les noms de code Volpe et Nubius n’allaient-ils pas à l’Eglise et ne communiaient-ils pas lors de l’Eucharistie pour donner le change ? (Alors qu’ils haïssaient l’une et l’autre)

4 – Parce qu’on ne combat pas la Révolution en adoptant ses principes mais par la Contre-Révolution qui n’est pas une Révolution à l’envers, mais le contraire de la Révolution. Elle est d’une toute autre nature. Elle implique d’autres principes que ceux du mantra trompeur à la sonorité agréable de « Liberté, Egalité, Fraternité… judéo-maçonniques » et de son application, ô combien exemplaire, par les ‘’hommes bons’’ qui venaient d’éliminer le ‘’tyran’’ permettant ainsi la mise en œuvre des Droits de l’homme (sans Dieu) par les coupeurs de têtes, suivis par la Terreur de 1793-1794, et le massacre de dizaines de milliers d’enfants, de femmes, d’hommes et de vieillards et, objet de festivité un certain 14 juillet . Quelle horreur ! Cette funeste Révolution qui, depuis, excite les peuples et les pousse de révolutions en révolutions, de massacres en massacres faisant la joie des ennemis implacables et séculaires du genre humain, car nécessaires pour l’accomplissement de leur projet diabolique dont les conséquences qui vous font gémir actuellement ne sont que les prémisses des douleurs, et la voie royale pour mener à l’apothéose de la dictature planétaire par leur accueil de l’Antéchrist : le despote universel de la race dite supérieure.

5 – Car ceux qui, parmi les gilets jaunes, n’ont que des vociférations, des propos et gestes obscènes contre des personnes ne paraissent pas meilleures que celles qu’elles critiquent, au-delà des apparences de justice qu’elles se donnent, car il n’y a pas loin entre la vulgarité et la démagogie. Les revendications légitimes n’ont pas besoin de ces outrances pour se rendre crédibles. On ne détruit pas une société humaine seulement avec des bombes mais aussi par des mœurs délétères. Ces comportements, chez certains, sont dictés par l’accumulation des déceptions, des rancoeurs, des trahisons. Ils signalent surtout un manque de maîtrise face à l’adversité, ou un désir de complaire à un certain auditoire. Une société dont la morale se désagrège est vouée à l’anarchie et ce qui en résulte toujours la barbarie. On ne construit rien de durable sur la haine. La Révolution fut construite sur la haine et la sauvagerie et elle ne fait, en France et à travers le monde qui s’en inspire, que se reproduire selon son espèce traînant avec elle toute sa laideur morale, intellectuelle, politique, etc…

6 – Maintenant, que penser de ceux qui, parmi les gilets jaunes et leurs sympathisants, dénoncent la Franc-maçonnerie ? Ils font bien ! mais c’est insuffisant car elle n’est que le paravent des Juifs politisés ou judaïsme politique. Est-ce par ignorance ou pour des raisons inavouables qu'ils font silence sur les Juifs kabbalistes et talmudistes comme inspirateurs et participants aux malheurs et à la décadence de la France ? Je ne saurai le dire. Mais cela est de nature à nous rendre très attentif les concernant, qu’elle que soit la qualité des analyses qu’ils produisent par ailleurs. Je dis que c’est insuffisant, comme s’en prendre aux flèches pour que cesse le tir de l’archer.

(A suivre… « Les Gilets jaunes sous influence kabbalistique – 2 »…si Dieu veut

 Mis sur un autre blogue le 14 novembre 2018

René Pellegrini


            

                                                                          h

mercredi 18 mai 2022

Le communisme est-il mort ? - 2



 LE COMMUNISME EST-IL MORT ? – 2 

 

     Cette seconde partie est, en totalité, un rajout du 8 février 2014 à la première partie

 

     Le communisme, un des masques de la Révolution au XXe siècle, a permis après la Renaissance, la Réforme protestante et la Révolution de 1789 et celles qui suivirent, de poursuivre le dynamitage de la chrétienté en incorporant en son sein - au moyen des infiltrations spirituelles marranes et maçonniques - des ferments idéologiques et politiques de révolte politique, sociale et morale, en utilisant certains mots, tout à fait acceptables pour des Catholiques et par de braves gens en général, tels que « fraternité, justice, paix » mais revêtant un tout autre contenu dans l’idéologie et l’esprit des meneurs révolutionnaires, et la finalité de leur projet. 

     Il n’est pas mort, mais, sous l’angle politique, en application de la philosophie hégélienne « Thèse (capitalisme) – Antithèse (communisme) – Synthèse ou dépassement des antagonismes (mondialisme) », il fait la synthèse avec le socialisme américain et le capitalisme libéral (1) pour mieux se les assujettir et donner naissance au Nouvel Ordre Mondial. Sous l’angle spirituel, il est aussi le fruit de la gnose kabbalistique de Karl Marx. (2) Le communisme a été impulsé dans les sociétés humaines par le moyen de la Haute Finance Internationale ou Haut capitalisme apatride qui lui a fourni les finances nécessaires pour son expansion. Il ne fait que changer de masque et augmenter sa virulence et son mépris pour l’être humain, en revêtant celui du mondialisme ou communisme universel (3) lequel effectue, maintenant, la convergence de toutes les forces hostiles au catholicisme traditionnel au cours des siècles. Ce que Benjamin Creme, le représentant de Maitreya le faux christ du Nouvel Age, appelle pour rassurer son monde « un socialisme démocratique ». Mondialisme qui ne tolérera qu’une seule religion universelle pour les non-Juifs, appelée noachisme ou nohaisme par les cercles d’Initiés, et aboutissement du travail œcuménique actuel. Vous comprenez ainsi, au-delà des arguties et contorsions théologiques d’experts en félonies, pourquoi il ne faut plus chercher à convertir les Juifs. En fait, le communisme n’est pas mort mais il fut une étape préparatoire au mondialisme dans lequel il trouvera son plein épanouissement, si Dieu le permet en châtiment des blasphèmes et iniquités des nations apostates. 

     Il ne faut jamais oublier que le communisme, soi-disant prolétarien, n’a pu émerger qu’en bénéficiant des subsides de hauts financiers juifs dont les noms sont connus (4). Au-delà des apparences et des affrontements de la scène politique, il y a toujours eu soutien de la Haute Finance Internationale pour les forces révolutionnaires de gauche comme de droite, afin de susciter les antagonismes dialectiques nécessaires pour permettre à la Révolution de poursuivre sa marche en avant car, ne l’oublions jamais, elle est un « état permanent » car son inspirateur satanique est un éternel agité. 

 

René Pellegrini

 

(1) Lorsque je parle de synthèse du communisme avec le capitalisme, il s’agit du capitalisme dévoyé en libéralisme économique car l’Eglise catholique n’a jamais condamné le capitalisme en tant que tel « Il ne peut y avoir de capital sans travail, ni de travail sans capital » (Encyclique Rerum novarum, Léon XIII, le 15 mai 1891). A charge pour le capitalisme de ne pas prendre la main d’œuvre pour des bêtes de somme ou des objets jetables.

(2) Appelé prophète des temps modernes. Petit-fils de rabbin, et membre de la société secrète juive ‘’la Ligue des Justes’’

(3) Incarnation du règne antéchristique.

(4) Banques Jacob Schiff ; Kuhn, Loeb et Cie dirigée par Jacob Schiff, Félix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, Jérôme H. Hanauer ; Guggenheim ; Max Breitung.

 

Mis sur un autre blogue le 8 février 2014

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...