Affichage des articles dont le libellé est anathèmes. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est anathèmes. Afficher tous les articles

mercredi 25 mai 2022

Le retour des Juifs en Palestine - 8 : Versets contredisant un retour en Israël - 2



 LE SIONISME – 8

 

« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis.»

 (Luc XXI, 24) 

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE – 8

 

VERSETS CONTREDISANT UN RETOUR EN ISRAÊL - 2

 

     Avant d’aborder un autre texte contredisant un retour des Juifs en Palestine, celui de St Matthieu XXI, 33-46, considérons une constante dans l’histoire de ce peuple et de ses dirigeants : l’attitude de mépris allant jusqu’aux meurtres à l’égard des prophètes que Dieu leur envoie. Preuve, s’il en est, que déjà à cette époque ils n’avaient plus l’esprit de Moïse. Ayant déjà adressé une série d’imprécations sur les pharisiens et les docteurs de la loi, Jésus termine ses invectives par trois anathèmes au sujet des fardeaux, des tombeaux des prophètes et des clefs de la science :

« MALHEUR à vous aussi, docteurs de la loi, parce que vous chargez les hommes de fardeaux qu’ils ne peuvent porter, et que vous-mêmes vous ne touchez pas ces fardeaux d’un seul de vos doigts. MALHEUR à vous, qui bâtissez les tombeaux des prophètes ; et ce sont vos pères qui les ont tués. Certes, vous témoignez que vous consentez aux œuvres de vos pères ; car eux, ils les ont tués, et vous, vous bâtissez leurs tombeaux. C’est pourquoi la sagesse de Dieu a dit : Je vous enverrai des prophètes et des apôtres, et ils tueront les uns et ils persécuteront les autres, afin qu’il soit demandé compte à cette génération du sang de tous les prophètes qui a été répandu depuis la création du monde, depuis le sang d’Abel jusqu’au sang de Zacharie, qui a été tué entre l’autel et le temple. Oui, je vous le dis, il en sera demandé compte à cette génération. MALHEUR à vous, docteurs de la loi, parce que vous avez pris la clef de la science ; vous-mêmes, vous n’êtes pas entrés, et vous avez arrêté ceux qui voulaient entrer. » (St Luc XI, 47-52)

     Tel est le terrible constat et le procès fait par Jésus sur l’œuvre inique accomplie par  leurs pères, imitateurs de Caïn depuis « Abel jusqu’’à Zacharie » à qui ils succédèrent, et le châtiment que Dieu fit tomber sur cette génération juive punie pour ses propres crimes et ceux des générations précédentes.

MATTHIEU XXI : 33-46 (Parabole des vignerons homicides)

« Il y avait un père de famille, qui planta une vigne (…) puis il la loua a des vignerons, et partit pour un pays lointain. Or, lorsque le temps des fruits approcha, il envoya ses serviteurs aux vignerons (…) Mais les vignerons s’étant saisis de ses serviteurs, battirent l’un, tuèrent l’autre, et en lapidèrent un autre. Il leur envoya encore d’autres serviteurs, en plus grand nombre que les premiers, et ils les traitèrent de même. Enfin il leur envoya son fils, en disant : Ils auront du respect pour mon fils. Mais les vignerons, voyant le fils, dirent entre eux : Voici l’héritier ; venez, tuons-le, et nous aurons son héritage. Et s’étant saisis de lui, ils le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent. Lors donc que le maître de la vigne sera venu, que fera-t-il à ces vignerons ? Ils lui dirent : Il fera périr misérablement ces misérables, et il louera sa vigne à d’autres vignerons (…) C’est pourquoi, je vous dis que LE ROYAUME DE DIEU VOUS SERA ENLEVE ET qu’il sera DONNE A UNE NATION QUI EN PRODUIRA LE FRUIT. »  

     Qu’ont fait les « vignerons » ? (les guides du peuple d’Israël). Ils ont maltraité et tué tous les serviteurs que Dieu leur avait envoyés, comme Jésus nous l’a fait remarquer, ci-dessus en Saint Luc, concernant les prophètes. Mais dans cette parabole des vignerons, Ils vont encore plus loin, jusqu’à « tuer le fils de Dieu, l’héritier de la vigne » montrant, par là, qu’ils veulent garder pour eux-mêmes, pour leur propre gloire, cette vigne - ce royaume de Dieu - que le Seigneur leur avait LOUEE afin qu’ils la gèrent et la fassent fructifier pour la gloire de Dieu.

    Ainsi, le rejet et la mise à mort du Fils (Jésus-Christ) disqualifient les guides du peuple d’Israël indociles et révoltés contre les serviteurs que Dieu leur envoie, tout comme les rabbins d’aujourd’hui - leurs successeurs et continuateurs qu’ils soient réformistes ou talmudistes - ainsi que les malheureux Juifs égarés par eux. Ils sont disqualifiés pour faire fructifier la vigne dont ils ont été dépossédés par Dieu car, après tous ces homicides, ils n’en étaient plus dignes. D’ailleurs, Ils se qualifient eux-mêmes (les vignerons) de « misérables » et  leur appliquent la sentence « il louera la vigne à d’autres vignerons ». Jésus rectifiera juste un point : là où ils disent « il la louera » car ce royaume de Dieu (la vigne) ne leur avait été que loué, il dira « il sera DONNE »

     Cette vigne a donc été « enlevée » aux Juifs, à cause de leurs crimes répétés contre les envoyés de Dieu, y compris le meurtre de son Fils. Ainsi, ce qui n’était qu’une LOCATION faite aux Juifs est devenue un « DON à une nation qui en produira les fruits ». Cette nation n’est plus délimitée par un espace géographique et des frontières terrestres : c’est celle qui, issue de toutes les nations de la Gentilité, se bâtit depuis les Apôtres autour de « l’héritier, le Christ, le Fils de Dieu » c’est-à-dire l’Eglise qui est composée de tous les baptisés sortis des peuples païens et des Juifs convertis. Elle continuera de se construire jusqu’à ce que le temps des nations soit accompli, et que le dernier baptisé y soit entré.

     A l’instar de la jalousie de Lucifer qui, par orgueil à vouloir s’élever (1), refusa de se soumettre à l’humilité du Verbe de Dieu qui, pour sa part, consenti à s’abaisser par son Incarnation, cette dépossession « du royaume de Dieu » explique  la constance de la haine, de la jalousie et des manigances juives contre l’Eglise, les nations et les peuples chrétiens depuis les origines du christianisme. Cet orgueil et cette jalousie s’appuyant sur la puissance de l’or et la grande influence qu’il favorise, la corruption et l’achat des consciences qu’il permet, les poussent à faire violence au décret divin sur Israël et à s’en affranchir en allant jusqu’à forcer la main de Dieu pour reprendre « l’héritage » dont Il les a dépossédés. Pour cela, ils ont manigancé et orchestré, avec la permission de Dieu, la mise en place, par le sionisme politique, d’un foyer juif en Palestine qui deviendra progressivement un enfer pour eux, en même temps qu’un facteur permanent de malheurs et de conflits internationaux destinés à faire émerger non le Messie - qui est déjà venu et dont les Chrétiens attendent maintenant le retour comme il l’a promis - mais l’Antéchrist, le faux messie des Juifs, avant qu’un reste d’Israël ne se convertisse et soit sauvé, en disant après leur méprise : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! »

(A suivre si Dieu veut)

René Pellegrini 

 

(1) « Tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, j’établirai mon trône au-dessus des astres de Dieu, je m’assiérai sur la montagne de l’alliance, aux côtés de l’aquilon ; je monterai sur le sommet des nues, JE SERAI SEMBLABLE AU TRES-HAUT » (Isaïe XIV, 13-14). Nous trouvons dans les mots en majuscule l’origine du faux principe révolutionnaire de l’égalité, fruit de l’envie et de la jalousie, dont se parent nos hommes politiques et bien des citoyens, même ceux qui vont à l’Eglise, jusqu’à des membres du clergé. C’est dire le niveau d’aveuglement spirituel de ces personnes à qui certains confient leur propre avenir, et celui de leurs enfants pour les éduquer spirituellement. Le principe égalitaire c’est le langage de Lucifer depuis le Jardin d’Eden « Vous serez COMME des dieux » et l’essence même du libéralisme. C’est ce principe qui fut ardemment souhaité et encouragé par les Juifs, successeurs impénitents de ceux à qui Jésus déclara « Vous avez le diable pour père ». L’égalité, n’en pas pour s’en satisfaire mais, une fois obtenue, pour travailler ensuite, et en accord avec cette paternité satanique, à ce qui a toujours eu leur préférence et fut l’objet incessant de leur désir : la domination, en toutes choses, sur ceux qui ont la folie de leur accorder l’égalité de tous les droits civiques et politiques, comme le diable domine sur ceux qui se prêtent à ses suggestions ou à ses désirs. Domination qui leur permet, avec l’appui des supplétifs Francs-maçons, de déchristianiser les peuples chrétiens en extirpant la morale chrétienne pour lui substituer une législation – fruit des Lumières de la déraison du XVIIIe siècle – favorisant des mœurs perverties qui n’ont rien à envier aux pratiques de Sodome et de Sparte

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...