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jeudi 1 septembre 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 6 : L'antisémitisme, une arme de propagande


 ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 6

L’ANTISEMITISME, UNE ARME DE PROPAGANDE 

     Au XIXe siècle, le Juif Bernard Lazare écrivit :

« Partout où les Juifs, cessant d’être une nation prête à défendre sa liberté et son indépendance se sont établis, partout s’est développé l’antisémitisme, ou plutôt l’antijudaïsme, car l’antisémitisme est un mot mal choisi, qui n’a sa raison d’être que de notre temps, quand on a voulu élargir cette lutte du Juif et des peuples chrétiens, et lui donner une philosophie en même temps qu’une raison plus métaphysique que matérielle. Si cette hostilité, cette répugnance même, ne s’étaient exercées vis-à-vis des Juifs qu’en un temps et en un pays, il serait facile de démêler les causes restreintes de ces colères ; mais cette race a été, au contraire, en butte à la haine de tous les peuples au milieu desquels elle s’est établie.  Il faut donc, puisque les ennemis des Juifs appartenaient aux races les plus diverses, qu’ils vivaient dans des contrées fort éloignées les unes des autres, qu’ils étaient régis par des lois différentes, gouvernés par des principes opposés, qu’ils n’avaient ni les mêmes mœurs, ni les mêmes coutumes, qu’ils étaient animés d’esprits dissemblables ne leur permettant pas de juger également de toutes choses, il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidées en Israël même et non chez ceux qui les combattent. » (Livre l’Antisémitisme, 1894, page 4)

     Trois remarques dans cet extrait :

- Une vérité : L’antisémitisme (mot relativement récent) est bien différencié de l’antijudaïsme car c’est bien l’enseignement du judaïsme, et non l’appartenance raciale qui fait problème. (1)

- Des inexactitudes (sont-elles volontaires ?) lorsqu’il dit : « les Juifs, cessant d’être une nation ». En effet, ils n’ont jamais cessé, bien que dispersée, d’être une nation avec ses propres lois civiles et religieuses, comme je me suis efforcé de le montrer avec trois articles, voir ici : 

- Le gouvernement occulte d'Israël (2 articles) et les fruits de la Kabbale dans l'histoire, ici : https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-gouvernement-occulte-disrael-1-la.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-2-les.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-3.html

     D’autre part, ils n’ont jamais « cessé de défendre leur liberté et leur indépendance ». Etant, partout, un Etat dans l’Etat. Bien entendu, liberté et indépendance selon leur conception kabbaliste et talmudique les amenant à conspirer continuellement, à cet effet, à l’intérieur des nations hôtes.

- Un aveu lorsque Lazare nous dit « partout s’est développé l’antisémitisme ». Les Juifs sont-ils donc fondés de parler continuellement de haine ‘’antisémite’’ ? Un bémol : comme l’indique la citation, ils rencontrent ce problème face à toutes les races quels que soient les lois et les principes qui régissent ces peuples. Sauf à considérer que ces races et peuples divers soient tous pris de folie furieuse dès qu’ils sont face à des Juifs, il faut donc admettre qu’ils sont incapables de se plier « aux lois, principes et mœurs » qui régissent les autres peuples, aussi divers soient-ils. Il faut donc conclure que « les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidées en Israël même et non chez ceux qui les combattent ». Par leur orgueil, leurs complots, leurs mœurs et l’usure enseignés par le judaïsme corrompu, les Juifs se rendaient insupportables au sein des peuples dans lesquels ils vivaient, et provoquaient une saine réaction à leur encontre, même si parfois elle fut brutale.

     Quel aveu ! Ainsi, c’est Israël lui-même qui fabrique l’antisémitisme, le suscite, le téléguide et l’utilise à son avantage. Pauvres Juifs, vos rabbins et vos élites sans scrupules vous manipulent et se servent de vous pour atteindre leur but antéchristique. L’antisémitisme est donc, en définitive, une création juive. Mais pourquoi agir de la sorte, en mettant en danger ses propres coreligionnaires ?

     Pour le comprendre, il faut considérer non pas les Juifs qui ont peu ou pas d’influence, c’est-à-dire ceux qui suivent plus ou moins les enseignements rabbiniques, mais ceux qui dirigent vraiment, le gouvernement occulte de la nation juive, ceux qui rêvent et travaillent toujours pour leur domination sur le monde. Ceux-ci, avaient une double crainte :

     1 - Que la nation juive dispersée se fasse absorber par les nations hôtes, car l’histoire leur a appris que ce phénomène d’absorption à fait disparaître bien des peuples.

     2 - Que les Juifs finissent par se convertir au catholicisme, à l’Eglise catholique qui demeure le seul et véritable ennemi des successeurs des pharisiens « ceux qui ont le diable pour père et veulent accomplir ses désirs » et profanateurs de l’enseignement de de la Synagogue fidèle. Sûrement pas l’Eglise conciliaire pour qui les apostats de la Synagogue infidèle et falsificateurs prouvés de la Torah sont nos ‘’frères aînés’’ ! Ils sont frères comme « Caïn qui était enfant du malin et qui tua son frère » (I Jean III, 12). Mort physique pour Abel, et mort physique par nos ‘’frères aînés’’ avec les guerres et révolutions qu’ils ont fomentées et financées, l’avortement par la panthéonisée Simone Veil, la contraception par Lucien Neuwirth, et mort spirituelle avec les fausses doctrines philosophiques, morales, politiques et religieuses inoculées dans la société chrétienne.

     Eh, les apostats du Vatican moderniste, vous n’avez pas d’autres frères à nous proposer que des fils spirituels de criminels impénitents et continuateurs de leurs œuvres mauvaises au sein de ce qui reste de la société chrétienne ?

     Pour atteindre leur objectif final de domination mondiale, une fois acquis les droits civiques et politiques par cette erreur fondamentale de l’émancipation, les chefs occultes de la Synagogue infidèle devaient se doter de moyens permettant de faire obstacle à ces deux dangers menaçants la pérennité de la nation juive, en utilisant toutes les possibilités offertes par la Révolution, et dont ils ne sont pas étrangers :

     Ce fut l’antisémitisme car nous savons que « les causes générales de l’antisémitisme (ont) toujours résidées en Israël même ». Le Juif est certainement l’être le plus individualiste et insociable qui soit mais, confronté à la persécution, la communauté juive resserre ses liens. L’antisémitisme était donc de nature à constituer un bouclier destiné à les protéger, et à les ressouder dans leur orgueil de race, face à ce double danger. La Shoah, érigée en dogme républicain infaillible, diffusée, propagée et commémorée sur tous les supports disponibles, jusqu’à plus soif, pourrait être analysée sous cet angle.

     Les deux dogmes républicains que sont l’antisémitisme et la Shoah s’appuient sur des faits réels, mais discutables sur certains points, et une certaine occultation des causes qui préparèrent et provoquèrent les phénomènes déclencheurs avec leurs conséquences (2). Ils sont des armes de propagande juive et une auto-défense qui vise un quadruple objectif :

     - Lutter contre l’absorption de la nation juive dispersée,

     - Empêcher ou atténuer le plus possible les conversions de Juifs au catholicisme.

     - Susciter de plus en plus de difficultés aux Catholiques qui mettent en garde contre leurs doctrines religieuses, morales, philosophiques, politiques et sociales.

     - Travailler plus sereinement, et pratiquement sans entrave avec des lois sur mesure, à leur rêve de domination mondiale par le faux messie juif que sera l’Antéchrist dont les mœurs sont déjà à l’œuvre de nos jours

     Tel est but assigné à l’antisémitisme et le piège dans lequel tombent, par ignorance, lâcheté ou complicité, les hommes politiques et bien des Catholiques ainsi que des personnes d’autres confessions religieuses subjuguées par le sionisme.

     C’est donc une vérité bien établie, et vérifiée par l’histoire, de l’inspiration de Saint Paul (le mal aimé des Juifs et pour cause) lorsqu’il écrit à l’Eglise de Thessalonique, concernant les Juifs « qui sont ennemis de tous les hommes » (I Thessaloniciens II, 15). Comment ne pas l’être lorsqu’on perpétuant le pharisaïsme, on valide un enseignement qui tue Celui qui vient enseigner et proclamer d’aimer son prochain ou l’étranger comme le demandait Moïse « Aimez donc les étrangers, parce que vous l’avez été vous-mêmes en Egypte » (Deutéronome X, 19 ; Lévitique XIX, 18,34 ; etc.)

     Nous ne pouvons pas leur faire confiance ainsi qu’à leurs créatures, les Francs-maçons, tant qu’ils resteront fixés sur l’enseignement des rabbins kabbalistes et talmudistes ou, si ayant plus ou moins pris leur distance avec eux, ils appliquent dans leur vie morale, philosophique, politique et sociale certains des enseignements délétères avec lesquels ils ont été formés en les adaptant à la modernité. Ils sont nos ennemis séculaires car le catholicisme est l’antithèse de leur judaïsme, et ils doivent être dénoncés comme tels. Assez de lâcheté, de complaisance coupable chez les Catholiques ! Pour les autres, c’est leur affaire.

     Cependant, en ôtant leurs masques, nous ne devons jamais oublier l’ordre de Notre-Seigneur Jésus-Christ « Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous persécutent et qui vous calomnient » (St Matthieu V, 44) : Un abîme avec les enseignements du Talmud et ceux du Coran. Les aimer en ne leur cachant pas ce que beaucoup doivent ignorer, en les aidant s’ils sont dans le besoin, s’ils ont faim et soif, comme nous le ferions avec toute autre personne, et prier pour que Dieu leur accorde la grâce de conversion. Nous sommes chrétiens avant toute autre chose, et notre Exemple et Maître, en paroles et en actes, c’est le Fils de Dieu fait homme qui n’a pas craint, devant ses ennemis pharisiens, de leur dire en termes peu amènes, ce qu’ils étaient au-delà des apparences. Franchise de Jésus qui, par la suite, a permis au cœur droit de Gamaliel, membre du sanhédrin, de devenir chrétien.

     Les vrais fils d’Israël sauront reconnaître, comme bon nombre de leurs ancêtres, que Jésus de Nazareth est le vrai Messie qu’ils attendaient, que leurs chefs religieux ont exécuté, en poussant l’ignominie jusqu’à falsifier des textes de la Sainte Ecriture, et que son enseignement est tout entier dirigé vers l’amour du prochain quel qu’il soit, et non la haine talmudiste envers le non-Juif.

     Pour notre consolation et notre joie nous savons, par Saint Paul, qu’à la fin des temps eu égard à l’amour et la promesse de Dieu pour leurs pères, que les enfants d’Israël reviendront de leurs égarements. Dieu, leur redonnant l’intelligence des Ecritures sur le Messie qu’ils ont rejeté. Que vienne ce jour béni où, enfin, Juifs et Gentils (non-Juifs) constitueront ensemble cette prophétie de l’Apôtre « Tout Israël sera sauvé. » (Romains XI, 25 ; Isaïe LIX, 20). Les uns (Gentils) ayant méconnus le Christ jusqu’au rejet par les Juifs, les autres (Juifs) l’ayant majoritairement renié à sa venue.

     A vous les Juifs qui me lisez, c’est sans haine que je vous dis : « Délaissez le Talmud, prenez la Bible hébraïque et vous verrez que les docteurs de l’ancienne synagogue fidèle (Traité du Sanhédrin, Zohar, Targums de Jérusalem et de Babylone) décrivaient sans doute possible Jésus de Nazareth comme votre Messie, et elle ne salissaient pas sa Sainte Mère en ne manipulant pas comme certains de vos rabbins et les protestants en général, les diverses significations des mots « Alma » et « Betula » pour nier sa virginité et la salir. »

René Pellegrini

(1) Voir les 5 autres liens de la rubrique Antisémitisme et antijudaïsme sur ce blogue.

(2) En toutes choses (morales, politiques, sociales, etc.) se vérifie, en bien ou en mal, le principe : « on récolte ce que l’on sème » (Galates VI, 7-8)


lundi 22 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 5 : Après l'antisémitisme, l'antijudaïsme hors-la-loi ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 5

 

LA RELIGION JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE

 

APRES L’ANTISEMITISME, L’ANTIJUDAÏSME HORS-LA-LOI ?

 

     Ce qui suit et mis uniquement « entre guillemets » est la réflexion imaginaire d’un Juif sur la question de l’antijudaïsme :   

     « Comment faire pour empêcher que ne fuse de différents côtés ce qui est de nature à faire s’écrouler, ou s’amoindrir considérablement  tout ce qui depuis la bienvenue Révolution de 1789, et les autres - dont nous ne sommes pas étrangers puisque l’esprit de révolte et de sédition est une de nos caractéristiques - a grandement favorisé nos intérêts et permis, jusqu’à nos jours, de façonner une certaine image du Juif en tant que peuple, et de saper les fondements du christianisme et des sociétés chrétiennes en les ayant ébranlés auparavant avec la Renaissance et la Réforme protestante, dont nous ne sommes pas étrangers non plus, et ensuite minés de l’intérieur. » (1)

     Je conçois que du côté juif la question est sérieuse et qu’une réponse s’impose car les implications sont considérables : aussi bien politiquement que religieusement. Puisqu’au-delà de la question des victimes de ceux qui ont beaucoup souffert et qu’il faut promouvoir, sans se lasser, se joue dans les coulisses la question de la domination du monde, et celle du sionisme dans son rôle de tête de pont destiné à créer les conditions favorisant la mise en place progressive d’une gouvernance et d’une religion mondiales sous domination juive : ce à quoi servent aussi l’œcuménisme frelaté de Vatican II, le pandémonium d’Assise 1986 et tous ceux qui ont suivi et qui le perpétuent.

     « Comment faire ? Eh bien, l’antisémitisme que nous avons créé au XIXe siècle nous ayant bien servi en mettant des obstacles de plus en plus contraignants, pour qu’on ne fouille pas trop dans notre passé historique et religieux, il faut en faire autant avec l’antijudaïsme. Nous savons bien, sauf à vouloir tendancieusement forcer le sens des mots, qu’il n’a rien à voir avec l’antisémitisme mais, comme nous les avons bien abrutis avec les média, et nos frères temporaires, par la propagande sur l’antisémitisme que nous avons orchestré, avec l’aide de ces organismes d’information de masse qui sont entre nos mains, continuons sans discontinuer cet abrutissement, en discréditant et stigmatisant l’antijudaïsme, en leur répétant sans cesse que c’est de l’antisémitisme. »

     « Ces organismes que nous avons acquis pour façonner l’opinion publique battront la grosse caisse, et nous attirerons à nos vues suffisamment de couillons et d’opportunistes non-Juifs pour nous aider dans ce travail, comme nous l’avons toujours fait en politique. Avec nos amis temporaires Francs-maçons de toutes les obédiences, nous avons très bien réussi avec le divorce, l’avortement, la contraception, le Pacs, la copulation homosexuelle, etc. Il suffira de marteler continuellement le mot « antijudaïsme » comme équivalent d’antisémitisme et, abrutis comme ils sont, ils avaleront la chose. C’est d’ailleurs la technique que nous avons toujours utilisée pour déchristianiser ce pays et les autres. Vous n’avez pas idée de tout ce qu’on peut faire lorsqu’on contrôle les moyens d’influence que sont les média et les ‘’prostitué(e)s’’ qui les servent. »

     Ce qui, bien entendu, serait la fabrication d’un nouveau gros mensonge, d’une nouvelle imposture, après la foutaise du suffrage universel des éternels cocus contents et consentants, et celle des causes humaines du réchauffement climatique (2), et pourquoi pas des chutes de météorites sur la terre, ou des pets malodorants non contrôlés.

     Soyons clairs ! Comme je l’ai déjà dit, et je le répète pour les faux durs de la feuille, l’antisémitisme est absurde et illégitime, car on ne choisit pas sa race, son ethnie, pas plus que son père et sa mère et, aujourd’hui, le délabrement mental aidant, ses deux faux papas ou mamans de la France démocratique des pédérastes et des lesbiennes, en attendant les familles à partenaires multiples, car il n’y a plus de limite à la perversité lorsque le cerveau est devenu une fosse à purin, à la gloire de l’obscurantisme de la déesse Raison et ses fausses ‘’Lumières’’ qui ne furent, en réalité, que l’annonce de la plongée vertigineuse de la raison déifiée dans des ténèbres moraux, intellectuelles et philosophiques de plus en plus épaisses, et même jusqu’en-dessous du paganisme, comme le montre l’état actuel de nos sociétés qui appellent bien ce qui est mal, et mal ce qui est bien (Isaïe V, 20).

LEGITIMITE DE L’ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE

     Cependant, dans une civilisation de culture chrétienne (3), il est parfaitement légitime de combattre l’idéologie religieuse et politique que véhicule le judaïsme rabbinique, qu’il soit moderniste, progressiste ou talmudiste. Cette idéologie qui lui inocule des conceptions morales, sociales et politiques qui lui sont totalement antagonistes et étrangères, au même titre que celles véhiculées par l’islam et ses stratégies variées de conquête. Ce combat c’est Jésus lui-même qui l’a inauguré quand il lança à la face des représentants du peuple juif qui cherchaient des prétextes pour le faire mourir, ces paroles qui servent d’exemple pour indiquer sur quel fondement, ou sur quelle paternité, ne pourra jamais reposer une véritable doctrine et unité œcuménique :

« Vous faites les œuvres de votre père (…) Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été homicide dès le commencement. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car Il est menteur, et père du mensonge (…) Vous n’écoutez point, parce que vous vous n’êtes pas de Dieu. » (St Jean VIII, 41-47)

     Par ces propos Jésus démasque les œuvres, les influences, Les désirs meurtriers et les propos mensongers de vos pères spirituels qui « au dehors paraissent beaux aux hommes » mais qui « au dedans, sans pleins d’ossements de morts, et de toute sorte de pourriture (…) pleins d’hypocrisie et d’iniquité » (St Matthieu XXIII, 27-28) en situant leur origine « vous avez le diable pour père ». Pourquoi un tel comportement ? Jésus vient de nous le dire « Parce que vous n’êtes pas de Dieu ». Et Notre-Seigneur dit : « homicide ». Il sait de quoi il parle, sachant les mobiles qui animaient, à son égard, ces fifrelins de l’enfer déguisés en disciples de Moïse et serviteurs de Yahvé. En suivant leurs enseignements vous ne pouvez que leur ressembler et perpétuer leurs œuvres iniques directement, ou indirectement, par sectes ou sociétés secrètes sous votre contrôle.

     L’histoire, lorsqu’elle n’est pas occultée par vos historiens et journalistes complaisants, et vos supplétifs avides de carrière, de titre honorifique et de notoriété, témoigne amplement de ces mêmes œuvres, influences, désirs et mensonges, depuis l’origine du christianisme, contre l’Eglise naissante qui, de tous temps, a dû se défendre contre les Juifs. Non par haine ! Non par antisémitisme ! Mais, connaissant vos agissements, pour se protéger et, par là-même, protéger les chrétiens de vos manigances, voire de vos exactions, celles-ci de plus en plus visibles aujourd’hui. Comment pourrait-il en être autrement quand vous êtes nourris par l’enseignement de rabbins s’abreuvant à des pères spirituels ayant « le diable pour Père » ce que confirme vos propres actions néfastes dans le monde, et ce dont témoignent vos propres livres ?

     Ne soyons pas dupes. Ce mot d’antijudaïsme, dans l’intention juive, serait absolument diabolique car elle constituerait une arme fabriquée et utilisée pour accuser les Catholiques, et les empêcher de se défendre contre eux, contre les atteintes répétées qu’ils portent à la civilisation chrétienne et à sa morale. Ces ouvriers d’iniquité, au service de l’enfer, jaloux comme le diable, mettraient ainsi tout en œuvre pour continuer la déchristianisation de la France, sans véritable opposition religieuse et politique, et tenter de briser l’alliance qu’elle a conclu avec Dieu, il y a plus de 15 siècles. Mais, se défendre contre les Juifs, ne signifie pas, n’a jamais signifié et ne signifiera jamais, avoir de la haine contre eux, sauf à avoir l’esprit tordu et, pour certains, il l’est passablement.

DEMISSION DES AUTORITES RELIGIEUSES ET POLITIQUES CATHOLIQUES

     L’Eglise conciliaire et les Etats catholiques lorsqu’il y en avait encore se sont couchés, à leur grande honte, devant les enseignements et les influences véhiculés dans les sociétés chrétiennes par vos rabbins et vos philosophes de toutes tendances, contrairement à Jésus-Christ dont ils se prétendent les successeurs, les disciples et les défenseurs. Cette Eglise moderniste piétine le comportement des apôtres, des martyrs, des Pères de l’Eglise, tels St Augustin, St Jean Chrysostome, St Jérôme, etc., qui protégeaient les chrétiens contre vos influences néfastes. Cette Eglise se comporte, en ces temps de séduction, non plus comme protectrice de l’héritage reçu pour le bien spirituel et temporel du troupeau, mais comme mercenaire et supplétive de ses ennemis.

     Elle ne rend pas service aux chrétiens en entrant dans cette alliance ténébreuse et satanique qui consiste à culpabiliser et à flageller continuellement l’Eglise, tout comme nos hommes politiques, agenouillés devant les Juifs et les francs-maçons, ne cessent de culpabiliser et de flageller la France : Haro ! sur ces deux piliers de la civilisation chrétienne. Les autres, bien entendu, auréolés d’une histoire toute lisse, toute immaculée et suintante de pureté. Tartuffes ! Vous feriez-mieux de vous flageller vous-mêmes, vu les dégâts que vous avez déjà fait à ces deux piliers en hurlant, comme des imbéciles, avec des loups qui ne pensent qu’à déchirer et à détruire.

     Oui, les vrais chrétiens, sont en bonne compagnie en imitant le Christ, les apôtres, les martyrs, les Pères de l’Eglise et ceux qui, tout au long des siècles, les ont suivis dans l’antijudaïsme rabbinique et n’ont pas cessé de les mettre en garde et de les protéger contre les successeurs des Juifs déicides. Nous n’avons pas honte de ces prédécesseurs et nous les revendiquons. Bas les masques ! Si Jésus l’a inauguré et ses successeurs l’ont poursuivi, c’est parce qu’ils connaissaient la nocivité du judaïsme rabbinique pour les âmes, les ayant vus à l’œuvre dans leurs enseignements et leurs pratiques.

     Honte à ceux qui baissent les armes du combat de la foi et de la vérité sans laquelle il n’y a pas de véritable charité – mais sa caricature - et qui coopèrent avec les ennemis de Notre-Seigneur tout en l’assurant hypocritement de leur amour ! Cette Eglise conciliaire gangrenée par les francs-maçons et les fausses conversions juives, et plus propagandiste de leurs principes des droits de l’homme (4) que des droits de Dieu et, ce faisant, collaborant diaboliquement à l’abaissement et à la destruction du christianisme, de la civilisation chrétienne et de la France. Hormis le péché, rien de commun avec ces gens-là !

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) En effet, la Révolution n’est rien d’autre que la mise en œuvre, au plan politique, de l’action de la Synagogue infidèle et apostate pour détruire l’Eglise catholique et la civilisation chrétienne.

(2) Ne pas confondre avec la pollution, ni avec la température qui s’interprète sur des périodes courtes (la météo ne voit pas au-delà d’une semaine), alors que le climat s’étudie et s’interprète objectivement sur des périodes longues, voire très longues.

(3) Je dis chrétienne, et non judéo-chrétienne comme cela se dit fréquemment et à tort, à mon sens. Pourquoi ? Parce que, comme déjà dit, le judaïsme des rabbins du temps de Jésus n’a plus rien à voir avec l’esprit de Moïse. Cet esprit fut corrompu par la tradition rabbinique. « Ainsi, vous avez annulé le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8). Ces traditions ayant été importées de Babylone, la religion de Moïse fut ensuite défigurée par les fables, les turpitudes et les invraisemblances du Talmud. Aujourd’hui, les Juifs kabbalistes, talmudistes, orthodoxes ou modernistes, qu’elle que soit leur prétention, sont des apostats par rapport à la religion et à l’esprit de Moïse, et des antichrists (ne pas confondre avec Antéchrist) par rapport à celle du Messie ou Christ.

(4) Les droits de l’homme seront vraiment appliqués et respectés lorsque les dirigeants veilleront à rappeler (à temps et à contretemps), à faire appliquer et respecter les droits de Dieu, et non en les bafouant et faisant silence sur eux, ou encore en se défilant hypocritement lorsqu’il s’agit de les rappeler. N’est-ce pas M. Bergoglio (dit ‘’pape’’ François devant l’Eternel) ? En dehors de cela, cessez de vous faire des illusions, car derrière la propagation du refus et l’irrespect des droits de Dieu, et l’imposture du suffrage universel, ce sont l’anarchie, la barbarie et la tyrannie qui s’annoncent. La pantalonnade des prières œcuméniques n’y changera rien sinon à apporter à chaque occasion un cinglant désaveu à ces outrages répétés à la Majesté divine.

 

Mis sur un autre blogue le 2 mai 2018

samedi 13 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 4 : Antijudaïsme rabbinique, pourquoi ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 4


LA RELIGION JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE

 

ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE, POURQUOI ?

 

     Si des chrétiens mettent les Juifs en cause, ce n’est pas parce qu’ils sont de race sémite, ce serait absurde, mais pour l’inoculation et la mise en pratique de leurs principes moraux, sociaux et politiques issus de leur judaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique dans les pays qu’ils vampirisent en compagnie de tous ceux qui les secondent, dans leurs œuvres iniques, par appât de l’argent, intérêt, opportunisme, arrivisme ou haine de la France chrétienne et de l’Eglise. En définitive des personnes déchristianisées dont l’esprit s’est plus ou moins judaïsé, par l’adhésion à des principes mortels de vie sociale et politique contraires à l’essence même de ce qui est constitutif de la France et du christianisme : principes qui ne peuvent que leur nuire et les détruire. Si nous n’avions les promesses réitérées de Dieu, des Papes, des Saints et des grands auteurs ecclésiastiques sur notre pays, la France ne pourrait que disparaître dans une République universelle anti-christique, après dissolution dans une République européenne.

     Dans cette affaire le mot convenable pour ce qui me concerne est « antijudaïsme » et c’est une toute autre chose qu’antisémitisme (voir les articles précédents de la rubrique : Antisémitisme et antijudaïsme) car c’est l’aspect religieux qui est en cause et non l’aspect racial. En tant que chrétien non subjugué par le délire œcuménique des ennemis plus ou moins conscients de l’Eglise, de l’apostasie en actes du Concile Vatican II, et du gros bobard sur l’interprétation du Concile à la lumière de la Tradition (sérieusement amochée pour la circonstance), c’est un devoir de mettre en garde contre le faux judaïsme des pharisiens véhiculé par les rabbins.

ANTIJUDAÏSME PHARISIEN : UN DEVOIR, MAIS SANS HAINE

     *  J’ai le droit et le devoir de combattre ce Judaïsme ennemis du Christ et de ses enseignements fondateurs de la France chrétienne née, en 496, au Baptistère de Reims, par la conversion et le baptême de Clovis et de sa tribu franque, à la prédestination et la vocation particulière que Dieu a conférée, à cette époque, à notre nation par rapport aux autres nations, à savoir : défendre l’Eglise romaine et être prospère en étant fidèle à Dieu et rudement châtiée pour ses infidélités, selon la mise en garde de Saint Rémy :

« Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine qui est la seule véritable Eglise du Christ (…) Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la Foi romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. » (Flodoard, Historia Ecclesiae Remensis) 

     L’Etat actuel de déliquescence de la France jacobine dirigée, depuis plus de deux siècles, par une compétition entre irresponsables de tous bords, favorisant ou pratiquant eux-mêmes l’immoralité, l’impiété, le blasphème et le sacrilège, ou de traîtres indignes d’être français vendant ou soumettant leur pays à des puissances étrangères rêvant de domination mondiale. Ceci, témoignant de ce qui attend notre pauvre pays infidèle avant que Dieu, à son heure, n’accomplisse ses promesses pour la France.

     Il y a bientôt six siècles, il y avait grande misère et grand découragement au Royaume de France avant que Sainte Jeanne d’Arc ne soit envoyée par Dieu pour reprendre aux armées anglaises la partie française qu’ils occupaient, et la restituer à son roi Charles VII : Préfiguration de la future libération de notre patrie de ses ennemis intérieurs et extérieurs.

     * J’ai le droit et le devoir de combattre ce judaïsme qui n’a rien à voir avec celui de Moïse, si ce n’est un Moïse revu et corrigé par le Talmud car, en réalité, ils ne croyaient pas en lui. C’est Jésus Lui-même qui l’affirme. En effet, si les pharisiens étaient véritablement dirigés par l’esprit de Moïse ils n’auraient jamais fait exécuter leur Messie, pour leur propre malheur :

« Car, si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit » (St Jean V, 46)

     Les livres de Moïse (Le Pentateuque (1) écrivaient sur le Christ à venir, ils prophétisaient aussi une inimitié historique entre deux postérités et le moyen de la Rédemption et du salut, en Genèse III, 15. Ils annonçaient aussi, le prophète comme Moïse dans Deutéronome XVIII, 15,18 et aussi, à travers les sacrifices, les cérémonies symboliques du culte qui dirigeaient et trouvaient leur accomplissement véritable et définitif dans le futur libérateur du peuple de Dieu.

     S’ils croyaient en Moïse et aux prophètes, ils n’auraient pas façonné le peuple d’Israël en « annulant le commandement de Dieu » par leur « tradition » que Jésus condamnera en reprenant à son compte le reproche « d’hypocrisie » du prophète Isaïe :

« Ainsi, vous avez annulé le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8).

     * J’ai le droit et le devoir, comme Catholique et chrétien, de combattre les fausses doctrines pharisiennes des rabbins kabbalistes et talmudistes avec leurs incidences sur  la vie morale, économique, financière, politique et sociale des peuples en général, et de la France en particulier, tout comme Jésus dénonça les faux enseignements des pharisiens et des scribes ennemis de la vérité de Dieu, qui le firent mettre à mort et dont les successeurs continuent de le crucifier en donnant leur assentiment au déicide de leurs pères. De même, à leur époque, les apôtres, les martyrs, les Pères de l’Eglise et les saints dénoncèrent les fausses doctrines des rabbins imbus d’enseignements pharisiens, en mettant en garde leurs fidèles, ce que ne fait plus, à sa grande honte, le clergé apostat, tétanisé, moderniste et manipulateur d’aujourd’hui.

     * J’ai le droit et le devoir, sauf à renier ma foi et celle de la France chrétienne, de combattre le judaïsme rabbinique dont l’arme principale est le mensonge, car le levain qu’il contenait à l’époque de Jésus-Christ n’est pas moins dangereux pour les âmes d’aujourd’hui, même si les rabbins kabbalistes talmudistes orthodoxes ou modernisés, sans autel, sans temple, sans prêtre et sans sacrifice, ne sont plus que des personnes ravalées au rang de simples laïcs. L’état de la France et de l’Europe, autrefois chrétienne et désormais sous domination judéo-maçonnique, est de nature à manifester l’impressionnante culbute morale engendrée par les principes nauséabonds véhiculés par le judaïsme politico-religieux et leurs auxiliaires Francs-maçons, et leurs répercussions dévastatrices dans le domaine moral, familial, politique, économique, financier, philosophique et social.

     Que l’antisémitisme et l’antijudaïsme ne peuvent être synonymes, les Juifs le savent très bien.  Mais, comme les orgueilleux qu’ils sont, et n’étant pas handicapés dans l’usage des idées tordues, il leur est nécessaire de se fabriquer un moyen pour qu’aucune critique sérieuse ne puisse se formuler contre eux, et qu’il devienne toujours plus difficile, voire impossible, de leur arracher le masque dont ils s’affublent, tout comme leurs supplétifs temporaires Francs-maçons. Munis de cette parade et de son imposition avec menaces, les gens pourront continuer à larmoyer dans les chaumières, les plaindre inlassablement comme victimes perpétuels, sans se poser les vraies questions des tenants et des aboutissants sur ce point et, ainsi, toujours paraître, comme Jésus disait de leurs pères spirituels « Au dehors, Vous paraissez justes aux hommes » pour dire ensuite, en dépassant les apparences de justice « mais au dedans, vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité » (St Matthieu XXIII, 28). L’histoire, tant profane que religieuse, témoigne amplement de cela, ainsi que leurs propres livres.

     Non ! La religion juive des rabbins pharisiens, qui est celle de la Synagogue infidèle, n’est pas la sœur ainée de l’Eglise, et les Juifs qui suivent leurs enseignements ou combattent contre les doctrines chrétiennes ne sont pas, malheureusement, nos « frères aînés » mais, en l’état, des ennemis redoutables non seulement pour les chrétiens, mais pour la France elle-même, quels que soient les artifices utilisés pour donner le change. Comment pourraient-ils être nos « frères aînés » en suivant les enseignements de ceux qui « ont le diable pour père » et veulent « accomplir ses désirs » au sein des nations ? Retenons bien ce que Jésus a déclaré concernant leurs pères spirituels « Si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit ».

NOS FRERES AÎNES, MAIS SEULEMENT EN JESUS-CHRIST

     Ils seront nos frères aînés lorsque, se rattachant aux enseignements de la Synagogue fidèle, ils deviendront de véritables enfants d’Abraham non selon la chair, mais selon l’esprit, en acceptant le Christ comme leur Messie et leur Roi, en se nourrissant par la foi de la chair et du sang de Jésus-Christ, fils de David et fils d’Abraham (voir la généalogie de St Mathieu I, 1). Nos véritables frères aînés ce sont les Patriarches, les prophètes et tous les vrais croyants de l’ancienne synagogue fidèle depuis Moïse, et non ceux de la Synagogue infidèle et apostate des rabbins pharisiens.

     En attendant ce jour béni pour eux-mêmes et pour notre plus grande joie, ils se présentent à nous sous deux aspects différents et complémentaires, ou en les cumulant, pour ce qui est de leur capacité de nuisance dans une société d’essence chrétienne :

     * Soit, ils pratiquent une fausse religion, un judaïsme gnostique kabbaliste et talmudique déjà à l’œuvre chez les pharisiens, ennemie du Christ et des chrétiens, et ils travaillent à la destruction de l’Eglise catholique et du christianisme par noyautage de ses institutions et l’injection en leur sein du venin moderniste et naturaliste.

     * Soit, engagés politiquement dans des mouvements libéraux ou révolutionnaires de droite ou de gauche, ils participent à la destruction de ce qui revêt encore un caractère véritablement chrétien dans la société. Il n’y a plus que les aveugles spirituels, les indifférents chroniques et les décérébrés par la propagande ecclésiastique et celle des media révolutionnaires pour ne pas s’en rendre compte.

     Inutile d’entrer dans le déni et les contorsions théologiques pour justifier un faux œcuménisme et un Israël à part. Prions plutôt pour leur conversion et aidant-les à s’extraire de l’esclavage des traditions pharisiennes, au lieu de les installer dans une fausse sécurité par une complaisance coupable et lâche, ou une charité qui, en la circonstance relève, non de la vertu, mais du frelatée, et de non-assistance à personne en danger au plan de leur salut éternel.

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) On appelle Pentateuque les cinq premiers livres de la Bible écrits par Moïse : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.

Mis sur un autre blogue le 18 avril 2018

mardi 19 juillet 2022

Antisémitisme et Antijudaïsme - 2 : Antisémitisme et Juif, qu'est-ce à dire ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME – 2

ANTISEMITISME ET JUIF, QU’EST-CE A DIRE ?

     Avant d’aller plus avant sur la question de l’antisémitisme commençant déjà par dire que ce mot est relativement récent. La première mention du mot antisémite, en 1860, est attribuée à un intellectuel juif autrichien nommé Moritz Steinschneider (1816-1907). Il l’utilisa dans l’expression « préjugés antisémites (antisemitische Vorurteile) » Quant au mot antisémitisme « Antisemitismus » il fut inventé par un journaliste allemand, Wilhelm Marr (1819-1904) dans le sens « d'hostilité aux Juifs ». En France, c’est le dictionnaire Robert qui traduira, en 1886 Antisemitismus par « antisémitisme ». (1)

     Ce mot formé sur le vocable « sémite » nécessite un retour dans l’histoire. De nos jours, ce mot est ambigu car martelé de façon à diriger la pensée immédiatement et exclusivement vers les Juifs. Or, cela est tendancieux car un rappel historique montre qu’il n’en est pas ainsi.

     Nous savons par le Livre de la Genèse que Sem (père des Sémites) était un des trois fils de Noé (avec Cham et Japhet) et qu’Hébert, le père éponyme des Hébreux, était d’origine sémite tout comme sa postérité Abraham, ses fils Isaac et Jacob et leurs descendants. Dans le langage moderne le mot « sémite » se cristallise davantage, à tort, sur la descendance d’Isaac (son deuxième fils, et fils de la promesse que Dieu fit au Patriarche Abraham). Cependant, Abraham eut un autre fils Ismaël (son premier-né qu’il eût avec sa servante Agar) et sa descendance que sont les Arabes, eux aussi descendants d’Abraham, et donc des Sémites comme les Juifs. Telle est, sur le plan historique, la réalité et la portée du mot Sémite.

     Passons maintenant au mot « Juif » pour voir ce qu’il recoupe sous cet unique vocable. Ce mot a trois sens : un sens racial, un sens lié à la nationalité et un sens religieux.

     Pour ne pas faire trop long, cet article n’abordera que la race et la nationalité, réservant la religion pour un prochain article.

LA RACE JUIVE :

     Le sens racial, lorsqu’il n’est pas divinisé, est moralement indifférent. Ce fut la race de Notre-Seigneur et de sa Sainte Mère, des colonnes de l’Eglise que furent Saint Pierre et Saint Paul, de certains Apôtres et, beaucoup moins glorieux, des grands prêtres Anne et Caïphe, de Karl Marx, de Trotsky, de Rothschild, etc. L’aspect racial du mot « antisémitisme » des nazis a été fermement stigmatisé par le Pape Pie XI :

« Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’Etat, ou la forme de l’Etat, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine – toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable - quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créés et ordonnées par Dieu : est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la vie répondant à cette foi. » (Encyclique « Mit Brennender Sorge » sur le nazisme, du 14 mars 1937). La date de cette Encyclique mettait déjà en garde.

LA NATIONALITE JUIVE :

     Ce sens est généralement complétement occulté. Pourquoi ? Parce que de nos jours, il est difficile pour les gens de concevoir une nation sans territoire, sans frontières et sans une organisation politique visible (ce n’est plus le cas depuis 70 ans). Est-ce à dire que les Juifs ne sont une nation que depuis 1948 ? Ce serait une grave erreur de le penser, et se disposer à ne rien comprendre à la marche des événements politiques, sociaux et mondiaux, aux comportements et à la duplicité juive au sein des nations. En effet, au sein même de ces peuples qui les ont accueillis, ils ont toujours été une nation obéissant aux ordres d’un gouvernement occulte connu sous le nom de Kahal. C’est compréhensible car le judaïsme rabbinique ou modernisé - pratiqué par des Juifs orthodoxes et talmudistes, ou par des Juifs modernistes ou progressistes – a toujours été le dernier refuge qui a permis à la nationalité juive de subsister, lui évitant de s’assimiler aux nations hôtes. En effet, par le génie financier dont ils font preuve et la puissance de l’or dont ils sont les maîtres, les Juifs ont toujours été un Etat dans l’Etat, au sein des royaumes ou des Républiques. Nous avons deux preuves de l’existence d’un gouvernement occulte : la Bible et un document juif.

LA BIBLE :

     Elle affirme : « Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Proverbes XI, 14 - Vulgate). Ce texte inspiré affirme donc qu’un peuple ne peut que disparaître s’il n’a personne pour le gouverner. Or, deux mille ans après sa dispersion, le peuple juif est toujours présent, alors que bien des peuples de l’antiquité ont disparu. Il ne s’est assimilé à aucun peuple non-juif.

DOCUMENT JUIF

     Cette seconde preuve consiste en un échange de lettres entre les Juifs d’Arles et ceux de Constantinople, daté de 1489. Ainsi, depuis l’an 70 les Juifs n’ont jamais cessé d’avoir un gouvernement auquel ils se sont toujours référés pour connaître la conduite à tenir au sein des nations.

     On suit la trace de ce Sanhédrin suprême appelé aussi Princes juifs de la Captivité - ou gouvernement juif - à Jabné jusqu’à la révolte et la défaite de Shimon Bar-Kokhba, en 135 après Jésus-Christ et, après sa dispersion, sa reconstitution à Tibériade. Depuis 429, il s’est transporté à Babylone jusqu’en 1005 sous le nom de Princes de l’Exil. A cette date, les Califes d’Orient s’effrayèrent de la puissance de ces Princes juifs et les persécutèrent, les obligeant à fuir vers l’Arabie et l’Occident. Ceci montre que jusqu’à cette date de 1005 ils avaient bien un centre de commandement auquel les Juifs étaient soumis. Le document juif, ci-dessous, atteste qu’il n’a jamais cessé de fonctionner, puisque les Juifs d’Arles savaient où s’adresser 484 ans plus tard (à Constantinople en 1489) même si sa trace historique était perdue de 1005 à 1489.

LETTRE DES JUIFS D’ARLES A CEUX DE CONSTANTINOPLE

« Honorables juifs, salut et grâce. Vous devez savoir que le roi de France, qui est le nouveau maître du pays de Provence, nous a obligés par cri public de nous faire chrétiens ou de quitter son territoire. Et ceux d’Arles, d’Aix et de Marseille veulent prendre nos biens, menacent nos vies, ruines nos synagogues et nous causent beaucoup d’ennuis ; ce qui nous rend incertains de ce que nous devons faire pour la loi de Moïse. Voilà pourquoi nous vous prions de vouloir sagement nous mander ce que nous devons faire (Chamor, Rabbin des Juifs d’Arles, le 13 de Sabath 1489.) » (2)

REPONSE DES JUIFS DE CONSTANTINOPLE A CEUX D’ARLES ET DE PROVENCE

     Placés devant l’alternative de se convertir au catholicisme ou de fuir à l’étranger, le gouvernement occulte juif appelle les Juifs à la simulation, en réponse à la Lettre du 13 de Sabath, 1489 au rabbin Chamor, d’Arles (France) nous lisant :

« Bien-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre lettre dans laquelle vous nous faites connaître les anxiétés et les infortunes que vous endurez. Nous en avons été pénétrés d’une aussi grande peine que vous-mêmes. L’avis des grands Satrapes et Rabbins est le suivant :

« A ce que vous dîtes que le roi de France vous oblige à vous faire chrétiens : faites-le, puisque vous ne pouvez faire autrement ; mais que la loi de Moïse se conserve dans votre cœur. »

« A ce que vous dites qu’on commande de vous dépouiller de vos biens : Faites vos enfants marchands, afin que, peu à peu, ils dépouillent les chrétiens des leurs. »

« A ce que vous dîtes qu’on attente à vos vies : faites vos enfants médecins et apothicaires afin qu’ils ôtent aux chrétiens leurs vies. »

« A ce que vous dîtes qu’ils détruisent vos synagogues : faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. »

« A ce que vous dîtes qu’on vous fait d’autres vexations : faites-en sorte que vos enfants soient avocats et notaires, et que toujours ils se mêlent des affaires des Etats, afin que, en mettant les chrétiens sous votre joug, vous dominiez le monde et vous puissiez vous venger d’eux.

« Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous donnons, parce que vous verrez par expérience que d’abaissés que vous êtes aujourd’hui, vous arriverez au faîte de la puissance. » Cette lettre est signée (V.S.S.V.F.F., prince des Juifs de Constantinople, le 21 de Casleu, 21 novembre 1489) (3)

     Par ces propos, nous sommes loin de l’esprit de Moïse et de la religion mosaïque à l’égard des étrangers ou de ceux qui sont dans l’obligation de vivre dans un pays qui n’est pas le leur (le ger, en hébreu). Mais, sous sommes bien en phase avec l’esprit de l’enseignement rabbinique et diabolique du Talmud. Ces conseils du prince des Juifs de Constantinople vérifient amplement les paroles du Christ « Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père » (St Jean VIII, 44)

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini


(1) Source Wikipédia

(2 et 3) Pour un peu plus ici :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-gouvernement-occulte-disrael-1-la.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-2-les.html

Mis sur un autre blogue le 15 novembre 2017

dimanche 1 mai 2022

Le reour des Juifs en Palestine - 1 : Avant-Propos



 LE SIONISME - 1

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE - 1 : AVANT-PROPOS 

 

 « Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis.»

 (Luc XXI, 24)

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

     Cet article, et les suivants, pour ceux qui professent la fin du temps des nations depuis le retour des Juifs en Palestine (1) en 1948 ou, au plus tard, depuis la guerre des six jours de 1967 livrée et gagnée par Israël contre l’Egypte, la Jordanie et la Syrie, et à ceux qui font de ce retour ''un signe irréfutable'' de la fin des temps : ces deux catégories de personnes que j’appelle les chrétiens judaïsés ou sionisés car, se faisant, chacun à leur manière, les colporteurs d’une propagande judaïque et sioniste très en verve dans les mouvements judéo-chrétiens, évangéliques, charismatiques, et même chez des catholiques encore imprégnés, ou mal guéris, des interprétations d’anciennes fréquentations de sectes, et perceptibles dans certains de leurs enseignements présentés comme catholiques, et même jusqu’au Pentagone avec leurs guerres ''messianiques''. Ce type d’interprétation littérale des prophéties sur Israël manifeste une lecture et une influence spirituelle rabbinique, c’est-à-dire kabbaliste et talmudiste.

     Le danger d’une telle interprétation c’est de drainer souvent, avec elle, l’idée que l’étape suivante est la venue de l’Antéchrist. C’est une erreur chronologique et théologique car elle fait l’impasse sur le règne restaurateur du Sacré-Cœur (Saint Pape et Grand Monarque) (2) qui permettra à beaucoup de personnes (dont les Juifs) de se convertir, avant la venue de l’Antéchrist pour l’ultime et terrible persécution des chrétiens pendant trois ans et demi, devant aboutir à la fin du monde et au renouvellement de toutes choses.

     Si je puis être d’accord pour vivre dans une époque s’inscrivant dans un processus de fin des temps, je ne l’associe pas à ce retour des Juifs en Palestine interprété comme un signe voulue par Dieu, selon les prophéties habituellement invoquées comme argument. Ne pas confondre signe voulu par Dieu, avec événement permis par Dieu.

     Un des membres de ce christianisme judaïsé ou sionisé traite aimablement les traditionalistes (3) d’antisémite. En effet, ne pas adhérer à leur (?) interprétation des Ecritures, et appeler un chat un chat, lorsqu’il s’agit des Juifs qui, à moins d’ignorer leurs agissements anciens et jusqu’à présent - loin d’être très lisses dans leur propre histoire nationale comme dans la nôtre – ce serait, dans l’univers mental de certains, une preuve d’antisémitisme. Une des caractéristiques de ces aimables paroissiens c’est d’être prosioniste et dithyrambique à l’égard d’Israël, voire d’arborer parfois le drapeau sioniste de 1948 ce qui, au regard de leur histoire ancienne et présente face à la Loi de Moïse (pas celle du Talmud) et de Notre-Seigneur, me paraît être un curieux mélange des genres : conséquence d’un certain strabisme spirituel ou d’une confusion de l’esprit.      

     Si cela peut les convaincre, bien que n’ayant nul besoin de leur aval pour savoir ce qu’il en est réellement de mon attitude et de mes sentiments concernant les membres de la ''Race supérieure'' - ce que les Juifs pensent être selon le Talmud - je les renvoie aux deux articles « Avertissements »  et Mise au point et petite digression sur les Gilets jaunes. 

     Prier pour la conversion des Juifs et leur pardonner leurs mépris ou insultes contre ma personne : OUI ! Sans problème. Faire silence - comme c’est le cas des fascinés par Israël selon la chair, des politiques, des historiens, de la presse audio et écrite en général - sur leurs agissements historiques contre les chrétiens et leur haine avérée contre la France, Fille aînée de l’Eglise et la monarchie catholique, le rempart naturel de la France contre sa dissolution par ses ennemis intérieurs et extérieurs : NON !

     Ce ne peut être, sans réagir, un continuel procès à charge contre les chrétiens, la France et l’Eglise catholique. Ils ont tous les grands média entre leurs mains, et des politiciens comme serviteurs serviles pour déchristianiser la France avec leur propagande culturelle, politique et sociale anticatholique et antichrétienne. Nous n’avons que nos blogues et quelques rares livres pour montrer les Juifs tels qu’ils sont : ce qu’ils font actuellement, et ce qu’ils ont toujours fait dans les sociétés non-juives qui les ont accueillis, et ce qu’ils n’ont jamais cessé d’y faire depuis leur châtiment par Dieu du crime de déicide et leur dispersion parmi les nations.   

     Dans mon univers mental, comme dans les faits, l’antijudaïsmel’antisionisme (4) et l’antisémitisme (5) étant trois choses différentes, j’aurai  préféré, en rigueur de terme, s’il fallait me cataloguer, être traité d’antijudaïsme ou d’antisionisme (même des Juifs sont antisionistes) car, ne vivant pas dans un monde de bisounours et d’œcuménisme trompeur et destructeur de la foi véritable, je peux, et c’est même mon devoir comme chrétien, dénoncer le mouvement politique qu’est le sionisme et combattre la théologie fausse et destructrice du judaïsme des pharisiens, combattue et condamnée par Jésus au premier siècle, ses apôtres et l’Eglise. Ce faux judaïsme enseigné par leurs successeurs et propagateurs : les rabbins kabbalistes et talmudistes actuels, tout autant que celui des juifs libéraux et laïcs, ou des non-juifs qui les suivent, sans pour autant être antisémite ; comme je conçois que d’autres puissent être doctrinalement, théologiquement et politiquement anticatholique et antichrétien (c’est bien le cas des Juifs depuis l’origine du christianisme, à moins d’être aveugle ou complice) sans pour autant les cataloguer d’anti-européen, d’anti-occidental, d’antiblancquoique…si j’en crois cet extrait du discours-programme du Rabbin Emanuel Rabinovich, au Congrès d’Urgence des Rabbins européens à Budapest, en Hongrie, le 12 janvier 1952 :

« (…) Je puis déclarer avec assurance que les dernières générations d’enfants blancs sont nées. Dans l’intérêt de la paix et l’effacement des tensions interraciales, nos Commissions de Contrôle interdiront aux blancs de s’accoupler avec des blancs. Les femmes blanches doivent cohabiter avec les membres des races foncées, les hommes blancs avec des femmes noires. Ainsi, la race blanche disparaîtra, car mélanger le foncé au blanc signifie la fin de l’homme blanc, et notre plus dangereux ennemi ne sera plus qu’un souvenir. » (Service des Renseignements Canadiens, septembre 1952, dans la publication américaine Common Sense, 1952)  

     La forte migration subsaharienne, comme par hasard, devrait peut-être permettre la réalisation des volontés de cet exemplaire monument d’antiracisme. Ainsi, le problème c’est l’homme blanc (???) sauf la ''race supérieure'' bien sûr ! Vous avez dit raciste ? Qui ? Ceux qui hurlent le plus et à sens unique ! Ces propos sont stupéfiants, mais pas pour ceux qui connaissent certains textes du Talmud (6). Il faudrait commencer par balayer devant sa propre porte « Nos commissions de contrôle ». Ce texte que certains apparentent au ''faux''  Protocoles des Sages de Sion dont on reparlera ultérieurement, si Dieu veut, peut prêter à caution aux yeux de la police de la pensée, pour tout ce qui concerne les ''intouchables'', les purs d’entre les purs. Alors, autant le dire avec force : ce texte n’est en aucun cas crédible car, depuis 1952, il est incontestable, visible à l’œil nu, que la France blanchie de plus en plus !

     En France, selon la nouvelle présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans et ça, il va falloir que ça change. » (Le Figaro, le 23 septembre 2015) – Propos sans rapport avec ceux de 1952 ou résultat de leur influence souterraine pouvant désormais se manifester publiquement et destinés, par répétition de faits accomplis, à changer les mentalités, et à les normaliser ?... Selon la technique maçonnique bien réglé et victorieuse bien des fois : Faites-leur avaler le mot, ils avaleront la chose ! Comme cela s’est fait avec l’avortement, contraception, mariage gay, etc…

     Lorsqu’on est catholique on fait, au minimum, l’effort de ne pas se tromper d’ennemis en répétant des slogans fabriqués, par les vigilants, pour museler et mettre au banc de la société, sans qu’il leur soit nécessaire de justifier leurs assertions par des arguments probants et convaincants, autres que : circulez y a plus rien à voir, les ''experts'' que nous avons choisis ont décidé. Aujourd’hui, comme hier, le combat spirituel est vital. Il doit se livrer, non seulement pour le bien des gens simples, mais aussi pour celui de nos frères dans la foi et leur salut éternel, contre ceux qui, au cours des siècles, n’ont pas cessé de combattre directement, ou indirectement et subtilement - par sectes interposées et créées par eux - le catholicisme et le christianisme, plutôt que s’enflammer sur un fait historique sur lequel il y a beaucoup à dire en utilisant, comme un perroquet ou un imbécile, le clairon rassembleur et bien calibré de l’antisémitisme, dès qu’on éclabousse l’auréole complaisante et surfaite attribuée aux Juifs, à moins d’ignorance (non péjoratif), de complicité ou d’affinités inavouables.

     Personne n’est dupe de l’utilisation habituelle, récurrente et à dessein de ce mot par ceux qui, en politique comme en religion, savent les avantages qu’il procure aux yeux de l’opinion publique, et jouent ignoblement sur l’effet escompté. Si vous voulez rendre quelqu’un infamant et pustuleux vous lui appliquez, sans discernement, du haut de votre intelligence supérieure, le mot antisémite ou celui de fasciste s’il n’adhère pas, en politique ou en religion, à la pensée chimiquement pure des judéo-maçons et propagée par leurs colporteurs de toutes tendances politiques ou religieuses et repris en chœur, avec cris d’orfraies, par des media et journaux faiseurs d’opinion, subventionnés par l’Etat, c’est-à-dire par les contribuables même stigmatisés, à tort ou à raison, antisémites ou fascistes : leur argent, pour le coup, est pur de tout stigmate infamant et bon à prendre.

 

(A suivre…« Le retour des Juifs en Palestine - 2 : Versets habituels et significatifs »…si Dieu veut »

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras et souligne dans le texte.

 

(1) Première tentative juive de fonder un Etat juif en Roumanie, au XIXe siècle, et repoussée par les autorités et la nation roumaines (Archives israélites XVI, p.719, 1866) 

(2) Epoque de courte restauration, après les périodes de révolutions, d’afflictions et de désastres du cinquième âge (Eglise de Sardes). Elle correspond au sixième âge  de l’Eglise (Eglise de Philadelphie) du Livre de l’Apocalypse III, 1-13)

(3) Ce que je suis (sans adhérer à leur opinion sur les ‘’papes’’ depuis Vatican II) mais selon les termes de Saint Pie X « car les vrais amis du peuple ne sont ni révolutionnaires ni novateurs, mais traditionalistes. » (Encyclique Notre charge Apostolique sur ‘’le Sillon’’ 25 août 1910)

(4) Le sionisme est un mouvement politique dont l’objectif était la création d’un Etat juif en Palestine avec perspective de domination mondiale non incluse, bien sûr, lors de l’élaboration des documents. Dans cette perspective il vise, présentement, à enflammer les nations en leur faisant prendre parti dans le conflit qui oppose Israël moderne avec le monde musulman et, par ricochet, favoriser le déclenchement de la troisième guerre mondiale devant permettre, après les désastres et les horreurs occasionnés, la mise en place d’un nouvel ordre mondial dominé et régi par les Juifs. C’est aussi une erreur théologique. Un catholique ne peut que constater le fait du sionisme et dénoncer sa véritable finalité, mais non l’exalter et le promotionner. La promesse de Dieu aux Juifs est de l’ordre de la conversion, possible en tout pays, et non la promotion d’un mouvement politique pour le retour en Palestine, avec l’aide de la judéo-maçonnerie anglo-saxonne des Rothschild et, au besoin, l’implication des autres nations dans des combats de protection, ou de soutien, pour une terre qui ne leur appartient plus. Ce projet politique n’a aucun avenir, sinon de favoriser la troisième guerre mondiale, car il se dresse contre le décret de Dieu sur le peuple juif comme on le verra par la suite.

(5) Les arabes sont aussi des Sémites descendants d’Abraham par Ismaël, et pas seulement la ''race supérieure''. C’est faire peu de cas des autres et intellectuellement malhonnête d’accaparer et de restreindre le vocable « Sémite » aux seuls Juifs qui, par leur comportement envers les Arabes palestiniens, peuvent alors être qualifiés d’antisémites. Lorsqu’il s’agit des Juifs, pour éviter cette restriction du vocabulaire et son utilisation fallacieuse, il serait plus logique de parler d’antisionisme, voire d’antijudaïsme. Le sionisme (mouvement politique) et le judaïsme pharisaïque (une religion) ne sont pas synonymes d’antisémitisme (contre les Sémites ou contre la race sémite) n’est-ce pas M. Valls et consorts, lorsque l’esprit n’est pas manipulé ou tordu ? De ce fait, la propagande et la doctrine politique sioniste ainsi que les doctrines religieuses du judaïsme rabbinique ou pharisaïsme, peuvent être combattues politiquement et doctrinalement, mais pas les Sémites en tant que race, qui ont le droit légitime d’exister, tout comme d’autres, et surtout concernant les Juifs, en tant que peuple élu de Dieu, ayant reçu de Lui la Loi, les oracles et les prophètes, mais toujours outrageusement prévaricateur et persistant dans sa négation et le blasphème de Jésus Messie.

(6Le Talmud : C’est le code moral, social et religieux des Juifs. Il sert de frein contre la conversion des Juifs à Jésus-Christ. Je l’ai déjà écrit mais je le redis : pour un Juif le Talmud est au-dessus de la Loi de Moïse !!! (Talmud, traité Baba-Metzigna, folio 33)

 

Mis sur un autre blogue le 25 juin 2016

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...