Affichage des articles dont le libellé est concubinage. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est concubinage. Afficher tous les articles

jeudi 27 octobre 2022

Le Nouvel Ordre Mondial - 1 : La Renaissance ou le triomphe du paganisme


      Le mondialisme luciférien reprend à son compte la tentative avortée d’unité mondiale entreprise par Nemrod, suite à l’intervention de Dieu pour y mettre fin et disperser, en 72 nations, les bâtisseurs. Nous savons donc ce qui attend cette Nouvelle Tour de Babel mondialiste et leurs constructeurs en voulant détruire les nations voulues par Dieu.

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL - 1

AVANT-PROPOS :

LA RENAISSANCE OU LE TRIOMPHE DU PAGANISME

     Avant d’aborder l’étude du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M) sous ses aspects politiques et religieux, un avant-propos, sans doute utile, sur la Renaissance qui a enclanché un méthodique et implacable mécanisme qui devait aboutir à la Révolution dite française de 1789, son exportation dans le monde et ses bouleversements sociaux, politiques et religieux créant ainsi, étape par étape, les conditions nécessaires pour une Révolution universelle à vocation tyrannique.

     Cette Révolution française, après l’irrévérencieuse exclusion de Dieu par la constitution révolutionnaire de 1789, amènera la France à s’installer progressivement dans l’apostasie, et à l’officialiser de nouveau, législativement et publiquement, en 1958, par un référendum initié par le ''catholique'' mais Franc-maçon Charles De Gaulle, faisant ainsi de la France une « République laïque » c’est-à-dire étrangère à Dieu, après qu’il ait permis, vers la fin 1943, et pour cause, la restauration en France de la Franc-maçonnerie, ennemie séculaire de l’Eglise catholique avec le judaïsme kabbalistique et rabbinique. Référendum inique avalisé par les Catholiques - très majoritairement démocrates politiquement - après les encouragements donnés par un groupe d’évêques et de cardinaux français félons. 

     Dire que la France est en état d’apostasie religieuse, par son adhésion au naturalisme politique, ne doit plus étonner grand monde, sauf ceux qui font litière de la foi et de ses exigences dans l’analyse religieuse, sociale et politique de la « fille aînée de l’Eglise ». Cette apostasie remonte chronologiquement, dans ses prémisses, à ce qui a été pompeusement appelé la ''Renaissance'' c’est-à-dire un mouvement littéraire, artistique et scientifique fondé sur l’imitation de l’Antiquité et qui naquit à Florence, en Italie, dès la première moitié du « quattrocento » (période s’étendant approximativement de la fin du XIVe au XVe siècle (1), et que le roi François Ier, fasciné par l’Italie, introduisit dans notre pays au début du XVIe siècle.   

     Ce mot de Renaissance, qui ouvrira la voie à la Réforme protestante et à la Révolution de 1789, fut en réalité comme un cri de guerre annonçant une incroyable résurrection du paganisme en terre chrétienne. Cette paganisation de la société française qui a eu, qui a, et qui aura des conséquences ultimes très graves se caractérise par :  

ITrois éléments constitutifs  

     1 – L’élément intellectuel : émancipation de la raison ou rationalisme.  

     2 – L’élément moral        : émancipation de la chair ou sensualisme.  

     3 – L’élément social qui rend le divin et le social identiques en confondant :  

      * La divinité avec telles créatures ou l’ensemble des créatures par la divinisation de la nature ou l’annexion de Dieu à la nature  

      * La religion et les devoirs civiques avec le culte compris dans les fonctions du citoyen. Ce culte des citoyens s’adressant à l’Etat, soit directement, soit à travers une religion officielle.     

IITrois grands caractères spécifiques qui apparaissent lorsque ces éléments constitutifs sont parvenus à leur développement complet :  

     1 - En matière religieuse :  

- L’incroyance parmi les lettrés  

- L’indifférence parmi le peuple qui, du moment qu’il a du pain, des jeux et des plaisirs sensuels en tous genres et à outrance, se satisfait de ces choses considérées comme  la quintessence du bonheur humain.  

- L’indifférence politique en vertu de laquelle toutes les religions sont également bonnes et également mauvaises aux yeux des gouvernements. Postulat de l’indifférentisme religieux que doivent adopter et proclamer nos hypocrites hommes et femmes politiques dits catholiques pour pouvoir faire carrière.    

     2 - En matière sociale :  

     Une civilisation matérielle très avancée, très corrompue et corruptrice parce qu’elle ne pense qu’au bien-être matériel de l’homme et produit deux grands résultats : le luxe scandaleux d’un petit nombre, et la misère toujours plus grande d’un nombre toujours plus important.  

     3 - En matière morale :  

     Une fièvre ardente de l’argent et du plaisir accaparant toutes les préoccupations et qui pousse sinon au mépris de la loi au moins à celui de la morale :     

- la légalisation du divorce, du mariage civil, du concubinage, du Pacs et de la perversion sexuelle masculine et féminine qui s’étale, sans aucune honte, dans toutes les classes sociales, la contraception, le lâche et criminel avortement qui souligne au passage la putréfaction intellectuelle et morale de ses législateurs et souscripteurs qui, s’en prenant à des êtres sans défense, réalisent froidement un odieux massacre des innocents, bénéficiant au surplus du remboursement de la Sécurité Sociale et, comme on n’arrête pas le ‘’progrès’’ (surtout dans la dégénérescence et l’avilissement moral), avec en ligne de mire l’euthanasie (déjà à l’oeuvre), l’eugénisme et le clonage à grande échelle, si Dieu n’y met un terme jugeant que l’iniquité est à son comble.  

     Ces éléments constitutifs du paganisme lui font atteindre son apogée lorsque, selon les modèles de l’Antiquité (la référence de la ''Renaissance''), un quatrième caractère apparaît : le Césarisme c’est-à-dire la concentration dans la main d’un seul homme, à la fois souverain pontife et empereur, de tout pouvoir religieux et social ou politique, ce qui n’est autre que le règne absolu de la force : la dictature et la tyrannie, la phase ultime de l’incarnation de l’homme sans Dieu.     

(A suivre…« Traduction politique du Nouvel Ordre Mondial »…si Dieu veut) 

René Pellegrini

 (1)La Renaissance italienne du Quattrocento et quelques pays européens s’étend du XIVe siècle au XVe siècle. Elle s’étend à toute l’Europe aux XVIe siècle.

 

Mis sur un autre blogue le 14 octobre 2012

 

vendredi 16 septembre 2022

Exhortations et avertissements des Papes : La foi est un combat


EXHORTATIONS ET #AVERTISSEMENTS DES PAPES

LA FOI EST UN COMBAT

« Combats le bon combat de la foi ; remporte la victoire éternelle, à laquelle tu as été appelé ayant si glorieusement confessé la foi devant un grand nombre de témoins. »

(I Timothée VI, 12)

« Il en est qui pensent qu’il n’est pas opportun de résister de front à l’#iniquité puissante et dominante, de peur, disent-ils, que la lutte n’exaspère davantage les #méchants. De tels hommes sont-ils pour ou contre l’Eglise ? On ne saurait le dire. Car, d’une par, ils se donnent pour professer la #foi#catholique, mais, en même temps, ils voudraient que l’Eglise laissât libre cours à certaines théories qui lui sont contraires. Ils gémissent de la perte de la foi et de la #perversion des #moeurs, mais, à de tels maux ils n’ont souci d’apporter aucun remède et même il n’est pas rare qu’ils en augmentent l’intensité, soit par une indulgence excessive, soit par une pernicieuse dissimulation. Ils ne permettent à personne d’élever des doutes sur leur dévouement au #Siège#Apostolique : mais ils ont toujours quelques reproches à formuler contre le Pontife romain. Rien n’est plus impropre à diminuer les maux qu’une semblable #prudence (…) Ceux qui aiment « la prudence de la chair » (Saint Paul) et qui font semblant d’ignorer que tout #chrétien doit être un vaillant #soldat#du#Christ, ceux qui prétendent obtenir les récompenses promises aux vainqueurs en vivant comme des lâches et en s’abstenant de prendre part au #combat, ceux-là, non seulement ne sont pas capables d’arrêter l’invasion de l’armée des #méchants, mais ils secondent ses progrès. » (Léon XIII, Lettre #Encyclique #Sapientae #christianae, le 10 janvier 1890) »

     Comme l’enseigne le Pape #Léon#XIII, dans cet extrait, il est impossible pour un chrétien de rester silencieux face « à l’iniquité puissante et dominante » qui s’est installée dans la société et, aujourd’hui, se trouve favoriser par des ‘’élites’’ corrompues d’entendement, ayant perdu tout sens moral, inscrivant avec arrogance, dans l’enseignement et dans les lois, des pratiques condamnées par Dieu dans sa #Sainte #Ecriture (#avortement, #concubinage, #contraception, #divorce, #homosexualité) non moins que des « théories qui lui sont contraires » (#Evolution, #sexualité, #PMA, etc.)

   Cette « prudence de la chair » dont parle le Pape, c’est le caractère de la prudence libérale qui, in fine, se révèle comme un prétexte d’abandon, de paralysie, de #lâcheté et d’#apostasie sociale, en face des ennemis de la foi. C’est le don de #piété qui servira d’antidote à cette fausse prudence.    

     Saint Paul met en garde contre la dangerosité de ce type de prudence :

« Or la prudence de la chair est mort, mais la prudence de l'esprit est vie et paix. » (Romains VIII, 6) 

     Le combat pour la foi concerne aussi bien la #vie #privée que la #vie #publique. Dieu, Notre-Seigneur, n’est pas le roi des seules sacristies et Eglises, mais de tous les hommes croyants ou non, de toutes les sociétés humaines : sa #royauté est universelle. 

     Les ennemis de la foi dupent constamment les #Catholiques avec cette funeste imposture appelée #laïcité censée maintenir la religion hors des questions politiques. Dîtes-moi, d’où proviennent, pour les chantres surexcités de cette mortifère laïcité, les sources d’inspirations des systèmes politiques libéraux et révolutionnaires qui hantent leur #Assemblée#Nationale, les lois et théories iniques qu’ils défendent avec la dernière énergie, sinon de systèmes philosophico-religieux païens et propagés par cette armée de supplétifs de #Lucifer que constitue la #gnose protéiforme, la #Franc#maçonnerie et la #Kabbale et le #Talmud juifs et toutes les #sectes qui leurs sont apparentées et dont ils sont les géniteurs ?    

     Pas de #religion en #politique ? Mon œil ! Sauf si elle porte, en elle-même, des vestiges ou scories des systèmes philosophico-religieux du #paganisme issus de la #tradition de #Caïn. Car, ne nous abusons pas, les organisations et systèmes politiques, sociaux et religieux qui se sont succédés dans le cours de l’histoire ont pour origine la transmission, l’adaptation et la mise en place, dans les sociétés humaines des enseignements reçus, de l’une des deux seules traditions originelles de l’humanité : celle d’#Abel ou de Caïn. 

     Vous êtes Catholique ? Vous voulez faire, ou vous faites de la politique ? Soit ! Cependant, à moins de rêver, soyez persuadé qu’en l’état actuel de filtrage et de verrouillage #judéo#maçonnique du système, il vous sera impossible d’oeuvrer pour le bien commun véritable. Mais, au moins, ne soyez pas des lâches et défendez à l’Assemblée Nationale, sans honte aucune, vos convictions religieuses catholiques et les lois morales et sociales de Dieu et de l’Eglise qui vont avec, comme les autres défendent âprement les insanités païennes qu’ils déversent ensuite dans la société. Le Pape #Pie #XI ne vous disait-il pas dans son Encyclique #Quas#Primas du 11 décembre 1925 :

« Dans les conférences internationales et dans les #Parlements, on couvre d’un lourd silence le nom très doux de notre #Rédempteur ; plus cette conduite est indigne et plus haut doivent monter nos acclamations, plus doit être propagée la déclaration des droits que confèrent au Christ sa dignité et son autorité royales. »

     Que recherchez-vous, votre propre gloire ou celle de Dieu ? Cessez par vos silences coupables qui font office de négation de Dieu et de privation pour vos semblables de l’Être nécessaire en toutes choses. Cessez par votre mutisme de vous faire complice de ces insultes répétitives envers Dieu. Ce comportement de timoré n’est pas d’aujourd’hui, comme on peut le constater par ces propos du député catholique Emile Keller, le 15 juin 1891, avec pour conséquence, une société qui ne cesse de récolter les fruits amers économiques, politiques et sociaux de ce « lourd silence » 

«  La mollesse est grande non seulement parmi les #partis#politiques qui ne font courir aucun danger au #Gouvernement, mais aussi parmi les catholiques qui sont trop disposés à courber la tête devant l'orage. Le moment ne serait-il pas venu de les réveiller pour le bon combat » (Emile Keller par Gustave Gautherot, 1922, page 321) (1)

       Ressaisissez-vous ! Abandonnez cette mollesse, ou cette lâcheté, décidés à être des #témoins et des hérauts du #Christ et de son Eglise dans les Parlements, vous comprendrez alors vos illusions sur ceux qui vous entourent, et vous ferez vite le compte de ceux qui sont vos vrais amis et, ce qu’est combattre réellement pour la foi, c’est-à-dire combattre, ici et maintenant, non seulement pour le #salut de notre #âme et celle des autres, mais aussi pour un programme politique et social qui soit représentatif de la sainteté de la tradition d’Abel, de la #Cité#de#Dieu ou de l’Eglise, en vous dressant courageusement contre les propagateurs des perversités politiques et sociales de la tradition de Caïn, de la #cité#du#Diable ou #cité#du#monde. Ne les craignez pas !

     Adeptes de l’escroquerie intellectuelle qu’est la neutralité religieuse, taillée sur mesure pour les ennemis de la foi catholique et de l’Eglise, ouvrez vos oreilles et comprenez les conséquences de cet avertissement solennel de Jésus-Christ :

« Car qui aura rougi de moi et de mes parolesle #Fils #de #l’homme rougira de lui, lorsqu’il viendra dans sa majesté et dans celle du Père et de ses saints anges. » (St Luc IX, 26)

     Pour ce qui me concerne, ma devise est :

« Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu ? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas #serviteur#de#Christ ? » (Galates I,10)

 

René Pellegrini

 

(1) Gustave Gautherot, Docteur ès lettres, Professeur aux Facultés libres de Paris.

samedi 23 juillet 2022

Le libéralisme est un péché - 2


Léon XIII (1810-1903) Pape antilibéral de 1878 à 1903

ANTILIBERALISME - 2


LE LIBERALISME EST UN PECHE - 2 
 

     De ses principes libéraux découlent :  

- La liberté des cultes, enseignée aussi par la caricature actuelle de l’Eglise catholique issue de Vatican II, gangrenée par la Franc-maçonnerie et le marranisme. 

- La suprématie de l’Etat et de sa ''prêtrise'' laïque dans ses rapports avec l’Eglise au lieu de la distinction des pouvoirs temporel et spirituel et de la subordination du temporel au spirituel dans tout ce qui implique des décisions d’ordre moral, sans quoi, de décadence en décadence, c’est Sodome et Gomorrhe dans lesquelles nous nous installons allègrement, stimulé et encouragé par le bain d’érotisme ambiant prodigué à souhait. 

- L’enseignement laïc, donc du naturalisme, sans aucun lien avec la religion. 

- Le mariage rendu légitime  par la seule intervention de l’Etat ce qui génère toutes les dérives et les perversions que nous connaissons. Des dirigeants politiques avilis donnant eux-mêmes, sans vergogne, l’exemple nauséabond de la débauche, de la corruption, et, dans leur ignominie et leur putréfaction morale et intellectuelle, ne voyons pas vers quels abîmes ils entraînent le pays. Après avoir mensongèrement promis un avenir -  alors qu’ils ne voient même pas où ils mettent les pieds dans le présent - ils commencent à moduler leur discours public en fonction des circonstances. Aveugles et conducteurs d’aveugles, indignes de confiance, cumulant l’irresponsable, le bouffon et le tartuffe, on en rirait si ce n’était aussi dramatique. 

- La sécularisation, c’est-à-dire l’exclusion de la religion de tous les actes de la vie publique. En définitive l’athéisme social comme dernière conséquence du libéralisme

     De ses principes libéraux résultent un ensemble de négation : 

- Il nie tous les dogmes du christianisme en affirmant l’indépendance totale de la raison individuelle et de la raison sociale. 

- Il nie la juridiction absolue de Jésus-Christ, Dieu fait homme, sur les individus comme sur les sociétés et, par voie de conséquence, il nie la juridiction déléguée du Pape. 

- Il nie la nécessité de la révélation divine et l’obligation pour tout homme de l’admettre s’il veut parvenir à sa fin dernière. 

- Il nie le principe formel de la foi, l’autorité de Dieu qui révèle, n’admettant au mieux, ce que son esprit limité lui permet de comprendre. 

- Il nie le Magistère infaillible de l’Eglise et du Pape (1) et, en conséquence toutes les doctrines définies et enseignées, par exemple : 

  *  la foi au baptême on admettant ou supposant l’égalité des cultes.

  *  la sainteté du mariage en établissant le mariage civil ou concubinage légalisé, sous le portrait d'un homme pécheur, voire débauché.

  * l’infaillibilité doctrinale du Pape en matière de foi et de moeurs en refusant comme des lois ses ordres et ses enseignements officiels

     Sous cet angle il est l’erreur absolue et un péché grave de sa nature, un péché contre la foi, un péché mortel car ses doctrines sont hérétiques. 

(A suivre…« Antilibéralisme – 3 »…si Dieu veut)

(1) Ne pas confondre l’infaillibilité grâce à l’assistance du Saint-Esprit en matière de foi et  et de mœurs, et l’impeccabilité car le Pape aussi se confesse.

 

René Pellegrini

 

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...