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lundi 5 décembre 2022

La monarchie catholique de droit divin - 2




LA MONARCHIE CATHOLIQUE DE DROIT DIVIN - 2

 

     Un clergé, des laïcs catholiques ou non, des hommes politiques catholiques ou non, présentant une autre alternative, d’autres chemins pour la France (sur quelque support de communication que ce soit) ne peuvent être – à moins d’ignorance - qu’un clergé, des laïcs et des politiciens trompeurs, inféodés consciemment ou inconsciemment à la cause antichrétienne de la judéo-maçonnerie (1). En définitive, un clergé, des laïcs et des hommes politiques indignes de confiance, dangereux pour la foi, à éviter si possible, qu’elle que soit les emballages confectionnés pour dénier ou discréditer cette prérogative de la France que le temps, les circonstances, le mépris affiché, plus ou moins ouvertement, sur une certaine période historique de l’Eglise, par les libéraux et les modernistes reprenant à leur compte, sans nuances, les poncifs des ennemis de l'Eglise, mais prérogative non caduque simplement suspendue jusqu’à l’heure voulue par Dieu.

     Ce comportement, lorsqu’il n’est pas le reflet de ses propres sentiments, ressemble fort à un conditionnement par la haine séculaire impulsée dans l’Eglise, et hors de celle-ci, par la judéo-maçonnerie contre la France catholique ou « fille aînée de l’Eglise ». Haine de l’Eglise catholique trouvant sa source dans l’esprit véhiculé dans la société française, et au dehors, par la gnose, la Kabbale et le Talmud. A tous ces gens, un « Vade post me, satana » (Saint Matthieu XVI, 23) bien appuyé, légitimé par le motif donné par Jésus-Christ, est de circonstance « tu ne goûtes pas ce qui est de Dieu, mais ce qui est des hommes ».   

     Les défections, les trahisons, les tentatives de substitution, la stigmatisation selon le répertoire fabriqué, à dessein, par les Convents et les Consistoires et repris en chœur, de façon imbécile ou calculée par les valets, les supplétifs de ces instances dissolvantes, et les menaces des apostats et fourbes du Vatican n’y changeront rien, quand bien même Mgr Fellay (2) lors de ses tractations secrètes avec Rome, consentirait à un poste honorifique dans le pandémonium d’Assise 1986 (réplique moderne du Mont Carmel au temps du prophète Elie).

     Nous n’attendons pas quelqu’un de plus grand que le Christ pour réajuster cette prérogative monarchique posée par des saints à travers les siècles et confirmée par un Saint Pape, et mis au rang des vieilleries ou d’une foi déficiente par ces monuments suintant ‘’ d’amour du prochain et de spiritualité ’’ que sont en vrac, l’immense majorité des adeptes et des chantres de Vatican II, de la nouvelle théologie, du corps astral, des NDE (3) et de l’esprit religieux moderne. Tout cela pue à plein nez le levain de la Kabbale et de ses fils et filles : la gnose, le marranisme et la franc-maçonnerie.  

     Il n’y a pas à se leurrer, ni à se voiler la face. Que mon lecteur ne se laisse pas entraîner dans l’angélisme ou l’irénisme, qu’il n’oublie surtout pas cette réalité prégnante : depuis le Livre de la Genèse III, 15 faisant suite à la chute d’Adam et Eve, il y a - Dieu l’a voulu ainsi - deux postérités, deux camps face à face : la postérité de la femme et la postérité du serpent (4). Tout au long de l’histoire sainte - dans laquelle Dieu n’est jamais absent - se construit, en concomitance, l’histoire profane avec ses vicissitudes et ses embûches. Celle-ci, en suscitant ses épreuves et ses tragédies, concourant à l’endurance des saints et à la plus grande gloire de celle-là et de Dieu, par la foi de ses hérauts. Ces deux postérités différenciées et désignées par des noms différents, selon les époques, se feront front jusqu’à ce que la femme (la Sainte Vierge, la Nouvelle Eve) écrase la tête du serpent antique. C’est ensemble qu’Adam et Eve ont introduit le péché dans le monde. 

     C’est conjointement que le Nouvel Adam (Jésus-Christ) et la Nouvelle Eve (Marie épouse du Saint-Esprit et Mère de l’Eglise) procurent, par les mérites suréminents du Christ, le salut et triomphent du démon. Là, où Eve succombe aux suggestions du serpent, Marie nous offre le Messie rédempteur en obéissant aux paroles de l’envoyé de Dieu « qu’il me soit fait selon votre parole. » (St Luc I, 38)

     Jésus Lui-même, ses apôtres et ses disciples ont été confrontés à cette postérité du serpent agissante depuis les origines de l’humanité « Vous avez le diable pour père » (St Jean VIII, 44) dira-t-il aux pharisiens, manifestant ainsi la véritable filiation spirituelle de ces religieux qui donnaient le change aux Juifs. Dès l’origine, l’Eglise y a été confrontée, y est confrontée actuellement, et y sera confrontée jusqu’à la fin du monde. Nous savons qui sont nos ennemis: notre chair avec ses passions plus ou moins déréglées, le démon et le monde (c’est-à-dire la postérité du serpent – les ennemis déclarés ou dissimulés de Dieu, de Notre Seigneur et de son Eglise - avec ses artifices et ses tentations). Bien identifier ses ennemis, quelle que soit la bannière sous laquelle ils évoluent ouvertement ou les masques sous lesquels ils se cachent, est indispensable et vital pour ne pas combattre contre des ombres. Rappelons-nous que ce ne sont pas les païens qui furent les plus acharnés ennemis de l’Eglise naissante, mais des hommes religieux imprégnés de Kabbale, faisant profession de servir Dieu, et d’être ses représentants ici-bas. Pourtant, Jésus les mettra au rang des gens « du monde » en les distinguant de ses vrais disciples dans sa prière sacerdotale : 

« Je leur ai donné votre parole, et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi non plus, je ne suis pas du monde. Je ne vous prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du mal. Ils ne sont pas du mondecomme moi non plus, je ne suis pas du monde. Sanctifiez-les dans la vérité, Votre parole est vérité. Comme vous m’avez envoyé dans le monde, moi aussi je les ai envoyés dans le monde » (Saint Jean XVII, 14-18) 

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini 

 

(1) Avec l’aide des média aux ordres, ces deux sociétés antichrétiennes sont associés dans l'œuvre de déchristianisation de la société française, de discrédit et de haine contre la monarchie catholique et l’ordre social chrétien. La Franc-maçonnerie (avec ses diverses obédiences) étant le paravent laïc et spirituel du judaïsme politique, kabbalistique et talmudique.  

(2) Ancien Supérieur Général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X. 

(3) NDE: Near-death experience.

(4) C’est-à-dire la postérité du diable : ceux qui refusent de se laisser guider par les lois de Dieu ou les combattent ouvertement. Refusant la divinité de Jésus-Christ et le règne de Jésus-Christ sur eux-mêmes, ils constituent le corps mystique de l’antéchrist 

René Pellegrini

Mon blogue : :

Anciens articles à voir ou à revoir :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/ave-maria-entends-nos-prieres.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/la-marque-de-lesprit-revolutionnaire-et.html

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https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/04/bien-comprendre-ce-quest-la-revolution.html

 

vendredi 18 novembre 2022

Le burkini, c'est grave ?


LE BURKINI, C’EST GRAVE ?

 

« (…) Ils reconnurent qu’ils étaient nus, et ils entrelacèrent des feuilles de figuier, et s’en firent des ceintures (…)  Le Seigneur Dieu fit aussi à Adam et à sa femme des habits de peaux, dont il les revêtit. » (Genèse III, 7,21)

 

    Des français s’émeuvent, d’autres gonflent leurs pectoraux, des maires font de la résistance, des associations montent au créneau. En rédigeant cet article je ne deviens pas un apologiste de la théologie musulmane. Cela va sans dire, mais ça ira mieux en le disant. Cette polémique sur le burkini illustre bien à quel niveau se situe les valeurs de certaines personnes cherchant des voix pour les élections, et les cris des godillots de tous bords qui leur emboîtent le pas. Sans vouloir éluder le grave problème que posent les incessantes revendications islamiques dans une société de culture chrétienne, essayons de voir la question en plaçant le burkini sur le plan moral, à la plage, et sous ce seul aspect tenter, si possible, de remettre les choses à leur juste place. La pudeur semble avoir déserté l’esprit de certains chrétiens car la décence publique à la plage, par amalgame, est désormais qualifier d’islamisation ou de tentative. Ainsi, si je les comprends bien, montrer ses fesses et le plus possible ses seins seraient, à contrario, chrétien ou normal ? Si tel est le cas, quelle culbute ! Que sont-ils réellement, laïcistes ou chrétiens ? Il faut choisir car sur le plan moral ces deux mots s’excluent. Les valeurs morales qu’ils enseignent sont opposées, à moins de faire un super grand écart mortel pour la foi, pour les souples comme pour les raides.

 

     Il faut éviter le communautarisme nous disent aujourd’hui certains politiciens qui n’appliquèrent pas les mesures qu’ils préconisaient étant dans l’opposition, une fois revenus au pouvoir. Ce n’est pas une surprise car nous savons que les politiques changent d’avis en fonction des circonstances, et surtout selon les désirs de ceux qui les mettent sur le devant de la scène. Il y a ce qu’il faut dire avant les élections (ce que les gens veulent entendre) et l’élection passée, ce qu’il faut faire en fonction d’un agenda déjà prévu et à appliquer pour atteindre un certain but que nous n’ignorons pas pour la France et pour l’Europe : le métissage à outrance et la guerre civile. Que voulez-vous, les candidats ne vont pas passer l’oral au Grand Orient de France, ni faire un petit voyage en Israël sans raison. Oui, je sais ! Théorie du complot ! Dormez bien, braves gens, les énarques et les judéo-maçons marchands de sable veillent sur vous ! Euphémisme pour on vous surveille et on fait ce qu’on nous dit. Les électeurs indéboulonnables et viscéralement confiants sont rassurés.

 

     D’un côté on focalise les regards sur un détail (pas de procès, SVP) : le burkini, et les média le monte en épingle, le font mousser, sans doute pour calmer. D’un autre côté on ne cesse de construire des mosquées : officiellement déjà plusieurs centaines (1). Pour le dire comme Jésus dans un autre contexte « vous filtrez le moucheron et vous avalez le chameau » (St Matthieu XXIII, 24) Il y a là comme une incohérence et une disproportion majeures, dans les faits, qu’on essaie de dissimuler et de justifier derrière le canular d’un Islam de France, ce qui signifie un islam laïcisé (2) qui ne serait plus vraiment l’islam mais avec un Coran, certaines sourates et des hadiths difficiles à laïciser, à moins d’envoyer balader le prophète, ou lui faire dire ce qu’il n’a pas dit et, comme mécréant et falsificateur, encourir la décapitation (la guillotine française) s’il était encore en vie, ou par les fervents. Ce qui, toutefois, n’empêcherait pas le vrai Islam de conquête, de continuer d’exister et de proliférer à l’intérieur de cet Islam dit de France : le différentiel de natalité et la frénésie culturelle d’importation exotique jouant en ce sens. Ce problème ne sera pas réglé en jouant à l’homme rationnel aux gros bras et à la petite cervelle de moineau, surtout dans un système institutionnel vampirisé par la judéo-maçonnerie – et leurs courroies politiques de transmission de gauche et de droite – oublieux volontaires des faits présents et bien plus encore des faits historiques, mais dont nous n’ignorons plus leurs desseins de maître d’œuvre et de porteurs de valises pour favoriser ce métissage et cette migration forcenée en Europe.

 

     Le problème de l’Islam est bien réel, dans cette France qui appartient au Christ, non seulement depuis 496, mais aussi par la donation du Royaume de France que Sainte Jeanne D’arc fit  à son roi Charles VII, en 1459, réparant ainsi la félonie de Philippe le Bel envers Jésus-Christ, n’en déplaise aux laïcs radicalisés de tous bords. Ce problème, avec ou sans burkini, ne sera réglé de manière vraiment efficace et profitable qu’avec les moyens naturels prévus par la Providence divine pour le solutionner. L’islam est probablement, pour notre époque, l’instrument du châtiment de l’apostasie française pour ses innombrables iniquités et blasphèmes - comme les païens Babyloniens et Romains le furent pour Israël - sans exclure une possible alliance, de circonstance, avec la Russie dont la consécration au Cœur Immaculé de Marie n’a toujours pas été faite, par le Pape, selon les demandes précises de la Sainte Vierge.

 

     Après cette digression, revenons au burkini. Vous vous exhibez avec un soutien-gorge trop petit pour cacher les seins ou trop large, et un bikini de dimension plutôt petite, voire très petite : vous êtes indécente et impudique, quel que soit votre âge, mais  vous êtes le parfait reflet des valeurs laïques, ou plus exactement ce qu’elles sont en vérité : des pratiques immorales et impudiques. Vous vous insurgez contre une tenue qui, sans préjuger de l’après-plage et des arrières pensées ou manipulations, respecte au moins la bienséance publique et la simple pudeur au regard des enfants, des jeunes gens et des moins jeunes et là, vous soulevez la réprobation et l’indignation (?)

 

    Quant à l’inventeur du bikini, gérant d’une boutique « Les Folies bergères » et son mannequin pour l’exhiber, une danseuse nue, et pour en assurer la propagande, des ‘’étoiles’’ du cinéma jamais les dernières pour donner l’exemple du dévergondage. Tout ceci porte bien l’empreinte du sulfureux, et situe bien les effluves spirituelles non chrétiennes qui les ont inspirés (l’inventeur et le bikini).

 

     Belles références pour des jeunes filles et des femmes dites chrétiennes de promotionner le scandaleux commerce de l’immodestie et de l’impudeur. Vous devriez avoir honte de donner un tel spectacle ! Vos tenues indécentes sont une insulte au Bon Dieu, Lui qui couvrit nos premiers parents pour cacher leur nudité, car après leur péché de désobéissance qui brisa l’état de grâce originelle, leurs passions ne pouvaient que se déchaîner et, voulant cacher leur nudité, ils se firent « des ceintures de feuilles » mais c’était insuffisant aux yeux de Dieu, il leur fit « des habits de peaux » Ainsi, Dieu habille et enseigne la décence et la pudeur, le diable, par qui le péché est entré dans le monde, déshabille et stimule l’indécence et le dévergondage à souhait : la télé, le cinéma, les publicités sont là pour confirmer sous quelle emprise se trouve placée la société.

 

     Indignez-vous plutôt, avec raison, sur ce qui est vraiment condamnable (burka, polygamie, zones de non droit, etc.) dans la pratique de l’Islam, et pas sur ce qui est, malgré tout, un rappel à la décence publique tout en restant parfaitement identifiable. Est-ce ce rappel visuel qui perturberait le déballage impudique de chair de ces baigneuses au contact d’une tenue décente qui n’empêche nullement la baignade, sauf à vouloir bronzer ? (la belle affaire). Ce bronzage ne vous rendra pas meilleure aux yeux de Dieu, mais plus condamnable pour avoir prêché l’impudeur, la vulgarité et le scandale par votre exemple. Si, sous le rapport de l’indécence, des femmes musulmanes ne souhaitent pas vous imiter par conviction sincère et respect de leur féminité, c’est un honneur pour elles et une honte pour vous. Le degré d’élévation intellectuelle, de dignité et d’exemplarité d’une société se mesurerait-il, désormais, au nombre de décimètres carrés de chair dénudée ? Qui sait si, justement, Dieu ne se sert pas de ces musulmanes - malheureusement liées à une des nombreuses productions religieuses issues de la cabale - pour en ramener certaines à la raison et mener une vie plus conforme avec leur vocation chrétienne. Ne dit-on pas parfois que le diable porte pierre ? Par exemple, Dieu n’a-t-il pas utilisé Balaam, un idolâtre païen, pour bénir Israël, alors qu’il avait été sollicité par Balaq, le roi des Moabites, pour le maudire ? (Nombres XXIII-XXV)

 

     Les plages, le sable et la mer existant bien avant l’invention et la pratique du bikini, les femmes chrétiennes étaient-elles malheureuses de ne pas être quasi nues, pour se baigner et ne pas pouvoir faire ombrage aux écrevisses et au charbon de bois ? La femme chrétienne digne de ce nom, non sa caricature paganisée et corrompue moralement par la morsure diabolique de la laïcité, n’a jamais eu besoin de ce rappel pour prêcher par son exemple, ce qui, pour elle, était naturelle de par sa foi vivante : la pudeur et la modestie vestimentaires en public, sans vouloir copier les modes et les mœurs inspirées par le paganisme ambiant. Les adeptes du strict minimum et les émancipées de tout âge ne vont pas apprécier. Elles continueront à déballer leur viande, certaines même après la date de péremption.

 

     La laïcité révolutionnaire dont s’est affublée la République, et les infamies que permet son enseignement naturaliste confirme, un peu plus chaque jour, par la propagation de ses métastases dans la société, son niveau de déchéance morale et sa ruine prochaine. Cette laïcité n’a aucun avenir sérieux à offrir aux français sauf, un retour à l’esclavage après son abandon du christianisme, que celui-ci avait progressivement éliminé de la société humaine. Ce retour à l’esclavage, d’abord habilement camouflé sous le mantra « Liberté égalité fraternité » et son remplacement actuel par l’autre attrape-nigaud : le  « vivre ensemble ». Les concepteurs de cette trilogie infernale savaient très bien que ces mots n’avaient pas de sens dans la réalité sociale, sauf à conduire progressivement à l’anarchie. Par contre, ils étaient très utiles pour mettre en œuvre la phase préparatoire de dislocation des sociétés humaines et sur les ruines accumulées présenter, le moment venu, leur projet ‘’salvateur’’ de refondation mondialiste. A l’heure voulue par Dieu, cette laïcité qui donne la mort aux âmes sera renversée et remplacée par la doctrine de Sainte Jeanne d’Arc sur la royauté de Jésus-Christ sur la France. Notre-Seigneur, vrai Roi de France agissant par le roi son vassal. Le seul combat qui vaille, aujourd’hui, c’est : pour Dieu, Notre-Seigneur et pour le Roi très chrétien !    

 

     Je constate que le Conseil d’Etat a invalidé les arrêtés anti-burkini, jusqu’à quand ?

 

René Pellegrini

 

(1) Selon les récentes estimations 2022, il y aurait 3000 mosquées en France, mais le nombre évolue d’année en année.

 

(2) Comme, par exemple, un catholicisme laïcisé dont chacun sait qu’il n’est plus trop catholique, voire méconnaissable par rapport à celui qui, par la fermeté de sa doctrine et par ses rois, fit la grandeur de la France dans le monde. S’il ne fallait qu’un seul exemple, parmi beaucoup d’autres, du résultat obtenu par un catholicisme laïcisé : le sujet qui nous occupe.

 

(3) La cabale primitive issue de la tradition de Caïn avant le déluge, se perpétua par l’idolâtrie des fils de Cham après le déluge, donnant naissance au sabéisme et au culte de la nature (écologie aujourd’hui). La doctrine des chamites fut appelée plus tard cabale (Kabbale). La Chaldée est devenue le berceau primitif de la cabale dont les Juifs, déportés à Babylone, se sont partiellement appropriée. Les objets principaux du culte cabaliste ou démoniaque sont le serpent et le phallus (sexe). Ils sont les signes de ralliement de tous les Initiés supérieurs du Temple, de la Rose-Croix et de la Haute maçonnerie. Les Juifs en sont les grands maîtres. L’Islam est une des secrétions de la cabale, le sexe y est très important ici-bas, comme dans leur paradis. Le déferlement médiatique et cinématographique d’érotisme, de sexualité, de débauche, de pornographie, de serpents, de visages hideux d’aliens, de monstres et de démons ne font que souligner leur ancrage dans un fond culturel lointain et démoniaque, non moins que l’obscurantisme de leurs maîtres d’œuvres et propagateurs d’aujourd’hui, et des sociétés se voulant rationnelles et évoluées qui s’en abreuvent. Pauvres bougres !  

  

Mis sur un autre blogue le 30 août 2016

dimanche 23 octobre 2022

Excellence de la philosophie chrétienne - 3 : Qu'est-ce-que la philosophie ?

     Des philosophes du siècle appelé pompeusement siècle des ‘’Lumières’’, préparant dans leurs salons littéraires, les faux principes révolutionnaires antichrétiens, qui établiront des institutions démocratiques et républicaines antichrétiennes d’inspiration luciférienne, avec mise en place d’un personnel dirigeant en phase avec ces institutions et l’inspiration qui les anime. Ces faux principes et institutions qui ébranleront le monde par la Révolution dite française.

EXCELLENCE DE LA PHILOSOPHIE CHRETIENNE - 3

 

QU’EST-CE QUE LA PHILOSOPHIE ?

  

     La philosophie est un effort de la raison humaine pour l’étude des principes des choses et des êtres, de la place de l’homme dans l’univers et pour pénétrer plus profondément et abstraitement que ne les font les sciences expérimentales (2), les secrets que renferment la nature et leur incidence sur la vie humaine, afin de pouvoir donner une réponse aux questions de la destinée humaine et de l’existence de Dieu. La recherche de la vérité suprême est (ou devrait être) la raison d’être de toute vraie démarche philosophique.

     - Elle a pour matière le fait d’être, d’exister, l’existence de tout ce qui est.

     - Elle veut saisir l’être, non dans ses manières d’être ou ses manifestations comme le font les sciences positives, mais au-delà de ces manières d’être.

     - Elle est, par son attachement à l’étude de l’être en tant qu’être, un exercice préparatoire à la sagesse suprême.

     Pour leur part, les sciences positives s’attachent aux caractères, aux manifestations d’un être et elles les analysent. Par exemple, les mathématiques s’intéressent à extraire de cet être la quantité. La physique ce qui est relatif au mouvement de cet être. La biologie ce qui, dans cet être, relève de la vie, etc. Chacune de ces sciences séparées s’intéressant à un aspect particulier de cet être (quantité, mouvement, vie, etc.)

     Chacune de ces disciplines positives à sa matière propre et ses règles spécifiques qui la déterminent. Mais aucune de ces sciences n’atteint l’être en tant qu’être, ni les principes ou les causes de cet être. 

CONSEQUENCES D’UNE FAUSSE PHILOSOPHIE

     La Renaissance ressuscitera dans la chrétienté le paganisme dont les effluves prépareront, avec l’appui de la Réforme protestante, le siècle dit des ‘’Lumières’’ qui verra les conjurés littéraires appeler faussement philosophie le fruit des lumières de la seule raison, en refusant par orgueil l’apport de la révélation divine.

     La nature ayant horreur du vide, ce rejet de la révélation divine ouvrira l’ère de la déraison et de l’égarement, en s’attelant à des reconstructions philosophiques imaginaires puisant leurs racines dans des théories humaines, politiques et sociales issues du paganisme et de la Kabbale.

     Propagation de fausses philosophies auxquelles participeront les faux philosophes et sophistes que furent Descartes, Montaigne, Kant, Hegel qui, en introduisant le doute systématique (Descartes), le scepticisme (Montaigne), l’idéalisme (Kant) ou la phénoménologie (Hegel), feront germer la panacée universelle des Droits de l’homme ''charitablement'' planifiés et appliqués avec la guillotine des ''bienfaiteurs'' de l’humanité que furent les très civilisés coupeurs de têtes de 1789, les terroristes républicains sanguinaires de 1793, massacreurs d’enfants, de femmes et de vieillards. Tout ça, parce que les ''Grands Ancêtres'', dont la Révolution se glorifient, sans vergogne, chaque 14 juillet, étaient, ça va de soi, bien meilleurs, après de tels exploits fondateurs, que ceux de cette époque qualifiée, sans rire ''d’âge des ténèbres''

     Comportement inhumain et sanguinaire qui ne fera que révéler, par l’exportation des guerres révolutionnaires napoléoniennes, les révolutions et guerres européennes incessantes qui suivirent, le désordre intellectuel et mental dans lequel a sombré l’intelligence nourrie des faux principes révolutionnaires de cette époque funeste et nauséabonde annonciatrice, par ses fondamentaux erronés, d’une lente et inexorable décadence. Désordres que n’arrangera pas, mais qu’accentuera le système ''éducatif'' laïc mis en place, et qui produit, en en remettant une couche aujourd’hui, après des décennies et des décennies ininterrompues d’attaques contre l’éducation et la morale chrétiennes, la moisson amplement méritée de ses fruits amers que nous sommes en train de consommer jusqu’à l’expiation de nos blasphèmes et de nos sacrilèges répétitifs.

     Quant à ceux qui ne savent plus quoi faire, ni où aller, qu’ils prennent, sans tarder, le chemin du retour vers Dieu par la repentance, en abandonnant le péché. Il n’y plus d’autre alternative ! A moins d’être sans aucun discernement, un doux rêveur ou un naïf invétéré, il n’y a plus rien à attendre des différentes potiches politiques filtrées, poussées en avant et présentées à l’électeur, lors des grands scrutins électoraux, par le système révolutionnaire aux ordres de l’étranger et piloté par les Francs-Maçons et les Juifs apatrides. Inutile de rêver ! La France laïcisée ne produit plus, de l’extrême gauche à l’extrême droite, lorsqu’ils ne sont pas traîtres à leur propre patrie, que des démolisseurs enragés de ce qu’elle a patiemment bâti pendant treize siècles (496-1789) en s’appuyant sur sa foi catholique.

     Désormais, la France et l’Eglise ne se relèveront, selon de nombreuses prophéties de saints, que par la restauration monarchique avec un roi selon le cœur de Dieu et un saint Pape. Prions pour que Dieu hâte ce jour béni.

 

 (A suivre…« Origine du mot philosophie »…si Dieu veut)

René Pellegrini 

 

(1) Dans l’ordre de la connaissance il y a trois degrés d’abstraction : les sciences expérimentales qui appartiennent au premier degré d’abstraction ; les mathématiques au deuxième ; la métaphysique au troisième.

 (A suivre…« Origine du mot philosophie »…si Dieu veut)

René Pellegrini 

 

(1) Dans l’ordre de la connaissance il y a trois degrés d’abstraction : les sciences expérimentales qui appartiennent au premier degré d’abstraction ; les mathématiques au deuxième ; la métaphysique au troisième.

 

 

 


samedi 1 octobre 2022

Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu


 

RENDEZ A CESAR CE QUI EST A CESAR, ET A DIEU CE QUI EST A DIEU – 1

 


« Alors il leur dit : Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu »

(St Luc XX, 25)

 

     Ces paroles de Jésus sont abondamment utilisées, non seulement par les ennemis de l’Eglise, mais encore par un grand nombre de Catholiques, clergé et laïcs. Elles sont destinées à couper court aux propos de tous ceux qui, au Parlement ou entre particuliers, s’efforceraient de rappeler la doctrine pourtant classique des devoirs de l’Etat envers Dieu quand bien même celui-ci se soucierait peu de sa responsabilité vis à vis des âmes et de leur salut. On veut, par cette citation, signifier que les chrétiens doivent laisser au vestiaire leurs références aux enseignements de Dieu en matière morale et politique, en d’autres termes : L’Eglise et les chrétiens n’ont pas leur place pour ce genre de discussions dans une République laïque ; tout juste bons à payer l’impôt et, sans leur accord, même les subventions gouvernementales aux journaux politiques révolutionnaires libéraux et antichrétiens. La laïcité révolutionnaire c’est : Dieu et Jésus persona non grata ! Un certain clergé, le plus souvent mal inspiré en matière politique et de nombreux chrétiens ont avalisé et secondé ce principe inique. HONTE A EUX !

 

     Ce qu’ils oublient, ou feignent d’ignorer, c’est que l’Eglise n’est pas simplement un bâtiment de pierres muettes mais, et plus précisément, selon l’étymologie du mot grec « EKKLESIA » l’ensemble des fidèles : le clergé et aussi le laïcat (tous les deux faisant partie de l’Eglise enseignée) qui participent activement, à des degrés divers, à la vie spirituelle, intellectuelle, sociale et politique du pays selon leur croyance concernant l’homme, la société et le monde, et ce qui est propre à favoriser, le plus possible, le bien commun qui consiste à favoriser la vie vertueuse du plus grand nombre dans l’ordre temporel, et non à faciliter les vices et la débauche. Aujourd’hui, tout est mis en œuvre, avec l’école sans Dieu, pour un dévergondage de plus en plus inique.

 

     Ils oublient encore, l’esprit imprégné par une fausse philosophie ou par les poncifs de la désinformation et de l’ignorance qui arrangent les jouisseurs en tous genres, les apostats et les athées, que la politique (1) est une partie de la morale (2) avec l’éthique (3) et l’économie (ou morale domestique (4). Les mœurs étant avec la foi le plus haut domaine de compétence de l’Eglise. Aujourd'hui, en ‘’démocrassie’’ (ne pas considérer comme faute d’orthographe) les partis politiques ne font plus de politique, au sens noble du terme, mais de la ‘’cuisine électorale’’ pour attirer l’électeur et se ménager une carrière politique avec ses avantages.

 

      Une fois au pouvoir, ils appliquent les directives des cénacles mondialistes qui, selon les besoins et les obstacles du moment à éradiquer, activent et poussent en avant les partis politiques de gauche ou de droite avant de les plonger, à terme, dans un cataclysme social destiné à faciliter la demande d’un gouvernement mondial par des populations désespérées. Leur couleur politique est d’abord celle du veau d’or qui permet d’acquérir les richesses et la domination mondiales, et ensuite celle du communisme totalitaire planétaire dont la mise en marche s’effectue sous nos yeux. Ces mondialistes milliardaires sont les hauts dirigeants Initiés (5) des loges maçonniques et de la Synagogue : personnages qui ne s’embarrassent pas de morale dans tous les aspects de la vie, comme l’histoire passée et présente en témoigne.

 

     Cependant, l’Etat fait obligation à ce croyant chrétien de payer le tribut, les taxes diverses, de financer les journaux et les media qui lui servent bien la soupe, les partis politiques et même leur campagne électorale quand bien même ils seraient en opposition totale avec leurs croyances et leurs principes. L’Etat, ayant perdu toute pudeur, les subventionnent grassement et sans vergogne avec les impôts des contribuables, mais, on dénierait à ce chrétien, au nom de la bien commode muselière laïque, de défendre ses convictions chrétiennes concernant les mesures politiques qui vont conditionner la vie morale, intellectuelle, spirituelle, sociale et politique de sa patrie. Laïcité révolutionnaire qui, dans le même temps, permet à des libéraux, socialistes et communistes de défendre leur idéologie sur l’homme et la vie sociale, dont les soubassements ne sont pas moins religieux puisqu’inspirés, soit par la gnose antichrétienne, la Kabbale ou le Talmud ou des systèmes philosophiques qui y puisent. De qui se moquent ces parangons d’une liberté d’expression canalisée et de plus en plus soviétisée ?

 

     Cette obligation étatique du tribut n’est pas supérieure à celle que Dieu demande aux Etats et aux individus de lui rendre ce qui lui revient : l’obéissance, le respect et le culte. Cet Etat de plus en plus décadent, n’est pas moins dispensé d’être rappelé à ses devoirs que les particuliers. Cette formule ou plutôt cette fausse interprétation des paroles de Jésus, que nous examinerons dans un prochain article, était déjà celle des Jansénistes et des Gallicans au XVIIe siècle. Elle a grandement contribué à saper l’ordre chrétien et son remplacement par un désordre de plus en plus prononcé. A cette époque des membres du clergé fréquentaient déjà des loges maçonniques.

 

(A suivre…« Rendez à César… – 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Le mot politique vient de deux mots grecs : POLIS signifiant « cité » et TECHNE qui signifie art ou science. La politique est l’art ou la science de diriger ou gouverner la cité.

 

(2) La morale c’est la science du bien et du mal.

 

(3) Le mot éthique vient du grec ETHOS qui signifie mœurs : c’est la morale appliquée à la personne.

 

(4) Le mot économie vient de deux mots grecs EIKOS qui signifie maison et NOMOS qui signifie loi. L’économie est donc l’art de gouverner ou de gérer sa maison. Ce qui implique que l’économie est naturellement de nature privée, familiale, domestique. Ainsi, parler d’économie politique est une formule contradictoire puisqu’elle associe le mot économie qui concerne la gestion et la direction de la maison avec le mot politique qui concerne la direction ou gouvernement de la cité. La contradiction étant le signe de l’erreur, celle-ci aura donc des répercussions dans ses applications qui concerneront la monnaie et la valeur des marchandises. Ce dont les requins de la Haute finance qui se sont emparés de l’économie et leurs serviteurs dociles et complices n’ont que faire, et qui vise à faire disparaître les classes moyennes, comme dans tout système totalitaire qui se respecte.

 

(5) Appelés aussi Illuminés ou Illuminati. Ce sont ces 16 familles de hauts lucifériens dont les familles Rothschild, Rockefeller, Du Pont de Nemours, Onassis, etc., membres de Super Loges internationales ayant bâti leur fortune et leur domination sur des torrents de sang. Ils sont les Maîtres de l’or et règnent sur les Banques Centrales, la FED, les grandes banques internationales, la Banque des Règlements Internationaux (BRI), le Fonds Monétaire International (FMI), la Haute Finance, l’Economie mondiale, les Trusts et les Cartels Internationaux. Ils ont TOUT VERROUILLE. Leur puissance est gigantesque comme jamais auparavant. Pauvres Gilets Jaunes ainsi que tous ceux qui se posent comme alternative, qu’espèrent-ils donc ? Désormais, seul le recours à Dieu et à ses moyens (Saint Pape et Grand Monarque) peuvent réduire à néant une telle puissance bénéficiant de l’assistance du démon quand, dans le même temps, l’humanité happée par le naturalisme et s’appuyant sur ses seules forces s’éloigne toujours plus de Celui qui a dit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Saint Jean XV,5)

 

René Pellegrini

 

Mis sur un autre blogue le 19 avril 2017

lundi 19 septembre 2022

La Contre-Révolution - 7 : But et Moyens - 1

 

LA CONTRE-REVOLUTION : BUT ET MOYENS – 1

« Tout restaurer dans le Christ »

(Colossiens I, 10)

     Les révolutionnaires de droite comme de gauche veulent inventer une autre civilisation destinée à faire émerger une société fondée sur de nouvelles lois morales et sociales, et de nouveaux droits. Cette société nouvelle, société inversée d’inspiration fondamentalement satanique dans l’affichage de ses buts, faisant allègrement litière des lois morales divines et des principes moraux et sociaux chrétiens.

     Pour sa part, la #Contre-révolution catholique qui s’appuie sur les enseignements fondamentaux et immuables de Dieu et de l’Eglise a pour objectif - pour ceux qui n’ont pas déserté la place pour s’attacher aux rêveries #œcuméniques, démocratiques et #mondialistes - la restauration de la #civilisation chrétienne, car telle est la mission confiée par l’Eglise à ceux qui se disent catholiques, en affirmant solennellement par la voix de Saint Pie X :

« La civilisation n’est plus à inventer, ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a été, elle est, c’est la civilisation chrétienne. » (Lettre Encyclique Notre Charge Apostolique – Lettre sur le Sillon – 25 août 1910). Voir l’extrait ici : 

http://lechrist-roi.hautetfort.com/archive/2014/07/07/encyclique-notre-charge-apostolique-application-pratique-1-5406162.html

     Ainsi, loin d’être reléguée dans un passé révolu auxquels s’attacheraient quelques nostalgiques aigris, le Saint Pape nous la présente et propose comme objectif toujours

actuel « elle est » et comme but vers lequel doivent tendre les efforts des Catholiques de toutes conditions.

     Et, pour qu’on ne se méprenne pas sur la signification englobante que revêt aujourd’hui l’expression  « civilisation chrétienne » il prend soin d’ajouter :

« C’est la #cité catholique. Il ne s’agit que de l’instaurer et la restaurer sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l’utopie malsaine, de la #révolte et de l’impiété. »

     Tel est le programme, telle est la tâche des fils de l’Eglise catholique « instaurer, restaurer la cité catholique » et non collaborer – comme l’a demandé l’agent religieux du mondialisme, le félon et ''démissionnaire'' #Benoît 16, lors de son Message de Noël 2005 – à cette nouvelle grimace du diable, après celle de l’#O.N.U, que constitue cette monstruosité mortifère qu’est le #Nouvel Ordre Mondial ou #Babel antéchristique des temps modernes : cette « utopie malsaine » ennemie de l’Eglise et de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

     Un siècle après cette Encyclique, il est patent que non seulement la grande majorité des Catholiques n’a pas du tout favorisé cette instauration en votant, avec constance, pour des partis politiques qui font tous allégeance à la laïcité qui bafoue les lois morales de Notre-Seigneur, mais, de plus, ils sont devenus, d’une certaine manière, complices des lois immorales que ces partis politiques ont proposées ou refuser de combattre ou de dénoncer dans leurs programmes respectifs.

     In fine, pour l’heure présente, il ne sert à rien de revendiquer une étiquette de parti chrétien en faisant allégeance à cette stupide et mortifère laïcité qui pousse à faire silence sur la place prioritaire qui doit revenir à Jésus-Christ et à la cité catholique dans les sociétés humaines. Ce mutisme coupable, envers Celui sans lequel rien de vraiment durable ne peut se construire, est une autre façon de trahir la mission confiée par Saint Pie X aux chrétiens qu’elles que soient leurs responsabilités sociales ou politiques, et de permettre ainsi la perpétuation de la pourriture morale, intellectuelle et spirituelle qui poursuit sa descente infernale, depuis les plus hautes sphères de l’Etat. Un peu de bon sens et de cohérence ne nuiraient pas !

     Cette cité catholique repose sur deux autorités : l’autorité religieuse et l’autorité politique monarchique de Droit divin. Chacune de ces composantes dans leurs attributions respectives : Tout ce qui touche au temporel à l’Etat qui gère son domaine en harmonie avec les lois morales de l’Eglise et en respectant et favorisant la religion catholique. Tout ce qui relève de la foi et des mœurs à l’Eglise, et non à cette fausse et immorale ''grande prêtrise'' de la laïcité, pétrie ou influencée idéologiquement de #Kabbale judéo-maçonnique, et installée depuis longtemps, et en nombre, dans les divers gouvernements issus de l’alternance politique, et qui s’est accaparée du tout (morale et politique).

     Quant aux catholiques qui n’en veulent pas, qui y sont même très hostiles, nous les laisserons bien sagement travailler pour l’objet de leur propre ruine éternelle : la construction de leur Babel mondialiste luciférienne, antichrétienne et anticatholique, fruit de « l’utopie malsaine, de la révolte et de l’impiété », en compagnie des ersatz de ‘’papes’’ #Benoît XVI et François (Bergoglio) mais, au-delà des apparences, réels agents de l’œcuménisme religieux et mondialiste ennemi de Jésus-Christ, de l’Eglise, du Christianisme et du genre humain.

(A suivre…« La Contre-révolution : But et moyens – 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

samedi 17 septembre 2022

Laïcité-révolutionnaire - 3 : Jésus-Christ n'est pas neutre


LAICITE REVOLUTIONNAIRE – 3 : JESUS-CHRIST N’EST PAS NEUTRE

 « Ote ! Ote ! crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César » (St Jean XIX, 15) 

« Celui qui n’est pas avec moi est contre moi,

et celui qui n’amasse point avec moi disperse. » 

(St Matthieu XII, 30) 

     Députés, sénateurs et hommes politiques catholiques, observez bien tous ces #athées #socialistes ou #communistes, #agnostiques, #libéraux et libertaires de tous calibres et voyez si sur les bancs de l’Assemblée nationale, ils ne défendent pas âprement les convictions qui les animent, les laissent-ils à la maison pour cause de laïcité ? Vous êtes-vous interrogés sur quel socle ils s’appuient pour défendre ce que doit être la morale, la justice, la famille, la nation et la société ? Vous me direz : à l’Assemblée, il ne s’agit pas de religion mais de politique. Je vous réponds :

« Êtes-vous si court de philosophie pour ignorer que la politique est une partie de la morale ? N’avez-vous pas encore constaté ce que devient la famille, l’économie, la politique et la société lorsque la morale est évacuée ou snobée pour être remplacée par l’éthique individuelle, la course effrénée à la rentabilité, la satisfaction des passions humaines du plus grand nombre, ou ceux de groupe de pression minoritaire dont le vote n’est pas négligeable pour ceux qui rêvent surtout de pouvoir, et moins de salut des âmes, de bien commun temporel et spirituel, de stabilité sociale, de grandeur et de rayonnement moral de la France ?

« Vous êtes-vous intéressés aux hommes qui ont élaborés les doctrines reprises et portées à l’Assemblée nationale par les différents courants politiques dont, pour certaines, vous êtes parties prenantes ? Sur quelles philosophies ou théories les ont-ils construites ? Ces hommes du passé lointain ou plus récent tels que #Darwin, #Marx, #Hegel, etc., ont développé des thèses, des doctrines ou des postulats concernant l’homme, le monde et la société. En fait, ils sont plus ou moins #évolutionnistes (1) reflétant une mentalité païenne, gnostique, maçonnique ou une tournure d’esprit juif, ou influencée par cet esprit (#talmud, #kabbale) qui, mises ensemble, phagocyte l’esprit chrétien.

     Pour vous faire une idée de ce qui inspira l’immonde #1789 et ses #sans-culottes sanguinaires, et, depuis, continuent d’influencer et d’inspirer les défenseurs et thuriféraires de la sinistre #Révolution (dite) française et sa #laïcité révolutionnaire, les monuments parisiens sont riches d’une iconographie faite de signes ésotériques et de symboles maçonniques obéissant à une numérologie précise, qui contiennent et véhiculent une liturgie païenne.

#OBSCURANTISME REPUBLICAIN

     Par exemple : Place de la nation, la République symbolisée par une jeune femme coiffée d’un #bonnet#phrygien, juché sur un char tiré par deux lions, réplique de la #déesse #Cybèle de Phrygie. #Place#de#la#Bastille, le #Génie#de#la#liberté, symbole de la #révolte#prométhéenne, sur une colonne dont les différentes parties de sa composition constituent une véritable initiation ésotérique et maçonnique. La Déclaration des #Droits#de#l’homme avec sa référence à ce qui peut servir au plan religieux de fourre-tout appelé l’Être suprême (pas #Jésus#Christ, ni Dieu créateur) et au plan de ce qui s’intitule #rationalisme, l’auto-divinisation de soi. La Fontaine de la Régénération ou #Fontaine#d’Isis qui fut érigée sur les ruines de la Bastille. Le monument des Droits de l’homme au Champ de Mars inspiré des temples égyptiens, avec son #serpent#ouroboros qui se mord la queue, symbole de continuité, de régénération. Le #chandelier#à#7#branches, objet cultuel juif, en descendant les marches de l’Hôtel de Ville de Paris et visible sur le dallage de la place. Etc., etc. Déesse Cybèle, #Isis, #Prométhée, serpent #Ouroboros, chandelier à 7 branches, et bien d’autres choses encore.

     Vous osez, sans craindre le ridicule, appeler siècle des Lumières et de la Raison cette résurgence d’obscurantisme se promouvant en prétextant une raison éclairée, mais ne cessant de véhiculer par ses sources d’inspiration et leurs applications mondiales, des idéologies toujours plus meurtrières et des comportement moraux qui nous plongent dans les pratiques des anciens #paganismes et les honneurs rendus aux déesses (Cybèle, Isis…). Ces références iconographiques païennes nous renvoyant bien au-delà du #Moyen-Age que vous méprisez tant car chrétien ! Vous avez l’air fin avec votre #siècle#des#Lumières qui n’est plus, en tous domaines, et de plus en plus, que la manifestation des ténèbres de la raison lorsqu’elle s’éloigne de Dieu en oubliant, dans son orgueil, qu’il n’est que poussière et expierait, à l’instant même, si ce Dieu qu’il méprise tant lui retirait le souffle de vie.

     Paris est truffé de #symboles#ésotériques et maçonniques. Les parisiens baignent journellement dans un environnement inspiré par le souffle de #Lucifer, dont le génie dénudé de la place de la Bastille en est la personnification. Tel est l’environnement culturel et spirituel dans lequel ils font évoluer les Parisiens et les ‘’représentants du peuple’’ avec pour conséquences, sur l’ensemble de la France, des lois iniques et lucifériennes qui sortent de cet antre de l’#enfer qu’est l’#Assemblée#nationale.

     Les chantres de mœurs et de pratiques païennes, de concepts antichrétiens auraient le droit de défendre dans l’hémicycle les relents de leurs idéologies parce que vous les baptisez ‘’politiques’’ en faisant abstraction de l’inspiration ésotérique et philosophico-religieuse de leurs soubassements, alors même qu’ils se déploient et dévoilent leurs idéaux et applications pratiques par une #iconographie religieuse empruntée aux #mystères et #mythologies de l’Inde, aux #pyramides #aztèques, aux #temples et #obélisques#égyptiens avec les fausses divinités assoiffées de sang et de sacrifices humains qu’ils représentent et qu’il faut satisfaire : par les #holocaustes de bébés à naître de l’#avortement, les montagnes de cadavres par les carnages et #massacres incessants des guerres au nom de la #démocratie luciférienne ?  

     Et vous, #Députés, #sénateurs et hommes politiques catholiques vous devriez taire ce qui vous inspire par crainte d’être accusés de ‘’dérapage’’ pour atteinte au politiquement correct des autoproclamés bien-pensants, mais vrais faiseurs et défenseurs de lois malfaisantes ? Qui ne verrait dans ce comportement envers les chrétiens, cette haine sourde et inextinguible de la #Franc#Maçonnerie et du #judaïsme#talmudique et rabbinique, véhiculée dans la société contre le Christ et son Eglise, en définitive contre la France et son héritage civilisationnelle ? Jusqu’à quand serez-vous les convoyeurs et « idiots utiles » de la #Révolution antichrétienne ? Jusqu’à quand ce silence coupable au milieu d’un tel environnement paganisé et destructeur ? N’avez-vous pas encore compris à quel niveau de corruption et de pourriture morale évolue ce système politique ? Quelle race de Catholiques êtes-vous donc ? Qui vous a fasciné à ce point ?

CHRETIENS, VOUS AVEZ UN CHOIX A FAIRE

     En fait, la décision impérieuse qui vous est soumise comme à tous les #chrétiens est la suivante : « Suis-je pour ou contre Jésus-Christ ? ». Suis-je le bon grain semé par le Seigneur qui entend la parole et la transmet, ou l’ivraie du #démon qui la recouvre ? Par mon silence devant les #blasphèmes et le mépris des enseignements divins, suis-je celui dont Jésus a dit :

« Car si quelqu’un rougit de moi et de mes paroles, le Fils de l’homme rougira de lui lorsqu’il viendra dans sa gloire, et dans celle du Père et des saints anges ». (St Luc IX, 26)

     Enfin, en tant que baptisé, qui est mon Maître et mon Roi : Lucifer et ses iniques et dégradantes lois républicaines, ou #Jésus#Christ et la sainteté de ses paroles et de ses lois morales enseignées par l’Eglise ? Si vous êtes chrétiens les réponses devraient être évidentes tout comme les actes qu’elles induisent.

     Nos dirigeants politiques ont dit que nous étions en guerre contre #l’islamisme#radical, mais il en est une autre qui se déroule sous vos yeux depuis plus deux siècles. Elle ne s’est jamais interrompue. Elle s’est accentuée avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Cette loi de #1905 fut une déclaration de guerre permettant à la laïcité révolutionnaire de travailler, sans relâche, à la destruction de tout ce qui est catholique et représentatif d’une morale chrétienne, avec la complicité d’ecclésiastiques et de catholiques ignorants ou complaisants, et de faux chrétiens : l’état moral de la société en témoigne.

     Les ennemis de l’Eglise et du #christianisme savent pertinemment que cette guerre spirituelle ne peut que s’intensifier et se terminer par la défaite et la disparition de l’un des deux protagonistes : La soumission à la Révolution d’inspiration satanique avec l’appui des faux cultes, ou le #christianisme soumis à Jésus-Christ et à son Eglise. Dans cette guerre il ne peut y avoir de compromissions incessantes, ni girouettes à la #Bayrou tantôt à droite, tantôt à gauche qui, ne réglant les problèmes qu’en apparence, ne font qu’empirer et envenimer les choses dans la société, la réalité reprenant vite ses droits. Dans ce combat prioritaire pour le #salut de son âme et celle des autres, il n’y a que deux positions bien marquées pour ou contre le Christpour ou contre la vérité des enseignements de Dieu. Dans ce combat, il n’y a pas de centristes. Quelles que soient les pertes, nous connaissons l’issue de ce combat comme le suggère ce passage :

« Pourquoi les nations ont elles frémi, et les peuples ont-ils formé de vains desseins ? Les rois de la terre se sont levés, et les princes se sont assemblés contre le Seigneur et contre son Christ(2Rompons leurs liens, et jetons loin de nous leur joug. Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux, et le Seigneur se moquera d’eux. Alors, il leur parlera dans sa colère, et il les épouvantera dans sa fureur. » (Psaumes II, 1-5)

     Et cette affirmation de la Sainte Vierge :

« A la fin mon #Cœur #Immaculé triomphera » (Fatima, 13 octobre 1917)

     Prenez garde de ne pas vous trouver en situation de combattant contre Dieu et son Christ par vos complicités, vos silences coupables ou vos lâchetés devant le témoignage clair que vous devez donner, en qualité de baptisés, face à tous ceux qui travaillent diaboliquement à fabriquer des lois destinées à « briser les liens et le joug de Dieu » qui maintiennent dans la voie droite du salut. Et, de surcroît, vous n’êtes pas sans arguments scientifiques et médicaux pour justifier et défendre âprement votre opposition chrétienne, pour peu que vous vous intéressiez vraiment à la question.

René Pellegrini

(1) Les #théories#évolutionnistes sur les #espèces#vivantes, et les #datations longues de l’univers et du monde, sont de plus en plus contestables et contestés par des arguments irréfutables de scientifiques en #biologie, #géologie, #astronomie, #astrophysique. Mais, comme il en est, de plus en plus, pour la #liberté#d’expression lorsqu’elle gêne le diktat de la pensée uniformisée, ils sont censurés des revues de vulgarisation scientifique, soit privé des subsides nécessaires à la poursuite de leurs recherches, ou purement et simplement virés des #laboratoires. C’est la même chose avec l’imposture climatologique. On pratique l’entre-soi, au mépris de ce qu’est la vraie démarche scientifique qui s’appuie sur des faits et les prend en compte, ne les rejettent pas lorsqu’ils infirment la théorie érigée en #dogme. Il faut continuer le formatage des enfants et des adultes avec les théories et les hypothèses qui ont cours, même contre les faits les plus évidents. Gardons notre consensus, nos privilèges, nos revues orientées et nos chaires d’enseignement. Aujourd’hui, c’est la #fausse#science sur la vie et les origines, la science sans conscience qui gouverne et façonne les esprits humains. « Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science l’y ramène » (#Francis#Bacon et #Louis#Pasteur)

(2) D’autres traduisent par « oint » ce qui ne change rien. En effet, le mot hébreu « mashiah » qui signifie « oint » est traduit en grec par Christos (Christ).

René Pellegrini 

Mis sur un autre blogue le 21 juin 2017

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