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mardi 18 octobre 2022

Le remède contre le modernisme - 1


      Quand Nous prescrivons la philosophie scolastique, ce que Nous entendons surtout par là - ceci est capital - c'est la philosophie que nous a léguée le Docteur angélique (Saint Pie X)

LE REMEDE CONTRE LE MODERNISME - 1

     Le modernisme ayant pénétré « presque aux entrailles de l’Eglise » à l’époque de saint Pie X et qu’il stigmatisait comme « égout collecteur de toutes les hérésies » (Motu Proprio Praestantia – 18 novembre 1907), a, depuis, triomphé dans l’Eglise depuis le sinistre concile Vatican II. Aujourd’hui, le mal qui ronge l’Eglise trouve son origine, prioritairement, dans une fausse philosophie s’unissant à la foi comme le précisera le Pape dans cette même Encyclique Pascendi

« Or, c'est d'une alliance de la fausse philosophie avec la foi qu'est né, pétri d'erreurs, leur système. »

     Les fausses philosophies sont d’inspiration gnostique. Elles sont le fruit des hérésies que furent le manichéisme, les Vaudois et le catharisme. Elles préparèrent le protestantisme dont les doctrines déchirèrent la chrétienté. Le Pape Léon XIII, faisant état de la Réforme protestante déclara :

« C’est de cette hérésie que naquirent, au siècle dernier, et la fausse philosophie, et ce qu’on appelle le droit moderne, et la souveraineté du peuple, et cette licence sans frein en dehors de laquelle beaucoup ne savent plus voir de vraie liberté.» (Encyclique Diuturnum illud, du 29 juin 1881)

     Nous buvons à satiété les conséquences des erreurs doctrinales et sociales protestantes impulsées dans la société, lesquelles s’originent dans les sécrétions gnostiques et kabbalistes qui font le bonheur de la judéo-maçonnerie et le malheur des peuples.

     Le remède indispensable que propose saint Pie X, dans cette Encyclique, pour lutter contre ce mal érigé en « système » qui gangrène toute la société, et comme préalable nécessaire à tout rétablissement théologique sera :

     « Premièrement, en ce qui regarde les études, Nous voulons et ordonnons que la philosophie scolastique soit mise à la base des sciences sacréesIl va sans dire que s'il se rencontre quelque chose chez les docteurs scolastiques que l'on puisse regarder comme excès de subtilitéou qui ne cadre pas avec les découvertes des temps postérieursou qui n'ait enfin aucune espèce de probabilitéil est bien loin de notre esprit de vouloir le proposer à l'imitation des générations présentes. Et quand Nous prescrivons la philosophie scolastique, ce que Nous entendons surtout par là - ceci est capital - c'est la philosophie que nous a léguée le Docteur angélique. Nous déclarons que tout ce qui a été édicté à ce sujet par Notre Prédécesseur reste pleinement en vigueur, et, en tant que de besoin, Nous l'édictons à nouveau et le confirmons, et ordonnons qu'il soit par tous rigoureusement observé. Que, dans les Séminaires où on aurait pu le mettre en oubli, les évêques en imposent et en exigent l'observance : prescriptions qui s'adressent aussi aux Supérieurs des Instituts religieux. Et que les professeurs sachent bien que s'écarter de saint Thomas, surtout dans les questions métaphysiques, ne va pas sans détriment grave. »

     Détriment si grave, qu’il avertissait des conséquences en disant au Père Thomas Pègues :

     « Ceux qui s’éloignent de saint Thomas sont par là même conduits à cette extrémité qu’ils se détachent de l’Eglise » (Lettre Delata Nobis, 17 novembre 1907)

     Et, de nos jours, les résultats de cette attitude d’éloignement sont suffisamment visibles dans l’Eglise catholique au niveau de la foi et de la pratique religieuse.

(A suivre…« Le remède contre le modernisme - 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras dans les textes.

samedi 10 septembre 2022

La Contre-Révolution, qu'est-ce-à-dire ? - 6 : La hiérarchie - 2


 Seigneur, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel (St Matthieu VI,10) 

LA CONTRE-REVOLUTION, QU’EST-CE A DIRE ? - 6 : LA HIERARCHIE - 2

     A l’égalitarisme révolutionnaire façonné dans les sociétés de pensée (aujourd’hui, les think Tanks) dont l’aboutissement est le nivellement par le bas, et la mise en place progressive des ingrédients de la mise en esclavage, s’oppose la hiérarchie qui fonde l’existence d’une institution assise sur des principes chrétiens.

     La hiérarchie s’oppose per diametrum à la fausse égalité révolutionnaire.

     La Hiérarchie correspond à la réalité alors que l’égalité est une construction dans les nuées.

     La hiérarchie constitue la vraie justice, car elle consiste à donner à chacun selon ses responsabilités et ses capacités, alors que l’égalité est l’injustice absolue du nivellement par le bas.

     La hiérarchie est la nécessité même de la société, son existence même. La société met en relation les besoins des individus : l’ingénieur a besoin de l’ouvrier pour exécuter ses plans ; le malade du médecin pour se soigner ; l’automobiliste du garagiste pour réparer sa voiture ; le justiciable de l’avocat pour sa défense, etc. C’est cette dépendance pour la satisfaction des différents besoins qui permet aux hommes de vivre ensemble dans une institution politique et sociale. C’est à la hiérarchie qu’il appartient d’harmoniser les rapports entre des individus ayant des compétences et des responsabilités différentes.

     Comme déjà dit dans l’article précédent la Hiérarchie prend pour modèle l’organisation céleste : https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/08/la-contre-revolution-quest-ce-dire-5-la.html 

« Pour que la volonté de Dieu se fasse sur la terre comme au ciel » (St Matthieu VI, 10)

     Ne jamais oublier que nous vivons une époque de manipulation et de censure de l’information, de mensonges, d’afflictions, de désolation, de tribulation et d’humiliation pour l’Eglise. Ce climat délétère et anti-Dieu caractéristique du cinquième âge de l’Eglise (Eglise de Sardes (1) dans lequel nous sommes encore, semble toucher à sa fin. Il sera suivi du sixième âge de l’Eglise (Eglise de Philadelphie (2), âge de consolation qui verra le Grand Monarque détruire toutes les Républiques, et refleurir, pour un temps, la vérité, la charité, la justice et la paix afin de préparer les chrétiens avant que n’apparaisse l’Antéchrist et ses troupes, pour son assaut final contre l’Eglise et sa défaite éternelle par Notre-Seigneur Jésus-Christ.

     Si l’esprit révolutionnaire prône tellement l’égalité c’est parce qu’il sait, par expérience, que c’est la solution idéale pour noyauter et faire disparaître plus facilement l’esprit chrétien d’une institution catholique laïque ou religieuse, et en détruire progressivement la hiérarchie remplacée par la collégialité des égaux délibérants.

     Vous voulez faire dériver ou détruire une institution d’esprit catholique (école, collège, université, monastère, épiscopat, syndicat, etc.) faites-lui adopter, insufflez-lui, comme principe de sa constitution la forme révolutionnaire : Liberté, égalité, fraternité. Elle pourra inscrire en grands caractères sur le fronton de son établissement : école, collège, université, monastère, épiscopat ou syndicat catholiques, la forme adoptée, se répercutant logiquement sur les mentalités et l’enseignement dispensé, en révélera sa vraie nature, et en fera une institution imbibée, malgré elle, d’esprit révolutionnaire. De même pour un mouvement ou un parti politique car, comme déjà dit, mais ne l’oublions jamais « La nature d’une chose lui est conférée par sa forme » ce que le Pape Pie XII exprime de la manière suivante :

 « De la forme donnée à la sociétéen harmonie ou non avec les lois divinesdépend et s’infiltre le bien ou le mal des âmes, c’est-à-dire, si les hommes, appelés tous à être vivifiés par la grâce du Christ, respireront dans les contingences terrestres du cours de leur vie, l’air sain et vivifiant de la vérité et des vertus moralesou le microbe morbide et souvent mortel de l’erreur et de la dépravation. » (Radio-Message de la Pentecôte du 1er juin 1941)

     Ainsi, « la forme donnée à la société » (3) est capitale. Pour ne pas être induit en erreur et risquer d’accorder son soutien à un faux label catholique, il faut affirmer qu’il n’y a pas de véritable contre-révolution catholique sans hiérarchie car elle est l’existence même d’une société vraiment catholique, conjointement avec la vérité et la charité qui sont sa loi écrite ou ses coutumes qui forment l’essence de cette société.

     Le chrétien contre-révolutionnaire doit impérativement, en plus de la hiérarchie, concevoir son action politique sous l’angle de la vérité et de la charité qui prend en compte le désir de Dieu de nous unir à sa vie divine. Ce qui implique que cette action politique ne peut vraiment se développer, avec succès, que si les moyens et les pratiques institutionnels existants lui permettent d’atteindre le but de conduire l’ordre social vers Dieu pour qu’il l’aime, l’honore et le serve, et ainsi favoriser le salut du plus grand nombre. Dans le cas contraire, si ces moyens et pratiques institutionnels font défauts (ce qui est le cas présentement) cette action politique sera inexorablement phagocytée et dérivée quelle que soit la bonne foi ou la sincérité de ceux qui la mène.

     A titre d’exemple, pour ce qui est de sortir la France de l’abîme vers lequel elle se précipite, le faux espoir, pour bien des personnes catholiques ou pas, de cet étendard de promiscuité morale et spirituelle qu’est le Front National (aujourd’hui Rassemblement National) constitue un cas d’école. Ce parti politique englué comme les autres composantes politiques dans les présupposés de la République laïque, c’est-à-dire athée en ce qui concerne le respect des valeurs chrétiennes, l’obéissance, l’honneur et la gloire envers Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais très dévote quant aux constructions sociales liées aux fausses valeurs et faux principes idéologiques, philosophiques et spirituels sataniques surgis des élucubrations et rêveries des diverses sectes et conventicules maçonniques et kabbalistes. Il suffit de les entendre parler, la bouche en cœur, de la République, de la laïcité, des droits de l’homme, etc.

(A suivre…« But et moyens de la Contre-Révolution - 1 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Eglise de Sardes (Apocalypse III, (1). Elle correspond au cinquième âge de l’histoire de l’Eglise (dans laquelle nous sommes) qui commença vers 1520 sous le règne de l’Empereur Charles-Quint et du Pape Léon X. Elle se rapporte aussi au cinquième jour de la création du monde lorsque Dieu dit « que les eaux produisent toutes sortes de poissons et de reptiles, et qu’il créa les oiseaux du ciel » (Genèse I, 20-23). Cet âge est un âge d’affliction, de désolation, d’humiliation et de pauvreté de l’Eglise jusqu’à la venue du Grand Monarque. Il peut s’appeler avec raison un âge de purgation. Sardes signifie principe de beauté ou principe de perfection qui suivra dans le sixième âge de l’Eglise, celle de Philadelphie.

(2) Eglise de Philadelphie (Apocalypse III, 7) signifie « amour du frère », selon l’étymologie grec philadelphia. Elle correspond au sixième âge de l’histoire de l’Eglise. Nous n’y sommes pas encore, seulement lorsque paraîtront le Saint Pape et le Grand Monarque : les guides légitimes des Catholiques.

(3) La forme n’a pas ici le sens d’apparence extérieure d’un objet quelconque (carrée, ronde, rectangulaire, etc.). En métaphysique elle est le principe des forces et de l’activité dans un être. Elle est ce qui explique l’unité, la fixité et l’activité des vivants et qui maintient l’être  tout entier. Par exemple, pour l’homme son âme est la forme substantielle du corps physique humain.

 

Mis sur un autre blogue le 16 février 2015


jeudi 7 juillet 2022

Qu'allez-vous célébrer le 14 juillet ?


QU’ALLEZ-VOUS CELEBRER LE 14 JUILLET ?


      A lire sans esprit de haine ou de revanche, mais sans oublier sur quoi vous célébrez année après année. Que diraient les ‘’grandes consciences’’ si, en France, on dansait et festoyait sur un événement tel que la Shoah ? On assisterait à une levée de boucliers. Des cris d’indignation et une réprobation générale en boucle sur tous les media. Par contre, le 14 juillet, c’est la fête ! Sans doute que les cadavres catholiques français valent moins chers que d’autres. IMMONDES TARTUFES !

     L’année 1789 induira dans le monde, en un peu plus de deux siècles, par appropriation idéologique ou par exportation guerrière, des centaines de millions de morts et des horreurs indignes d’êtres humains, à l’exemple et méthodes des fondateurs et planificateurs. Telle est la Révolution, telle elle sera toujours, partout où elle s’installera qu’elle que soit le masque qu’elle utilisera pour cela. Il ne peut en être autrement car son inspirateur le diable, éternel révolté, assassin des âmes et des corps, ennemi juré de Dieu Notre-Seigneur et de son Eglise, s’est attelé à sa destruction avec ses agents d’exécution, les fils spirituels des Rabbins du premier siècle qui firent exécuter le vrai dispensateur de la liberté, de la fraternité et de la paix, sans oublier leurs prosélytes Francs-maçons auxquels s’agrègent tous les non judéo-maçons profanes et religieux, les amis du monde et des plaisirs, ceux aspirant aux honneurs, aux dignités, à quelque pouvoir ou reconnaissance dans la société par leur collaboration.


     Cette date marque l’installation et la célébration d’une République révolutionnaire usurpatrice, illégitime et assoiffée de sang par les Illuminés Francs-Maçons, instruments de la propagation de concepts antichrétiens issus du judaïsme des pharisiens talmudistes et kabbalistes, ennemis séculaires de la France chrétienne et monarchique. Un pouvoir de fait et non de droit. Elle favorisera la propagation d’idéaux révolutionnaires exportés en Europe par les armées napoléoniennes, des désordres sanglants qui aboutiront à la formation et à l’éclosion des deux monstres révolutionnaires que sont le communisme et le national-socialisme (nazisme). Ces deux régimes concentrationnaires venus à l’existence par des théoriciens juifs et leur financement par des banquiers juifs, et l’aide des sociétés secrètes d’inspiration et de formation kabbaliste dans le but d’enserrer la chrétienté entre ces deux mâchoires dialectiques pour l’affaiblir, la réduire et la détruire en la plongeant dans des guerres fratricides et meurtrières.


     Au XIXe siècle, en matière criminelle, pour faciliter la recherche du coupable, le jurisconsulte conseilla aux députés de l’Assemblée Nationale « cherchez la femme et vous trouverez le coupable » (1er septembre 1876). En matière révolutionnaire ce sera plutôt « cherchez le(s) Juif(s) ». Ils ne doivent pas s’offusquer de ces propos car ils savent pertinemment sous quelles influences se meuvent les révolutionnaires, et à quelle communauté appartiennent les personnages agissant derrière les petits ou grands événements de contestation, de bouleversements, de déstabilisations et de révolte dans les nations. On connaît parfaitement l’ethnie des grands ‘’bienfaiteurs’’ de l’humanité que furent Marx, Lénine, Trotsky et bien d’autres. Quant à Hitler il fut membre de la société secrète Thulé-Gesellschaft. Cette société lui a fourni les premiers membres du National-Socialisme (Nazisme) quant à son financement nous savons qui détient la puissance de l’argent. Le nazisme, au même titre que le bolchévisme, est une idéologie et un mouvement révolutionnaire d’inspiration juif kabbaliste qui regroupera des sociétés secrètes telles que l’aryo-sophisme, la théosophie, la franc-maçonnerie et l’occultisme.


     Le 14 juillet 1789 c’est le commencement d’un avilissement moral et sa perpétuation toujours plus évidente et outrageante. C’est une violence sauvage et barbare faite au gouvernement légitime de la France, la monarchie catholique, et à la population française fidèle à son roi et à sa religion. La monarchie française étant le seul et vrai rempart naturel contre la dissolution de la France dans le cosmopolitisme mondialiste de ses ennemis séculaires. La France, au regard de Dieu est, et demeure monarchique par son alliance avec Dieu, en 496, au Baptistère de Reims, lors du baptême de Clovis avec ses 3000 guerriers, mais son vrai Roi c‘est le Christ. Le Roi de France n’étant, ici-bas, que son Lieutenant (tenant-lieu) dans l’ordre temporel, comme le Pape est son Vicaire dans l’ordre spirituel.

 

     Aujourd’hui, le témoin diabolique pour la destruction économique, financière et sociale destiné à créer les conditions de dissolution de la France et des nations, et la tentative d’amalgamer la religion catholique dans le magma politico-religieux du Nouvel Ordre Mondial, est passé entre les mains des financiers judéo-maçonniques mondialistes apatrides et des ecclésiastiques félons aux contorsions de langage convenues, pour le plus grand bonheur des peuples bien entendu : tels sont les applications pratiques et le mûrissement des fruits vénéneux enclenchés par 1789 : le processus révolutionnaire et sa laïcité que vous chérissez tant, et que vous perpétuez par la trahison des valeurs morales, sociales et politiques chrétiennes.

 

     Cette date inaugurera, de 1789 à 1794, avec la guillotine des défenseurs affublés des ‘’Lumières de la raison’’ et, ça va de soi, grands humanistes des Droits de l’homme, le massacre de dizaines et de dizaines de milliers de français (enfants, femmes, hommes, vieillards), des femmes et des hommes brûlés vifs, des filles et des femmes violées, des noyades, des femmes et des enfants jetés dans des fours chauffés, etc. Rien à envier aux terroristes islamiques – sinon pire à certains égards - dont les crimes et les barbaries vous horrifient, mais devraient vous permettre de faire en retour en arrière. Merveilleuse et fameuse ‘’raison’’ qui raisonne depuis comme un marteau dans la m….

 

14 JUILLET 1789 ET SES SUITES :


- Des femmes et des enfants brûlés dans le four à pain de la bourgade des Epesses près de Pouzauges (Vendée)

 

- Le massacre des Lucs de Boulogne (Vendée) en 1794, perpétrée par la Colonne infernale commandée par le général Cordellier et ordonnée par le général-en-chef Turreau. Massacre de 564 personnes dont 110 enfants de moins de 7 ans

 

- Les massacres dans la petite ville de La Gaubretière accomplis par les troupes du général Huchet sur ses ordres, avec le planning suivant :

 

* Les hommes étaient éventrés à l’arme blanche de manière à faire souffrir le plus possible et à ne provoquer la mort qu’à petit feu. De nos jours, le champ du massacre s’appelle encore, le « champ des royards » (royer, en patois vendéen signifie hurler comme un cochon qu’on égorge)

 

* Aux femmes on leur mettait des pétards que l’on faisait exploser dans le sexe, comme cela « les femelles ne pourront plus engendrer » (sic) si elles survivaient.

 

* Les enfants étaient suspendus par la gorge aux crochets des plafonds destinés à suspendre la nourriture.

 

* Les soldats républicains portaient souvent en trophées des colliers faits d’oreilles de leurs victimes.

 

* On brûlait dans des fours à pain les corps des femmes pour une obtenir une graisse « qui était de très bonne qualité », comme l’étaient les peaux des vendéens que l’on tannait à Angers, etc., etc., etc. Vous avez dit nazi ? (1)

 

     Que dire après cela, puisque nous ne devons pas maudire notre prochain, sinon reprendre à son propre compte les paroles que Jésus-Christ adressa aux scribes et aux pharisiens dans un autre contexte que celui de la barbarie « Serpents, race de vipères ! »

 

     Si on ajoute qu’au pied de l’échafaud des femmes attendaient que les têtes tombent en tricotant, on mesure les instincts bestiaux et l’absence de sentiments humains que peuvent libérer des idéologies haineuses envers une classe sociale, une ethnie, une religion, etc., dès que les conditions le permettent. Dénoncer et combattre des pensées contraires n’oblige pas à la cruauté et à l’inhumanité. La liste des horreurs perpétrées par ces immondes crapules pourrait encore se poursuivre jusqu’à la nausée, il suffit de se documenter, non dans l’histoire officielle des livres scolaires avec la pommade jetée sur les ‘’Grands Ancêtres’’ qu’il faut rendre glorieux. Mais, par pour ceux qui fouillent dans les archives de cette époque, et qui ne craignent pas pour leur chaire d’histoire ou leur carrière d’historien. Il en va de même pour le respect de la réalité des données pour d’autres disciplines : science, histoire, littérature, économie, etc.

 

     Si, après les ‘’exploits’’ des sauvages de 1789 et ses suites, vous frétillez à l’idée de célébrer et danser ce jour-là, c’est que vous ne valez pas mieux qu’eux, car il faut être dépourvu de tout sentiment et respect humains pour oser célébrer et danser un 14 juillet qui n’est, en réalité, que la célébration de crimes odieux contre l’humanité. Ce jour fait festoyer et danser sur des planifications de massacres et de barbaries, sur des tas de cadavres d’enfants, de femmes, d’hommes et de vieillards dont le seul crime fut d’aimer leur roi et leur religion et de sauvegarder l’héritage qu’ils en avaient reçu. On s’évertue, à satiété, à remémorer et à faire pleurer dans les chaumières pour d’autres crimes, mais pas sur celui de ces atrocités, ce génocide qui n’a pas droit de citer, commis par les barbares révolutionnaires : CIRCULEZ !... Y A RIEN A VOIR ET A REMEMORER, SINON A FESTOYER ! FAUSSAIRES DE L’HISTOIRE ET IGNOBLES INDIVIDUS !

 

     Un jour, l’histoire (pas celle de la camarilla des auteurs stipendiés et des conservateurs de chaire) fera la lumière sur ce que fut réellement 1789 et ses suites, ses horreurs dignes de barbares, le massacre des Vendéens, déportations de femmes et d’enfants dont ne peuvent se glorifier un certain 14 juillet que des ignorants (de bonne foi, on peut les excuser), des sans cœur ou des sanguinaires aussi cruels que les sinistres Turreau avec ses colonnes infernales, et Carrier avec ses massacres et noyades organisés. Des travaux irréfutables (2) en ce sens sont déjà produits dans un grand silence médiatique, et pour cause. Il ne faut pas ternir la mémoire des ''Grands Ancêtres'' (3), et que les français ne voient et ne comprennent ce que fut cette monstruosité assoiffée du sang de ses propres fils et filles, et idolâtrée année après année : Ce moloch (4) des temps modernes qui continuent de s’abreuver du sang qu’il fait répandre, ici et là, par la propagation de son idéologie meurtrière et synonyme de décadence morale.

 

     Pour vous égarer et détourner votre attention, on vous a fabriqué une autre bête immonde, un parti politique repoussoir (qui n’est lui-même qu’un mystificateur car pathétique potiche comme tous les autres) mais vers qui on tourne régulièrement les regards lors des joutes électorales françaises ou lors de la confection de la mixture politicienne qu’est le front républicain. Cependant, la vraie bête immonde n’est autre que la Révolution dite française dont les œuvres, les fruits et les blasphèmes du passé et du présent témoignent de sa grande laideur morale et de son total mépris de Dieu. Si vous aimez la France chrétienne PRIEZ pour elle Notre-Seigneur pour qu’Il l’aide à retrouver son ancienne ferveur et repentez-vous car sans repentance, il n’y a pas de pardon de Dieu. Ne comptez en aucune manière sur les partis politiques actuels pour sauver la France, car tous ont pris - avec la laïcité révolutionnaire qu’il chérisse car elle est leur sésame pour faire une carrière politique - la marque d’infamie et d’irrespect qui consiste à considérer Dieu persona non grata dans les assemblées parlementaires et les édifices publics.

 

- Je m’excuse pour la longueur du texte. J’ai préféré le mettre en une seule fois pour en conserver la continuité

 

René Pellegrini

 

(1) Revue du Centre d’Etudes et de Prospective sur la Science (Le Cep, 2011, N° 56 p.49 et 61)


(2) Du génocide au mémoricide de Reynald Secher aux Editions du Cerf, 2011


(3) Certains députés et chefs révolutionnaires (chefs sans-culottes…et sans cervelle) portaient des culottes faites de peaux d’hommes, tannées par un certain Pequel : certainement des chantres des Droits de l’homme. Méthode de fabrication : 
 

« On coupe la peau au-dessus de la ceinture, puis le long de chacune des cuisses jusqu’à la cheville, de manière à ce que, après l’écorchement et le tannage de cette peau, il suffise de coudre pour avoir un pantalon confectionné » (Pensez-y si vous avez encore à cœur de célébrer cette commémoration inique qui me donne plus envie de vomir que de festoyer)

 

(4) Divinité ammonite représentant un homme avec une face de taureau. A l’intérieur de cette divinité était allumé un grand feu et dans les bras de ce monstre on plaçait des victimes humaines que la chaleur du feu consumait. Cette ignominie fut pratiquée même chez les Israélites (Jérémie XXII, 35). Hitler n’a rien inventé.


Mis sur un autre blogue le 28 juin 2017

 

NOTA BENE (ajouté le 25 septembre 2019)

     Voici quelques liens concernant la pensée de l’Eglise sur les droits de l’Homme et leurs sécrétions issus de la Révolution française :

Encyclique Adeo Nota, 23 avril 1791 (n’existe qu’en italien, paragraphe 13) du Pape Pie VI https://w2.vatican.va/content/pius-vi/it/documents/enciclica-adeo-nota-23-aprile-1791.html 

et Discours au Consistoire du 11 juin 1793 https://www.lysardent.fr/2012/10/05/discours-du-pape-pie-vi-prononce-au-consistoire-du-11-juin-1793/ ; http://www.icrsp.org/Textes-Divers/Discours-Pie-VI.htm 

Sur La volonté populaire ou souveraineté du peuple, le communisme, le socialisme, etc. https://fr.wikisource.org/wiki/Encyclique_Quanta_Cura_et_Le_Syllabus/Encyclique (en français, et en italien sur le site du Vatican) et Encyclique Diuturnum illud de Léon XIII , 29 juin 1881  http://w2.vatican.va/content/leo-xiii/fr/encyclicals/documents/hf_l-xiii_enc_29061881_diuturnum.html

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...