Affichage des articles dont le libellé est discernement. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est discernement. Afficher tous les articles

mardi 10 janvier 2023

La sainteté - 3 : Les libertins et la sainteté : Première injustice - 2


 Les douze saints Apôtres

LA SAINTETE - 3

  « Mirabilis Deus Sanctis in Suis. » 

« Dieu est admirable dans ses Saints. » 

(Psaume LXVII, 36)  

LES LIBERTINS ET LA SAINTETE : PREMIERE INJUSTICE – 2

     Car je l’ai dit, Chrétiens, et je le répète, quelque présomptueux que puisse être le libertinage du monde, jamais il ne se soutiendra contre certains exemples irréprochables que Dieu dans tous les temps lui a opposés, et qu’il lui opposera toujours pour le confondre. Cette nuée de témoins dont parle saint Paul, cette innombrable multitude de saints dont nous honorons la glorieuse mémoire, est en faveur de la sainteté chrétienne un argument trop plausible, et une preuve trop éclatante et trop forte, pour pouvoir être affaiblie par toute impiété du siècle. Il y a dans le monde des hypocrites, je le sais, et peut-être trop pour n’en pas gémir moi-même ; mais l’impiété du siècle peut-elle se prévaloir de l’hypocrisie pour en tirer cette dangereuse conséquence, qu’il n’y a pas dans le monde de vraie sainteté ? Au contraire, répond ingénieusement saint Augustin, c’est de là même qu’elle doit conclure qu’il y a une vraie sainteté, parce qu’il se trouve des saintetés fausses ; et la raison qu’il en apporte est sans réplique : parce que la fausse sainteté, ajoute-t-il, n’est rien autre chose qu’une imitation de la vraie, comme la fiction est une imitation de la vérité.

     En effet, ce sont les vrais vertus qui, par l‘abus qu’on en fait en voulant les imiter, ont produit, contre l’intention de Dieu, les fausses vertus. Le démon, père du mensonge, s’étant étudié à copier, autant qu’il a pu, les œuvres de Dieu, il a pris à tâche de contrefaire la vraie humilité par mille vains fantômes d’humilité, la vraie sévérité de l’Evangile par l’apparente sévérité de l’hérésie, le vrai zèle par le zèle jaloux, la vraie religion par l’idolâtrie et la superstition. Témoignage évident, dit saint Augustin, qu’il y a donc une vraie religion, un vrai zèle, une vraie sévérité de mœurs, une vraie humilité de cœur, en un mot, une vraie sainteté, puisqu’il est impossible de contrefaire ce qui n’est pas, et que les copies, quoique fausses, supposent un modèle.

     Or ce principe établi, qu’il y a une vraie sainteté, l’impiété du siècle la plus maligne demeure désarmée et sans défense. Que cette sainteté pure et sans reproche soit rare parmi les hommes, qu’elle se rencontre en peu de sujets, cela ne favorise en aucune sorte le libertin. Quand il n’y en aurait dans le monde qu’un seul exemple, il n’en faudrait pas davantage pour faire sa condamnation ; et Dieu, par une providence toute spéciale, dispose tellement les choses, que cet exemple, seul si vous le voulez, ne manque jamais, et que malgré l’iniquité, il y en a toujours quelqu’un que le mondain lui-même, de son propre aveu, ne peut s’empêcher de reconnaître.

     Oui, mon cher auditeur, si vous êtes assez malheureux pour être du nombre de ceux à qui je parle ici et que je combats, ce seul homme de bien que vous connaissez, et qui est, dîtes-vous, l’unique en qui vous croyez et dont vous voudriez répondre, c’est celui-là même qui s’élèvera contre vous au jugement de Dieu ; lui seul il vous fermera la bouche. Dieu n’aura qu’à vous le produire, pour vous convaincre malgré vous du prodigieux égarement où vous aurez vécu, et pour faire paraître à tout l’univers la vanité, la faiblesse, le désordre de votre libertinage. En vain, pour votre justification, voudrez-vous alléguer l’hypocrisie de tant de mauvais chrétiens. S’il y a eu dans le monde des hypocrites, vous dira Dieu, vous n’avez pas dû pour cela être un impie. Si plusieurs ont abusé de la sainteté de mon culte, il ne fallait pas vous porter à un excès tout opposé, ni vous livrer au gré de vos passions ; car il n’était pas nécessaire que vous fussiez l’un ou l’autre : entre l’hypocrite et le libertin, il y avait un parti à suivre, et même un parti honorable ; c’était d’être chrétien, et vrai chrétien. Que ceux que vous avez traités de faux dévots l’aient été ou non, c’est sur quoi ils seront jugés ; mais votre cause, qui n’a rien de commun avec eux, n’en a pu devenir meilleure. Tant de faux dévots, de dévots suspects qu’il vous plaira, en voici un, après tout, que vous ne pouvez récuser ; en voici un qui vous confond, et qui vous confond, et qui vous confond par vous-même ; car ce Juste que vous avez vous-même respecté, ce Juste en qui vous avez reconnu vous-même tous les caractères d’une piété sincère et solide, que ne l’avez-vous imité, et pourquoi ne vous êtes-vous pas formé sur ses exemples ?

     Cela, dis-je, suffirait pour faire taire l’impiété. Ce serait assez de ces saints, quoique rares et singuliers, que Dieu nous fait voir sur la terre ; de ces saints qui, non seulement glorifient Dieu, mais ont encore le bonheur, en le glorifiant, d’être généralement approuvés des hommes ; de ces saints dont la vertu est si unie, si simple, si pure, si hautement et si universellement canonisée, que le libertinage même est forcé de les honorer : car il y en a, et, quelque réprouvé que soit le monde, il y en a au milieu de vous ; vous savez bien les démêler, et vous ne vous trompez pas dans le discernement que vous en faîtes.

     Mais je dis bien plus ; et pour un Juste dont l’exemple pourrait suffire, Dieu m’en découvre aujourd’hui une multitude innombrable, et me fournit autant de preuves contre vous. Il m’ouvre le ciel, et, m’élevant au-dessus de la terre, il me montre ces troupes d’élus qu’une sainteté éprouvée, purifiée, consommée, a fait monter aux plus hauts rangs de la gloire. Des hommes, dit saint Chrysostome (induction admirable et dont vous devez être touchés !), des hommes en qui la sainteté n’a été ni tempérament, puisqu’elle a réformé, changé, détruit dans eux le tempérament ; ni humeur, puisqu’elle ne les a sanctifiés qu’en combattant, qu’en réprimant, qu’en mortifiant sans cesse l’humeur ; ni politique, puisqu’elle les a dégagés de toutes les vues humaines ; ni intérêts, puisqu’elle les a fait renoncer à tous intérêts ; ni vanité, puisqu’elle les a en quelque sorte anéantis, et qu’ils ne se sont presque tous sanctifiés qu’en se cachant dans les ténèbres ; ni chagrin, puisqu’elle les a souvent détachés, séparés du monde lorsqu’ils étaient plus en état de jouir des prospérités et de goûter les agréments du monde ; ni faiblesse, puisqu’elle leur a fait prendre les plus généreuses résolutions et soutenir les plus héroïques entreprises ; ni petitesse de génie, puisqu’en souffrant , en mourant, en s’immolant pour Dieu, ils ont fait voir une grandeur d’âme que l’infidélité même à admirée ; ni hypocrisie, puisque, bien loin de vouloir paraître ce qu’ils n’étaient pas, tout leur soin a été de ne pas paraître ce qu’ils étaient. Des hommes que le christianisme a formés, et dont la sainteté incontestablement reconnue est d’un ordre si supérieur à tout ce que la philosophie païenne, je ne dis pas pratiqué, mais a enseigné, mais a imaginé, mais a voulu feindre, que, dans l’opinion de saint Augustin, l’exemple de ces héros chrétiens dont nous solennisons la fête est une des preuves les plus invincibles qu’il y a un Dieu, qu’il y a une religion, qu’il y a une grâce surnaturelle qui agit en nous. Pourquoi ? Parce qu’une sainteté aussi éminente que celle-là ne peut être sortie du fond d’une nature aussi corrompue que la nôtre ; parce que la philosophie et la raison ne vont point jusque là ; parce qu’il n’y a donc que la grâce de Jésus-Christ qui puisse ainsi élever les hommes au-dessus de toute l’humanité, et que c’est par conséquent l’œuvre de Dieu. Voilà ce que célèbre aujourd’hui l’Eglise militante, dans cette auguste solennité qu’elle consacre à l’Eglise triomphante. Voilà de quoi le ciel est rempli. Exemples mémorables dont l’impiété n’effacera jamais le souvenir, et contre lesquels elle ne prescrira jamais. Exemples convaincants auxquels il faut que le libertinage cède, et qui confondront éternellement l’orgueil du monde. Miracles de votre grâce, ô mon Dieu, dont je me sers ici pour répandre, au moins dans la cour du plus chrétien de tous les rois, les sentiments de respect et de vénération dus à la vraie piété. Heureux si j’en pouvais bannir cet esprit mondain toujours déclaré  contre ceux qui vous servent, ou plutôt, Seigneur, toujours déclaré contre votre service même ! Heureux si je pouvais  le détruire dans tous les cœurs, si je pouvais détromper toutes les personnes qui m’écoutent, et leur faire une fois comprendre combien ces injustes préjugés dont on se laisse si aisément prévenir, et où l’on aime tant à s’entretenir, sont capables de les éloigner, et les éloignent en effet de vous !

Père Louis Bourdaloue (1632-1704) 

(A suivre…« Les libertins et la sainteté : Seconde injustice »…si Dieu veut) 


Anciens articles à voir ou à revoir :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/preuves-scripturaires-de-la-royaute-du.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/lantechrist-ou-posterite-du-sepent.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/traite-du-saint-esprit-3-lavantage-du.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/priere-notre-dame-des-anges.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-avertissements-de-saint-jean-de-l.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-noms-de-lantechrist.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/france-souviens-toi-1.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/la-royaute-universelle-de-jesus-christ.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/protection-contre-lilluminisme.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/les-chretiens-et-les-manifestations.html


jeudi 26 mai 2022

11 certitudes sur l'Antéchrist - 10 : Certitude - 7



 ANTECHRIST – 10


11 CERTITUDES SUR L’ANTECHRIST - 7

 

CERTITUDE  7

 

     L’empire de l’Antéchrist deviendra universel

« (…) et la puissance lui (la bête) fut donnée sur toute tribu, sur tout peuple, sur toute langue et toute nation » (Apocalypse XIII, 7)

     Concernant l’exercice de cette puissance, le Vénérable Barthélemi Holzhauser donne l’interprétation suivante :

« Les restes dispersées d’Israël (tribu), les chrétiens qui feront défection (peuple), adoration et adhésion au Fils de perdition pour (langue) et celles (nations) qui de l’Orient et du Septentrion qui n’ont jamais gardé longtemps la foi. »

     Cette accumulation de substantifs « tribu, peuple, langue, nation » ne laisse aucun doute sur La puissance et l’universalité de l’empire de l’Antéchrist. Cette gouvernance nous la voyons se mettre en place, depuis des décennies, par le moyen des grandes institutions à vocation mondiale : F.M.I (Fonds Monétaire International) O.N.U (Organisation des Nations Unies), O.M.S (Organisation Mondiale de la Santé), O.I.T (Organisation Internationale du Travail), B.I.T (Bureau International du Travail), etc.

     Notre-Seigneur par la manifestation de ses vertus et le versement de son sang, a racheté l’humanité toute entière en rapprochant, en un seul peuple et par l’Eglise (assemblée de toutes les nations et de toutes les tribus) ce qui était séparé :

     « Vous êtes digne, Seigneur (…) par votre sang vous avez racheté pour Dieu, de toute tribu, de toute langue, de tout peuple et de toute nation » (Apocalypse V, 9b)  

     C’est donc par une permission divine que l’Antéchrist, dans son opposition rageuse contre le Christ, étendra sa domination par la fausse catholicité (ou fausse universalité) et l’antichristianisme, en face de la catholicité (ou universalité) de l’Eglise. L’Antéchrist, l’orgueilleux, dominant sur l’humanité avec une verge de fer et, par l’impiété, entraînant ses sujets vers Satan et la damnation éternelle et, en face, le Christ se faisant humble jusqu’à la mort et rachetant, par le prix infini de son sang, les hommes « pour Dieu » avec la vie éternelle pour ceux qui, imitant ses vertus et fidèles à ses enseignements, répondent à son appel et suivent l’Agneau de Dieu en gardant le regard fixé sur Lui, en méditant ses exemples, ses leçons, les souffrances de sa Passion et ses vertus depuis sa naissance dans le sein de la Vierge Marie jusqu’à sa mort sur la Croix. 

     A notre époque, les découvertes scientifiques qui abrègent le temps et dévorent les distances, montrent que ce suppôt de Satan ne manquera pas de moyens pour arriver à cette domination universelle. Non seulement la science sera à son service, mais il pourra compter aussi sur toutes les forces révolutionnaires et antichrétiennes qui s’activent de plus en plus, auxquels s’adjoindront les foules (1) subjuguées qui, par ignorance, manque de discernement ou par manipulation, sont trop souvent prêtes à aller au-devant de toutes les servitudes (2). Fort de tous ces appuis, cet ennemi de Jésus-Christ pourra former en peu de temps un empire gigantesque conjuré contre l’Eglise catholique (universelle) et les chrétiens.

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras dans le texte de Donoso Cortes.

 

(1) Ces foules qui, en prenant un exemple actuel, pour peu que des manipulateurs conscients ou inconscients les aient fixées sur ce qui serait la solution à certains de leurs problèmes, ou la préparation d’un avenir meilleur pour eux-mêmes et leurs enfants, les incitent ensuite à hurler, en France, un compréhensible mais bien pathétique et dérisoire : « Macron démission ! » avec chant de « La Marseillaise » car, ni l’un ni l’autre, ne sont étrangers aux tireurs de ficelles et à leur inspiration malsaine. Ce cri et ce chant qui doivent bien les faire rire car l’un, M. Macron, n’est qu’un Président en CDD, en sursis, un instrument sur l’agenda de ceux qui détiennent le véritable pouvoir : celui de proposer, et ils ne manquent pas, les ‘’rois’’ qui leur conviennent. Et l’autre, les mots détestables et indéfendables (3) - qu’elle que soit les positionnements politiques visant à les justifier - d’un chant inspiré par un cerveau malade et sanguinaire comme celui de ceux qui les ont avalisés. Quant au système, et à ses vrais pilotes, à qui ces masses humaines ne demandent que des ajustements pécuniaires et matériels, il continuera de leur fournir des remplaçants qui s’inscriront dans la logique devant lui permettre de poursuivre le but qu’il s’est fixé, quand bien même l’un de ces remplaçants pourrait se montrer plus ou moins récalcitrant. En effet, les moyens de rétorsion ne manquent pas à ceux qui travaillent toujours avec plusieurs fers au feu pour les ramener à la raison, ou leur faire payer chèrement ainsi qu’à leur peuple leur désobéissance. Comprenez que les choses sont allées trop loin, eu égard à Notre-Seigneur et la vraie vocation de la France, pour penser que la solution puisse se trouver dans les propositions d’hommes et de femmes (en gilets jaunes ou pas) qui prennent leur distance par rapport à Dieu - le bien souverain - ou sont assez incohérents pour vouloir le mariage contre nature des principes chrétiens avec la République laïque, les droits de l’homme et la souveraineté populaire : les sésames indispensables pour une carrière politique et participer au mensonge universel qu’est le suffrage universel.

(2) Donoso Cortes (1809-1853) a eu, à son époque, l’intuition de cet empire mauvais dans la démagogie, une caractéristique de notre temps :

« De là ces aspirations immenses à la domination universelle par la future démagogie, qui s’étendra sur tous les continents et jusqu’aux dernières limites de la terre ; de là ces projets d’une folie furieuse, qui prétend mêler et confondre toutes les familles, toutes les classes, tous les peuples, toutes les races d’hommes, pour les broyer ensemble dans le grand mortier de la révolution, afin que de ce sombre et sanglant chaos sorte un jour ce Dieu unique, vainqueur de tout ce qui est divers ; le Dieu universel, vainqueur de tout ce qui est particulier ; le Dieu éternel, sans commencement ni fin, vainqueur de tout ce qui naît et passe ; le Dieu démagogie annoncé par les derniers prophètes, astre unique du firmament futur, qui apparaîtra porté par la tempête, couronné d’éclairs et servi par les ouragans. La démagogie est le grand Tout, le vrai Dieu, Dieu armé d’un seul attribut, l’omnipotence, et affranchi de la bonté, de la miséricorde, de l’amour, ces trois grandes faiblesses du Dieu catholique. A ces traits, qui ne reconnaîtrait un Dieu d’orgueil, Lucifer ! »

« Quand on considère attentivement ces abominables doctrines, il semble impossible de ne pas y voir quelque chose du signe mystérieux, mais visible, dont l’erreur sera marquée aux temps annoncés par l’Apocalypse. Si une crainte religieuse n’empêchait pas de chercher à soulever le voile qui couvre ces temps redoutables, je pourrais peut-être appuyer sur de puissantes raisons d’analogie cette opinion : que le grand empire antichrétien sera un empire démagogique colossal, gouverné par un plébéien de grandeur satanique, l’homme de péché. » (Donoso Cortès, Œuvres, t. II, p.229-230)

(3) « Qu’un sang impur abreuve nos sillons ». Comment un chrétien peut-il prononcer de telles paroles aussi stupides et barbares quand Saint Paul dit : « Il (Dieu) a fait naître d’un seul (Adam) toute la race des hommes » ? (Actes XVII, 26 dans la Septante). Alors que jusqu’à son époque bien des guerres et des massacres avaient déjà eût lieu dans le monde, et jusqu’au sein de son propre peuple, il n’en déduit pas pour autant qu’il pût y avoir une race impure avec un sang impur. Certains manuscrits grecs du Nouveau Testament portent même « Dieu fit naître d’un seul sang toute la race des hommes »

* Un mot sur un constat concernant les réseaux sociaux qui dénoncent l’action maçonnique (très bien) mais qui, étrangement (?), à longueur de textes et de vidéos, cachent la main qui l’a créée : les Juifs avec leur Kabbale et leur Talmud. Dans un combat il ne sert à rien d’abattre la flèche et d’ignorer le tireur (ou de faire silence sur lui). C’est à prendre en considération et loin d’être superflu, pour ne pas risquer de se fourvoyer en leur accordant trop vite des louanges et un préjugé favorable quand bien même ils proposent des analyses intéressantes mais dans l’esprit gnostique est perceptible dans certaines de leurs paroles ou les livres qu’ils proposent, surtout lorsqu’ils favorisent l’esprit révolutionnaire ou des propos et principes antichrétiens, ou des attaques continuelles à charge contre l’Eglise, confondue tendancieusement avec les comportements critiquables ou condamnables de membres religieux et laïcs de Celle-ci, et sans jamais mentionner ses bienfaits.

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...