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lundi 5 décembre 2022

La monarchie catholique de droit divin - 2




LA MONARCHIE CATHOLIQUE DE DROIT DIVIN - 2

 

     Un clergé, des laïcs catholiques ou non, des hommes politiques catholiques ou non, présentant une autre alternative, d’autres chemins pour la France (sur quelque support de communication que ce soit) ne peuvent être – à moins d’ignorance - qu’un clergé, des laïcs et des politiciens trompeurs, inféodés consciemment ou inconsciemment à la cause antichrétienne de la judéo-maçonnerie (1). En définitive, un clergé, des laïcs et des hommes politiques indignes de confiance, dangereux pour la foi, à éviter si possible, qu’elle que soit les emballages confectionnés pour dénier ou discréditer cette prérogative de la France que le temps, les circonstances, le mépris affiché, plus ou moins ouvertement, sur une certaine période historique de l’Eglise, par les libéraux et les modernistes reprenant à leur compte, sans nuances, les poncifs des ennemis de l'Eglise, mais prérogative non caduque simplement suspendue jusqu’à l’heure voulue par Dieu.

     Ce comportement, lorsqu’il n’est pas le reflet de ses propres sentiments, ressemble fort à un conditionnement par la haine séculaire impulsée dans l’Eglise, et hors de celle-ci, par la judéo-maçonnerie contre la France catholique ou « fille aînée de l’Eglise ». Haine de l’Eglise catholique trouvant sa source dans l’esprit véhiculé dans la société française, et au dehors, par la gnose, la Kabbale et le Talmud. A tous ces gens, un « Vade post me, satana » (Saint Matthieu XVI, 23) bien appuyé, légitimé par le motif donné par Jésus-Christ, est de circonstance « tu ne goûtes pas ce qui est de Dieu, mais ce qui est des hommes ».   

     Les défections, les trahisons, les tentatives de substitution, la stigmatisation selon le répertoire fabriqué, à dessein, par les Convents et les Consistoires et repris en chœur, de façon imbécile ou calculée par les valets, les supplétifs de ces instances dissolvantes, et les menaces des apostats et fourbes du Vatican n’y changeront rien, quand bien même Mgr Fellay (2) lors de ses tractations secrètes avec Rome, consentirait à un poste honorifique dans le pandémonium d’Assise 1986 (réplique moderne du Mont Carmel au temps du prophète Elie).

     Nous n’attendons pas quelqu’un de plus grand que le Christ pour réajuster cette prérogative monarchique posée par des saints à travers les siècles et confirmée par un Saint Pape, et mis au rang des vieilleries ou d’une foi déficiente par ces monuments suintant ‘’ d’amour du prochain et de spiritualité ’’ que sont en vrac, l’immense majorité des adeptes et des chantres de Vatican II, de la nouvelle théologie, du corps astral, des NDE (3) et de l’esprit religieux moderne. Tout cela pue à plein nez le levain de la Kabbale et de ses fils et filles : la gnose, le marranisme et la franc-maçonnerie.  

     Il n’y a pas à se leurrer, ni à se voiler la face. Que mon lecteur ne se laisse pas entraîner dans l’angélisme ou l’irénisme, qu’il n’oublie surtout pas cette réalité prégnante : depuis le Livre de la Genèse III, 15 faisant suite à la chute d’Adam et Eve, il y a - Dieu l’a voulu ainsi - deux postérités, deux camps face à face : la postérité de la femme et la postérité du serpent (4). Tout au long de l’histoire sainte - dans laquelle Dieu n’est jamais absent - se construit, en concomitance, l’histoire profane avec ses vicissitudes et ses embûches. Celle-ci, en suscitant ses épreuves et ses tragédies, concourant à l’endurance des saints et à la plus grande gloire de celle-là et de Dieu, par la foi de ses hérauts. Ces deux postérités différenciées et désignées par des noms différents, selon les époques, se feront front jusqu’à ce que la femme (la Sainte Vierge, la Nouvelle Eve) écrase la tête du serpent antique. C’est ensemble qu’Adam et Eve ont introduit le péché dans le monde. 

     C’est conjointement que le Nouvel Adam (Jésus-Christ) et la Nouvelle Eve (Marie épouse du Saint-Esprit et Mère de l’Eglise) procurent, par les mérites suréminents du Christ, le salut et triomphent du démon. Là, où Eve succombe aux suggestions du serpent, Marie nous offre le Messie rédempteur en obéissant aux paroles de l’envoyé de Dieu « qu’il me soit fait selon votre parole. » (St Luc I, 38)

     Jésus Lui-même, ses apôtres et ses disciples ont été confrontés à cette postérité du serpent agissante depuis les origines de l’humanité « Vous avez le diable pour père » (St Jean VIII, 44) dira-t-il aux pharisiens, manifestant ainsi la véritable filiation spirituelle de ces religieux qui donnaient le change aux Juifs. Dès l’origine, l’Eglise y a été confrontée, y est confrontée actuellement, et y sera confrontée jusqu’à la fin du monde. Nous savons qui sont nos ennemis: notre chair avec ses passions plus ou moins déréglées, le démon et le monde (c’est-à-dire la postérité du serpent – les ennemis déclarés ou dissimulés de Dieu, de Notre Seigneur et de son Eglise - avec ses artifices et ses tentations). Bien identifier ses ennemis, quelle que soit la bannière sous laquelle ils évoluent ouvertement ou les masques sous lesquels ils se cachent, est indispensable et vital pour ne pas combattre contre des ombres. Rappelons-nous que ce ne sont pas les païens qui furent les plus acharnés ennemis de l’Eglise naissante, mais des hommes religieux imprégnés de Kabbale, faisant profession de servir Dieu, et d’être ses représentants ici-bas. Pourtant, Jésus les mettra au rang des gens « du monde » en les distinguant de ses vrais disciples dans sa prière sacerdotale : 

« Je leur ai donné votre parole, et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi non plus, je ne suis pas du monde. Je ne vous prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du mal. Ils ne sont pas du mondecomme moi non plus, je ne suis pas du monde. Sanctifiez-les dans la vérité, Votre parole est vérité. Comme vous m’avez envoyé dans le monde, moi aussi je les ai envoyés dans le monde » (Saint Jean XVII, 14-18) 

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini 

 

(1) Avec l’aide des média aux ordres, ces deux sociétés antichrétiennes sont associés dans l'œuvre de déchristianisation de la société française, de discrédit et de haine contre la monarchie catholique et l’ordre social chrétien. La Franc-maçonnerie (avec ses diverses obédiences) étant le paravent laïc et spirituel du judaïsme politique, kabbalistique et talmudique.  

(2) Ancien Supérieur Général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X. 

(3) NDE: Near-death experience.

(4) C’est-à-dire la postérité du diable : ceux qui refusent de se laisser guider par les lois de Dieu ou les combattent ouvertement. Refusant la divinité de Jésus-Christ et le règne de Jésus-Christ sur eux-mêmes, ils constituent le corps mystique de l’antéchrist 

René Pellegrini

Mon blogue : :

Anciens articles à voir ou à revoir :

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/ave-maria-entends-nos-prieres.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/la-marque-de-lesprit-revolutionnaire-et.html

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https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-reour-des-juifs-en-palestine-1-avant.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/petite-mise-au-point-sur-mes.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/04/bien-comprendre-ce-quest-la-revolution.html

 

lundi 17 octobre 2022

La conjuration antichrétienne - 2 : Les deux civilisations - 2

 Basilique Saint Pierre de Rome

 LA CONJURATION ANTICHRETIENNE - 2


CHAPITRE I

 

LES DEUX CIVILISATIONS - 2

 

     Il faut que l’Eglise se réconcilie avec la civilisation moderne. Et la base proposée pour cette réconciliation, c’est non point l’acceptation des données de la vraie science que l’Eglise n’a jamais répudiée, qu’elle a toujours favorisée, aux progrès de laquelle elle a toujours applaudi et contribué plus que qui que ce soit ; mais l’abandon de la vérité révélée, abandon qui transformerait le catholicisme en un protestantisme large et libéral dans lequel tous les hommes pourraient se rencontrer, quelles que soit leurs idées sur Dieu, sur ses révélations et ses commandements. Ce n’est, disent les modernistes, que par ce libéralisme (1) que l’Eglise peut voir de nouveaux jours s’ouvrir devant elle, se procurer l’honneur d’entrer dans les voies de la civilisation moderne et de marcher avec le progrès.

     Toutes les erreurs signalées dans l’un et l’autre Syllabus se présentent comme les diverses clauses du traité proposé à la signature de l’Eglise pour cette réconciliation avec le monde, pour son admission dans la cité moderne.

 (A suivre...si Dieu veut)

Monseigneur Delassus

 

(1) Le libéralisme et un péché : voir les six publications sur la question, ici sur Blogspot

 

René Pellegrini


 

vendredi 5 août 2022

Mon Royaume n'est pas de ce monde - 2


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST – 14

 

MON ROYAUME N’EST PAS DE CE MONDE – 2


     César et Pilate n’ont rien à craindre de la royauté du Christ car elle ne vient pas du peuple. N’étant pas tributaire, pour sa légitimité et la continuité de son exercice, de l’appui de serviteurs ou de forces militaires, elle n’a donc pas besoin de se rebeller, comme le feront les Juifs, contre l’autorité impériale et Ponce Pilate son représentant actuel en Judée.

     Pilate, surpris par un silence de Jésus, Lui dira en soulignant bien son autorité

« Ignores-tu que j’ai le pouvoir de te crucifier et le pouvoir de te délivrer. » (St Jean XIX, 10) Jésus répondra : « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en haut. » (Verset 11)

     Jésus se servira de cette observation de Pilate pour lui faire remarquer et lui faire prendre conscience, lui qui, malgré tout, s’efforce de le libérer de la vindicte juive, d’où émane, qu’elle est L’ORIGINE de tout pouvoir, même païen comme le sien : « DONNE D’EN HAUT » c’est-à-dire, de Dieu, de Moi qui me livre entre tes mains, et, ainsi, la propre dépendance à Dieu de Pilate, lui qui croit l’avoir reçu de César qui, en l’occurrence, n’est qu’un instrument entre les mains de Dieu. Ces paroles de Jésus posent la question de L’ORIGINE de tout pouvoir et pas celle du désintérêt de Jésus pour les choses civiles.

     C’est bien conscient de l’origine divine des pouvoirs terrestres et des devoirs des chrétiens envers l’Etat et ses représentants, que Saint Paul, en conformité avec I Pierre II, 11-14 pourra dire, alors que Juifs et chrétiens se trouvent, à cette époque, sous la domination des légions romaines et païennes de César :

« Que toute âme soit soumise aux puissances supérieures, car il n’y a pas de puissance qui ne vienne de Dieu ; et celles qui sont ont été établies de Dieu. C’est pourquoi qui résiste à la puissance résiste à l’ordre de Dieu. » (Romains XIII, 1-2) (1)

     Sois sans crainte Pilate, quoiqu’on ait pu te dire sur mon compte, les caractéristiques de ma royauté font qu’elle ne doit rien à l’usurpation, à une quelconque révolte contre l’autorité impériale que tu représentes, ni à la volonté et aux agissements des hommes conformés à l’image d’Adam; mais elle est gouvernée par la Providence de Dieu et réglée selon sa volonté. Les serviteurs de mon royaume ne se conforment qu’à l’image du Nouvel Adam : Jésus-Christ. Voir les caractéristiques de ceux qui sont appelés à habiter ce royaume, sur cette Page à la date du 22 décembre 2020, La Royauté universelle de Jésus-Christ – 11 : Les caractéristiques du Royaume de Dieu.

     N’accorder qu’une dimension intérieure, circonscrite uniquement dans les âmes, à « Mon royaume n’est pas DE ce monde » comme les Témoins de Jéhovah et les nombreuses légions de catholiques libéraux et modernistes curieusement réunis en la circonstance, pour Lui dénier une royauté sur les choses civiles de ce monde serait insérer l’absurde et la contradiction du Saint-Esprit en de nombreux textes de la Sainte Ecriture et, en même temps, insinuer que l’Eglise catholique se serait trompée sur cette question depuis vingt siècles et faire peu de cas de l’infaillibilité du magistère pontifical en la circonstance : doublement absurde !

     A aucun moment Il n’a voulu dire que cette Royauté ne s’exerce pas sur ce monde ou en ce monde. Ce serait stupide et contraire, de surcroît, à l’affirmation de Jésus, à ses apôtres, avant de remonter au ciel et, précisons-le, avant même de revenir, à la fin du monde, pour châtier définitivement les nations rebelles, et dans laquelle Il déclara solennellement :

« Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre. » (St Matthieu XXVIII, 18)

     Le constat douloureux que le monde des hommes se soit placé, très majoritairement, sous l’emprise des lois du démon et sous son règne n’enlève rien au fait que tout se meut, dans les événements qui affectent la terre, selon la Providence de Dieu et pour le salut des élus, et que Jésus règne sur ce monde de droit (de nature et de conquête) à moins de mettre les paroles précitées de Notre-Seigneur, qui ne peut mentir, sur le compte de la vantardise.

     Le Pape Pie XI ne fait que confirmer, dans son Encyclique, les paroles de Jésus-Christ et leur interprétation, en qualifiant d’« erreur honteuse de dénier au Christ-Homme la puissance sur les choses civiles quelles qu’elles soient. » Et que dire de cette même puissance en tant que Dieu ?

     On voit bien à qui profite ce crime de la mise à l’écart et du détrônement de Jésus-Christ sur les sociétés humaines, avec l’aide de ceux qui devraient être ses principaux hérauts : les hommes politiques catholiques et les hommes d’Eglise préférant prêcher les droits de l’homme plutôt que ceux de Dieu. HONTE A EUX !!! 

(A suivre…« La royauté du Christ sur les individus »…si Dieu veut)

René Pellegrini

- C’est moi qui mets en gras dans le texte.

(1)   Aucune société humaine ne peut subsister sans une autorité. Par ses paroles, Saint Paul ne vise pas à justifier l’usurpateur et le tyran, mais il fonde l’obligation d’obéir sur Dieu. L’autorité humaine, quelle qu’elle soit, ne peut exister que par la volonté de Dieu. Tout pouvoir humain a en Dieu son origine et sa source. Les gouvernants sont serviteurs de Dieu. Les bons, pour favoriser le bien commun temporel, moral et spirituel de leurs administrés ; les mauvais, comme instruments de la justice divine pour châtier, au temps marqué, les nations ayant apostasié ou rebelles à Dieu.

- Ces explications pour les agités et inconscients sur certains forums catholiques qui, sciemment ou par ignorance, excitent à la Révolution en l’absence de toute autorité politique et religieuse LEGITIMES : c’est-à-dire DE DROIT et non de fait. Malgré tout, si nous sommes chrétiens, nous devons obéir à ces pouvoirs de fait, dans la mesure où leurs lois ne nous mettent pas dans la position d’apostasier ou de violer les commandements de Dieu qui sont imprescriptibles, ou de désobéir aux anathèmes portés par l’Eglise dans ses documents émanant du double exercice de son Magistère infaillible : extraordinaire ou ex cathedra très peu utilisé : lors des dogmes ou définitions solennelles ; et ordinaire pontifical (celui que les besoins et les nécessités de l’Eglise exigent sans qu’il soit nécessaire de réunir un Concile, pouvant être utilisé tous les jours que Dieu fait ou lors de problèmes ponctuels, et dans lequel il est tout aussi véridique).  

- En tant que Catholique s’efforçant de marcher, en actes et en paroles, dans les pas du Christ, il m’est impossible de suivre ceux qui poussent à la haine contre les adeptes d’autres religions ou à la Révolution. Dénoncer, mettre en garde contre leurs fausses doctrines ou philosophies, être sans complaisance envers leurs mauvais agissements est une chose, tenir des propos haineux à leur égard en est une autre, et ce n’est pas la manière d’agir de Jésus-Christ, modèle des chrétiens. Cette distinction pour les orfraies et les imbéciles de toutes catégories sociales, politiques et religieuses, aussi haut placés soient-ils, qui s’empressent d’hurler au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie, etc., dès que vous prenez vos distances avec leurs dogmes laïcs ou leurs réinterprétations religieuses qu’ils doivent probablement considérer comme infaillibles, ou le stupide et dissolvant politiquement et religieusement corrects des supplétifs des Big Satrapes of the Sanhedrin. Je laisse ces pratiques aux traîtres à Dieu, à leur patrie, invertébrés et opportunistes sans honneur, corrompus par l’argent, l’ambition et le sexe, et qui, perversion de l’esprit aidant et toute honte bue, paradent en public, se faisant une gloire avec ce qui constitue leur honte : NE LES SUIVEZ PAS ! TENEZ-VOUS EN GARDE CONTRE EUX ! LEUR VOIE EST UNE VOIE DE MALHEUR ET DE PERDITION. Mais, prions Dieu pour que dans sa miséricorde, Il daigne leur accorder une grâce de repentance et de conversion par les mérites infinis de Jésus-Christ et l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie.

- Tenez-vous aussi en garde contre ceux (prêtres ou laïques) qui vous conseillent d’aller voter pour des personnes (quelles qu’elles soient) qui se soumettent au suffrage universel que le Pape Pie IX qualifiait de mensonge universel. En effet, dans ce genre d’élection les dès sont pipés. Seule la méconnaissance de ce qu’est la Révolution, de ses agents et leurs méthodes de subversion, ou l’ignorance peuvent encore illusionner sur le vote dans un pays qui se soumet à cette funeste mascarade dite démocratique dont tous les prétendants, pour postuler, doivent faire allégeance à la démocratie, la laïcité révolutionnaire et les droits de l’homme : la triple imposture…et pas seulement en France.   

Mis sur un autre blogue le 5 septembre 2015  

René Pellegrini

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...