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lundi 28 novembre 2022

Hymne des Laudes de la Très Sainte Vierge


HYMNE DES LAUDES DE LA TRES SAINTE VIERGE

 O la plus glorieuse des vierges élevée jusqu’aux astres, 

Vous nourrissez de Votre sein Celui qui Vous a créée, devenu petit enfant.

Ce que la pauvre Eve nous a enlevé, Vous nous le rendez par Votre Fils béni : Vous ouvrez les portes du Ciel pour y faire entrer les affligés

Vous êtes la porte du grand Roi et Son palais éclatant de lumières : 
nations rachetées applaudissez la Vie donnée par la Vierge.

Jésus, à Vous soit la gloire Qui êtes né de la Vierge, 
comme au Père et au Saint-Esprit dans les siècles des siècles.

Amen       


René Pellegrini 

Anciens articles à voir ou à revoir :

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https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/04/les-propheties-sur-la-france-1.html

https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/04/protection-contre-lilluminisme.html

 

mercredi 16 novembre 2022

Un petit instant pour considérer sa propre vie


 Le retour du fils prodigue

UN PETIT INSTANT POUR CONSIDERER SA PROPRE VIE

      Amis lecteurs, que les articles et les textes mis sur ce site soient pour toi :

 

     Si tu es baptisé(e) une incitation à te rappeler les vœux de ton baptême par lequel tu es devenu(e) chrétien(ne) et disciple de Jésus-Christ pour l’aimer, l’honorer et le servir et, par ce moyen, sauver ton âme. Prends bien le temps d’examiner si ta vie témoigne de ces vœux car n’oublie jamais que c’est en tant que chrétien(ne), caractère qu’a imprimé en toi le sacrement de baptême, que tu seras jugé(e) par Dieu au jour du Jugement Dernier. Souviens-toi que par ton baptême tu as scellé une alliance avec Dieu et que cette alliance ne peut être brisée sans dommage pour ton éternité.

     Si tu es incroyant(e) mais c’est plus un doute occasionné par des lectures fondées sur des hypothèses scientifiques ou des théories pseudo-religieuses à caractère panthéistique, plus que sur une véritable certitude de l’inexistence de Dieu qui t’amène à cette incertitude en un Dieu personnel que Jésus-Christ nous a invité à prier en disant « Notre Père (…) », alors suit son conseil, prie, ne néglige pas ce moyen simple, mais admirable, que Dieu a mis à la portée des créatures humaines pour leur permettre de s’approcher de lui avec confiance comme celle de l’enfant envers ses parents. Ne te lasse pas de prier, soit sincère dans ta prière, laisse parler ton cœur, que chaque jour qui passe soit l’occasion pour toi de demander à Dieu qu’il éclaire ton intelligence, car toi aussi tu voudrais l’aimer, l’honorer et le servir sans réserve. Joins-y des lectures pieuses de saints, d’hommes de foi ayant eux-mêmes connus et éprouvés les doutes, les misères humaines et ils élèveront ton âme, non vers eux, non vers les choses terrestres et charnelles qui asservissent et corrompent, mais vers les choses saintes et pures qui élèvent et libèrent : vers Dieu, Notre-Seigneur et sa sainte Mère.

     Si tu es incroyant(e) irréductible sache toutefois que Dieu ne délaisse personne et, dans le cours d’une existence terrestre, il a frappé plusieurs fois à la porte de ton cœur, en certaines circonstances, attendant une réponse de ta part que tu lui as refusée. Il t’attend toujours tant que le temps de sa bienveillance n’est pas passé. Le Fils prodigue (nous-mêmes) de la parabole de Jésus c’était éloigné de son père (Dieu) voulant vivre sa vie et, après bien des péripéties, comprenant sa méprise, il revint vers son père qui attendait toujours son retour. C’est toujours Dieu qui fait le premier pas comme on le constate dans le Livre de Samuel « Tu m’as appelé : me voici ! » (1) c’est Jésus qui appelle ses apôtres et saint Augustin, après une période de sa vie dans le manichéisme et dans l’immoralité, confessant « Tu ne me chercherais pas, si tu ne m’avais déjà trouvé ».

     Qui que tu sois, ne considère pas ce que tu as lu comme une réprimande ou une certaine suffisance de ma part, mais comme un sage conseil en vue de ton salut éternel et de tous ceux dont tu as éventuellement la charge.

Que Dieu te garde et te bénisse !

 

René Pellegrini

 

(1) I Rois III, 1-10 dans la Vulgate qui s’appuie sur le texte hébreu de la Septante des Juifs d’Alexandrie ; ou I Samuel 3 : 1-10 dans les Bibles protestantes ou catholiques s’appuyant sur le texte hébreu des Massorètes.


 

 

jeudi 29 septembre 2022

Prière à Marie, Mère du Perpétuel Secours


PRIERE A MARIE, MERE DU PERPETUEL SECOURS

     O Sainte Vierge Marie qui, pour nous inspirer une confiance sans bornes, avez voulu prendre le nom si doux de Mère du Perpétuel Secours, je vous supplie de me secourir en tout et tout lieu, dans mes tentations, après mes chutes, dans mes difficultés, dans toutes les misères de la vie et surtout au moment de ma mort.

     Donnez-moi ô charitable Mère, la pensée et l’habitude de recourir toujours à Vous ; car je suis sûr que, si je vous invoque fidèlement, Vous serez fidèle à me secourir.

     Procurez-moi donc cette grâce de Vous prier sans cesse et avec la confiance d’un enfant, afin que par la vertu de cette prière fidèle, j’obtienne votre perpétuel secours et la persévérance finale.

     Bénissez-moi, ô tendre et secourable Mère, et priez pour moi, maintenant et à l’heure de ma mort.

     Ainsi soit-il.

 

René Pellegrini

mardi 20 septembre 2022

Prière à Notre-Dame du Perpétuel Secours

PRIERE A NOTRE-DAME DU PERPETUEL SECOURS

     O Sainte Vierge Marie qui, pour nous inspirer une confiance sans borne, avez voulu prendre le nom si doux de Marie du perpétuel secours ! je vous supplie de me secourir en tout temps et en tout lieu : dans mes tentations, après mes chutes, dans mes difficultés, dans toutes les misères de la vie, et surtout au moment de ma mort.

     Donnez-moi, ô charitable Mère, la pensée et l’habitude de recourir toujours à vous ; car je suis sûr que si je vous invoque fidèlement, vous serez fidèle à me secourir.

     Procurez-moi donc cette grâce des grâces, la grâce de vous prier sans cesse et avec la confiance d’un enfant, afin que, par la vertu de cette prière fidèle, j’obtienne votre perpétuel secours et la persévérance finale.

     Bénissez-moi, ô tendre et secourable Mère, et priez pour moi, maintenant et à l’heure de ma mort.

     Ainsi soit-il.

(Prière tirée de mon Livre des Exercices spirituels de Saint Ignace de Loyola)

 

René Pellegrini 

 

 

mardi 16 août 2022

Le bien de la vieillesse

 


Représentation d’Abraham et Sarah dans leur vieillesse avec leur fils Isaac, l’enfant de la Promesse.

LE BIEN DE LA VIEILLESSE

 

     Il me semble que c’est toujours beaucoup de reproche aux mortels de mourir sans y avoir pensé ; mais le reproche est double à ceux que Notre-Seigneur a favorisés du « bien de la vieillesse ». Ceux qui s’arment avant que l’alarme ne se donne le sont toujours mieux que les autres qui, sur l’effroi, courent ça et là au plastron, aux cuissards et au casque. Il faut tout à l’aise dire ses adieux au monde, et retirer petit à petit ses affections des créatures.

     Les arbres que le vent arrache ne sont pas propres pour être transplantés, parce qu’ils laissent leurs racines en terre ; mais qui veut les porter en une autre terre il faut que dextrement il désengage petit à petit toutes les racines…

 

     Il se « faut tenir prêt » ; ce n’est pas pour partir devant l’heure, mais pour l’attendre avec plus de tranquillité.

 

(Lettre de Saint François de Sales)

 

René Pellegrini

 



mardi 17 mai 2022

Ô Mère de mon Dieu !


Ô MERE DE MON DIEU !

     Ô Mère de mon Dieu ! Quelle gloire est la Vôtre !

     Vous avez conçu, dans votre sein virginal, l'Auteur même de la vie ;

     Vous avez pressé contre votre Cœur et couvert de vos maternels Embrassements, Votre bien-aimé Jésus ; quoique votre Créateur et votre Maître, Vous l'avez vu petit Enfant s'attacher à Vous, essayer à vos côtés Ses premiers pas et inonder Votre âme d'une ineffable jouissance.

     Ô heureux enfantement ! Vous faites tressaillir d'allégresse les anges, Vous êtes l'attente de tous les saints.

     Enveloppé dans une même réprobation, le genre humain tout entier avait besoin de Vous pour être déchargé du poids de cet anathème.

La Vierge et l'Enfant entre Saint Jérôme et Saint Zénobe

 

samedi 30 avril 2022

La gloire du Saint-Esprit - Motif 1


TRAITE DU SAINT-ESPRIT - 1

 

LA GLOIRE DU SAINT ESPRIT – MOTIF 1

 

     Introduction au Traité du Saint-Esprit visant à faire connaître, autant qu’il est possible, la troisième Personne de la Sainte Trinité, en elle-même et dans ses oeuvres. Quatre motifs ont déterminé Mgr Gaume a publié ce Traité : le premier, la gloire du Saint-Esprit.

     Toutes les œuvres de Dieu sont amour, car Dieu est charité par essence comme l’enseigne saint Jean :

« Quant à nous, nous avons connu la charité (1) que Dieu à pour nous, et nous y avons cru Dieu est charité ; et qui demeure dans la charité demeure en Dieu, et Dieu en lui. » (I Jean IV, 16)

     Les œuvres de Dieu sont amour. Or créer c’est aimer ; conserver, c’est aimer ; racheter, c’est aimer. Le Saint-Esprit étant l’amour consubstantiel du Père et du Fils, (2) le Saint-Esprit est donc dans toutes leurs œuvres. C’est par lui que les deux autres Personnes de la Sainte Trinité (le Père et le Fils) se mettent, pour ainsi parler, en contact avec le monde. De là, ce mot de Saint Thomas

« Le Saint-Esprit est le premier don de Dieu. » Et cet autre de Saint Basile « Tout ce que possèdent dans l’ordre de la nature, aussi bien que dans l’ordre de la grâce, les créatures du ciel et de la terre, leur vient du Saint-Esprit. »

     Ne semble-t-il pas que ce divin Esprit devrait, par un juste retour, occuper la première place dans nos pensées et dans notre reconnaissance ? Toutefois, par un renversement étrange, personne ou presque personne qui songe à Lui.

     On connaît le Père, on le respecte, on l’aime. Pourrait-il en être autrement ? Ses œuvres sont palpables et toujours présentes aux yeux du corps. Les magnificences des cieux, les richesses de la terre, l’immensité de l’Océan, les mugissements des vagues, les roulements du tonnerre, l’harmonie merveilleuse qui règne dans toutes les parties de l’univers, redisent avec une éloquence intelligible à tous, l’existence, la sagesse et la puissance du Dieu père et conservateur de tout ce qui est.

     On connaît le Fils, on le respecte, on l’aime. Non moins nombreux que ceux du Père, et non moins éloquents, sont les prédicateurs qui parlent de lui. L’histoire si touchante de sa naissance, de sa vie, de sa mort ; la croix, les temples, les images, les tableaux, le sacrifice de l’autel, les fêtes, rendent populaires les différents mystères de ses humiliations, de son amour et de sa gloire. Enfin, l’Eucharistie, qui le tient personnellement présent dans les tabernacles, fait graviter vers lui toute la vie catholique, depuis le berceau jusqu’à la tombe.

(A suivre… « La gloire du Saint-Esprit – motif 2 »…si Dieu veut)

 René Pellegrini

(1) Le mot grec agapè est généralement traduit par amour dans les bibles protestantes et les bibles catholiques plus ou moins récentes (optique œcuménique sans doute ou esprit d’indépendance envers les exhortations de l’Eglise). Le Concile de Trente a recommandé aux fidèles la Vulgate, c’est donc elle que j’utilise. Celle-ci traduit agapè du texte grec par « charité ». Pour quelle raison ? Il y a une différence entre les deux.

L’amour est une passion de l’appétit concupiscible. Acte de la volonté, l’amour consiste dans l’union affective avec un bien suffisamment perçu ou dans le mouvement d’inclination de la volonté vers ce bien. Inclination qui produit le désir et la recherche de l’objet jusqu’à ce que la volonté se repose avec jouissance dans sa possession. Pour être ainsi aimé, ce bien doit être en harmonie avec la volonté et être suffisamment connu, bien que la perfection et l’intensité de l’amour ne soient point nécessairement en équation avec celles de la connaissance.

La charité est un amour provenant de la volonté accompagné d’une grande estime de l’objet aimé en ajoutant à l’amour l’idée d’une certaine perfection affective. Ainsi toute charité est amour, mais tout amour n’est point charité. Quand la charité est mutuelle et accompagnée de bienveillance réciproque, elle prend le nom d’amitié.

L’amour de concupiscence recherche uniquement son propre bien, l’amour d’amitié poursuit uniquement, ou du moins principalement, le bien de l’objet aimé.

Pour rappel la charité est une des trois vertus théologales avec l’espérance et la foi.

Elles sont appelées théologales car ce sont des vertus surnaturelles c’est-à-dire qu’elles élèvent la vie humaine à un niveau supérieur, la transportant dans un domaine qui n’est pas son champ d’action normal, où elles se dépassent elle-même tant par sa manière d’agir que par ses aspirations. Elles sont théologales car Dieu est leur objet direct.

(2) C’est moi qui souligne en gras.


 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...