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mardi 23 août 2022

L'étendue de la Royauté du Christ


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 18

 

L’ETENDUE DE LA ROYAUTE DU CHRIST

 

    Cette royauté de Jésus-Christ, pour le bien des peuples, doit s’étendre sur tous les individus et toutes les collectivités car souligne le Pape Pie XII :

 

« Le bien privé et le bien commun ont la même source»

 

     Etant issus d’une même source, ces deux biens ne sauraient être pleinement  et durablement procurés sans une reconnaissance et une soumission des nations à la royauté de Jésus-Christ. Et de justifier cet empire qu’exerce Notre-Seigneur non moins que cette affirmation de source unique du bien, ainsi que du salut, par un texte de la Sainte Ecriture : celui de la respectueuse mais ferme et courageuse réponse de Saint Pierre au Sanhédrin concernant Jésus.

 

« C’est lui seul qui est la pierre rejetée par vous les constructeurs, et qui est devenue la pierre de l’angle, et il n’y a de salut en aucun autre : car aucun autre nom sous le ciel n’a été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes IV, 12-13)

 

    De nos jours, les bâtisseurs de sociétés antichrétiennes que sont les Juifs, leurs prosélytes francs-maçons et tous ceux qui collaborent avec eux, rejettent toujours cette « pierre d’angle » la pierre principale pour retenir l’édifice. Autant dire que leur construction politique et sociale s’appuyant sur les promesses d’idéologies telles que le socialisme, le marxisme, un capitalisme sans âme, le libéralisme économique faisant des travailleurs des objets jetables comme des kleenex, le mondialisme ou le « vivre ensemble » sont inaptes, non seulement, à assurer le bien privé (de plus en plus attaqué et taxé) mais aussi le bien commun temporel et, bien moins encore, le salut des âmes. Ces différents types de constructions sociales judéo-maçonniques négateurs du « seul nom par lequel nous devions nous être sauvés » ne peuvent que, tour à tour, s’effondrer finalement dans un chaos mondial, connaître le même sort que l’antique Tour de Babel avant de laisser la place, pour un peu de temps, au gouvernement de l’Antéchrist auquel travaillent les Juifs - tout en croyant œuvrer pour la venue du Messie déjà venu il y a deux mille ans - et leurs collaborateurs.

 

     L’Eglise, à temps et à contretemps, ne peut, sans trahir sa mission salvatrice, taire la suprématie de Notre-Seigneur et l’obligation dans laquelle se trouvent tous les hommes de s’y soumettre pour assurer leur salut. Eu égard à cette puissance exercée par le Christ, le Saint Père détenteur du pouvoir spirituel, non moins que le temporel qui lui est subordonné (1) se doit de rappeler et d’exhorter les autorités de ce monde, à ne pas refuser de s’acquitter de leurs devoirs à l’égard de Dieu. Aujourd’hui, comment l’Eglise conciliaire prise par le délire œcuménique pourrait-elle, son trahir sa vocation, accomplir sa mission salvatrice en faisant un rappel équivalant et de même portée que celui de Pie Saint Pierre (ci-dessus) ou de Pie XI, ci-dessous, sans froisser les autorités juives, musulmanes qui rejettent le Fils de Dieu et sa dignité royale, et aussi les chefs de toutes les autres fausses religions ? L’œcuménisme, malheureusement, tel qu’il a été conçu par le Concile Vatican II, découronne Notre-Seigneur, le Rois des rois, comme le montre la déposition par Paul VI de la tiare pontificale représentant les trois pouvoirs de Jésus-Christ (exécutif, judiciaire, législatif) 

 

« Que les chefs des nations ne refusent donc pas de rendre par eux-mêmes et par le peuple à la puissance du Christ leurs hommages publics de respect et d’obéissance, s’ils veulent, en sauvegardant leur autorité, promouvoir et accroître la prospérité de la patrie ! »

 

     La situation actuelle des nations occidentales et chrétiennes et de ceux qui les pilotent vautrés qu’ils sont, par la déchristianisation et la judaïsation de leur esprit dans le naturalisme qui les paganisent de plus en plus, est révélatrice de la surdité des hommes d’Etat et de ceux qui les suivent. Les conséquences d’une telle attitude, poursuivie avec pertinacité, sont lourdes de conséquences et affectent directement les gouvernants eux-mêmes dans « la sauvegarde de leur autorité » non moins que la nation concernant « la prospérité de la patrie »

 

     Ainsi, cet irrespect et ce refus d’obéissance envers Dieu par les chefs des nations et les diverses autorités, se répercutant dans les peuples, conduisent inexorablement vers l’anarchie sociale et le paupérisme national, la reprise en main expiatrice par la dictature ou la tyrannie, avant l’heure fixée par Dieu pour restituer la souveraineté à qui de droit.

 

« A suivre… « Les obligations du pouvoir civil »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini  

 

- C’est moi qui mets en gras dans l’extrait du Pape.

 

(1) La finalité de notre pouvoir temporel républicain vautré dans sa laïcité révolutionnaire et sa revendication d’un athéisme d’Etat est, de plus en plus et visiblement, la damnation du plus grand nombre par une législation fauteuse d’insanités morales et méprisante des lois divines. A l’opposé, la finalité d’un pouvoir temporel digne de ce nom étant la vie vertueuse du plus grand nombre, il ne peut atteindre cette fin qu’en étant subordonné au pouvoir spirituel, lequel se doit de juger la moralité de ses actes. Cette subordination n’exclut pas, afin d’éviter tout cléricalisme, une juste autonomie de ce pouvoir temporel pour le choix des moyens dans la mesure où ils sont conformes à la morale.

mercredi 18 mai 2022

Le communisme est-il mort ? - 2



 LE COMMUNISME EST-IL MORT ? – 2 

 

     Cette seconde partie est, en totalité, un rajout du 8 février 2014 à la première partie

 

     Le communisme, un des masques de la Révolution au XXe siècle, a permis après la Renaissance, la Réforme protestante et la Révolution de 1789 et celles qui suivirent, de poursuivre le dynamitage de la chrétienté en incorporant en son sein - au moyen des infiltrations spirituelles marranes et maçonniques - des ferments idéologiques et politiques de révolte politique, sociale et morale, en utilisant certains mots, tout à fait acceptables pour des Catholiques et par de braves gens en général, tels que « fraternité, justice, paix » mais revêtant un tout autre contenu dans l’idéologie et l’esprit des meneurs révolutionnaires, et la finalité de leur projet. 

     Il n’est pas mort, mais, sous l’angle politique, en application de la philosophie hégélienne « Thèse (capitalisme) – Antithèse (communisme) – Synthèse ou dépassement des antagonismes (mondialisme) », il fait la synthèse avec le socialisme américain et le capitalisme libéral (1) pour mieux se les assujettir et donner naissance au Nouvel Ordre Mondial. Sous l’angle spirituel, il est aussi le fruit de la gnose kabbalistique de Karl Marx. (2) Le communisme a été impulsé dans les sociétés humaines par le moyen de la Haute Finance Internationale ou Haut capitalisme apatride qui lui a fourni les finances nécessaires pour son expansion. Il ne fait que changer de masque et augmenter sa virulence et son mépris pour l’être humain, en revêtant celui du mondialisme ou communisme universel (3) lequel effectue, maintenant, la convergence de toutes les forces hostiles au catholicisme traditionnel au cours des siècles. Ce que Benjamin Creme, le représentant de Maitreya le faux christ du Nouvel Age, appelle pour rassurer son monde « un socialisme démocratique ». Mondialisme qui ne tolérera qu’une seule religion universelle pour les non-Juifs, appelée noachisme ou nohaisme par les cercles d’Initiés, et aboutissement du travail œcuménique actuel. Vous comprenez ainsi, au-delà des arguties et contorsions théologiques d’experts en félonies, pourquoi il ne faut plus chercher à convertir les Juifs. En fait, le communisme n’est pas mort mais il fut une étape préparatoire au mondialisme dans lequel il trouvera son plein épanouissement, si Dieu le permet en châtiment des blasphèmes et iniquités des nations apostates. 

     Il ne faut jamais oublier que le communisme, soi-disant prolétarien, n’a pu émerger qu’en bénéficiant des subsides de hauts financiers juifs dont les noms sont connus (4). Au-delà des apparences et des affrontements de la scène politique, il y a toujours eu soutien de la Haute Finance Internationale pour les forces révolutionnaires de gauche comme de droite, afin de susciter les antagonismes dialectiques nécessaires pour permettre à la Révolution de poursuivre sa marche en avant car, ne l’oublions jamais, elle est un « état permanent » car son inspirateur satanique est un éternel agité. 

 

René Pellegrini

 

(1) Lorsque je parle de synthèse du communisme avec le capitalisme, il s’agit du capitalisme dévoyé en libéralisme économique car l’Eglise catholique n’a jamais condamné le capitalisme en tant que tel « Il ne peut y avoir de capital sans travail, ni de travail sans capital » (Encyclique Rerum novarum, Léon XIII, le 15 mai 1891). A charge pour le capitalisme de ne pas prendre la main d’œuvre pour des bêtes de somme ou des objets jetables.

(2) Appelé prophète des temps modernes. Petit-fils de rabbin, et membre de la société secrète juive ‘’la Ligue des Justes’’

(3) Incarnation du règne antéchristique.

(4) Banques Jacob Schiff ; Kuhn, Loeb et Cie dirigée par Jacob Schiff, Félix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, Jérôme H. Hanauer ; Guggenheim ; Max Breitung.

 

Mis sur un autre blogue le 8 février 2014

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