LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST – 20
LES OBLIGATIONS DU POUVOIR CIVIL – 2
LE RESPECT DE DIEU - 2
Dans la précédente publication j’ai montré
comment le cinéma s’attaque au christianisme en dénaturant les Evangiles, en
blasphémant ce qui est saint, et le peu d’indignation manifestée, voire le
silence des milieux catholiques.
La France, en 1789, a préféré Barabbas, le
voleur, à Jésus-Christ. Et Barabbas depuis cette date lui a manifesté, et
continue de lui manifester toute sa gratitude et son affection par la
démocratie qui réchauffe tant le cœur des français, et les libère des despotes.
En 1958, elle a enfoncé le clou, par son reniement formel de Dieu, l’adoption
et la proclamation publique de sa Constitution laïque. Elle s’est prostituée au
veau d’or de ses ennemis séculaires, à ses méthodes d’influence des mentalités
que constituent tous ses moyens médiatiques. En conséquence, elle se fait
l’apologiste de lois sociales permettant le piétinement des lois divines, ou facilitant
toutes les lubricités sexuelles qui installent confortablement l’immense
majorité de ses fils et filles avilis ou désorientés intellectuellement,
moralement et spirituellement, soit dans la recherche effrénée de de biens et
de plaisirs temporels, soit dans les raffinements érotiques de Sodome devenus
pour les décérébrés, l’horizon indépassable de la félicité temporelle.
Certaines sectes gnostiques y voyant même une union mystique avec la divinité.
En France, dont la vocation depuis le
baptistère de Reims et le baptême de Clovis en 496, était d’être le défenseur
de l’Eglise et de son Roi : Jésus-Christ, le monarque n’étant, ici-bas,
que son lieutenant, vous pouvez, aujourd’hui, sans impunité, encourager et
exciter les mœurs les plus infâmes, tourner en dérision la religion catholique,
ses vrais ministres, commettre tous les crimes contre la sainteté et la
divinité de Jésus-Christ, la pureté de sa Sainte Mère, les traîner dans la
boue, tous les ‘’grands défenseurs’’ de la dignité humaine, tous les
‘’justiciers’’ de crime contre l’humanité à géométrie dirigée, toutes les
‘’grandes consciences’’ humanitaires politiques et religieuses, ne se scandalisent
pas, ou si peu, de ce crime qui est au-dessus de tous les autres crimes que
peuvent avoir à juger les hommes, ici-bas : celui qui consiste, après
l’acte du déicide que fût son ignominieuse mise à mort, à le déshonorer en
attribuant les péchés de la chair pécheresse, à Celui en qui il n’y a point de
péché.
« Le Christ
(…) lui
qui n’a pas commis de péché, et en la bouche de qui n’a pas été trouvé la
tromperie. » (I Pierre
II,22)
De tels hommes, sans se montrer des fils
indignes, n’accepteraient pas sans broncher que l’on puisse porter atteinte à
l’honneur de leur père et mère charnels. Comment peuvent-ils alors, possédant une
autorité religieuse, ne pas dénoncer, fustiger, vilipender avec fermeté, sans
langue de bois, ni contorsions théologiques, le mutisme d’hommes politiques
catholiques ? Bien sûr, nous connaissons, depuis longtemps, les réponses à
tout cela, mais tous n’entendent-ils pas Jésus-Christ, dont ils se prétendent
les disciples, s’adressant à ceux qui osèrent le traiter de « samaritain »
ou encore de « possédé du démon »
leur répondre « VOUS ME DESHONOREZ »
(St Jean VIII,49)
Il fallait bien ce film ordurier du
renégat Martin Scorcese et de son bailleur de fonds, le cornac juif Wasserman,
pour nous signifier et nous avertir, s’il en était encore besoin :
- d’une part, que
la lutte que livre le judaïsme kabbaliste et talmudiste contre la Royauté de
Notre-Seigneur et la sainteté de sa Personne est constante, depuis les grands
prêtres Anne et Caïphe, et qu’il se trouvent toujours, sous toutes les
latitudes des Ponce Pilate conciliants et des faux chrétiens, pour accéder aux
désirs de ceux qui veulent, avec une satanique obstination, Le discréditer en
le salissant comme les porcs qu’ils sont, et, ce faisant, détruire son Eglise
si cela était possible.
- d’autre part,
le magma purulent que sont devenues les cervelles d’un grand nombre de nos
‘’élites’’ politiques et religieuses, et son inévitable rejaillissement sur
toute la société croyante et incroyante, rendant ainsi témoignage d’une
dramatique perte de la foi et des valeurs morales. L’état actuel
d’enténèbrement moral touchant l’éducation, l’enseignement et la pratique du
sanitaire, de la science, de l’histoire, de l’économie et autres disciplines
dans la formation des jeunes esprits, n’est rien d’autre que l’enseignement
révolutionnaire faisant table rase de tous ce qui est contraire à ses dogmes, le
stigmatisant et le balayant comme moyenâgeux ou théorie du complot.
Enseignement révolutionnaire favorisé par le pacte gouvernemental avec les
forces des ténèbres dont est issue la Révolution judéo-maçonnique.
Pourtant, tous devraient se rappeler les
sévères reproches que Dieu formulaient à l’encontre des prêtres d’Israël, pour
leurs honteuses négligences dans le culte et les sacrifices qu’ils Lui
devaient :
« Un fils honore son
père et un serviteur son maître : si donc moi je suis votre père, où est
mon honneur ? Et si moi je suis votre Seigneur, où est la crainte de
moi ? Dit le Seigneur des armées
(…) » (Malachie I,6)
(A
suivre…si Dieu veut)
LES JOURS MAUVAIS :
Dieu permet, tout en fixant la longueur de
la laisse, que le Diable accomplisse son œuvre inique, dans le temps qui lui
est donné, pour éprouver notre amour pour Lui et purifier notre foi. Les jours
devenant de plus en plus mauvais par la volonté des suppôts de Satan, malfaisants,
détraqués et sans scrupules qui dirigent les nations, nous avons donc, plus que
jamais, besoin de recourir à la prière et à demander la protection de Dieu. Ne
négligez surtout pas ! Fixez votre regard sur le Christ qui nous enseigne,
par ses actes et ses paroles, comment se comporter, avec foi et confiance, dans
les moments et situations difficiles ayant en tout, pour objectif, la fidélité
et la soumission à la volonté de Dieu qui seront facilitées avec l’aide de la
grâce, si « nous aimons Dieu de tout notre cœur, de toute notre âme et de
toutes nos forces » comme le commande le précepte de l’amour. (Deutéronome
VI,5)
René Pellegrini