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vendredi 10 juin 2022

Adultère et fornication - 7 : La fornication dans les Saintes Ecritures - 1


Chasteté de Joseph (image prophétique de Jésus-Christ) fils de Jacob, 

fuyant la femme de potiphar officier de pharaon

L’ADULTERE ET LA FORNICATION – 7

 

LA FORNICATION DANS LES SAINTES ECRITURES - 1 

 

     Cet article sur la fornication fera uniquement référence à des textes bibliques du Nouveau Testament, en espérant qu’il aidera ou incitera certains lecteurs à s’examiner sérieusement sur ces questions de relations charnelles en dehors du mariage, et d’infidélité conjugale, que la mentalité très laxiste de ce siècle, le souci de se couler dans le milieu ambiant et l’ignorance plutôt volontaire de la gravité de ces actes avaient minimiser quant à leurs conséquences éternelles. Cette société permissive qui vomit à l’envie les élucubrations charnelles philosophico-religieuses gnostiques et kabbalistes, se dresse orgueilleusement contre la loi morale positive de Dieu et, par une inversion satanique, appelle bien ce qui est mal, et mal ce qui est bien.

     Pour sortir de cette boue morale qu’insuffle la bête immonde révolutionnaire, écoutons les recommandations pleines de sagesse de Saint Paul nous enseignant tout le conseil de Dieu pour baliser le chemin moral de la société, du royaume de Dieu et du salut.

 « Que le mariage soit honoré en toutes choses, et le lit nuptial sans souillure ; car les fornicateurs et les adultères, Dieu les jugera. » (Hébreux XIII, 4)

     Exhortation à la chasteté dans le mariage car la pratique du divorce était très fréquente chez les Juifs. A noter que nous devons la loi inique sur le divorce (1884) à l’initiative d’un franc-maçon membre de la communauté juive, M. Alfred Naquet s’inscrivant dans la continuité de la logique de destruction du christianisme et de l’ordre social chrétiens des théoriciens révolutionnaires, posant ainsi la première pierre du processus de désintégration de la famille.

« Que la fornication et toute impureté, ou l’avarice ne soit pas même nommée parmi vous, comme il convient à des saints. Point de turpitudes, de folles paroles, de bouffonneries, ce qui ne convient point ; mais plutôt des actions de grâces. Car sachez comprendre qu’aucun fornicateur, ou impudique, ou avare ce qui est une idolâtrie, n’a d’héritage dans le royaume du Christ et de Dieu. » (Ephésiens V, 3-5)

     Cette exhortation à fuir les vices de la chair ponctuée par le grave avertissement de la conclusion, à destination de ceux qui affirment et enseignent que ces choses ne sont pas si graves, voire normales ou qui, faisant fi des devoirs de leur responsabilité pastorale, préfèrent esquiver lâchement le problème, s’abstenant d’enseigner tout le conseil de Dieu, en prétendant ne pas avoir à juger.

« Faites donc mourir vos membres qui sont sur la terre : la fornication, l’impureté, la luxure, les mauvais désirs, et l’avarice, qui est une idolâtrie ; choses pour lesquelles la colère de Dieu vient sur les fils de l’incrédulité. » (Colossiens III, 5-6)

     Ces vices sont incompatibles avec la vie chrétienne reçue au baptême. Les chrétiens, et les autres, doivent donc faire mourir leurs membres terrestres, c’est-à-dire leurs passions désordonnées.

« Or on connaît aisément les œuvres de la chair, qui sont : la fornication, l’impureté, l’impudicité, la luxure. » (Galates V, 19)

     Ici, énumération partielle des œuvres de la chair. Elles permettent au lecteur de voir s’il est conduit par la chair qui conduit à la mort éternelle ou par l’esprit qui est vie.

« Car la volonté de Dieu, c’est votre sanctification, c’est que vous vous absteniez de la fornication (…) car Dieu ne nous a point appelés à l’impureté, mais à la sanctification. Ainsi, celui qui méprise ces préceptes, méprise non pas un homme mais Dieu qui nous a donné même son Esprit-Saint. » (I Thessaloniciens IV, 3,7-8)

     Exhortation à la chasteté, partie importante de la sainteté morale et présentée aux nouveaux convertis comme l’expression de la volonté de Dieu.

« Fuyez la fornication. Tout péché, quel qu’il soit, que fait l’homme est hors de son corps ; mais celui qui commet la fornication pèche contre son propre corps. » (I Corinthiens VI, 18)

     Comme le souligne le contexte de l'épître, elle constitue un véritable outrage envers Jésus-Christ car le corps des chrétiens appartenant à Jésus-Christ, ce serait, en dehors du mariage légitime voulu par Dieu, comme une prostitution.

« Ne savez-vous pas que les injustes ne posséderont pas le royaume de Dieu ? Ne vous abusez point : ni les fornicateurs, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les abominables, ni les voleurs, ni les avares, ni les ivrognes, ni les médisants, ni les rapaces, ne posséderont le royaume de Dieu. » (I Corinthiens VI, 9-10)

     Rappel de saint Paul afin d’éviter, par les propos minimalistes de certains, de s’installer dans une fausse sécurité. Ces péchés sont fréquents chez les païens et faux chrétiens. Ils excluent du royaume de Dieu.

(A suivre… « La fornication dans les Saintes Ecritures – 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

Mis sur un autre blogue le 2 mars 2013

 

jeudi 5 mai 2022

France, souviens-toi - 1



 FRANCE, SOUVIENS-TOI ! - 1

     De cette prophétie bien consolante d’un Saint Pape sur le futur rétablissement de la France, en établissant un parallèle saisissant avec la conversion de Saul de Tarse (Saint Paul, l’apôtre des nations) sur le chemin Damas lors de son expédition pour aller persécuter les chrétiens :

« Que vous dirai-je à tous, chers fils de France, qui gémissez sous le poids de la persécution ? LE PEUPLE QUI A FAIT ALLIANCE AVEC DIEU aux fonts baptismaux de Reims SE CONVERTIRA et retournera à sa première vocation. Sans doute les fautes ne resteront pas impunies, mais la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et tant de larmes NE PERIRA JAMAIS. Un jour viendra – il ne tardera guère – où la France comme autrefois Saul sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une lumière céleste et où elle entendra une voix qui lui répétera : « Ma fille, ma fille, pourquoi me persécutes-tu ? Et sur sa réponse : « Qui êtes-vous Seigneur ? », la voix répliquera : « Je suis Jésus de Nazareth que tu persécutes. Il t’est dur de regimber contre l’aiguillon, parce que dans ton obstination tu te ruines toi-même ? ». Et elle, frémissante et étonnée, dira : « SEIGNEUR, SEIGNEUR QUE VOULEZ-VOUS QUE JE FASSE ». Et Lui : « LEVE-TOI, LAVE-TOI DE TES SOUILLURES QUI T’ONT DEFIGUREE, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, Fille aînée de l’Eglise, va, nation prédestinée, vase d’élection, va porter comme par le passé Mon Nom devant tous les peuples et les Rois de la terre. » (Saint Pie X, aux cardinaux français, le 21/11/1911)

     Telle est la glorieuse mission de la France. Que tous ceux qui aiment cette fille aînée de l’Eglise, qui l’ont à cœur, « se lèvent, se lavent de leurs souillures » comme dit Notre-Seigneur par la voix de son Vicaire, pour travailler, chacun avec ses possibilités et capacités, à lui restituer sa véritable vocation selon les enseignements de l’Eglise et les exemples formateurs de Jésus-Christ et non selon les procédés révolutionnaires et morbides inculqués depuis l’école par cette bête immonde qu’est la Révolution française qui salit ou dénature, de plus en plus, tout ce qu’elle touche. Ce n’est pas bouffie de péchés que la France se relèvera.

     N’utilisez plus dans vos contacts des mots comme droits de l’homme, avec leur connotation révolutionnaire dans l’esprit public, sans leur mettre en face les Droits de Dieu qui leurs sont bien supérieurs quant au respect de Dieu, de l’homme, de la femme et de la jeune fille. Efforcez-vous de remplacer le mot solidarité attaché aux soulagements des misères physiques et de nature philanthropique, très prisé par la Franc-Maçonnerie, par celui bien supérieur de charité, vertu théologale (1), qui est étroitement lié au salut des âmes. En effet, la charité chrétienne, sans oublier les œuvres de miséricorde temporelle qui sont instamment recommandées, va bien au-delà des misères temporelles car elle y ajoute les œuvres de miséricorde spirituelle. En effet, nous devons aimer notre prochain comme nous-même POUR l’amour de Dieu, et notre amour pour Dieu doit nous porter à donner aussi ce que nous considérons être le plus grand bien pour nous-même comme pour tout être humain, Dieu. S’il est déjà aimé par notre prochain, il peut encore progresser dans cet amour ; s’il ignore Dieu, il peut apprendre à le connaître ; s’il est ennemi, il peut encore se convertir. De même avec la tolérance, etc. Les chrétiens doivent se réapproprier leur vocabulaire, ne plus craindre de l’utiliser et le réintroduire dans la société, sinon qui le fera ? Les ‘’évêques’’ et jusqu’au Vatican donnent un très mauvais exemple sous ce rapport.

MAIS LES CHÂTIMENTS MERITES AVANT LA RESTAURATION

En matière de châtiments dus à son impiété, la France en sait quelque chose, surtout depuis 1789 et les révolutions et guerres qui ont succédé : guerres napoléoniennes, révolutions de 1830, de 1848, guerres de 1870, de 1914-1918, de 1939-1945 et les guerres extérieures depuis lors. Tous ces conflits fauchant des millions de ces fils civils et militaires, et s’accompagnant de misères en tout genre pour satisfaire l’appétit sanguinaire du Moloch révolutionnaire.

     N’en déplaise aux ennemis séculaires affichés ou secrets du christianisme et du catholicisme la France est, de droit, un royaume chrétien prédestiné par Dieu, et non une République démocratique antichrist. Après l’intermède révolutionnaire dramatique de la bête immonde qu’aura été cette usurpation du pouvoir légitime de la France, dans la révolte, le sang, la Terreur et les autres ignominies et tragédies, sans compter celles qu’elle se propose encore de faire, la France retournera à sa vocation première « va porter comme par le passé Mon Nom devant tous les peuples et les Rois de la terre » dit Notre-Seigneur par la bouche de son Vicaire. Voilà aussi votre travail, responsables politiques français et catholiques. Ecouter donc ce que vous enjoint le Pape Pie XI :

« Dans les conférences internationales et dans les Parlements, on couvre d’un lourd silence le nom très doux de notre Rédempteur ; plus cette conduite est indigne et plus haut doivent monter nos acclamations, plus doit être propagée la déclaration des droits que confèrent au Christ sa dignité et son autorités royales. » (Encyclique Quas Primas, 11 décembre 1925)

     Ne soyez pas timorés. Votre silence est stupéfiant. Qui vous fascine à ce point pour que vous restiez muets alors que les barrières morales, avec leurs conséquences, sautent les unes après les autres. Où est votre foi ? Quel Dieu servez-vous pour garder la bouche cousue ? Le Christ n’est-il pas à la hauteur, selon vous, pour ne pas vouloir rappeler ses enseignements alors que tous les autres, sans aucune retenue, propagent leurs idéologies puisées dans des philosophies païennes ou des doctrines issues ou reflets de croyances puisées dans la Kabbale ou le Talmud ? Il est grand temps de vous ressaisir car ce n’est pas seulement le jugement de l’histoire humaine que vous devriez craindre, mais craignez surtout celui de Dieu.

     Des prophéties ininterrompues depuis des siècles, non moins que l’enseignement du Pape Boniface VIII, soulignent que la France repose sur DEUX POUVOIRS ou DEUX GLAIVES : l’un SPIRITUEL, dans les mains du Vicaire de Jésus-Christ, le Pape, et l’autre TEMPOREL, dans les mains du Roi de France comme lieutenant de Jésus-Christ. Le règne de la Révolution antichrétienne sous laquelle gémit et se défigure de plus en plus notre nation, aura donc une fin. Peut-être que le temps n’est plus très loin car Saint François Ferrier prophétisa ceci, au tout début du XVe siècle :

« L’Eglise pleurera (…) C’est encore loin pour l’instant, mais cela arrivera indubitablement, à peu près au temps où les hommes se proclameront rois ; mais leurs jours seront de courte durée. Vous verrez un signe, mais vous ne le reconnaîtrez pas. Sachez seulement qu’à cette époque LES FEMMES SE VÊTIRONT COMME LES HOMMES ET SE COMPORTERONT SELON LEUR BON PLAISIR. ET LES HOMMES S’HABILLERONT COMME LES FEMMES. » (Sermon prononcé à Barcelone le 13 septembre 1403)

 

- C’est moi qui mets en gras et les Majuscules.

 

(A suivre…« France, souviens-toi ! – 2 »…si Dieu veut)

 

(1) Appelée ainsi car elle a Dieu pour objet.

 

René Pellegrini

 

Mis sur un autre blogue le 9 mai 2014

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INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...