jeudi 25 août 2022

L'obéissance de Zachée

L’OBEISSANCE DE ZACHEE

 

« Zachée, descends vite, parce qu’aujourd’hui il faut que je loge dans ta maison ! Et il descendit à la hâte, et il le reçut avec joie. » (St Luc XIX, 5)

     Jésus appelle Zachée par son nom, lui montrant que c’est lui qui nomme toutes choses par leur nom et qui connaît toutes choses et qu’il est Dieu. Car Zachée ne l’avait jamais vu, ni Notre-Seigneur Zachée…et il lui demande d’être reçu dans sa maison ; et non seulement d’être reçu, mais qu’il se dépêche : et Zachée obéit aussitôt.

     C’est ici qu’il nous faut apprendre notre leçon : car il y en a plusieurs qui voudraient bien se ranger à servir Dieu, mais ils y vont si lâchement que pour cela seul ils sont répréhensibles…Ils font comme ces invités, avec un monde d’excuses ; ils font comme ces vierges folles : « donnez-nous de votre huile ! » (St Matthieu XXV, 1-13) Hélas, il est trop tard…

     Ainsi, trop tard est-il de penser bien faire, quand le temps de la mort est venu, quand le soleil est couché pour nous sans jamais se relever…

 

(Saint François de Sales)

René Pellegrini

mercredi 24 août 2022

Ave Maria d'or de Sainte Gertrude


AVE MARIA D’OR DE SAINTE GERTRUDE

 

Je Vous salue, ô lis éclatant de blancheur, lis de la touchante et immuable Trinité !


Je Vous salue, Rose brillante du jardin des célestes délices.


O Vous de qui le Roi des cieux a voulu naître et dont Il a voulu recevoir le lait 


virginal, secourez-moi, pauvre pécheur, maintenant et à l’heure de ma mort.

 

NOTA BENE :

 

La très Sainte Vierge a promis à Sainte Gertrude que ceux qui la salueraient ainsi pendant leur vie, recevraient des grâces de choix et seraient consolés par sa visite, au moment de leur mort.

 

(Révélation, livre III, chapitre XIX)

René Pellegrini

mardi 23 août 2022

L'étendue de la Royauté du Christ


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 18

 

L’ETENDUE DE LA ROYAUTE DU CHRIST

 

    Cette royauté de Jésus-Christ, pour le bien des peuples, doit s’étendre sur tous les individus et toutes les collectivités car souligne le Pape Pie XII :

 

« Le bien privé et le bien commun ont la même source»

 

     Etant issus d’une même source, ces deux biens ne sauraient être pleinement  et durablement procurés sans une reconnaissance et une soumission des nations à la royauté de Jésus-Christ. Et de justifier cet empire qu’exerce Notre-Seigneur non moins que cette affirmation de source unique du bien, ainsi que du salut, par un texte de la Sainte Ecriture : celui de la respectueuse mais ferme et courageuse réponse de Saint Pierre au Sanhédrin concernant Jésus.

 

« C’est lui seul qui est la pierre rejetée par vous les constructeurs, et qui est devenue la pierre de l’angle, et il n’y a de salut en aucun autre : car aucun autre nom sous le ciel n’a été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes IV, 12-13)

 

    De nos jours, les bâtisseurs de sociétés antichrétiennes que sont les Juifs, leurs prosélytes francs-maçons et tous ceux qui collaborent avec eux, rejettent toujours cette « pierre d’angle » la pierre principale pour retenir l’édifice. Autant dire que leur construction politique et sociale s’appuyant sur les promesses d’idéologies telles que le socialisme, le marxisme, un capitalisme sans âme, le libéralisme économique faisant des travailleurs des objets jetables comme des kleenex, le mondialisme ou le « vivre ensemble » sont inaptes, non seulement, à assurer le bien privé (de plus en plus attaqué et taxé) mais aussi le bien commun temporel et, bien moins encore, le salut des âmes. Ces différents types de constructions sociales judéo-maçonniques négateurs du « seul nom par lequel nous devions nous être sauvés » ne peuvent que, tour à tour, s’effondrer finalement dans un chaos mondial, connaître le même sort que l’antique Tour de Babel avant de laisser la place, pour un peu de temps, au gouvernement de l’Antéchrist auquel travaillent les Juifs - tout en croyant œuvrer pour la venue du Messie déjà venu il y a deux mille ans - et leurs collaborateurs.

 

     L’Eglise, à temps et à contretemps, ne peut, sans trahir sa mission salvatrice, taire la suprématie de Notre-Seigneur et l’obligation dans laquelle se trouvent tous les hommes de s’y soumettre pour assurer leur salut. Eu égard à cette puissance exercée par le Christ, le Saint Père détenteur du pouvoir spirituel, non moins que le temporel qui lui est subordonné (1) se doit de rappeler et d’exhorter les autorités de ce monde, à ne pas refuser de s’acquitter de leurs devoirs à l’égard de Dieu. Aujourd’hui, comment l’Eglise conciliaire prise par le délire œcuménique pourrait-elle, son trahir sa vocation, accomplir sa mission salvatrice en faisant un rappel équivalant et de même portée que celui de Pie Saint Pierre (ci-dessus) ou de Pie XI, ci-dessous, sans froisser les autorités juives, musulmanes qui rejettent le Fils de Dieu et sa dignité royale, et aussi les chefs de toutes les autres fausses religions ? L’œcuménisme, malheureusement, tel qu’il a été conçu par le Concile Vatican II, découronne Notre-Seigneur, le Rois des rois, comme le montre la déposition par Paul VI de la tiare pontificale représentant les trois pouvoirs de Jésus-Christ (exécutif, judiciaire, législatif) 

 

« Que les chefs des nations ne refusent donc pas de rendre par eux-mêmes et par le peuple à la puissance du Christ leurs hommages publics de respect et d’obéissance, s’ils veulent, en sauvegardant leur autorité, promouvoir et accroître la prospérité de la patrie ! »

 

     La situation actuelle des nations occidentales et chrétiennes et de ceux qui les pilotent vautrés qu’ils sont, par la déchristianisation et la judaïsation de leur esprit dans le naturalisme qui les paganisent de plus en plus, est révélatrice de la surdité des hommes d’Etat et de ceux qui les suivent. Les conséquences d’une telle attitude, poursuivie avec pertinacité, sont lourdes de conséquences et affectent directement les gouvernants eux-mêmes dans « la sauvegarde de leur autorité » non moins que la nation concernant « la prospérité de la patrie »

 

     Ainsi, cet irrespect et ce refus d’obéissance envers Dieu par les chefs des nations et les diverses autorités, se répercutant dans les peuples, conduisent inexorablement vers l’anarchie sociale et le paupérisme national, la reprise en main expiatrice par la dictature ou la tyrannie, avant l’heure fixée par Dieu pour restituer la souveraineté à qui de droit.

 

« A suivre… « Les obligations du pouvoir civil »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini  

 

- C’est moi qui mets en gras dans l’extrait du Pape.

 

(1) La finalité de notre pouvoir temporel républicain vautré dans sa laïcité révolutionnaire et sa revendication d’un athéisme d’Etat est, de plus en plus et visiblement, la damnation du plus grand nombre par une législation fauteuse d’insanités morales et méprisante des lois divines. A l’opposé, la finalité d’un pouvoir temporel digne de ce nom étant la vie vertueuse du plus grand nombre, il ne peut atteindre cette fin qu’en étant subordonné au pouvoir spirituel, lequel se doit de juger la moralité de ses actes. Cette subordination n’exclut pas, afin d’éviter tout cléricalisme, une juste autonomie de ce pouvoir temporel pour le choix des moyens dans la mesure où ils sont conformes à la morale.

lundi 22 août 2022

Antisémitisme et antijudaïsme - 5 : Après l'antisémitisme, l'antijudaïsme hors-la-loi ?


ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 5

 

LA RELIGION JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE

 

APRES L’ANTISEMITISME, L’ANTIJUDAÏSME HORS-LA-LOI ?

 

     Ce qui suit et mis uniquement « entre guillemets » est la réflexion imaginaire d’un Juif sur la question de l’antijudaïsme :   

     « Comment faire pour empêcher que ne fuse de différents côtés ce qui est de nature à faire s’écrouler, ou s’amoindrir considérablement  tout ce qui depuis la bienvenue Révolution de 1789, et les autres - dont nous ne sommes pas étrangers puisque l’esprit de révolte et de sédition est une de nos caractéristiques - a grandement favorisé nos intérêts et permis, jusqu’à nos jours, de façonner une certaine image du Juif en tant que peuple, et de saper les fondements du christianisme et des sociétés chrétiennes en les ayant ébranlés auparavant avec la Renaissance et la Réforme protestante, dont nous ne sommes pas étrangers non plus, et ensuite minés de l’intérieur. » (1)

     Je conçois que du côté juif la question est sérieuse et qu’une réponse s’impose car les implications sont considérables : aussi bien politiquement que religieusement. Puisqu’au-delà de la question des victimes de ceux qui ont beaucoup souffert et qu’il faut promouvoir, sans se lasser, se joue dans les coulisses la question de la domination du monde, et celle du sionisme dans son rôle de tête de pont destiné à créer les conditions favorisant la mise en place progressive d’une gouvernance et d’une religion mondiales sous domination juive : ce à quoi servent aussi l’œcuménisme frelaté de Vatican II, le pandémonium d’Assise 1986 et tous ceux qui ont suivi et qui le perpétuent.

     « Comment faire ? Eh bien, l’antisémitisme que nous avons créé au XIXe siècle nous ayant bien servi en mettant des obstacles de plus en plus contraignants, pour qu’on ne fouille pas trop dans notre passé historique et religieux, il faut en faire autant avec l’antijudaïsme. Nous savons bien, sauf à vouloir tendancieusement forcer le sens des mots, qu’il n’a rien à voir avec l’antisémitisme mais, comme nous les avons bien abrutis avec les média, et nos frères temporaires, par la propagande sur l’antisémitisme que nous avons orchestré, avec l’aide de ces organismes d’information de masse qui sont entre nos mains, continuons sans discontinuer cet abrutissement, en discréditant et stigmatisant l’antijudaïsme, en leur répétant sans cesse que c’est de l’antisémitisme. »

     « Ces organismes que nous avons acquis pour façonner l’opinion publique battront la grosse caisse, et nous attirerons à nos vues suffisamment de couillons et d’opportunistes non-Juifs pour nous aider dans ce travail, comme nous l’avons toujours fait en politique. Avec nos amis temporaires Francs-maçons de toutes les obédiences, nous avons très bien réussi avec le divorce, l’avortement, la contraception, le Pacs, la copulation homosexuelle, etc. Il suffira de marteler continuellement le mot « antijudaïsme » comme équivalent d’antisémitisme et, abrutis comme ils sont, ils avaleront la chose. C’est d’ailleurs la technique que nous avons toujours utilisée pour déchristianiser ce pays et les autres. Vous n’avez pas idée de tout ce qu’on peut faire lorsqu’on contrôle les moyens d’influence que sont les média et les ‘’prostitué(e)s’’ qui les servent. »

     Ce qui, bien entendu, serait la fabrication d’un nouveau gros mensonge, d’une nouvelle imposture, après la foutaise du suffrage universel des éternels cocus contents et consentants, et celle des causes humaines du réchauffement climatique (2), et pourquoi pas des chutes de météorites sur la terre, ou des pets malodorants non contrôlés.

     Soyons clairs ! Comme je l’ai déjà dit, et je le répète pour les faux durs de la feuille, l’antisémitisme est absurde et illégitime, car on ne choisit pas sa race, son ethnie, pas plus que son père et sa mère et, aujourd’hui, le délabrement mental aidant, ses deux faux papas ou mamans de la France démocratique des pédérastes et des lesbiennes, en attendant les familles à partenaires multiples, car il n’y a plus de limite à la perversité lorsque le cerveau est devenu une fosse à purin, à la gloire de l’obscurantisme de la déesse Raison et ses fausses ‘’Lumières’’ qui ne furent, en réalité, que l’annonce de la plongée vertigineuse de la raison déifiée dans des ténèbres moraux, intellectuelles et philosophiques de plus en plus épaisses, et même jusqu’en-dessous du paganisme, comme le montre l’état actuel de nos sociétés qui appellent bien ce qui est mal, et mal ce qui est bien (Isaïe V, 20).

LEGITIMITE DE L’ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE

     Cependant, dans une civilisation de culture chrétienne (3), il est parfaitement légitime de combattre l’idéologie religieuse et politique que véhicule le judaïsme rabbinique, qu’il soit moderniste, progressiste ou talmudiste. Cette idéologie qui lui inocule des conceptions morales, sociales et politiques qui lui sont totalement antagonistes et étrangères, au même titre que celles véhiculées par l’islam et ses stratégies variées de conquête. Ce combat c’est Jésus lui-même qui l’a inauguré quand il lança à la face des représentants du peuple juif qui cherchaient des prétextes pour le faire mourir, ces paroles qui servent d’exemple pour indiquer sur quel fondement, ou sur quelle paternité, ne pourra jamais reposer une véritable doctrine et unité œcuménique :

« Vous faites les œuvres de votre père (…) Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été homicide dès le commencement. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fond, car Il est menteur, et père du mensonge (…) Vous n’écoutez point, parce que vous vous n’êtes pas de Dieu. » (St Jean VIII, 41-47)

     Par ces propos Jésus démasque les œuvres, les influences, Les désirs meurtriers et les propos mensongers de vos pères spirituels qui « au dehors paraissent beaux aux hommes » mais qui « au dedans, sans pleins d’ossements de morts, et de toute sorte de pourriture (…) pleins d’hypocrisie et d’iniquité » (St Matthieu XXIII, 27-28) en situant leur origine « vous avez le diable pour père ». Pourquoi un tel comportement ? Jésus vient de nous le dire « Parce que vous n’êtes pas de Dieu ». Et Notre-Seigneur dit : « homicide ». Il sait de quoi il parle, sachant les mobiles qui animaient, à son égard, ces fifrelins de l’enfer déguisés en disciples de Moïse et serviteurs de Yahvé. En suivant leurs enseignements vous ne pouvez que leur ressembler et perpétuer leurs œuvres iniques directement, ou indirectement, par sectes ou sociétés secrètes sous votre contrôle.

     L’histoire, lorsqu’elle n’est pas occultée par vos historiens et journalistes complaisants, et vos supplétifs avides de carrière, de titre honorifique et de notoriété, témoigne amplement de ces mêmes œuvres, influences, désirs et mensonges, depuis l’origine du christianisme, contre l’Eglise naissante qui, de tous temps, a dû se défendre contre les Juifs. Non par haine ! Non par antisémitisme ! Mais, connaissant vos agissements, pour se protéger et, par là-même, protéger les chrétiens de vos manigances, voire de vos exactions, celles-ci de plus en plus visibles aujourd’hui. Comment pourrait-il en être autrement quand vous êtes nourris par l’enseignement de rabbins s’abreuvant à des pères spirituels ayant « le diable pour Père » ce que confirme vos propres actions néfastes dans le monde, et ce dont témoignent vos propres livres ?

     Ne soyons pas dupes. Ce mot d’antijudaïsme, dans l’intention juive, serait absolument diabolique car elle constituerait une arme fabriquée et utilisée pour accuser les Catholiques, et les empêcher de se défendre contre eux, contre les atteintes répétées qu’ils portent à la civilisation chrétienne et à sa morale. Ces ouvriers d’iniquité, au service de l’enfer, jaloux comme le diable, mettraient ainsi tout en œuvre pour continuer la déchristianisation de la France, sans véritable opposition religieuse et politique, et tenter de briser l’alliance qu’elle a conclu avec Dieu, il y a plus de 15 siècles. Mais, se défendre contre les Juifs, ne signifie pas, n’a jamais signifié et ne signifiera jamais, avoir de la haine contre eux, sauf à avoir l’esprit tordu et, pour certains, il l’est passablement.

DEMISSION DES AUTORITES RELIGIEUSES ET POLITIQUES CATHOLIQUES

     L’Eglise conciliaire et les Etats catholiques lorsqu’il y en avait encore se sont couchés, à leur grande honte, devant les enseignements et les influences véhiculés dans les sociétés chrétiennes par vos rabbins et vos philosophes de toutes tendances, contrairement à Jésus-Christ dont ils se prétendent les successeurs, les disciples et les défenseurs. Cette Eglise moderniste piétine le comportement des apôtres, des martyrs, des Pères de l’Eglise, tels St Augustin, St Jean Chrysostome, St Jérôme, etc., qui protégeaient les chrétiens contre vos influences néfastes. Cette Eglise se comporte, en ces temps de séduction, non plus comme protectrice de l’héritage reçu pour le bien spirituel et temporel du troupeau, mais comme mercenaire et supplétive de ses ennemis.

     Elle ne rend pas service aux chrétiens en entrant dans cette alliance ténébreuse et satanique qui consiste à culpabiliser et à flageller continuellement l’Eglise, tout comme nos hommes politiques, agenouillés devant les Juifs et les francs-maçons, ne cessent de culpabiliser et de flageller la France : Haro ! sur ces deux piliers de la civilisation chrétienne. Les autres, bien entendu, auréolés d’une histoire toute lisse, toute immaculée et suintante de pureté. Tartuffes ! Vous feriez-mieux de vous flageller vous-mêmes, vu les dégâts que vous avez déjà fait à ces deux piliers en hurlant, comme des imbéciles, avec des loups qui ne pensent qu’à déchirer et à détruire.

     Oui, les vrais chrétiens, sont en bonne compagnie en imitant le Christ, les apôtres, les martyrs, les Pères de l’Eglise et ceux qui, tout au long des siècles, les ont suivis dans l’antijudaïsme rabbinique et n’ont pas cessé de les mettre en garde et de les protéger contre les successeurs des Juifs déicides. Nous n’avons pas honte de ces prédécesseurs et nous les revendiquons. Bas les masques ! Si Jésus l’a inauguré et ses successeurs l’ont poursuivi, c’est parce qu’ils connaissaient la nocivité du judaïsme rabbinique pour les âmes, les ayant vus à l’œuvre dans leurs enseignements et leurs pratiques.

     Honte à ceux qui baissent les armes du combat de la foi et de la vérité sans laquelle il n’y a pas de véritable charité – mais sa caricature - et qui coopèrent avec les ennemis de Notre-Seigneur tout en l’assurant hypocritement de leur amour ! Cette Eglise conciliaire gangrenée par les francs-maçons et les fausses conversions juives, et plus propagandiste de leurs principes des droits de l’homme (4) que des droits de Dieu et, ce faisant, collaborant diaboliquement à l’abaissement et à la destruction du christianisme, de la civilisation chrétienne et de la France. Hormis le péché, rien de commun avec ces gens-là !

(A suivre…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) En effet, la Révolution n’est rien d’autre que la mise en œuvre, au plan politique, de l’action de la Synagogue infidèle et apostate pour détruire l’Eglise catholique et la civilisation chrétienne.

(2) Ne pas confondre avec la pollution, ni avec la température qui s’interprète sur des périodes courtes (la météo ne voit pas au-delà d’une semaine), alors que le climat s’étudie et s’interprète objectivement sur des périodes longues, voire très longues.

(3) Je dis chrétienne, et non judéo-chrétienne comme cela se dit fréquemment et à tort, à mon sens. Pourquoi ? Parce que, comme déjà dit, le judaïsme des rabbins du temps de Jésus n’a plus rien à voir avec l’esprit de Moïse. Cet esprit fut corrompu par la tradition rabbinique. « Ainsi, vous avez annulé le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8). Ces traditions ayant été importées de Babylone, la religion de Moïse fut ensuite défigurée par les fables, les turpitudes et les invraisemblances du Talmud. Aujourd’hui, les Juifs kabbalistes, talmudistes, orthodoxes ou modernistes, qu’elle que soit leur prétention, sont des apostats par rapport à la religion et à l’esprit de Moïse, et des antichrists (ne pas confondre avec Antéchrist) par rapport à celle du Messie ou Christ.

(4) Les droits de l’homme seront vraiment appliqués et respectés lorsque les dirigeants veilleront à rappeler (à temps et à contretemps), à faire appliquer et respecter les droits de Dieu, et non en les bafouant et faisant silence sur eux, ou encore en se défilant hypocritement lorsqu’il s’agit de les rappeler. N’est-ce pas M. Bergoglio (dit ‘’pape’’ François devant l’Eternel) ? En dehors de cela, cessez de vous faire des illusions, car derrière la propagation du refus et l’irrespect des droits de Dieu, et l’imposture du suffrage universel, ce sont l’anarchie, la barbarie et la tyrannie qui s’annoncent. La pantalonnade des prières œcuméniques n’y changera rien sinon à apporter à chaque occasion un cinglant désaveu à ces outrages répétés à la Majesté divine.

 

Mis sur un autre blogue le 2 mai 2018

dimanche 21 août 2022

Le libéralisme est un péché - 3


Pie IX (1792-1878) Pape de 1846 à 1878, antilibéral. On lui doit l’Encyclique Quanta Cura et Le Syllabus condamnant : le naturalisme, le libéralisme, le panthéisme, le rationalisme, l’indifférentisme, le socialisme, le communisme, les sociétés secrètes, les sociétés bibliques, les sociétés clérico-libérales, etc.

ANTILIBERALISME – 3 

LE LIBERALISME EST UN PECHE - 3

 

II - Dans l’ordre des faits ou dans sa pratique :

     1 -Le libéralisme est un ensemble de faits criminels, conséquences pratiques de ses idées, avec ses maximes, ses modes, ses arts, sa littérature, ses lois, et, selon les époques, des œuvres inspirées et réglées par des principes tels que :

     - L’expulsion et la spoliation des ordres religieux 

     - La corruption et l’enseignement de l’erreur publiquement autorisés que ce soit dans les divertissements, dans les mœurs, dans la presse et les média. 

     - La guerre systématique au catholicisme, à savoir aux catholiques autrefois stigmatisés sous les noms d’ultramontains, cléricaux, réactionnaires…et, aujourd’hui, au catholicisme traditionnel ciblé et stigmatisé du nom ''d’intégriste'' (1) dans l’intention, dans un premier temps, de le rendre odieux, par amalgame, et de créer un climat réprobateur à son encontre. Ensuite, probablement, car instruits que nous sommes depuis l’origine du christianisme jusqu’à nos jours, par les méthodes des ennemis du Christ et du catholicisme, et connaissant leur ''très haut degré de moralité'' déjà bien attesté présentement, je peux penser qu’ils trouveront bien quelques Judas, ou un quelconque Néron, pour les mettre définitivement au ban de la société, en leur attribuant un ou plusieurs crime(s) – religieux ou politique(s) (2) - ou en légalisant, à dessein, des pratiques sociales ou religieuses violant délibérément les lois divines et en les imposant, au mépris des consciences, sous peine de délits passibles des tribunaux (suivez mon regard). Devant de telles bassesses et iniquités, il faut faire siennes les paroles de Saint Pierre et des apôtres sommés par les autorités juives de désobéir à l’ordre de Notre-Seigneur d’enseigner le peuple, en leur intimant de cesser d’enseigner au nom de Jésus. Dans ces circonstances, ils répondirent :

« Il faut plutôt obéir à Dieu qu’aux hommes ». (Actes V, 29)

     Pour sa part, le catholicisme dit conciliaire, traître au dépôt de la foi laissé par ses Prédécesseurs, déguisé en catholicisme officiel, imbu, pénétré, gangrené d’idéaux judéo-maçonniques (de Kabbale, c’est-à-dire la forme juive de la gnose, et de gnose) saupoudrés d’Evangile, et envahi par le dissolvant délire charismatique catholique ou Pentecôtisme luciférien de lEglise '' toute d’amour '' dite Eglise de Saint Jean. Ce délire illuministe devant, dans l’optique illuministe pentecôtiste et charismatique, se substituer à l’Eglise dite autoritaire de Saint Pierre. Je sais, cela ne fera pas plaisir à certaines personnes et me fera sans doute perdre des lecteurs mais les choses et les êtres ne sont que ce qu’ils sont et rien d’autre, sauf changement de forme ou conversion.

     Que mon lecteur récalcitrant prenne le temps de la réflexion avant de tout jeter à la poubelle et d’examiner les faits intervenus et connus de tous, depuis le Concile Vatican II, en commençant par poser le principe de contradiction, car là où il y a contradiction avec la Sainte Ecriture ou le Magistère de l’Eglise, il y a erreur. Ce principe est le premier principe de la logique majeure dont tous les autres principes dépendent. Il se présente ainsi :« Une même chose ne peut pas être à la fois niée et affirmée du même sujet sous le même rapport » Exemple : Je ne peux pas dire que l’eau est chaude et froide à la fois sous le rapport de la température. Je ne peux le dire que sous un autre rapport, celui du temps ou de la durée.

     Au stade actuel, l’orientation spirituelle de l’Eglise conciliaire ne représente plus un réel danger pour la Secte libérale, mondialiste et dictatoriale mais, trouve en elle, et en elle seule, dans ce qui porte encore le nom de Catholique, la caution et le soutien religieux nécessaires pour la construction de son Nouvel Ordre Mondial, cette tour de Babel des temps modernes et, à terme, si Dieu le permet en guise de châtiment pour l’apostasie des nations, sa religion luciférienne universelle déjà mise en branle par le délire charismatique catholique d’origine protestante.

     2 - Le libéralisme est donc un péché contre tous les commandements de Dieu et de l’Eglise, parce qu’il les transgresse tous. Il est la transgression universelle et radicale de la loi divine car il autorise toutes les infractions. 

     3 - Le libéralisme est l’immoralité radicale : 

     - en détruisant la règle fondamentale de toute moralité : la raison éternelle de Dieu s’imposant à la raison humaine.  

     - en consacrant le principe absurde de la morale indépendante qui n’est autre que la morale sans loi, la morale libre, c’est-à-dire la morale sans morale puisque l’idée de morale implique non seulement l’idée de direction, mais possède essentiellement celle de frein et de limite.  

     - en validant, dans tout son développement historique, l’infraction de tous les commandements de Dieu. 

(A suivre… « Le libéralisme est un péché – 4 »…si Dieu veut)

René Pellegrini

(1) C’est grotesque d’être médiatisé sous le nom volontiers méprisant d’intégriste, en défendant par fidélité aux lois de Dieu et de l’Eglise leurs enseignements moraux et sociaux lorsque, de manière disproportionnée et néfaste par rapport aux dramatiques conséquences et retombées humaines et sociales, on se veut intégriste et propagandiste forcenés et endiablés de ces contenus négationnistes et terriblement destructeurs de tout ordre familial et social que sont, le libéralisme, la laïcité révolutionnaire et les Droits de l’homme - surtout sans Dieu - avec la panoplie des pestilences morales et sociales issues de ces principes ayant germés dans des cerveaux en état de putréfaction avancée et tout à la gloire du père du mensonge qu’est Satan.

(2) Qu’il soit bien clair que de telles accusations seraient mensongères et iniques pour ce qui me concerne, car mon christianisme n’est pas de déambuler dans la rue le poing levé vers le ciel, de comploter pour renverser l’Etat, ni d’appeler le peuple à la révolte ; mais de rester sagement à l’écart de ces tumultes et désordres récurrents dont le souffle de l’enfer n’est que trop présent ; non par crainte, non par pusillanimité mais parce que la pourriture morale des illuminés qui dirigent la France et la masse énorme des péchés du peuple est telle que désormais la solution se situe au niveau surnaturel, certainement pas au niveau humaniste et naturaliste - voulu par la judéo-maçonnerie et leurs agents révolutionnaires - et vraie cause des problèmes, de leur continuation avec leurs malheurs présents et futurs de la société. Ces accusations seraient encore mensongères et iniques parce que Trotski, Lénine, Staline ces grands massacreurs de l’histoire, et un gourou du mondialisme tel que M. Attali le caméléon, le génocidaire prédicateur de pandémie, d’avortement, de suicide et d’euthanasie et ceux qui leur ressemblent, ne sont en aucun cas mes maîtres et guides idéologiques et spirituels. Mon Maître et mon exemple à imiter - autant que la faiblesse humaine le permet - c’est Jésus-Christ et, entre tous ces terroristes psychopathes et Celui-ci, il y a un véritable abîme en actes et en paroles.

 

Mis sur un autre blogue le 5 septembre 2013

 

samedi 20 août 2022

L'âme vertueuse


AVIS ET MAXISMES – 7


L’ÂME VERTUEUSE


L’âme vertueuse qui reste seule et sans maître

est comme le charbon embrasé, mais isolé :

elle se refroidira

au lieu de s’embraser davantage.


- Les Avis Et Maximes sont extraits des œuvres spirituelles de Saint Jean de la Croix.

René Pellegrini

COMMENTAIRE PERSONNEL :

 

Jésus est le bon maître. Sainte Thérèse D’Avila nous dit : « On n’aime que ce que l’on connaît, et qu’on ne peut aimer ardemment ce qu’on connaît mal, toute âme pour être embrasée d’amour doit être aussi très éclairée ». Il nous enseigne par ses paroles et ses actes à perfectionner les vertus chrétiennes et à embraser nos âmes d’amour pour la Sainte Trinité ; en les méditant on ne s’égare pas.

 

 

vendredi 19 août 2022

La Royauté du Christ sur les sociétés civiles


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 17

 

LA ROYAUTE DU CHRIST SUR LES SOCIETES CIVILES

 

     Bien que cette royauté du Christ puisse être refusée individuellement, familialement et socialement, elle concerne, par droit de conquête et de nature de Jésus-Christ, toutes les nations qu’elles soient chrétiennes ou non chrétiennes.

 

     Les sociétés civiles rendent manifeste l’acceptation, sur elles-mêmes, de cette royauté lorsqu’elles :

 

     * Rendent à Dieu l’hommage suprême qui lui est du.

 

« Offrez au Seigneur, familles des nations, offrez au Seigneur la gloire et l’honneur ; offrez au Seigneur la gloire due à son nom (…) » (Psaumes XCV, 7-8 ; 96, 7-8 dans les Bibles protestantes)

 

     La France, en particulier, répond-elle à cette exhortation de rendre gloire et honneur à Dieu lorsqu’elle le découronne en lui refusant, par la laïcité et l’apostasie qui l’accompagne, de le voir régner sur la société française ? Lorsqu’elle piétine allègrement ses lois morales, s’en fait une gloire en proposant des mœurs païennes et révoltantes comme des avancées sociétales ? Lorsqu’elle permet le blasphème en paroles et en actes dans la littérature, les chansons, la peinture, la sculpture, le cinéma, etc. ?

 

     Comment le pourrait-elle lorsque le peuple, majoritairement ‘’chrétien’’, remet le pouvoir politique entre des mains judéo-maçonniques ou révolutionnaires (c’est tout comme), ennemis du Christ et de sa Royauté ? Aujourd’hui, dire :

 

« Nous sommes en République ! » équivaut à dire : « Nous sommes en judéo-maçonnerie ! » puisqu’elle est sa fille.

 

     * Font remonter jusqu’à lui l’origine première :

 

      - de leur autorité assurée qu’elles sont de sauvegarder ainsi les garanties du commandement en haut,

 

      - de leurs droits avec les sentiments de soumission et de dignité chez ceux qui doivent obéir.

 

« Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures : car il n’y a pas d’autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent ont été instituées par Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordre établi par Dieu ; et ceux qui résistent attirent la condamnation sur eux-mêmes ». (Romains XIII, 1,2)

 

     Concernant la Tribu de Juda de la Nouvelle Alliance qu’est la France, dont l’alliance avec Dieu remonte à 496, au Baptistère de Reims, dont la vocation et la mission divine est de défendre l’Eglise romaine, il faut se poser simplement cette question qui est capitale pour la destinée immédiate de notre pays : parmi les prétendant(e)s à la présidence de la France :

 

     - Lequel ou laquelle, par son programme politique est de nature à poser la France sur un fondement permettant de « rendre à Dieu l‘hommage suprême qui lui est du » alors que tous se réclament de la laïcité qui n’est autre que l’exclusion de Dieu de la vie sociale et politique de notre pays, et des Droits de l’homme qui sont la négation des Droits de Dieu comme le démontre à l’évidence les lois de notre pays ?

 

      - Lequel ou laquelle fait ou ferait « remonter jusqu’à Dieu  l’origine première de son autorité » lorsque nous les voyons tous jouer des coudes pour la recevoir de l’escroquerie intellectuelle et morale du ''peuple souverain'' ?

 

     Pour aimer la France, une conception purement naturaliste et nationaliste est très insuffisante. On aime vraiment ce pays lorsqu’on le considère AUSSI sur le plan surnaturel, selon le fondement sur lequel il a été posé, et la mission divine qui lui a été confiée de « protéger la foi catholique et la liberté religieuse ». Il est donc important et urgent, afin de ne pas se fourvoyer dans de faux combats et s’illusionner sur de fausses et illusoires promesses, de peser les prérogatives de la France et ce qu’elle représente aux yeux de Dieu en lisant ce qu’écrivit le Pape Grégoire IX :

 

« Dieu, auquel obéissent les légions célestes, ayant établi ici-bas des royaumes différents, suivant la diversité des langues et des climats, a conféré à un grand nombre de gouvernements des missions spéciales pour l’accomplissement de Ses desseins. Et comme autrefois Il préféra la tribu de Juda à celles des autres fils de Jacob et comme il la gratifia de bénédictions spéciales, ainsi il choisit la France, de préférence à toutes les autres nations de la terre, pour la protection de la foi catholique et pour la défense de la liberté religieuse. Pour ce motif, la France est le Royaume de Dieu même, les ennemis de la France sont les ennemis du Christ ». (Lettre de 1239, au roi Louis IX ou Saint Louis)

 

     Tel a été le choix de Dieu parmi toutes les nations, avant que vous et moi nous ne soyons nés. En chassant, par la laïcité, Jésus-Christ des institutions françaises, on se constitue « ennemi du Christ » et ce faisant « ennemis de la France ». Il n’est donc pas difficile de reconnaître qui se révèle ennemi du Christ et de la France, déjà dans sa patrie.

 

     Eu égard au fondement qui a été posé, l’ennemi de ce peuple sera aussi, qu’elles que soient ses dénégations, toujours reconnaissable à ceci : son attitude face à la mission divine de la France et la place dévolue à Jésus-Christ dans ce pays. La France révolutionnaire de 1789, sous ses différents masques politiques, s’inscrit en totale opposition avec la France issue de Clovis et patiemment façonnée par la monarchie catholique au cours des siècles qui suivirent.  

 

     Sans ces deux conditions « rendre à Dieu l‘hommage suprême qui lui est du » et « faire remonter jusqu’à Dieu l’origine première de son autorité et de ses droits » il est indécent, mensonger et malhonnête,  pour tout(e) candidat(e) à l’élection présidentielle, de promettre un avenir meilleur pour la France.

 

     Il n’est pas douteux qu’en l’absence de dispositions et de lois sérieuses pour restaurer les droits de Notre-Seigneur sur la société, tous les prétendant(e)s qui se veulent nationalistes ou patriotes ne sont, en dépit de certaines apparences, pas moins révolutionnaires que tous ceux qui les accompagnent sur l’échiquier politique. Un(e) français(e) s’inscrivant dans la tradition chrétienne qui a façonné la France est, avant tout, un défenseur de l’Eglise, un chrétien au service du Christ et patriote, fidèle à la foi de ses Pères en obéissance au quatrième commandement de Dieu

 

« Honorez votre père et votre mère (…) » (Exode XX, 12) (1)

 

     Donc, prudence avec la foison de blogues ou de sites dits nationalistes ou patriotes. Afin de ne pas être entraîné sur une voie de garage, considérez bien la solidité des appuis sur lesquels ils se fondent, ou la priorité de leurs motivations. Ne pas oublier que la France, de part la nature de sa fondation et de sa vocation repose sur deux piliers (2) : le Pape légitime, c’est-à-dire non soumis à la collégialité des évêques qui est une doctrine d’inspiration gallicane, et le Roi très chrétien ou catholique. Nous n’avons ni l’un ni l’autre pour l’instant. C’est Dieu Lui-même qui nous les donnera. Ce sera un miracle, une œuvre divine afin que nul homme ne se glorifie, comme autrefois il suscita le jeune berger David pour abattre le redoutable géant philistin Goliath, le juge Gédéon et ses 300 soldats pour mettre en fuite 135000 Madianites, et la jeune bergère Jeanne d’Arc pour chasser les troupes anglaises hors de France.

 

     La France reposant sur deux piliers, c’est la raison pour laquelle la judeo-maçonnerie s’est d’abord attelée à détruire les monarchies catholiques (bouclier de l’Eglise romaine) pour pouvoir ensuite atteindre et infiltrer plus facilement l’Eglise et la détruire si possible (3) ou la faire dériver par influence, en lui apportant les changements nécessaires pour la faire entrer dans un processus œcuménique, afin de la faire œuvrer à une fausse unité ecclésiale, en contradiction avec l’Encyclique Mortalium Animos du Pape Pie XI, du 6 janvier 1928)  

 

(A suivre…« L’étendue de la Royauté du Christ »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

 

(1) Dans ce commandement, honorer veut dire : aimer, obéir, assister.

(2) Le Pape porte le glaive spirituel, le Roi le glaive temporel (Doctrine des deux glaives du Pape Boniface VIII dans sa Bulle Unam Sanctam, 18 novembre 1302)

(3) La destruction de l’Eglise catholique fut suggérée par les Grands Satrapes et Rabbins de Babylone au XVIe siècle, par une lettre à Chamor, rabbin des Juifs d’Arles (France) « (…) faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. »  (mis sur cette page le 24 mars 2020). C’est ce qui s’est fait sans oublier les Francs-Maçons, mais c’est peine perdue car les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle, c’est la promesse formelle de Jésus-Christ (St Matthieu XVI, 18 ). Cependant, ils pourront en faire apostasier beaucoup.

 

jeudi 18 août 2022

Prière de Saint Jean Eudes en l'honneur du Coeur Immacul de Marie


PRIERE DE SAINT JEAN EUDES

EN L’HONNEUR DU CŒUR DE MARIE

 

     Dieu tout puissant, qui avez choisi le Cœur très aimant de la bienheureuse #Vierge Marie pour en faire le sanctuaire de la divinité, le trône de toutes les vertus, le trésor de toute sainteté, accordez-nous, par les mérites et les prières de ce Cœur très saint, de conserver toujours son image dans notre cœur, afin que, à son exemple, accomplissant sans cesse ce qui vous est agréable, nous méritions de devenir à jamais semblable à votre Cœur.

 

Ainsi soit-il. 

Doux Cœur de #Marie, soyez mon salut.

 

Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous.

René Pellegrini

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...