vendredi 13 mai 2022

La Révolution face à la patience chrétienne



 LA REVOLUTION FACE A LA PATIENCE CHRETIENNE

     Après les « Les chrétiens et les manifestations » anciennement « Les mouvements de masse » et « Les appels à la Révolution ou à manifester » et pour ne pas tirer de conclusions erronées, je tiens à préciser que si l’obéissance envers les autorités supérieures est enseignée dans les Saintes Ecritures, cela ne signifie pas, si un individu nous agresse, que nous devons rester les bras ballants. C’est un devoir chrétien de pardonner les offenses personnelles et de prier pour la conversion des pécheurs et des criminels, mais pardonner ne signifie pas faiblesse, ni silence sur la vérité connue et enseignée par l'Eglise.

    Evidemment, obéissance aux autorités supérieures en tout ce qui n’est pas en opposition avec les lois divines ou en contradiction avec le témoignage de la foi chrétienne. Témoignage qui doit être porté, jusqu’à la fin du monde, par ceux qui se réclament du Christ et selon son enseignement très clair, très précis et irréformable par qui que ce soit, à savoir « (…) Je suis la voie, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père, si ce n’est par moi. » (St Jean XIV, 6). Inutile d’enfumer le discours religieux, en écartant ou en taisant Jésus-Christ pour complaire aux négateurs de sa messianité et de sa divinité. Tout enseignement qui va à l’encontre de cette vérité fondamentale synonyme de salut n’est qu’imposture diabolique, disqualifiant totalement les doctrines religieuses messianiques, politiques et sociales du judaïsme rabbinique talmudiste et kabbaliste et celles de l’islam toutes tendances confondues. Pour le bien éternel des âmes, celle des Juifs et des musulmans eux-mêmes, il faut avoir le courage et la franchise de le dire, et combattre doctrinalement ou philosophiquement ces enseignements corrupteurs de la foi chrétienne, plutôt que se contorsionner politiquement et religieusement en tous sens pour ne pas voir, ou refuser de voir la tragique réalité culturelle, politique et sociale de leurs applications pratiques dans la société française et ailleurs.

     Dans le contexte actuel, l’attrape-nigauds œcuménique du ‘’vivre ensemble’’, (enfourché par des politiques et des religieux) associé au blasphémateur égalitarisme religieux de l’auberge espagnole judéo-maçonnique et des rêveurs conciliaires, est irrecevable de quelque autorité politique ou religieuse qu’il émane. Ce qui signifie en clair que le judaïsme actuel kabbaliste et talmudiste et l’enseignement coranique sont incompatibles avec l’enseignement de Notre-Seigneur et la civilisation chrétienne qui en est issue par l’Evangile. Catholiques ne vous laissez plus berner par les bêlements fraternels, hypocrites et orientés de la fausse fraternité prêchée par les apostats du Vatican, ni intimider par les adeptes de Mahomet dont la vie de pilleur de caravanes, de combats et d’enseignements guerriers contredit, et met à mal, la présentation pacifique, tolérante et miséricordieuse de sa religion, la mettant aux antipodes de  la vie de paix enseignée, vécue et pratiquée sans crainte - en paroles et en actes - par le Christ, face à ses meurtriers juifs (et romains) devenus pères spirituels de ceux qui, depuis, se sont infiltrés dans le corps social de l’Eglise pour œuvrer à la destruction du christianisme et de notre religion. Il faut être aveugle ou complice pour ne pas voir.

     Il ne faut pas confondre ne pas se révolter contre les autorités supérieures, selon les motifs indiqués dans les articles précédents, avec l’agression subie par des particuliers n’ayant aucune autorité sur nous. Dans ce cas, le droit naturel de légitime défense pour protéger sa famille, ou soi-même, n’est pas interdit pour repousser l’agresseur par la force. L’expression évangélique « tendre l’autre joue » est une hyperbole comme l’atteste l’attitude de Saint Paul et de Jésus qui, frappés, n’ont pas présenté l’autre joue. Ceci étant, combien il est affligeant et horrible d’entendre des chrétiens après avoir subi ou vécu certains drames dire : « Jamais je ne pourrai pardonner ! » Paroles et réflexes qui, s'ils peuvent se comprendre sous le coup de l’émotion et de la douleur, ne sauraient être maintenus sans être le fruit d’un christianisme de contrebande à l’opposé des exigences de la Charte du Royaume de Dieu dans laquelle Notre-Seigneur et Maître nous enseigne :

« Aimez vos ennemis et faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous persécutent et qui vous calomnient » (St Matthieu V, 44) 

(A suivre…« La Patience chrétienne face aux abominations »… si Dieu veut )


 René Pellegrini 

 

 Mis sur un autre blogue le 6 août 2016

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