LA MONARCHIE
CATHOLIQUE DE DROIT DIVIN - 2
Un clergé, des laïcs catholiques ou non, des
hommes politiques catholiques ou non, présentant une autre alternative,
d’autres chemins pour la France (sur quelque support de communication que ce
soit) ne peuvent être – à moins d’ignorance - qu’un clergé, des laïcs et des
politiciens trompeurs, inféodés consciemment ou inconsciemment à la cause
antichrétienne de la judéo-maçonnerie (1). En définitive, un clergé, des
laïcs et des hommes politiques indignes de confiance, dangereux pour la foi, à
éviter si possible, qu’elle que soit les emballages confectionnés pour dénier
ou discréditer cette prérogative de la France que le temps, les circonstances,
le mépris affiché, plus ou moins ouvertement, sur une certaine période
historique de l’Eglise, par les libéraux et les modernistes reprenant à leur compte, sans nuances, les poncifs des ennemis de l'Eglise, mais prérogative non caduque simplement suspendue jusqu’à l’heure voulue par Dieu.
Ce comportement, lorsqu’il n’est pas le reflet de
ses propres sentiments, ressemble fort à un conditionnement par la haine
séculaire impulsée dans l’Eglise, et hors de celle-ci, par la judéo-maçonnerie
contre la France catholique ou « fille aînée de l’Eglise ». Haine de
l’Eglise catholique trouvant sa source dans l’esprit véhiculé dans la société
française, et au dehors, par la gnose, la Kabbale et le Talmud. A tous ces
gens, un « Vade post me, satana » (Saint Matthieu XVI, 23) bien appuyé, légitimé par le motif donné par
Jésus-Christ, est de circonstance « tu ne goûtes
pas ce qui est de Dieu, mais ce qui est des hommes ».
Les défections, les trahisons, les tentatives de
substitution, la stigmatisation selon le répertoire fabriqué, à dessein, par
les Convents et les Consistoires et repris en chœur, de façon imbécile ou
calculée par les valets, les supplétifs de ces instances dissolvantes, et les
menaces des apostats et fourbes du Vatican n’y changeront rien, quand bien même
Mgr Fellay (2) lors de ses tractations secrètes avec
Rome, consentirait à un poste honorifique dans le pandémonium d’Assise 1986
(réplique moderne du Mont Carmel au temps du prophète Elie).
Nous n’attendons pas quelqu’un de plus grand que
le Christ pour réajuster cette prérogative monarchique posée par des
saints à travers les siècles et confirmée par un Saint Pape,
et mis au rang des vieilleries ou d’une foi déficiente par ces monuments
suintant ‘’ d’amour du prochain et de spiritualité ’’ que sont en vrac,
l’immense majorité des adeptes et des chantres de Vatican II, de la nouvelle
théologie, du corps astral, des NDE (3) et de l’esprit religieux
moderne. Tout cela pue à plein nez le levain de la Kabbale et de ses fils et
filles : la gnose, le marranisme et la franc-maçonnerie.
Il n’y a pas à se leurrer, ni à se voiler la face.
Que mon lecteur ne se laisse pas entraîner dans l’angélisme ou l’irénisme,
qu’il n’oublie surtout pas cette réalité prégnante : depuis le Livre de la
Genèse III, 15 faisant suite à la chute d’Adam et Eve, il y a - Dieu l’a voulu
ainsi - deux postérités, deux camps face à face : la postérité de la femme
et la postérité du serpent (4). Tout au long de l’histoire sainte - dans laquelle Dieu n’est jamais
absent - se construit, en concomitance, l’histoire profane avec
ses vicissitudes et ses embûches. Celle-ci, en suscitant ses
épreuves et ses tragédies, concourant à l’endurance des saints et à la plus
grande gloire de celle-là et de
Dieu, par la foi de ses hérauts. Ces deux postérités différenciées et désignées
par des noms différents, selon les époques, se feront front jusqu’à ce que la
femme (la Sainte Vierge, la Nouvelle Eve) écrase la tête du serpent antique.
C’est ensemble qu’Adam et Eve ont introduit le péché dans le monde.
C’est
conjointement que le Nouvel Adam (Jésus-Christ) et la Nouvelle Eve (Marie
épouse du Saint-Esprit et Mère de l’Eglise) procurent, par les mérites
suréminents du Christ, le salut et triomphent du démon. Là, où Eve succombe
aux suggestions du serpent, Marie nous offre le Messie rédempteur en obéissant
aux paroles de l’envoyé de Dieu « qu’il me soit
fait selon votre parole. » (St Luc I, 38)
Jésus Lui-même, ses apôtres et ses disciples ont
été confrontés à cette postérité du serpent agissante depuis les origines de
l’humanité « Vous avez le diable pour père » (St Jean VIII, 44) dira-t-il aux pharisiens, manifestant ainsi la
véritable filiation spirituelle de ces religieux qui donnaient le change aux
Juifs. Dès l’origine, l’Eglise y a été confrontée, y est confrontée
actuellement, et y sera confrontée jusqu’à la fin du monde. Nous savons qui
sont nos ennemis: notre chair avec ses passions
plus ou moins déréglées, le démon et le monde (c’est-à-dire
la postérité du serpent – les ennemis déclarés ou dissimulés de Dieu, de Notre
Seigneur et de son Eglise - avec ses artifices et ses tentations). Bien
identifier ses ennemis, quelle que soit la bannière sous laquelle ils évoluent
ouvertement ou les masques sous lesquels ils se cachent, est indispensable
et vital pour ne pas combattre contre des ombres. Rappelons-nous que ce ne sont
pas les païens qui furent les plus acharnés ennemis de l’Eglise naissante, mais
des hommes religieux imprégnés de Kabbale, faisant profession de servir Dieu,
et d’être ses représentants ici-bas. Pourtant, Jésus les mettra au rang des
gens « du monde » en les distinguant de ses vrais disciples dans sa prière
sacerdotale :
« Je leur ai donné votre parole, et le
monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi non
plus, je ne suis pas du monde. Je ne vous prie pas de les ôter du monde, mais
de les préserver du mal. Ils ne sont pas du monde, comme
moi non plus, je ne suis pas du monde. Sanctifiez-les dans la vérité, Votre
parole est vérité. Comme vous m’avez envoyé dans le monde, moi aussi je les ai
envoyés dans le monde » (Saint Jean XVII, 14-18)
(A suivre…si Dieu veut)
René Pellegrini
(1) Avec l’aide des média aux ordres, ces deux sociétés
antichrétiennes sont associés dans l'œuvre de déchristianisation de la société
française, de discrédit et de haine contre la monarchie catholique et l’ordre
social chrétien. La Franc-maçonnerie (avec ses diverses obédiences) étant le
paravent laïc et spirituel du judaïsme politique, kabbalistique et
talmudique.
(2) Ancien Supérieur Général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie
X.
(3) NDE: Near-death experience.
(4) C’est-à-dire la postérité du diable : ceux qui refusent de se
laisser guider par les lois de Dieu ou les combattent ouvertement. Refusant la
divinité de Jésus-Christ et le règne de Jésus-Christ sur eux-mêmes, ils
constituent le corps mystique de l’antéchrist
René
Pellegrini
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