ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME
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LA RELIGION JUIVE OU
JUDAÏSME
Après la race et la nationalité examinées
précédemment voyons, aujourd’hui, la religion juive. Cette question a toujours
été très importante pour les chrétiens, mais elle l’est encore plus depuis le
concile Vatican II par la position de l’Eglise conciliaire à l’égard d’Israël,
du sionisme et des Juifs appelés abusivement nos ‘’frères aînés’’ par Jean-Paul
II. Nous pourrions de tout cœur les considérer ainsi s’ils étaient restés fidèles
à l’esprit de la Loi de Moïse et à l’enseignement de la Synagogue fidèle des
Patriarches et des prophètes, et à son aboutissement logique et légitime que
fut le Christ, le Messie promis, mais tel n’est pas le cas.
Le peuple juif fut suscité par dieu pour
apporter le Christ, mais à l’exception d’une partie du peuple, il refusa le
Messie promis par les prophètes. Ce faisant, il rompit l’alliance conclue par
Dieu avec les Patriarches et Moïse. Dans leur jalousie d’avoir été supplanté
par l’Eglise, l’Israël de Dieu (1) les Juifs sont devenus, par haine du
Christ, les ennemis des chrétiens et du christianisme, déployant tous leurs
efforts pour le détruire en le minant de l’intérieur, et en suscitant durant le
cours de la chrétienté de multiples sectes et sociétés secrètes pour la diviser
et l’affaiblir. Cette inimitié séculaire est fondamentalement théologique avec
des répercutions morales, sociales et politiques. Les Catholiques ne pourront
se préserver de cet environnement prégnant de judaïsation des esprits,
provoquée par les influences juives diffusées dans la société civile, politique
et religieuse qu’en menant une vie véritablement chrétienne.
QU’EST-CE QUE LA RELIGION JUIVE OU JUDAÏSME ?
Pour appréhender la religion juive qu’est le
judaïsme des pharisiens et des rabbins, et sur quels enseignements elle s’est
construite, je me référerai au Rabbin David Drach (1791-1865) baptisé dans
l’Eglise catholique qui, dans son livre, montre comment on peut résumer le
support sur lequel se forme l’enseignement religieux de l’enfant juif jusqu’à
l’étudiant :
« Dans les écoles théologiques, les cours se bornent uniquement
au Talmud, on néglige le texte de la Bible. » (De l’harmonie de
l’Eglise et de la Synagogue, Tome 1, p. 35 à 40)
Ainsi, contrairement à ce que peut penser un
chrétien, et aussi surprenant que cela puisse paraître, ce n’est pas la Loi de
Moïse (La Torah) contenu dans l’Ancien Testament qui constitue le socle de
l’enseignement dans « les écoles théologiques », mais
le Talmud lui est préféré. Ce n’est pas surprenant car Notre-Seigneur avait
déjà dénoncé les « doctrines et ordonnances humaines »
qu’enseignaient les pharisiens. Du Adonaï et du Moïse plein la bouche chez les
Juifs mais, comme disait Jésus :
« Hypocrites, Isaïe a bien prophétisé de vous, quand il
dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son
cœur est loin de moi ; ils me rendent un culte inutile,
enseignant des doctrines et des ordonnances humaines ». (St
Matthieu XV, 7-8)
Les Juifs professent donc une fausse religion
fabriquée par les rabbins kabbalistes et talmudistes, fruit du contact des
prêtres juifs avec les mages et savants chaldéens et leur doctrine panthéiste,
lors de leur déportation à Babylone. Ils pratiquent donc « un
culte inutile ». Cela n’étonne guère car la Bible nous montre
Israël sombrant souvent dans l’idolâtrie des peuples païens et fustigés sans
cesse par les prophètes conservateurs de la vraie tradition religieuse
d’Israël, et persécutés pour cela comme Jésus le dira aux scribes et pharisiens
hypocrites dans Saint Matthieu XXIII, 34-35 :
« C’est pourquoi, voici que je vous envoie des prophètes, et des
sages, et des scribes ; et vous tuerez et crucifierez les
uns, et vous flagellerez les autres dans vos synagogues, et vous les persécuterez
de ville en ville, afin que retombe sur vous tout le sang innocent qui a été
répandu sur la terre, depuis le sang d’Abel le juste, jusqu’au sang de Zacharie,
fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l’autel. »
Lors de leur déportation à Babylone, Ils furent
confrontés à cette doctrine de « l’homme divinisé » des panthéistes.
Les pharisiens qui apparaissent à cette époque firent de cette doctrine, leur
doctrine secrète qui, dans leur délire, devint celle « du Juif qui se fait
Dieu » et, dans leur orgueil, matérialisèrent toutes les promesses
prophétiques que Dieu réservait pour le ciel en les attribuant aux seuls Juifs
descendants charnels d’Abraham. Cette fausse théologie, véhiculant une fausse
tradition, explique leur venin matérialiste et sensualiste qu’ils inoculent
dans les nations, et leur soif de dominer en tout, jusqu’à la domination
mondiale déclinée aujourd’hui en mondialisme. Quant aux autres hommes - les
goyïm ou non-Juifs - ils les rejetèrent dans l’animalité selon le regard du
Talmud sur les non-Juifs.
Cette religion issue de la fausse Kabbale (qui
signifie fausse réception ou tradition) ou gnose juive fut condamnée et abolie
en droit, lors de l’institution par Jésus de la nouvelle alliance exprimée dans
le Nouveau Testament. Les prescriptions rituelles issues de l’Ancien Testament
furent annulées par l’Eglise naissante dès le début du christianisme, lors du
premier concile de l’histoire chrétienne qui se tint à Jérusalem, au premier
siècle de notre ère (2). Le Moïse que professent les rabbins n’a plus
rien à voir avec l’esprit de Moïse, si ce n’est un Moïse lu et interprété selon
la doctrine secrète de la Kabbale d’inspiration babylonienne. Le Judaïsme des
pharisiens et de leurs successeurs les rabbins kabbalistes et talmudistes n’a
plus rien à voir, non plus, avec la religion des Patriarches et des prophètes,
car ils ont brisé la première alliance que Dieu avait offerte aux Juifs. Ils
l’ont brisée et ont apostasié en refusant le Christ, le Messie vers lequel
dirigeaient toutes les prophéties et les sacrifices de l’Ancien Testament.
Pour comprendre comment les Juifs, pour leur malheur,
ont été amenés à préférer l’enseignement du Talmud, et à apostasier, il suffira
de quelques citations de ce livre, telles que :
« Les paroles des écrivains du Talmud sont plus
douces que celles de la Loi. » (Talmud de Jérusalem, traité
Berachoth, Perek 1.) en sorte que
« Les péchés contre le Talmud sont plus graves que ceux contre
la Bible. » (Traité Sanhédrin, folio 88b)
« Mon fils, fait plus attention aux paroles des rabbins qu’aux
paroles de la Loi ». (Traité Erûbin, folio 21 b ; Traité
Gittin, folio 59 b)
« Le Talmud a de tout temps des
détracteurs violents et des apologistes passionnés. Pendant deux mille ans, il
a été, et il est encore un objet de vénération pour les Israélites dont
il est le code religieux ». (Rabbin Trenel R., in l’Univers Israélite,
juin 1867, p. 452). Ce rabbin aurait pu ajouter : le code de l’immoralité.
Il ressort de ces textes que le Talmud est
supérieur à la Loi de Moïse. Il est donc moins grave de pécher contre un
enseignement de la Loi que contre celui du Talmud. Cette mentalité orgueilleuse
et hypocrite des pharisiens, dont les rabbins de la Synagogue sont les
continuateurs, ne pourra que rejaillir sur les ouailles du judaïsme et leur
inculquer une morale qui se révélera détestable.
Pour bien comprendre ce qu’implique la religion
juive, écoutons un Juif, M. Arthur Koestler nous dire ce qu’elle est :
« La religion juive n’est
pas seulement un système de foi et de culte, elle implique
l’appartenance à une race et à une nation en puissance (…)
Pour être bon catholique ou bon protestant, il suffit d’accepter pour vrais
certains dogmes et certaines valeurs morales qui transcendent les frontières et
les nations ; pour être bon Juif (au sens religieux), il faut professer
que l’on appartient à la Race Elue. »
(Analyse d’un miracle, Calmann-Lévy, éditeur, 1949)
Passons sur le « pour
être bon catholique il suffit d’accepter… » car ne connaissant pas, ou feignant de
ne pas connaître, l’enseignement du catéchisme catholique M. Koestler se montre
très réducteur sur cette question pour constater, par contre, que les « valeurs
morales » (3) n’entrent pas en ligne de compte pour « être un
bon juif » et dans la foulée l’aveu, sans peut-être s’en rendre
compte, de qui est véritablement raciste. D’ailleurs des Juifs oeuvrent pour
entretenir le racisme au même titre que l‘antisémitisme car tous deux servent
leurs intérêts, en détournant l’attention qui pourrait se fixer sur les
manigances et les conséquences mondiales de leur propre misère morale.
Disons-le tout net. Les Catholiques ne sont pas
racistes lorsqu’ils sont obéissants à l’enseignement reçu. Le racisme a été
dénoncé et condamné par l’Eglise catholique dans l’Encyclique Mit Brennender
Sorge sur le nazisme, du Pape Pie XI, en 1937, et les Catholiques fidèles
s’y soumettent sans aucun problème. De plus l’Evangile, et de très loin, n’est
pas le Talmud (4) dans son regard porté sur les hommes.
(A suivre…« Antijudaïsme
rabbinique, pourquoi ? »…si Dieu veut)
René Pellegrini
- C’est moi qui mets en gras dans les textes.
(1) Epître de Saint Paul aux Galates VI, 16
(2) Actes des Apôtres XV, 1 à 29)
(3) Le Talmud ne fait que confirmer ces propos, comme on le verra
par ailleurs.
(4) Le Talmud fut anathémisé par les Papes Clément VIII, Jules
III, Paul IV, Saint Pie V, etc.
Mis sur un autre blogue le 31 janvier 2018