ANTISEMITISME
ET ANTIJUDAÏSME – 2
ANTISEMITISME
ET JUIF, QU’EST-CE A DIRE ?
Avant d’aller plus avant sur la
question de l’antisémitisme commençant déjà par dire que ce mot est relativement
récent. La première mention du mot antisémite, en 1860, est attribuée à un
intellectuel juif autrichien nommé Moritz Steinschneider (1816-1907). Il
l’utilisa dans l’expression « préjugés antisémites (antisemitische
Vorurteile) » Quant au mot antisémitisme « Antisemitismus » il fut
inventé par un journaliste allemand, Wilhelm Marr (1819-1904) dans le sens «
d'hostilité aux Juifs ». En France, c’est le dictionnaire Robert qui traduira,
en 1886 Antisemitismus par « antisémitisme ». (1)
Ce mot formé sur le vocable «
sémite » nécessite un retour dans l’histoire. De nos jours, ce mot est ambigu
car martelé de façon à diriger la pensée immédiatement et exclusivement vers
les Juifs. Or, cela est tendancieux car un rappel historique montre qu’il n’en
est pas ainsi.
Nous savons par le Livre de la
Genèse que Sem (père des Sémites) était un des trois fils de Noé (avec Cham et
Japhet) et qu’Hébert, le père éponyme des Hébreux, était d’origine sémite tout
comme sa postérité Abraham, ses fils Isaac et Jacob et leurs descendants. Dans
le langage moderne le mot « sémite » se cristallise davantage, à tort, sur la
descendance d’Isaac (son deuxième fils, et fils de la promesse que Dieu
fit au Patriarche Abraham). Cependant, Abraham eut un autre fils Ismaël
(son premier-né qu’il eût avec sa servante Agar) et sa descendance que sont les
Arabes, eux aussi descendants d’Abraham, et donc des Sémites comme les Juifs.
Telle est, sur le plan historique, la réalité et la portée du mot Sémite.
Passons maintenant au mot « Juif
» pour voir ce qu’il recoupe sous cet unique vocable. Ce mot a trois sens : un
sens racial, un sens lié à la nationalité et un sens religieux.
Pour ne pas faire trop long, cet
article n’abordera que la race et la nationalité, réservant la religion pour un
prochain article.
LA RACE JUIVE :
Le sens racial, lorsqu’il n’est
pas divinisé, est moralement indifférent. Ce fut la race de Notre-Seigneur et
de sa Sainte Mère, des colonnes de l’Eglise que furent Saint Pierre et Saint
Paul, de certains Apôtres et, beaucoup moins glorieux, des grands prêtres Anne
et Caïphe, de Karl Marx, de Trotsky, de Rothschild, etc. L’aspect racial du mot
« antisémitisme » des nazis a été fermement stigmatisé par le Pape Pie XI :
« Quiconque prend la race, ou le peuple,
ou l’Etat, ou la forme de l’Etat, ou les dépositaires du
pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine –
toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et
honorable - quiconque prend ces notions pour les retirer de cette
échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte
idolâtrique celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créés et ordonnées
par Dieu : est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la vie
répondant à cette foi. » (Encyclique « Mit Brennender Sorge »
sur le nazisme, du 14 mars 1937). La date de cette Encyclique mettait déjà en
garde.
LA NATIONALITE JUIVE :
Ce sens est généralement
complétement occulté. Pourquoi ? Parce que de nos jours, il est difficile pour
les gens de concevoir une nation sans territoire, sans frontières et sans une
organisation politique visible (ce n’est plus le cas depuis 70 ans). Est-ce à
dire que les Juifs ne sont une nation que depuis 1948 ? Ce serait une grave
erreur de le penser, et se disposer à ne rien comprendre à la marche des
événements politiques, sociaux et mondiaux, aux comportements et à la duplicité
juive au sein des nations. En effet, au sein même de ces peuples qui les ont
accueillis, ils ont toujours été une nation obéissant aux ordres d’un gouvernement
occulte connu sous le nom de Kahal. C’est compréhensible car le judaïsme
rabbinique ou modernisé - pratiqué par des Juifs orthodoxes et talmudistes,
ou par des Juifs modernistes ou progressistes – a toujours été le dernier
refuge qui a permis à la nationalité juive de subsister, lui évitant de
s’assimiler aux nations hôtes. En effet, par le génie financier dont ils font
preuve et la puissance de l’or dont ils sont les maîtres, les Juifs ont
toujours été un Etat dans l’Etat, au sein des royaumes ou des Républiques. Nous
avons deux preuves de l’existence d’un gouvernement occulte : la Bible et un
document juif.
LA BIBLE :
Elle affirme : « Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple
périt » (Proverbes XI, 14 - Vulgate). Ce
texte inspiré affirme donc qu’un peuple ne peut que disparaître s’il n’a
personne pour le gouverner. Or, deux mille ans après sa dispersion, le
peuple juif est toujours présent, alors que bien des peuples de l’antiquité
ont disparu. Il ne s’est assimilé à aucun peuple non-juif.
DOCUMENT JUIF
Cette seconde preuve consiste en
un échange de lettres entre les Juifs d’Arles et ceux de Constantinople, daté
de 1489. Ainsi, depuis l’an 70 les Juifs n’ont jamais cessé d’avoir un
gouvernement auquel ils se sont toujours référés pour connaître la conduite à
tenir au sein des nations.
On suit la trace de ce Sanhédrin
suprême appelé aussi Princes juifs de la Captivité - ou gouvernement
juif - à Jabné jusqu’à la révolte et la défaite de Shimon Bar-Kokhba, en
135 après Jésus-Christ et, après sa dispersion, sa reconstitution à Tibériade.
Depuis 429, il s’est transporté à Babylone jusqu’en 1005 sous le nom de Princes
de l’Exil. A cette date, les Califes d’Orient s’effrayèrent de la puissance
de ces Princes juifs et les persécutèrent, les obligeant à fuir vers l’Arabie
et l’Occident. Ceci montre que jusqu’à cette date de 1005 ils avaient bien un
centre de commandement auquel les Juifs étaient soumis. Le document juif,
ci-dessous, atteste qu’il n’a jamais cessé de fonctionner, puisque les Juifs
d’Arles savaient où s’adresser 484 ans plus tard (à Constantinople en 1489)
même si sa trace historique était perdue de 1005 à 1489.
LETTRE DES JUIFS D’ARLES A CEUX DE CONSTANTINOPLE
« Honorables juifs, salut et grâce. Vous devez savoir que le roi de France,
qui est le nouveau maître du pays de Provence, nous a obligés par cri public de
nous faire chrétiens ou de quitter son territoire. Et ceux d’Arles, d’Aix et de
Marseille veulent prendre nos biens, menacent nos vies, ruines nos synagogues et
nous causent beaucoup d’ennuis ; ce qui nous rend incertains de ce que nous
devons faire pour la loi de Moïse. Voilà pourquoi nous vous prions de vouloir
sagement nous mander ce que nous devons faire (Chamor, Rabbin des Juifs
d’Arles, le 13 de Sabath 1489.) » (2)
REPONSE DES JUIFS DE CONSTANTINOPLE A CEUX D’ARLES ET DE PROVENCE
Placés devant l’alternative de
se convertir au catholicisme ou de fuir à l’étranger, le gouvernement occulte
juif appelle les Juifs à la simulation, en réponse à la Lettre du 13 de
Sabath, 1489 au rabbin Chamor, d’Arles (France) nous lisant :
« Bien-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre lettre dans laquelle
vous nous faites connaître les anxiétés et les infortunes que vous endurez.
Nous en avons été pénétrés d’une aussi grande peine que vous-mêmes. L’avis
des grands Satrapes et Rabbins est le suivant :
« A ce que vous dîtes que le roi de France vous oblige à vous faire chrétiens
: faites-le, puisque vous ne pouvez faire autrement ; mais que la loi de
Moïse se conserve dans votre cœur. »
« A ce que vous dites qu’on commande de vous dépouiller de vos biens :
Faites vos enfants marchands, afin que, peu à peu, ils dépouillent les
chrétiens des leurs. »
« A ce que vous dîtes qu’on attente à vos vies : faites vos enfants médecins
et apothicaires afin qu’ils ôtent aux chrétiens leurs vies. »
« A ce que vous dîtes qu’ils détruisent vos synagogues : faites vos enfants
chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. »
« A ce que vous dîtes qu’on vous fait d’autres vexations : faites-en sorte
que vos enfants soient avocats et notaires, et que toujours
ils se mêlent des affaires des Etats, afin que, en mettant les
chrétiens sous votre joug, vous dominiez le monde et vous puissiez vous
venger d’eux.
« Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous donnons, parce que vous verrez par expérience que d’abaissés
que vous êtes aujourd’hui, vous arriverez au faîte de la puissance. » Cette lettre est signée (V.S.S.V.F.F., prince des Juifs de
Constantinople, le 21 de Casleu, 21 novembre 1489) (3)
Par ces propos, nous sommes loin de l’esprit
de Moïse et de la religion mosaïque à l’égard des étrangers ou de ceux qui sont
dans l’obligation de vivre dans un pays qui n’est pas le leur (le ger, en
hébreu). Mais, sous sommes bien en phase avec l’esprit de l’enseignement
rabbinique et diabolique du Talmud. Ces conseils du prince des
Juifs de Constantinople vérifient amplement les paroles du Christ « Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre
père » (St Jean VIII, 44)
(A suivre…si Dieu veut)
René Pellegrini
(1) Source Wikipédia
(2 et 3) Pour un peu plus ici :
https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/05/le-gouvernement-occulte-disrael-1-la.html
https://la-royaute-du-christ.blogspot.com/2022/06/le-gouvernement-occulte-disrael-2-les.html
Mis sur un autre blogue le 15 novembre 2017