jeudi 7 juillet 2022

Qu'allez-vous célébrer le 14 juillet ?


QU’ALLEZ-VOUS CELEBRER LE 14 JUILLET ?


      A lire sans esprit de haine ou de revanche, mais sans oublier sur quoi vous célébrez année après année. Que diraient les ‘’grandes consciences’’ si, en France, on dansait et festoyait sur un événement tel que la Shoah ? On assisterait à une levée de boucliers. Des cris d’indignation et une réprobation générale en boucle sur tous les media. Par contre, le 14 juillet, c’est la fête ! Sans doute que les cadavres catholiques français valent moins chers que d’autres. IMMONDES TARTUFES !

     L’année 1789 induira dans le monde, en un peu plus de deux siècles, par appropriation idéologique ou par exportation guerrière, des centaines de millions de morts et des horreurs indignes d’êtres humains, à l’exemple et méthodes des fondateurs et planificateurs. Telle est la Révolution, telle elle sera toujours, partout où elle s’installera qu’elle que soit le masque qu’elle utilisera pour cela. Il ne peut en être autrement car son inspirateur le diable, éternel révolté, assassin des âmes et des corps, ennemi juré de Dieu Notre-Seigneur et de son Eglise, s’est attelé à sa destruction avec ses agents d’exécution, les fils spirituels des Rabbins du premier siècle qui firent exécuter le vrai dispensateur de la liberté, de la fraternité et de la paix, sans oublier leurs prosélytes Francs-maçons auxquels s’agrègent tous les non judéo-maçons profanes et religieux, les amis du monde et des plaisirs, ceux aspirant aux honneurs, aux dignités, à quelque pouvoir ou reconnaissance dans la société par leur collaboration.


     Cette date marque l’installation et la célébration d’une République révolutionnaire usurpatrice, illégitime et assoiffée de sang par les Illuminés Francs-Maçons, instruments de la propagation de concepts antichrétiens issus du judaïsme des pharisiens talmudistes et kabbalistes, ennemis séculaires de la France chrétienne et monarchique. Un pouvoir de fait et non de droit. Elle favorisera la propagation d’idéaux révolutionnaires exportés en Europe par les armées napoléoniennes, des désordres sanglants qui aboutiront à la formation et à l’éclosion des deux monstres révolutionnaires que sont le communisme et le national-socialisme (nazisme). Ces deux régimes concentrationnaires venus à l’existence par des théoriciens juifs et leur financement par des banquiers juifs, et l’aide des sociétés secrètes d’inspiration et de formation kabbaliste dans le but d’enserrer la chrétienté entre ces deux mâchoires dialectiques pour l’affaiblir, la réduire et la détruire en la plongeant dans des guerres fratricides et meurtrières.


     Au XIXe siècle, en matière criminelle, pour faciliter la recherche du coupable, le jurisconsulte conseilla aux députés de l’Assemblée Nationale « cherchez la femme et vous trouverez le coupable » (1er septembre 1876). En matière révolutionnaire ce sera plutôt « cherchez le(s) Juif(s) ». Ils ne doivent pas s’offusquer de ces propos car ils savent pertinemment sous quelles influences se meuvent les révolutionnaires, et à quelle communauté appartiennent les personnages agissant derrière les petits ou grands événements de contestation, de bouleversements, de déstabilisations et de révolte dans les nations. On connaît parfaitement l’ethnie des grands ‘’bienfaiteurs’’ de l’humanité que furent Marx, Lénine, Trotsky et bien d’autres. Quant à Hitler il fut membre de la société secrète Thulé-Gesellschaft. Cette société lui a fourni les premiers membres du National-Socialisme (Nazisme) quant à son financement nous savons qui détient la puissance de l’argent. Le nazisme, au même titre que le bolchévisme, est une idéologie et un mouvement révolutionnaire d’inspiration juif kabbaliste qui regroupera des sociétés secrètes telles que l’aryo-sophisme, la théosophie, la franc-maçonnerie et l’occultisme.


     Le 14 juillet 1789 c’est le commencement d’un avilissement moral et sa perpétuation toujours plus évidente et outrageante. C’est une violence sauvage et barbare faite au gouvernement légitime de la France, la monarchie catholique, et à la population française fidèle à son roi et à sa religion. La monarchie française étant le seul et vrai rempart naturel contre la dissolution de la France dans le cosmopolitisme mondialiste de ses ennemis séculaires. La France, au regard de Dieu est, et demeure monarchique par son alliance avec Dieu, en 496, au Baptistère de Reims, lors du baptême de Clovis avec ses 3000 guerriers, mais son vrai Roi c‘est le Christ. Le Roi de France n’étant, ici-bas, que son Lieutenant (tenant-lieu) dans l’ordre temporel, comme le Pape est son Vicaire dans l’ordre spirituel.

 

     Aujourd’hui, le témoin diabolique pour la destruction économique, financière et sociale destiné à créer les conditions de dissolution de la France et des nations, et la tentative d’amalgamer la religion catholique dans le magma politico-religieux du Nouvel Ordre Mondial, est passé entre les mains des financiers judéo-maçonniques mondialistes apatrides et des ecclésiastiques félons aux contorsions de langage convenues, pour le plus grand bonheur des peuples bien entendu : tels sont les applications pratiques et le mûrissement des fruits vénéneux enclenchés par 1789 : le processus révolutionnaire et sa laïcité que vous chérissez tant, et que vous perpétuez par la trahison des valeurs morales, sociales et politiques chrétiennes.

 

     Cette date inaugurera, de 1789 à 1794, avec la guillotine des défenseurs affublés des ‘’Lumières de la raison’’ et, ça va de soi, grands humanistes des Droits de l’homme, le massacre de dizaines et de dizaines de milliers de français (enfants, femmes, hommes, vieillards), des femmes et des hommes brûlés vifs, des filles et des femmes violées, des noyades, des femmes et des enfants jetés dans des fours chauffés, etc. Rien à envier aux terroristes islamiques – sinon pire à certains égards - dont les crimes et les barbaries vous horrifient, mais devraient vous permettre de faire en retour en arrière. Merveilleuse et fameuse ‘’raison’’ qui raisonne depuis comme un marteau dans la m….

 

14 JUILLET 1789 ET SES SUITES :


- Des femmes et des enfants brûlés dans le four à pain de la bourgade des Epesses près de Pouzauges (Vendée)

 

- Le massacre des Lucs de Boulogne (Vendée) en 1794, perpétrée par la Colonne infernale commandée par le général Cordellier et ordonnée par le général-en-chef Turreau. Massacre de 564 personnes dont 110 enfants de moins de 7 ans

 

- Les massacres dans la petite ville de La Gaubretière accomplis par les troupes du général Huchet sur ses ordres, avec le planning suivant :

 

* Les hommes étaient éventrés à l’arme blanche de manière à faire souffrir le plus possible et à ne provoquer la mort qu’à petit feu. De nos jours, le champ du massacre s’appelle encore, le « champ des royards » (royer, en patois vendéen signifie hurler comme un cochon qu’on égorge)

 

* Aux femmes on leur mettait des pétards que l’on faisait exploser dans le sexe, comme cela « les femelles ne pourront plus engendrer » (sic) si elles survivaient.

 

* Les enfants étaient suspendus par la gorge aux crochets des plafonds destinés à suspendre la nourriture.

 

* Les soldats républicains portaient souvent en trophées des colliers faits d’oreilles de leurs victimes.

 

* On brûlait dans des fours à pain les corps des femmes pour une obtenir une graisse « qui était de très bonne qualité », comme l’étaient les peaux des vendéens que l’on tannait à Angers, etc., etc., etc. Vous avez dit nazi ? (1)

 

     Que dire après cela, puisque nous ne devons pas maudire notre prochain, sinon reprendre à son propre compte les paroles que Jésus-Christ adressa aux scribes et aux pharisiens dans un autre contexte que celui de la barbarie « Serpents, race de vipères ! »

 

     Si on ajoute qu’au pied de l’échafaud des femmes attendaient que les têtes tombent en tricotant, on mesure les instincts bestiaux et l’absence de sentiments humains que peuvent libérer des idéologies haineuses envers une classe sociale, une ethnie, une religion, etc., dès que les conditions le permettent. Dénoncer et combattre des pensées contraires n’oblige pas à la cruauté et à l’inhumanité. La liste des horreurs perpétrées par ces immondes crapules pourrait encore se poursuivre jusqu’à la nausée, il suffit de se documenter, non dans l’histoire officielle des livres scolaires avec la pommade jetée sur les ‘’Grands Ancêtres’’ qu’il faut rendre glorieux. Mais, par pour ceux qui fouillent dans les archives de cette époque, et qui ne craignent pas pour leur chaire d’histoire ou leur carrière d’historien. Il en va de même pour le respect de la réalité des données pour d’autres disciplines : science, histoire, littérature, économie, etc.

 

     Si, après les ‘’exploits’’ des sauvages de 1789 et ses suites, vous frétillez à l’idée de célébrer et danser ce jour-là, c’est que vous ne valez pas mieux qu’eux, car il faut être dépourvu de tout sentiment et respect humains pour oser célébrer et danser un 14 juillet qui n’est, en réalité, que la célébration de crimes odieux contre l’humanité. Ce jour fait festoyer et danser sur des planifications de massacres et de barbaries, sur des tas de cadavres d’enfants, de femmes, d’hommes et de vieillards dont le seul crime fut d’aimer leur roi et leur religion et de sauvegarder l’héritage qu’ils en avaient reçu. On s’évertue, à satiété, à remémorer et à faire pleurer dans les chaumières pour d’autres crimes, mais pas sur celui de ces atrocités, ce génocide qui n’a pas droit de citer, commis par les barbares révolutionnaires : CIRCULEZ !... Y A RIEN A VOIR ET A REMEMORER, SINON A FESTOYER ! FAUSSAIRES DE L’HISTOIRE ET IGNOBLES INDIVIDUS !

 

     Un jour, l’histoire (pas celle de la camarilla des auteurs stipendiés et des conservateurs de chaire) fera la lumière sur ce que fut réellement 1789 et ses suites, ses horreurs dignes de barbares, le massacre des Vendéens, déportations de femmes et d’enfants dont ne peuvent se glorifier un certain 14 juillet que des ignorants (de bonne foi, on peut les excuser), des sans cœur ou des sanguinaires aussi cruels que les sinistres Turreau avec ses colonnes infernales, et Carrier avec ses massacres et noyades organisés. Des travaux irréfutables (2) en ce sens sont déjà produits dans un grand silence médiatique, et pour cause. Il ne faut pas ternir la mémoire des ''Grands Ancêtres'' (3), et que les français ne voient et ne comprennent ce que fut cette monstruosité assoiffée du sang de ses propres fils et filles, et idolâtrée année après année : Ce moloch (4) des temps modernes qui continuent de s’abreuver du sang qu’il fait répandre, ici et là, par la propagation de son idéologie meurtrière et synonyme de décadence morale.

 

     Pour vous égarer et détourner votre attention, on vous a fabriqué une autre bête immonde, un parti politique repoussoir (qui n’est lui-même qu’un mystificateur car pathétique potiche comme tous les autres) mais vers qui on tourne régulièrement les regards lors des joutes électorales françaises ou lors de la confection de la mixture politicienne qu’est le front républicain. Cependant, la vraie bête immonde n’est autre que la Révolution dite française dont les œuvres, les fruits et les blasphèmes du passé et du présent témoignent de sa grande laideur morale et de son total mépris de Dieu. Si vous aimez la France chrétienne PRIEZ pour elle Notre-Seigneur pour qu’Il l’aide à retrouver son ancienne ferveur et repentez-vous car sans repentance, il n’y a pas de pardon de Dieu. Ne comptez en aucune manière sur les partis politiques actuels pour sauver la France, car tous ont pris - avec la laïcité révolutionnaire qu’il chérisse car elle est leur sésame pour faire une carrière politique - la marque d’infamie et d’irrespect qui consiste à considérer Dieu persona non grata dans les assemblées parlementaires et les édifices publics.

 

- Je m’excuse pour la longueur du texte. J’ai préféré le mettre en une seule fois pour en conserver la continuité

 

René Pellegrini

 

(1) Revue du Centre d’Etudes et de Prospective sur la Science (Le Cep, 2011, N° 56 p.49 et 61)


(2) Du génocide au mémoricide de Reynald Secher aux Editions du Cerf, 2011


(3) Certains députés et chefs révolutionnaires (chefs sans-culottes…et sans cervelle) portaient des culottes faites de peaux d’hommes, tannées par un certain Pequel : certainement des chantres des Droits de l’homme. Méthode de fabrication : 
 

« On coupe la peau au-dessus de la ceinture, puis le long de chacune des cuisses jusqu’à la cheville, de manière à ce que, après l’écorchement et le tannage de cette peau, il suffise de coudre pour avoir un pantalon confectionné » (Pensez-y si vous avez encore à cœur de célébrer cette commémoration inique qui me donne plus envie de vomir que de festoyer)

 

(4) Divinité ammonite représentant un homme avec une face de taureau. A l’intérieur de cette divinité était allumé un grand feu et dans les bras de ce monstre on plaçait des victimes humaines que la chaleur du feu consumait. Cette ignominie fut pratiquée même chez les Israélites (Jérémie XXII, 35). Hitler n’a rien inventé.


Mis sur un autre blogue le 28 juin 2017

 

NOTA BENE (ajouté le 25 septembre 2019)

     Voici quelques liens concernant la pensée de l’Eglise sur les droits de l’Homme et leurs sécrétions issus de la Révolution française :

Encyclique Adeo Nota, 23 avril 1791 (n’existe qu’en italien, paragraphe 13) du Pape Pie VI https://w2.vatican.va/content/pius-vi/it/documents/enciclica-adeo-nota-23-aprile-1791.html 

et Discours au Consistoire du 11 juin 1793 https://www.lysardent.fr/2012/10/05/discours-du-pape-pie-vi-prononce-au-consistoire-du-11-juin-1793/ ; http://www.icrsp.org/Textes-Divers/Discours-Pie-VI.htm 

Sur La volonté populaire ou souveraineté du peuple, le communisme, le socialisme, etc. https://fr.wikisource.org/wiki/Encyclique_Quanta_Cura_et_Le_Syllabus/Encyclique (en français, et en italien sur le site du Vatican) et Encyclique Diuturnum illud de Léon XIII , 29 juin 1881  http://w2.vatican.va/content/leo-xiii/fr/encyclicals/documents/hf_l-xiii_enc_29061881_diuturnum.html

mercredi 6 juillet 2022

Les Gilets Jaunes sous influence kabbalistique - 2 : Alors, le suffrage universel comme solution ?


LES GILETS JAUNES SOUS INFLUENCE KABBALISTIQUE - 2

ALORS, LE SUFFRAGE UNIVERSEL COMME SOLUTION ?


     Le suffrage universel n’est pas le remède mais le problème car il n’a fait, élection après élection, qu’accentuer vos maux et vos gémissements. Face au vote il y a plusieurs catégories de personnes :

- Les abstentionnistes de longue date. Personnellement, cela fait près de 40 ans (1981) que je ne vote plus. A dire vrai, c’est la seule fois où j’ai voté, après une longue hésitation. Je suis donc un abstentionniste de longue date et pas prêt de reparticiper à cette mascarade dont le peu de sérieux est manifesté par l’auberge espagnole des 33 candidats (cette fois-ci). Pas avant qu’on ait fait un vrai débat historique et public sur l’histoire de France d’avant et après 1789, avec équilibre dans le nombre des historiens non conformistes et ceux des historiens stipendiés par l’Etat ou des conservateurs de chaire soucieux pour leur gamelle et leur notoriété, et pas seulement l’histoire présentée par les Editions Isaac Nathan et Mallet. Une fois fait, je pense que beaucoup, ceux dont le cœur est droit et prêts à faire honnêtement la part des choses, préférerait un retour à la Monarchie. Pour ce qui me concerne, surtout pas une monarchie constitutionnelle avec un monarque moderne potiche ou pour le folklore, comme le roi des Belges et autres têtes couronnées européennes.

- Ceux qui sont abstentionnistes depuis moins longtemps et ont participé à plusieurs scrutins ils ont donc, avec plus ou moins de constance, contribuer à l’abaissement continuel de la France, surtout moral mais pas que, quel que soit le candidat qu’ils aient porté au pouvoir. BRAVO ! Cependant, mieux vaut tard que jamais.

- Ceux qui, envers et contre tous, ont continué, et continuent encore, de croire au Père Noël des grandes personnes ou, par dépit, faisant semblant d’y croire puisqu’on ne cesse de leur répéter que c’est un devoir, peu importe pour qui il vote le système révolutionnaire leur permettant de jouir encore de certains avantages ou privilèges spécifiques, ou n’ayant pas encore compris comment fonctionne un système établi sur le mécanisme révolutionnaire des assemblées délibérantes, dans lesquelles les projets qui façonneront la France sont d’abord débattus et décidés en dehors de l’Assemblée Nationale dans des conventicules dont les membres établissent des passerelles avec d’autres partis politiques opposés en apparence sur le grand théâtre de Guignol. Le système est bien verrouillé par ceux qui l’ont construit et peaufiné depuis plus deux siècles : DOUBLE BRAVO ! Vous avez apporté votre contribution à une décadence accélérée et encore plus profonde de la France.

     Mais, c’est un devoir direz-vous indigné ! Oui, mais pas un n’importe quel prix, surtout lorsque vous avez compris qu’on vous prend pour un imbécile en vous faisant participer à un jeu aux dés pipés. Songez à combien de lois iniques vous avez contribué en votant pour des candidats ouvertement libéraux, progressistes ou volontairement ambigus dans leur programme politique sur certaines questions importantes liées à la morale qui est fondamentale, car elle aura inexorablement des retombées dans tous les domaines de la vie. Ainsi, vous avez participé ou avez été complice de leurs péchés par les lois iniques qu’ils ont votées ou cautionnées. Ce n’est pas parce que les media, des journalistes, des artistes, des saltimbanques ou des énarques diplômés ou super-diplômés à pouvoir tapisser les murs de leur maison, vous encouragent à aller voter qu’ils sont forcément intelligents : ne pas confondre instruction et intelligence, têtes bien pleines et tête bien faites. Des imbéciles, des trompeurs et des aveugles vous en trouvez même chez les universitaires et les énarques. La vraie question à se poser, du moins pour ceux qui se veulent chrétiens, est : où ont-ils mis le Christ dans leur programme politique ? Nulle part ? Alors la cause est entendue ! Et, qui plus est, honte à lui, s’il se dit catholique ! La laïcité révolutionnaire sans Dieu, c’est la vraie bête immonde.

     Ne perdez pas de vue que les oligarchies financières, les Rothschild et Cie sont des révolutionnaires : ils ont financé les Révolutions, les guerres, les journaux et les partis politiques de droite et de gauche. Ils ont toujours plusieurs fers au feu selon les besoins de leur cause qui concerne la gouvernance mondiale et la possession des ressources terrestres. Pour atteindre ce but tout leur est bon : guerres civiles, guerres mondiales, corruption des âmes par l’argent, le sexe, la création de multiples antagonismes politiques et religieux, la recherche effrénée des honneurs, etc. Gilets jaunes, ceux qui vous incitent à la révolte vous trompent : soit de bonne foi par ignorance du fonctionnement du mécanisme révolutionnaire, soit pour des mobiles plus personnels ou cachés.

UNE DIVERSION POUR CACHER LA MAIN ?

     Quant à l’histoire des Khazars qui fait fureur sur Internet, elle ne me paraît pas convaincante en tant que non-Juifs, car les persécutions chrétiennes contre le christianisme ont commencé dès le premier siècle, bien avant la découverte de ce royaume khazar (dit de faux juifs). Serait-ce une tentative pour disculper les Juifs de leurs œuvres mauvaises pour les faire retomber sur une treizième tribu imaginaire servant de bouc émissaire ? Un argument, parmi d’autres, permet de douter sérieusement de cette thèse. Les Juifs n’ont jamais fait de prosélytisme de masse. Il y avait donc dans ce royaume Khazar des Juifs, comme il y en avait dans d’autres parties du monde ; mais des Juifs khazars qui s’étaient égarés loin de la Promesse et que des rabbins ont ramené à la foi juive. (1)

     Quant à Jésus et aux apôtres du Nouveau Testament, les Pères de l’Eglise et les chrétiens tout au long des siècles, c’est bien à des Juifs qu’ils font référence pour mettre en garde, et non à des faux Juifs Khazars usurpateurs d’identité, comme persécuteurs des chrétiens ! De même que dans le christianisme il y a de bons et de mauvais chrétiens, il y a de bons et de mauvais Juifs (français, italiens, russes, khazars, etc.) mais les mauvais chrétiens et les mauvais Juifs n’ont demeurent pas moins respectivement chrétiens ou Juifs. Le Juif ne cesse pas d’être juif en vivant en France ou chez les Khazars, de même pour le Catholique vivant en Israël. Les mauvais Juifs n’ont pas attendu la découverte des Juifs khazars pour être à l’œuvre, et construire leur veau d’or et leur richesse.

ECOUTEZ LE CHRIST ET PAS LES APPELS A LA REVOLUTION :

     Si vous devez écouter quelqu’un, écoutez le Christ, méditez le Décalogue, car ce sont des paroles de sagesse qu’ils prononcent non seulement sur le plan temporel mais aussi sur celui de l’éternité. Vous devriez y faire d’autant plus attention si vous êtes Catholiques car, si votre cœur est droit, vous ferez vite la différence entre ce qui est de nature à contribuer au redressement moral et au bonheur du plus grand nombre, et ce qui suscite et encourage l’immoralité, la haine, l’envie, le désordre, la vengeance, la violence qui créent des rancoeurs et des inimitiés tenaces et profondes : les unes vous mettent dans les pas du Christ (exemple de tous les chrétiens) et la vie éternelle, les autres dans celles du diable et de ses suppôts terrestres, et la damnation éternelle. Fixez vos yeux sur le Christ et défiez-vous de ceux qui se présentent à vous en s’émancipant de ses enseignements, en vous proposant des solutions sans s’appuyer sur Celui qui a dit : « Je suis la Voie, la Vérité et la Vie » (St jean XIV, 6) ou, se croyant plus sage que Lui, s’émancipe de ses exemples. « Ne rendez pas le mal pour le mal » dit-il à ceux qui veulent être ses disciples. (I Pierre III, 9 ; Romains XII, 17)

     N’oubliez jamais de prier c’est ce que faisais Jésus-Christ. Que votre journée, au minimum, commence et finisse par une prière sincère. Dans le doute pour une décision à prendre, posez-vous la question : que ferait Jésus dans ma situation ? Ce questionnement pour rester en cohérence avec ses enseignements et ne pas m’égarer en dehors de ceux-ci ?

     N’oubliez pas que dans l’univers il n’y a que deux catégories d’êtres qui ne prient pas : les animaux et ceux qui leur ressemblent.

(1) Disant, pour être plus précis, que quelques Khazars sont peut-être devenus Juifs, mais la très grande majorité des étiquetés Khazars ne sont pas des Mongolo-Asiates devenus Juifs par conversion, mais bien de VRAIS JUIFS. Ils étaient gouvernés et protégés par les guerriers de la noblesse turque. Du VIe au VIIIe siècle les Khazars accueillirent des immigrants juifs. Le Juif Obadiah pris le contrôle de ce pays en 803 (Israël Adam Shamir, L’autre Visage d’Israël.)

Mis sur un autre blogue le 16 novembre 2018

Sans rancune les gilets jaunes.


mardi 5 juillet 2022

Faut-il observer le Sabbat ? - 11 : Immutabilité de Dieu dans sa nature


 

FAUT-IL OBSERVER LE SABBAT ? – 11

 

Réfutation doctrinale

     Après avoir considéré l’immutabilité de Dieu dans sa nature, il reste à la considérer dans sa moralité.

IMMUTABILITE DE DIEU DANS SA MORALITE

Considéré dans sa moralité Dieu est immuable pour deux raisons :

     * Il ne peut changer dans ses décrets car un tel changement supposerait :

     . Une déficience intellectuelle puisqu’il se révèlerait incapable de tout prévoir dès le début ou,

     . Une imperfection dans la volonté qui, sans raison suffisante, se proposerait tantôt un but, tantôt un autre. Or ni le défaut d’intelligence, ni l’imperfection de volonté ne conviennent à l’Être infini.

     * Il ne peut acquérir de nouvelles relations, au moins réelles. En effet, la relation réelle ajoute à l’être une nouvelle entité. Or, on ne peut ajouter à l’Acte pur (Dieu) aucune entité réelle, mais seulement aux créatures qui reçoivent de Dieu l’existence.

     C’est pourquoi, et sans qu’il y ait en Lui aucun changement ou relations rajoutées, Dieu entretient avec sa création des relations de Créateur, de Maître, de Providence, etc., de la même manière qu’une statue immobile se trouve tantôt à gauche, tantôt à droite de l’observateur qui seul change de position.

     De ce qui précède, il est donc parfaitement exact de conclure que « Dieu ne change pas » et, de plus, c’est ce qu’enseigne la Bible en deux endroits :

MALACHIE III, 6 :

« Car je suis le Seigneur, et je ne change pas ; et vous enfants de Jacob, vous n’avez pas été consumés. »

     Ce verset biblique souligne l’immutabilité de Dieu dans ses promesses. En effet, il aurait pu anéantir son peuple rebelle mais, fidèles aux promesses faites autrefois aux fils de Jacob, il châtiera les Juifs prévaricateurs sans les exterminer.

     Toutefois, il ne faut pas confondre l’immutabilité ou l’absence de changement avec l’inactivité et l’infécondité car l’Acte pur – qui est Dieu – est l’activité suprême et, sans le moindre changement, son opération est indéfectible.

SAINT JACQUES I, 17 :

« Toute grâce excellente et tout don parfait vient d’en haut, et descend du Père des lumièreschez qui il n’y a pas de variation, ni d’ombre, ni de changement. »

     Dans la Somme Théologique III, question 61, article 4, saint Thomas, commentant ce verset et constatant la différence existant entre les sacrements de la Loi ancienne et ceux de la Loi nouvelle, non moins que leur nécessité, se pose la question suivante :

« Mais la volonté divine n’a-t-elle pas changé si elle offre maintenant, sous le climat de la grâce, des sacrements différents de ceux qu’elle proposait avant le Christ pour la sanctification des hommes ? »

     Et il répond :

« On n’accuse pas un maître de maison d’être capricieux parce qu’il donne à ses gens des ordres différents suivant les saisons. De même après la venue du Christ, Dieu institue des sacrements différents de ceux qui existaient sous la Loi, cela ne met en Lui aucun changement, car les uns convenaient à une grâce qu’il s’agissait de préfigurer, les autres conviennent à une grâce qu’il faut montrer comme présente. »

     Les changements opérés par Dieu dans le cours du temps sont donc affaire ‘’de saisons’’ où, si l’on préfère :

     * De circonstances modifiées, par exemple :

     . L’abandon des châtiments projetés contre les Ninivites, après leur pénitence collective suite à la prédication de Jonas :

« La parole du Seigneur fut adressée une seconde fois à Jonas, en ces termes : Lève-toi, et vas à Ninive, la grande ville, et prêches-y la prédication que je t’ordonne (…) et Jonas commença à entrer dans la ville pendant un jour de marche ; et il cria, en disant : Encore quarante jours, et Ninive sera détruite. Les Ninivites crurent à Dieu ; ils publièrent un jeûne et se couvrirent de sacs, depuis le plus grand jusqu’au plus petit. La chose parvint au roi de Ninive ; et il se leva de son trône, ôta son vêtement, se couvrit d’un sac et s’assit sur la cendre. Il fit crier et publier dans Ninive cet ordre (…) que chacun revienne de sa voie mauvaise et de l’iniquité qui est dans ses mains (…) Dieu vit leurs œuvres, il vit qu’ils étaient revenus de leur voie mauvaise et il se repentit du mal qu’il avait résolu de leur faire, et il ne le fit pas. » (Jonas III, 1-10)

     . celle de la circoncision de la chair et des sacrifices d’animaux de la Loi de Moïse à une autre, celle de l’économie de la foi ou la grâce en Jésus-Christ (le plus grand que Moïse) avec la circoncision du cœur et les sacrifices d’action de grâces.

     Que ces modifications n’aient opéré aucun changement, ni ne manifeste aucune inconstance morale en Dieu, c’est ce que révèle et confirme le Saint-Esprit.

« Ainsi la loi a été notre précepteur dans le Christ, pour que nous fussions justifiés par la foi. Mais, la foi étant venue, nous ne sommes plus soumis au précepteur. » (Galates III, 24-25)

« Mais maintenant, dans le Christ Jésus, vous qui étiez autrefois éloignés, vous avez été rapprochés par le sang du Christ (…) Il a renversé le mur de séparation, l’inimitié dans sa chair ; il a aboli la loi des ordonnances avec ses prescriptions (…) » (Ephésiens II, 13-15)

     Le commandement du Sabbat, donné sous l’économie de la Loi ancienne, établi pour les motifs inventoriés dans les articles 4 à 9, était lié principalement au souvenir de la création du monde. Il était, sous le rapport du septième jourune loi cérémonielle, et, sous cet aspect, non immuable. Il pouvait donc être aboli et il fut logiquement remplacé par l’événement majeur survenu dans l’histoire humaine que fut la résurrection de Jésus-Christ qui, eut lieu un dimanche et ouvrit sur une nouvelle économie : la nouvelle création en Jésus-Christ sans que l’aspect moral et immuable de ce précepte s’en trouve annulé, à savoir : le culte obligatoire qui doit être rendu à Dieu qui, Lui, demeure éternellement.

FIN DE L’ARTICLE SUR LE SABBAT

René Pellegrini

- « En effet, la fin de la loi, c’est le Christ, pour la justification de tous ceux qui croient. » (Romains X,4 dans la Vulgate de Saint Jérôme)

 

lundi 4 juillet 2022

La communion spirituelle


LA COMMUNION SPIRITUELLE

  

     O Jésus, mon aimable Sauveur, que je voudrais en ce moment, m’approcher de votre Table sainte, plein de confiance, non en mes propres mérites, mais en votre infinie bonté !

     Que je voudrais aller à Vous, Source de miséricorde ; être guéri par Vous, divin Médecin de mon âme ; chercher en Vous mon appui, en Vous, Seigneur, qui serez un jour mon Juge, mais qui ne voulez être, maintenant, que mon Sauveur ! 

     Je vous aime, ô Jésus, Agneau divin, innocente Victime, immolée par amour sur la Croix, pour moi et pour le salut du genre humain.

     O mon Dieu, souvenez-vous de votre humble créature, rachetée de votre Sang ! Je me repens de vous avoir offensé, et je désire réparer mes fautes par les efforts que je ferai pour obéir à votre sainte volonté.  

     O bon Jésus, qui, par votre grâce toute-puissante, me fortifiez contre les ennemis de mon âme et de mon corps, faîtes que bientôt, purifié de toute souillure, j’aie le bonheur de vous recevoir dans la Sainte Eucharistie, afin de travailler avec une constante générosité, à l’œuvre de mon salut. Ainsi soit-il. 

NOTA BENE :

     Si vous ne communiez pas sacramentellement, faites au moins la communion spirituelle. Elle consiste à désirer, avec foi et amour, recevoir Notre-Seigneur, dans le Sacrement de l’Eucharistie.

     Si vous avez le malheur d’être en état de péché mortel, implorez d’abord la miséricorde divine par un acte de contrition.

     Pour cette communion spirituelle, vous pouvez, par exemple, réciter lentement les actes ci-dessus, essayant d’avoir les sentiments qu’ils expriment.  


Prière extraite de mon Livre des Exercices Spirituels de Saint Ignace de Loyola

 

René Pellegrini


A méditer par les adeptes de l’Eucharistie libérale


 


dimanche 3 juillet 2022

Antisémitisme, qu'est-ce à dire ?


Image montrant jusqu’où la haine et l’imbécillité humaines peuvent descendre : jusqu’à s’attaquer aux morts en profanant leurs sépultures.

ANTISEMITISME, QU’EST-CE A DIRE ?

     Définition d’un mot qui, au fil du temps, se charge de plus en plus de restrictions envers une catégorie de sémites :

LAROUSSE 1984 

- Doctrine ou attitude d’hostilité systématique à l’égard des Juifs

WIKIPEDIA (un des gendarmes de la pensée unique)

« L’antisémitisme est le nom donné de nos jours à la discrimination et à l'hostilité manifestée à l'encontre des Juifs en tant que groupe ethnique, religieux ou racial.

     Il s'agit, dans son acception originelle telle que formulée vers la fin du XIXe siècle, d'une forme de racisme se voulant scientifique, dirigée spécifiquement contre les Juifs (et non contre les peuples sémites, groupe linguistique)

     Le terme est le plus souvent utilisé aujourd'hui pour qualifier tous les actes d’hostilité anti-juive, que leurs fondements soient raciaux ou non.

     Les motifs et mises en pratique de l'antisémitisme incluent divers préjugés, des allégations des mesures discriminatoires ou d’exclusion socio-économique, des expulsions, voire des massacres d’individus ou de communautés entières. » (C’est moi qui mets en italique dans le texte) »

     Reprenons les mots utilisés (hostilité, préjugés, allégations, mesures discriminatoires) et réglant définitivement son sort à « massacres d’individus ou de communautés » qui sont aux antipodes des principes de l’enseignement du christianisme, qu’elle que soit l’ethnie, la religion ou la race envers lesquels ils se pratiquent.

HOSTILITE anti-juive raciale ou non : pris dans le sens de haine c’est inacceptable.

  Hostilité hors référence ethnique et raciale, mais dans le sens d’opposition religieuse : c’est légitime, car toutes les religions ne se valent pas - non seulement sur le plan doctrinal, mais aussi sur celui des enseignements moraux tels que dispensés par les écrits utilisés pour la formation de leurs adeptes - pas plus que les systèmes politiques malgré les exhortations des promoteurs et les inconditionnels drogués du suffrage universel vous disant d’aller voter ! Peu importe pour qui vous voter (Ô combien on les comprend puisqu’il faut faire tourner la machine à faire conserver le pouvoir au sérail présélectionné et mis en avant par les media). Alors, peu importe pour qui vous irez voter les tireurs de ficelles les ont déjà jaugés !

PREJUGES : c’est-à-dire ce qui relève d’un jugement porté sur les Juifs. La vraie question sera : ce jugement est-il fondé ou pas ? Des faits concrets viennent-ils corroborer ce jugement. Si tel est le cas il n’y a pas de préjugés antisémites, mais la simple exposition de la vérité. Elle peut déplaire, mais cela n’a rien à voir avec des préjugés.

ALLEGATIONS : s’il ne s’agit pas de faits concrets.

DISCRIMINER : c’est établir une différence entre des personnes ou des choses en se fondant sur des critères distinctifs. (Larousse)

     Discriminer est parfaitement biblique et évangélique car lors de la venue du Fils de Dieu sur la terre, le message que Dieu fait porter aux hommes par ses anges est le suivant : « Paix aux hommes de bonne volonté ! » Ce message est éminemment discriminant car il distingue deux catégories de personnes : ceux à qui Dieu promet la paix (celle de Dieu qui n’est pas celle donnée par le monde) « aux hommes de bonne volonté » et par la distinction qu’opère ce message ceux, à qui elle sera refusée. A moins de considérer, depuis ces paroles jusqu’à nos jours, que tous les hommes furent de « bonne volonté » dans ce cas oublions tous les massacres et les horreurs.

     Saint Paul s’exprimant sur l’importance pour les circoncis et les incirconcis d’être une nouvelle création en Christ déclare : « Tous ceux qui suivront cette règle, que la paix et la miséricorde soit sur eux, et sur l’Israël de Dieu. » (Galates VI, 16) discriminant par ses paroles ceux qui se verront refuser cette paix et cette miséricorde.

Discriminer est un mot récent dans la langue française (1870). C’est le fondement même de l’intelligence que Dieu nous a donnée, car c’est la faculté de discerner, de distinguer et ensuite d’opérer un choix. C’est donc une absurdité d’interdire la discrimination lorsqu’elle s’opère selon sa signification et sa fonction. Ceci étant, puisque discriminer c’est faire appel à l’intelligence, dans l’application faite aux Juifs dans le cadre de l’antisémitisme, il faut considérer :

- Discriminer les Juifs pour appartenance à un groupe ethnique ou racial est stupide car personne, ici-bas, ne choisit son ethnie ou sa race, pas plus que son père et sa mère.

  Discriminer les pratiques morales de la religion juive avec leurs incidences dans la vie économique, sociale et politique, si elles ne sont pas compatibles avec celles de la civilisation (1) dans laquelle ils vivent, ou veulent s’insérer, est parfaitement légitime. De même pour l’expulsion si entêtement à contrevenir aux lois qui régissent ladite civilisation. On doit se faire respecter chez soi, ce que savaient faire nos ancêtres, et ne sont plus capables de faire les efféminés et les permissifs qui nous dirigent, allant jusqu’à confier, dans leurs délires mondialistes, les clefs de la souveraineté monétaire et frontalière de la maison France, à des entités étrangères, et à se montrer laxiste envers ceux qui haïssent et insultent la France tout en créant des zones de non-droit qui fabriquent les drames d’aujourd’hui et préparent ceux de demain, avec l’aide d’incompétents, de naïfs, d’odieux complices ou de traîtres.

     Discriminer c’est ce que nous faisons sans arrêt : entre le brigand et l’honnête homme, la justice et l’injustice, le vertueux et le vicieux, le policier consciencieux et le ripoux, le bon médecin et le charlatan, le bon remède et la potion magique, la femme vertueuse et la prostituée, etc. Nous discriminons dès que nous utilisons le verbe « être » qui est un verbe d’état : il est, ou n’est pas, ceci ou cela. Pensez au nombre de fois que vous l’utilisez dans une journée.

     Les partis politiques de gauche comme de droite se discriminent réciproquement et allègrement. Faut-il les traduire en justice ? Dans ce cas plus personne à l’Elysée et à l’Assemblée Nationale : tous devant les tribunaux ? Les journalistes ne discriminent-ils pas, et parfois outrageusement, dans le choix des informations qu’ils diffuseront ? Dans les questions qu’ils posent selon les personnes et leurs conceptions politiques ? : tous devant les tribunaux ?

     La question qu’il faut se poser à cet égard est : la discrimination est-elle fondée ou pas ? Sous quel aspect est-elle pratiquée et les faits la légitime-t-elle ? Imposer la non-discrimination parce qu’il s’agit de faire plaisir aux Juifs, ou sur leur pression, en dehors de tout questionnement sur ce qui est discriminé relèverait d’un parti-pris systématique. Elle apparaîtrait comme une muselière pour ceux qui s’efforceraient de montrer un visage beaucoup moins doloriste et orienté que celui présenté habituellement, et à satiété par les média, la littérature et le cinéma. Un tel procédé serait d’une grande malhonnêteté intellectuelle tant sur le plan historique que politique, et rendrait manifeste un désir de cacher qui discréditerait ceux qui useraient ou se feraient complice de cette pratique. Elle justifierait et légitimerait dans l’opinion publique la question suivante : Qu’avez-vous donc à dissimuler pour agir d’une façon aussi brutale et dictatoriale ?

     Faire de la discrimination fondée un délit, relèverait de l’imbécillité la plus crasse qui soit, et manifesterait l’esprit tordu, voire satanique, de ceux qui le proposeraient. Cela suffit de s’agenouiller, de se tortiller, devant tous ceux qui, depuis des siècles, haïssent la France et conspirent contre sa civilisation chrétienne ! En agissant ainsi, ce n’est pas seulement la France qui est attaquée, mais c’est aussi le Christ que l’on blasphème et déshonore car c’est de Lui qu’elle s’est abreuvée et a été façonnée. La haine il faudra la chercher là où elle est vraiment et non là où vous la supposez tendancieusement et arbitrairement. Pour cela, il suffira d’interroger honnêtement les faits et l’histoire, et non ceux qui curieusement, parmi les organismes accrédités, ne voient jamais les discriminations antichrétiennes et antifrançaises. Faut quand même ouvrir ses yeux, et ne pas prendre tout le monde pour des imbéciles, même si la dés-éducation nationale, les média et la publicité s’en chargent bien !

     Ceux qui posent ce principe de non-discrimination, se rendent-ils compte qu’ils paralysent l’intelligence dans son acte de discerner, de distinguer et de réagir aux circonstances auxquelles elle est confrontée et les choix à faire ? Paralyser l’intelligence n’est-il pas le procédé des dictatures et de celles qui se mettent en place ?

     Question subsidiaire : Selon la Table des nations (Genèse X, 1-2) qu’en est-il des hostilités, des préjugés, des allégations, des discriminations, des propos outrageants d’anti-japhetisme tenus contre la lignée européenne de Japhet (Fils de Noé) par son fils Gomer duquel sont issus (les Francs, les Celtes, les Germains, etc.) par ceux des lignées sémitiques (dont les Juifs) et chamitiques ?

(A suivre… « Antisémitisme et Juif, qu’est-ce à dire ? - 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Civilisation à distinguer du régime politique qui n’est qu’un moment dans l’histoire de cette civilisation. En France, la civilisation est chrétienne de pensée et de mœurs. Quoi qu’en disent les agités, les comploteurs et les révolutionnaires de tous bords, c’est à ses racines et sa vocation chrétiennes que la France retournera, après avoir payé le tribut de ses infidélités et de ses iniquités, par les drames et les malheurs suscités par ses ennemis intérieurs et extérieurs pour tenter de la dissoudre dans le cosmopolitisme et le mondialisme culturel et religieux.

samedi 2 juillet 2022

Quelle attitude en temps de persécution et de privation de sacrements ? - 1


QUELLE ATTITUDE EN TEMPS DE PERSECUTION

ET DE PRIVATION DE SACREMENTS ? - 1


     Beaucoup de Catholiques sont inquiets et indignés, à juste titre, face aux mesures prises par les autorités gouvernementales les privant des offices religieux et des sacrements, suite au Coronavirus. Cette situation de privation n’est pas nouvelle, des Catholiques l’ont connue lors de la Révolution de 1789 et ses suites. Pour notre consolation et calmer certains scrupules causés par l’empêchement, éviter de nous fourvoyer dans des manifestations sans véritable profit en ces temps eschatologiques et de châtiments, et conserver notre équilibre spirituel en le gardant enchaîné à la foi qui est au-delà du sensible, nous pourrons tirer profit - en cette situation préparatoire à d’autres plus pénibles encore - de la lettre que vous pourrez considérer comme vous ayant été adressée et intitulée :

     CONSOLATIONS pour les fidèles en temps de persécutions, de schismes, d’hérésies…Par M. DEMARIS prêtre catholique, professeur de théologie dans la maison des missionnaires de Saint Joseph à Lyon, exilé vers 1803, et mort pour la foi en Jésus-Christ.

     M. DEMARIS, voyant les fidèles menacés de se trouver sans pasteurs, sa charité, quoique enchaîné, lui fit écrire (à leur prière) la Règle de conduite qui suit, pour leur consolation.

MES CHERS ENFANTS,

     Placés au milieu des vicissitudes humaines et du danger qu’offre le choc des passions, vous adressez vos charités à votre père et vous demandez une règle de conduite.

     Je vais vous la montrer et tâcher de porter dans vos âmes la consolation dont vous avez besoin : Jésus-Christ, le modèle des chrétiens, nous apprend par sa conduite ce que nous devons faire dans les moments pénibles où nous nous trouvons. Quelques pharisiens lui dirent un jour :

« Retirez-vous d’ici, parce qu’Hérode veut vous faire mourir ». Il leur répondit : « Allez dire à ce renard que je chasse les démons, et que je guéris les malades aujourd’hui et demain, et le troisième jour j’aurai fini. Mais je dois agir encore aujourd’hui et demain et après-demain, car ils ne convient pas qu’un prophète meure hors de Jérusalem » (St Luc XIII, 31-33)

     Vous tremblez, mes chers enfants ; tout ce que vous voyez, tout ce que vous entendez est effrayant, mais consolez-vous, c’est la volonté de Dieu qui s’accomplit. Vos jours sont comptés, sa providence pèse sur vous. Chérissez ces hommes que l’humanité vous offre comme farouches ; ce sont des instruments que le Ciel emploie à ses desseins et, comme une mer courroucée, ils ne passeront pas la ligne prescrite contre les flots qui se balancent, s’agitent et se menacent.

     Le tourbillon orageux de la révolution qui frappe à droite et à gauche, et les bruits qui vous alarment, ce sont les menaces d’Hérode : qu’ils ne vous détournent point de vos bonnes œuvres ; qu’ils n’altèrent point votre confiance et qu’ils ne flétrissent pas l’éclat de vos vertus, qui vous unissent à Jésus-Christ. Il est votre modèle, et les menaces d’Hérode ne le détournent point de la carrière de sa destinée.

     Je sais que vous pouvez être privés de votre liberté, et que l’on peut même chercher à vous faire mourir. Je vous dirai donc ce que Saint Pierre disait aux premiers fidèles :

« Ce qui est agréable à Dieu est que, dans la vue de lui plaire, nous endurions les maux et les peines qu’on nous fait souffrir avec injustice : en effet, quel sujet de gloire aurez-vous si c’est par vos fautes que vous endurez de mauvais traitements ? Mais si en faisant le bien vous les souffrez avec patience, c’est là ce qui est agréable à Dieu, car c’est à quoi vous avez été appelés, puisque Jésus-Christ a souffert pour nous, vous laissant son exemple, afin que vous marchiez sur ses traces. Lui qui n’avait commis aucun péché, et de la bouche duquel aucune parole trompeuse n’est jamais sortie, quand on l’a chargé d’injures, il n’a point répondu par des injures ; quand on le maltraitait, il n’a point fait de menaces, mais il s’est livré entre les mains de celui qui le jugeait injustement. » (I Pierre II, 19-24)

     Les disciples de Jésus-Christ, dans leur fidélité à Dieu, sont fidèles à leur patrie et plein de respect envers les autorités ; fermes dans leurs principes, avec une conscience sans reproche, adorant la volonté de Dieu. Ils ne doivent point fuir lâchement la persécution : quand on aime la croix, on est hardi à l’embrasser et l’amour même nous réjouit. Elle est nécessaire à notre union intime avec Jésus-Christ ; elle peut arriver à chaque instant, mais elle n’est pas aussi méritoire et si glorieuse. Si Dieu ne vous appelle pas au martyre, vous serez comme ces illustres confesseurs dont saint Cyprien dit :

« Que sans être morts par la main du bourreau, ils ont cueilli le mérite du martyre, parce qu’ils y étaient préparés. »

     La conduite de Saint Paul, tracée dans les Actes des Apôtres nous donne ce beau modèle tiré de celui de Jésus-Christ. Allant à Jérusalem, il apprit, à Césarée, qu’il y serait exposé à la persécution ; les fidèles le prièrent de l’éviter ; mais il se croyait appelé à être crucifié avec Jésus-Christ, si telle était sa volonté. Pour toute réponse, il leur dit :

« Ah ! cessez d’attendrir mon cœur par vos larmes, je vous déclare que je suis prêt à souffrir à Jérusalem, non seulement la prison, mais la mort même pour l’amour de Jésus-Christ. » (XXI, 13)

     Voilà, mes chers enfants, quelles doivent être vos dispositions : le bouclier de la foi doit nous armer, l’espérance doit nous soutenir et la  charité doit nous conduire en tout. Si en tout et toujours nous devons être simples comme des colombes et prudents comme des serpents, nous devons l’être surtout lorsque nous sommes contristés pour Jésus-Christ.

     Je vous rappellerai ici une maxime de saint Cyprien qui, dans ces moments, doit être la règle de votre foi et de votre piété :

« Ne cherchons pas trop, dit cet illustre martyre, l’occasion du combat et ne le fuyez pas trop : attendons-la de l’ordre de Dieu et espérons tout de sa miséricorde. Dieu demande plutôt une humble confession qu’une protestation trop hardie. »

     L’humilité est toute notre force. Cette maxime nous invite à méditer sur la force, la patience et même la joie avec laquelle les saints ont souffert.

     Voyez ce que dit Saint Paul, vous serez convaincus que lorsqu’on est animé par la foi, les maux ne nous affectent qu’au dehors et ne sont qu’un instant de combat que la victoire couronne. Cette vérité consolante ne peut être appréciée que du juste. Aussi ne soyez pas surpris si, de nos jours, nous croyons ce que saint Cyprien (3) vit de son temps, lors de la première persécution : que la plus grande partie des fidèles couraient au combat avec joie.

     Aimer Dieu et ne craindre que lui seul, tel est l’apanage du petit nombre des élus. C’est cet amour et cette crainte qui font les martyrs, en détachant les fidèles du monde et en les attachant à Dieu et à sa sainte loi.

     Pour soutenir cette amour et cette crainte dans vos cœurs, veillez et prier, augmentez vos bonnes œuvres et joignez à cela les instructions édifiantes dont les premiers fidèles nous ont donné l’exemple. Entretenez-vous selon l’usage des premiers chrétiens, que nous retrace le chapitre des Actes des Apôtres.

     Cette pratique vous sera d’autant plus salutaire que vous êtes privés des ministres du Seigneur, qui alimentaient vos âmes du pain et de la parole.  Vous pleurez ces hommes précieux à votre piété, j’évalue votre perte : vous paraissez isolés à vous-mêmes, mais cet isolement, aux yeux de la foi, ne peut-il pas être salutaire ? C’est par la foi que les fidèles sont unis. En approfondissant cette vérité, nous croyons que l’absence du corps ne rompt point cette union, parce qu’elle ne rompt pas les liens de la foi, mais plutôt qu’elle l’augmente en la dépouillant de toute sensibilité.

(A suivre…si Dieu veut)

(1) Comme on conduisait saint Cyprien au supplice, le peuple, pénétré de douleur et fondant en larmes, s’écria : allons et mourrons avec lui ! Le Saint fit donner 25 écus d’or à son exécuteur.

QUELQUES REFLEXIONS SUITE A CET EXTRAIT

A - Cette lettre met en évidence le vocabulaire de ce prêtre. Il parle de charité (vertu surnaturelle et théologale) et non de solidarité maître-mot du vocabulaire maçonnique repris en chœur par l’immense majorité des Catholiques suivant en cela le très mauvais exemple venu d’en haut.

B - Je rappelle souvent combien il est important de garder notre regard fixé sur Jésus et sur ses comportements, en actes et paroles, face aux situations auxquelles il fut confronté, et rappelé ci-dessus par Saint Pierre. Il est notre exemple et notre enseignant en ces matières.

C - Nous remarquons que ce prêtre demande de respecter les autorités bien que celles- ci soient révolutionnaires, qu’elles aient spolié l’Eglise et l’aient envoyé en exil. Il est choquant de voir des chrétiens injurier, tenir des propos haineux envers des personnes détenant l’autorité qu’elles soient politiques ou religieuses qui leur déplaisent, ou qui les caricaturent avec des images suggérant la haine ou le mépris à leur encontre. Ce christianisme n’est pas le mien.

René Pellegrini

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