mercredi 25 mai 2022

Le retour des Juifs en Palestine - 8 : Versets contredisant un retour en Israël - 2



 LE SIONISME – 8

 

« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis.»

 (Luc XXI, 24) 

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE – 8

 

VERSETS CONTREDISANT UN RETOUR EN ISRAÊL - 2

 

     Avant d’aborder un autre texte contredisant un retour des Juifs en Palestine, celui de St Matthieu XXI, 33-46, considérons une constante dans l’histoire de ce peuple et de ses dirigeants : l’attitude de mépris allant jusqu’aux meurtres à l’égard des prophètes que Dieu leur envoie. Preuve, s’il en est, que déjà à cette époque ils n’avaient plus l’esprit de Moïse. Ayant déjà adressé une série d’imprécations sur les pharisiens et les docteurs de la loi, Jésus termine ses invectives par trois anathèmes au sujet des fardeaux, des tombeaux des prophètes et des clefs de la science :

« MALHEUR à vous aussi, docteurs de la loi, parce que vous chargez les hommes de fardeaux qu’ils ne peuvent porter, et que vous-mêmes vous ne touchez pas ces fardeaux d’un seul de vos doigts. MALHEUR à vous, qui bâtissez les tombeaux des prophètes ; et ce sont vos pères qui les ont tués. Certes, vous témoignez que vous consentez aux œuvres de vos pères ; car eux, ils les ont tués, et vous, vous bâtissez leurs tombeaux. C’est pourquoi la sagesse de Dieu a dit : Je vous enverrai des prophètes et des apôtres, et ils tueront les uns et ils persécuteront les autres, afin qu’il soit demandé compte à cette génération du sang de tous les prophètes qui a été répandu depuis la création du monde, depuis le sang d’Abel jusqu’au sang de Zacharie, qui a été tué entre l’autel et le temple. Oui, je vous le dis, il en sera demandé compte à cette génération. MALHEUR à vous, docteurs de la loi, parce que vous avez pris la clef de la science ; vous-mêmes, vous n’êtes pas entrés, et vous avez arrêté ceux qui voulaient entrer. » (St Luc XI, 47-52)

     Tel est le terrible constat et le procès fait par Jésus sur l’œuvre inique accomplie par  leurs pères, imitateurs de Caïn depuis « Abel jusqu’’à Zacharie » à qui ils succédèrent, et le châtiment que Dieu fit tomber sur cette génération juive punie pour ses propres crimes et ceux des générations précédentes.

MATTHIEU XXI : 33-46 (Parabole des vignerons homicides)

« Il y avait un père de famille, qui planta une vigne (…) puis il la loua a des vignerons, et partit pour un pays lointain. Or, lorsque le temps des fruits approcha, il envoya ses serviteurs aux vignerons (…) Mais les vignerons s’étant saisis de ses serviteurs, battirent l’un, tuèrent l’autre, et en lapidèrent un autre. Il leur envoya encore d’autres serviteurs, en plus grand nombre que les premiers, et ils les traitèrent de même. Enfin il leur envoya son fils, en disant : Ils auront du respect pour mon fils. Mais les vignerons, voyant le fils, dirent entre eux : Voici l’héritier ; venez, tuons-le, et nous aurons son héritage. Et s’étant saisis de lui, ils le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent. Lors donc que le maître de la vigne sera venu, que fera-t-il à ces vignerons ? Ils lui dirent : Il fera périr misérablement ces misérables, et il louera sa vigne à d’autres vignerons (…) C’est pourquoi, je vous dis que LE ROYAUME DE DIEU VOUS SERA ENLEVE ET qu’il sera DONNE A UNE NATION QUI EN PRODUIRA LE FRUIT. »  

     Qu’ont fait les « vignerons » ? (les guides du peuple d’Israël). Ils ont maltraité et tué tous les serviteurs que Dieu leur avait envoyés, comme Jésus nous l’a fait remarquer, ci-dessus en Saint Luc, concernant les prophètes. Mais dans cette parabole des vignerons, Ils vont encore plus loin, jusqu’à « tuer le fils de Dieu, l’héritier de la vigne » montrant, par là, qu’ils veulent garder pour eux-mêmes, pour leur propre gloire, cette vigne - ce royaume de Dieu - que le Seigneur leur avait LOUEE afin qu’ils la gèrent et la fassent fructifier pour la gloire de Dieu.

    Ainsi, le rejet et la mise à mort du Fils (Jésus-Christ) disqualifient les guides du peuple d’Israël indociles et révoltés contre les serviteurs que Dieu leur envoie, tout comme les rabbins d’aujourd’hui - leurs successeurs et continuateurs qu’ils soient réformistes ou talmudistes - ainsi que les malheureux Juifs égarés par eux. Ils sont disqualifiés pour faire fructifier la vigne dont ils ont été dépossédés par Dieu car, après tous ces homicides, ils n’en étaient plus dignes. D’ailleurs, Ils se qualifient eux-mêmes (les vignerons) de « misérables » et  leur appliquent la sentence « il louera la vigne à d’autres vignerons ». Jésus rectifiera juste un point : là où ils disent « il la louera » car ce royaume de Dieu (la vigne) ne leur avait été que loué, il dira « il sera DONNE »

     Cette vigne a donc été « enlevée » aux Juifs, à cause de leurs crimes répétés contre les envoyés de Dieu, y compris le meurtre de son Fils. Ainsi, ce qui n’était qu’une LOCATION faite aux Juifs est devenue un « DON à une nation qui en produira les fruits ». Cette nation n’est plus délimitée par un espace géographique et des frontières terrestres : c’est celle qui, issue de toutes les nations de la Gentilité, se bâtit depuis les Apôtres autour de « l’héritier, le Christ, le Fils de Dieu » c’est-à-dire l’Eglise qui est composée de tous les baptisés sortis des peuples païens et des Juifs convertis. Elle continuera de se construire jusqu’à ce que le temps des nations soit accompli, et que le dernier baptisé y soit entré.

     A l’instar de la jalousie de Lucifer qui, par orgueil à vouloir s’élever (1), refusa de se soumettre à l’humilité du Verbe de Dieu qui, pour sa part, consenti à s’abaisser par son Incarnation, cette dépossession « du royaume de Dieu » explique  la constance de la haine, de la jalousie et des manigances juives contre l’Eglise, les nations et les peuples chrétiens depuis les origines du christianisme. Cet orgueil et cette jalousie s’appuyant sur la puissance de l’or et la grande influence qu’il favorise, la corruption et l’achat des consciences qu’il permet, les poussent à faire violence au décret divin sur Israël et à s’en affranchir en allant jusqu’à forcer la main de Dieu pour reprendre « l’héritage » dont Il les a dépossédés. Pour cela, ils ont manigancé et orchestré, avec la permission de Dieu, la mise en place, par le sionisme politique, d’un foyer juif en Palestine qui deviendra progressivement un enfer pour eux, en même temps qu’un facteur permanent de malheurs et de conflits internationaux destinés à faire émerger non le Messie - qui est déjà venu et dont les Chrétiens attendent maintenant le retour comme il l’a promis - mais l’Antéchrist, le faux messie des Juifs, avant qu’un reste d’Israël ne se convertisse et soit sauvé, en disant après leur méprise : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! »

(A suivre si Dieu veut)

René Pellegrini 

 

(1) « Tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, j’établirai mon trône au-dessus des astres de Dieu, je m’assiérai sur la montagne de l’alliance, aux côtés de l’aquilon ; je monterai sur le sommet des nues, JE SERAI SEMBLABLE AU TRES-HAUT » (Isaïe XIV, 13-14). Nous trouvons dans les mots en majuscule l’origine du faux principe révolutionnaire de l’égalité, fruit de l’envie et de la jalousie, dont se parent nos hommes politiques et bien des citoyens, même ceux qui vont à l’Eglise, jusqu’à des membres du clergé. C’est dire le niveau d’aveuglement spirituel de ces personnes à qui certains confient leur propre avenir, et celui de leurs enfants pour les éduquer spirituellement. Le principe égalitaire c’est le langage de Lucifer depuis le Jardin d’Eden « Vous serez COMME des dieux » et l’essence même du libéralisme. C’est ce principe qui fut ardemment souhaité et encouragé par les Juifs, successeurs impénitents de ceux à qui Jésus déclara « Vous avez le diable pour père ». L’égalité, n’en pas pour s’en satisfaire mais, une fois obtenue, pour travailler ensuite, et en accord avec cette paternité satanique, à ce qui a toujours eu leur préférence et fut l’objet incessant de leur désir : la domination, en toutes choses, sur ceux qui ont la folie de leur accorder l’égalité de tous les droits civiques et politiques, comme le diable domine sur ceux qui se prêtent à ses suggestions ou à ses désirs. Domination qui leur permet, avec l’appui des supplétifs Francs-maçons, de déchristianiser les peuples chrétiens en extirpant la morale chrétienne pour lui substituer une législation – fruit des Lumières de la déraison du XVIIIe siècle – favorisant des mœurs perverties qui n’ont rien à envier aux pratiques de Sodome et de Sparte

Les trésors de Dieu


AVIS ET MAXIMES - 1

 

LES TRESORS DE DIEU   

 

Le Seigneur a toujours découvert aux mortels  

 

les trésors de sa sagesse et de son esprit.   

 

Mais il les découvre encore plus aujourd’hui,    

 

parce que la malice des hommes   

 

se montre davantage   

 

NOTA BENE : 

 

- Avis Et Maximes tirés des œuvres spirituelles de Saint Jean de la Croix

 

René Pellegrini

 

Le pouvoir judiciaire et exécutif de Jésus-Christ



 LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 8

 

LE POUVOIR JUDICIAIRE ET EXECUTIF DE JESUS-CHRIST

 

I - LE POUVOIR JUDICIAIRE DE JESUS-CHRIST

     Concernant ce pouvoir, deux remarques sont faites par le Pape : 

1 – D’abord, « C’est Jésus Lui-même qui L’affirme aux Juifs qui l’accusaient d’avoir violé le repos du sabbat par la guérison miraculeuse d’un paralytique » 

« Le Père ne juge, en effet, personne, mais il a donné tout jugement au Fils »

(St Jean V, 22) 

     Notre-Seigneur a donc été établi par son Père, comme juge suprême. Il rendra à chacun selon ses œuvres. Ce droit de juger est une des œuvres suprêmes de Jésus-Christ. Dans ce texte, le verbe « juger » a le sens de condamner. 

2 – Ensuite, « Dans ce pouvoir, il faut aussi comprendre – car la chose ne peut se séparer du jugement – la faculté de récompenser ou de punir de son plein droit les hommes, même durant leur vie» 

« Alors le roi dira (…) Venez, les bénis de mon Père, posséder le royaume qui vous a été préparé dès l’établissement du monde (…) Retirez-vous de moi, maudits, allez au feu éternel, qui a été préparé pour le diable et pour ses anges (…) » (St Matthieu XXV, 34,41) 

    Comme le montre le verset c’est en qualité de « Roi », investi de son triple pouvoir, que Notre-Seigneur Jésus-Christ exerce son pouvoir judiciaire sur Les hommes. On remarquera les paroles accueillantes, aimables et douces de Jésus aux « bénis de Dieu le Père » et, par contraste, les paroles effrayantes « retirez-vous de moi » sur les réprouvés « maudits » repoussés loin de Dieu, la source de tout bonheur. « Et il nous a ordonné de prêcher et d’attester au peuple que c’est Lui qui a été établi par Dieu juge des vivants et des morts » (Actes X, 42) (1)

     Le rôle de « juge » confié à Jésus-Christ par Dieu faisait aussi partie de la prédication confiée aux apôtres. Il s’agissait d’un « ordre » du Seigneur.

II - LE POUVOIR EXECUTIF DE JESUS-CHRIST

     Sur ce point, le Pape est très bref :

« Le pouvoir exécutif doit être attribué au Christ puisque tous doivent obéir à son commandement » 

     Dans l’ordre naturel, le pouvoir de châtier les coupables revient de droit à celui qui possède la légitimité pour exercer cette prérogative. Or, comme cela a été établi par les articles précédents, Notre-Seigneur possède les titres de la plus haute légitimité qui soit (droit de nature et droit de conquête) pour exercer la justice sur les rebelles à ses commandements.

 

(A suivre…« Nature de la Royauté du Christ »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Ce texte n’est pas cité par le Pape.

 

Mis sur un autre blogue le 30 septembre 2014

mardi 24 mai 2022

Comment il faut invoquer et bénir Dieu dans l'affliction



 COMMENT IL FAUT INVOQUER ET BENIR DIEU DANS L’AFFLICTION


     Que votre nom soit béni à jamais, Seigneur, qui avez voulu m’éprouver par cette peine et cette tentation.

     Puisque je ne saurais l’éviter, qu’ai-je à faire que de me réfugier vers vous, pour que vous me secouriez, et qu’elle me devienne utile ?

     Seigneur, voilà que je suis dans la tribulation ; mon cœur malade est tourmenté par la passion qui le presse.

     Et maintenant que dirais-je ? O Père plein de tendresse ! Les angoisses m’ont environné. Délivrez-moi de cette heure.

     Mais cette heure est venue pour que vous fassiez éclater votre gloire, en me délivrant après m’avoir humilié profondément.

     Daignez, Seigneur, me secourir ; car, pauvre créature que je suis, que puis-je faire, et où irais-je sans vous ?

     Seigneur, donnez-moi la patience encore cette fois.

     Soutenez-moi, mon Dieu, et je ne craindrai point, quelque pesante que soit cette épreuve.

     Et maintenant que dirai-je encore ? Seigneur, que votre volonté se fasse. J’ai bien mérité de sentir le poids de la tribulation.

     Il faut donc que je le supporte : faites, mon Dieu, que ce soit avec patience, jusqu’à ce que la tempête passe, et que le calme revienne.

     Votre main toute puissante peut éloigner de moi cette tentation et en modérer la violence, afin que je ne succombe pas entièrement, comme vous l’avez déjà tant de fois fait pour moi, ô mon Dieu, ma miséricorde !

     Et autant ce changement m’est difficile, autant il vous l’est peu : c’est l’œuvre de la droite du Très-Haut.

 

(Imitation de Jésus-Christ, Livre III - 29)

 

René Pellegrini

Les Exercices Spirituels de Saint Ignace de Loyola : Pourquoi des Exercices Spirituels ?



 LES EXERCICES SPIRITUELS DE SAINT IGNACE DE LOYOLA - 1

 

POURQUOI DES EXERCICES SPIRITUELS ?

 

     Dans une France anciennement chrétienne, imitant désormais un monde avide de biens et de jouissances purement temporels, obnubilée par les plaisirs et les voluptés de toutes sortes, mettant sa gloire dans ce qui constitue sa honte, et marchant à vive allure vers le châtiment que lui mérite son apostasie, nous devons, malgré toutes les pressions générées par un environnement humain indifférent et délétère, voire hostile, travailler à notre perfectionnement chrétien, à notre sanctification et opérer notre salut avec crainte et tremblement selon la pressante exhortation de saint Paul :

« Ainsi, mes biens aimés, comme vous avez été toujours obéissants, ayez soin, non seulement en ma présence, mais beaucoup plus maintenant en mon absence, d’opérer votre salut avec crainte et tremblement » (Philippiens II, 12)

     Comment souscrire pleinement à ces paroles, parvenir à un tel sérieux dans notre vie chrétienne en vivant dans un milieu ambiant où le libéralisme politique, social, religieux, voire familial, favorise davantage le relâchement et la désinvolture que l’abnégation dans le travail de sanctification ? Dans un milieu qui affiche de plus en plus son hostilité à l’égard de ceux qui, délaissant les chimères du monde, ne veulent plus savoir qu’une seule chose « Jésus crucifié » selon la belle expression de Saint Paul ? :

« Car je n’ai pas jugé savoir autre chose parmi vous que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié » (I Corinthiens II, 1)

     Comment continuer à vivre en soldat du Christ et Lui accorder la primauté sur toutes choses avec un entourage modelé intellectuellement par tous les moyens modernes d’information et d’intoxication, et subtilement orienté par la frénésie des sondages qui, s’il fallait les croire, mettrait en évidence l’incroyable mais alors bien réelle versatilité des sondés ne comprenant plus, ne concevant plus choses d’ici-bas autrement que par ces incontestables et sempiternelles duperies que sont le dialogue, le compromis et le consensus dans les relations humaines qu’elles soient politiques, sociales ou religieuses. Là, où il faudrait plutôt être déterminé à combattre sans cesse pour l’honneur de Dieu et de son Evangile afin de « réduire en servitude toute intelligence, sous l’obéissance du Christ » comme le fit et l’enseigna Saint Paul :

« Les armes de notre milice ne sont point charnelles, mais puissantes en Dieu pour la destruction des remparts ; détruisant les projets et toute hauteur qui s’élève contre la science de Dieu ; et réduisant en servitude toute intelligence, sous l’obéissance du Christ. » (II Corinthiens X, 4,5)

     Pour mener avec succès un tel combat et résister à un tel courant, il existe une arme de choix : ce sont « Les Exercices spirituels de Saint Ignace de Loyola »

     Bien sûr, il existe d’autres méthodes de spiritualité. Par exemple, celle des Bénédictins, des Chartreux, des Salésiens, mais, sans vouloir en aucune manière les déprécier, nous avons sur cette question un avis autorisé : celui de l’Eglise qui par la voix du Pape Pie XI s’exprime de la façon suivante :

« Or, la preuve est faite, parmi toutes les méthodes, louables assurément, puisqu’elles sont fondées sur les principes d’une saine ascèse catholique, il en est une qui a toujours tenu le premier rang, honorée de l’approbation entière et maintes fois répétée du Saint Siège, illustrée par les éloges de personnages aussi illustres par leur science des choses divines que par leur sainteté, qui a produit enfin des fruits innombrables de vertu pendant près de quatre siècles : c’est la méthode de Saint Ignace de Loyola, celui qu’il nous plaît d’appeler le Maître principal et le spécialiste des Exercices Spirituels. Son « admirable livre des Exercices (…) s’est imposé avec éclat comme le code le plus sage et le plus universel des lois du salut et de la perfection des âmes, comme la source intarissable de la piété la plus élevée et la plus solide, comme un aiguillon irrésistible et un guide très averti pour aider les âmes à se réformer et atteindre les sommets de la vie spirituelle. » (Encyclique Mens Nostra du 20 décembre 1929)

 

(A suivre… « Le code le plus sage et le plus universel »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras dans le texte. 

 

Mis sur un autre blogue le 29 octobre 2014

Traité du Saint-Esprit - 8 : Plan du Traité du Saint-Esprit - 2


TRAITE DU SAINT-ESPRIT - 8

 

PLAN DU TRAITE DU SAINT-ESPRIT – 2

 

     Toute cité se divise en deux classes : les gouvernants et les gouvernés. Après les princes viennent les citoyens de deux cités : les hommes. Nous montrons leur existence placée entre deux armées ennemies qui se la disputent, ainsi que les remparts dont le Saint-Esprit environne la Cité du bien, pour empêcher l’homme d’en sortir ou le démon d’y pénétrer.

     Connaître les deux Cités en elles-mêmes et dans leur existence métaphysique, ne suffit pas à nos besoins : il faut les voir en action. De là, l’histoire religieuse, sociale, politique et contemporaine de l’une et de l’autre. Ce tableau embrasse, dans ses causes intimes, toute l’histoire de l’humanité : nous n’avons pu que l’ébaucher. Néanmoins, notre esquisse met en relief le point capital, c’est-à-dire le parallélisme effrayant qui existe entre la Cité du bien et la cité du mal, entre l’œuvre divine pour sauver l’homme, et l’œuvre satanique pour le perdre. Exposer ce parallélisme non-seulement dans son ensemble, mais encore dans ses principaux traits, nous a semblé le meilleur moyen de démasquer l’Esprit de ténèbres et de faire sentir vivement au monde actuel, incrédule ou léger, la présence permanente et l’action multiforme de son plus redoutable ennemi.

     De là résulte, évidente comme la lumière, l’obligation perpétuelle et perpétuellement impérieuse où nous sommes tous, peuples et individus, de nous tenir sur nos gardes, et, sous peine de mort, de rester ou de nous replacer sous l’empire du Saint-Esprit. Cette conséquence termine le premier volume de l’ouvrage et conduit au second.

     Pour que l’homme et le monde sentent la nécessité de se replacer sous l’empire du Saint-Esprit, il faut, avant tout, qu’ils connaissent ce divin Esprit : Ignoti nulla cupido. (1) Une connaissance générale et purement philosophique ne saurait suffire. Il faut une science intime, détaillée, pratique : la donner est le but de nos efforts.

     Après avoir montré la divinité du Saint-Esprit, parlé de sa procession et de sa mission, expliqué ses attributs, nous suivons son action spéciale sur le monde physique et sur le monde moral, dans l’Ancien Testament. Ce travail nous prépare aux temps évangéliques.

     Ici se révèle, dans toute la magnificence de son amour, la troisième personne de l’adorable Trinité. Devant nous se présentent quatre grandes créations : la sainte Vierge, le Verbe incarné (2), l’Eglise, le chrétien. Ces quatre chefs-d’œuvre sont étudiés avec d’autant plus de soin, qu’ils sont toute la philosophie de l’histoire ; car ils résument tout le mystère de la grâce, c’est-à-dire toute l’action de Dieu sur le monde.

     Ce mystère de la grâce, par lequel l’homme devient dieu, (3) est, autant qu’il a dépendu de nous, exposé dans ses admirables détails. Nous disons le principe de notre génération divine, les éléments dont il se compose, leur nature, leur enchaînement, leur développement successif, jusqu’à ce que le fils d’Adam soit parvenu à la mesure du Verbe Incarné, Fils de Dieu et Dieu lui-même. Les vertus, les dons, les Béatitudes, les Fruits du Saint-Esprit, tout le travail intime de la grâce, si peu estimé de nos jours, parce qu’il est bien peu connu, sont expliqués avec l’étendue nécessaire au chrétien qui veut s’instruire lui-même, et au prêtre chargé d’instruire les autres.

     Les béatitudes du temps conduisent à la béatitude de l’éternité. Devenu enfant de Dieu par le Saint-Esprit, l’homme a droit à l’héritage de son Père. Franchissant le seuil de l’éternité, nous essayons de soulever un coin du voile jeté sur les splendeurs et les délices de ce royaume créé par l’amour, régi par l’amour, où tout est, pour le corps comme pour l’âme, lumière sans ombre, vie sans limites, c’est-à-dire communion plénière, incessante du Saint-Esprit aux élus et des élus au Saint-Esprit : flux et reflux d’un océan d’amour qui plongera les élèves du Chrême, alumni Chrismatis (4), dans une ivresse éternelle.

     Tant de bienfaits de la part du Saint-Esprit demandent une reconnaissance proportionnée de la part de l’homme. Nous montrons comment cette reconnaissance s’est manifestée dans la suite des siècles, comment elle doit se manifester encore. Elle brille dans le tableau du culte du Saint-Esprit, des fêtes, des associations, des pratiques publiques et privées, établies en l’honneur du Bienfaiteur éternel, à qui toute créature du ciel et de la terre est redevable de ce qu’elle est, de ce qu’elle a, de ce qu’elle espère : Neque enim est ullum omnino donum absque Spiritu Sancto ad creaturam perveniens. (5)

 

(A suivre…« Les références pour le Traité du Saint-Esprit »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras, et les notes ci-dessous.

 

(1) Ignoti nullo cupido est une locution latine signifiant : on ne désire pas ce qu’on ne connaît pas.

(2) Le Verbe Incarné c’est le Verbe de Dieu fait chair : Jésus, le Fils de Dieu.

(3) La justification méritée par la Passion de Jésus-Christ a pour but la participation à la nature divine en nous faisant enfants de Dieu par le principe de génération qu’est la grâce.

(4) Elèves oints : élèves ayant reçu l’onction

(5) Il n’est pas possible pour la créature d’y atteindre sans le don du Saint-Esprit.

 

René Pellegrini


 

lundi 23 mai 2022

Catholiques, Attention ! - 2 : Les motifs de persécution


 CATHOLIQUES, ATTENTION ! – 2 :

 LES MOTIFS DE PERSECUTION

 

« Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maîtreS’ils m’ont persécutéils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom parce qu’ils ne connaissent point celui qui m’a envoyé. » (St Jean XV, 20-22)

     Ne pas être oublieux de l’histoire permet de pressentir ce qui peut arriver. Les Juifs sont donc désignés comme persécuteurs par Jésus. Comment cette persécution contre les chrétiens qui est inévitable peut-elle advenir ?

     De par la puissance acquise aujourd’hui la persécution peut être directement le fait des Juifs ou plutôt, comme aux jours de Jésus, par l’utilisation d’agents extérieurs que permettraient les circonstances existantes ou créées. Pour quels motifs les gouvernements judéo-maçonniques actuels pourraient-ils déclencher cette persécution ? Elle pourrait se fonder sur un motif religieux ou politique, ou les deux ensembles. Expliquons !

MOTIF RELIGIEUX

     Averti que « le serviteur n’est pas plus grand que son maître » comment les Juifs en sont-ils arrivés à condamner Jésus à Mort ? L’affaire pris d’abord une tournure religieuse, en l’accusant de blasphème car « il s’est fait Fils de Dieu » (St Jean XIX, 7) dirent-ils à Pilate. Mais il ne voulut pas intervenir sur un problème concernant la loi religieuse juive. Dépités, ils abandonnèrent la question religieuse pour la reporter sur le plan politique « Si tu le relâches, tu n’es pas un ami de César. Quiconque se fait roi se déclare contre César » (St Jean XIX, 12) Cette fois, le problème était beaucoup plus sérieux, l’autorité de César était mise en cause. Pilate, représentant de la puissance impériale se devait d’intervenir, nous en connaissant l’issue après que, plusieurs fois, il ait tenté de fléchir l’acharnement meurtrier des pharisiens.

     A notre époque, sur un plan religieux, avant la venue de l’Antéchrist, en utilisant le trompeur « vivre ensemble » devenant de plus en plus contraignant car destiné à diluer le Christ et sa doctrine dans un magma religieux protéiforme. En effet, il faut rappeler que ce n’est pas Dieu (1) qui pose problème mais « le nom de Jésus-Christ » la persécution advenant « à cause de mon nom ». Le « vivre ensemble » consistant à ne pas faire de vagues, en mettant en sourdine les doctrines et les enseignements de Jésus et de l’Eglise trop explicites concernant certaines personnes, comportements et pratiques politiques ou religieuses.

     Un certain clergé pourrait insinuer, comme les Juifs le firent de manière calomnieuse contre Jésus, (St Luc XXIII, 2-5) que les chrétiens non-conciliaires « exciteraient la nation à la révolte, et soulèveraient le peuple » par leur intransigeance, en ne respectant pas le « vivre ensemble » ce pandémonium religieux de la laïcité devenant, par les conditions posées, incompatible et opposé à la claire mission confiée par Jésus aux chrétiens et Catholiques : Prédication non seulement théorique mais aussi pratique et conduisant à l’obéissance.

« Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit, et leur enseignant à observer tout ce que je vous ai commandé. » (St Matthieu XXVIII, 19,20)

     Il faut donc, et c’est l’ordre formel de Notre-Seigneur « enseignez toutes les nations » et pas « sauf les Juifs » comme l’enseigne une certaine hiérarchie conciliaire traîtresse à sa mission, alors que Jésus montra l’exemple en commençant sa prédication par eux, comme l’ont fait les Apôtres, et l’Eglise à leur suite.

     Une telle insinuation serait mensongère car ces chrétiens (quel que soit le vocable utilisé pour les discréditer ou les mettre au ban de la société) n’encourageront, ni n’exciteront à la révolte contre un système institutionnel verrouillé par les révolutionnaires de droite et de gauche et, de plus, étant présentement privés de toute autorité légitime pour les guider. Ce serait absurde de leur part, car utiliser ces moyens placeraient nécessairement ceux qui les utilisent au service même de l’une ou l’autre des composantes de la Révolution.

     Ce clergé pourrait aussi se prévaloir, auprès du César judéo-maçon actuel, de la « coercition » cautionnée par la déclaration de Benoît XVI, à l’ONU, le 18 avril 2008.

« Tout État a le devoir primordial de protéger sa population contre les violations graves et répétées des droits de l’homme (…) L’action de la communauté internationale et de ses institutions, dans la mesure où elle est respectueuse des principes qui fondent l’ordre international, ne devrait jamais être interprétée comme une coercition injustifiée ou comme une limitation de la souveraineté. » (2)

     Or, ces droits de l’homme sont la négation même des Droits de Dieu (3), ils ont été condamnés par l’Eglise et, en considérant les turpitudes qui de nos jours entre dans le catalogue de ces droits, ils sont une insulte majeure et réitérée faite à Dieu. Ne pas y adhérer, pour rester fidèle aux commandements de Dieu serait considéré, par ces suppôts de Satan, comme violation entraînant la coercition.

      Dans la mesure où cette possibilité ne serait pas saisie durant la phase pré-antéchristiquecelle de l’avant-coureur de l’antéchrist (Message de la Salette) il lui resterait le motif politique pour son intervention.

MOTIF POLITIQUE

     Quel pourrait-être, alors, le chef d’accusation sur le plan politique ?

     Comme au premier siècle, pour l’exécution d’un seul Homme, ils utilisèrent comme on vient de le voir, un prétexte politique et, par la suite, les autorités politiques existantes contre les disciples. Aujourd’hui, il ne s’agit plus seulement de quelques disciples mais de plus d’un milliard de chrétiens catholiques dans le monde, dont vingt-cinq à trente millions en France, avec une foi plus ou moins bien enracinée. Devant un tel nombre autant utiliser, ils savent faire, les instruments que permettent les circonstances créées par les folies guerrières mondialistes pour justifier, auprès de l’opinion publique, une politique ''humanitaire'' d’immigration forcenée afin d’assouvir les sombres desseins du satanique cosmopolitisme judéo-maçonnique, dont la mission est la dissolution dans le magma religieux, voire l’éradication de la culture et de la civilisation chrétiennes qui rappellent trop le Christ à ses ennemis démonisés.

     Au-delà des discours officiels, des gesticulations et des simagrées politico-religieuses la main sur le cœur, les professionnels de l’agitation et des révolutions - dont on ignore plus aujourd’hui l’origine raciale - utilisent l’islam manipulé à outrance, voire conforté dans ses désirs d’afficher publiquement certaines pratiques religieuses incompatibles dans une société de culture et de traditions chrétiennes. Ces pratiques destinées à échauffer les esprits, attiser les tensions communautaires, provoquer des troubles devant générer des affrontements par les agitateurs noyautant ces mouvements politiques de gauche ou de droite, ou des mouvements religieux se réclamant plutôt du christianisme dit progressiste c’est-à-dire avec voilure à gauche, ou de droite bâtarde, ou du catholicisme traditionnel avec ou sans ecclésiastique(s) à leur tête et, en cas de dérives, d’embrasements, d’émeutes ou de morts, fournir le prétexte politique fallacieux pour nuirepar amalgame, à ceux qui dénoncent l’hypocrisie et la tromperie du « vivre ensemble » et son véritable but sans inciter ni se mêler aux affrontements, en se tenant sagement à l’écart.

      Sans exclure des actions sous fausse bannière. Il est à craindre que des Catholiques appartenant à certains mouvements nationalistes, royalistes, cercles ou mouvements religieux traditionalistes, intégristes puissent être manipulés. Le ressentiment et l’exaspération prédisposant à commettre - suite à des provocations qui ne manqueront pas avec un objectif bien précis - des actes réprimés par la loi permettant l’interdiction, voire la mise au ban de la société du christianisme catholique non-conciliaire, le plus visé et le plus détesté, car sans complaisance.

     Je répète ce que j’ai déjà écrit par ailleurs (4), ne vous laissez pas entraîner dans des manifestations, petites ou grandes, de quelque nature qu’elle soit, ni embrigader dans un parti politique, même se présentant comme catholique, même avec drapeau du Sacré-Cœur de Jésus (5) tout en se soumettant au mensonge universel (Pie IX) qu’est le suffrage universel car, présentement, il n’y a aucune autorité légitime pour prendre la tête d’un tel parti. D’autre part, si en régime révolutionnaire un parti politique catholique reçoit l’autorisation de postuler, il est probable qu’il soit déjà infiltré depuis quelque temps et avoir été suscité, à l’insu des braves et honnêtes gens qui le soutiennent, pour fournir, suite à l’élaboration d’actions ou d’événements à mettre en œuvre, le prétexte nécessaire pour justifier une décision autoritaire de justice contre certains chrétiens. Plus troublant si un tel parti dénonce avec force la pieuvre maçonnique (ce qu’il faut faire) mais oubli (?) de mettre en évidence ceux qui l’ont fabriquée et lui donnent, pour l’instant, la main d’association. Je dis pour l’instant car n’étant qu’un instrument à leur service pour œuvrer à la déchristianisation des sociétés à culture chrétienne, ils s’en débarrasseront le moment venu. Francs-maçons des Loges bleues et des petits grades dormez bien, car c’est dans les très hauts degrés tenus par les Juifs que tout deviendrait plus clair pour vous sur le niveau d’ignominie de cette secte mais, pour cela, il faut le mériter car vous êtes très bien scrutés par des membres des hauts-grades participant, à votre insu, à vos travaux en loge !

      Les persécutions viendront. Il n’y a aucun doute là-dessus car c’est toujours cette même haine du Christ, désormais inaccessible mais reportée sur ses disciples, qui anime les persécuteurs. Plutôt que d’aller manifester, préparons-nous plus utilement à y faire face, en persévérant chaque jour dans la prière, la seule arme efficace de combat avec le chapelet, pour le salut de notre âme et celle de ceux qui voudront bien nous entendre. Afin de ne pas entrer en tentation devant l’ignoble qui se prépare dans cet impudique et lubrique paganisme cananéen que sont devenus la France et ce monde, menons une vie chrétienne authentique et cultivons les vertus de Jésus-Christ, dans l’attente de revenir sous son sceptre qu’Il nous a promis « Je régnerai malgré mes ennemis ». Prions aussi pour les Juifs, non selon la nouvelle formulation fabriquée pour leur complaire, mais selon celle qui fut utilisée pendant des siècles pour leur conversion :

« Prions pour les Juifs perfides, afin que le Seigneur notre Dieu enlève le voile qui couvre leurs cœurs, et qu’ils reconnaissent avec nous Jésus-Christ. Dieu tout-puissant et éternel qui ne refusez pas votre miséricorde, même aux perfides juifs, exaucez les prières que nous vous faisons pour vaincre l’aveuglement de ce peuple, afin que, reconnaissant la lumière de votre vérité, qui est le Christ, ils soient retirés de leurs ténèbres. Par Jésus-Christ, notre Seigneur » (Prière solennelle de l’Eglise pour le Vendredi Saint)

 

René Pellegrini

 

(1) Ce n’est pas Dieu qui pose vraiment problème car derrière ce mot en peut y mettre des choses bien différentes : le Dieu Trine ou Dieu unique en trois personnes des Chrétiens (Père, Fils et Saint-Esprit) c’est-à-dire la vie intime de Dieu ; le Dieu unique et égocentrique des Juifs apostats et des musulmans ; le dieu androgyne des ésotéristes, des gnostiques, des kabbalistes et talmudistes ; le Grand Architecte de l’univers des Francs-maçons spiritualistes et, l’état de délabrement cérébral aidant, même les idoles du sport et du spectacle.

(2https://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/speeches/2008/april/documents/hf_ben-xvi_spe_20080418_un-visit.html

(3) - Encyclique Adeo Nota du Pape Pie VI, 23 avril 1791

- Consistoire du 11 juin 1793, Pie VI

- Deux articles du Syllabus (1864) : 39 et 56, du Pape Pie IX

- Encyclique Immortale Dei de Léon XIII sur le droit nouveau 1885

- Lettre Anno jam exeunte de Benoît XV, 1917

(4https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/138048387685358?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/140766354080228?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/141827603974103?__tn__=K-R

(5) En 1958, certains de ceux qui agissaient comme cinquième colonne pour brader l’Algérie, avec pour conséquences les massacres, par dizaines de milliers, de colons et de harkis, se sont introduits dans les comités de salut public en portant l’insigne du Sacré-Cœur à la boutonnière. Le cornu et ses agents savent ce qu’il faut faire pour tromper.

 

Mis sur un autre blogue le 24 août 2016

 

Adultère et fornication : L'adultère - 2



 L’ADULTERE ET LA FORNICATION - 4 

 

L’ADULTERE – 2 

     Le Pape ajoute :

« Eh bien que, ensuite, le suprême Législateur divin ait, pour un temps, relativement relâché la rigueur de cette loi primitive, il est absolument certain que la loi évangélique a restauré en son intégrité cette parfaite unité primitive et qu’elle a aboli  toute dispense (…) Notre-Seigneur n’a d’ailleurs pas seulement voulu condamner toute forme de polygamie et de polyandrie, successive ou simultanée, ou encore tout acte déshonnête extérieur ; mais pour assurer complètement l’inviolabilité des frontières sacrées de l’union conjugale, il a prohibé aussi les pensées et les désirs volontaires  concernant toutes choses : 

« Et moi je vous dis que quiconque arrête sur une femme son regard de     concupiscence a  déjà commis l’adultère dans son cœur»                         (St Matthieu V, 28 )

     Le dixième commandement de la loi mosaïque « Tu ne convoiteras point la femme de ton prochain (…) » (Deutéronome V, 21) interdisait déjà les désirs mauvais « convoitise » mais, comme tous les codes publics, il s’attaque surtout à l’acte extérieur. Dans le but de préserver les relations conjugales et la sainteté du foyer, Jésus-Christ, dans la nouvelle Alliance, perfectionnera la loi de Moïse en référant ces relations au premier mariage institué par Dieu dans le jardin d’Eden, et en mettant en évidence ce qui, dans l’ancienne Alliance de Moïse, demeurait à l’arrière-plan : le regard volontairement coupable.

     De nos jours, la polygamie (3) et la polyandrie (4) sont prêchées par l’exemple, dans les deux sexes, par des dirigeants et des responsables politiques, des chanteurs, des comédiens (appelés idoles et vénérés par leurs fans) et par bon nombre d’hommes et de femmes de toutes conditions. Quant à notre Président actuel (5) – fier adepte de la religion concubinaire et prédicateur de luxure par l’exemple dans la foulée de son prédécesseur - et sans doute par crainte d’élever le niveau et de penser avec son intelligence, il a plusieurs épouses en vie. Il est donc polygame selon la loi divine qu’il bafoue comme le vrai mécréant qu’il est ; car seule la mort rompt le lien du mariage devant Dieu. Quant à la loi démocratique républicaine et révolutionnaire ((6) reflet, non pas des lois divines qu’elle piétine allégrement, mais des senteurs de latrines, elle fonctionne comme un égout collecteur et diffuseur complaisant de toutes les insanités sécrétées par les philosophies issues du paganisme de Sparte, de la gnose et des élucubrations sephirotiques de la Kabbale juive, elle lui permettra d’en d’avoir bien d’autres, s’il lui en prend l’envie. Qui dit que le harem est seulement affaire de sultans et de pachas ?

 

(A suivre…« La fornication dans les ouvrages profanes »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

- C'est moi qui mets en gras et souligne dans le texte

 

(3) Du grec polugamos : polus (plusieurs) gamos (union, noces, mariage). Se dit plus généralement pour un homme marié plusieurs fois.

(4) Du grec poluandros : polus (nombreux) et andros (homme). Situation d’une femme mariée à plusieurs hommes.

(5) Lors de la rédaction de cet article, le 15 janvier 2013, il s’agissait de M. François Hollande.

(6) Cette morale future et les sacrifices humains que générera cette liberté révolutionnaire – caricature grotesque de la liberté des enfants de Dieu - déjà préfigurés et annoncés, pour les Initiés, en 1830, dans le tableau d’Eugène Delacroix intitulé « La liberté guidant le peuple » représentant une femme à la poitrine dépenaillée conduisant les révolutionnaires s’avançant vers des cadavres de soldats.

 

Mis sur un autre blogue le 15 janvier 2013

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...