dimanche 1 mai 2022

Ave Maria, entends nos prières


 

AVE MARIA, ENTENDS NOS PRIERES

 

     Très beau chant à la Sainte Vierge qui élève l'âme, de Jean-Claude Giannada.


Je l'utilise sans but commercial. Elle peut être supprimée si elle devait contrevenir aux droits d'auteur.  https://www.youtube.com/watch?v=KomRJePPq4E

     Le Fils de Dieu, avant d’expirer sur la Croix, voyant sa mère et Saint Jean, prononça ces paroles :

« Femme, voilà votre fils. Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et à partir de cette heure, le disciple la prit chez lui. » (St Jean XIX, 26-27)

     Faites comme St Jean, prenez-là chez vous, car elle ne peut que vous conduire à Jésus-Christ et vous aider à le garder

 

René Pellegrini

La marque de l'esprit révolutionnaire et ses causes



LA MARQUE DE L’ESPRIT REVOLUTIONNAIRE ET SES CAUSES

 

     Une bonne appréciation de ce que sont la Révolution et l’esprit révolutionnaire aide à comprendre qu’en politique se dire de gauche ou de droite, de multiplier stupidement les sigles d’appartenance pour mieux égarer ou embarrasser l’électeur, n’est pas le critère fondamental pour juger de l’esprit et des finalités qui animent réellement les prétendants à une élection présidentielle, à la députation ou à des charges publiques. En effet, il est patent que l’esprit révolutionnaire souffle dans ces diverses composantes politiques eu égard à la place qu’ils se refusent d’accorder à Dieu Notre-Seigneur (ce qui devrait être en haut) dans leur programme respectif.

     Ainsi, la pierre de touche, la marque, le propre et le constant du système et de l’esprit révolutionnaires, ce qui permet de les reconnaître comme tels sous leurs différents masques (droite, gauche, centre, etc.), et de ceux qui s’y agrègent – qu’elles que soient les divisions et les animosités qu’ils affichent sur le grand théâtre de Guignol qu’est devenu la scène politique - c’est leur refus caractéristique et catégorique (chacun selon ses propres termes) de la Royauté de Notre Seigneur Jésus-Christ sur eux-mêmes et sur notre pays. Ce que je dis à propos du système et de l’esprit révolutionnaire français est aussi valable pour les prétendants politiques d’autres pays que la France. C’est-à-prendre en considération si vous n’êtes pas encore guéri du suffrage universel (le Père Noël des grandes personnes) aux dés pipés.

     De la place accordée à Dieu Notre-Seigneur dans la société civile et politique (qui ne peut être que la première) découle l’esprit qui anime réellement les institutions ainsi que les individus qui les défendent et les soutiennent, que ceux-ci s’affichent ouvertement révolutionnaires ou non, quand bien même vont-ils à l’Eglise, au temple, à la mosquée ou à la synagogue ; quand bien même sont -ils religieux, prêtres, évêques, cardinaux, ‘’papes’’, pasteurs, imams ou rabbins.

     Le fait que des hommes politiques aillent à l’Eglise n’est pas du tout une garantie. Ce qui importe, surtout, une fois sortie de l’Eglise, quelle place accorde-t-il à Jésus-Christ dans la vie publique : la première qui Lui revient de droit, ou dans le local des objets encombrants en attendant la prochaine Messe, lorsqu’il ne s’agit pas d’une présence hypocrite à caractère uniquement électoral ?

     Pour en terminer avec l’aspect révolutionnaire, il suffira de dire, succinctement, qu’examiner sous l’angle métaphysique, quatre causes prédisposent à la Révolution et à l’esprit révolutionnaire faisant agir, en paroles et en actions, à rebours de sa profession de foi informée par l’enseignement de l’Eglise et de l’Evangile :

- La cause formelle « Les hommes naissent libres et égaux en droits » contenue dans cette imposture qui fait tourner les têtes avant de les faire tomber : le mantra et faux principe révolutionnaire « Liberté–Egalité–Fraternité » d’origine maçonnique. A la naissance il n’y a pas plus dépendant que le nouveau-né. Quant aux droits ils doivent être compris dans leur sens révolutionnaire c’est-à-dire comme la négation même des droits de Dieu (1). Les mots de cette trilogie ont séduit beaucoup de Catholiques car s’ils sont acceptables pour un chrétien, leur contenu est différent examiné à la lumière des principes du christianisme.

- La cause matérielle : les hommes qui se laissent imposer cette cause formelle qui, prise dans un sens différent du christianisme, les amène progressivement à l’indifférence religieuse ou à la révolte contre Dieu, en ne lui attribuant pas la place, le respect, l’honneur et l’obéissance qui lui sont dus dans et par la société, ou qui se laissent séduire par la sonorité agréable mais mensongère des mots.

- La cause efficiente : le Diable ou Satan et les démons agissant sur la société par le moyen d’une double cause instrumentale : la Franc-maçonnerie et son inspirateur le judaïsme kabbalistique et talmudique (la gnose juive). Cette cause efficiente explique pourquoi la Révolution demeure et se perpétue, avec des hommes et sous des masques idéologiques différents : son inspirateur, Lucifer étant immortel de par sa nature spirituelle qu’il a conservée, après sa révolte contre Dieu son Créateur, devenant ainsi Satan ou adversaire de Dieu, et dont l’orgueilleuse ambition et le travail constant sont de recevoir par les hommes l’adoration que lui a refusé Jésus-Christ lors de sa troisième tentation. Adoration qu’il recevra par le moyen de l’Antéchrist et de ceux qui seront à son service à la fin des temps, pour livrer le dernier assaut contre l’Eglise qui aura été restaurée durant la sixième période de son histoire (Eglise de Philadelphie = Eglise de l’amour fraternel (Apocalypse III, 7-13), et avant le retour en gloire de Jésus-Christ.

- La cause finale ou le but : d’abord, le remplacement de l’aristocratie chrétienne par une aristocratie juive et gnostique et, ensuite, la damnation du plus grand nombre.

 

René Pellegrini

 

(1) Se rappeler que la Franc-Maçonnerie étant d’inspiration juive, le Talmud, le code morale et religieux des Juifs, enseigne que seul le Juif est un homme, les autres ne sont que des animaux. C’est une erreur de croire, et de faire accroire, que les Juifs sont nos ‘’frères aînés’’ car les rabbins ne suivent pas Moïse selon les enseignements de l’ancienne Synagogue fidèle jusqu’à Siméon le Juste, dépositaire de la tradition et grand prêtre après la mort d’Esdras le prophète. Les fameux ‘’frères aînés’’ suivent les enseignements des planificateurs du meurtre de Jésus-Christ jusqu’à nos jours, car pour eux le Talmud – l’expression écrite de la tradition des pharisiens - est au-dessus de Moïse. Depuis la crucifixion de Jésus, ils sont nos ‘’frères aînés’’ comme Caïn, l’aîné, l’était avec Abel.

 

Ultérieurement, si Dieu veut, on examinera ce qu’est la Contre-révolution et ce qu’il faut entendre par ce mot dans une optique chrétienne.

 

Mis sur un autre blogue le 9 janvier 2014 


 

La gloire du Saint-Esprit - Motif 1 (suite)



TRAITE DU SAINT-ESPRIT - 2  


LA GLOIRE DU SAINT-ESPRIT - MOTIF 1 (suite)

 

     En est-il de même pour le Saint-Esprit ? Ses œuvres propres ne sont pas sensibles, comme celles du Père et du Fils. La sanctification qu’il opère dans nos âmes, la vie qu’il répand partout échappe à la vue et au toucher. Il ne s’est pas fait chair comme le Fils. Comme lui, il n’a point habité, sous une forme humaine, parmi les enfants d’Adam. Trois fois seulement il s’est montré sous un emblème sensible, mais passager : colombe au Jourdain, nuée lumineuse au Thabor, langues de feu au Cénacle. Afin de le représenter, les arts n’ont pas, comme pour Notre-Seigneur, la faculté de varier leurs tableaux. Deux symboles : voilà tous les moyens plastiques laissés à la piété, pour redire aux yeux son existence et ses bienfaits. (1)

     Aussi qu’elle connaissance a-t-on du Saint-Esprit dans le monde actuel et même parmi les chrétiens ? Où sont les vœux qu’on lui adresse, le culte qu’on lui rend, la confiance et l’amour qu’on lui témoigne, l’expression sérieuse et soutenue du besoin continuel que nous avons de son assistance ? Son nom même, prononcé dans le signe de la croix, éveille-t-il les mêmes sentiments que celui du Père et du Fils ? Il est triste, mais il est vrai de le dire, la troisième personne de la Trinité dans l’ordre nominal, le Saint-Esprit, est aussi la dernière dans la connaissance et dans les hommages de la plupart des chrétiens. Cet oubli profond, tranchons le mot, cette ingratitude générale, est le calvaire du Saint-Esprit.

     Or, si la passion de la seconde Personne de l’adorable Trinité émeut le chrétien jusque dans les profondeurs de son être, comment voir de sang-froid la passion de la troisième ? Pour être moins accessible à nos sens extérieurs, en est-elle moins douloureuse ? N’est-ce pas le même abandon, le même mépris, trop souvent les mêmes blasphèmes ? De la bouche du divin Esprit ne vous semble-t-il pas entendre la plainte qui tombait des lèvres mourantes de l’Homme des douleurs :

« (…) j’ai attendu avec constance quelqu’un qui prit part à ma tristesse, et nul ne l’a fait ; et quelqu’un qui me consolât, et je n’ai trouvé personne. » (Psaumes LXVIII, 21) (2)

     Consoler le Saint-Esprit, ou du moins, comme Simon de Cyrène le fit pour le Verbe incarné, l’aider à porter sa croix : belle mission ! S’il en fut. Mais, pour de faibles créatures, le moyen de l’accomplir ? Employer tout ce qu’elles ont de vie à glorifier cette très adorable et très aimable Personne de l’auguste Trinité. Comment la glorifier ? En changeant, à son égard, l’ignorance et l’oubli en connaissance et en tendre souvenir ; l’ingratitude, en reconnaissance et en amour ; la révolte, en adoration et en dévouement sans bornes. Inutile de le dire, de tout point, une pareille tâche est au-dessus de nos forces. Aussi nous avons bien moins pour but de la remplir que de l’indiquer.

 

(A suivre… « L’avantage du clergé – Motif 2 »…si Dieu veut)

 

(1) L’Eglise a défendu de représenter le Saint-Esprit autrement que sous la forme d’une colombe ou de langues de feu (Bulle Sollicitudinis de Benoît XIV)

(2) Psaumes 69,21 dans les Bibles protestantes (Segond et autres)

 

René Pellegrini


 

L'ordre de Dieu



 L'ORDRE DE DIEU

 

      Sans l’ordre de Dieu, il ne peut y avoir d’ordre nulle part

     Jusques à quand occuperons-nous donc la capacité de notre âme de peines et d’inquiétudes qui n’ont rien de commun avec notre devoir présent ?

     Quand Dieu nous sera-t-il tout en toutes choses ?

Laissons les créatures se faire sentir selon ce qu’elles sont, mais que rien ne nous arrête : allons au-delà de tout le créé, et vivons très purement de Dieu même.

     L’ordre de Dieu, le bon plaisir de Dieu, la volonté de Dieu, l’action de Dieu, la grâce : tout cela est une même chose en cette vie. C’est Dieu qui travaille à rendre l’âme semblable à lui.

 

(Père Jean-Pierre de Caussade)

 

René Pellegrini

 

Le reour des Juifs en Palestine - 1 : Avant-Propos



 LE SIONISME - 1

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE - 1 : AVANT-PROPOS 

 

 « Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis.»

 (Luc XXI, 24)

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

     Cet article, et les suivants, pour ceux qui professent la fin du temps des nations depuis le retour des Juifs en Palestine (1) en 1948 ou, au plus tard, depuis la guerre des six jours de 1967 livrée et gagnée par Israël contre l’Egypte, la Jordanie et la Syrie, et à ceux qui font de ce retour ''un signe irréfutable'' de la fin des temps : ces deux catégories de personnes que j’appelle les chrétiens judaïsés ou sionisés car, se faisant, chacun à leur manière, les colporteurs d’une propagande judaïque et sioniste très en verve dans les mouvements judéo-chrétiens, évangéliques, charismatiques, et même chez des catholiques encore imprégnés, ou mal guéris, des interprétations d’anciennes fréquentations de sectes, et perceptibles dans certains de leurs enseignements présentés comme catholiques, et même jusqu’au Pentagone avec leurs guerres ''messianiques''. Ce type d’interprétation littérale des prophéties sur Israël manifeste une lecture et une influence spirituelle rabbinique, c’est-à-dire kabbaliste et talmudiste.

     Le danger d’une telle interprétation c’est de drainer souvent, avec elle, l’idée que l’étape suivante est la venue de l’Antéchrist. C’est une erreur chronologique et théologique car elle fait l’impasse sur le règne restaurateur du Sacré-Cœur (Saint Pape et Grand Monarque) (2) qui permettra à beaucoup de personnes (dont les Juifs) de se convertir, avant la venue de l’Antéchrist pour l’ultime et terrible persécution des chrétiens pendant trois ans et demi, devant aboutir à la fin du monde et au renouvellement de toutes choses.

     Si je puis être d’accord pour vivre dans une époque s’inscrivant dans un processus de fin des temps, je ne l’associe pas à ce retour des Juifs en Palestine interprété comme un signe voulue par Dieu, selon les prophéties habituellement invoquées comme argument. Ne pas confondre signe voulu par Dieu, avec événement permis par Dieu.

     Un des membres de ce christianisme judaïsé ou sionisé traite aimablement les traditionalistes (3) d’antisémite. En effet, ne pas adhérer à leur (?) interprétation des Ecritures, et appeler un chat un chat, lorsqu’il s’agit des Juifs qui, à moins d’ignorer leurs agissements anciens et jusqu’à présent - loin d’être très lisses dans leur propre histoire nationale comme dans la nôtre – ce serait, dans l’univers mental de certains, une preuve d’antisémitisme. Une des caractéristiques de ces aimables paroissiens c’est d’être prosioniste et dithyrambique à l’égard d’Israël, voire d’arborer parfois le drapeau sioniste de 1948 ce qui, au regard de leur histoire ancienne et présente face à la Loi de Moïse (pas celle du Talmud) et de Notre-Seigneur, me paraît être un curieux mélange des genres : conséquence d’un certain strabisme spirituel ou d’une confusion de l’esprit.      

     Si cela peut les convaincre, bien que n’ayant nul besoin de leur aval pour savoir ce qu’il en est réellement de mon attitude et de mes sentiments concernant les membres de la ''Race supérieure'' - ce que les Juifs pensent être selon le Talmud - je les renvoie aux deux articles « Avertissements »  et Mise au point et petite digression sur les Gilets jaunes. 

     Prier pour la conversion des Juifs et leur pardonner leurs mépris ou insultes contre ma personne : OUI ! Sans problème. Faire silence - comme c’est le cas des fascinés par Israël selon la chair, des politiques, des historiens, de la presse audio et écrite en général - sur leurs agissements historiques contre les chrétiens et leur haine avérée contre la France, Fille aînée de l’Eglise et la monarchie catholique, le rempart naturel de la France contre sa dissolution par ses ennemis intérieurs et extérieurs : NON !

     Ce ne peut être, sans réagir, un continuel procès à charge contre les chrétiens, la France et l’Eglise catholique. Ils ont tous les grands média entre leurs mains, et des politiciens comme serviteurs serviles pour déchristianiser la France avec leur propagande culturelle, politique et sociale anticatholique et antichrétienne. Nous n’avons que nos blogues et quelques rares livres pour montrer les Juifs tels qu’ils sont : ce qu’ils font actuellement, et ce qu’ils ont toujours fait dans les sociétés non-juives qui les ont accueillis, et ce qu’ils n’ont jamais cessé d’y faire depuis leur châtiment par Dieu du crime de déicide et leur dispersion parmi les nations.   

     Dans mon univers mental, comme dans les faits, l’antijudaïsmel’antisionisme (4) et l’antisémitisme (5) étant trois choses différentes, j’aurai  préféré, en rigueur de terme, s’il fallait me cataloguer, être traité d’antijudaïsme ou d’antisionisme (même des Juifs sont antisionistes) car, ne vivant pas dans un monde de bisounours et d’œcuménisme trompeur et destructeur de la foi véritable, je peux, et c’est même mon devoir comme chrétien, dénoncer le mouvement politique qu’est le sionisme et combattre la théologie fausse et destructrice du judaïsme des pharisiens, combattue et condamnée par Jésus au premier siècle, ses apôtres et l’Eglise. Ce faux judaïsme enseigné par leurs successeurs et propagateurs : les rabbins kabbalistes et talmudistes actuels, tout autant que celui des juifs libéraux et laïcs, ou des non-juifs qui les suivent, sans pour autant être antisémite ; comme je conçois que d’autres puissent être doctrinalement, théologiquement et politiquement anticatholique et antichrétien (c’est bien le cas des Juifs depuis l’origine du christianisme, à moins d’être aveugle ou complice) sans pour autant les cataloguer d’anti-européen, d’anti-occidental, d’antiblancquoique…si j’en crois cet extrait du discours-programme du Rabbin Emanuel Rabinovich, au Congrès d’Urgence des Rabbins européens à Budapest, en Hongrie, le 12 janvier 1952 :

« (…) Je puis déclarer avec assurance que les dernières générations d’enfants blancs sont nées. Dans l’intérêt de la paix et l’effacement des tensions interraciales, nos Commissions de Contrôle interdiront aux blancs de s’accoupler avec des blancs. Les femmes blanches doivent cohabiter avec les membres des races foncées, les hommes blancs avec des femmes noires. Ainsi, la race blanche disparaîtra, car mélanger le foncé au blanc signifie la fin de l’homme blanc, et notre plus dangereux ennemi ne sera plus qu’un souvenir. » (Service des Renseignements Canadiens, septembre 1952, dans la publication américaine Common Sense, 1952)  

     La forte migration subsaharienne, comme par hasard, devrait peut-être permettre la réalisation des volontés de cet exemplaire monument d’antiracisme. Ainsi, le problème c’est l’homme blanc (???) sauf la ''race supérieure'' bien sûr ! Vous avez dit raciste ? Qui ? Ceux qui hurlent le plus et à sens unique ! Ces propos sont stupéfiants, mais pas pour ceux qui connaissent certains textes du Talmud (6). Il faudrait commencer par balayer devant sa propre porte « Nos commissions de contrôle ». Ce texte que certains apparentent au ''faux''  Protocoles des Sages de Sion dont on reparlera ultérieurement, si Dieu veut, peut prêter à caution aux yeux de la police de la pensée, pour tout ce qui concerne les ''intouchables'', les purs d’entre les purs. Alors, autant le dire avec force : ce texte n’est en aucun cas crédible car, depuis 1952, il est incontestable, visible à l’œil nu, que la France blanchie de plus en plus !

     En France, selon la nouvelle présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans et ça, il va falloir que ça change. » (Le Figaro, le 23 septembre 2015) – Propos sans rapport avec ceux de 1952 ou résultat de leur influence souterraine pouvant désormais se manifester publiquement et destinés, par répétition de faits accomplis, à changer les mentalités, et à les normaliser ?... Selon la technique maçonnique bien réglé et victorieuse bien des fois : Faites-leur avaler le mot, ils avaleront la chose ! Comme cela s’est fait avec l’avortement, contraception, mariage gay, etc…

     Lorsqu’on est catholique on fait, au minimum, l’effort de ne pas se tromper d’ennemis en répétant des slogans fabriqués, par les vigilants, pour museler et mettre au banc de la société, sans qu’il leur soit nécessaire de justifier leurs assertions par des arguments probants et convaincants, autres que : circulez y a plus rien à voir, les ''experts'' que nous avons choisis ont décidé. Aujourd’hui, comme hier, le combat spirituel est vital. Il doit se livrer, non seulement pour le bien des gens simples, mais aussi pour celui de nos frères dans la foi et leur salut éternel, contre ceux qui, au cours des siècles, n’ont pas cessé de combattre directement, ou indirectement et subtilement - par sectes interposées et créées par eux - le catholicisme et le christianisme, plutôt que s’enflammer sur un fait historique sur lequel il y a beaucoup à dire en utilisant, comme un perroquet ou un imbécile, le clairon rassembleur et bien calibré de l’antisémitisme, dès qu’on éclabousse l’auréole complaisante et surfaite attribuée aux Juifs, à moins d’ignorance (non péjoratif), de complicité ou d’affinités inavouables.

     Personne n’est dupe de l’utilisation habituelle, récurrente et à dessein de ce mot par ceux qui, en politique comme en religion, savent les avantages qu’il procure aux yeux de l’opinion publique, et jouent ignoblement sur l’effet escompté. Si vous voulez rendre quelqu’un infamant et pustuleux vous lui appliquez, sans discernement, du haut de votre intelligence supérieure, le mot antisémite ou celui de fasciste s’il n’adhère pas, en politique ou en religion, à la pensée chimiquement pure des judéo-maçons et propagée par leurs colporteurs de toutes tendances politiques ou religieuses et repris en chœur, avec cris d’orfraies, par des media et journaux faiseurs d’opinion, subventionnés par l’Etat, c’est-à-dire par les contribuables même stigmatisés, à tort ou à raison, antisémites ou fascistes : leur argent, pour le coup, est pur de tout stigmate infamant et bon à prendre.

 

(A suivre…« Le retour des Juifs en Palestine - 2 : Versets habituels et significatifs »…si Dieu veut »

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras et souligne dans le texte.

 

(1) Première tentative juive de fonder un Etat juif en Roumanie, au XIXe siècle, et repoussée par les autorités et la nation roumaines (Archives israélites XVI, p.719, 1866) 

(2) Epoque de courte restauration, après les périodes de révolutions, d’afflictions et de désastres du cinquième âge (Eglise de Sardes). Elle correspond au sixième âge  de l’Eglise (Eglise de Philadelphie) du Livre de l’Apocalypse III, 1-13)

(3) Ce que je suis (sans adhérer à leur opinion sur les ‘’papes’’ depuis Vatican II) mais selon les termes de Saint Pie X « car les vrais amis du peuple ne sont ni révolutionnaires ni novateurs, mais traditionalistes. » (Encyclique Notre charge Apostolique sur ‘’le Sillon’’ 25 août 1910)

(4) Le sionisme est un mouvement politique dont l’objectif était la création d’un Etat juif en Palestine avec perspective de domination mondiale non incluse, bien sûr, lors de l’élaboration des documents. Dans cette perspective il vise, présentement, à enflammer les nations en leur faisant prendre parti dans le conflit qui oppose Israël moderne avec le monde musulman et, par ricochet, favoriser le déclenchement de la troisième guerre mondiale devant permettre, après les désastres et les horreurs occasionnés, la mise en place d’un nouvel ordre mondial dominé et régi par les Juifs. C’est aussi une erreur théologique. Un catholique ne peut que constater le fait du sionisme et dénoncer sa véritable finalité, mais non l’exalter et le promotionner. La promesse de Dieu aux Juifs est de l’ordre de la conversion, possible en tout pays, et non la promotion d’un mouvement politique pour le retour en Palestine, avec l’aide de la judéo-maçonnerie anglo-saxonne des Rothschild et, au besoin, l’implication des autres nations dans des combats de protection, ou de soutien, pour une terre qui ne leur appartient plus. Ce projet politique n’a aucun avenir, sinon de favoriser la troisième guerre mondiale, car il se dresse contre le décret de Dieu sur le peuple juif comme on le verra par la suite.

(5) Les arabes sont aussi des Sémites descendants d’Abraham par Ismaël, et pas seulement la ''race supérieure''. C’est faire peu de cas des autres et intellectuellement malhonnête d’accaparer et de restreindre le vocable « Sémite » aux seuls Juifs qui, par leur comportement envers les Arabes palestiniens, peuvent alors être qualifiés d’antisémites. Lorsqu’il s’agit des Juifs, pour éviter cette restriction du vocabulaire et son utilisation fallacieuse, il serait plus logique de parler d’antisionisme, voire d’antijudaïsme. Le sionisme (mouvement politique) et le judaïsme pharisaïque (une religion) ne sont pas synonymes d’antisémitisme (contre les Sémites ou contre la race sémite) n’est-ce pas M. Valls et consorts, lorsque l’esprit n’est pas manipulé ou tordu ? De ce fait, la propagande et la doctrine politique sioniste ainsi que les doctrines religieuses du judaïsme rabbinique ou pharisaïsme, peuvent être combattues politiquement et doctrinalement, mais pas les Sémites en tant que race, qui ont le droit légitime d’exister, tout comme d’autres, et surtout concernant les Juifs, en tant que peuple élu de Dieu, ayant reçu de Lui la Loi, les oracles et les prophètes, mais toujours outrageusement prévaricateur et persistant dans sa négation et le blasphème de Jésus Messie.

(6Le Talmud : C’est le code moral, social et religieux des Juifs. Il sert de frein contre la conversion des Juifs à Jésus-Christ. Je l’ai déjà écrit mais je le redis : pour un Juif le Talmud est au-dessus de la Loi de Moïse !!! (Talmud, traité Baba-Metzigna, folio 33)

 

Mis sur un autre blogue le 25 juin 2016

Petite mise au point sur mes publications



 PETITE MISE AU POINT

 

     Qui lit mes écrits remarquera que mes propos sont sans complaisance (1) pour les catholiques lâches ou faux (clercs et laïcs à quelque niveau où ils se situent) et les propagateurs avérés, en actes ou paroles, d’immoralité et de doctrines spirituelles, politiques ou philosophiques ennemies de Notre-Seigneur Jésus-Christ, des enseignements de l’Eglise. Mais, qu’il soit bien clair que je ne m’associe à aucun parti ou mouvement politique existant ou à naître, professant la doctrine imbécile de la séparation (au lieu de la distinction) de l’Eglise et de l’Etat, et ne proposant pas publiquement l’abolition de toutes les lois antichrétiennes.

     Pas plus que je ne m’associerai à un quelconque mouvement insurrectionnel pour la raison que la France, ayant bafoué et continuant de plus belle à bafouer les lois divines, mérite le châtiment et les jours sombres qui l’attendent. Il y a un temps pour tout, nous dit l’Ecclésiaste « un temps de pleurer, et un temps de rire ; un temps de gémir et un temps de sauter de joie (…) » (III, 4) Le temps du mépris, de l’indifférence ou de la mollesse envers Dieu a été, et est encore abondamment utilisé, il faudra donc faire face au temps de payer les égarements occasionnés par ce mépris, cette indifférence ou cette mollesse.

     Sans complaisance, ai-je dit, mais, selon les préceptes sur les œuvres de miséricorde temporelle de mon Maître, sans égard à la couleur de peau ou à la culture et, selon mes possibilités, je donnerai à manger, à qui a faim, à boire, à qui à soif, le vêtement, à qui est nu… (St Matthieu XXV, 35,36) Mes écrits et mon combat sont, d’abord pour le Christ-Roi et, ensuite, pour le Grand Monarque et personne d’autre, en l’état actuel des orientations des programmes et du personnel politique. Grand Monarque reconnu comme tel par l’Eglise et que Dieu se choisira, au temps marqué par Lui, pour redonner à la France sa vraie vocation.

 

René Pellegrini 

 

(1) Ce qui ne signifie pas haineux ou raciste envers les personnes. Cette précision pour ceux qui, de manière imbécile, voire calculée et sans nuance, hurlent, comme des orfraies au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie ou à la xénophobie dès que vous ne cautionnez pas le formatage de la pensée des faiseurs et manipulateurs d’opinions sur certaines pratiques sociales ou religieuses. Comme si tout cela devait, à moins d’être devenu fou à lier, se révéler bénéfique et sans graves conséquences pour la société. AUCUNE loi humaine en contradiction avec les lois divines n’est défendable, sauf avoir renié sa foi pour s’acoquiner avec d’authentiques mécréants et dépravés, par lâcheté ou opportunisme, où d’avoir complètement perdu la raison, car lorsqu’elle s’écarte des voies de Dieu, la sagesse du monde est folie aux yeux de Dieu. Et, certaines lois font légitimement douter sur la santé mentale de ceux qui les ont votées ou soutenues.

 

samedi 30 avril 2022

Bien comprendre ce qu'est la Révolution


BIEN COMPRENDRE CE QU'EST LA REVOLUTION

 

     La meilleure définition de la Révolution (toujours à l’œuvre) qui ait été donnée, celle qui ne s’arrête pas seulement aux phénomènes, est celle de Mgr Gaume (1)

« Si, arrachant le masque de la Révolution, vous lui demandez : Qui es-tu ? Elle vous dira : « Je ne suis pas ce que l’on croit. Beaucoup parlent de moi, et bien peu me connaissent. Je ne suis ni le carbonarisme (3) qui conspire dans l’ombre, ni l’émeute qui gronde dans la rue, ni le changement de la monarchie en République, ni la substitution d’une dynastie à une autre, ni le trouble momentané de l’ordre public. Je ne suis ni les hurlements des Jacobins, ni les fureurs de la Montagne, ni le combat des barricades, ni le pillage, ni l’incendie, ni la loi agraire, ni la guillotine, ni les noyades. Je ne suis ni Marat, ni Robespierre, ni Babeuf, ni Mazzini, ni Kossuth. »

     Plus d’un lecteur se dira « si toutes ces personnes et toutes ces choses ne sont pas la Révolution, alors, qu’est-ce que c’est ? » Et Mgr Gaume répond : 

«  Ces hommes sont mes fils, ils ne sont pas moi. Ces choses sont mes œuvres, elles ne sont pas moi. Ces hommes et ces choses sont des faits passagers (…) »

     En fait, toutes ces choses et personnes sur lesquelles nous appliquons le mot Révolution ne sont que « des faits passagers » ce ne sont que des moyens, des instruments que la Révolution utilise selon l’état de préparation des esprits à un moment donné du temps. Pour bien montrer ce qui la caractérise par-dessus tout, au-delà des personnes et des idéologies qui la servent, il ajoute la concernant :

« (…) et moi je suis un état permanent. Je suis la haine de tout ordre religieux et social que l’homme n’a pas établi et dans lequel il n’est pas roi et Dieu tout ensemble ; je suis la proclamation des droits de l’homme contre les droits de Dieu ; je suis la philosophie de la révolte, la politique de la révolte, la religion de la révolte ; je suis la négation armée ; je suis la fondation de l’état religieux et social sur la volonté de l’homme au lieu de la volonté de Dieu ; en un mot, je suis l’anarchie ; car je suis Dieu détrôné et l’homme à sa place. Voilà pourquoi je m’appelle Révolution, c’est-à-dire renversement, parce que je mets en haut ce qui, selon les lois éternelles, doit être en bas, et en bas ce qui doit être en haut. » 

     Etant d’essence satanique, la Révolution de 1789 fut préparée depuis la Renaissance, prendra pied et se développera dans la société chrétienne en s'appuyant sur trois supports : l'humanisme des Kabbalistes, la révolte religieuse de Luther avec la Réforme protestante et le faux rationalisme philosophique de Descartes. Elle est, par ces trois supports et vecteurs, le fruit éclos de sectes et de personnes nourries de Kabbale juive comme son paravent et auxiliaire, la Franc-maçonnerie. La Révolution qui est intrinsèquement antichrétienne, et antichrist par le fait même, s’avère être, elle-même, une religion, mais une religion inversée bâtissant sur la volonté de l’homme  ( au lieu de la volonté de Dieu ) une religiosité et une société inversées avec sa culture de mort et de débauche, ses lois, ses commémorations, ses fêtes, ses rituels, ses '' saints '' et sa philosophie, dont l’objectif a toujours été de détruire l’ordre social, moral et spirituel chrétien en façonnant socialement, moralement et  spirituellement la société humaine selon ses principes inversées, pour la préparer à l’avènement et l’accueil, à terme, de son odieux et tyrannique représentant religieux et temporel : l’antéchrist ou faux messie qu’attendent les Juifs.

 

 (A suivre…« La marque de l'esprit révolutionnaire »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

- C'est moi qui met en gras brun dans les textes de Mgr Gaume.

 

(1) Mgr Gaume : Protonotaire apostolique, vicaire général de Reims, de Montauban, d’Aquila, docteur en théologie, chevalier de l’ordre de Saint-Sylvestre, membre de l’Académie de la religion catholique de Rome, de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Besançon, etc., dans recherches historiques sur la Révolution en 12 volumes – 1856.

 


 

Les prophéties sur la France - 1 : Préliminaire



 LES PROPHETIES SUR LA FRANCE – 1 

Préliminaire

 

    Les prophéties et les avertissements sur des événements futurs nous les trouvons dans la Révélation publique - la Bible, Ancien et Nouveau Testament - et dans la révélation privée. Celle-ci, est l’apanage d’âmes privilégiées bénéficiaires d’apparitions, de visions et d’extases : ce sont des grâces exceptionnelles. Elles sont davantage pour l’utilité du prochain que pour celles qui en bénéficient. Ces révélations ou prophéties privées lorsqu’elles sont de source divine ne contredisent jamais les prophéties de l’Ecriture Sainte, mais, dans le cours de l’histoire humaine, par l’annonce de circonstances temporelles particulières elles les confirment et les complètent. Les prophéties font partie de la vie spirituelle de l’Eglise.

Peut-on se fier aux prophéties privées ? 

     Leur source n’étant pas directement la révélation publique (la Bible) elles ne sont pas de foi divine, on peut y croire ou pas. Cependant, compte tenu de l’autorité ou de la qualité des personnes qui les ont émises, sous le regard de l’Eglise : Saints, Bienheureux, Vénérables et personnes de grande piété, il serait téméraire de s’y opposer.

Comment distinguer les vrais des faux prophètes ?

     Deux critères d’appréciation sont donnés par Saint Paul pour permettre cette distinction : l’analogie de la foi et la soumission des prophètes

« (…) que celui qui a reçu le don de prophétie en use selon l’analogie de la foi » (Romains XII,6)

     En conformité avec la foi, et éclairé par la lumière divine, les vrais prophètes confirment les textes canoniques ou éclairent certains événements surnaturels ayant des répercussions terrestres.

« (…) les esprits des prophètes sont soumis aux prophètes. » (I Corinthiens XIV, 32)

     Car Dieu est un Dieu de paix et non de discorde. Ces âmes privilégiées ne doivent pas sombrer dans l’enthousiasme des illuminés mais faire preuve de réflexion. Ils doivent savoir se contenir et ne pas diffuser à tout va, sans en référer, d’abord, aux personnes compétentes ayant le charisme et l’autorité nécessaires pour traiter et juger de la réalité de ces phénomènes de communications extraordinaires.      

     En dehors de ces deux critères d’appréciation, il faut conserver une grande prudence. En ce domaine, il est nécessaire, afin de ne pas être entraîné là où il ne faudrait pas aller, de se discipliner et d’adhérer à une règle stricte et protectrice : ne jamais anticiper le jugement de l’Eglise, c’est-à-dire s’en tenir à ses décisions en cette matière liée au surnaturel ou préternaturel, et dans laquelle on peut s’illusionner soi-même. Pour la bonne attitude sur cette question voir dans la catégorie « Illuminisme luciférien »  

 

(A suivre…« Les prophéties sur la France – 2 »…si Dieu veut) 

 

René Pellegrini 

 

- Mis sur un blogue le 30 avril 2014

Protection contre l'illuminisme luciférien en milieu catholique - 1 : Petite introduction à l'illuminisme



 PROTECTION CONTRE L’ILLUMINISME LUCIFERIEN

EN MILIEU CATHOLIQUE - 1

 

PETITE INTRODUCTION A L’ILLUMINISME

 

     Dans sa première épître aux chrétiens de Thessalonique Saint Paul déclare :     

« N’éteignez pas l’Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Eprouvez tout ; retenez ce qui est bon. » (V, 19)        

     Cette petite introduction n’a pas la prétention, ni l’objectif de s’opposer à l’Apôtre des nations dans son exhortation, mais de mettre en évidence ce qui est souvent occulté par ceux qui demandent de « ne pas éteindre l’esprit » pour justifier la divulgation et la propagation de leurs messages proposés comme venant du ciel, à savoir, ce que recommande avec sagesse Saint Paul « éprouvez tout ; retenez ce qui est bon » C’est beaucoup mieux et plus honnête ainsi que d’occulter cette précision.    

     Les mises en garde sur les faux prophètes, les faux illuminés et leurs prédictions étant une réalité biblique constatable jusqu’à nos jours, il convient donc d’user d’une grande prudence et de s’assurer que les messages sont bien d’origine divine et non le fruit, soit : 

     - d’une passion humaine désordonnée : le désir ou la recherche de communications célestes  avec Dieu ou avec des entités dites de lumière. 

     - de l’illusion, voire de la malice.

     Pour cela, il faut un charisme que Dieu ne diffuse pas à profusion, celui du discernement spirituel ou don de discernement des esprits, pour pouvoir « éprouvez tout, et retenir ce qui est bon » et discerner ce qui est de Dieu ou ce qui relève de la contrefaçon habillée de certaines vérités pour mieux capter la confiance des âmes simples ou trop naïves.  

     Or, depuis 1966, les canons ecclésiastiques préparés par le Pape Saint Pie X et publiés par le Pape Benoît XV qui constituaient un barrage contre la fausse mystique luciférienne ont été abrogés de manière tout à fait criminelle pour les âmes (1). Maintenant, libre cours à la diffusion sans retenue et tous azimuts de tous les illuminismes se présentant sous le masque et le label séduisants de « Messages du ciel », de « Nouvelle Pentecôte » ou encore de « souffle de l’Esprit » et accrédités, en la matière, par des juges autoproclamés de tous bords. Donc, ATTENTION à ceux qui viennent à vous, ou par l’intermédiaire de commissionnaires, avec des paroles du genre « Le Seigneur a dit ou m’a dit » ou « La Sainte Vierge a dit ou m’a dit » ou autres formulations, avec l’intention de propager ces messages présentés comme venant du ciel sans autre garantie que celle qu’il s’attribue eux-mêmes ou celles d’ecclésiastiques non habilités. ATTENTION à ne pas confondre le sifflement du serpent avec le souffle du Saint-Esprit. Se rappeler que dans les cas d’apparitions et de messages célestes, seul l’évêque du lieu où ce sont déroulés les faits et habilité à statuer sur la validité de telles manifestations. A condition qu’il soit bien évêque car la question se pose de nos jours sur la validité des ordinations et des consécrations d’évêques avec le nouveau rite de Paul 6.

     En cette matière, le doute étant légitime, et pour ne pas resté démuni et pouvoir se tenir en garde, afin de ne pas être entraîné sous apparence de bien, par la vague déferlante de l’illuminisme en milieu catholique, sans déroger à la foi en aucune manière, je ne m’appuie pas sur ma propre sagesse mais sur les conseils avisés d’un maître authentique et reconnu en matière de faits extraordinaires ou surnaturels, en même temps qu’un guide sûr de la mystique chrétienne : Saint Jean de la Croix auquel il faut rester attaché comme à une bouée en ces temps de séduction luciférienne.     

 

(A suivre...« Les avertissements de Saint Jean de la Croix - 1 »…si Dieu veut)    

 

René Pellegrini 

 

(1) Il s’agit des Canons 1399 et 2318

 

Mis sur un autre blogue le 17 octobre 2012

La recherche de Dieu



 AVIS ET MAXIMES - 2

 

LA RECHERCHE DE DIEU 

 

O Seigneur, mon Dieu,

qui donc pourrait vous chercher  avec un amour pur et simple

sans vous trouver tout à son goût et à son gré ?

C’est vous, en effet, qui vous montrez en premier  

et qui allez au-devant de ceux qui vous désirent.

 

NOTA BENE :

 

- Les Avis Et Maximes sont tirés des œuvres spirituelles de Saint Jean de la Croix

 

René Pellegrini

Preuves scripturaires de la royauté de Jésus-Christ - 1 : Ancien Testament - 1



 PREUVES SCRIPTURAIRES DE LA ROYAUTE DE JESUS-CHRIST - 1 :

ANCIEN TESTAMENT - 1

 

 « (….) Et moij’ai établi mon roi sur Sion, sa montagne sainte (….) demande, je te donnerai les nations pour héritage, pour domaine les extrémités de la terre (….) Et moi, je t’ai établi mon roi sur Sion, ma montagne sainte (….) » (Psaumes II,6 et 8 ) 

    En disant « moi », c’est avec vigueur que Dieu proclame le décret instaurant la royauté de son Fils Jésus-Christ sur toutes les nations. Dieu étant créateur et maître de l’univers, s’attaquer à Jésus, le Messie, en tant que Fils de Dieu et héritier, ou lui refuser cette domination universelle, c’est s’attaquer à Dieu Lui-même.

     « Ton trône, ô Dieu, est établi pour toujours ; le sceptre de la royauté est un sceptre de droiture. » (Psaumes XLIV, 7) (1)

     Pour dissimuler la divinité de Jésus-Christ, les Témoins de Jéhovah, ces champions de la ‘’vérité’’ modulable, en adéquation avec l’exégèse purement rationaliste, n’hésitent pas à falsifier ce texte de la Sainte Ecriture en l’écrivant ainsi « Dieu est ton trône jusqu’à des temps indéfinis, oui, pour toujours ; le sceptre de ta royauté est un sceptre de droiture » (2)

     Falsification en même temps qu’irrévérence à l’égard de Dieu : Jésus-Christ s’asseyant sur son Père. Evidence de cette forfaiture car Saint Paul reprenant les paroles du Psaume XLIV, 7) (3), applique ce verset, indiquant la qualité divine du Fils de Dieu, à Jésus-Christ.

« A la vérité, l’Ecriture dit touchant les anges : « qui fait de ses anges des vents, et de ses ministres une flamme de feu ; mais au Fils : « Votre trône, ô Dieu, est dans les siècles des siècles ; un sceptre d’équité est le sceptre de votre empire ». (Hébreux I, 8 )

     Autre texte établissant la divinité de Jésus-Christ :

« Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné ; l’empire a été posé sur ses épaules, et on le nomme, Admirable, Conseiller, Dieu, Fort, Père éternelPrince de la paix. Son empire s’étendra et la paix n’aura point de fin ; il siégera sur le trône de David et possédera son royaume, il l’établira et l’affirmera par le droit et la justice dès maintenant et pour toujours. » (Isaïe IX, 6-7)

     Les mots formels que la prophétie utilise pour décrire ce nouveau-né « Admirable, Conseiller, Dieu, Fort, Père éternel, Prince de la paix » et dont la vie devra manifester et réaliser pleinement la signification, ne  laisse aucun doute sur la divinité de la personne désignée : Jésus, le Messie.

 

(A suivre...« Preuves scripturaires de la Royauté universelle de Jésus-Christ : Ancien Testament - 2 »...si Dieu veut)

 

(1) Dans la Bible des Témoins de Jéhovah appelée : Les Saintes Ecritures traduction du monde nouveau. Edition de 1974, et traduite d’après le texte révisé de l’édition anglaise de 1971.

(2)  Pour ceux qui ne posséderaient qu’une Bible protestante, il faut lire Psaumes XLV, 7 car du Psaumes IX au Psaumes CXLVI (146) inclusivement, les bibles catholiques reprenant la numération des LXX (Septante) qui diffère pour la coupure de quelques Psaumes, sont ordinairement en retard d’un chiffre sur les bibles protestantes qui suivent, pour leur part, l’hébreu de la bible massorétique

     Rappelons que la numération fondée sur les Septante (3e siècle avant J.C) est plus ancienne. Celle s’appuyant sur le texte massorétique est relativement récente et n’a été introduite qu’aux premiers siècles de l’ère chrétienne. Le plus ancien témoignage du texte hébreu ne remonte pas au-delà du IXe siècle de notre ère. Il s’agit d’un manuscrit copié en 895 par Moïse ben Asher ; et qui se voit aujourd’hui dans la synagogue karaïte du Caire (Dictionnaire Apologétique de la Foi Catholique de A. d’Ales, 1928 – fascicule XXIV, colonne 1958) 

(3) 45, 7 dans les Bibles protestantes.

 

René Pellegrini

Prière pour obtenir la grâce d'une bonne mort


 
PRIERE POUR OBTENIR LA GRÂCE D’UNE BONNE MORT

 

     Prosterné devant le trône de votre adorable majesté, je viens vous demander, ô mon Dieu, la dernière de toutes les #grâces, la grâce d’une bonne mort. Quelque mauvais usage que j’ai fait de la vie que vous m’avez donnée, accordez-moi de la bien finir et de mourir dans votre amour.

     Pardonnez-moi, ô mon Dieu, tout le mal que j’ai fait, et ayez pour agréable le bien que vous m’avez aidé à faire. Pardonnez-moi, car je me repens de mes fautes, et je les déteste par le seul motif de votre infinie bonté. Pardonnez-moi car je pardonne de tout mon cœur à ceux qui ont pu m’offenser.

     Je crois, mon Dieu, tout ce que vous avez pu révéler à votre #Eglise. J’espère en vous, fondé sur vos promesses et sur vos mérites infinis, divin Sauveur, vous qui ne voulez pas que je périsse, et qui êtes mort pour moi. Je vous aime, ô mon Dieu, de toute l’étendue de mon âme et de toutes les affections de mon cœur.

     Je vous adore avec une humble soumission ; je vous remercie de toutes les grâces que vous m’avez faites en cette vie, et surtout de ce que vous me donnez le moyen de me préparer à la mort.

Je l’accepte en esprit de #pénitence, en union de celle de mon Sauveur, et par #obéissance à vos adorables volontés.

     Père saint, ayez pitié de moi, faites-moi #miséricorde : je remets mon âme entre vos mains. Jésus, soyez-moi Jésus, maintenant et à l’heure de ma mort.

     Sainte Marie, mère de miséricorde, montrez dans ce dernier moment de ma vie que vous me regardez comme un de vos enfants ; intercédez pour moi.

     Heureux saint Joseph qui êtes mort entre les bras de #Jésus et de Marie, obtenez-moi la grâce de mourir en prédestiné.

     Ange du ciel, fidèle gardien de mon âme, grands Saints que Dieu m’a donnés pour protecteurs pendant ma vie, ne m’abandonnez pas à l’heure de ma mort.

     Ainsi soit-il.

La gloire du Saint-Esprit - Motif 1


TRAITE DU SAINT-ESPRIT - 1

 

LA GLOIRE DU SAINT ESPRIT – MOTIF 1

 

     Introduction au Traité du Saint-Esprit visant à faire connaître, autant qu’il est possible, la troisième Personne de la Sainte Trinité, en elle-même et dans ses oeuvres. Quatre motifs ont déterminé Mgr Gaume a publié ce Traité : le premier, la gloire du Saint-Esprit.

     Toutes les œuvres de Dieu sont amour, car Dieu est charité par essence comme l’enseigne saint Jean :

« Quant à nous, nous avons connu la charité (1) que Dieu à pour nous, et nous y avons cru Dieu est charité ; et qui demeure dans la charité demeure en Dieu, et Dieu en lui. » (I Jean IV, 16)

     Les œuvres de Dieu sont amour. Or créer c’est aimer ; conserver, c’est aimer ; racheter, c’est aimer. Le Saint-Esprit étant l’amour consubstantiel du Père et du Fils, (2) le Saint-Esprit est donc dans toutes leurs œuvres. C’est par lui que les deux autres Personnes de la Sainte Trinité (le Père et le Fils) se mettent, pour ainsi parler, en contact avec le monde. De là, ce mot de Saint Thomas

« Le Saint-Esprit est le premier don de Dieu. » Et cet autre de Saint Basile « Tout ce que possèdent dans l’ordre de la nature, aussi bien que dans l’ordre de la grâce, les créatures du ciel et de la terre, leur vient du Saint-Esprit. »

     Ne semble-t-il pas que ce divin Esprit devrait, par un juste retour, occuper la première place dans nos pensées et dans notre reconnaissance ? Toutefois, par un renversement étrange, personne ou presque personne qui songe à Lui.

     On connaît le Père, on le respecte, on l’aime. Pourrait-il en être autrement ? Ses œuvres sont palpables et toujours présentes aux yeux du corps. Les magnificences des cieux, les richesses de la terre, l’immensité de l’Océan, les mugissements des vagues, les roulements du tonnerre, l’harmonie merveilleuse qui règne dans toutes les parties de l’univers, redisent avec une éloquence intelligible à tous, l’existence, la sagesse et la puissance du Dieu père et conservateur de tout ce qui est.

     On connaît le Fils, on le respecte, on l’aime. Non moins nombreux que ceux du Père, et non moins éloquents, sont les prédicateurs qui parlent de lui. L’histoire si touchante de sa naissance, de sa vie, de sa mort ; la croix, les temples, les images, les tableaux, le sacrifice de l’autel, les fêtes, rendent populaires les différents mystères de ses humiliations, de son amour et de sa gloire. Enfin, l’Eucharistie, qui le tient personnellement présent dans les tabernacles, fait graviter vers lui toute la vie catholique, depuis le berceau jusqu’à la tombe.

(A suivre… « La gloire du Saint-Esprit – motif 2 »…si Dieu veut)

 René Pellegrini

(1) Le mot grec agapè est généralement traduit par amour dans les bibles protestantes et les bibles catholiques plus ou moins récentes (optique œcuménique sans doute ou esprit d’indépendance envers les exhortations de l’Eglise). Le Concile de Trente a recommandé aux fidèles la Vulgate, c’est donc elle que j’utilise. Celle-ci traduit agapè du texte grec par « charité ». Pour quelle raison ? Il y a une différence entre les deux.

L’amour est une passion de l’appétit concupiscible. Acte de la volonté, l’amour consiste dans l’union affective avec un bien suffisamment perçu ou dans le mouvement d’inclination de la volonté vers ce bien. Inclination qui produit le désir et la recherche de l’objet jusqu’à ce que la volonté se repose avec jouissance dans sa possession. Pour être ainsi aimé, ce bien doit être en harmonie avec la volonté et être suffisamment connu, bien que la perfection et l’intensité de l’amour ne soient point nécessairement en équation avec celles de la connaissance.

La charité est un amour provenant de la volonté accompagné d’une grande estime de l’objet aimé en ajoutant à l’amour l’idée d’une certaine perfection affective. Ainsi toute charité est amour, mais tout amour n’est point charité. Quand la charité est mutuelle et accompagnée de bienveillance réciproque, elle prend le nom d’amitié.

L’amour de concupiscence recherche uniquement son propre bien, l’amour d’amitié poursuit uniquement, ou du moins principalement, le bien de l’objet aimé.

Pour rappel la charité est une des trois vertus théologales avec l’espérance et la foi.

Elles sont appelées théologales car ce sont des vertus surnaturelles c’est-à-dire qu’elles élèvent la vie humaine à un niveau supérieur, la transportant dans un domaine qui n’est pas son champ d’action normal, où elles se dépassent elle-même tant par sa manière d’agir que par ses aspirations. Elles sont théologales car Dieu est leur objet direct.

(2) C’est moi qui souligne en gras.


 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...