mercredi 4 mai 2022

Les prophéties sur la France - 2



LES PROPHETIES SUR LA FRANCE - 2 

 

     Dans l’histoire de l’Eglise nous constatons une vraie et grande lignée de prophètes se succédant sans se contredire. De nombreuses prophéties ont été faites sur la France au cours des siècles. Dans cet article, je n’ai retenu que celles provenant de saints. En voici quelques unes : 

Saint Augustin 430 – Ve siècle

« Toutes les nations furent soumises aux Romains et leurs payèrent le tribut. C’est pourquoi l’Apôtre saint Paul dit que l’Antéchrist ne viendra point dans le monde avant que l’apostasie ne soit arrivée auparavant ; c’est à dire que tous les royaumes assujettis aux Romains n’aient secoué leur joug. Mais ce temps n’est pas encore arrivé ; car, bien que nous voyions l’empire romain en grande partie détruit, cependant, tant que dureront les rois francs qui doivent posséder cet empire, la gloire du nom romain ne périra pas entièrement, car elle vivra dans ces souverains. Quelques-uns de nos docteurs disent même qu’un Roi des Francs possédera l’empire romain dans toute son étendue. Ce roi viendra dans les derniers temps du monde ; il sera le plus grand et le dernier de tous les rois. Après avoir heureusement gouverné son royaume, ce monarque viendra à Jérusalem, et déposera sur le mont des oliviers et son sceptre et sa couronne. Il rendra l’âme à Jérusalem, sur le Mont des Oliviers. Ce sera là la fin et la consommation de l’empire des Romains et des Chrétiens. Et ces mêmes docteurs, s’étayant sur la parole de l’Apôtre, prétendent que immédiatement après l’Antéchrist viendra. - Cette prophétie est extraite du tome VI des oeuvres de saint Augustin : Lib. de Antich. (Attribué à Alcuin). 

Saint Rémy – Ve siècle

     Lors du baptême de Clovis, en 496 « Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine qui est la seule véritable Eglise du Christ…Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la Foi romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. » (Flodoard, Historia Ecclesiae Remensis) 

     A la fin de l’allocution de Saint Rémy « Vers la fin des Tempsun descendant des rois de France régnera sur tout l’antique empire romain. Il sera le plus grand des rois de France et le dernier de sa race. Après un règne des plus glorieux, il ira à Jérusalem, sur le mont des oliviers, déposer sa couronne et son sceptre, et c’est ainsi que finira le saint empire romain et chrétien. » (Raban Maur, archevêque de Mayence, IXe siècle.)

Saint Césaire d’Arles – VIe siècle 

« Ce pape sera secondé par un empereur, homme très vertueux, qui sera des restes des Français, et qui l’aidera et lui obéira en tout ce qui sera nécessaire pour réformer l’univers. Sous les règnes de ce Pape et de cet empereur tout l’univers sera réformé, parce que la colère de Dieu s’apaisera. Ainsi il n’y aura plus qu’une loi, une foi, un baptême, une manière de vivre. » (Elle fut découverte parmi les papiers de Mgr Du Lau, dernier archevêque d’Arles, mort pendant la révolution de 1789). 

Saint Ange – XIIe siècle 

« Un roi s’élèvera finalement de l’antique race des Rois de France, d’une insigne piété envers Dieu. Il sera honoré par les princes chrétiens et dévoués à la Foi orthodoxe ; il sera aimé d’eux et sa puissance s’étendra au loin et sur la terre. Alors, l’Eglise s’étant comme retirée d’une certaine destruction, ce roi s’unira au Pontife Romain et le soutiendra. L’erreur sera détruite parmi les chrétiens. L’Eglise sera rendue à l’Etat que les bons ont choisi pour Elle. Il enverra une armée à laquelle s’uniront spontanément de nombreux guerriers, s’élançant au combat pour l’amour de Mon nom ; et l’amour de la Croix qui les transportera leur obtiendra des trophées dont l’éclat s’élèvera jusqu’au ciel. Le Monarque passera les mers et rendra à l’Eglise les contrées perdues par elle. » 

Saint François de Paule – XVe siècle

« De par la vertu du Très-Haut, le Grand Monarque anéantira les hérétiques et les incroyants. Il disposera d’une grande armée et les Anges combattrons à ses côtés. Il exterminera tous ceux qui se rebellent contre Dieu. Il sera comme un soleil au milieu des étoiles, et il exercera son empire sur le monde. Il n’y aura plus qu’un seul troupeau et un seul pasteur et le monde entier sera ramené aux saintes mœurs. » (Saint François de Paule, lettre du 13 août 1469 à Simon de Limena, Duc de Montalte)

Saint Vincent Ferrier – XVe siècle

« Le pape mourra au milieu de cette affliction et le Saint-Siège, à cause de ces malheurs, sera vacant (…) Ensuite sera suscité le pasteur angélique. Ce saint pontife couronnera un roi de France en lui décernant le titre d’empereurLe pape angélique, avec ce roi de France, réformera l’Eglise, beaucoup de chrétiens abandonneront leurs biens et, tous les ordres religieux étant supprimés, il fondera un seul ordre religieux qui l’emportera sur tous ceux qui l’auront précédé(…) Le roi de France, ce nouvel empereur, à son retour de Jérusalem, interdira partout l’usage des armes, et la paix et la tranquillité régneront dans le monde entier qui marchera dans les sentiers de la justiceLe clergé surtout imitera la vie des apôtresTout le monde sera soumis au Pontife romain (…) » (Dans un sermon, à Barcelone, le 13 septembre 1403)

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras dans les textes

 

Mis sur un autre blogue le 3 mai 2014


 

Antéchrist - 1 : Caractéristiques de l'Antéchrist


ANTECHRIST - 1

« Que personne ne vous séduise en aucune manière, car il faut que l’apostasie arrive auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme de péchéle fils de la perditionl’Adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qui est appelé Dieu, ou qui est adoré, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se faisant lui-même passer pour Dieu. »

(II Thessaloniciens II, 4) 

 

CARACTERISTIQUES DE L’ANTECHRIST 

 

     L’état d’esprit quasi général étant constitué soit d’indifférentisme religieux, soit d’une frénésie de spiritualité en tous genres, il m’a paru bon d’aborder cette question de l’Antéchrist et les moyens mis en œuvre pour favoriser son apparition.

     Beaucoup de livres sont parus sur ce sujet. Le cinéma s’en est emparé, et Internet compte déjà près de 400 000 liens sur Google (vidéos et articles). La curiosité et l’intérêt qu’il suscite sont à la mesure des conséquences qu’il entraînera pour les peuples et les nations, sans oublier les répercussions sur la destinée éternelle de chaque personne particulière.

    L’Antéchrist est un thème récurrent où toutes les fantaisies ont cours. Pour certains, il fut même identifié : Bush, Sarkozy, Obama, etc. - pour les plus contemporains - sans oublier l’Eglise catholique et le Pape (1) mis à toutes les sauces !!! Malgré tous ces délires, des questions légitimes se posent à son sujet. Est-il un homme, un collectif humain, un système idéologique ? Qu’un Antéchrist personne soit déjà né, ou pas, reste débattu, mais l’esprit antéchristique est déjà bien présent. Ce qui importe, afin de ne pas anticiper outre mesure, ce sont les événements devant se produire avant sa venue tout en signifiant, par leurs déroulements, qu’ils sont les derniers avant son apparition.

     Pour traiter cette question, qui fera l’objet de plusieurs articles, je commencerai par quelques caractéristiques essentielles sur l’Antéchrist final et véritable, car il eut des figures prophétiques, à savoir : l’orgueil, le mensonge et le sacrilège qui permettent de mettre en lumière l’Esprit irréformable qui l’anime, et celui, possiblement réformable, de ceux qui, laïques ou religieux, par imitation et pratique de ses vices se placent sous son empire et y travaillent concourant ainsi à favoriser son apparition. Ma contribution s’appuiera sur les Saintes Ecritures et des textes de saints personnages.   

L’ORGUEIL et le SACRILEGE car ils portent l’Antéchrist, dans son arrogance, à se prendre pour Dieu et à vouloir se faire adorer comme tel.

« L’Adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qui est appelé Dieu, ou qui est adoré, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se faisant lui-même passer pour Dieu» (II Thessaloniciens II, 4)

     La description qu’en donne la Sainte Ecriture est fondamental car elle permet d’évacuer tout ce qui relève des préjugés martelés dans l’esprit des gens, à longueur de siècles, et de partir sur de fausses pistes en attribuant ce nom d’Antéchrist à qui s’est placé, ou se place encore actuellement, sous son influence spirituelle mais ne s'est pas révélé, pour autant, par l’acte sacrilège de « vouloir se faire adorer, s’asseoir dans le temple de Dieu et se faire passer pour Dieu » comme  l’Antéchrist de la fin des temps : ennemi juré et inconvertible du Christ et de son Eglise.

LE MENSONGE sur le Christ et ses conséquences sociales :

« Qui est menteur, si ce n’est celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils, n’a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils a aussi le Père. » (I Jean II, 22)   

     Le refus dans l’union hypostatique de la divinité et de l’humanité en la personne de Jésus-Christ amène à nier les relations de paternité et de filiation qui existent en Dieu. C’est pratiquer un vague théisme. Nous connaissons ceux qui nient une telle union de la divinité et de l’humanité du Christ : Témoins de Jéhovah (qui divise le Christ en niant sa divinité) Juifs, Musulmans et tous les antitrinitaires. Ainsi, Saint Jean affirme qu’ils se révèlent antéchrists et n’ont pas Dieu le Père puisque c’est Jésus qui nous le révèle en sa personne :

« Jésus lui dit : Je suis la voie, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père, si ce n’est par moi. Si vous m’aviez connu, vous auriez aussi connu mon Père ; et bientôt vous le connaîtrez, et vous l’avez déjà vu. » (St Jean 14 :6-7)

          Il existe une parfaite identité de nature et d’attributs entre le Fils et le Père. Connaître l’un, c’est connaître l’autre. Inutile de tourner autour du pot en pratiquant le stupide et mortifère religieusement correct. Ainsi, est « menteur, sacrilège et antéchrist » celui qui nie le Fils de Dieu venu en chair en la personne du Messie ou Christ, ou qui refuse - certains par ignorance - la double nature en la Personne de Jésus-Christ : divine et humaine.

 « Tout esprit qui divise Jésus n’est pas de Dieu ; et c’est là l’antéchrist, dont vous avez entendu dire qu’il vient, et maintenant déjà il est dans le monde » (I Jean IV, 3) 

     L’Antéchrist par la manifestation de l’Esprit antéchristique  est déjà à l’œuvre à l’époque de Saint Jean. Il est de plus en plus virulent à notre époque, à mesure que les digues morales et de la foi s’effondrent dans toutes les couches sociales.

« Car de nombreux séducteurs se sont répandus dans le monde, qui ne confessent point Jésus-Christ venu en chair. Un tel homme est un séducteur et un antéchrist » (II Jean I, 7)

     En résumé, si les antichrists dont nous parlent Saint Jean dans ses Epîtres sont orgueilleux, menteurs et sacrilèges comme l’Antéchrist de la fin des temps ou Antéchrist final, en niant la venue de Jésus-Christ en chair ou sa divinité, s’y ajoute, cependant, les caractéristiques fondamentales suivantes pour l’Antéchrist final et véritable :

Se met au-dessus de Dieu ou de ce qui est adoré.

S’assoit dans le temple de Dieu.

Se fait passer pour Dieu.

     Ces caractéristiques que sont « l’orgueil, le mensonge et le sacrilège » sont donc le reflet de l’Esprit satanique dont est imprégné l’Antéchrist final et le ‘’corps mystique’’ qui s’y agrège. Corps mystique qui se constitue au cours des siècles, et dont ce suppôt de Satan est la tête. Esprit diabolique voué à la haine du Christ et à la destruction de son Eglise qui constitue le corps mystique de Jésus-Christ avec tous ceux qui s’y agrègent, et qui se constitue lui-même au cours des siècles, et dont il est la tête. Ces figures passées de l’Antéchrist, n’étant pas l’Antéchrist de la fin des temps, ont toutes eu, dans les époques antérieures, la possibilité de se convertir à Dieu si elles le désiraient, tout comme celles de notre époque. Dans de prochains articles, on traitera de ces deux corps mystiques.

SUPPÔTS ET VEHICULES DE L’ESPRIT ANTECHRISTIQUE

     On retrouve les caractéristiques de cet Esprit satanique dans cette liste non exhaustive : Chez tous ceux qui prétendent n’avoir ni Dieu ni Maître. N’est-ce pas M. Valls et consorts ? On les retrouve encore dans les Droits de l’homme qui font l’impasse sur les lois divines du Décalogue et sur les enseignements de Jésus-Christ. Dans la laïcité qui, de manière sacrilège et profanatoire, exile Dieu, Notre-Seigneur, dans la sphère privée et au même niveau que les fausses divinités. N’est-ce pas M. Fillon, le référencé gaulliste catholique !!! Dans les assemblées parlementaires dans lesquelles il est irrespectueusement persona non grata. Dans les idéologies telles que le libéralisme, le communisme, le socialisme et le mondialisme dans lesquelles les lois divines sont méprisées ou âprement combattues. Dans les systèmes philosophiques qui nient l’existence de Dieu. Dans les diverses théories évolutionnistes qui nient l’acte créateur de Dieu, ex nihilo. Dans la sphère financière qui a perdue toute dignité et dont le niveau de mépris et d’arrogance envers leurs clients et déposants et purement diabolique, etc. etc.

     Ces caractéristiques se propagent dans la société par les moyens audiovisuels, les réseaux sociaux, le cinéma, les livres, les idéologies athées et agnostiques, les spectacles, le théâtre et la musique qui font fi, le plus souvent, des règles élémentaires de la décence et du respect. Cet esprit d’orgueil est le pire de tous les vices car beaucoup d’autres en découlent. Il est comme le couronnement de tous les autres. Reflets des immondices moraux et sacrilèges de l’esprit antéchristique, ces caractéristiques se conjuguent ensemble, pour changer les mentalités, pour préparer l’avènement de cet Homme d’Iniquité, en lui façonnant un peuple prêt à l’accueillir comme Messie et sauveur de l’humanité.

 

(A suivre...« Les noms de l’Antéchrist »... si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Luther, par exemple, dont le vrai nom était Luder qui signifie « garce, chienne » (sic) en allemand. Après avoir tué un homme en duel, il fut d’abord moine pour échapper à la justice. Excommunié le 3 janvier 1521, défroqué, il vécut avec sa concubine Katharina von Bora. Dynamiteur de la Chrétienté, il fut un homme angoissé, colérique, grossier, violent et souvent en état d’ivresse avec la bière. Partisan du libre examen, il méprisait la raison l’appelant la putain du diable. Autant de vertus propres à favoriser les lumières de l’Esprit-Saint et lui permettre de distiller son enseignement pour juger sainement des choses de Dieu et des êtres. Il se suicida en se pendant à son lit, et misérablement étranglé. Ordre fut donné par les princes protestants de ne pas divulgué ce fait. (Témoignage de son domestique Rudtfeld, et publié par le savant Sédulius, en 1606). Tel fut le personnage qui sera à l’origine du protestantisme et de diverses sectes qui reprendront à leur compte ses vomissements de haine et son venin contre l’Eglise catholique et le Pape. Bon courage à ses laudateurs, dont le ''pape François !''

 

Mis sur un autre blogue le 25 janvier 2017


 

Le retour des Juifs en Palestine - 2 : Les versets habituels et significatifs

 



LE SIONISME - 2

 

« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis

 (Luc XXI, 24)


« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE – 2

 

     Après la mise au point et les précisions de l’article précédent, revenons à l’objet de cet article et aux textes bibliques invoqués pour justifier l’interprétation d’être entré, depuis 1948 ou 1967, dans « la fin du temps des nations » ou d’être un ‘’signe irréfutable’’ de la fin des temps.    

 

     Les prophéties de l’Ancien Testament sont de deux sortes : conditionnelles ou inconditionnelles. Elles ont, en outre, ceci de particulier : elles décrivent des événements qui s’accomplissent de façon littérale soit pendant la vie du prophète, soit après ; mais, tout en conservant les images de leur première application elles étirent ou  télescopent souvent sous une même figure, ayant quelque rapport avec elle, des événements beaucoup plus lointains devant s’accomplir dans un contexte tout différent : celui du Nouveau Testament, de la manifestation du Messie (Notre-Seigneur) et de l’Eglise. Par exemple, le regroupement sous l’unique figure d’Israël des juifs convertis et des chrétiens : Israël selon l’esprit ou Israël de Dieu (L’Eglise).

 

« Car dans le Christ Jésus, ce n’est pas la circoncision qui sert à quelque chose, ni l’incirconcision, mais la nouvelle créature. Tous ceux qui suivront cette règle, que la paix et la miséricorde soient sur eux, et sur l’Israël de Dieu. » (Galates VI, 15,16)

 

     Ici, « La nouvelle créature » concerne tous les hommes (circoncis ou incirconcis) qui se laissent façonnés selon les préceptes évangéliques de Jésus-Christ qui récapitule en deux commandements, pour le pharisien qui l’interroge, le Décalogue donné par Dieu à Moïse :

 

« (…) Jésus lui dit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de tout ton esprit. C’est le plus grand et le premier commandement. Mais le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Dans ces deux commandements sont renfermés la loi et les prophètes. » (St Matthieu XXII, 37-39)

 

     L’articulation des articles sera la suivante :

 

- Les versets habituels et significatifs

- Autres versets bibliques et interprétations

- Un verset biblique sans rapport

- Les versets bibliques négatifs et conclusion

- Le sionisme politique

 

LES VERSETS HABITUELS ET SIGNIFICATIFS

 

Deutéronome XXX, 1-5

 

     Il s’agit de la première mention des Ecritures sur le retour en Israël :

« Lors donc que tout ce que je viens de dire vous sera arrivé, et que les bénédictions ou les malédictions que je viens de vous représenter seront venues sur vous, et qu’ étant touchés de repentir au fond du cœur, parmi les nations chez lesquelles le Seigneur votre Dieu vous aura dispersés, vous reviendrez à lui avec vos enfants, et que vous obéirez à ses commandements de tout votre cœur et de toute votre âme, selon que je vous l’ordonne aujourd’hui, le Seigneur vous fera revenir de votre captivité, il aura pitié de vous, et il vous rassemblera encore en vous retirant du milieu de tous les peuples où il vous avait auparavant dispersés. Quand vous auriez été dispersés jusqu’aux extrémités du monde, le Seigneur votre Dieu vous en retirera ; il vous reprendra à lui, et il vous ramènera dans le pays que vos pères auront possédé, et vous le posséderez de nouveau ; et, vous bénissant, il vous fera croître en plus grand nombre que n’avaient été vos pères ».

 

    Dans ce texte, Moïse avertit les Israélites sur les bénédictions ou les malédictions auxquelles ils seront confrontés, selon leur comportement, au cours du déroulement de leur histoire. La dispersion sera pour Israël un châtiment, et toujours le fruit de sa désobéissance aux prescriptions divines.

 

     Qu’apprenons-nous et que retenir de significatif dans ces paroles ?

 

     Pour le retour vers la terre des pères (Israël) nous apprenons que Dieu ne s’oblige à respecter sa promesse qu’à des conditions très précises être « Touchés de repentir » et « obéir à ses commandements » dans le lieu d’exil « parmi les nations », non de façon superficielle mais « de tout votre cœur et de toute votre âme » : telles seront les conditions irréfragables, dans le cours des âges, pour que Dieu accomplisse sa promesse envers le peuple d’Israël de le ramener sur sa terre.

 

     Ces précisions et avertissements donnés par Dieu, avant l’entrée d’Israël dans la Terre promise, devront toujours être présents à notre esprit pour bien appréhender si, après son inique participation au meurtre de Jésus-Christ, le retour des Juifs sur sa terre, à notre époque, est le fruit pour le peuple juif dispersé parmi les nations «  d’un repentir de tout son cœur et de toute son âme » avec désir « d’obéir aux commandements de Dieu » (récapitulés par Jésus en deux préceptes) permettant d’induire la fin du temps des nations, ou un ''signe irréfutable'' de la fin des temps.

 

     Pour qui ne veut pas mettre un voile épais devant ses yeux pour ne pas voir, les œuvres  continuelles de déchristianisation (1) accomplies dans les pays d’accueil, par les élites de la nation juive et leur fidèles, bien avant et après 1948 ou 1967, s’inscrivent en faux contre une telle interprétation et permettent de répondre par la négative.

 

(A suivre…« Autres versets bibliques et interprétations »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) C’est-à-dire la corruption des institutions chrétiennes de  la société française fondées sur les préceptes moraux et doctrinaux enseignés par Jésus-Christ, en les remplaçant par les enseignements et les doctrines de la mystique luciférienne judéo-maçonnique, fondements d’une science sociale issue des anciennes traditions spirites de l’idolâtrie et de la magie kabbalistique que des rabbins rapportèrent de Babylone et intégrèrent à leurs propres traditions. Cette mystique qui anime en politique, à des degrés différents, tous les partis qui finissent par se rejoindre sur leur commune référence à l’égalité révolutionnaire (destructrice de tout ordre social) et à la laïcité républicaine qui n’est rien d’autre que l’expulsion de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ, des institutions françaises. Belle unanimité politique dans le scandaleux irrespect de Dieu !


dimanche 1 mai 2022

Ave Maria, entends nos prières


 

AVE MARIA, ENTENDS NOS PRIERES

 

     Très beau chant à la Sainte Vierge qui élève l'âme, de Jean-Claude Giannada.


Je l'utilise sans but commercial. Elle peut être supprimée si elle devait contrevenir aux droits d'auteur.  https://www.youtube.com/watch?v=KomRJePPq4E

     Le Fils de Dieu, avant d’expirer sur la Croix, voyant sa mère et Saint Jean, prononça ces paroles :

« Femme, voilà votre fils. Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et à partir de cette heure, le disciple la prit chez lui. » (St Jean XIX, 26-27)

     Faites comme St Jean, prenez-là chez vous, car elle ne peut que vous conduire à Jésus-Christ et vous aider à le garder

 

René Pellegrini

La marque de l'esprit révolutionnaire et ses causes



LA MARQUE DE L’ESPRIT REVOLUTIONNAIRE ET SES CAUSES

 

     Une bonne appréciation de ce que sont la Révolution et l’esprit révolutionnaire aide à comprendre qu’en politique se dire de gauche ou de droite, de multiplier stupidement les sigles d’appartenance pour mieux égarer ou embarrasser l’électeur, n’est pas le critère fondamental pour juger de l’esprit et des finalités qui animent réellement les prétendants à une élection présidentielle, à la députation ou à des charges publiques. En effet, il est patent que l’esprit révolutionnaire souffle dans ces diverses composantes politiques eu égard à la place qu’ils se refusent d’accorder à Dieu Notre-Seigneur (ce qui devrait être en haut) dans leur programme respectif.

     Ainsi, la pierre de touche, la marque, le propre et le constant du système et de l’esprit révolutionnaires, ce qui permet de les reconnaître comme tels sous leurs différents masques (droite, gauche, centre, etc.), et de ceux qui s’y agrègent – qu’elles que soient les divisions et les animosités qu’ils affichent sur le grand théâtre de Guignol qu’est devenu la scène politique - c’est leur refus caractéristique et catégorique (chacun selon ses propres termes) de la Royauté de Notre Seigneur Jésus-Christ sur eux-mêmes et sur notre pays. Ce que je dis à propos du système et de l’esprit révolutionnaire français est aussi valable pour les prétendants politiques d’autres pays que la France. C’est-à-prendre en considération si vous n’êtes pas encore guéri du suffrage universel (le Père Noël des grandes personnes) aux dés pipés.

     De la place accordée à Dieu Notre-Seigneur dans la société civile et politique (qui ne peut être que la première) découle l’esprit qui anime réellement les institutions ainsi que les individus qui les défendent et les soutiennent, que ceux-ci s’affichent ouvertement révolutionnaires ou non, quand bien même vont-ils à l’Eglise, au temple, à la mosquée ou à la synagogue ; quand bien même sont -ils religieux, prêtres, évêques, cardinaux, ‘’papes’’, pasteurs, imams ou rabbins.

     Le fait que des hommes politiques aillent à l’Eglise n’est pas du tout une garantie. Ce qui importe, surtout, une fois sortie de l’Eglise, quelle place accorde-t-il à Jésus-Christ dans la vie publique : la première qui Lui revient de droit, ou dans le local des objets encombrants en attendant la prochaine Messe, lorsqu’il ne s’agit pas d’une présence hypocrite à caractère uniquement électoral ?

     Pour en terminer avec l’aspect révolutionnaire, il suffira de dire, succinctement, qu’examiner sous l’angle métaphysique, quatre causes prédisposent à la Révolution et à l’esprit révolutionnaire faisant agir, en paroles et en actions, à rebours de sa profession de foi informée par l’enseignement de l’Eglise et de l’Evangile :

- La cause formelle « Les hommes naissent libres et égaux en droits » contenue dans cette imposture qui fait tourner les têtes avant de les faire tomber : le mantra et faux principe révolutionnaire « Liberté–Egalité–Fraternité » d’origine maçonnique. A la naissance il n’y a pas plus dépendant que le nouveau-né. Quant aux droits ils doivent être compris dans leur sens révolutionnaire c’est-à-dire comme la négation même des droits de Dieu (1). Les mots de cette trilogie ont séduit beaucoup de Catholiques car s’ils sont acceptables pour un chrétien, leur contenu est différent examiné à la lumière des principes du christianisme.

- La cause matérielle : les hommes qui se laissent imposer cette cause formelle qui, prise dans un sens différent du christianisme, les amène progressivement à l’indifférence religieuse ou à la révolte contre Dieu, en ne lui attribuant pas la place, le respect, l’honneur et l’obéissance qui lui sont dus dans et par la société, ou qui se laissent séduire par la sonorité agréable mais mensongère des mots.

- La cause efficiente : le Diable ou Satan et les démons agissant sur la société par le moyen d’une double cause instrumentale : la Franc-maçonnerie et son inspirateur le judaïsme kabbalistique et talmudique (la gnose juive). Cette cause efficiente explique pourquoi la Révolution demeure et se perpétue, avec des hommes et sous des masques idéologiques différents : son inspirateur, Lucifer étant immortel de par sa nature spirituelle qu’il a conservée, après sa révolte contre Dieu son Créateur, devenant ainsi Satan ou adversaire de Dieu, et dont l’orgueilleuse ambition et le travail constant sont de recevoir par les hommes l’adoration que lui a refusé Jésus-Christ lors de sa troisième tentation. Adoration qu’il recevra par le moyen de l’Antéchrist et de ceux qui seront à son service à la fin des temps, pour livrer le dernier assaut contre l’Eglise qui aura été restaurée durant la sixième période de son histoire (Eglise de Philadelphie = Eglise de l’amour fraternel (Apocalypse III, 7-13), et avant le retour en gloire de Jésus-Christ.

- La cause finale ou le but : d’abord, le remplacement de l’aristocratie chrétienne par une aristocratie juive et gnostique et, ensuite, la damnation du plus grand nombre.

 

René Pellegrini

 

(1) Se rappeler que la Franc-Maçonnerie étant d’inspiration juive, le Talmud, le code morale et religieux des Juifs, enseigne que seul le Juif est un homme, les autres ne sont que des animaux. C’est une erreur de croire, et de faire accroire, que les Juifs sont nos ‘’frères aînés’’ car les rabbins ne suivent pas Moïse selon les enseignements de l’ancienne Synagogue fidèle jusqu’à Siméon le Juste, dépositaire de la tradition et grand prêtre après la mort d’Esdras le prophète. Les fameux ‘’frères aînés’’ suivent les enseignements des planificateurs du meurtre de Jésus-Christ jusqu’à nos jours, car pour eux le Talmud – l’expression écrite de la tradition des pharisiens - est au-dessus de Moïse. Depuis la crucifixion de Jésus, ils sont nos ‘’frères aînés’’ comme Caïn, l’aîné, l’était avec Abel.

 

Ultérieurement, si Dieu veut, on examinera ce qu’est la Contre-révolution et ce qu’il faut entendre par ce mot dans une optique chrétienne.

 

Mis sur un autre blogue le 9 janvier 2014 


 

La gloire du Saint-Esprit - Motif 1 (suite)



TRAITE DU SAINT-ESPRIT - 2  


LA GLOIRE DU SAINT-ESPRIT - MOTIF 1 (suite)

 

     En est-il de même pour le Saint-Esprit ? Ses œuvres propres ne sont pas sensibles, comme celles du Père et du Fils. La sanctification qu’il opère dans nos âmes, la vie qu’il répand partout échappe à la vue et au toucher. Il ne s’est pas fait chair comme le Fils. Comme lui, il n’a point habité, sous une forme humaine, parmi les enfants d’Adam. Trois fois seulement il s’est montré sous un emblème sensible, mais passager : colombe au Jourdain, nuée lumineuse au Thabor, langues de feu au Cénacle. Afin de le représenter, les arts n’ont pas, comme pour Notre-Seigneur, la faculté de varier leurs tableaux. Deux symboles : voilà tous les moyens plastiques laissés à la piété, pour redire aux yeux son existence et ses bienfaits. (1)

     Aussi qu’elle connaissance a-t-on du Saint-Esprit dans le monde actuel et même parmi les chrétiens ? Où sont les vœux qu’on lui adresse, le culte qu’on lui rend, la confiance et l’amour qu’on lui témoigne, l’expression sérieuse et soutenue du besoin continuel que nous avons de son assistance ? Son nom même, prononcé dans le signe de la croix, éveille-t-il les mêmes sentiments que celui du Père et du Fils ? Il est triste, mais il est vrai de le dire, la troisième personne de la Trinité dans l’ordre nominal, le Saint-Esprit, est aussi la dernière dans la connaissance et dans les hommages de la plupart des chrétiens. Cet oubli profond, tranchons le mot, cette ingratitude générale, est le calvaire du Saint-Esprit.

     Or, si la passion de la seconde Personne de l’adorable Trinité émeut le chrétien jusque dans les profondeurs de son être, comment voir de sang-froid la passion de la troisième ? Pour être moins accessible à nos sens extérieurs, en est-elle moins douloureuse ? N’est-ce pas le même abandon, le même mépris, trop souvent les mêmes blasphèmes ? De la bouche du divin Esprit ne vous semble-t-il pas entendre la plainte qui tombait des lèvres mourantes de l’Homme des douleurs :

« (…) j’ai attendu avec constance quelqu’un qui prit part à ma tristesse, et nul ne l’a fait ; et quelqu’un qui me consolât, et je n’ai trouvé personne. » (Psaumes LXVIII, 21) (2)

     Consoler le Saint-Esprit, ou du moins, comme Simon de Cyrène le fit pour le Verbe incarné, l’aider à porter sa croix : belle mission ! S’il en fut. Mais, pour de faibles créatures, le moyen de l’accomplir ? Employer tout ce qu’elles ont de vie à glorifier cette très adorable et très aimable Personne de l’auguste Trinité. Comment la glorifier ? En changeant, à son égard, l’ignorance et l’oubli en connaissance et en tendre souvenir ; l’ingratitude, en reconnaissance et en amour ; la révolte, en adoration et en dévouement sans bornes. Inutile de le dire, de tout point, une pareille tâche est au-dessus de nos forces. Aussi nous avons bien moins pour but de la remplir que de l’indiquer.

 

(A suivre… « L’avantage du clergé – Motif 2 »…si Dieu veut)

 

(1) L’Eglise a défendu de représenter le Saint-Esprit autrement que sous la forme d’une colombe ou de langues de feu (Bulle Sollicitudinis de Benoît XIV)

(2) Psaumes 69,21 dans les Bibles protestantes (Segond et autres)

 

René Pellegrini


 

L'ordre de Dieu



 L'ORDRE DE DIEU

 

      Sans l’ordre de Dieu, il ne peut y avoir d’ordre nulle part

     Jusques à quand occuperons-nous donc la capacité de notre âme de peines et d’inquiétudes qui n’ont rien de commun avec notre devoir présent ?

     Quand Dieu nous sera-t-il tout en toutes choses ?

Laissons les créatures se faire sentir selon ce qu’elles sont, mais que rien ne nous arrête : allons au-delà de tout le créé, et vivons très purement de Dieu même.

     L’ordre de Dieu, le bon plaisir de Dieu, la volonté de Dieu, l’action de Dieu, la grâce : tout cela est une même chose en cette vie. C’est Dieu qui travaille à rendre l’âme semblable à lui.

 

(Père Jean-Pierre de Caussade)

 

René Pellegrini

 

Le reour des Juifs en Palestine - 1 : Avant-Propos



 LE SIONISME - 1

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE - 1 : AVANT-PROPOS 

 

 « Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis.»

 (Luc XXI, 24)

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

     Cet article, et les suivants, pour ceux qui professent la fin du temps des nations depuis le retour des Juifs en Palestine (1) en 1948 ou, au plus tard, depuis la guerre des six jours de 1967 livrée et gagnée par Israël contre l’Egypte, la Jordanie et la Syrie, et à ceux qui font de ce retour ''un signe irréfutable'' de la fin des temps : ces deux catégories de personnes que j’appelle les chrétiens judaïsés ou sionisés car, se faisant, chacun à leur manière, les colporteurs d’une propagande judaïque et sioniste très en verve dans les mouvements judéo-chrétiens, évangéliques, charismatiques, et même chez des catholiques encore imprégnés, ou mal guéris, des interprétations d’anciennes fréquentations de sectes, et perceptibles dans certains de leurs enseignements présentés comme catholiques, et même jusqu’au Pentagone avec leurs guerres ''messianiques''. Ce type d’interprétation littérale des prophéties sur Israël manifeste une lecture et une influence spirituelle rabbinique, c’est-à-dire kabbaliste et talmudiste.

     Le danger d’une telle interprétation c’est de drainer souvent, avec elle, l’idée que l’étape suivante est la venue de l’Antéchrist. C’est une erreur chronologique et théologique car elle fait l’impasse sur le règne restaurateur du Sacré-Cœur (Saint Pape et Grand Monarque) (2) qui permettra à beaucoup de personnes (dont les Juifs) de se convertir, avant la venue de l’Antéchrist pour l’ultime et terrible persécution des chrétiens pendant trois ans et demi, devant aboutir à la fin du monde et au renouvellement de toutes choses.

     Si je puis être d’accord pour vivre dans une époque s’inscrivant dans un processus de fin des temps, je ne l’associe pas à ce retour des Juifs en Palestine interprété comme un signe voulue par Dieu, selon les prophéties habituellement invoquées comme argument. Ne pas confondre signe voulu par Dieu, avec événement permis par Dieu.

     Un des membres de ce christianisme judaïsé ou sionisé traite aimablement les traditionalistes (3) d’antisémite. En effet, ne pas adhérer à leur (?) interprétation des Ecritures, et appeler un chat un chat, lorsqu’il s’agit des Juifs qui, à moins d’ignorer leurs agissements anciens et jusqu’à présent - loin d’être très lisses dans leur propre histoire nationale comme dans la nôtre – ce serait, dans l’univers mental de certains, une preuve d’antisémitisme. Une des caractéristiques de ces aimables paroissiens c’est d’être prosioniste et dithyrambique à l’égard d’Israël, voire d’arborer parfois le drapeau sioniste de 1948 ce qui, au regard de leur histoire ancienne et présente face à la Loi de Moïse (pas celle du Talmud) et de Notre-Seigneur, me paraît être un curieux mélange des genres : conséquence d’un certain strabisme spirituel ou d’une confusion de l’esprit.      

     Si cela peut les convaincre, bien que n’ayant nul besoin de leur aval pour savoir ce qu’il en est réellement de mon attitude et de mes sentiments concernant les membres de la ''Race supérieure'' - ce que les Juifs pensent être selon le Talmud - je les renvoie aux deux articles « Avertissements »  et Mise au point et petite digression sur les Gilets jaunes. 

     Prier pour la conversion des Juifs et leur pardonner leurs mépris ou insultes contre ma personne : OUI ! Sans problème. Faire silence - comme c’est le cas des fascinés par Israël selon la chair, des politiques, des historiens, de la presse audio et écrite en général - sur leurs agissements historiques contre les chrétiens et leur haine avérée contre la France, Fille aînée de l’Eglise et la monarchie catholique, le rempart naturel de la France contre sa dissolution par ses ennemis intérieurs et extérieurs : NON !

     Ce ne peut être, sans réagir, un continuel procès à charge contre les chrétiens, la France et l’Eglise catholique. Ils ont tous les grands média entre leurs mains, et des politiciens comme serviteurs serviles pour déchristianiser la France avec leur propagande culturelle, politique et sociale anticatholique et antichrétienne. Nous n’avons que nos blogues et quelques rares livres pour montrer les Juifs tels qu’ils sont : ce qu’ils font actuellement, et ce qu’ils ont toujours fait dans les sociétés non-juives qui les ont accueillis, et ce qu’ils n’ont jamais cessé d’y faire depuis leur châtiment par Dieu du crime de déicide et leur dispersion parmi les nations.   

     Dans mon univers mental, comme dans les faits, l’antijudaïsmel’antisionisme (4) et l’antisémitisme (5) étant trois choses différentes, j’aurai  préféré, en rigueur de terme, s’il fallait me cataloguer, être traité d’antijudaïsme ou d’antisionisme (même des Juifs sont antisionistes) car, ne vivant pas dans un monde de bisounours et d’œcuménisme trompeur et destructeur de la foi véritable, je peux, et c’est même mon devoir comme chrétien, dénoncer le mouvement politique qu’est le sionisme et combattre la théologie fausse et destructrice du judaïsme des pharisiens, combattue et condamnée par Jésus au premier siècle, ses apôtres et l’Eglise. Ce faux judaïsme enseigné par leurs successeurs et propagateurs : les rabbins kabbalistes et talmudistes actuels, tout autant que celui des juifs libéraux et laïcs, ou des non-juifs qui les suivent, sans pour autant être antisémite ; comme je conçois que d’autres puissent être doctrinalement, théologiquement et politiquement anticatholique et antichrétien (c’est bien le cas des Juifs depuis l’origine du christianisme, à moins d’être aveugle ou complice) sans pour autant les cataloguer d’anti-européen, d’anti-occidental, d’antiblancquoique…si j’en crois cet extrait du discours-programme du Rabbin Emanuel Rabinovich, au Congrès d’Urgence des Rabbins européens à Budapest, en Hongrie, le 12 janvier 1952 :

« (…) Je puis déclarer avec assurance que les dernières générations d’enfants blancs sont nées. Dans l’intérêt de la paix et l’effacement des tensions interraciales, nos Commissions de Contrôle interdiront aux blancs de s’accoupler avec des blancs. Les femmes blanches doivent cohabiter avec les membres des races foncées, les hommes blancs avec des femmes noires. Ainsi, la race blanche disparaîtra, car mélanger le foncé au blanc signifie la fin de l’homme blanc, et notre plus dangereux ennemi ne sera plus qu’un souvenir. » (Service des Renseignements Canadiens, septembre 1952, dans la publication américaine Common Sense, 1952)  

     La forte migration subsaharienne, comme par hasard, devrait peut-être permettre la réalisation des volontés de cet exemplaire monument d’antiracisme. Ainsi, le problème c’est l’homme blanc (???) sauf la ''race supérieure'' bien sûr ! Vous avez dit raciste ? Qui ? Ceux qui hurlent le plus et à sens unique ! Ces propos sont stupéfiants, mais pas pour ceux qui connaissent certains textes du Talmud (6). Il faudrait commencer par balayer devant sa propre porte « Nos commissions de contrôle ». Ce texte que certains apparentent au ''faux''  Protocoles des Sages de Sion dont on reparlera ultérieurement, si Dieu veut, peut prêter à caution aux yeux de la police de la pensée, pour tout ce qui concerne les ''intouchables'', les purs d’entre les purs. Alors, autant le dire avec force : ce texte n’est en aucun cas crédible car, depuis 1952, il est incontestable, visible à l’œil nu, que la France blanchie de plus en plus !

     En France, selon la nouvelle présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans et ça, il va falloir que ça change. » (Le Figaro, le 23 septembre 2015) – Propos sans rapport avec ceux de 1952 ou résultat de leur influence souterraine pouvant désormais se manifester publiquement et destinés, par répétition de faits accomplis, à changer les mentalités, et à les normaliser ?... Selon la technique maçonnique bien réglé et victorieuse bien des fois : Faites-leur avaler le mot, ils avaleront la chose ! Comme cela s’est fait avec l’avortement, contraception, mariage gay, etc…

     Lorsqu’on est catholique on fait, au minimum, l’effort de ne pas se tromper d’ennemis en répétant des slogans fabriqués, par les vigilants, pour museler et mettre au banc de la société, sans qu’il leur soit nécessaire de justifier leurs assertions par des arguments probants et convaincants, autres que : circulez y a plus rien à voir, les ''experts'' que nous avons choisis ont décidé. Aujourd’hui, comme hier, le combat spirituel est vital. Il doit se livrer, non seulement pour le bien des gens simples, mais aussi pour celui de nos frères dans la foi et leur salut éternel, contre ceux qui, au cours des siècles, n’ont pas cessé de combattre directement, ou indirectement et subtilement - par sectes interposées et créées par eux - le catholicisme et le christianisme, plutôt que s’enflammer sur un fait historique sur lequel il y a beaucoup à dire en utilisant, comme un perroquet ou un imbécile, le clairon rassembleur et bien calibré de l’antisémitisme, dès qu’on éclabousse l’auréole complaisante et surfaite attribuée aux Juifs, à moins d’ignorance (non péjoratif), de complicité ou d’affinités inavouables.

     Personne n’est dupe de l’utilisation habituelle, récurrente et à dessein de ce mot par ceux qui, en politique comme en religion, savent les avantages qu’il procure aux yeux de l’opinion publique, et jouent ignoblement sur l’effet escompté. Si vous voulez rendre quelqu’un infamant et pustuleux vous lui appliquez, sans discernement, du haut de votre intelligence supérieure, le mot antisémite ou celui de fasciste s’il n’adhère pas, en politique ou en religion, à la pensée chimiquement pure des judéo-maçons et propagée par leurs colporteurs de toutes tendances politiques ou religieuses et repris en chœur, avec cris d’orfraies, par des media et journaux faiseurs d’opinion, subventionnés par l’Etat, c’est-à-dire par les contribuables même stigmatisés, à tort ou à raison, antisémites ou fascistes : leur argent, pour le coup, est pur de tout stigmate infamant et bon à prendre.

 

(A suivre…« Le retour des Juifs en Palestine - 2 : Versets habituels et significatifs »…si Dieu veut »

 

René Pellegrini

 

- C’est moi qui mets en gras et souligne dans le texte.

 

(1) Première tentative juive de fonder un Etat juif en Roumanie, au XIXe siècle, et repoussée par les autorités et la nation roumaines (Archives israélites XVI, p.719, 1866) 

(2) Epoque de courte restauration, après les périodes de révolutions, d’afflictions et de désastres du cinquième âge (Eglise de Sardes). Elle correspond au sixième âge  de l’Eglise (Eglise de Philadelphie) du Livre de l’Apocalypse III, 1-13)

(3) Ce que je suis (sans adhérer à leur opinion sur les ‘’papes’’ depuis Vatican II) mais selon les termes de Saint Pie X « car les vrais amis du peuple ne sont ni révolutionnaires ni novateurs, mais traditionalistes. » (Encyclique Notre charge Apostolique sur ‘’le Sillon’’ 25 août 1910)

(4) Le sionisme est un mouvement politique dont l’objectif était la création d’un Etat juif en Palestine avec perspective de domination mondiale non incluse, bien sûr, lors de l’élaboration des documents. Dans cette perspective il vise, présentement, à enflammer les nations en leur faisant prendre parti dans le conflit qui oppose Israël moderne avec le monde musulman et, par ricochet, favoriser le déclenchement de la troisième guerre mondiale devant permettre, après les désastres et les horreurs occasionnés, la mise en place d’un nouvel ordre mondial dominé et régi par les Juifs. C’est aussi une erreur théologique. Un catholique ne peut que constater le fait du sionisme et dénoncer sa véritable finalité, mais non l’exalter et le promotionner. La promesse de Dieu aux Juifs est de l’ordre de la conversion, possible en tout pays, et non la promotion d’un mouvement politique pour le retour en Palestine, avec l’aide de la judéo-maçonnerie anglo-saxonne des Rothschild et, au besoin, l’implication des autres nations dans des combats de protection, ou de soutien, pour une terre qui ne leur appartient plus. Ce projet politique n’a aucun avenir, sinon de favoriser la troisième guerre mondiale, car il se dresse contre le décret de Dieu sur le peuple juif comme on le verra par la suite.

(5) Les arabes sont aussi des Sémites descendants d’Abraham par Ismaël, et pas seulement la ''race supérieure''. C’est faire peu de cas des autres et intellectuellement malhonnête d’accaparer et de restreindre le vocable « Sémite » aux seuls Juifs qui, par leur comportement envers les Arabes palestiniens, peuvent alors être qualifiés d’antisémites. Lorsqu’il s’agit des Juifs, pour éviter cette restriction du vocabulaire et son utilisation fallacieuse, il serait plus logique de parler d’antisionisme, voire d’antijudaïsme. Le sionisme (mouvement politique) et le judaïsme pharisaïque (une religion) ne sont pas synonymes d’antisémitisme (contre les Sémites ou contre la race sémite) n’est-ce pas M. Valls et consorts, lorsque l’esprit n’est pas manipulé ou tordu ? De ce fait, la propagande et la doctrine politique sioniste ainsi que les doctrines religieuses du judaïsme rabbinique ou pharisaïsme, peuvent être combattues politiquement et doctrinalement, mais pas les Sémites en tant que race, qui ont le droit légitime d’exister, tout comme d’autres, et surtout concernant les Juifs, en tant que peuple élu de Dieu, ayant reçu de Lui la Loi, les oracles et les prophètes, mais toujours outrageusement prévaricateur et persistant dans sa négation et le blasphème de Jésus Messie.

(6Le Talmud : C’est le code moral, social et religieux des Juifs. Il sert de frein contre la conversion des Juifs à Jésus-Christ. Je l’ai déjà écrit mais je le redis : pour un Juif le Talmud est au-dessus de la Loi de Moïse !!! (Talmud, traité Baba-Metzigna, folio 33)

 

Mis sur un autre blogue le 25 juin 2016

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