Affichage des articles dont le libellé est pharisiens. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est pharisiens. Afficher tous les articles

jeudi 7 juillet 2022

Qu'allez-vous célébrer le 14 juillet ?


QU’ALLEZ-VOUS CELEBRER LE 14 JUILLET ?


      A lire sans esprit de haine ou de revanche, mais sans oublier sur quoi vous célébrez année après année. Que diraient les ‘’grandes consciences’’ si, en France, on dansait et festoyait sur un événement tel que la Shoah ? On assisterait à une levée de boucliers. Des cris d’indignation et une réprobation générale en boucle sur tous les media. Par contre, le 14 juillet, c’est la fête ! Sans doute que les cadavres catholiques français valent moins chers que d’autres. IMMONDES TARTUFES !

     L’année 1789 induira dans le monde, en un peu plus de deux siècles, par appropriation idéologique ou par exportation guerrière, des centaines de millions de morts et des horreurs indignes d’êtres humains, à l’exemple et méthodes des fondateurs et planificateurs. Telle est la Révolution, telle elle sera toujours, partout où elle s’installera qu’elle que soit le masque qu’elle utilisera pour cela. Il ne peut en être autrement car son inspirateur le diable, éternel révolté, assassin des âmes et des corps, ennemi juré de Dieu Notre-Seigneur et de son Eglise, s’est attelé à sa destruction avec ses agents d’exécution, les fils spirituels des Rabbins du premier siècle qui firent exécuter le vrai dispensateur de la liberté, de la fraternité et de la paix, sans oublier leurs prosélytes Francs-maçons auxquels s’agrègent tous les non judéo-maçons profanes et religieux, les amis du monde et des plaisirs, ceux aspirant aux honneurs, aux dignités, à quelque pouvoir ou reconnaissance dans la société par leur collaboration.


     Cette date marque l’installation et la célébration d’une République révolutionnaire usurpatrice, illégitime et assoiffée de sang par les Illuminés Francs-Maçons, instruments de la propagation de concepts antichrétiens issus du judaïsme des pharisiens talmudistes et kabbalistes, ennemis séculaires de la France chrétienne et monarchique. Un pouvoir de fait et non de droit. Elle favorisera la propagation d’idéaux révolutionnaires exportés en Europe par les armées napoléoniennes, des désordres sanglants qui aboutiront à la formation et à l’éclosion des deux monstres révolutionnaires que sont le communisme et le national-socialisme (nazisme). Ces deux régimes concentrationnaires venus à l’existence par des théoriciens juifs et leur financement par des banquiers juifs, et l’aide des sociétés secrètes d’inspiration et de formation kabbaliste dans le but d’enserrer la chrétienté entre ces deux mâchoires dialectiques pour l’affaiblir, la réduire et la détruire en la plongeant dans des guerres fratricides et meurtrières.


     Au XIXe siècle, en matière criminelle, pour faciliter la recherche du coupable, le jurisconsulte conseilla aux députés de l’Assemblée Nationale « cherchez la femme et vous trouverez le coupable » (1er septembre 1876). En matière révolutionnaire ce sera plutôt « cherchez le(s) Juif(s) ». Ils ne doivent pas s’offusquer de ces propos car ils savent pertinemment sous quelles influences se meuvent les révolutionnaires, et à quelle communauté appartiennent les personnages agissant derrière les petits ou grands événements de contestation, de bouleversements, de déstabilisations et de révolte dans les nations. On connaît parfaitement l’ethnie des grands ‘’bienfaiteurs’’ de l’humanité que furent Marx, Lénine, Trotsky et bien d’autres. Quant à Hitler il fut membre de la société secrète Thulé-Gesellschaft. Cette société lui a fourni les premiers membres du National-Socialisme (Nazisme) quant à son financement nous savons qui détient la puissance de l’argent. Le nazisme, au même titre que le bolchévisme, est une idéologie et un mouvement révolutionnaire d’inspiration juif kabbaliste qui regroupera des sociétés secrètes telles que l’aryo-sophisme, la théosophie, la franc-maçonnerie et l’occultisme.


     Le 14 juillet 1789 c’est le commencement d’un avilissement moral et sa perpétuation toujours plus évidente et outrageante. C’est une violence sauvage et barbare faite au gouvernement légitime de la France, la monarchie catholique, et à la population française fidèle à son roi et à sa religion. La monarchie française étant le seul et vrai rempart naturel contre la dissolution de la France dans le cosmopolitisme mondialiste de ses ennemis séculaires. La France, au regard de Dieu est, et demeure monarchique par son alliance avec Dieu, en 496, au Baptistère de Reims, lors du baptême de Clovis avec ses 3000 guerriers, mais son vrai Roi c‘est le Christ. Le Roi de France n’étant, ici-bas, que son Lieutenant (tenant-lieu) dans l’ordre temporel, comme le Pape est son Vicaire dans l’ordre spirituel.

 

     Aujourd’hui, le témoin diabolique pour la destruction économique, financière et sociale destiné à créer les conditions de dissolution de la France et des nations, et la tentative d’amalgamer la religion catholique dans le magma politico-religieux du Nouvel Ordre Mondial, est passé entre les mains des financiers judéo-maçonniques mondialistes apatrides et des ecclésiastiques félons aux contorsions de langage convenues, pour le plus grand bonheur des peuples bien entendu : tels sont les applications pratiques et le mûrissement des fruits vénéneux enclenchés par 1789 : le processus révolutionnaire et sa laïcité que vous chérissez tant, et que vous perpétuez par la trahison des valeurs morales, sociales et politiques chrétiennes.

 

     Cette date inaugurera, de 1789 à 1794, avec la guillotine des défenseurs affublés des ‘’Lumières de la raison’’ et, ça va de soi, grands humanistes des Droits de l’homme, le massacre de dizaines et de dizaines de milliers de français (enfants, femmes, hommes, vieillards), des femmes et des hommes brûlés vifs, des filles et des femmes violées, des noyades, des femmes et des enfants jetés dans des fours chauffés, etc. Rien à envier aux terroristes islamiques – sinon pire à certains égards - dont les crimes et les barbaries vous horrifient, mais devraient vous permettre de faire en retour en arrière. Merveilleuse et fameuse ‘’raison’’ qui raisonne depuis comme un marteau dans la m….

 

14 JUILLET 1789 ET SES SUITES :


- Des femmes et des enfants brûlés dans le four à pain de la bourgade des Epesses près de Pouzauges (Vendée)

 

- Le massacre des Lucs de Boulogne (Vendée) en 1794, perpétrée par la Colonne infernale commandée par le général Cordellier et ordonnée par le général-en-chef Turreau. Massacre de 564 personnes dont 110 enfants de moins de 7 ans

 

- Les massacres dans la petite ville de La Gaubretière accomplis par les troupes du général Huchet sur ses ordres, avec le planning suivant :

 

* Les hommes étaient éventrés à l’arme blanche de manière à faire souffrir le plus possible et à ne provoquer la mort qu’à petit feu. De nos jours, le champ du massacre s’appelle encore, le « champ des royards » (royer, en patois vendéen signifie hurler comme un cochon qu’on égorge)

 

* Aux femmes on leur mettait des pétards que l’on faisait exploser dans le sexe, comme cela « les femelles ne pourront plus engendrer » (sic) si elles survivaient.

 

* Les enfants étaient suspendus par la gorge aux crochets des plafonds destinés à suspendre la nourriture.

 

* Les soldats républicains portaient souvent en trophées des colliers faits d’oreilles de leurs victimes.

 

* On brûlait dans des fours à pain les corps des femmes pour une obtenir une graisse « qui était de très bonne qualité », comme l’étaient les peaux des vendéens que l’on tannait à Angers, etc., etc., etc. Vous avez dit nazi ? (1)

 

     Que dire après cela, puisque nous ne devons pas maudire notre prochain, sinon reprendre à son propre compte les paroles que Jésus-Christ adressa aux scribes et aux pharisiens dans un autre contexte que celui de la barbarie « Serpents, race de vipères ! »

 

     Si on ajoute qu’au pied de l’échafaud des femmes attendaient que les têtes tombent en tricotant, on mesure les instincts bestiaux et l’absence de sentiments humains que peuvent libérer des idéologies haineuses envers une classe sociale, une ethnie, une religion, etc., dès que les conditions le permettent. Dénoncer et combattre des pensées contraires n’oblige pas à la cruauté et à l’inhumanité. La liste des horreurs perpétrées par ces immondes crapules pourrait encore se poursuivre jusqu’à la nausée, il suffit de se documenter, non dans l’histoire officielle des livres scolaires avec la pommade jetée sur les ‘’Grands Ancêtres’’ qu’il faut rendre glorieux. Mais, par pour ceux qui fouillent dans les archives de cette époque, et qui ne craignent pas pour leur chaire d’histoire ou leur carrière d’historien. Il en va de même pour le respect de la réalité des données pour d’autres disciplines : science, histoire, littérature, économie, etc.

 

     Si, après les ‘’exploits’’ des sauvages de 1789 et ses suites, vous frétillez à l’idée de célébrer et danser ce jour-là, c’est que vous ne valez pas mieux qu’eux, car il faut être dépourvu de tout sentiment et respect humains pour oser célébrer et danser un 14 juillet qui n’est, en réalité, que la célébration de crimes odieux contre l’humanité. Ce jour fait festoyer et danser sur des planifications de massacres et de barbaries, sur des tas de cadavres d’enfants, de femmes, d’hommes et de vieillards dont le seul crime fut d’aimer leur roi et leur religion et de sauvegarder l’héritage qu’ils en avaient reçu. On s’évertue, à satiété, à remémorer et à faire pleurer dans les chaumières pour d’autres crimes, mais pas sur celui de ces atrocités, ce génocide qui n’a pas droit de citer, commis par les barbares révolutionnaires : CIRCULEZ !... Y A RIEN A VOIR ET A REMEMORER, SINON A FESTOYER ! FAUSSAIRES DE L’HISTOIRE ET IGNOBLES INDIVIDUS !

 

     Un jour, l’histoire (pas celle de la camarilla des auteurs stipendiés et des conservateurs de chaire) fera la lumière sur ce que fut réellement 1789 et ses suites, ses horreurs dignes de barbares, le massacre des Vendéens, déportations de femmes et d’enfants dont ne peuvent se glorifier un certain 14 juillet que des ignorants (de bonne foi, on peut les excuser), des sans cœur ou des sanguinaires aussi cruels que les sinistres Turreau avec ses colonnes infernales, et Carrier avec ses massacres et noyades organisés. Des travaux irréfutables (2) en ce sens sont déjà produits dans un grand silence médiatique, et pour cause. Il ne faut pas ternir la mémoire des ''Grands Ancêtres'' (3), et que les français ne voient et ne comprennent ce que fut cette monstruosité assoiffée du sang de ses propres fils et filles, et idolâtrée année après année : Ce moloch (4) des temps modernes qui continuent de s’abreuver du sang qu’il fait répandre, ici et là, par la propagation de son idéologie meurtrière et synonyme de décadence morale.

 

     Pour vous égarer et détourner votre attention, on vous a fabriqué une autre bête immonde, un parti politique repoussoir (qui n’est lui-même qu’un mystificateur car pathétique potiche comme tous les autres) mais vers qui on tourne régulièrement les regards lors des joutes électorales françaises ou lors de la confection de la mixture politicienne qu’est le front républicain. Cependant, la vraie bête immonde n’est autre que la Révolution dite française dont les œuvres, les fruits et les blasphèmes du passé et du présent témoignent de sa grande laideur morale et de son total mépris de Dieu. Si vous aimez la France chrétienne PRIEZ pour elle Notre-Seigneur pour qu’Il l’aide à retrouver son ancienne ferveur et repentez-vous car sans repentance, il n’y a pas de pardon de Dieu. Ne comptez en aucune manière sur les partis politiques actuels pour sauver la France, car tous ont pris - avec la laïcité révolutionnaire qu’il chérisse car elle est leur sésame pour faire une carrière politique - la marque d’infamie et d’irrespect qui consiste à considérer Dieu persona non grata dans les assemblées parlementaires et les édifices publics.

 

- Je m’excuse pour la longueur du texte. J’ai préféré le mettre en une seule fois pour en conserver la continuité

 

René Pellegrini

 

(1) Revue du Centre d’Etudes et de Prospective sur la Science (Le Cep, 2011, N° 56 p.49 et 61)


(2) Du génocide au mémoricide de Reynald Secher aux Editions du Cerf, 2011


(3) Certains députés et chefs révolutionnaires (chefs sans-culottes…et sans cervelle) portaient des culottes faites de peaux d’hommes, tannées par un certain Pequel : certainement des chantres des Droits de l’homme. Méthode de fabrication : 
 

« On coupe la peau au-dessus de la ceinture, puis le long de chacune des cuisses jusqu’à la cheville, de manière à ce que, après l’écorchement et le tannage de cette peau, il suffise de coudre pour avoir un pantalon confectionné » (Pensez-y si vous avez encore à cœur de célébrer cette commémoration inique qui me donne plus envie de vomir que de festoyer)

 

(4) Divinité ammonite représentant un homme avec une face de taureau. A l’intérieur de cette divinité était allumé un grand feu et dans les bras de ce monstre on plaçait des victimes humaines que la chaleur du feu consumait. Cette ignominie fut pratiquée même chez les Israélites (Jérémie XXII, 35). Hitler n’a rien inventé.


Mis sur un autre blogue le 28 juin 2017

 

NOTA BENE (ajouté le 25 septembre 2019)

     Voici quelques liens concernant la pensée de l’Eglise sur les droits de l’Homme et leurs sécrétions issus de la Révolution française :

Encyclique Adeo Nota, 23 avril 1791 (n’existe qu’en italien, paragraphe 13) du Pape Pie VI https://w2.vatican.va/content/pius-vi/it/documents/enciclica-adeo-nota-23-aprile-1791.html 

et Discours au Consistoire du 11 juin 1793 https://www.lysardent.fr/2012/10/05/discours-du-pape-pie-vi-prononce-au-consistoire-du-11-juin-1793/ ; http://www.icrsp.org/Textes-Divers/Discours-Pie-VI.htm 

Sur La volonté populaire ou souveraineté du peuple, le communisme, le socialisme, etc. https://fr.wikisource.org/wiki/Encyclique_Quanta_Cura_et_Le_Syllabus/Encyclique (en français, et en italien sur le site du Vatican) et Encyclique Diuturnum illud de Léon XIII , 29 juin 1881  http://w2.vatican.va/content/leo-xiii/fr/encyclicals/documents/hf_l-xiii_enc_29061881_diuturnum.html

samedi 2 juillet 2022

Quelle attitude en temps de persécution et de privation de sacrements ? - 1


QUELLE ATTITUDE EN TEMPS DE PERSECUTION

ET DE PRIVATION DE SACREMENTS ? - 1


     Beaucoup de Catholiques sont inquiets et indignés, à juste titre, face aux mesures prises par les autorités gouvernementales les privant des offices religieux et des sacrements, suite au Coronavirus. Cette situation de privation n’est pas nouvelle, des Catholiques l’ont connue lors de la Révolution de 1789 et ses suites. Pour notre consolation et calmer certains scrupules causés par l’empêchement, éviter de nous fourvoyer dans des manifestations sans véritable profit en ces temps eschatologiques et de châtiments, et conserver notre équilibre spirituel en le gardant enchaîné à la foi qui est au-delà du sensible, nous pourrons tirer profit - en cette situation préparatoire à d’autres plus pénibles encore - de la lettre que vous pourrez considérer comme vous ayant été adressée et intitulée :

     CONSOLATIONS pour les fidèles en temps de persécutions, de schismes, d’hérésies…Par M. DEMARIS prêtre catholique, professeur de théologie dans la maison des missionnaires de Saint Joseph à Lyon, exilé vers 1803, et mort pour la foi en Jésus-Christ.

     M. DEMARIS, voyant les fidèles menacés de se trouver sans pasteurs, sa charité, quoique enchaîné, lui fit écrire (à leur prière) la Règle de conduite qui suit, pour leur consolation.

MES CHERS ENFANTS,

     Placés au milieu des vicissitudes humaines et du danger qu’offre le choc des passions, vous adressez vos charités à votre père et vous demandez une règle de conduite.

     Je vais vous la montrer et tâcher de porter dans vos âmes la consolation dont vous avez besoin : Jésus-Christ, le modèle des chrétiens, nous apprend par sa conduite ce que nous devons faire dans les moments pénibles où nous nous trouvons. Quelques pharisiens lui dirent un jour :

« Retirez-vous d’ici, parce qu’Hérode veut vous faire mourir ». Il leur répondit : « Allez dire à ce renard que je chasse les démons, et que je guéris les malades aujourd’hui et demain, et le troisième jour j’aurai fini. Mais je dois agir encore aujourd’hui et demain et après-demain, car ils ne convient pas qu’un prophète meure hors de Jérusalem » (St Luc XIII, 31-33)

     Vous tremblez, mes chers enfants ; tout ce que vous voyez, tout ce que vous entendez est effrayant, mais consolez-vous, c’est la volonté de Dieu qui s’accomplit. Vos jours sont comptés, sa providence pèse sur vous. Chérissez ces hommes que l’humanité vous offre comme farouches ; ce sont des instruments que le Ciel emploie à ses desseins et, comme une mer courroucée, ils ne passeront pas la ligne prescrite contre les flots qui se balancent, s’agitent et se menacent.

     Le tourbillon orageux de la révolution qui frappe à droite et à gauche, et les bruits qui vous alarment, ce sont les menaces d’Hérode : qu’ils ne vous détournent point de vos bonnes œuvres ; qu’ils n’altèrent point votre confiance et qu’ils ne flétrissent pas l’éclat de vos vertus, qui vous unissent à Jésus-Christ. Il est votre modèle, et les menaces d’Hérode ne le détournent point de la carrière de sa destinée.

     Je sais que vous pouvez être privés de votre liberté, et que l’on peut même chercher à vous faire mourir. Je vous dirai donc ce que Saint Pierre disait aux premiers fidèles :

« Ce qui est agréable à Dieu est que, dans la vue de lui plaire, nous endurions les maux et les peines qu’on nous fait souffrir avec injustice : en effet, quel sujet de gloire aurez-vous si c’est par vos fautes que vous endurez de mauvais traitements ? Mais si en faisant le bien vous les souffrez avec patience, c’est là ce qui est agréable à Dieu, car c’est à quoi vous avez été appelés, puisque Jésus-Christ a souffert pour nous, vous laissant son exemple, afin que vous marchiez sur ses traces. Lui qui n’avait commis aucun péché, et de la bouche duquel aucune parole trompeuse n’est jamais sortie, quand on l’a chargé d’injures, il n’a point répondu par des injures ; quand on le maltraitait, il n’a point fait de menaces, mais il s’est livré entre les mains de celui qui le jugeait injustement. » (I Pierre II, 19-24)

     Les disciples de Jésus-Christ, dans leur fidélité à Dieu, sont fidèles à leur patrie et plein de respect envers les autorités ; fermes dans leurs principes, avec une conscience sans reproche, adorant la volonté de Dieu. Ils ne doivent point fuir lâchement la persécution : quand on aime la croix, on est hardi à l’embrasser et l’amour même nous réjouit. Elle est nécessaire à notre union intime avec Jésus-Christ ; elle peut arriver à chaque instant, mais elle n’est pas aussi méritoire et si glorieuse. Si Dieu ne vous appelle pas au martyre, vous serez comme ces illustres confesseurs dont saint Cyprien dit :

« Que sans être morts par la main du bourreau, ils ont cueilli le mérite du martyre, parce qu’ils y étaient préparés. »

     La conduite de Saint Paul, tracée dans les Actes des Apôtres nous donne ce beau modèle tiré de celui de Jésus-Christ. Allant à Jérusalem, il apprit, à Césarée, qu’il y serait exposé à la persécution ; les fidèles le prièrent de l’éviter ; mais il se croyait appelé à être crucifié avec Jésus-Christ, si telle était sa volonté. Pour toute réponse, il leur dit :

« Ah ! cessez d’attendrir mon cœur par vos larmes, je vous déclare que je suis prêt à souffrir à Jérusalem, non seulement la prison, mais la mort même pour l’amour de Jésus-Christ. » (XXI, 13)

     Voilà, mes chers enfants, quelles doivent être vos dispositions : le bouclier de la foi doit nous armer, l’espérance doit nous soutenir et la  charité doit nous conduire en tout. Si en tout et toujours nous devons être simples comme des colombes et prudents comme des serpents, nous devons l’être surtout lorsque nous sommes contristés pour Jésus-Christ.

     Je vous rappellerai ici une maxime de saint Cyprien qui, dans ces moments, doit être la règle de votre foi et de votre piété :

« Ne cherchons pas trop, dit cet illustre martyre, l’occasion du combat et ne le fuyez pas trop : attendons-la de l’ordre de Dieu et espérons tout de sa miséricorde. Dieu demande plutôt une humble confession qu’une protestation trop hardie. »

     L’humilité est toute notre force. Cette maxime nous invite à méditer sur la force, la patience et même la joie avec laquelle les saints ont souffert.

     Voyez ce que dit Saint Paul, vous serez convaincus que lorsqu’on est animé par la foi, les maux ne nous affectent qu’au dehors et ne sont qu’un instant de combat que la victoire couronne. Cette vérité consolante ne peut être appréciée que du juste. Aussi ne soyez pas surpris si, de nos jours, nous croyons ce que saint Cyprien (3) vit de son temps, lors de la première persécution : que la plus grande partie des fidèles couraient au combat avec joie.

     Aimer Dieu et ne craindre que lui seul, tel est l’apanage du petit nombre des élus. C’est cet amour et cette crainte qui font les martyrs, en détachant les fidèles du monde et en les attachant à Dieu et à sa sainte loi.

     Pour soutenir cette amour et cette crainte dans vos cœurs, veillez et prier, augmentez vos bonnes œuvres et joignez à cela les instructions édifiantes dont les premiers fidèles nous ont donné l’exemple. Entretenez-vous selon l’usage des premiers chrétiens, que nous retrace le chapitre des Actes des Apôtres.

     Cette pratique vous sera d’autant plus salutaire que vous êtes privés des ministres du Seigneur, qui alimentaient vos âmes du pain et de la parole.  Vous pleurez ces hommes précieux à votre piété, j’évalue votre perte : vous paraissez isolés à vous-mêmes, mais cet isolement, aux yeux de la foi, ne peut-il pas être salutaire ? C’est par la foi que les fidèles sont unis. En approfondissant cette vérité, nous croyons que l’absence du corps ne rompt point cette union, parce qu’elle ne rompt pas les liens de la foi, mais plutôt qu’elle l’augmente en la dépouillant de toute sensibilité.

(A suivre…si Dieu veut)

(1) Comme on conduisait saint Cyprien au supplice, le peuple, pénétré de douleur et fondant en larmes, s’écria : allons et mourrons avec lui ! Le Saint fit donner 25 écus d’or à son exécuteur.

QUELQUES REFLEXIONS SUITE A CET EXTRAIT

A - Cette lettre met en évidence le vocabulaire de ce prêtre. Il parle de charité (vertu surnaturelle et théologale) et non de solidarité maître-mot du vocabulaire maçonnique repris en chœur par l’immense majorité des Catholiques suivant en cela le très mauvais exemple venu d’en haut.

B - Je rappelle souvent combien il est important de garder notre regard fixé sur Jésus et sur ses comportements, en actes et paroles, face aux situations auxquelles il fut confronté, et rappelé ci-dessus par Saint Pierre. Il est notre exemple et notre enseignant en ces matières.

C - Nous remarquons que ce prêtre demande de respecter les autorités bien que celles- ci soient révolutionnaires, qu’elles aient spolié l’Eglise et l’aient envoyé en exil. Il est choquant de voir des chrétiens injurier, tenir des propos haineux envers des personnes détenant l’autorité qu’elles soient politiques ou religieuses qui leur déplaisent, ou qui les caricaturent avec des images suggérant la haine ou le mépris à leur encontre. Ce christianisme n’est pas le mien.

René Pellegrini

mercredi 25 mai 2022

Le retour des Juifs en Palestine - 8 : Versets contredisant un retour en Israël - 2



 LE SIONISME – 8

 

« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations,

jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis.»

 (Luc XXI, 24) 

« Je vous retirerai d’entre les nations, et je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous amènerai dans votre pays (…) »

(Ezéchiel XXXVI, 26)

 

LE RETOUR DES JUIFS EN PALESTINE – 8

 

VERSETS CONTREDISANT UN RETOUR EN ISRAÊL - 2

 

     Avant d’aborder un autre texte contredisant un retour des Juifs en Palestine, celui de St Matthieu XXI, 33-46, considérons une constante dans l’histoire de ce peuple et de ses dirigeants : l’attitude de mépris allant jusqu’aux meurtres à l’égard des prophètes que Dieu leur envoie. Preuve, s’il en est, que déjà à cette époque ils n’avaient plus l’esprit de Moïse. Ayant déjà adressé une série d’imprécations sur les pharisiens et les docteurs de la loi, Jésus termine ses invectives par trois anathèmes au sujet des fardeaux, des tombeaux des prophètes et des clefs de la science :

« MALHEUR à vous aussi, docteurs de la loi, parce que vous chargez les hommes de fardeaux qu’ils ne peuvent porter, et que vous-mêmes vous ne touchez pas ces fardeaux d’un seul de vos doigts. MALHEUR à vous, qui bâtissez les tombeaux des prophètes ; et ce sont vos pères qui les ont tués. Certes, vous témoignez que vous consentez aux œuvres de vos pères ; car eux, ils les ont tués, et vous, vous bâtissez leurs tombeaux. C’est pourquoi la sagesse de Dieu a dit : Je vous enverrai des prophètes et des apôtres, et ils tueront les uns et ils persécuteront les autres, afin qu’il soit demandé compte à cette génération du sang de tous les prophètes qui a été répandu depuis la création du monde, depuis le sang d’Abel jusqu’au sang de Zacharie, qui a été tué entre l’autel et le temple. Oui, je vous le dis, il en sera demandé compte à cette génération. MALHEUR à vous, docteurs de la loi, parce que vous avez pris la clef de la science ; vous-mêmes, vous n’êtes pas entrés, et vous avez arrêté ceux qui voulaient entrer. » (St Luc XI, 47-52)

     Tel est le terrible constat et le procès fait par Jésus sur l’œuvre inique accomplie par  leurs pères, imitateurs de Caïn depuis « Abel jusqu’’à Zacharie » à qui ils succédèrent, et le châtiment que Dieu fit tomber sur cette génération juive punie pour ses propres crimes et ceux des générations précédentes.

MATTHIEU XXI : 33-46 (Parabole des vignerons homicides)

« Il y avait un père de famille, qui planta une vigne (…) puis il la loua a des vignerons, et partit pour un pays lointain. Or, lorsque le temps des fruits approcha, il envoya ses serviteurs aux vignerons (…) Mais les vignerons s’étant saisis de ses serviteurs, battirent l’un, tuèrent l’autre, et en lapidèrent un autre. Il leur envoya encore d’autres serviteurs, en plus grand nombre que les premiers, et ils les traitèrent de même. Enfin il leur envoya son fils, en disant : Ils auront du respect pour mon fils. Mais les vignerons, voyant le fils, dirent entre eux : Voici l’héritier ; venez, tuons-le, et nous aurons son héritage. Et s’étant saisis de lui, ils le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent. Lors donc que le maître de la vigne sera venu, que fera-t-il à ces vignerons ? Ils lui dirent : Il fera périr misérablement ces misérables, et il louera sa vigne à d’autres vignerons (…) C’est pourquoi, je vous dis que LE ROYAUME DE DIEU VOUS SERA ENLEVE ET qu’il sera DONNE A UNE NATION QUI EN PRODUIRA LE FRUIT. »  

     Qu’ont fait les « vignerons » ? (les guides du peuple d’Israël). Ils ont maltraité et tué tous les serviteurs que Dieu leur avait envoyés, comme Jésus nous l’a fait remarquer, ci-dessus en Saint Luc, concernant les prophètes. Mais dans cette parabole des vignerons, Ils vont encore plus loin, jusqu’à « tuer le fils de Dieu, l’héritier de la vigne » montrant, par là, qu’ils veulent garder pour eux-mêmes, pour leur propre gloire, cette vigne - ce royaume de Dieu - que le Seigneur leur avait LOUEE afin qu’ils la gèrent et la fassent fructifier pour la gloire de Dieu.

    Ainsi, le rejet et la mise à mort du Fils (Jésus-Christ) disqualifient les guides du peuple d’Israël indociles et révoltés contre les serviteurs que Dieu leur envoie, tout comme les rabbins d’aujourd’hui - leurs successeurs et continuateurs qu’ils soient réformistes ou talmudistes - ainsi que les malheureux Juifs égarés par eux. Ils sont disqualifiés pour faire fructifier la vigne dont ils ont été dépossédés par Dieu car, après tous ces homicides, ils n’en étaient plus dignes. D’ailleurs, Ils se qualifient eux-mêmes (les vignerons) de « misérables » et  leur appliquent la sentence « il louera la vigne à d’autres vignerons ». Jésus rectifiera juste un point : là où ils disent « il la louera » car ce royaume de Dieu (la vigne) ne leur avait été que loué, il dira « il sera DONNE »

     Cette vigne a donc été « enlevée » aux Juifs, à cause de leurs crimes répétés contre les envoyés de Dieu, y compris le meurtre de son Fils. Ainsi, ce qui n’était qu’une LOCATION faite aux Juifs est devenue un « DON à une nation qui en produira les fruits ». Cette nation n’est plus délimitée par un espace géographique et des frontières terrestres : c’est celle qui, issue de toutes les nations de la Gentilité, se bâtit depuis les Apôtres autour de « l’héritier, le Christ, le Fils de Dieu » c’est-à-dire l’Eglise qui est composée de tous les baptisés sortis des peuples païens et des Juifs convertis. Elle continuera de se construire jusqu’à ce que le temps des nations soit accompli, et que le dernier baptisé y soit entré.

     A l’instar de la jalousie de Lucifer qui, par orgueil à vouloir s’élever (1), refusa de se soumettre à l’humilité du Verbe de Dieu qui, pour sa part, consenti à s’abaisser par son Incarnation, cette dépossession « du royaume de Dieu » explique  la constance de la haine, de la jalousie et des manigances juives contre l’Eglise, les nations et les peuples chrétiens depuis les origines du christianisme. Cet orgueil et cette jalousie s’appuyant sur la puissance de l’or et la grande influence qu’il favorise, la corruption et l’achat des consciences qu’il permet, les poussent à faire violence au décret divin sur Israël et à s’en affranchir en allant jusqu’à forcer la main de Dieu pour reprendre « l’héritage » dont Il les a dépossédés. Pour cela, ils ont manigancé et orchestré, avec la permission de Dieu, la mise en place, par le sionisme politique, d’un foyer juif en Palestine qui deviendra progressivement un enfer pour eux, en même temps qu’un facteur permanent de malheurs et de conflits internationaux destinés à faire émerger non le Messie - qui est déjà venu et dont les Chrétiens attendent maintenant le retour comme il l’a promis - mais l’Antéchrist, le faux messie des Juifs, avant qu’un reste d’Israël ne se convertisse et soit sauvé, en disant après leur méprise : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! »

(A suivre si Dieu veut)

René Pellegrini 

 

(1) « Tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, j’établirai mon trône au-dessus des astres de Dieu, je m’assiérai sur la montagne de l’alliance, aux côtés de l’aquilon ; je monterai sur le sommet des nues, JE SERAI SEMBLABLE AU TRES-HAUT » (Isaïe XIV, 13-14). Nous trouvons dans les mots en majuscule l’origine du faux principe révolutionnaire de l’égalité, fruit de l’envie et de la jalousie, dont se parent nos hommes politiques et bien des citoyens, même ceux qui vont à l’Eglise, jusqu’à des membres du clergé. C’est dire le niveau d’aveuglement spirituel de ces personnes à qui certains confient leur propre avenir, et celui de leurs enfants pour les éduquer spirituellement. Le principe égalitaire c’est le langage de Lucifer depuis le Jardin d’Eden « Vous serez COMME des dieux » et l’essence même du libéralisme. C’est ce principe qui fut ardemment souhaité et encouragé par les Juifs, successeurs impénitents de ceux à qui Jésus déclara « Vous avez le diable pour père ». L’égalité, n’en pas pour s’en satisfaire mais, une fois obtenue, pour travailler ensuite, et en accord avec cette paternité satanique, à ce qui a toujours eu leur préférence et fut l’objet incessant de leur désir : la domination, en toutes choses, sur ceux qui ont la folie de leur accorder l’égalité de tous les droits civiques et politiques, comme le diable domine sur ceux qui se prêtent à ses suggestions ou à ses désirs. Domination qui leur permet, avec l’appui des supplétifs Francs-maçons, de déchristianiser les peuples chrétiens en extirpant la morale chrétienne pour lui substituer une législation – fruit des Lumières de la déraison du XVIIIe siècle – favorisant des mœurs perverties qui n’ont rien à envier aux pratiques de Sodome et de Sparte

lundi 23 mai 2022

Catholiques, Attention ! - 2 : Les motifs de persécution


 CATHOLIQUES, ATTENTION ! – 2 :

 LES MOTIFS DE PERSECUTION

 

« Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maîtreS’ils m’ont persécutéils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom parce qu’ils ne connaissent point celui qui m’a envoyé. » (St Jean XV, 20-22)

     Ne pas être oublieux de l’histoire permet de pressentir ce qui peut arriver. Les Juifs sont donc désignés comme persécuteurs par Jésus. Comment cette persécution contre les chrétiens qui est inévitable peut-elle advenir ?

     De par la puissance acquise aujourd’hui la persécution peut être directement le fait des Juifs ou plutôt, comme aux jours de Jésus, par l’utilisation d’agents extérieurs que permettraient les circonstances existantes ou créées. Pour quels motifs les gouvernements judéo-maçonniques actuels pourraient-ils déclencher cette persécution ? Elle pourrait se fonder sur un motif religieux ou politique, ou les deux ensembles. Expliquons !

MOTIF RELIGIEUX

     Averti que « le serviteur n’est pas plus grand que son maître » comment les Juifs en sont-ils arrivés à condamner Jésus à Mort ? L’affaire pris d’abord une tournure religieuse, en l’accusant de blasphème car « il s’est fait Fils de Dieu » (St Jean XIX, 7) dirent-ils à Pilate. Mais il ne voulut pas intervenir sur un problème concernant la loi religieuse juive. Dépités, ils abandonnèrent la question religieuse pour la reporter sur le plan politique « Si tu le relâches, tu n’es pas un ami de César. Quiconque se fait roi se déclare contre César » (St Jean XIX, 12) Cette fois, le problème était beaucoup plus sérieux, l’autorité de César était mise en cause. Pilate, représentant de la puissance impériale se devait d’intervenir, nous en connaissant l’issue après que, plusieurs fois, il ait tenté de fléchir l’acharnement meurtrier des pharisiens.

     A notre époque, sur un plan religieux, avant la venue de l’Antéchrist, en utilisant le trompeur « vivre ensemble » devenant de plus en plus contraignant car destiné à diluer le Christ et sa doctrine dans un magma religieux protéiforme. En effet, il faut rappeler que ce n’est pas Dieu (1) qui pose problème mais « le nom de Jésus-Christ » la persécution advenant « à cause de mon nom ». Le « vivre ensemble » consistant à ne pas faire de vagues, en mettant en sourdine les doctrines et les enseignements de Jésus et de l’Eglise trop explicites concernant certaines personnes, comportements et pratiques politiques ou religieuses.

     Un certain clergé pourrait insinuer, comme les Juifs le firent de manière calomnieuse contre Jésus, (St Luc XXIII, 2-5) que les chrétiens non-conciliaires « exciteraient la nation à la révolte, et soulèveraient le peuple » par leur intransigeance, en ne respectant pas le « vivre ensemble » ce pandémonium religieux de la laïcité devenant, par les conditions posées, incompatible et opposé à la claire mission confiée par Jésus aux chrétiens et Catholiques : Prédication non seulement théorique mais aussi pratique et conduisant à l’obéissance.

« Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit, et leur enseignant à observer tout ce que je vous ai commandé. » (St Matthieu XXVIII, 19,20)

     Il faut donc, et c’est l’ordre formel de Notre-Seigneur « enseignez toutes les nations » et pas « sauf les Juifs » comme l’enseigne une certaine hiérarchie conciliaire traîtresse à sa mission, alors que Jésus montra l’exemple en commençant sa prédication par eux, comme l’ont fait les Apôtres, et l’Eglise à leur suite.

     Une telle insinuation serait mensongère car ces chrétiens (quel que soit le vocable utilisé pour les discréditer ou les mettre au ban de la société) n’encourageront, ni n’exciteront à la révolte contre un système institutionnel verrouillé par les révolutionnaires de droite et de gauche et, de plus, étant présentement privés de toute autorité légitime pour les guider. Ce serait absurde de leur part, car utiliser ces moyens placeraient nécessairement ceux qui les utilisent au service même de l’une ou l’autre des composantes de la Révolution.

     Ce clergé pourrait aussi se prévaloir, auprès du César judéo-maçon actuel, de la « coercition » cautionnée par la déclaration de Benoît XVI, à l’ONU, le 18 avril 2008.

« Tout État a le devoir primordial de protéger sa population contre les violations graves et répétées des droits de l’homme (…) L’action de la communauté internationale et de ses institutions, dans la mesure où elle est respectueuse des principes qui fondent l’ordre international, ne devrait jamais être interprétée comme une coercition injustifiée ou comme une limitation de la souveraineté. » (2)

     Or, ces droits de l’homme sont la négation même des Droits de Dieu (3), ils ont été condamnés par l’Eglise et, en considérant les turpitudes qui de nos jours entre dans le catalogue de ces droits, ils sont une insulte majeure et réitérée faite à Dieu. Ne pas y adhérer, pour rester fidèle aux commandements de Dieu serait considéré, par ces suppôts de Satan, comme violation entraînant la coercition.

      Dans la mesure où cette possibilité ne serait pas saisie durant la phase pré-antéchristiquecelle de l’avant-coureur de l’antéchrist (Message de la Salette) il lui resterait le motif politique pour son intervention.

MOTIF POLITIQUE

     Quel pourrait-être, alors, le chef d’accusation sur le plan politique ?

     Comme au premier siècle, pour l’exécution d’un seul Homme, ils utilisèrent comme on vient de le voir, un prétexte politique et, par la suite, les autorités politiques existantes contre les disciples. Aujourd’hui, il ne s’agit plus seulement de quelques disciples mais de plus d’un milliard de chrétiens catholiques dans le monde, dont vingt-cinq à trente millions en France, avec une foi plus ou moins bien enracinée. Devant un tel nombre autant utiliser, ils savent faire, les instruments que permettent les circonstances créées par les folies guerrières mondialistes pour justifier, auprès de l’opinion publique, une politique ''humanitaire'' d’immigration forcenée afin d’assouvir les sombres desseins du satanique cosmopolitisme judéo-maçonnique, dont la mission est la dissolution dans le magma religieux, voire l’éradication de la culture et de la civilisation chrétiennes qui rappellent trop le Christ à ses ennemis démonisés.

     Au-delà des discours officiels, des gesticulations et des simagrées politico-religieuses la main sur le cœur, les professionnels de l’agitation et des révolutions - dont on ignore plus aujourd’hui l’origine raciale - utilisent l’islam manipulé à outrance, voire conforté dans ses désirs d’afficher publiquement certaines pratiques religieuses incompatibles dans une société de culture et de traditions chrétiennes. Ces pratiques destinées à échauffer les esprits, attiser les tensions communautaires, provoquer des troubles devant générer des affrontements par les agitateurs noyautant ces mouvements politiques de gauche ou de droite, ou des mouvements religieux se réclamant plutôt du christianisme dit progressiste c’est-à-dire avec voilure à gauche, ou de droite bâtarde, ou du catholicisme traditionnel avec ou sans ecclésiastique(s) à leur tête et, en cas de dérives, d’embrasements, d’émeutes ou de morts, fournir le prétexte politique fallacieux pour nuirepar amalgame, à ceux qui dénoncent l’hypocrisie et la tromperie du « vivre ensemble » et son véritable but sans inciter ni se mêler aux affrontements, en se tenant sagement à l’écart.

      Sans exclure des actions sous fausse bannière. Il est à craindre que des Catholiques appartenant à certains mouvements nationalistes, royalistes, cercles ou mouvements religieux traditionalistes, intégristes puissent être manipulés. Le ressentiment et l’exaspération prédisposant à commettre - suite à des provocations qui ne manqueront pas avec un objectif bien précis - des actes réprimés par la loi permettant l’interdiction, voire la mise au ban de la société du christianisme catholique non-conciliaire, le plus visé et le plus détesté, car sans complaisance.

     Je répète ce que j’ai déjà écrit par ailleurs (4), ne vous laissez pas entraîner dans des manifestations, petites ou grandes, de quelque nature qu’elle soit, ni embrigader dans un parti politique, même se présentant comme catholique, même avec drapeau du Sacré-Cœur de Jésus (5) tout en se soumettant au mensonge universel (Pie IX) qu’est le suffrage universel car, présentement, il n’y a aucune autorité légitime pour prendre la tête d’un tel parti. D’autre part, si en régime révolutionnaire un parti politique catholique reçoit l’autorisation de postuler, il est probable qu’il soit déjà infiltré depuis quelque temps et avoir été suscité, à l’insu des braves et honnêtes gens qui le soutiennent, pour fournir, suite à l’élaboration d’actions ou d’événements à mettre en œuvre, le prétexte nécessaire pour justifier une décision autoritaire de justice contre certains chrétiens. Plus troublant si un tel parti dénonce avec force la pieuvre maçonnique (ce qu’il faut faire) mais oubli (?) de mettre en évidence ceux qui l’ont fabriquée et lui donnent, pour l’instant, la main d’association. Je dis pour l’instant car n’étant qu’un instrument à leur service pour œuvrer à la déchristianisation des sociétés à culture chrétienne, ils s’en débarrasseront le moment venu. Francs-maçons des Loges bleues et des petits grades dormez bien, car c’est dans les très hauts degrés tenus par les Juifs que tout deviendrait plus clair pour vous sur le niveau d’ignominie de cette secte mais, pour cela, il faut le mériter car vous êtes très bien scrutés par des membres des hauts-grades participant, à votre insu, à vos travaux en loge !

      Les persécutions viendront. Il n’y a aucun doute là-dessus car c’est toujours cette même haine du Christ, désormais inaccessible mais reportée sur ses disciples, qui anime les persécuteurs. Plutôt que d’aller manifester, préparons-nous plus utilement à y faire face, en persévérant chaque jour dans la prière, la seule arme efficace de combat avec le chapelet, pour le salut de notre âme et celle de ceux qui voudront bien nous entendre. Afin de ne pas entrer en tentation devant l’ignoble qui se prépare dans cet impudique et lubrique paganisme cananéen que sont devenus la France et ce monde, menons une vie chrétienne authentique et cultivons les vertus de Jésus-Christ, dans l’attente de revenir sous son sceptre qu’Il nous a promis « Je régnerai malgré mes ennemis ». Prions aussi pour les Juifs, non selon la nouvelle formulation fabriquée pour leur complaire, mais selon celle qui fut utilisée pendant des siècles pour leur conversion :

« Prions pour les Juifs perfides, afin que le Seigneur notre Dieu enlève le voile qui couvre leurs cœurs, et qu’ils reconnaissent avec nous Jésus-Christ. Dieu tout-puissant et éternel qui ne refusez pas votre miséricorde, même aux perfides juifs, exaucez les prières que nous vous faisons pour vaincre l’aveuglement de ce peuple, afin que, reconnaissant la lumière de votre vérité, qui est le Christ, ils soient retirés de leurs ténèbres. Par Jésus-Christ, notre Seigneur » (Prière solennelle de l’Eglise pour le Vendredi Saint)

 

René Pellegrini

 

(1) Ce n’est pas Dieu qui pose vraiment problème car derrière ce mot en peut y mettre des choses bien différentes : le Dieu Trine ou Dieu unique en trois personnes des Chrétiens (Père, Fils et Saint-Esprit) c’est-à-dire la vie intime de Dieu ; le Dieu unique et égocentrique des Juifs apostats et des musulmans ; le dieu androgyne des ésotéristes, des gnostiques, des kabbalistes et talmudistes ; le Grand Architecte de l’univers des Francs-maçons spiritualistes et, l’état de délabrement cérébral aidant, même les idoles du sport et du spectacle.

(2https://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/speeches/2008/april/documents/hf_ben-xvi_spe_20080418_un-visit.html

(3) - Encyclique Adeo Nota du Pape Pie VI, 23 avril 1791

- Consistoire du 11 juin 1793, Pie VI

- Deux articles du Syllabus (1864) : 39 et 56, du Pape Pie IX

- Encyclique Immortale Dei de Léon XIII sur le droit nouveau 1885

- Lettre Anno jam exeunte de Benoît XV, 1917

(4https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/138048387685358?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/140766354080228?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/141827603974103?__tn__=K-R

(5) En 1958, certains de ceux qui agissaient comme cinquième colonne pour brader l’Algérie, avec pour conséquences les massacres, par dizaines de milliers, de colons et de harkis, se sont introduits dans les comités de salut public en portant l’insigne du Sacré-Cœur à la boutonnière. Le cornu et ses agents savent ce qu’il faut faire pour tromper.

 

Mis sur un autre blogue le 24 août 2016

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...