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mardi 30 août 2022

Antilibéralisme - 4 : Le Libéralisme est un péché - 4


ANTILIBERALISME – 4 

 

LE LIBERALISME EST UN PECHE - 4

 

ABOUTISSEMENT PRATIQUE ET MORAL DE L’ESPRIT LIBERAL :

 

     Pour les abrutis diplômés ou surdiplômés, négateurs d’un complot contre l’Eglise catholique instruit de longue date et s’inscrivant dans la durée, il faut rappeler que sous ces deux aspect, les idées et les faits, le libéralisme, fruit empoisonné de la Révolution dite française (1), n’est rien d’autre que le monde de Lucifer s’enhardissant de plus en plus, dans le monde moderne, à mesure que l’œuvre de déchristianisation de la société laisse le champ libre à la propagation de la ''morale'' et à l’enseignement gnostiques et kabbalistiques issus de la tradition originelle du serpent de l’Eden par Caïn le premier homicide : aboutissant à l’Antéchrist et à son corps mystique qu’est ''la Bête'' de l’Apocalypse de Saint Jean et ceux qui s’y agrègent, ennemis plus que millénaire de la Sainte Tradition issue de la femme du livre de la Genèse (III, 15) aboutissant à Jésus-Christ, par la Sainte Vierge, et à son Corps Mystique qu’est l’Eglise. 

     Au-delà de l’obéissance aux commandements de Dieu, ce qui, dans l’attitude morale et pratique, différencie fondamentalement ces deux postérités c’est : 

     - l’une, récusant ou méprisant l’amour de Dieu et les enseignements de sa loi morale, avant de frapper physiquement ou spirituellement ses coups destructeurs et  meurtriers, les préparent sournoisement dans les ténèbres car : 

« (…) la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient condamnées » (St Jean III, 19-20)

     - l’autre, faisant siennes les paroles de Notre-Seigneur ne craint pas de répondre à l’amour de Dieu en se conformant à la vérité de son enseignement et de sa loi morale :

« Mais celui qui accomplit la vérité vient à la lumièreafin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu’elles ont été faites en Dieu. » (St Jean III, 21)   

     Cette déchristianisation de la société par l’idéologie et la pratique du libéralisme (2) entraîne, à grande échelle, l’effondrement des barrières morales chrétiennes, le relativisme ou le laxisme moral chez les gouvernants, les hommes publics, les laïcs, les religieux et, par ricochet, dans toutes les classes sociales du peuple instruit et encouragé par l’exemple délétère venant d’en haut, pendant que d’autres refusant cet état de fait et résistant au milieu ambiant, ne peuvent qu’être profondément écoeurés et prêts à vomir devant un tel niveau d’abjection et de putréfaction morale qui ne demande qu’à s’amplifier au fur et à mesure des pressions et contraintes de l’environnement politique et social. Profond mépris envers la majesté divine et corruption sociale comparable à celle des Juifs d’autrefois, faisant dire à Dieu ces paroles menaçantes, par la bouche de son prophète :

« Malheur à la nation pécheresse, au peuple chargé d’iniquité, à la race corrompue, aux enfants scélérats. Ils ont abandonné le Seigneur (…) Depuis la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête, il n’y a plus rien de sain en lui (…) » (Isaie I, 4-6)

 

René Pellegrini 

Nota bene :

     Pour rédiger cet article sur le libéralisme je me suis inspiré de l’opuscule « Le libéralisme est un péché » rédigé au XIXe siècle par le prêtre espagnol Don Félix Sarda y Salvany. Opuscule approuvé par la Sacrée Congrégation de l’Index.

(1) Comme, aujourd’hui, les révolutions dites arabes. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour connaître les instigateurs, appuis et soutiens financiers de ces révolutions ''arabes'' et leurs téléguidages par les services secrets occidentaux, eux-mêmes noyautés par les services secrets juifs. L'objectif inavoué des forces occultes du mondialisme qui abhorrent le catholicisme, en appuyant et orchestrant ces révolutions : susciter la haine contre les ''Croisés'' et achever de dynamiter ce qui reste de la civilisation de l'Occident chrétien, en préparant le choc civilisationnel et, sur les débris ou le chaos créé, construire le Nouvel Ordre Mondial luciférien. On comprend mieux ainsi les facilités et la complicité imbécile et irresponsable, accordées à l'immigration par les pouvoirs publics européens : les pratiques cultuelles et culturelles publiques de l'Islam devant susciter les tensions nécessaires entre citoyens, et servir d'instrument pour assouvir les désirs des maîtres d'oeuvre du mondialisme.

(2) Rappelons que les premiers pas du libéralisme consistent à affirmer la vérité mais en faisant l’impasse sur la détestation de l’erreur. Il est le précurseur du socialisme, lui-même antichambre du communisme.

 

Mis sur un autre blogue le 5 octobre 2013

 

Pape Benoit XV (1854-1922) Pontificat 1914-1922

dimanche 21 août 2022

Le libéralisme est un péché - 3


Pie IX (1792-1878) Pape de 1846 à 1878, antilibéral. On lui doit l’Encyclique Quanta Cura et Le Syllabus condamnant : le naturalisme, le libéralisme, le panthéisme, le rationalisme, l’indifférentisme, le socialisme, le communisme, les sociétés secrètes, les sociétés bibliques, les sociétés clérico-libérales, etc.

ANTILIBERALISME – 3 

LE LIBERALISME EST UN PECHE - 3

 

II - Dans l’ordre des faits ou dans sa pratique :

     1 -Le libéralisme est un ensemble de faits criminels, conséquences pratiques de ses idées, avec ses maximes, ses modes, ses arts, sa littérature, ses lois, et, selon les époques, des œuvres inspirées et réglées par des principes tels que :

     - L’expulsion et la spoliation des ordres religieux 

     - La corruption et l’enseignement de l’erreur publiquement autorisés que ce soit dans les divertissements, dans les mœurs, dans la presse et les média. 

     - La guerre systématique au catholicisme, à savoir aux catholiques autrefois stigmatisés sous les noms d’ultramontains, cléricaux, réactionnaires…et, aujourd’hui, au catholicisme traditionnel ciblé et stigmatisé du nom ''d’intégriste'' (1) dans l’intention, dans un premier temps, de le rendre odieux, par amalgame, et de créer un climat réprobateur à son encontre. Ensuite, probablement, car instruits que nous sommes depuis l’origine du christianisme jusqu’à nos jours, par les méthodes des ennemis du Christ et du catholicisme, et connaissant leur ''très haut degré de moralité'' déjà bien attesté présentement, je peux penser qu’ils trouveront bien quelques Judas, ou un quelconque Néron, pour les mettre définitivement au ban de la société, en leur attribuant un ou plusieurs crime(s) – religieux ou politique(s) (2) - ou en légalisant, à dessein, des pratiques sociales ou religieuses violant délibérément les lois divines et en les imposant, au mépris des consciences, sous peine de délits passibles des tribunaux (suivez mon regard). Devant de telles bassesses et iniquités, il faut faire siennes les paroles de Saint Pierre et des apôtres sommés par les autorités juives de désobéir à l’ordre de Notre-Seigneur d’enseigner le peuple, en leur intimant de cesser d’enseigner au nom de Jésus. Dans ces circonstances, ils répondirent :

« Il faut plutôt obéir à Dieu qu’aux hommes ». (Actes V, 29)

     Pour sa part, le catholicisme dit conciliaire, traître au dépôt de la foi laissé par ses Prédécesseurs, déguisé en catholicisme officiel, imbu, pénétré, gangrené d’idéaux judéo-maçonniques (de Kabbale, c’est-à-dire la forme juive de la gnose, et de gnose) saupoudrés d’Evangile, et envahi par le dissolvant délire charismatique catholique ou Pentecôtisme luciférien de lEglise '' toute d’amour '' dite Eglise de Saint Jean. Ce délire illuministe devant, dans l’optique illuministe pentecôtiste et charismatique, se substituer à l’Eglise dite autoritaire de Saint Pierre. Je sais, cela ne fera pas plaisir à certaines personnes et me fera sans doute perdre des lecteurs mais les choses et les êtres ne sont que ce qu’ils sont et rien d’autre, sauf changement de forme ou conversion.

     Que mon lecteur récalcitrant prenne le temps de la réflexion avant de tout jeter à la poubelle et d’examiner les faits intervenus et connus de tous, depuis le Concile Vatican II, en commençant par poser le principe de contradiction, car là où il y a contradiction avec la Sainte Ecriture ou le Magistère de l’Eglise, il y a erreur. Ce principe est le premier principe de la logique majeure dont tous les autres principes dépendent. Il se présente ainsi :« Une même chose ne peut pas être à la fois niée et affirmée du même sujet sous le même rapport » Exemple : Je ne peux pas dire que l’eau est chaude et froide à la fois sous le rapport de la température. Je ne peux le dire que sous un autre rapport, celui du temps ou de la durée.

     Au stade actuel, l’orientation spirituelle de l’Eglise conciliaire ne représente plus un réel danger pour la Secte libérale, mondialiste et dictatoriale mais, trouve en elle, et en elle seule, dans ce qui porte encore le nom de Catholique, la caution et le soutien religieux nécessaires pour la construction de son Nouvel Ordre Mondial, cette tour de Babel des temps modernes et, à terme, si Dieu le permet en guise de châtiment pour l’apostasie des nations, sa religion luciférienne universelle déjà mise en branle par le délire charismatique catholique d’origine protestante.

     2 - Le libéralisme est donc un péché contre tous les commandements de Dieu et de l’Eglise, parce qu’il les transgresse tous. Il est la transgression universelle et radicale de la loi divine car il autorise toutes les infractions. 

     3 - Le libéralisme est l’immoralité radicale : 

     - en détruisant la règle fondamentale de toute moralité : la raison éternelle de Dieu s’imposant à la raison humaine.  

     - en consacrant le principe absurde de la morale indépendante qui n’est autre que la morale sans loi, la morale libre, c’est-à-dire la morale sans morale puisque l’idée de morale implique non seulement l’idée de direction, mais possède essentiellement celle de frein et de limite.  

     - en validant, dans tout son développement historique, l’infraction de tous les commandements de Dieu. 

(A suivre… « Le libéralisme est un péché – 4 »…si Dieu veut)

René Pellegrini

(1) C’est grotesque d’être médiatisé sous le nom volontiers méprisant d’intégriste, en défendant par fidélité aux lois de Dieu et de l’Eglise leurs enseignements moraux et sociaux lorsque, de manière disproportionnée et néfaste par rapport aux dramatiques conséquences et retombées humaines et sociales, on se veut intégriste et propagandiste forcenés et endiablés de ces contenus négationnistes et terriblement destructeurs de tout ordre familial et social que sont, le libéralisme, la laïcité révolutionnaire et les Droits de l’homme - surtout sans Dieu - avec la panoplie des pestilences morales et sociales issues de ces principes ayant germés dans des cerveaux en état de putréfaction avancée et tout à la gloire du père du mensonge qu’est Satan.

(2) Qu’il soit bien clair que de telles accusations seraient mensongères et iniques pour ce qui me concerne, car mon christianisme n’est pas de déambuler dans la rue le poing levé vers le ciel, de comploter pour renverser l’Etat, ni d’appeler le peuple à la révolte ; mais de rester sagement à l’écart de ces tumultes et désordres récurrents dont le souffle de l’enfer n’est que trop présent ; non par crainte, non par pusillanimité mais parce que la pourriture morale des illuminés qui dirigent la France et la masse énorme des péchés du peuple est telle que désormais la solution se situe au niveau surnaturel, certainement pas au niveau humaniste et naturaliste - voulu par la judéo-maçonnerie et leurs agents révolutionnaires - et vraie cause des problèmes, de leur continuation avec leurs malheurs présents et futurs de la société. Ces accusations seraient encore mensongères et iniques parce que Trotski, Lénine, Staline ces grands massacreurs de l’histoire, et un gourou du mondialisme tel que M. Attali le caméléon, le génocidaire prédicateur de pandémie, d’avortement, de suicide et d’euthanasie et ceux qui leur ressemblent, ne sont en aucun cas mes maîtres et guides idéologiques et spirituels. Mon Maître et mon exemple à imiter - autant que la faiblesse humaine le permet - c’est Jésus-Christ et, entre tous ces terroristes psychopathes et Celui-ci, il y a un véritable abîme en actes et en paroles.

 

Mis sur un autre blogue le 5 septembre 2013

 

lundi 1 août 2022

Mon Royaume n'est pas de ce monde - 1


LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 13

 

MON ROYAUME N’EST PAS DE CE MONDE - 1

 

     Avant de poursuivre sur le thème de ce dossier, on s’arrêtera un instant sur cette affirmation de Jésus-Christ « Mon royaume n’est pas de ce monde » (St Jean XVIII, 36) qu’utilisent l’immense majorité des Catholiques (clercs et laïcs) et le monde chrétien en général, pour tenter de justifier un règne exclusivement spirituel, circonscrit à l’intérieur des âmes et, par conséquent, accréditer l’idée d’une pratique de la foi chrétienne dans la sphère privée. Attitude arrangeant particulièrement bien l’Etat républicain et tous les ennemis de la civilisation chrétienne, et lui facilitant la propagation de sa religion laïque (car c’en est une) (1) qui, pour sa part, dans la mise en œuvre de ses pratiques et de ses projets citoyens, ne se privera pas de continuer à être influencée par la sève nourricière morale, spirituelle, politique et sociale de la judéo-maçonnerie et des sectes lucifériennes, ennemies du Christianisme en général, et du catholicisme en particulier. Il n’y a plus que les lobotomisés par les média pour s’en laisser compter, ou ne pas s’en rendre compte. Cette affirmation du Christ est souvent couplée avec « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » (St Luc XX, 25) déjà traitée.

     Par cette réponse à Pilate que voulait dire exactement Jésus ? Que voulait-il lui faire comprendre ? Quel est le sens de cette déclaration évangélique ? Plusieurs choses :

     - D’abord, que sa royauté est en conformité avec sa Personne, avec son image. Elle n’est pas une royauté selon ce monde avec ses travers, ses limitations dans la durée, ses frontières pour la borner. Elle est comme Lui-même : infinie, éternelle. Dieu étant roi de toute éternité, sa royauté pour être accréditée ne dépend pas d’une acclamation du peuple, d’un suffrage universel, d’un vote, d’un plébiscite comme le montre suffisamment l’attitude de Jésus envers les Juifs se méprenant sur la puissance et l’autorité de la Personne de Jésus, et sur la mission temporelle du Messie :

« Et Jésus, ayant connu qu’ils devaient venir pour l’enlever pour le faire roi, s’enfuit de nouveau sur la montagne tout seul.» (St Jean VI, 15)

     Pourtant bien intentionnés, on remarque toutefois la méprise des Juifs concernant la véritable identité et prérogative de Jésus. Ce sont les dignités et les grandeurs terrestres telles que l’esprit du monde les conçoit et veut se les procurer, que fuit le Christ. Pour être roi, Jésus n’a nul besoin d’une investiture par les Juifs. D’ailleurs, pourquoi vouloir faire Roi celui qui l’est déjà, et exerce cette royauté de toute éternité, sans devoir recourir à un quelconque mandat populaire juif…ou d’ailleurs ?

     - Ensuite, je ne suis pas, Pilate, un roi ordinaire, politique et mondain selon tes critères de la royauté. Je n’ai pas besoin, comme César et toi-même, de soldats pour protéger mon statut social, mon royaume et ma royauté contre des tentatives de renversement car :

« Mon royaume n’est pas DE ce monde » car, si cela avait été le cas : « si mon royaume était DE ce monde, mes serviteurs combattraient certainement pour que je ne fusse point livré aux Juifs ; mais je l’assure, mon royaume n’est PAS D’ICI» (St Jean XVIII, 36)

     On observera que dans sa réponse Jésus ne dit pas « Mon royaume n’est pas dans ce monde » mais il dit : « Mon royaume n’est pas DE ce monde »

     Il dit aussi : « Mon royaume n’est PAS D’ICI. » et pas : « Mon royaume n’est pas ici. »

     Comme le fait remarquer Saint Augustin en accord avec Saint Jean XVIII, 33-38, sur le lieu d’existence de ce royaume :

« Il est vraiment sur terre jusqu’à la fin du monde ; l’ivraie s’y trouve mêlée avec le bon grain jusqu’à la moisson, et cependant il n’est PAS DE CE MONDE, parce qu’IL EST DANS CE MONDE comme dans un lieu d’exil ». (La chaîne d’or, St Thomas d’Aquin – Livre XVI)

- Enfin, Je ne suis pas un Roi comme ceux du monde qui peuvent se tromper ou être trompés car « Je suis la voie, la vérité et la vie. » (St Jean XIV, 6)

     Ils peuvent aussi se révéler cruels, méchants, insensés, tyranniques, orgueilleux, alors que Moi : « (…) je suis doux et humble de cœur. » (St Matthieu XI, 29), se montrer inabordables, mais Moi je ne rejette pas celui qui vient vers moi « (…) celui qui vient à moi, je ne le jetterai pas dehors. » (St Jean VI, 37)

     Jésus est bien roi, comme il l’affirmera à Pilate, mais pas selon la perception naturaliste et mondaine que celui-ci se fait des détenteurs du pouvoir et de l’autorité royale : fruit de son éducation, comme de celle de bon nombre de croyants catholiques, ou pas, se méprenant sur l’exercice de l’autorité et du pouvoir des gouvernants (rois ou présidents).

     Jésus traite ici, non la question d’une simple compétence spirituelle de sa royauté mais d’où cette royauté émane : c’est la question de L’ORIGINE de cette royauté « pas de ce monde, pas d’ici » qu’il met en exergue en disant : « Mon royaume n’est pas DE ce monde. » comme il le fera remarquer à Pilate (prochain article) et non que son royaume n’est pas dans ce monde, Lui roi et vrai Maître de tout l’univers visible et invisible depuis sa fondation.

     De même que ses fidèles disciples, tous les jours, et jusqu’à la fin du monde, sont à l’œuvre  dans ce monde, familialement, socialement, politiquement, etc., sans être de ce monde, ni modelés par son esprit mais, selon le degré de réceptivité et les dispositions d’âmes de chacun, pour y agir et le façonner moralement, spirituellement et intellectuellement selon les prescriptions et l’esprit de leur Maître et Seigneur.

     L’origine du royaume de Jésus-Christ étant en dehors de ce monde, il ne nécessite pas d’être défendu par des « serviteurs ». Par contre s’il tirait son origine de ce monde, s’il avait reçu son investiture de ce monde « mes serviteurs auraient combattu pour que je ne fusse point livré aux Juifs. » comme le ferait normalement, d’ailleurs, les serviteurs de tout royaume tirant son origine de ce monde.

     Etant dans ce monde « comme le bon grain au milieu de l’ivraie » afin de bien œuvrer dans toutes les composantes de la vie sociale, selon les opportunités du temps et des circonstances, les disciples du Christ s’efforcent d’appliquer et d’enseigner pour la gloire de Dieu, dans la cité et dans leur vie de tous les jours, les préceptes moraux et sociaux de ce royaume, les seuls qui permettent d’assurer le bien commun temporel véritable et le salut du plus grand nombre. 

(A suivre…« Mon royaume n’est pas de ce monde – 2 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(1) Religion laïque avec ses ''saints'' du Panthéon, ses dogmes imprescriptibles (Droits de l’homme sans Dieu - Liberté, Egalité, Fraternité – Laïcité - Démocratie) ses cérémonies, ses fêtes, ses images ''pieuses'', etc. 

 

- C’est moi qui mets en MAJUSCULES dans le texte.

 

 

lundi 11 juillet 2022

Le libéralisme est un péché - 1

Saint Pie X, Pape antimoderniste et antilibéral.

LE LIBERALISME EST UN PECHE - 1

     Le mot « antilibéral » par son préfixe « anti » signifie, dans son acception la plus simple, contre le libéralisme. Ce terme « antilibéral » recouvre, selon les époques, des vocables tels que : ultramontanisme, cléricalisme, réactionnaire. J’ai écarté le mot conservateur car, aujourd’hui, il ne reflète que très rarement sa véritable signification. En effet, il est bien connu que ceux qui s’affublent ou sont affublés de cette étiquette ne conservent plus rien à part, et avec la dernière énergie, leur ministère, leur portefeuille, leur siège et leurs privilèges. Ce sont, au mieux, des illusionnés et des illusionnistes pathétiques, au pire, des masques dissimulant de parfaits démagogues, voire des opportunistes sans scrupules. Le vrai conservateur ne se divise pas hypocritement en deux (vie privée et vie publique), pas plus qu’il ne divise la double nature de Jésus-Christ - humaine et divine - en deux personnes, veut de tout son cœur, de toute son âme, de tout son esprit, conserver Dieu, Jésus-Christ et l’Eglise, non seulement pour lui-même et sa famille, mais aussi au sein de la société et dans toutes ses institutions, et travaille en ce sens.

     Aujourd'hui, pour les gens en général, on parlera plus volontiers de traditionaliste selon qu’on sera perçu en phase avec les orientations du concile Vatican II après ralliement, voire en discussion sur celles-ci, ou comme ''intégriste'' en cas d’opposition radicale et militante, ce qui, à proprement parler, constitue le véritable antilibéralisme. Être antilibéral c’est donc s’opposer au libéralisme, à tout ce qui a un caractère libéral, que celui-ci soit véhiculé oralement par des particuliers, des hommes politiques et des ecclésiastiques, ou qu’il se propage par des supports littéraires, médiatiques ou artistiques utilisés à cette fin. Pour être antilibéral il n’est pas nécessaire d’être intégriste ou d’être qualifié de ce nom par d’autres. Le mot Catholique est suffisant, si celui qui le revendique est intègre vis-à-vis des commandements de Dieu, de l’Eglise, des dogmes, des Encycliques et les documents du Magistère de l’Eglise.

UNE MISE EN GARDE !

« Être croyant ne garantit pas l’absence d’esprit libéral car celui-ci se décline grosso-modo en trois caractères spécifiques : libéral exalté, libéral modéré, entaché de libéralisme. C’est l’adhésion à tout ou partie des doctrines professées par le libéralisme qui fait de nous un libéral et nous range dans l’une ou l’autre de ces trois catégories. Il faut toutefois noter, ne pouvant m’étendre sur ce point pour ne pas faire trop long, bien que ces trois types de libéralisme soient mauvais, le deuxième « libéral modéré » est de type satanique par excellence car le plus insidieux. »

     Dans l’étude d’un objet, ici le « libéralisme », de quelque nature qu’il soit, deux questions se posent :

. Celui de son existence « an est ? » Existe-t-il ?

. Celui de son essence « quid est ? » Qu’est-ce que c’est ?

C’est donc la seconde question, celle de son essence, qui permettra d’expliciter ce qu’est le libéralisme et pourquoi ce blogue s’y oppose en étant antilibéral.

Le libéralisme s’examine selon deux ordres d’analyse : celui des idées ou des doctrines, et celui des faits ou dans sa pratique.

I – DANS L’ORDRE DES IDEES OU DES DOCTRINES :

Sous cet angle, le libéralisme est :

- un ensemble d’idées fausses appelées principes libéraux avec les conséquences qui en découlent : Le rationalisme individuel, politique et social avec :

- La souveraineté totale de l’individu par son indépendance par rapport à Dieu et à son autorité.

- La souveraineté absolue de la société par son indépendance totale par rapport à tout ce qui ne procède pas d’elle-même.

- La souveraineté nationale, le droit reconnu au peuple de faire des lois et de se gouverner en dehors de toute référence à Dieu, par sa volonté propre, par le suffrage universel et la majorité parlementaire. Ce qui permet de légiférer et de se fabriquer des lois propres à satisfaire les appétits les plus infâmes et les plus dégradants : tournez manège !

- La liberté de penser sans frein en politique, en morale, en religion.

- La liberté de la presse quasiment sans limite.

     Maintenant que l’objectif du libéralisme - issu de l’esprit et de la machinerie révolutionnaires d’essence satanique - a été atteint et consistait, PRIORITAIREMENT, à donner libre cours et à mettre en branle tout ce qui pouvait nuire au catholicisme, à l’ordre moral et social catholiques, à les marginaliser dans l’esprit des catholiques eux-mêmes, certaines de ces libertés (penser, presse), afin de poursuivre le processus révolutionnaire, tendent à se réduire ou à être supprimées à propos de certains sujets érigés en ''dogmes infaillibles'', car déclarés ''non contestables'', par des groupes de pression et des législateurs chantres de l’antidogmatisme et de la liberté de penser. Désormais, pour tout ce qui n’a pas été érigé en ''dogme infaillible'' (en évitant de prononcer ces mots, bien entendu) ou revêtu du nihil obstat (1) et de l’imprimatur (2) du religieusement, politiquement et sanitairement corrects, par la ‘’prêtrise’’ laïque des députés et des sénateurs, licence la plus totale est accordée pour publier. Ce qui amène à penser que l’infaillibilité s’est déplacée, sans crier gare, du Vatican au Parlement, aux groupes de pression et aux lobbys.

(A suivre…« Le libéralisme est un péché – 2 »…si Dieu veut)

René Pellegrini

(1) Nihil Obstat c’est-à-dire « rien n’empêche » : l’autorisation donnée par l’autorité ecclésiastique compétente (évêque du lieu) d’imprimer un livre après vérification, ne contenant rien de contraire à la foi ou aux mœurs.

(2) Imprimatur c’est-à-dire « qu’il soit imprimé » : l’autorisation d’imprimer donnée par l’Eglise

dimanche 12 juin 2022

Le gouvernement occulte d'Israël - 2 : Les fruits amers de la Kabbale dans l'histoire


LE GOUVERNEMENT OCCULTE D’ISRAEL - 2

 

LES FRUITS AMERS DE LA KABBALE DANS L’HISTOIRE

 

 « Où il n’y a personne pour gouverner, le peuple périt » (Vulgate)

« Faute de direction un peuple succombe » (Bible de Jérusalem)

« Faute de politique un peuple tombe »

     (Traduction œcuménique de la Bible : TOB)

 

     Avant de passer aux preuves d’un gouvernement occulte d’Israël, comme annoncé précédemment, un petit rappel de quelques œuvres de la Kabbale dans l’histoire des nations. A la lecture de cet article, certains esprits tordus pourraient le considérer comme voulant nuire aux Juifs, mais tel n’est pas mon but de les mettre tous dans le même sac, même si celui-ci est grand. Sont surtout visés ceux qui s’empressent de déclarer faux (1) tout ce qui leur est défavorable, ou jette une lumière trop crue sur leurs propres agissements : en clair, ceux qui savent de quoi il retourne et ce à quoi ils n’ont cessé de travailler religieusement ou politiquement, au cours de l’histoire, et auquel il continue d’y travailler encore aujourd’hui. De même, certains « idiots utiles », par conviction ou par intérêt, prenant le parti de les défendre à tous prix, quoi qu’ils aient pu faire au cours de l’histoire, et même en s’arrangeant avec elle.

     On conviendra tout de même qu’il est difficile de suivre ceux et celles qui prétendraient qu’en qualité de race élue et supérieure, ils seraient la pureté et l’exemplarité même et, après vingt siècles d’enseignements rabbiniques et pharisaïques, en secret ou à ciel ouvert, qu’ils fussent de grands bienfaiteurs de l’humanité depuis l’iniquité de leurs Pères au premier siècle, la poursuite séculaire de leurs enseignements et les fruits de leur application. Par exemple, l’émergence par des fils d’Israël de systèmes politiques comme le communisme bolchevique avec ses massacres, goulags et asiles psychiatriques, ou le façonnage d’homme politique comme Hitler par la Kabbale. Pour sa part, Saint Paul, (2) un des leurs, avant sa conversion au Christ, est d’un tout autre avis, ne dit-il pas aux chrétiens de Thessalonique :

« Car frères, vous êtes devenus les imitateurs des églises de Dieu, qui, en Judée, sont à Jésus-Christ, puisque vous avez souffert, vous aussi, de la part de vos concitoyens, les mêmes choses qu’elles ont souffertes aussi de la part des Juifs, qui ont tué même le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont persécuté à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont les ennemis de tous les hommes ; nous empêchant de parler aux gentils pour qu’ils soient sauvés, afin de combler en tout temps la mesure de leurs péchés ; car la colère de Dieu est arrivée sur eux définitivement.» (I Thessaloniciens II, 14-16)

     A-t-il tort de parler ainsi ? A-t-il exagéré en tenant ces propos de mise en garde ? La réponse est non, si nous laissons parler l’histoire religieuse et profane, où nous les voyons inspirateurs ou acteurs principaux des premières persécutions antichrétiennes, maîtres d’œuvres de la mise en place de mouvements sectaires, de sociétés secrètes et de systèmes idéologiques tels que : libéralisme, socialisme, communisme et mondialisme qui généreront des révolutions politiques et sociales qui ont secoué, meurtri et ensanglanté l’humanité et permis le façonnage, du faux ''catholique'' mais authentique païen que fut Hitler, par la Kabbale. Tous ces groupements ou idéologies voués à un même but : combattre et détruire, si possible, l’Eglise catholique mais aussi le christianisme et donc, des moyens d’accès au salut qu’ils procurent. Par ses paroles placées dans la perspective du salut et les implications qu’il a dans le temporel sur les comportements devant favoriser le beau, le vrai, la pureté, la sainteté et le bien commun, il n’exagère pas en disant : « ils sont les ennemis de tous les hommes »

     Mais il y a plus que la mise en garde de l’Apôtre. Il y a ces paroles sans équivoque de Notre-Seigneur.

« Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et, après qu’il est devenu, vous faites de lui un fils de la géhenne deux fois pire que vous. » (St Matthieu XXIII, 15)

     Jésus met en garde contre l’extrême dangerosité pour la foi, de l’enseignement de la secte pharisienne. N’oubliant pas que depuis Le Christ les rabbins ont été nourris, et se font les continuateurs, des enseignements kabbalistes et talmudistes des pharisiens stigmatisés par Jésus de « hypocrites, sépulcres blanchis, serpents et race de vipères » (Versets 13-33) et, comme conséquences pour la foi chrétienne de ces doctrines, le risque de devenir « un fils de la géhenne deux fois pire qu’eux » pour les deux sortes de prosélytes reconnus par le judaïsme rabbinique : ceux par conversion ou ceux restant sur le seuil. Il est patent que tous ceux qui se nourrissent de Kabbale ou de Talmud – avec un peu d’expérience, on les repère facilement - et finissent par devenir des ennemis du catholicisme traditionnel ou du christianisme en s’agrégeant à des sectes politiques, religieuses ou philosophiques.

     Si, en tant que chrétiens, nous récusons ces propos de Saint Paul et du Christ, nous signifiant ne pas croire que l’inerrance biblique – Ancien et Nouveau Testament - soit une réalité. Dans ce cas, nous ne sommes plus que des consommateurs à la carte d’Evangiles et d’épîtres. Si, pour nous, « Toute Ecriture divinement inspirée est utile pour enseigner, pour reprendre, pour corriger, pour instruire dans la justice (…) » (II Timothée III, 16) alors il nous faut prendre en considération ces avertissements et, de plus, conclure que les paroles de l’Apôtre et de Jésus-Christ ne sont pas très œcuméniques ! A méditer, pour la protection de l’intégrité de sa foi, par tous les friands d’œcuménisme et les adeptes imprudents des Amitiés judéo-chrétiennes qu’il faut plutôt appeler Amitiés pharisaïco-chrétiennes, puisque le judaïsme actuel, se plaçant au-dessus de Moïse, n’a rien à voir avec la religion de Moïse et des prophètes, mais avec celle revue et corrigée par le pharisaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique.  

     On peut y ajouter, parmi d’autres, le témoignage de deux membres de la nation juive (Darmesteter et Lazare) (3) confirmant, après ces faits bibliques, la véracité des paroles de Saint Paul et de Jésus, en éclairant l’œuvre inique de leurs doctrines sur le plan philosophique et moral, en haine du catholicisme, dont les conséquences expliquent les vrais motifs des soubresauts de l’histoire politique et religieuse autres que ceux fabriqués et mis en évidence par les manuels scolaires et universitaires officiels. En même temps, ils ne font que confirmer ce que l’on savait déjà sur l’origine des influences kabbalistes et talmudiques permettant l’éclosion du protestantisme et de la kyrielle de sectes qui en sont issues, et celles de la Renaissance, du rationalisme et de la Révolution de 1789. Ennemis du Christ et de son règne sur les âmes et les sociétés, on comprend leur désir de travailler et d’inciter à la destruction d’un ordre social fondé sur ses enseignements.

James DARMESTETER (1849-1894) : Orientaliste et professeur au Collège de France.

« Le Juif est le docteur de l’incrédule. Tous les révoltés de l’esprit viennent à lui dans l’ombre ou à ciel ouvert. Il est à l’œuvre dans l’immense atelier de blasphèmes du grand empereur Frédéric et des princes de Souabe ou d’Aragon. C’est lui qui forge tout un arsenal meurtrier de raisonnements et d’ironie qu’il léguera aux sceptiques de la Renaissance, aux libertins du Grand Siècle. Tel sarcasme de Voltaire n’est que le dernier et retentissant écho du mot murmuré six siècles auparavant dans l’ombre du Ghetto. » (In Coup d’œil sur l’histoire du peuple juif, 1881)

Bernard LAZARE (1865-1903) : Critique littéraire et journaliste politique

« Pendant les années qui annoncent la Réforme, le Juif devint éducateur et enseigna l’hébreu aux savants, il les initie aux mystères de la Cabbale, après leur avoir ouvert les portes de la philosophie arabe ; il les munit, contre le catholicisme, de la redoutable exégèse que les rabbins avaient, durant des siècles, cultivée et fortifiée ; cette exégèse dont saura se servir le Protestantisme, et plus tard le Rationalisme. » (In l’Antisémitisme. Son histoire et ses causes, Edition de 1894)

     Ils font sourire ceux qui se proclament athées, irréligieux ou rationalistes, si on considère qui est leur véritable éducateur « Le Juif docteur de l’incrédule » et leur véritable terreau formateur et idéologique « les mystères de la Kabbale » sur lesquels s’appuient les fondements révolutionnaires et antichrétiens des théories qui les animent. Se croire athée, irréligieux et rationaliste après avoir inhalé – en connaissance de cause ou par ignorance - les  chimères ésotériques et mystiques des « mystères de la Kabbale » est proprement risible. Kabbale païenne véhiculant un faux judaïsme pharisaïque et rabbinique dont les ouailles juives, elles-mêmes, sont les victimes. 

(à suivre, si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) Par exemple, la panoplie habituelle et usée de l’anti-complotisme : Faux, antisémite, raciste, théorie du complot, ce sont les maîtres-mots de tous ceux qui ne voulant pas affronter l’histoire et les faits, s’appuient sur les serviteurs zélés de la politique et des média pour jeter le discrédit, voire imposer le silence avec menaces. Combien, encore, tomberont dans ce panneau diabolique et pour combien de temps encore ?  Ce qui est sûr, comme dit l’aphorisme : on peut tromper tout le monde un certain temps et quelques-uns tout le temps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps.

(et 3) Iront-ils jusqu’à les classer parmi les adeptes de la théorie du complot et antisémite de surcroît ?

lundi 23 mai 2022

Catholiques, Attention ! - 2 : Les motifs de persécution


 CATHOLIQUES, ATTENTION ! – 2 :

 LES MOTIFS DE PERSECUTION

 

« Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maîtreS’ils m’ont persécutéils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom parce qu’ils ne connaissent point celui qui m’a envoyé. » (St Jean XV, 20-22)

     Ne pas être oublieux de l’histoire permet de pressentir ce qui peut arriver. Les Juifs sont donc désignés comme persécuteurs par Jésus. Comment cette persécution contre les chrétiens qui est inévitable peut-elle advenir ?

     De par la puissance acquise aujourd’hui la persécution peut être directement le fait des Juifs ou plutôt, comme aux jours de Jésus, par l’utilisation d’agents extérieurs que permettraient les circonstances existantes ou créées. Pour quels motifs les gouvernements judéo-maçonniques actuels pourraient-ils déclencher cette persécution ? Elle pourrait se fonder sur un motif religieux ou politique, ou les deux ensembles. Expliquons !

MOTIF RELIGIEUX

     Averti que « le serviteur n’est pas plus grand que son maître » comment les Juifs en sont-ils arrivés à condamner Jésus à Mort ? L’affaire pris d’abord une tournure religieuse, en l’accusant de blasphème car « il s’est fait Fils de Dieu » (St Jean XIX, 7) dirent-ils à Pilate. Mais il ne voulut pas intervenir sur un problème concernant la loi religieuse juive. Dépités, ils abandonnèrent la question religieuse pour la reporter sur le plan politique « Si tu le relâches, tu n’es pas un ami de César. Quiconque se fait roi se déclare contre César » (St Jean XIX, 12) Cette fois, le problème était beaucoup plus sérieux, l’autorité de César était mise en cause. Pilate, représentant de la puissance impériale se devait d’intervenir, nous en connaissant l’issue après que, plusieurs fois, il ait tenté de fléchir l’acharnement meurtrier des pharisiens.

     A notre époque, sur un plan religieux, avant la venue de l’Antéchrist, en utilisant le trompeur « vivre ensemble » devenant de plus en plus contraignant car destiné à diluer le Christ et sa doctrine dans un magma religieux protéiforme. En effet, il faut rappeler que ce n’est pas Dieu (1) qui pose problème mais « le nom de Jésus-Christ » la persécution advenant « à cause de mon nom ». Le « vivre ensemble » consistant à ne pas faire de vagues, en mettant en sourdine les doctrines et les enseignements de Jésus et de l’Eglise trop explicites concernant certaines personnes, comportements et pratiques politiques ou religieuses.

     Un certain clergé pourrait insinuer, comme les Juifs le firent de manière calomnieuse contre Jésus, (St Luc XXIII, 2-5) que les chrétiens non-conciliaires « exciteraient la nation à la révolte, et soulèveraient le peuple » par leur intransigeance, en ne respectant pas le « vivre ensemble » ce pandémonium religieux de la laïcité devenant, par les conditions posées, incompatible et opposé à la claire mission confiée par Jésus aux chrétiens et Catholiques : Prédication non seulement théorique mais aussi pratique et conduisant à l’obéissance.

« Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit, et leur enseignant à observer tout ce que je vous ai commandé. » (St Matthieu XXVIII, 19,20)

     Il faut donc, et c’est l’ordre formel de Notre-Seigneur « enseignez toutes les nations » et pas « sauf les Juifs » comme l’enseigne une certaine hiérarchie conciliaire traîtresse à sa mission, alors que Jésus montra l’exemple en commençant sa prédication par eux, comme l’ont fait les Apôtres, et l’Eglise à leur suite.

     Une telle insinuation serait mensongère car ces chrétiens (quel que soit le vocable utilisé pour les discréditer ou les mettre au ban de la société) n’encourageront, ni n’exciteront à la révolte contre un système institutionnel verrouillé par les révolutionnaires de droite et de gauche et, de plus, étant présentement privés de toute autorité légitime pour les guider. Ce serait absurde de leur part, car utiliser ces moyens placeraient nécessairement ceux qui les utilisent au service même de l’une ou l’autre des composantes de la Révolution.

     Ce clergé pourrait aussi se prévaloir, auprès du César judéo-maçon actuel, de la « coercition » cautionnée par la déclaration de Benoît XVI, à l’ONU, le 18 avril 2008.

« Tout État a le devoir primordial de protéger sa population contre les violations graves et répétées des droits de l’homme (…) L’action de la communauté internationale et de ses institutions, dans la mesure où elle est respectueuse des principes qui fondent l’ordre international, ne devrait jamais être interprétée comme une coercition injustifiée ou comme une limitation de la souveraineté. » (2)

     Or, ces droits de l’homme sont la négation même des Droits de Dieu (3), ils ont été condamnés par l’Eglise et, en considérant les turpitudes qui de nos jours entre dans le catalogue de ces droits, ils sont une insulte majeure et réitérée faite à Dieu. Ne pas y adhérer, pour rester fidèle aux commandements de Dieu serait considéré, par ces suppôts de Satan, comme violation entraînant la coercition.

      Dans la mesure où cette possibilité ne serait pas saisie durant la phase pré-antéchristiquecelle de l’avant-coureur de l’antéchrist (Message de la Salette) il lui resterait le motif politique pour son intervention.

MOTIF POLITIQUE

     Quel pourrait-être, alors, le chef d’accusation sur le plan politique ?

     Comme au premier siècle, pour l’exécution d’un seul Homme, ils utilisèrent comme on vient de le voir, un prétexte politique et, par la suite, les autorités politiques existantes contre les disciples. Aujourd’hui, il ne s’agit plus seulement de quelques disciples mais de plus d’un milliard de chrétiens catholiques dans le monde, dont vingt-cinq à trente millions en France, avec une foi plus ou moins bien enracinée. Devant un tel nombre autant utiliser, ils savent faire, les instruments que permettent les circonstances créées par les folies guerrières mondialistes pour justifier, auprès de l’opinion publique, une politique ''humanitaire'' d’immigration forcenée afin d’assouvir les sombres desseins du satanique cosmopolitisme judéo-maçonnique, dont la mission est la dissolution dans le magma religieux, voire l’éradication de la culture et de la civilisation chrétiennes qui rappellent trop le Christ à ses ennemis démonisés.

     Au-delà des discours officiels, des gesticulations et des simagrées politico-religieuses la main sur le cœur, les professionnels de l’agitation et des révolutions - dont on ignore plus aujourd’hui l’origine raciale - utilisent l’islam manipulé à outrance, voire conforté dans ses désirs d’afficher publiquement certaines pratiques religieuses incompatibles dans une société de culture et de traditions chrétiennes. Ces pratiques destinées à échauffer les esprits, attiser les tensions communautaires, provoquer des troubles devant générer des affrontements par les agitateurs noyautant ces mouvements politiques de gauche ou de droite, ou des mouvements religieux se réclamant plutôt du christianisme dit progressiste c’est-à-dire avec voilure à gauche, ou de droite bâtarde, ou du catholicisme traditionnel avec ou sans ecclésiastique(s) à leur tête et, en cas de dérives, d’embrasements, d’émeutes ou de morts, fournir le prétexte politique fallacieux pour nuirepar amalgame, à ceux qui dénoncent l’hypocrisie et la tromperie du « vivre ensemble » et son véritable but sans inciter ni se mêler aux affrontements, en se tenant sagement à l’écart.

      Sans exclure des actions sous fausse bannière. Il est à craindre que des Catholiques appartenant à certains mouvements nationalistes, royalistes, cercles ou mouvements religieux traditionalistes, intégristes puissent être manipulés. Le ressentiment et l’exaspération prédisposant à commettre - suite à des provocations qui ne manqueront pas avec un objectif bien précis - des actes réprimés par la loi permettant l’interdiction, voire la mise au ban de la société du christianisme catholique non-conciliaire, le plus visé et le plus détesté, car sans complaisance.

     Je répète ce que j’ai déjà écrit par ailleurs (4), ne vous laissez pas entraîner dans des manifestations, petites ou grandes, de quelque nature qu’elle soit, ni embrigader dans un parti politique, même se présentant comme catholique, même avec drapeau du Sacré-Cœur de Jésus (5) tout en se soumettant au mensonge universel (Pie IX) qu’est le suffrage universel car, présentement, il n’y a aucune autorité légitime pour prendre la tête d’un tel parti. D’autre part, si en régime révolutionnaire un parti politique catholique reçoit l’autorisation de postuler, il est probable qu’il soit déjà infiltré depuis quelque temps et avoir été suscité, à l’insu des braves et honnêtes gens qui le soutiennent, pour fournir, suite à l’élaboration d’actions ou d’événements à mettre en œuvre, le prétexte nécessaire pour justifier une décision autoritaire de justice contre certains chrétiens. Plus troublant si un tel parti dénonce avec force la pieuvre maçonnique (ce qu’il faut faire) mais oubli (?) de mettre en évidence ceux qui l’ont fabriquée et lui donnent, pour l’instant, la main d’association. Je dis pour l’instant car n’étant qu’un instrument à leur service pour œuvrer à la déchristianisation des sociétés à culture chrétienne, ils s’en débarrasseront le moment venu. Francs-maçons des Loges bleues et des petits grades dormez bien, car c’est dans les très hauts degrés tenus par les Juifs que tout deviendrait plus clair pour vous sur le niveau d’ignominie de cette secte mais, pour cela, il faut le mériter car vous êtes très bien scrutés par des membres des hauts-grades participant, à votre insu, à vos travaux en loge !

      Les persécutions viendront. Il n’y a aucun doute là-dessus car c’est toujours cette même haine du Christ, désormais inaccessible mais reportée sur ses disciples, qui anime les persécuteurs. Plutôt que d’aller manifester, préparons-nous plus utilement à y faire face, en persévérant chaque jour dans la prière, la seule arme efficace de combat avec le chapelet, pour le salut de notre âme et celle de ceux qui voudront bien nous entendre. Afin de ne pas entrer en tentation devant l’ignoble qui se prépare dans cet impudique et lubrique paganisme cananéen que sont devenus la France et ce monde, menons une vie chrétienne authentique et cultivons les vertus de Jésus-Christ, dans l’attente de revenir sous son sceptre qu’Il nous a promis « Je régnerai malgré mes ennemis ». Prions aussi pour les Juifs, non selon la nouvelle formulation fabriquée pour leur complaire, mais selon celle qui fut utilisée pendant des siècles pour leur conversion :

« Prions pour les Juifs perfides, afin que le Seigneur notre Dieu enlève le voile qui couvre leurs cœurs, et qu’ils reconnaissent avec nous Jésus-Christ. Dieu tout-puissant et éternel qui ne refusez pas votre miséricorde, même aux perfides juifs, exaucez les prières que nous vous faisons pour vaincre l’aveuglement de ce peuple, afin que, reconnaissant la lumière de votre vérité, qui est le Christ, ils soient retirés de leurs ténèbres. Par Jésus-Christ, notre Seigneur » (Prière solennelle de l’Eglise pour le Vendredi Saint)

 

René Pellegrini

 

(1) Ce n’est pas Dieu qui pose vraiment problème car derrière ce mot en peut y mettre des choses bien différentes : le Dieu Trine ou Dieu unique en trois personnes des Chrétiens (Père, Fils et Saint-Esprit) c’est-à-dire la vie intime de Dieu ; le Dieu unique et égocentrique des Juifs apostats et des musulmans ; le dieu androgyne des ésotéristes, des gnostiques, des kabbalistes et talmudistes ; le Grand Architecte de l’univers des Francs-maçons spiritualistes et, l’état de délabrement cérébral aidant, même les idoles du sport et du spectacle.

(2https://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/speeches/2008/april/documents/hf_ben-xvi_spe_20080418_un-visit.html

(3) - Encyclique Adeo Nota du Pape Pie VI, 23 avril 1791

- Consistoire du 11 juin 1793, Pie VI

- Deux articles du Syllabus (1864) : 39 et 56, du Pape Pie IX

- Encyclique Immortale Dei de Léon XIII sur le droit nouveau 1885

- Lettre Anno jam exeunte de Benoît XV, 1917

(4https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/138048387685358?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/140766354080228?__tn__=K-R

https://www.facebook.com/laroyautedejesuschrist/posts/141827603974103?__tn__=K-R

(5) En 1958, certains de ceux qui agissaient comme cinquième colonne pour brader l’Algérie, avec pour conséquences les massacres, par dizaines de milliers, de colons et de harkis, se sont introduits dans les comités de salut public en portant l’insigne du Sacré-Cœur à la boutonnière. Le cornu et ses agents savent ce qu’il faut faire pour tromper.

 

Mis sur un autre blogue le 24 août 2016

 

samedi 21 mai 2022

Le pouvoir législatif de Jésus-Christ



 LA ROYAUTE UNIVERSELLE DE JESUS-CHRIST - 7

 

LE POUVOIR LEGISLATIF DE JESUS-CHRIST

 

     Ayant établi le fondement scripturaire des droits de la Royauté du Christ à la domination universelle, le Saint Père met ensuite en exergue le triple pouvoir (législatif, judiciaire et exécutif), sur les hommes de toutes cultures, de toutes races et de tous continents, que Lui confère sa dignité de Roi universel. Pour aujourd’hui, le pouvoir législatif.

     En s’appuyant sur le Concile de Trente, le Pape affirme comme devant être reçu de foi catholique :

« Le Christ a été donné comme législateur auquel ils doivent obéissance » (Session VI, canon 1,2)

     Par cette double prérogative du christ – de droit et de conquête – sur le genre humain, l’homme se trouve être responsable de ses actes devant Dieu : fin dernière et législateur suprême de la loi morale et des consciences. Parler des lois de Jésus-Christ, c’est parler des lois du Sacré-Cœur, car les lois du cœur de Jésus sont les mêmes que celles de Jésus législateur. Ce sont des lois qui reflètent son amour pour le bonheur du genre humain.

     Notre-Seigneur déclare Lui-même ce qui résulte nécessairement de la prise en compte et de l’observation de ses préceptes, de sa législation :

« Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui-là qui m’aime (…) Si quelqu’un m’aime il gardera ma parole (…) » (St Jean XIV, 21,23)

     Notre-Seigneur se faisant l’écho de Deutéronome VI, 5 nous dit Lui-même comment nous devons l’aimer :

« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœurde toute ton âme et de tout ton esprit. C’est le premier et le plus grand commandement. » (St Matthieu XXII, 37) (1)

     Il s’agit donc d’un amour au plus haut degré, d’un amour qui envahit tout l’être intérieur de l’homme.

     - La confirmation que l’on demeure dans son amour :

« Si vous gardez mes commandementsvous demeurerez dans mon amour ; comme moi-même j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour. » (St Jean XV, 10)

     On ne peut véritablement « demeurer dans l’amour de Jésus-Christ » que si l’on « garde ses commandements » et, pour souligner davantage cette obéissance à ses préceptes, il l’illustre par son propre exemple vis-à-vis de son Père « comme j’ai gardé les commandements de mon Père. »

     Le pouvoir législatif de Jésus-Christ s’étendant sur l’univers entiersur toutes choses, tous les êtres humains étant concernés par ce devoir d’obéissance qu’elles que soient leurs titres ou leurs responsabilités, il est totalement absurde et incohérent pour un chrétien, et un catholique de surcroît, de prétendre aimer le Christ en opérant dans son comportement une distinctionune dislocation entre vie publique et vie privée. Une telle attitude est en conformité avec l’esprit libéral insufflé à outrance dans les sociétés humaines par son géniteur gnostique et judaïsé : la Franc-Maçonnerie – appelée aussi la Contre-Eglise ou la Synagogue de Satan – aidée par le catholicisme libéral toujours prêt à se faire le convoyeur d’idées ou de théories nuisibles à l’Eglise, mais ce comportement est incompatible pour un esprit véritablement chrétien.

 

(A suivre… « Les pouvoirs judiciaire et exécutif de Jésus-Christ »…si Dieu veut)

René Pellegrini

 

(1) Aujourd’hui, il faut être vigilant et clair dans l’usage et la réception du mot « amour » car, à notre époque, il est très galvaudé en étant appliqué à des comportements qui n’en sont que la grossière caricature par des dégénérés et des pervers. L’amour dont il est question ici, est synonyme de charité, vertu surnaturelle qui nous pousse à aimer Dieu plus que tout, et même plus que nous-mêmes. Cet amour étant en relation étroite avec l’amour du prochain pour l’amour de Dieu et, pas seulement de manière horizontale, selon l’optique humaniste, c’est-à-dire parce que c’est un être humain comme nous.

(2) Ce texte n’est pas cité par le Pape.

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...