ANTISEMITISME ET ANTIJUDAÏSME - 4
LA RELIGION
JUIVE RABBINIQUE OU JUDAÏSME RABBINIQUE
ANTIJUDAÏSME RABBINIQUE,
POURQUOI ?
Si des chrétiens mettent les Juifs en cause, ce
n’est pas parce qu’ils sont de race sémite, ce serait absurde, mais pour
l’inoculation et la mise en pratique de leurs principes moraux, sociaux et
politiques issus de leur judaïsme rabbinique kabbaliste et talmudique dans
les pays qu’ils vampirisent en compagnie de tous ceux qui les secondent, dans
leurs œuvres iniques, par appât de l’argent, intérêt, opportunisme, arrivisme
ou haine de la France chrétienne et de l’Eglise. En définitive des
personnes déchristianisées dont l’esprit s’est plus ou moins judaïsé, par
l’adhésion à des principes mortels de vie sociale et politique contraires à
l’essence même de ce qui est constitutif de la France et du
christianisme : principes qui ne peuvent que leur nuire et les détruire.
Si nous n’avions les promesses réitérées de Dieu, des Papes, des Saints et des
grands auteurs ecclésiastiques sur notre pays, la France ne pourrait que
disparaître dans une République universelle anti-christique, après dissolution
dans une République européenne.
Dans cette affaire le mot convenable pour ce qui
me concerne est « antijudaïsme » et c’est une toute autre
chose qu’antisémitisme (voir les articles précédents de la rubrique :
Antisémitisme et antijudaïsme) car c’est l’aspect religieux qui est en cause et
non l’aspect racial. En tant que chrétien non subjugué par le délire œcuménique
des ennemis plus ou moins conscients de l’Eglise, de l’apostasie en actes du
Concile Vatican II, et du gros bobard sur l’interprétation du Concile
à la lumière de la Tradition (sérieusement amochée pour la circonstance), c’est
un devoir de mettre en garde contre le faux judaïsme des pharisiens véhiculé
par les rabbins.
ANTIJUDAÏSME PHARISIEN : UN DEVOIR, MAIS SANS HAINE
* J’ai le droit et le devoir de combattre ce Judaïsme ennemis du Christ et de
ses enseignements fondateurs de la France chrétienne née, en 496, au Baptistère
de Reims, par la conversion et le baptême de Clovis et de sa tribu franque, à
la prédestination et la vocation particulière que Dieu a conférée, à cette
époque, à notre nation par rapport aux autres nations, à savoir : défendre
l’Eglise romaine et être prospère en étant fidèle à Dieu et rudement châtiée
pour ses infidélités, selon la mise en garde de Saint Rémy :
« Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné
par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine qui est la seule véritable
Eglise du Christ (…) Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera
fidèle à la Foi romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les
fois qu’il sera infidèle à sa vocation. » (Flodoard, Historia Ecclesiae Remensis)
L’Etat actuel de déliquescence de la France
jacobine dirigée, depuis plus de deux siècles, par une compétition entre
irresponsables de tous bords, favorisant ou pratiquant eux-mêmes l’immoralité,
l’impiété, le blasphème et le sacrilège, ou de traîtres indignes d’être français
vendant ou soumettant leur pays à des puissances étrangères rêvant de
domination mondiale. Ceci, témoignant de ce qui attend notre pauvre pays
infidèle avant que Dieu, à son heure, n’accomplisse ses promesses pour la
France.
Il y a bientôt six siècles, il y avait grande
misère et grand découragement au Royaume de France avant que Sainte Jeanne
d’Arc ne soit envoyée par Dieu pour reprendre aux armées anglaises la partie
française qu’ils occupaient, et la restituer à son roi Charles VII :
Préfiguration de la future libération de notre patrie de ses ennemis intérieurs
et extérieurs.
* J’ai le droit et le devoir de combattre ce judaïsme qui n’a rien à
voir avec celui de Moïse, si ce n’est un Moïse revu et corrigé par le Talmud
car, en réalité, ils ne croyaient pas en lui. C’est Jésus Lui-même qui
l’affirme. En effet, si les pharisiens étaient véritablement dirigés par
l’esprit de Moïse ils n’auraient jamais fait exécuter leur Messie, pour leur
propre malheur :
« Car, si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi
qu’il a écrit » (St Jean V, 46)
Les livres de Moïse (Le Pentateuque (1)
écrivaient sur le Christ à venir, ils prophétisaient aussi une inimitié
historique entre deux postérités et le moyen de la Rédemption et du salut, en
Genèse III, 15. Ils annonçaient aussi, le prophète comme Moïse dans Deutéronome
XVIII, 15,18 et aussi, à travers les sacrifices, les cérémonies symboliques du
culte qui dirigeaient et trouvaient leur accomplissement véritable et définitif
dans le futur libérateur du peuple de Dieu.
S’ils croyaient en Moïse et aux prophètes, ils
n’auraient pas façonné le peuple d’Israël en « annulant le commandement de Dieu » par leur « tradition » que Jésus condamnera en reprenant à son compte le reproche
« d’hypocrisie » du prophète Isaïe :
« Ainsi, vous avez annulé le
commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien
prophétisé de vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore
des lèvres, mais son cœur est loin de moi. » (St Matthieu XV, 6-8).
* J’ai le droit et le devoir, comme Catholique et chrétien, de
combattre les fausses doctrines pharisiennes des rabbins kabbalistes et
talmudistes avec leurs incidences sur la vie morale, économique,
financière, politique et sociale des peuples en général, et de la France en
particulier, tout comme Jésus dénonça les faux enseignements des pharisiens et
des scribes ennemis de la vérité de Dieu, qui le firent mettre à mort et dont
les successeurs continuent de le crucifier en donnant leur assentiment au
déicide de leurs pères. De même, à leur époque, les apôtres, les martyrs, les
Pères de l’Eglise et les saints dénoncèrent les fausses doctrines des rabbins
imbus d’enseignements pharisiens, en mettant en garde leurs fidèles, ce que ne
fait plus, à sa grande honte, le clergé apostat, tétanisé, moderniste et
manipulateur d’aujourd’hui.
* J’ai le droit et le devoir, sauf à renier ma foi et celle de la
France chrétienne, de combattre le judaïsme rabbinique dont l’arme principale
est le mensonge, car le levain qu’il contenait à l’époque de Jésus-Christ n’est
pas moins dangereux pour les âmes d’aujourd’hui, même si les rabbins
kabbalistes talmudistes orthodoxes ou modernisés, sans autel, sans temple, sans
prêtre et sans sacrifice, ne sont plus que des personnes ravalées au rang de
simples laïcs. L’état de la France et de l’Europe, autrefois chrétienne et
désormais sous domination judéo-maçonnique, est de nature à manifester
l’impressionnante culbute morale engendrée par les principes nauséabonds
véhiculés par le judaïsme politico-religieux et leurs auxiliaires
Francs-maçons, et leurs répercussions dévastatrices dans le domaine moral,
familial, politique, économique, financier, philosophique et social.
Que l’antisémitisme et l’antijudaïsme ne peuvent
être synonymes, les Juifs le savent très bien. Mais, comme les
orgueilleux qu’ils sont, et n’étant pas handicapés dans l’usage des idées
tordues, il leur est nécessaire de se fabriquer un moyen pour qu’aucune critique
sérieuse ne puisse se formuler contre eux, et qu’il devienne toujours plus
difficile, voire impossible, de leur arracher le masque dont ils s’affublent,
tout comme leurs supplétifs temporaires Francs-maçons. Munis
de cette parade et de son imposition avec menaces, les gens pourront continuer
à larmoyer dans les chaumières, les plaindre inlassablement comme victimes
perpétuels, sans se poser les vraies questions des tenants et des aboutissants
sur ce point et, ainsi, toujours paraître, comme Jésus disait de leurs pères
spirituels « Au dehors, Vous paraissez justes aux
hommes » pour dire ensuite, en dépassant les
apparences de justice « mais au dedans, vous êtes pleins
d’hypocrisie et d’iniquité » (St
Matthieu XXIII, 28). L’histoire, tant profane que religieuse, témoigne
amplement de cela, ainsi que leurs propres livres.
Non ! La religion juive des rabbins
pharisiens, qui est celle de la Synagogue infidèle, n’est pas la sœur ainée de
l’Eglise, et les Juifs qui suivent leurs enseignements ou combattent contre les
doctrines chrétiennes ne sont pas, malheureusement, nos « frères
aînés » mais, en l’état, des ennemis redoutables non seulement pour les
chrétiens, mais pour la France elle-même, quels que soient les artifices
utilisés pour donner le change. Comment pourraient-ils être nos « frères
aînés » en suivant les enseignements de ceux qui « ont le diable pour père » et
veulent « accomplir ses désirs » au sein des nations ? Retenons bien ce que Jésus a déclaré
concernant leurs pères spirituels « Si vous
croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en moi, puisque c’est de moi qu’il a écrit ».
NOS FRERES AÎNES, MAIS SEULEMENT EN JESUS-CHRIST
Ils seront nos frères aînés lorsque, se rattachant
aux enseignements de la Synagogue fidèle, ils deviendront de véritables enfants
d’Abraham non selon la chair, mais selon l’esprit, en acceptant le Christ comme
leur Messie et leur Roi, en se nourrissant par la foi de la chair et du sang de
Jésus-Christ, fils de David et fils d’Abraham (voir la généalogie de St Mathieu
I, 1). Nos véritables frères aînés ce sont les Patriarches, les prophètes et
tous les vrais croyants de l’ancienne synagogue fidèle depuis Moïse, et non
ceux de la Synagogue infidèle et apostate des rabbins pharisiens.
En attendant ce jour béni pour eux-mêmes et pour
notre plus grande joie, ils se présentent à nous sous deux aspects différents
et complémentaires, ou en les cumulant, pour ce qui est de leur capacité de
nuisance dans une société d’essence chrétienne :
* Soit, ils pratiquent une fausse
religion, un judaïsme gnostique kabbaliste et talmudique déjà à l’œuvre chez
les pharisiens, ennemie du Christ et des chrétiens, et ils travaillent à la
destruction de l’Eglise catholique et du christianisme par noyautage de ses
institutions et l’injection en leur sein du venin moderniste et naturaliste.
* Soit, engagés politiquement dans des mouvements libéraux ou
révolutionnaires de droite ou de gauche, ils participent à la destruction de ce
qui revêt encore un caractère véritablement chrétien dans la société. Il n’y a
plus que les aveugles spirituels, les indifférents chroniques et les décérébrés
par la propagande ecclésiastique et celle des media révolutionnaires pour ne
pas s’en rendre compte.
Inutile d’entrer dans le déni et les contorsions
théologiques pour justifier un faux œcuménisme et un Israël à part. Prions
plutôt pour leur conversion et aidant-les à s’extraire de l’esclavage des
traditions pharisiennes, au lieu de les installer dans une fausse sécurité par
une complaisance coupable et lâche, ou une charité qui, en la circonstance
relève, non de la vertu, mais du frelatée, et de non-assistance à personne en
danger au plan de leur salut éternel.
(A suivre…si Dieu veut)
René Pellegrini
(1) On appelle Pentateuque les cinq premiers
livres de la Bible écrits par Moïse : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et
Deutéronome.
Mis sur un autre blogue le 18 avril 2018