Affichage des articles dont le libellé est Sodome. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Sodome. Afficher tous les articles

samedi 23 juillet 2022

Le libéralisme est un péché - 2


Léon XIII (1810-1903) Pape antilibéral de 1878 à 1903

ANTILIBERALISME - 2


LE LIBERALISME EST UN PECHE - 2 
 

     De ses principes libéraux découlent :  

- La liberté des cultes, enseignée aussi par la caricature actuelle de l’Eglise catholique issue de Vatican II, gangrenée par la Franc-maçonnerie et le marranisme. 

- La suprématie de l’Etat et de sa ''prêtrise'' laïque dans ses rapports avec l’Eglise au lieu de la distinction des pouvoirs temporel et spirituel et de la subordination du temporel au spirituel dans tout ce qui implique des décisions d’ordre moral, sans quoi, de décadence en décadence, c’est Sodome et Gomorrhe dans lesquelles nous nous installons allègrement, stimulé et encouragé par le bain d’érotisme ambiant prodigué à souhait. 

- L’enseignement laïc, donc du naturalisme, sans aucun lien avec la religion. 

- Le mariage rendu légitime  par la seule intervention de l’Etat ce qui génère toutes les dérives et les perversions que nous connaissons. Des dirigeants politiques avilis donnant eux-mêmes, sans vergogne, l’exemple nauséabond de la débauche, de la corruption, et, dans leur ignominie et leur putréfaction morale et intellectuelle, ne voyons pas vers quels abîmes ils entraînent le pays. Après avoir mensongèrement promis un avenir -  alors qu’ils ne voient même pas où ils mettent les pieds dans le présent - ils commencent à moduler leur discours public en fonction des circonstances. Aveugles et conducteurs d’aveugles, indignes de confiance, cumulant l’irresponsable, le bouffon et le tartuffe, on en rirait si ce n’était aussi dramatique. 

- La sécularisation, c’est-à-dire l’exclusion de la religion de tous les actes de la vie publique. En définitive l’athéisme social comme dernière conséquence du libéralisme

     De ses principes libéraux résultent un ensemble de négation : 

- Il nie tous les dogmes du christianisme en affirmant l’indépendance totale de la raison individuelle et de la raison sociale. 

- Il nie la juridiction absolue de Jésus-Christ, Dieu fait homme, sur les individus comme sur les sociétés et, par voie de conséquence, il nie la juridiction déléguée du Pape. 

- Il nie la nécessité de la révélation divine et l’obligation pour tout homme de l’admettre s’il veut parvenir à sa fin dernière. 

- Il nie le principe formel de la foi, l’autorité de Dieu qui révèle, n’admettant au mieux, ce que son esprit limité lui permet de comprendre. 

- Il nie le Magistère infaillible de l’Eglise et du Pape (1) et, en conséquence toutes les doctrines définies et enseignées, par exemple : 

  *  la foi au baptême on admettant ou supposant l’égalité des cultes.

  *  la sainteté du mariage en établissant le mariage civil ou concubinage légalisé, sous le portrait d'un homme pécheur, voire débauché.

  * l’infaillibilité doctrinale du Pape en matière de foi et de moeurs en refusant comme des lois ses ordres et ses enseignements officiels

     Sous cet angle il est l’erreur absolue et un péché grave de sa nature, un péché contre la foi, un péché mortel car ses doctrines sont hérétiques. 

(A suivre…« Antilibéralisme – 3 »…si Dieu veut)

(1) Ne pas confondre l’infaillibilité grâce à l’assistance du Saint-Esprit en matière de foi et  et de mœurs, et l’impeccabilité car le Pape aussi se confesse.

 

René Pellegrini

 

 

dimanche 15 mai 2022

Adultère et fornication - 2 : La morale dans une République en état d'apostasie



 ADULTERE ET FORNICATION - 2 

 

LA MORALE DANS UNE REPUBLIQUE EN ETAT D’APOSTASIE - 2 

 

     On ne peut pas mieux dire sur ce qui devient possible « Si – au lieu des lois divines - les volontés de la multitude, les décrets des chefs de l'État, les sentences des juges fondaient le droit.» Ces paroles d’un païen non dénué de sagesse devraient :

   - d’une part, nous instruire sur la fumisterie du droit souverain des peuples qui, en écartant les lois morales de Dieu, se donne le droit juridique d’assouvir toutes les passions humaines, mêmes les plus infâmes, aux conséquences coûteuses et destructrices sur le plan social et familial, et dont nous ressentirons de plus en plus durement les retombées nauséabondes avec, désormais, l’enseignement scolaire de la théorie du genre (3) imposée par l’Education nationale (véritable nid de francs-maçons), de moins en moins éducative mais de plus en plus corruptrice, qui aurait grand besoin d’être éduquée elle-même. Parents, vous avez du souci à vous faire concernant la vie spirituelle et éternelle de vos enfants, en les confiant à de tels éducateurs. Et vous, enseignants qui n’avaient pas piétiné les lois morales divines comment allez-vous vous en sortir sans offenser Dieu et mettre en péril votre salut éternel ? Que Dieu dans sa miséricorde vous vienne en aide pour ne pas l’offenser.

     Rappelez-vous ceci : aucune loi humaine, d’où qu’elle émane, en opposition avec un commandement ou un enseignement formel de Dieu, ne peut vous contraindre à désobéir à une loi divine. L’exemple en ce domaine est celui de Saint Pierre et des apôtres, ayant reçu le commandement de Notre-Seigneur de prêcher l’Evangile de Jésus-Christ, mais sommés par les autorités juives de cesser toute prédication du nom de Jésus, ils répondirent :

« Il faut plutôt obéir à Dieu qu’aux hommes. » (Actes V, 29)

   - et d’autre part, nous faire réfléchir sur ce qu’est, en réalité, l’aboutissement d’une société sous une forme gouvernementale démocratique, comme la nôtre, violant effrontément les lois divines.

« Où cette loi (de Dieu) est méconnueviolée par la tyrannie d'un, de plusieurs ou de la multitude, non seulement la société politique est vicieuse, il n'y a plus même de société. Cela est encore plus vrai d'une démocratie que de tout autre gouvernement. » (Cicéron, La république, Livre 1,3)

     Sagesse naturelle d’un païen qui tire pourtant les bonnes conclusions sur les conséquences de la violation des lois divines par la panacée démocratique, qui devrait faire réfléchir les Catholiques accrocs d’hommes politiques et de prétendants aux charges gouvernementales ne voyant que la démocratie à proposer à leurs adeptes.

     Devant ce constat de délabrement moral et de laxisme ambiant, cet article vise à remettre en mémoire ou à faire découvrir, selon l’exhortation de Saint Paul à Timothée, l’enseignement donné par Dieu et par l’Eglise sur ces pratiques immorales ou qui les favorisent (4), non moins que les graves dangers qu’ils représentent dans l’ordre du salut éternel.

« Annonce la parole, insiste à temps et à contre-temps, reprends, supplie, menace en toute patience et doctrine. Car viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ; mais, selon leurs désirs, ils amasseront des maîtres autour d’eux, éprouvant une vive démangeaison aux oreilles ; et détournant l’ouïe de la véritéils se tourneront vers les fables. » (II Timothée IV, 2-4)

     Ces paroles de Saint Paul faisant allusion à l’insupportabilité de la « saine doctrine » n’étant pas démenties par les faits contemporains, il est donc convenable « d’annoncer la parole » en précisant, pour ceux dont la largeur d’esprit serait de l’ordre du Grand Canyon et la moralité en dessous de la ceinture et qui, en conséquence, trouveraient les textes et les articles de ce blogue imbuvables pour leur sensibilité, que je n’ai pas ouvert ce blogue pour plaire aux débauchés et aux luxurieux, aux laïcs et religieux libéraux, aux négateurs de Dieu, ni pour pratiquer le très hypocrite politiquement et religieusement corrects par des propos ambigus et des circonlocutions de circonstances, ni pour être complaisant envers ce qui doit être dénoncé sans haine mais avec fermeté, dans le but de ratisser large et d’augmenter le nombre de mes visiteurs, mais pour appeler chat…un chat et, s’il plaît à Dieu, d’en ramener certains à résipiscence, après réflexion sur la conduite de leur propre vie. Mais aussi pour rappeler ce que le clergé et tout chrétien normalement constitué devrait enseigner et propager, en ce domaine, sur site Internet ou dans les prêches en Eglise, compte tenu de l’état de déliquescence morale de la société dans toutes ses composantes sociales et jusqu’à l’intérieur des Eglises.

(A suivre…« L’adultère - 1 »…si Dieu veut)

 

René Pellegrini

 

(3) Théorie qui vise à inculquer dans l’esprit de la jeunesse la négation de la différence naturelle des sexes, en introduisant une distinction entre le sexe qu’il reçoit à la naissance et le détermine dans le genre masculin ou féminin, et l’identité sexuelle qui résulterait d’une perception subjective de son sexe, et de son orientation sexuelle qui serait le produit d’une culture et d’un conditionnement social. Cette théorie pseudo-scientifique, s’inscrivant dans un plan et une logique de changement de paradigme attelé à faire table rase de ce qui reste de culture et de morales chrétiennes, n’est qu’une énième exhalaison de la gnose et de la Kabbale  lucifériennes en milieu chrétien pour, par cette théorie, subvertir la différence naturelle des sexes, en formant et orientant les esprits et les intelligences en formation vers la nature androgyne de l’être humain, et, par le brouillage des genres, à justifier les pratiques ignobles et bestiales de Sodome, le ''mariage'' gay et, à terme, la dissolution de la famille traditionnelle. A ce stade de machiavélisme et de perversité on ne parle plus d'intelligence humaine mais de fosse septique. Cette théorie du genre (gender en anglais) obligatoire dans les lycées français est enseignée dans les manuels scolaires de Sciences de la Vie  et de la Terre (SVT).

(4) Surtout ne pas commettre l’erreur de confondre les enseignements magistériels de l’Eglise avec les scandales sexuels d’ecclésiastiques ou de laïcs catholiques méprisant les commandements pourtant clairs de l’Eglise et de Dieu. L’Eglise n’a jamais enseigné de telles pratiques mais les a toujours condamnées. Le vice et l’immoralité ne sont pas dans les enseignements dispensés mais dans les passions désordonnées ou le manque de foi véritable de ces personnes, à quelque niveau hiérarchique où ils se situent. Pas plus que les habitants de Corinthe n’auraient pu se prévaloir de l’incestueux de l’Eglise de Corinthe pour dénigrer ou refuser les enseignements de Saint Paul.

 

Mis sur un autre blogue le 28 novembre 2012

 

Introduction à l'histoire des Patriarches - 10 : Le départ du pays natal - 4

INTRODUCTION A L’HISTOIRE DES PATRIARCHES – 10   LE DEPART DU PAYS NATAL – 4 (Genèse, XI, 27 – XII, 5)        Mais par cette stabili...