LAICÏTE REVOLUTIONNAIRE ET SEPARATION DE L’EGLISE ET DE
L’ETAT
« Ote !
Ote ! crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César »
(St Jean XIX, 15)
C’est
une publication de 2017. Sauf imprévu, par exemple, l’annulation des
élections pour cause de grave attentat ou affaire judiciaire en cours
permettant de laisser en place M. Hollande, nous aurons bientôt droit après
l’attrape-nigauds des primaires de droite et de gauche à la grande comédie médiatique de l’élection présidentielle destinée à nous fournir le futur
Président des Ecuries d’Augias, dont l’odeur devient de plus en plus
nauséabonde, cette mascarade proposée à tous ceux qui ne sont pas encore guéris
de l’escroquerie morale et intellectuelle du suffrage universel :
« mensonge universel » comme disait le Pape Pie IX au XIXe siècle.
Affirmation qui devient de plus en plus acceptable pour bien des sceptiques
d’autrefois. Pour les autres, nous les laisserons continuer de rêver en
attendant, et en espérant, qu’ils finissent par devenir adultes pas seulement
par la taille.
Si les programmes seront plus ou moins différents selon les idéologies
politiques destinées à les mettre en œuvre, ils auront tous un point commun -
sauf séisme de magnitude 10 sur l’échelle de Richter de 9 - le silence
assourdissant sur Dieu fait Homme, Notre-Seigneur Jésus-Christ remplacé par un
vague humanisme naturaliste et, à contrario, le grand tapage sur le sésame qui
permet de participer à l’aventure politique : l’inévitable et
indispensable déclaration d’amour à la laïcité révolutionnaire propre à
perpétuer le gloussement de plaisir des ennemis de Dieu. Si cela peut se
comprendre, sans toutefois les excuser, pour des hommes et des partis
politiques athées, libéraux, libertaires ou agnostiques, ça l’est beaucoup
moins pour tout candidat à la présidence de la République qui se proclame
chrétien et catholique de surcroît. N’est-ce pas MM Fillon, Juppé et consorts ?
On me répondra certainement : nous sommes en République et celle-ci est
laïque. Cela ne m’avait pas échappé.
Dire nous sommes en République laïque pour justifier et faire l’impasse sur le
Christ et la religion n’est pas, et ne sera jamais, un argument recevable pour
un Catholique digne de ce nom. Chez un chrétien le fait de s’armer et de
brandir le bouclier de la laïcité pour valider ses pathétiques contorsions
destinées à permettre la pratique de ses mœurs coupables ou ses reculades sur
sa foi ne fait que démontrer sa lâcheté à défendre les droits et les lois de Notre-Seigneur :
Celui dont il se prétend le disciple et au nom duquel il a été baptisé, non
pour l’exclure des lieux où s’élaborent les décisions qui conditionneront la
vie morale, sociale et politique de la cité et de son pays, mais pour rappeler
et défendre son Evangile et ses commandements, partout où ses compétences et ses fonctions
l’appellent à se manifester socialement et politiquement. Mieux vaut
disparaître de la scène politique si c’est pour cautionner ou faire silence sur
des outrages perpétuels à la Majesté divine.
INACCEPTABILITE
DE LA LAICÏTE JUDEO-MACONNIQUE
ET REVOLUTIONNAIRE
La laïcité judéo-maçonnique sépare le religieux et l’Etat.
« La laïcité suppose
la séparation de l’Etat et des organisations religieuses » (Citation)
Cette proposition n’est pas plus
recevable que la précédente pour un chrétien catholique. Accepter le fait, ou
prendre acte, d’être dans une République laïque est une chose, valider les
considérants de cette proposition en est une autre. C’est inacceptable et
condamnable pour diverses raisons :
1 - Parce que l’Eglise catholique n’est pas, et n’a jamais été,
une théocratie comme peut l’être la religion musulmane qui fusionne le spirituel et le temporel. Il y a
deux piliers dans l’Eglise : le clergé et le laïcat. Elle reconnaît, et à
toujours reconnu, le principe posé par son Seigneur et Maître « rendez à César ce qui est à César et à Dieu
ce qui est à Dieu » (St Matthieu XXII,
21) (1) et la force de la doctrine qu’il manifeste. Mais elle
n’entend pas stupidement cette maxime de Jésus-Christ, comme se plaisent à
vouloir l’interpréter certaines sectes, les gens et les hommes politiques en
général, incités en cela par un clergé beaucoup plus gallican, voire marxiste,
que catholique. Nous savons pertinemment à qui profite ce genre
d’interprétation, tout comme celle de « Mon royaume n’est pas de ce monde » (St Jean XVIII, 36) (2)
visant, l’une et l’autre, à écarter l’enseignement de Notre-Seigneur et la
morale chrétienne dans l’Etat et les organes de direction nationale, avec les
résultats ignobles que l’on sait.
2 - En considération de ce qui a été
constitutif de la matrice fondatrice et formatrice de la France : sa
culture et ses traditions chrétiennes séculaires et pour être plus précis
catholiques, et dont les restes spirituels l’empêchent encore, pour le moment, mais de
moins en moins, de sombrer totalement dans l’anarchie. La religion en France est catholique et celle d’un Etat catholique. Elle
retournera à sa véritable Constitution, à l’heure de Dieu, n’en déplaise aux
révolutionnaires et anticatholiques de tous poils et, probablement, lorsqu’elle
aura touché le fond du fond, Dieu estimant suffisante l’expiation de ses
innombrables crimes commis depuis deux siècles. Les autres « organisations religieuses » étant tolérées. Cette France, n’a rien
à voir avec les pratiques et les enseignements utopiques des sauvages et
massacreurs de femmes et
d’enfants français, des coupeurs de têtes de 1789-1794 (3),
et ceux qui célèbrent, année après année, cette ignominie qui relève davantage
de l’exécration que du festif.
3 – Quoi qu’en dise la secte judéo-maçonnique
du prêt à penser et du formatage dans le politiquement et le religieusement ''correct'',
il est inacceptable de parler de « séparation de l’Eglise et de l’Etat » là où il ne doit y avoir que distinction de ces deux composantes que sont
l’Etat et la religion catholique car, tous deux, ont à faire avec des individus
qui appartiennent, en même temps, à la société civile et temporelle et à la
société religieuse, avec des compétences dans des domaines différents. L’homme
chrétien appartient de corps et
d’âme à ladite
société contribuant à son bon fonctionnement temporel et à sa prospérité par
ses compétences professionnelles, le paiement de ses impôts et taxes diverses,
etc. Il n’a donc aucune raison de se dédoubler et, sous cette qualité de Catholique,
il se doit de défendre la foi qui alimente son âme, certes, dans un
milieu visiblement indifférent ou hostile, mais au même titre que l’Etat
républicain et ses thuriféraires défendent, bec et ongles, dans leur impéritie
et leur aveuglement spirituel, leur croyance en la laïcité athée avec son
panier garni de turpitudes, même si celle-ci prépare et ouvre un boulevard à la
guerre civile, à l’anarchie et au totalitarisme.
Demander à un catholique
de taire, dans les assemblées parlementaires, ses convictions sociales et
politiques c’est, en quelque sorte, l’écarteler, vouloir le faire vivre en
contradiction permanente avec sa conscience et son devoir de témoigner, à temps
et à contretemps, sur les valeurs morales et temporelles bienfaisantes
enseignées par l’Evangile et utiles pour la société, ainsi que sur la
souveraineté du Christ sur les institutions de quelque nature qu’elles soient.
Le Christ, quoiqu’en pense ses ennemis et les chrétiens tièdes, n’est pas
équivoque sur la question de sa souveraineté. Les députés et sénateurs
catholiques l’ont misérablement oubliée. Mais la vraie question paraît plus
dramatique : ont-ils encore la foi ?
« Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre. Allez donc enseignez
toutes les nations (…) » (St Matthieu XXVIII, 18)
Si un chrétien, selon l’affirmation
de Saint Paul (Romains XIII, 1-2), doit se montrer obéissant envers les
autorités supérieures de l’Etat lorsque celui-ci se veut païen et fonctionner
selon des lois immorales et païennes, cette obéissance lui est due seulement si
cette soumission ne l’oblige pas à devoir agir contre sa conscience en violant
les lois divines, ou lorsque cet Etat veut l’empêcher de mettre en garde contre
leurs violations qui affectent le salut des âmes. Un chrétien dans la cité
temporelle règle sa vie privée et publique de citoyen en tant que serviteur et
témoin de Dieu, de ses commandements et enseignements, et non selon les délires
corrupteurs, lubriques et destructeurs des enseignements révolutionnaires républicains
qui coopèrent ensemble à la damnation du plus grand nombre.
4 - Parce
que l’Eglise, pas celle sécularisée qui prêche urbi et orbi
l’utopie sanglante des Droits de l’homme – qui ne peuvent conduire qu’au désordre
social, Dieu étant écarté ou tu – mais qui prêche beaucoup moins, voire pas du
tout, les Droits de Dieu. Répétons-le,
encore et encore, les Droits de l’homme ne seront jamais mieux respectés qu’en
consentant, vraiment, à respecter les Droits de Dieu. Le décalogue selon l’agencement
prioritaire de ses commandements, et les enseignements du Christ, ne sont pas
des propos irresponsables, ils n’ont pas été écrits pour nuire.
Non ! Pas cette Eglise
conciliaire qui, sous ses sourires et ses embrassades, dénature et saccage ce
qui est saint en propageant le venin du relativisme religieux dès le plus jeune
âge. Non ! Pas cette Eglise dans laquelle on cherche vainement l’image
conjointe du Christ et de ses propos sans équivoque devant les enseignements
nuisibles au salut des âmes, mais celle qui s’exprime par la bouche du Pape Pie
XI dans l’Encyclique Quas Primas, du 11 décembre 1925 qui confie la
mission suivante aux Catholiques :
« DANS LES
CONFERENCES INTERNATIONALES ET DANS LES PARLEMENTS, ON COUVRE D’UN LOURD SILENCE
LE NOM TRES DOUX DE NOTRE REDEMPTEUR ; PLUS CETTE CONDUITE EST INDIGNE ET
PLUS HAUT DOIVENT MONTER NOS ACCLAMATIONS, PLUS DOIT ÊTRE PROPAGEE LA
DECLARATION DES DROITS QUE CONFERENT AU CHRIST SA DIGNITE ET SON AUTORITE
ROYALES. »
Telle est la mission confiée aux Catholiques
par un Pape digne de ce nom. Cette mission est donc publique. Elle doit
pénétrer jusque dans les assemblées parlementaires. Les hommes politiques
chrétiens, depuis bien longtemps, et pour le malheur de la France, sont frappés
de surdité et de mutisme pour ce qui est de témoigner du Christ et de ses
enseignements. Honte à vous, hommes politiques catholiques qui faîtes silence
sur cette royauté du Christ, mais qui vous empressez d’adopter, de vous
amouracher et de colporter la laïcité judéo-maçonnique et révolutionnaire car
c’est tout un ! Par votre silence et la diffusion de la laïcité avec
l’esprit qui lui est inhérent, vous bafouez sa « dignité royale » et vous devenez, selon cet extrait, aussi « indigne » que les autres. A votre manière, par votre
comportement, vous perpétuez, en creux, ce cri des princes des prêtres à Pilate
« Ote-le !
Ote-le ! Crucifie-le ! (…) Nous n’avons de roi que César ». Il
est donc urgent de vous remémorer cet avertissement non
équivoque de Jésus-Christ :
« Car si quelqu’un
rougit de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et
pécheresse, le Fils de l’homme rougira aussi de lui, lorsqu’il viendra dans la
gloire de son Père, avec les anges saints. » (St Marc VIII,38)
« Mais quiconque me
reniera devant les hommes, je le renierai aussi moi-même devant mon Père qui
est dans les cieux. » (St
Matthieu X, 33)
Quant à l’Eglise voici ce qu’elle enseigne sans langue de bois, par la bouche
du Pape Léon XIII, sur cette laïcité que vous chérissez tant :
« Toutes les fois que par laïcité on entend un sentiment ou une intention contraire ou étranger à
Dieu et à la
religion, nous reprouvons entièrement cette laïcité et nous
déclarons qu’elle doit être réprouvée. » (Encyclique Immortale Dei, 1er Novembre 1885)
Hommes politiques catholiques, par
votre silence, non seulement vous n’êtes plus crédible même si vous avez une
grande capacité à donner le change, mais en plus, en voulant redresser le pays sans
vous placer sous l’étendard et la soumission au Christ qui est le roi
légitime de la France vous êtes, à l’image d’un certain clergé, des conducteurs
d’aveugles et de dangereux rêveurs ! Quand allez-vous enfin porter haut et
fort « Le nom très doux de
notre Rédempteur » comme vous y
invite le Pape Pie XI, et revêtir les vrais habits de votre Seigneur et de la foi chrétienne, en délaissant
ceux outrageants du « silence » que vous impose votre traîtreuse
adhésion à la laïcité révolutionnaire ? Ce silence voulu, et pour cause,
par les ennemis du Christ affublés du tablier maçonnique et de l’Etoile de
David et leurs adeptes conscients ou inconscients.
LE FONDEMENT MENSONGER DE LA LAÏCITE REVOLUTIONNAIRE
La laïcité
révolutionnaire telle que décrite par Léon XIII, est une
escroquerie intellectuelle lorsqu’elle prétend séparer le religieux et l’Etat.
En effet, elle est, elle-même, la religion de
l’Etat républicain, c’est-à-dire celle de la judéo-maçonnerie -
fortement imprégnée de Kabbale, de Talmud et de pseudo-science - derrière
lequel elle se camoufle pour tout
réduire à l’idéologie officielle et dogmatique des ''Droits de l’Homme'' qui
ne sont autres qu’un rejet de Dieu et de ses lois, et leur remplacement par un
culte rendu à la nature, à l’homme et à ses vices, en définitive à Lucifer.
Cette fausse religion laïque, dont le but est d’anéantir le christianisme,
opère en dépendance
avec une métaphysique évolutionniste, en conséquence matérialiste.
La laïcité
révolutionnaire, fruit de la fausse philosophie dite des
Lumières, est une tromperie permettant à des personnes sans aucune légitime
autorité spirituelle de gouverner, en s’accaparant le pouvoir moral et
spirituel de légiférer sur le bien et le mal, le légal et l’illégal, en se fabriquant
une autorité intellectuelle prenant appui sur des théories ou
hypothèses scientifiques présentées
comme des vérités devant être enseignées et diffusées
tous azimuts, combien même elles sont démenties par les faits expérimentaux dont une certaine ‘’science’’ occupant
les postes-clés - faiseur ou défaiseur de carrière scientifique - imbue
d’elle-même, délétère et orgueilleuse n’a que faire, puisqu’ils infirment leurs théories ou hypothèses, leur
crédibilité et leur notoriété.
Par exemple, les datations de
fossiles devenues ubuesques, le transformisme ou théorie évolutionniste faisant
fi des expériences scientifiques les contredisant, et le Big Bang qui a de plus
en plus de plomb dans l’aile mais dont il faut, à tous prix, sauver la mission
idéologique en lui fournissant deux béquilles : la « matière
noire » et « l’énergie noire ». Ces fausses théories
généreront une conception erronée de l’homme, de la morale, du monde, de la
société et de l’organisation sociale aux conséquences dramatiques. Malheur aux vrais scientifiques qui ne veulent pas s’inscrire dans la
ligne officielle, mais s’appuyer uniquement sur ce qui constitue et mérite le
nom de vraie
science : les faits !
Pour ceux-là, crédits bloqués pour leurs recherches, leurs articles refusés
dans les grandes revues scientifiques, ou carrément écartés. Les débats
scientifiques se font sans eux. On discute entre soi. Telle est la science
moderne attachée aux théories et aux hypothèses présentées et enseignées comme
s’il s’agissait de vérités.
LE TOTALITARISME AU BOUT DE LA LAÏCITE REVOLUTIONNAIRE
Ce totalitarisme est déjà
perceptible dans l’enseignement dispensé et imposé, dans le politiquement et le
religieusement correct et dans le développement de l’idéologie mondialiste qui
pénètre toutes les sphères décisionnelles de la société. La laïcité
révolutionnaire tout comme le communisme et l’islamisme sont issus d’une
mystique infernale qui veut éliminer toute religion qui se pose contre eux, par
l’absorption du spirituel dans le temporel ou du temporel dans le spirituel
avec, pour aboutissement, soit le totalitarisme démocratique propagé par les
divers libéralismes que sont le socialisme, le communisme et la laïcité
judéo-maçonnique, soit le totalitarisme théocratique avec l’Islam. On ne
s’étonnera donc pas des collusions politiques et géopolitiques qui peuvent
exister entre ces fausses religions compte tenu de la parenté mystique qui les
inspire.
Il n’y a pas d’avenir pour la
laïcité révolutionnaire inspirée par l’enfer, et propagée par ses serviteurs
judéo-maçons qui sévissent dans les différents partis politiques, au sein même
des gouvernements successifs et pour ceux qui la soutiennent, sinon de créer
toujours plus de confusion, de désordres et de tragédies. Jésus-Christ est, et
demeure, le vrai et légitime Roi de notre patrie, ce qui fut rappelé au roi
Charles VII par Jeanne d’Arc. Quant au souverain régnant, son lieutenant (le tenant
lieu) il se doit de ne jamais l’oublier. Dans l’ordre temporel, la volonté de
Notre-Seigneur pour la France est qu’elle soit un royaume chrétien comme il l’a
enseigné à Sainte Marguerite-Marie Alacoque, en 1689, lui affirmant
« Je régnerai malgré mes
ennemis » et en Lui
manifestant le désir d’être peint sur les étendards de Louis XIV et gravé sur
ses armes pour triompher des ennemis de l’Eglise, dont le roi de France doit
être le protecteur temporel.
Un siècle plus
tard, malgré les mises en garde, les demandes de Jésus-Christ n’étant toujours
pas satisfaites, la France chrétienne et monarchique fut renversée par ses
ennemis qui complotaient sa ruine dans les salons philosophiques : les
meneurs révolutionnaires de 1789. Depuis lors, elle en subit les conséquences
désastreuses dans les domaines éducatifs, moraux, sociaux et politiques, en
guise d’expiation de ses péchés et iniquités. L’œuvre de restauration et de
résurrection de la France chrétienne
et monarchique sera
accomplie par le
Grand Monarque et le Saint Pape. La profondeur du mal est telle
dans la société française que ce sera une œuvre miraculeuse - pour qu’aucun
homme ne puisse se glorifier - l’œuvre de Dieu, lorsque tout semblera perdu,
comme celle de la résurrection de Lazare qui était dans le tombeau depuis
quatre jours et qui sentait déjà (St Jean XI, 39)
Cette œuvre miraculeuse de Dieu ne
sera pas celle des compromissions, des pétitions pour telle ou telle personne,
des sondages, des manifs et des révolutions en tous genres, y compris la
Révolution numérique proposée par le produit marketing qu’est l’illuminé
Emmanuel Macron parachuté depuis chez Rothschild comme socialiste mondialiste
« En Marche ! » vers le nouveau bonheur de la robotique et de
l’uberisation, ni celle des changements numérologiques de République, ni celle
des ectoplasmes gouvernementaux estampillés laïques - bêlant pathétiquement
leur amour du nœud coulant qu’est la laïcité révolutionnaire qui les étrangle
de plus en plus - parvenus au pouvoir avec ou sans primaire à droite ou à
gauche, et jugés aptes à compétitionner après passage obligatoire par le filtre
électorale judéo-maçonnique et leurs chevaliers servants et complices sans
vergogne : les grands média subventionnés avec l’argent de nos impôts pour
désinformer sur l’essentiel.
(A suivre, si Dieu veut)
René Pellegrini
(1 et 2) Deux publications
sur ces paroles de Jésus-Christ sont prévues par la suite, si Dieu veut.
(3) Ces massacreurs qui
manifestèrent, par leurs actes ignobles, jusqu’à quel niveau de barbarie sont
capables de descendre des hommes fanatisés par une idéologie de haine contre la
religion catholique et, dont on sent déjà, de nos jours, l’odeur abject et la
pratique nauséabonde manifestés par l’adoption de certaines lois
criminelles qui ne reçoivent leur caractère de civilisées qu’à l’aune de la
pourriture de l’esprit et des artifices de langage de ceux qui les promeuvent. Cette Barbarie révolutionnaire à l’encontre d’enfants,
de femmes et
de vieillards français qui, une fois retirée de dessous la
chape de plomb du silence et de l’oubli volontaires, n’a rien à envier aux
atrocités islamistes. Un exemple parmi d’autres : En 1794, le massacre des
Lucs-sur-Boulogne, en Vendée, de 110 enfants de moins de 7 ans (sans doute de
dangereux terroristes) par les Colonnes infernales révolutionnaires sous les
ordres du général Cordellier, et ordonné par le général-en-chef Turreau.
MERCI A CEUX QUI VOUDRONT BIEN ENVOYER CET
ARTICLE
A LEURS AMIS ET CONNAISSANCES POLITIQUES OU
PAS.
René Pellegrini
Mis
sur un autre blogue le 15 février 2017